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[RP] La salle du trône

Olivyaa
Après plusieurs semaines de repos, la Comtesse se rendit aux allégeances du nouveau Comte. Malgré son indisponibilité, elle ne pouvait manquer cette cérémonie qui la touchait particulièrement.

Elle s'agenouilla devant Chuichian


Nous, Olivyaa de Fontenoy, Comtesse d'Aunis, Dame de Ré, renouvelle en ce jour allégeance au comté du Poitou et vous reconnaissons comme souverain légitime.

Nous vous jurons obéissance, fidélité et conseil.

Elle se releva et retourna dans la salle
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Baillant
Baillant avait reçu missive écrite de la main du Comte pour accomplir son devoir de vassal.
Bien que sensible au fait que le Comte envoie lui même un courrier, le Vicomte n'avait pas encore trouvé le temps de se rendre en salle du trône.

Finalement il se décida (ou se rappela c'est selon) à rejoindre la salle du trône.
Arrivant au niveau de l'entrée, il resta assez discret pour éviter que son arrivé tardive ne soit trop remarquée.

Après quelques instants à avoir observé le déroulement de la cérémonie, le Baron de Mauléon s'avança vers le trône comtal.
Chaque fois qu'il avait du s'avancer devant ce trône, il se remémorait avec nostalgie l'époque où il était assit à cette place.

Arrivé face au Comte, après l'allégeance d'Olivyaa, il redressa la tête, posa un genou à terre et parla d'une voix forte et distincte.


Votre Grandeur,

Il est des devoirs qui, en certaines occasions, se révèlent être un réel plaisir à accomplir.
Soyez assuré que celui que je m'apprête à accomplir envers vous, Comte Chuichian, est l'un d'eux.

Aussi, Moi, Baillant de Mauléon, Vicomte de Pons, Baron de Mauléon et fier Thouarsais vient ce jour renouveler l'allégeance qui me lie au Poitou.
Je vous promets, Comte Chuichian, obéissance, conseils et fidélité.
Puisse votre règne être long et fructueux !


Le Vicomte observa le Comte assit sur le trône comtal, un léger sourire se dessinant sur les lèvres, puis il ajouta quelques mots dans sa barbe.

J'aurai aimé qu'Aristote me donne un héritier tel que vous.

Baillant attendit la réponse du Comte avant de rejoindre sa place et laisser se poursuivre la cérémonie comme il se doit.
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Chuichian
Un second Commandant d'armée se présenta au pied du trône, après celui de la cité la plus au nord, c'était au tour de celui la plus au Sud.

Seigneur de Chadignac, Nous, Chuichian De Montignac, Comte du Poitou vous reconnaissons comme vassal et nous vous accordons protection, justice et subsistance en nos terres.


C'est alors que Haverocq de Marigny, comme il convenait de l'appeler désormais s'avançait. Il y a des régnants qui marquent les esprits, il y a des régnants que l'on prend en exemple, Elra était de ceux là: sa parole était toujours le reflet d'un esprit incisif , son avis toujours au plus proche du plus juste des choix. Les paroles que le Comte Chuichian prononcerait maintenant était lourde de conséquence: être le suzerain de noble comme Elra signifiait approcher au moins ce qu'ils avaient été.

Nous, Chuichian de Montignac, acceptons votre hommage et vous assurons protection, justice et subsistance en nos terres.

Une chevelure noire s'agita alors et remonta l'allée. Cette chevelure appartenait sans aucun doute à la plus belle Dame du poitou. Un temps le Lieutenant au Fouet puis la Comtesse Fouetteuse, celle qui avait été sa marraine ou presque, du moins celle qui lui avait évité les écueils et l'avait pris sous son aile, était à présent devant lui, un chapitre entier de sa vie... Ces mots, ces phrases avaient encore une fois une très forte signification, et dans son cas était unique. Une profonde inspiration et enfin... surtout ne pas dire Chouchou...

Votre Grandeur Olivyaa de Fontenoy, Dame de Ré, en ce jour, nous Chuichian De Montignac vous reconnaissons comme notre vassale et nous vous accordons Protection, Justice et Subsistance en nos terres.

Les paroles avaient été prononcés... elle laissait un goût particulier... mais un goût au combien plaisant.

