[RP]Une cité en flammes

François attendait patiemment avec le vieux lion dans le quartier orthodoxe, non loin de la maison du curé. Les yeux de leurs hommes attendaient lentement qu'Ersen donne le coup d'envoi à la Cathédrale. Il priait pour que son camarade réussisse.
Il attendait encore un peu. Puis, quelque chose se passa. François discerna une lumière par les vitraux de la cathédrale.

- Se pourrait-il que...

La lumière alla en s'intensifiant.

Maxc dansait dans la boulasse consulaire soudain son regards vit des flammes sortir de la cathédrale

Sortant en courant il interpella les gens au alentours

Vite il faut amener de l'eau il faut eteindre l'incendie, une file jusqu'au lac amener tout les seau d'eau que vous trouvez il faut contenir l'incendie avant qu'il ne se propage
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Guidrion sortit en leur compagnie. Il fallait avertir les gens... Mais comment? Le tocsin brulait sans doute avec leur cathédrale... Il eut une idée.
Le vieux cor qu'on lui avait offert en Savoie!
L'avait-il? Oui!
Déos l'accompagnait ce soir. Il le prit et sonna à plusieurs reprises pour tirer la populace de son sommeil.

- AU FEUUUUU!
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"Per canto pacem feremus"
premier barde de la guilde des arts et camelot juré.

Humeur actuelle: En plein ressourcement

Guidrion se fendit d'un sourire. Le cor avait marché. La population de Lausanne se levait.
maintenant... Des sceaux! Il fallait des sceaux.

- Trouvez des baquets! Faites la chaine!
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Ersen observait d'un toit avec délectation le petit peuple dans ses ténèbres. Il s'agitait comme des fourmis pour tenter d'éteindre le petit feu de leur foi d'enfant.
Avec ses deux compagnons, il se dit qu'il allait compliquer leurs tâches. Il leur fit signe de prendre leurs arcs. Lui-même fit de même.
...
Encocher
...
Bander
...
Tirer
...

Et ainsi crevaient trois petites fourmis. C'était si simple.

Ersen se mit à rire.
...
Encocher
...
Bander
...
Tirer
...

Et trois nouvelles fourmis qui s'écroulaient. Il frappa l'épaule de ses compagnons. Frapper, fuir, frapper à nouveau, fuir à nouveau. La bonne tactique du vieux lion.
Le groupe disparut du toit.

Rah-Xephon était en taverne se soir la avec sa Douce quand Guidrion enfonça la porte en hurlant : La Cathedrale brule on a besoin de bras !!!

Il tenait bien trop a cette ville pour la laisser partir en fumée , il cherchât rapidement deux seaux dans la taverne et allât au bout de la chaine seau a la main , il se trouvait les pieds dans l'eau 3 ou 4 personnes avant lui chargeai les seaux d'eau et il se devait de les fairre passer de personnes en personnes , quitte a y passer la nuit il n'avait pas le choix , cette ville était la sienne ainsi que celle de tous les Lausannois et ils se devaient de la defendre !!!!

véro vit une femme courir pres d elle et hurler!elle se retourna vers elle et lui cria

Prenez ce sceau au lieu de pleurer et aidez nous!!!!

Je rentrais chez moi quand j'aperçus les flammes dansantes au dessus de la cathédrale et j'entendis immédiatement des cris...

Je courrus en cette direction et vit plusieurs personnes hurler des ordres.
Ayant compris la situation, je courus chez moi prendre un sceau et rejoignis les gens dans la file pour que le mouvement s'accélère.

Soudain, il entendit des sifflements et vit des flèches s'abattre sur eux. Il regarda autour de lui, incrédule, et vit des gens s'effondrer.

"Messire Archille, vous vouliez de l'action? En voilà!!!"

Je continuais la chaine, puis pensa à une chose...

[/b]Messire Maxc, n'y a-t-il pas une source ou un torrent en amont du village?

véro se sentit tirer en arriere,la fleche l avais manque de peu

merci, messire guidrion! et se tournant vers les ombres au loin hurla

mais vous nous voulez quoi a la fin?????

