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[RP] L’âme de Châteauroux ou la visite surprise.

Zoyah
Après quelques brasses en charmante compagnie, la tisserande qui avait eu le loisir d’admirer son compagnon dans toute sa virilité, tâchait de garder une distance de sécurité. Non pas qu’il était dangereux, bien au contraire, mais les Thermes étaient loin d’être l’endroit pour s’épancher joyeusement et surtout chaudement. Et c’est bien ce qui lui trottait dans l’esprit à ce moment précis. Ils poursuivraient donc leur discussion, en évitant d’évoquer quelques fantômes du passé et si possible de se frôler.

Cependant, l’après-midi était déjà bien avancé et le bassin s’était vidé progressivement. Ils étaient enfin seuls.

Profitant d’un moment d’inattention de la demoiselle, Ashlaan se pressa rapidement contre son corps et fit courir ses lèvres le long de la courbe de ses épaules nues. Ressentant au plus près de son antre, la passion intense du jeune homme, elle tenta de le repousser doucement. Vaine tentative, démarche illusoire lorsqu’on est soi-même ivre de désir. Zoyah luttait dérisoirement contre ce violent et ardent sentiment qui la poussait à rechercher la jouissance avec celui qu’elle aime. Il insiste avec douceur, appuie plus fortement ses mains viriles contre le postérieur moelleux de sa compagne afin de la sentir au plus près de lui. Aucune parole échangé mais des baisers entrecoupés de soupires et de souffles rauques signifiant que les préliminaires étaient déjà bien entamés. Les mains d’Ashlaan n’ont de cesse d’explorer le corps de la donzelle, se décollant d’elle afin de vérifier l’humidité ambiante d’une intrusion provocante, lui arrachant alors quelques gémissements étouffés.
Presqu’instinctivement la Castelroussine plaça une de ses jambes autours de la taille d’Ashlaan tandis qu’elle laissait ses mains errer sur les épaules de son amant et s’y agrippait avec fermeté. Par ce geste, elle répondait à ces sollicitations et l’invitait à glisser en elle.

Ce qui va se passer ensuite, ne peut être décrit sans provoquer de trop vives émotions chez vous, cher lecteur. Alors pendant qu’Ashoushou s’en paye une bonne tranche et il faut avouer que c’est bien mérité. Parce qu’à force de lui coller ses miches sous le nez et de « Vas-y que tu peux les palper mes melons, c’est 100 % naturel »….et de « Rrhhoooooooo comme vous êtes impressionnaannnnt….huhuhu », le pauvre a la mitraillette chargée à bloc et ce, devant presque tout le monde ! Enfin, devant vous en tout cas. Je disais donc, pendant que les deux tourtereaux font plus profondément connaissance, je vais vous narrer les joies de la piscine. Passionnant n’est-ce pas ?

L’été c’est formidable lorsque vous habitez la cambrousse, dans une commune d’à peine 3000 âmes car vous allez à la piscine municipale. Un bassin Olympique de hum …30 mètre sur 15 environs…une profondeur allant de 1 m jusqu’à 2 mètres !...un petit bassin ou pataugeoire…des douches datant de Mathusalem qui selon si vous avez de la chance vous ébouillanteront ou vous congèleront sur place. Donc après être passé au vestiaire, remis le petit panier avec vos vêtements à la guichetière qui, par le plus grand des hasards est également la cantinière en période scolaire, vous pénétrez dans l’antre du plaisir aquatique. Serviette sous le bras, vous choisissez « the very best off » des endroits où poser vos fefesses. Celui ou vous pouvez mater le maitre-nageur, où vous êtes bien au soleil mais pas trop près du bord afin de ne pas être éclaboussé par l’hippopotame de service ou la colonie de vacances. Une fois fait, hop ! On installe sa serviette, bien à plat et son petit sac contenant quelques pièces pour aller à la buvette et votre livre de mots-fléchés. Vous vous approchez alors du bain et tâtez l’eau de vos petits petons…aaarrrhhhhhhhhhgghhhhhhh…c’est gelé !!! Et oui, souvent il faut un temps d’adaptation, surtout que plus la différence de température entre l’eau et l’air est importante, et plus c’est difficile d’y rentrer. Bon…vous décidez d’attendre un peu et de vous étendre sur votre serviette. Au bout de 20 minutes où vous comatez, couché sur votre drap de bain, vous entendez des ricanements. Vous levez alors les yeux sur ce qui semblerait être un groupe d’ado mâles attardés. Mince ! Vous avez raté votre épilation du maillot et ça les fait marrer ces crétins ! Vous changer de position mais ils continuent à rire grassement. Hum ?...ah bah forcément, ce n’est pas de vous qu’ils se moquent mais d’un gars qui s’est endormi sur sa serviette et dont une partie du service trois-pièce dépasse du maillot…oufffffffffff !
Bon…je jette un coup d’œil pour voir où ils en sont nos deux lascars…ah ! Mais ils sont déjà partis…fichtre ! C’est des rapides ou alors je parle vraiment beaucoup ?!

Ils se retrouvèrent à l’accueil, les yeux encore fiévreux de leur ébats. Personne de les avait vu, personne de les avait entendu. Ils avaient cédé à leur pulsion mais ne se sentaient pas rassasiés pour autant. Lorsque leurs deux corps s’étaient défais l’un de l’autre, le beau Magyar avait évoqué la possibilité de lui faire découvrir des plaisirs exotiques qu’il avait expérimenté ici et là. Curieuse de découvrir ce qu’était la brouette espagnole ou la chevauchée fantastique et bien d’autres noms qui sonnait étrangement à son oreille, elle s’était revêtue en hâte. Galant homme s’il en est, il s’était même assuré que la demoiselle n’aurait pas le lendemain à devoir être assise toute la journée à son bureau, tant il est vrai qu’elle aurait du mal à conserver cette position.

Il la tenait par la main et la tira rapidement à l’extérieur afin de….vous n’avez qu’à deviner !

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