[RP]Une cité en flammes

Après avoir fait un tour de la ville, SirJi dû se contraindre. Sachant le maire blessé gravement, Les autre membre du sénat éparpillé dans la ville et plusieurs bâtiment en flamme, presque des quartiers complet. Son devoir de Capitaine l’appelais au devoir ; à partir de maintenant, il fallait sauver les Lausannois.


Sa ville brûlait, jamais il n’aurait cru !


Il regroupa les soldats qui étais avec lui et se résigna à donna l’ordre qui lui fendait le cœur


«SOLDAT ! LA VILLE EST EN FEU ! ÉVACUATION IMMÉDIATE. PASSEZ LE MOTS. Vous sortez tous les blessés avec l’aide des gens. Les mort reste sur place. Rapatriez le plus de soldat, je veux que les quartier en flamme soit évacué… Tous les habitant se retrouve sur les rives du Lac. MAINTENANT !»


Tous les soldats partirent dans tous les sens pour criez l’ordre d’évacuation de la ville.


Regardant autour de lui, Sirji ajouta pour lui ;


«Nous verrons à l’aube les pertes et ce que nous pourrons encore sauvez…»
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Capitaine de l'ACL
Ex-Tribun de Lausanne
Prince heureux dans la montagne

Tess continuait ses recherches inlassablement. Elle s'avança dans un secteur où les incendies étaient plus nombreux, la fumée l'incommodait mais elle poursuivait sa quête. Celle-ci porta finalement fruit...

Vince était étendu inconscient. Elle s'agenouilla à ses côtés, la nuit était noire et le ciel empli d'une dense fumée. Elle le palpa et retira les mains de sa tête en les sentant poisseuses. Il avait dû recevoir un coup. Elle déchira un bout de sa chemise pour lui faire un bandage, regrettant de ne plus être dans l'échope du tisserand. La fumée l'ennuyait de plus en plus, elle toussa pour dégager ses poumons, se demandant comment elle pourrait les sortir de là.

Elle entendit des pas, des soldats hurlaient. Elle les interpella et l'un d'eux se dirigea dans leur direction leur donnant l'ordre d'évacuer. Tess réclama son aide :

Je vous en prie, aidez-moi, Vince est inconscient et le quartier flambe... Je ne peux le sortir seule... Vous trouverez le prime consul ainsi que Véro dans l'échoppe de tisserand face au Consulat... Faites vite ! Maxc a besoin d'un médecin.

Le soldat acquiesça à sa demande et l'aida à relever Vince puis donna des instructions à un de ses collègues, sûrement pour aller chercher le prime consul se dit-elle. Elle suivit le soldat jusqu'au rive du lac, épuisée et inquiète, se demandant si la ville ne subirait pas de nouvelles attaques au petit jour...

Suivant l’ordre de son Capitaine, le soldat Gaspard se précipita dans les rues pour criez l’évacuation.

À un croisement de ruelle, il croisa Tess qui demandait de l’aide. Félix-Antoine, l’autre soldat qui étais avec lui s’occupa de l’homme au sol. Il le prit en poche de patate sur son épaule et ordonna à Tess de le suivre jusqu’au lac.

Gaspard se dirigea directement à l’échoppe que Tess avait désignée. Il se devait absolument de sortir le prime-consul de là. Il accrocha 3 autres soldats au passage et arriva à l’échoppe en question. Sans précautions, il défonça la porte et vit les blessés sur place. Prenant de pleine main le Prime-consul pour le mettre sur ses épaules et le sortir avec l’aide d’un autre soldat, un troisième aida Vero à sortir et les derniers aida les autres blessé qui s’était regroupé dans l’échoppe à fuir pour aller se réfugier au abord du lac.

Transportant le Prime-consul, des larmes de rage coulait sur le visage de Gaspard.

Meist était un de ses hommes qui devenaient imperturbable lorsque endormis. C'est seulement après que l'on ait cogné à plusieurs reprise à sa porte qu'il fini (enfin) par se lever. À son réveil, une odeur de fumer flottait dans l'air de sa chambre d'auberge et, instinctivement, il s'empressa d'ouvrir ses volets pour aérer un peu. Décrire sa réaction au moment où il réalisa la gravité de la situation serait impossible. Lausanne brûlait et lui avait rien trouvé de mieux à faire que de ronfler.

Il ne pu pas resté longtemps dans ses pensés, car le soldat qui tambourinait à sa porte le sommait de quitter les lieux et de se rendre au lac. Meist obéit, encore sous le choc.