Vinchounet vous êtes notre sauveur.. Des hommes avec moi, on crée une deuxième files...

MAxc prit donc la tête de la colone, soudain, il voit un trait foncer sur vero... Cette fois c'en était trop la chasse est lancée

GUidron, avec moi on va a la chasse
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Guidrion regarda Maxc et blémit. Lui? Combattre?
C'était là son baptême de la guerre. Lui qui ne s'était même jamais entrainé à l'ost, jamais battu avec des brigands... Rien!

- Messire...

Il entendit les hurlements des teutoniques.

- Qu'est-ce que... Croisade... Croisade! BANDES DE DINGUES!
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La chasse commencait, s'en prendre à sa ville était intolérable, mais il se devait de la protéger, cependant la c'était Véro qu'il attaquait ... Protéger Lausanne c'était fait au plus presser maintenant il était temps de se venger...

Les petites routes il les connaissait, son épée avait déjà fait des dégat dans les rang de ses ennemis, sa rage aujourd'hui faisait de lui un terrible prédateur

SUS A L'ENEMI
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Maxc tomba nez-à-nez avec deux hommes encapuchonnés armés d'arcs. En le voyant, ils bandèrent.

- Réformé ou Orthodoxe?

Je rageais de ne même pas avoir une arme...
Si je dois en affronter, je suis aussi inoffensif qu'un ver...

J'entendis alors Maxc donner l'ordre de faire une autre file. Mon idée est-elle exploitable? Je filai dans sa direction...

Des teutoniques? Il n'avait pas la berlue... Les teutoniques étaient à Lausanne... Et ils menaçaient des lausannais. Deux réformés, à coup sûr!
Fallait les aider.

Encocher
...
Bander
...
Tirer
...

Guidrion dégaina à son tour.

- Saloperies de croisés! Vous avez pris Lingus! C'est vous qui prenez des gens et les tuez pour votre plaisir de pervers!

C'était donc ça que Petitced avait du affronter?
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Les deux teutoniques se mirent à rire. L'un d'eux s'approcha de Guidrion pour le transpercer de sa lame. Défaire ce genre d'engeance ne serait pas bien difficile. Il poussa un cri rauque.
une flèche avait transpercé son col et lui avait tranché l'oesophage. Il s'écroula tout en s'étouffant dans son sang.
Le second reçut une flèche dans l'épaule et tomba au sol en hurlant comme un gamin.

Voyant qu'elle n'avait pas été touchée, je décidai de reculer pour me mettre à l'abri des flèches de ces gens qui semblaient pourtant ennemis.

arrivée a la hauteur de maxc,elle l aida a se relever,lui enleva la fleche et pointa son epée sur le cou de l archer

vous nous voulez quoi bordel?

Le Noble Noir & Diacre de Lausanne alerté par ses concitoyens passa chez lui afin de se préparer au combat. Il se dirigea vers la scène de l'incendie et aperçut sur les contreforts de la pente un combattant encapuchoné. Arrivé à bonne distance d'un des archers en se faufilant. Il prit lui même un couteau de jet caché dans sa cape. Et lança le projectile en direction de la tête de l'ennemi.
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Noble Noir , Chambellan & Diacre de Lausanne
Ancien Prime-Consul de Lausanne

Maxc prit Vero par les bras

Il est temps qu'on parte, il y en a un troisieme...
Puis il y a ses teutoniques, il faut les trouver...



Partant en courant il continue leurs chasses dans les petites ruelles de Lausanne
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Je les vis passer et décidai de les suivre dans leur chasse.

Encocher
...
Bander
...
Tirer
...

Trois nouveaux lausannais tombaient au sol. Mais où étaient passés les autres? Ils devraient y avoir d'autres archers sur les toits... Ils étaient où?
Ersen fit redescendre le toit à ses hommes lorsqu'il tomba sur Joelismail. Ils pointèrent tous les trois leurs arcs sur lui.
Ersen remarqua le cadavre de son compagnon. C'était Ernesto... Il remarqua aussi le surcôt des nobles noirs que portait ce foutu inconnu.