Les allégeances ont quelque chose de transcendant, mais elles ne laissent pas la possibilité d'apprécier ces instants, sentiments qui se succèdent. Le Vicomte de Pons approchait... un bref instant il se souvint que ce Vicomte fut le premier à lui adresser la parole... alors candide, le jeune Thouarsais avait demandé au maire de Thouars des explications sur la mauvaise tenue du marché. Ce maire lui avait donc répondu de se rendre auprès du Lieutenant par intérim qui n'était autre que la Comtesse qui venait de se relever, Olivyaa. L'histoire se répéterait-elle?

L'esprit du Comte revint en cette salle du trône, un instant cette couronne semblait être bien lourde pour ce Comte... et si Elra avait raison? A côté de ces Grandeurs éternelles du Poitou qui se succédaient, comment pouvait-il oser figurer?


Votre Grandeur,

Il est des devoirs qui, en certaines occasions, se révèlent être un réel plaisir à accomplir.
Soyez assuré que celui que je m'apprête à accomplir envers vous, Comte Chuichian, est l'un d'eux.

Aussi, Moi, Baillant de Mauléon, Vicomte de Pons, Baron de Mauléon et fier Thouarsais vient ce jour renouveler l'allégeance qui me lie au Poitou.
Je vous promets, Comte Chuichian, obéissance, conseils et fidélité.
Puisse votre règne être long et fructueux !


Il se souvint qu'il y a encore quelques temps, une baronnie provenant d'un Vicomté Poitevin lui avait été proposé... et à ce moment là la couronne lui avait réellement paru bien lourde, il l'avait refusé d'ailleurs, non sans malice promettant au Vicomte que la Couronne qu'il porterait serait celle du Poitou. Il ne pensait pas cet instant serait aussi proche.
La phrase qu'il murmura parvint à ses oreilles... et le toucha profondément. Nouvelle inspiration, nouvelle phrase même si les mots ne semblaient pas être assez fort.


Moi, Chuichian De Montignac, Comte du Poitou, reconnais le Vicomte de Pons et Baron de Mauléon, Sa Grandeur Baillant de Mauléon, comme vassal et lui accorde Protection, Justice et subsistance en nos terres.
J'aurais aimé qu'Aristote me fasse être votre fils., ajouta t'il à voix basse.
Cristof
Laissant Icie à ses pensées, il lui glissa rapidement "je vais revenir" et s'avança à son tour vers le trône.


Il posa un genou au sol et s'inclina devant la Grandeur du Poitou. Il en avait fait du chemin le p'tit Prévôt depuis qu'ils s'étaient rencontrés et c'est fort méritoirement qu'il avait reçu la couronne du Poitou.

Nous, Cristof renouvelons en ce jour solennel notre allégeance au Poitou en rendant l'hommage à son illustre représentant.
Nous lui jurons fidélité, que les jours soient bons ou mauvais, nous lui promettons conseil avisé s'il nous consulte et l'aide militaire qu'il jugera nécessaire à la défense des intérêts du Poitou.

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Oane
Apres des anées d’absence, enfin ils se retrouvaient …le cœur d’Oane soulevait sa poitrine dans l’échancrure du corsage

Tu es à présent en âge d'enfanter. Dès que ta mère sera plus disponible, nous songerons à ton baptême et à ton mariage... Je suis bien aise d'avoir une fille si ravissante et je l'espère, si fertile.

Oane avait tout d’abord sourit radieuse à la vue de son père puis, elle l’avait écouté religieusement, son sourire s’était épanouit sur ses lèvres couleurs cerises comme une belle de nuit quand les étoiles se mettent à briller au firmament jusqu’au mot « ravissante » mais étrangement, il s’était soudain éteint et Oane avait senti un instant sur le bout de sa langue le goût des cendres. Elle serrait ses poings menues et lorsque son père lui accordait à nouveau son attention, sa bouche s’ouvrit sur un O mais aucun son ne sorti : son père l’avait coupé

La cérémonie va commencer, et ma femme la comtesse n'est toujours pas là. Reste un peu à l'écart, peut-être vais-je y aller dans les premiers.