Maxc c'était recoucher deux heures, mais son sommeil était bien trop agité, les choses à faire bien trop nombreuse pour rester sur place à dormir...

9h30 en voila une bonne heure pour se lever,
comme petit déjeuner un petit bout de pain laissé sur son lit et une cruche d'eau, ...

Il se leva bien décider à voir les dégats de ses propres yeux...
Soudain deux soldats lui barrèrent le chemin lui disant qu'il devait se reposer et qu'eux veilleraient sur lui...

Vous veillez sur moi, soit mais se sera en visitant Lausanne et sa population...

Il commença donc son tour, d'abord dans les blesser, puis chez les déplacers pour terminer dans la villes...

La cathédrale c'était effondrée, enfin pas toute juste une petite aile, celle qui joignait le presbytère qui lui avait entièrement bruler...
Par contre l'interrieur était presqu'entièrement calciné...

Le consulat ne tenait sur pieds que par miracle, mais tout avait bruler archives,dossier en cours tout...

L'auberge des Réformés et les quartiers réformés avaient eu encore moins de chance, très peu étaient ceux qui tenait encore debout...

Mais que venait faire ces moines soldats à crier à la croisade?
Des chevaliers Teutoniques Maxc en connaissait et aucun n'avait l'air de savoir qu'une Croisade se préparait, il avait vu l'évèque quelques jours avant lui non plus n'était au courant de rien...
Non assurément cette attaque était soit un coup monté, soit l'oeuvre de quelques fanatiques,...
On verra bien...

Enfin quoiqu'il en soit Lausanne a souffert, a plié mais surtout n'a pas rompu et même si ses cicatrices semblent profonde, à la réaction du peuple de Lausanne, il savait que bien vite tout aura disparut...

Il espérait que se serait pareil pour lui...
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Guidrion s'était finalement écroulé d'épuisement en dehors de la ville. A son réveil, il vit le sang qui tachait ses vêtements et ses mains. Ainsi, donc il n'avait pas rêvé.
Il leva les yeux et vit Lausanne encore partiellement la proie des flammes. Cendres et fumée emplissaient l'air. Il remarqua aussi que rien ne s'élevait là où se trouvait la clocher de la ville.
Il se leva avec difficulté et partit dans la cité. Ce qu'il y vit était pire que ce qu'il avait pensé et vu hier. Tant de maisons et de bâtisses avaient brulé...
L'auberge des réformés où il avait passé tant de bons moments était à terre.
Ce devait être l'œuvre de ces croisés... Il se souvint de cette charge folle qu'il avait mené avec ce mineur...
Il continua son chemin et tomba sur la cathédrale où tout avait commencé. Il avait entendu les cloches tomber alors qu'il venait d'achever le croisé qui l'avait chargé. Il ne restait plus grand chose de la cathédrale... Lorsqu'un clocher s'effondrait, il ne restait que rarement beaucoup à sauver...

- Mais qui? Qui?

Les teutoniques avaient combattus mais les assassins aux arcs en avaient tués aussi... Qu'est-ce ça voulait dire?
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"Per canto pacem feremus"
premier barde de la guilde des arts et camelot juré.

Humeur actuelle: En plein ressourcement

Kinette avait passé une nuit des plus reposantes, occupée à admirer Archille endormi.
Aussi, de bonne humeur, elle se rendait au marché ...
L''odeur, l'horreur de corps éparpillés, des cris, des flammes ...

Elle courut vers le village et un peu éberluée, saisit un seau et se mit dans la chaîne pour éteindre les flammes ...

Mais que se passe t'il ????

Lâchant son seau, voyant que rien ne pourrait plus être sauvé ...

Elle se décida à chercher de l'aide pour l'ouverture d'un hospital de fortune, il fallait sauver les gens qu'on pouvait encore sauver.

Elle croisa Tess, ma belle soeur, je suis rassurée de te voir ... Dis moi, où ouvrir un hospital et accueillir les blessés ?



Au presbytere, d'accord, alors je vais faire passer le message, y emmener les blessés et m'y rendre pour apporter mon aide.

Kinette revoyait ses enseignements médicaux, appris au couvent, hémorragie poser un garot ...

Elle se dit "mais j'aurais du être plus sérieuse et écouter attentivement au lieu de rêvasser à mon promis"

Bon je te laisse, fais attention à toi, on se revoit là bas...