- T'es avec les teutoniques? Saloperies... On vous laissera jamais faire votre saleté de croisade!

Je suivait les autres mais je me faisais distancer a cause du poids de mon bouclier.
Je décidai de prendre a droite afin de les rejoindre un peu plus loin, mais c'était sans oublier que ma connaissance de la ville était encore plutôt lacunaire. Je parcourus plusieurs ruelles, pour me rendre compte que j'étais perdu.
J'avançais prudemment, le bouclier levé, écoutant les bruits alentours, essayant de repérer mon chemin.

Soudain, je sentis un coup violent s'asséner sur mon crane...

ouchh!!

Le noir....

véro vit les fleches arrivaient vers eux,elle en reçut une a l épaule et tomba au sol

mdr,mon epaule!bande de degeneré!

elle sentit une colere sourde monter en elle

Ersen se mit à mouiller ses chausses. Ses braves gars... Tous morts...
Ces salauds... Ces salauds avaient le dessus... Qu'est-ce qui lui avait pris de suivre le vieux lion? Ils avaient aucune chance ici. Surtout avec ces foutus teutoniques en ville... Mais qu'est-ce qu'il faisait là.
Il dégaina et désarma Maxc tandis que son compagnons se faisait étriper.

D'un geste de l'épée, il le repoussa et se mit à bonne distance du groupe.

- Vous m'croyez qu'un simple archer, hein? J'm'en vais vous montrer ce que je vaux...

Tess arriva fort tard du champ et se dirigeant vers la taverne, elle vit la Cathédrale en flamme. Elle n'hésita pas un instant et se dirigea à tout vitesse rejoindre la file afin d'éteindre les flammes. Elle allait se joindre à la file lorsqu'elle se souvint d'une vieille fontaine ravitaillée par des conduits en bois. Celle-ci était plus proche, elle s'y dirigea avec un petit groupe de villageois et à plusieurs finirent par détourner le conduit en direction de la cathédrale. L'eau serait plus facile d'accès pour éteindre l'incendie. Ils revinrent en direction de la Cathédrale lorsqu'ils virent le Consulat brûler également. Tess n'hésita pas et dit aux villageois avec elle de la suivre.... ils devaient tout tenter.

Maxc se retrouva soudain désarmé...

C'en était fini, adieu la vie...

Puis soudain comme par magie, l'homme s'écroula, Guidrion l'épée luisante venait de mettre fin à son existance...



Merci Guidrion, maintenant il faut sauvé ce qui peut encore l'être...

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véro avais vu maxc en danger,elle se releve tant bien que mal,il fallais qu elle retire cette satané fleche,elle tira d un coup sec et serra les dents pour ne pas hurler et courrut vers maxc

merci guidrion

Au consulat alors...

Je sens l'attaque iminente j'y ai envoyer des hommes j'espere que cela sera suffisant
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Theophile comprit rapidement le plan pour éteindre l'incendie. Il alla rejoindre les villageois en leur montrant le conduit qui amenait l'eau plus près de la cathédrale. Il n'était pas connu, ni guerrier, mais un simple cultivateur qui tenait à son village.

Allez ! Reformez une seule ligne ici ! Tous ensemble !!!!

Il regarda les villageois se précipiter. Oui, le plan pourrait marcher... Il leva les yeux en direction du Consulat et partit au pas de course.

Rah-Xephon venait d'être remplacé aux seaux , exténué aprés plus d'une heure de lutte avec les flammes les voyant danser devant lui avec le temps la file l'avait pousser vers les flammes jusqu'a se retrouver en première ligne de feu , le seau a la main il n'hésitait plus les jetant les uns après les autres aussi fort qu'il pouvait sur les flammes , quand soudain une main l'agrippa et le sorti de cet enfer humain , il sorti noir de crasse et de suie , lui qui est dans cet état a la mine ...

Guidrion , encore lui , passa prés de Rah-Xephon ...