Le regard d’Oane vira au gris acier en contemplant la cape pourpre ourlée d’or de son père qui se dirigeait vers le comte régnant du Poitou. Elle écouta son père prêter allégeance et de son œil naïf perçut la cérémonie comme un symbole important. Une aura mystique entourait le comte dans ses plus beaux atours, un rayon de lumière surgit d’une fenêtre et reflété dans une décoration en bronze sise au mur de pierre, se posa sur la couronne du comte Chuichian l’auréolant telle un saint. Oane se signa éblouie puis, l’ombre de son père vint s’interposer entre elle et le rayon. Elle écouta son père et sourit à demi lors de la sortie de son père. Il était rare que ce dernier se montrant grossier et cela le rendait tellement plus humain qu’Oane en aurait bien rit à gorge déployée, ce qu’elle ne fit pas grâce à une longue habitude acquise chez les nonnes. D’un naturel rieur, elle surveillait ses explosions qui lui avait valut tant de punitions en se pinçant jusqu’à la douleur. Si bien qu’une personne au regard acéré aurait pu surprendre son geste. Mais le demoiselle était habile à ce jeu et dissimulait tout cela derrière ses longues manches en biseau. Le temps qu’elle se reprenne déjà dame Ici de Plantagenêt s’avançait suivi de bien d’autres grands du Poitou. Oane vit bien que Dame Icie semblait avoir un ennui avec un courrier et que ses amis s’empressaient autour d’elle. Elle soupira et se senti tout à coup … et son regard soudain bleu pluie vogua au dessus des nobles réunit à travers la salle à la recherche de quelque chose.. une lueur ténue . Son regard revint sur dame Icie et Critof qui parlaient ensemble. Elle se rapprocha doucement du groupe.
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Petitjehan
La cérémonie se déroulait, l’ordre de préséance semblait passé aux oubliettes…
Aussi dès que son oncle prêta son allégeance Jehan décida de lui emboiter le pas. Les Fortunat se regroupaient pour montrer leur attachement à ce Comté quoi qu’il pût arriver.

Non seulement il connaissait personnellement le Comte depuis une certaine rencontre sur un terrain de soule mais il était son Chancelier puisque celui-ci le lui avait demandé.
Mais là il ne venait ni en diplomate ni en compagnon de soule, il venait reconnaître celui qui incarnait le Poitou.
Pour avoir tenu le poste très récemment il en savait la charge, les doutes et les difficultés.
La cérémonie d’allégeance non seulement rassemblait la noblesse autour de son souverain mais aidait ce dernier à prendre conscience de son rôle. Le souverain ne s’appartient plus il « est » le Poitou avec tout ce que cela implique. Contrairement à ce que d’aucuns naïfs pensaient ou colportaient çà et là les décisions prises ne laissaient qu’une infime parcelle à l’amitié. L’intérêt de la province seul comptait.

Son regard doré dirigé vers le Comte, Jehan s’avance et pose genoux en terre avant de prononcer..


Nous, Jehan de Proisy-Fortunat, Seigneur de l’Hermenault, renouvelle en ce jour allégeance au comté du Poitou et vous reconnaissons comme souverain légitime. En cela nous vous jurons obéissance, fidélité et conseil.


Là le vassal à deux solutions. Soit il baisse la tête en signe de soumission, soit il regarde son suzerain droit dans les yeux en signe de franchise.
N’étant, par nature, que peu soumis le Seigneur de l’Hermenault soutint le regard de son suzerain pour renforcer son serment en homme qui sait que jamais il ne reviendra dessus fut ce sous la torture.

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Vicomte d'Olonne
Seigneur de l'Hermenault
Cyclope
Le sommandant Cyclope à son tour se présentat devant le comte ,une foit avoir laisser passer les nobles qui venaient de preter allégeances...

Il pointat comme a son habitude l'épée au sol et mettant un genoux a terre s'exclama :


Moi cyclope
Commandant de La Légion Poitevine et Seigneur de Marsay,je prête au souverain actuel , fidélité et conseil ainsi que toute aide miltaire si le besoin s'en ferait sentir !
A ce titre je renouvelle mon serment d'allégeance au nouveau souverain!


Le seigneur de guerre se levat ,prenant son épée et la rengainat dans son fourreau....
Il se dirigea vers la place qu'il avait délaissé juste avant...laissant la place à d'autres nobles..

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http://legionpoitevine.bbactif.com
Nina27
Nina arriva devant le trône.