Arrivant aux alentours de la Ville au petit matin, Karl fit stopper net sa monture. Bouche bée, il contempla la Ville aux 2/3 détruites..
Se demandant ce qui avait bien se passer, il fit galoper son cheval jusqu'à pénétrer au sein de la Cité. Là il apperçut des corps calcinés comme pourfendus, voir transpersés d'une ou plusieurs flèches..

Il déambula dans la Ville sans mot dire, toujours sous le choc.. Il entendit à un moment un long râle. Il tourna la tête sur sa gauche et apperçut un jeune garçon en piteux état..

Il mit pied à terre et courrut vers lui. S'agenouillant à ses côtés, il le prit par le col et lui demanda alarmé Que s'est-il passé ici ?!? Le jeune garçon, encore conscient de moitié lui conta brièvement les évènements de cette tumultueuse nuit.

Apprenant tout ceci, il le lâcha et s'assit dépité à ses côtés. Posant une main sur sa tête, le visage horrifié, il se demanda où se trouvaient les survivants, pour peu qu'il y en avait.. Il se retourna ensuite rapidement et, ouvrant la chemise du jeune garçon, il se mit à chercher l'endroit où celui-ci était blessé afin de voir s'il pouvait lui prodiguer des soins. Mais alors qu'il cherchait fievreusement, les yeux du garçon se révulsèrent et son corps se mit à s'agiter violement.

Karl le lâcha et la seconde suivante, le corps du garçon s'immobilisa, et celui-ci passa de vie à trépas..

Toujours à terre, il s'éloigna du corps et se remit ensuite debout. Remontant sur son cheval, il le lanca au galop, tentant de retrouver les survivants. Ceux-ci se seront sûrement réfugiés près d'un point d'eau.
Il galopa donc vers le lac, empruntant le chemin qui menait aux bâtiments de la Compagnie, rageant autant contre les Lions que contre les Croisés ou encore contre ceux qui n'avaient su prévoir les défences nécéssaires face à un ennemi de l'intérieur.. INCAPABLES!! hurla t'il à l'intention de ceux ne sûrent utiliser le pouvoir que le peuple leur avait confié..
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Ex beaucoup de choses.
Gouverneur de la CHC.

Le Teutonique, le vrai, fit envoyer, depuis le lac, des pigeons pour déposer quelques affiches, près des maisons encore resistantes et non brulés...


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Maric Geoffroy de Montbazon-Navailles, Magenoir.
Bruder de l'Ordre Teutonique.
Enseignant Stagiaire du Séminaire Saint-Benoît.
Archidiacre du Diocèse de Lausanne.

Hélène venait de mettre son bébé au monde et se tenait dans son refuge pour s'y reposer quand un pigeon vint se poser sur sa fenetre lui annonçant que la ville brulait
Confiant ses fils et sa petite fille à la nourice ,Hélene sortit son étalon Athos et descendit a la ville voyant les flammes s'élevée dans le ciel et s'aprocha des gens qui couraient partout et descendit de cheval

Que se passe t'il ici? ou emmene t'on les blessés je vais vou aider
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Lieutenant Général de l'ACL
Maman de 3 magnifiques garçons
Raoul ,Appolon,Tristan
et d'une petite fille Leila

Achara sortit de l'église, une odeur de cendre et de chaire brulé arriva aussitot à ses narine.
Il croisa Véro qui lui expliqua en deux mots ce qui ce passer et il ce mit a courir, il trouva Hélène qui chercha quelque explication.
Sas se soucier qu'il n'était plus soldat il se mit au gare vous.

Lieutenant général, caporal Munster, si je peux aider.
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Maxc avait terminé son tour de la ville, plus rien ne serait comme avant...
Le nombre de cadavre étaient important, et il fallait surtout en cette chaleur les enterrer au plus vite...

Maxc prit donc l'initiative d'organisé au plus vite, une grande cérémonie à la mémoire des morts...

Il fallait aussi au plus vite rassurer les citoyens et les encourager à tout reconstruire...
Car une ville ce n'était pas quelques bâtiments mais bien la population...
Et celle ci quoi que bien éprouvée ne pouvait être abattue par quelques assassins...

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Suivant de loin la tournée du Prime-consul tout en dirigeant les soldats pour l'aide aux citoyens, Sirji commençait à voir un peu la fin du cauchemar.

Au centre de la grande place, il convoqua ses officiers et fut rejoint par le Lieutenant-Général.

«Bon! Officiers, maintenant que tous les blessés sont sortis de la ville et sont regroupé au lac, il nous reste le travail le plus pénible qu'il soit: sortir les cadavre pour éviter une épidémie. Il faut que le tout soit complété avant le coucher du soleil.»
Regardant autour de lui toute la désolation...