- Pas de croisade... Plus jamais. Plutôt mourir que de voir Lausanne subir le sort de Genève!

Aprés le feu , la guerre ...?

Rah-Xephon ne comprenait pas tout de ce qui se passait , sa bicoque était a deux pas de la cathédrale , il y passa et attrapa ce qui lui passa sous la main , sa pioche , il ressorti de chez lui et trouva Guidrion ...

Besoin d'aide ...?

Tess était inquiète... elle ne savait pas où était Vince. Elle était partie au Consulat pour tenter d'éteindre l'incendie mais s'était surtout occupée de Maxc et Véro qui étaient blessés. Elle revint vers la Cathédrale, elle s'arrêta, la stupeur et la tristesse se lisaient sur son visage.

Oh ! non !!!!!!! C'est trop tard.......

Elle secoua la tête, regardant autour d'elle, tout était désolation. Elle cherchait Vince du regard mais ne le voyait pas parmi la foule. Elle s'aventura dans les rues environnantes, vérifiant chaque corps qu'elle trouvait pour s'assurer que la personne était en vie mais elle ne voyait que des cadavres. Elle se sentait désemparée. Tant de vies.... tant de vies perdues.... Elle continua ses recherches.

Tess continuait ses recherches inlassablement. Elle s'avança dans un secteur où les incendies étaient plus nombreux, la fumée l'incommodait mais elle poursuivait sa quête. Celle-ci porta finalement fruit...

Vince était étendu inconscient. Elle s'agenouilla à ses côtés, la nuit était noire et le ciel empli d'une dense fumée. Elle le palpa et retira les mains de sa tête en les sentant poisseuses. Il avait dû recevoir un coup. Elle déchira un bout de sa chemise pour lui faire un bandage, regrettant de ne plus être dans l'échope du tisserand. La fumée l'ennuyait de plus en plus, elle toussa pour dégager ses poumons, se demandant comment elle pourrait les sortir de là.

Elle entendit des pas, des soldats hurlaient. Elle les interpella et l'un d'eux se dirigea dans leur direction leur donnant l'ordre d'évacuer. Tess réclama son aide :

Je vous en prie, aidez-moi, Vince est inconscient et le quartier flambe... Je ne peux le sortir seule... Vous trouverez le prime consul ainsi que Véro dans l'échoppe de tisserand face au Consulat... Faites vite ! Maxc a besoin d'un médecin.

Le soldat acquiesça à sa demande et l'aida à relever Vince puis donna des instructions à un de ses collègues, sûrement pour aller chercher le prime consul se dit-elle. Elle suivit le soldat jusqu'au rive du lac, épuisée et inquiète, se demandant si la ville ne subirait pas de nouvelles attaques au petit jour...

Meist était un de ses hommes qui devenaient imperturbable lorsque endormis. C'est seulement après que l'on ait cogné à plusieurs reprise à sa porte qu'il fini (enfin) par se lever. À son réveil, une odeur de fumer flottait dans l'air de sa chambre d'auberge et, instinctivement, il s'empressa d'ouvrir ses volets pour aérer un peu. Décrire sa réaction au moment où il réalisa la gravité de la situation serait impossible. Lausanne brûlait et lui avait rien trouvé de mieux à faire que de ronfler.

Il ne pu pas resté longtemps dans ses pensés, car le soldat qui tambourinait à sa porte le sommait de quitter les lieux et de se rendre au lac. Meist obéit, encore sous le choc.

Guidrion s'était finalement écroulé d'épuisement en dehors de la ville. A son réveil, il vit le sang qui tachait ses vêtements et ses mains. Ainsi, donc il n'avait pas rêvé.
Il leva les yeux et vit Lausanne encore partiellement la proie des flammes. Cendres et fumée emplissaient l'air. Il remarqua aussi que rien ne s'élevait là où se trouvait la clocher de la ville.
Il se leva avec difficulté et partit dans la cité. Ce qu'il y vit était pire que ce qu'il avait pensé et vu hier. Tant de maisons et de bâtisses avaient brulé...
L'auberge des réformés où il avait passé tant de bons moments était à terre.
Ce devait être l'œuvre de ces croisés... Il se souvint de cette charge folle qu'il avait mené avec ce mineur...
Il continua son chemin et tomba sur la cathédrale où tout avait commencé. Il avait entendu les cloches tomber alors qu'il venait d'achever le croisé qui l'avait chargé. Il ne restait plus grand chose de la cathédrale... Lorsqu'un clocher s'effondrait, il ne restait que rarement beaucoup à sauver...