Un genou à terre, les mains posées sur son épée plantée devant elle, s'exclama :

" Nous Nina 27, Dame de Magné, commandant de l'Armée des ours de Niort, renouvelle allégeance au Comté, ainsi qu'à son représentant, sa Grandeur CHUICHIAN, Comte et Souverain du Poitou à qui je souhaite un long règne et à qui je promets obéissance, conseils et fidélité ".
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Zalina
Un page s'était glissé discrètement dans la Salle du Trône peu après le début de la cérémonie. Impressionné par tout ce monde, et du beau monde, il resta en retrait et laissa les nobles s'avancer en observant tranquillement.
Attendre que le précédent est reçu l'acceptation du Comte avant de s'avancer il avait dit le monsieur. Alors on attend... puis finalement, certains n'attendaient plus. Mais notre petit page resta dans son coin. Il allait s'avancer pour donner son message... puis finalement non, on venait de s'avancer avant lui. Il attendit encore.
Puis à bien y réfléchir, ce serait mieux de laisser passer tous les "hauts nobles" du Comté avant. Voyons voir, il restait encore au moins trois Barons. Il finit par s'adosser contre le mur. Son tour n'était pas encore venu.

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Absente les 7 et 8/11
Magoo
Magoo ne s'avança pas pour poser genou à terre, L'allégeance de Cristof suffisant pour eux deux. Elle tenait néanmoins à faire montre de sa présence à cette cérémonie comme gage de son dévouement pour le Poitou.

Les mouvements allaient et venaient, autant de paillettes dansantes dans la grande salle du trône. Elle notait l'absence de Gaëlik, que l'on avait pas vu depuis fort longtemps, constamment représenté par son épouse. Peut être était il en voyage... Toujours auprès d'Haverocq, elle avait été rejointe par son époux avant que celui-ci ne s'avança vers le comte. Elle attendait que cela se passe afin de pouvoir deviser avec ces derniers des dernières actualités.

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Petitjehan
L'ancien Comte patientait genoux en terre...
La situation devenait cocasse car il avait été prévu d'attendre que le Comte réponde à chaque Seigneur avant de prêter soi-même allégeance.
C'est ce qu'avait fait le Seigneur de l'Hermenault, futur Vicomte d'Olonne.

Puis était arrivé le Seigneur de Marsay qui, sans façon s'était mis à côté de lui avait prêté allégeance puis s'était relevé sans plus de cérémonie. Suivit la Dame de Magné qui avait aussi posé genoux en terre. Bref il étaient désormais deux, à regarder vers le Comte attendant son bon vouloir pour se relever.

Il ne pouvait, tout au moins pour Jehan selon ses principes, en effet être question de se relever avant que d'avoir reçu réponse du suzerain qui exprimait ses devoirs en réponse à ceux des vassaux.

Il avait ainsi patienté fort longtemps lors de son allégeance Royale et il avait, de ce fait, acquis une certaine patience.

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Vicomte d'Olonne
Seigneur de l'Hermenault
Eragon_killer
Eragon voulait vraiment assister à une cérémonie d'anoblissement, pour un candidat au poste de héraut c'était la moindre des choses de se renseigner sur le côté pratique de sa tâche. Il avait voulu le faire la première fois mais suite à un concours de circonstances cette cérémonie ne s'était pas déroulée comme il le pensait. Ensuite, il avait du descendre au Sud, le Poitou devait exporter ses ressources et Eragon aimait le commerce,le voyage et rendre service à son Comté. Il venait donc tout juste de revenir au Poitou et sans prendre le temps de passer au domaine des Lisaran il dégota les plus beaux atours qu'il aurait jamais pu trouver et se dirigea vers la salle du trône. Connaissant le comte le fait que cette cérémonie soit publique était un avantage, que le public puisse voir que la noblesse poitevine était à ses pieds pendant ne serait ce que quelques secondes devait être drôlement stimulant.
Il commençait à connaitre un certain nombre de nobles, sa charge de Poursuivant d'Armes l'obligeait à envoyer missives sur missives aux nobles du Comté.
Il pouvait à l'heure actuelle aisément reconnaitre chaque noble rien qu'en regardant leurs armes ou même leurs sceaux.
Il pénétra donc dans la salle sans bruits, la cérémonie avait déjà commencé et il ne voulait en aucun cas déranger cette cérémonie qui avait eu du mal a commencer.
En fait il venait surtout encourager sa fillote, il ne passait que peu de temps avec sa famille et durant ses voyages il avait réalisé que ses réactions et ses encouragements n'avait pas souvent dû être à la hauteur.
Il s'approcha donc d'elle sans qu'elle le remarque et posa une main chaleureuse sur son épaule. Il la gratifia d'un sourire supplémentaire mais ne prononça aucun mot de peur de ne pas trouver les bons.
Il salua respectueusement les nobles avec qui il traitait souvent puis retourna dans un coin de la salle, proche de valet qui s'occupait de lister les allégeances ne voulant pas qu'il y ait d'écart de procédure.
Un regard vers le héraut dont il avait beaucoup entendu parler et qui avait fait fi des querelles, préférant que la cérémonie se passe le mieux du monde.