«Sergent 1iere compagnie, vous prenez vos hommes et faites déplacez tout ce qui reste de blessé au lac à la cour intérieur de la caserne. Vous prenez charge de l'infirmerie pour les prochains jours.»

«Sergent 3 ième compagnie, placez vos hommes dans le périmètre de la caserne, le lac et la ville. Vous assurez la défense. Je ne veux voir aucun civile en ville le temps du nettoyage. Exception faites de tous les gens en autorités de la ville.»

«Sergent de la 2ième et 4 ième compagnie, vous avez le pire boulot. Vous enveloppez d'un drap blanc chacun de nos concitoyen mort et vous les enlignez à l'entrez du cimetière à l'extérieur de la ville. Soyez respectueux. Une cérémonie aura fort probablement lieu.»

«Messieurs, je vous sais fatiguer mais il nous reste encore à faire.»

Se retournant vers son supérieur; «L-G? Il nous reste du rhum je crois dans la réserve?»

«Sergent, prenez un de vos hommes et qu'il fasse une distribution de un verre à chaque soldat pour leur redonnez du courage. Et à chaque citoyens qui aidera à la corvée.»

«Rompez!»

Il resta là, sans dire un mot, au côté du Lieutenant-générale au centre de la place. De toute façon, aucun mot ne pourrait décrire ce qui venait d'arriver à Lausanne. Il dit tout bas à Helen

«Pourquoi Lausanne connaît toujours que guerre et malheur...

Continuant à suivre le Prime-consul de loin, il pensait à Géraldine et Evers qu'il n'avait point vu depuis son départ en pleine nuit, espérant que tout allait bien pour eux.
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Capitaine de l'ACL
Ex-Tribun de Lausanne
Prince heureux dans la montagne

De retour de Fribourg, ayant passé quelques jours en compagnie de ses amis.
Edwige, souriante, chantonnais sur le chemin, marchant d'un pas allègre dans la fraicheur du petit matin, heureuse de retrouver sa ville et les amis qu'elle y avait.

Une odeur de acre brûlé la saisit a la gorge d'où cela peut il venir? il est bien trop tôt pour que les paysans allument leurs brûlots... au détour du chemin une vision d'horreur s'imposa.

Lausanne fumante ! en ruine! Saisie de stupeur elle s'arrête net cligne des yeux pour être bien sûre de sa vision, qu'est-ce que... Mais que c'est il passé? Finissant le trajet en courant, elle passe bientôt les portes de la ville.
Ses yeux ne l'avaient pas trompée, des ruines fumantes des morceaux de bois noircis partout où son regard se porte, ruine et désolation ...
Le peu de maisons encore debout noircies de suie, ça et là des habitants fouillent les décombres cherchant sans doute quelque ustensiles ou biens qui auraient miraculeusement échappé au désastre.
le bruit d'une charrette, accompagné de gémissements, elle se retourne on transporte un homme blessé ... cours auprès du conducteur essayant de se faire entendre mais celui ci pressé ne lui réponds que par un hochement de tête ou se lit tout le désarroi possible.

Suit la charrette Au moins peut être que je pourrais me rendre utile...mais qu'a t-il bien pu se passer?

En passant elle remarque un tout petit enfant qui hurle assis au milieu de la rue, personne ne semble s'intéresser a ce bambin. Elle s'en approche, regarde la direction prise par la charrette. bon il vas vers le lac ils ont dû rassembler les blessés la bas

allons petit viens on vas trouver tes parents le prends dans ses bras se relève crie A qui est cet enfant ?

Elle attends un instant, le peu de personnes présente la regarde d'un oeil morne puis reprends son activité
bon allez je t'emmène on verra ça ... le petit la regarde puis se remet a pleurer,
bon sang de bois! j'y connais rien en bébé moi ...ah tiens il as peut être faim
repose l'enfant qui hurle de plus belle prends dans son sac un morceau de fromage de gruyère le lui tends le petit l'attrape et sans attendre le porte a sa bouche, le suce.
bon déjà me voilà tranquille de ce point de vue. elle reprends l'enfant le cale sur sa hanche, prends la direction du lac.
Plus elle progresse et plus de maison sont touchées. Des corps gisent au sol que deux hommes ramassent et jettent pèle mêle dans un charroi a bras.
En passant devant eux, elle se signe et adresse une prière muette au très haut pour le salut de leurs âmes. bientôt elle arrive sur les berges du lac ou une intense activité règne.
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