- Mais qui? Qui?

Les teutoniques avaient combattus mais les assassins aux arcs en avaient tués aussi... Qu'est-ce ça voulait dire?
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"Per canto pacem feremus"
premier barde de la guilde des arts et camelot juré.

Humeur actuelle: En plein ressourcement

Lâchant son seau, voyant que rien ne pourrait plus être sauvé ...

Elle se décida à chercher de l'aide pour l'ouverture d'un hospital de fortune, il fallait sauver les gens qu'on pouvait encore sauver.

Elle croisa Tess, ma belle soeur, je suis rassurée de te voir ... Dis moi, où ouvrir un hospital et accueillir les blessés ?



Au presbytere, d'accord, alors je vais faire passer le message, y emmener les blessés et m'y rendre pour apporter mon aide.

Kinette revoyait ses enseignements médicaux, appris au couvent, hémorragie poser un garot ...

Elle se dit "mais j'aurais du être plus sérieuse et écouter attentivement au lieu de rêvasser à mon promis"

Bon je te laisse, fais attention à toi, on se revoit là bas...

Le Teutonique, le vrai, fit envoyer, depuis le lac, des pigeons pour déposer quelques affiches, près des maisons encore resistantes et non brulés...


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Maric Geoffroy de Montbazon-Navailles, Magenoir.
Bruder de l'Ordre Teutonique.
Enseignant Stagiaire du Séminaire Saint-Benoît.
Archidiacre du Diocèse de Lausanne.

Achara sortit de l'église, une odeur de cendre et de chaire brulé arriva aussitot à ses narine.
Il croisa Véro qui lui expliqua en deux mots ce qui ce passer et il ce mit a courir, il trouva Hélène qui chercha quelque explication.
Sas se soucier qu'il n'était plus soldat il se mit au gare vous.

Lieutenant général, caporal Munster, si je peux aider.
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Suivant de loin la tournée du Prime-consul tout en dirigeant les soldats pour l'aide aux citoyens, Sirji commençait à voir un peu la fin du cauchemar.

Au centre de la grande place, il convoqua ses officiers et fut rejoint par le Lieutenant-Général.

«Bon! Officiers, maintenant que tous les blessés sont sortis de la ville et sont regroupé au lac, il nous reste le travail le plus pénible qu'il soit: sortir les cadavre pour éviter une épidémie. Il faut que le tout soit complété avant le coucher du soleil.»
Regardant autour de lui toute la désolation...

«Sergent 1iere compagnie, vous prenez vos hommes et faites déplacez tout ce qui reste de blessé au lac à la cour intérieur de la caserne. Vous prenez charge de l'infirmerie pour les prochains jours.»

«Sergent 3 ième compagnie, placez vos hommes dans le périmètre de la caserne, le lac et la ville. Vous assurez la défense. Je ne veux voir aucun civile en ville le temps du nettoyage. Exception faites de tous les gens en autorités de la ville.»

«Sergent de la 2ième et 4 ième compagnie, vous avez le pire boulot. Vous enveloppez d'un drap blanc chacun de nos concitoyen mort et vous les enlignez à l'entrez du cimetière à l'extérieur de la ville. Soyez respectueux. Une cérémonie aura fort probablement lieu.»

«Messieurs, je vous sais fatiguer mais il nous reste encore à faire.»

Se retournant vers son supérieur; «L-G? Il nous reste du rhum je crois dans la réserve?»

«Sergent, prenez un de vos hommes et qu'il fasse une distribution de un verre à chaque soldat pour leur redonnez du courage. Et à chaque citoyens qui aidera à la corvée.»