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Chuichian
Nous, Cristof renouvelons en ce jour solennel notre allégeance au Poitou en rendant l'hommage à son illustre représentant.
Nous lui jurons fidélité, que les jours soient bons ou mauvais, nous lui promettons conseil avisé s'il nous consulte et l'aide militaire qu'il jugera nécessaire à la défense des intérêts du Poitou.



Il ne se souvenait plus du moment où il avait rencontré le Vicomte; la vie c'est avant tout des rencontre, et c'est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres, forgent une destinée. Jehan s'avança également, emboitant le pas à son oncle.

Nous, Jehan de Proisy-Fortunat, Seigneur de l’Hermenault, renouvelle en ce jour allégeance au comté du Poitou et vous reconnaissons comme souverain légitime. En cela nous vous jurons obéissance, fidélité et conseil.

Il aurait du faire changer les serments d'allégeances du Trémouillois Jehan par "Nous reconnaissons Thouars comme la plus grande équipe de soule et les supporter Thouarsais comme les plus grands buveurs de bière." Oui un serment ressemblant à cela aurait été plaisant. Bien du temps était passé déja... mais le Comte s'interrogerait sur la relativité du temps plus tard. Quelques secondes seulement s'étaient écoulés, mais déjà les seigneurs suivant s'étaient avancés. Il en parlerait au poursuivant d'arme plus tard.

Nous, Chuichian De Montignac, Comte du poitou, connaissons la valeur du Vicomte d'Aulnay de Saintonges et du Vicomte Jehan de Proisy. Par conséquent, je reconnais comme vassaux et accorde protection, justice et subsistance en nos terres aux Vicomte Cristof et Vicomte Jehan.

Le Seigneur de Marsay était aussi devant le trône et avait répété les phrases classique.

Moi, Chuichian De Montignac, Comte du Poitou, reconnais le Seigneur De Marsay, Cyclope de Marsay, comme vassal et lui accorde Protection, Justice et subsistance en nos terres.

Les commandants s'étaient fait passer le mot sans aucun doute.

Moi, Chuichian De Montignac, Comte du Poitou, reconnais la Dame de Magné, Nina, comme vassale et lui accorde Protection, Justice et subsistance en nos terres.
Cyphus
Après quelques minutes de silence, Cyphus trouve opportun de s'avancer à son tour.
Il serre doucement la main de son épouse pour lui faire comprendre de se lever; puis il s'avance sur le tapis rouge avec la baronne.

Quelques mètres avant d'être à portée de vue de l'assemblée, il lâche la main de Sexybabyphat et porte la main à la garde de son épée.
-Votre Grandeur Chuichian de Montignac, comte du Poitou.
Il dégaine et posant la pointe de son arme au sol, regarde son vieil ami dans les yeux.
-Nous, le Seigneur Cyphus Garion d'Erguenault, Baron de Tiffauges, venons respecter nos engagements envers notre Comté et ses sujets, et ainsi venons reconnaître son souverain légitimement élu par le Poitou.
Il s'agenouille et baisse la tête, tenant fermement le pommeau de Sobrié entre ses mains.
-Juro obsequium, auxilium et consilium.
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Sexybabyphat
Sexybabyphat saisit la main de son époux et s'avanca sur le tapis rouge. Elle s'agenouilla devant son bon ami le Comte Chuichian de Montignac.

Nous, Sexybabyphat d'Erguenault, Baronne de Tiffauges promettons obéissance, conseil et fidélité à notre souverain de Poitou.


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