«Rompez!»

Il resta là, sans dire un mot, au côté du Lieutenant-générale au centre de la place. De toute façon, aucun mot ne pourrait décrire ce qui venait d'arriver à Lausanne. Il dit tout bas à Helen

«Pourquoi Lausanne connaît toujours que guerre et malheur...

Continuant à suivre le Prime-consul de loin, il pensait à Géraldine et Evers qu'il n'avait point vu depuis son départ en pleine nuit, espérant que tout allait bien pour eux.
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Capitaine de l'ACL
Ex-Tribun de Lausanne
Prince heureux dans la montagne

Munster ne chercha pas a discuté, il regarda les hommes de la 4ème compagnie et s'avença.

Bonjour soldats, certain ne me connaissent pas, et c'est pas le moment des présentations.
Vous prennez tous des drats et en avent, pas un mot pendant le travail je ne serai pas d'humeur a entendre quoi que ce soit.
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il etais temps maintenant pour véro d aider a l enterrement des morts!elle respira un bon coup et partit,commença cette tache douloureuse et pesante,tous ces morts pour rien,elle soulevais les corps a laide des autres soldats,les mettais dans les chariottes recouvert d un drap blanc,tous ces hommes et ces femmes.....il y en avais trop,c etais insupportable et devais faire de gros effort pour ne pas pleurer,une seule chose la faisait tenir la rage,la rage de tout reconstruire!

continuant sa tache,elle entendit un long rale,elle se retourna regarda les soldats présent,non,aucun de blessé,tous continué,personne ne semblais avoir entendu,elle entreprit de soulever un homme et de le mettre dans la chariotte,quand a nouveau ce rale,elle se precipita vers l endroit d ou venait le bruit,"serais ce possible? serais ce possible?",c est le coeur battant a tout rompre qu elle s elanca,retira des cadavre,et la elle le vit,il etais blanc comme un linge,une blessure au flanc mais il l a regardé,oui il étais en vie,caché depuis tout ce temps sous des morts

soldat!! venez m aider!il y a un homme encore en vie ici!mal en point mais en vie!allons vite!

avec l aide du soldat acl,elle pris un drap bien solide le posa dessus et ils s en servir comme d une civiere,direction l infirmerie

Freng arriva av ec ses hommes, il avait manqué la bagarre, mais il allait quand même pouvoir aider à prendre les morts et à déplacer les débris.

Il commença immédiatement à séparer ses hommes en deux catégories. Celui qui avait une charette pour les morts et un autre qui avait deux charette pour le bois calciné.

Il alla aider son deuxième groupe. Il voulait commencer par superviser le ramassage de tout ce bois. Pour aider, il avait aussi pris ses deux Péouze. L'un avait pour mission de demander des instructions quant à l'emplacement où il fallait mettre les déchets et les débris. L'autre devait aller d'un groupe à l'autre pour que Freng coordonne le tout.

A force de retirer du bois mort, le maître d'arme et ses hommes finirent par trouver de pauvres villageois qui n'avaient pu s'enfuire. Ils étaient calcinés. parfois, il y avait une mère qui tenait son fils pour le protéger, même dans la mort. On voyait des visages qui prenaient toutes les souffrances du monde et qui parfois n'avaient plus un nez, une oreille ou d'autres choses encore qui avait dû se consummer durant ce terrible incendie.

Le travail était long et pénible. Il n'avait jamais connu ceux qui étaient morts, même si cela avait été le cas, il n'aurait pas pu le dire à cause de la difformité des visages. Les morts qu'il trouvait près des décombres, il les entassait un peu plus loin et envoyait Stupide avertire l'autre groupe qu'ils devaient aller prendre encore des morts.
Puis, à la surprise générale, on trouva une jeune femme qui, bien qu'en mauvais état, n'était pas morte. Alors, la maître d'arme appela pour que quelqu'un vienne s'occuper de cette dame.

"Vite, il me faut un médecin, il y a ici une femme qui est mourante!"

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