Cajoline22
"Renoan
Renoan
"
Elle se répétait en pensée le prénom de son bien aimé, comme une planche de salut face à la situation dhorreur quelle vivait, comme un appel au secours qui narriverait jamais ses larmes coulaient de ses yeux fermés, elle narrivait pas à les retenir
Il était sur elle, la maintenait, la caressait essayer de ne rien ressentir, de ne pas penser à ce quil lui faisait .elle essayait de toute son âme, de tout son cur mais elle ny arrivait pas, elle tremblait incapable de sarrêter, et soudain, une douleur sous son oreille et cette voix dure, froide qui lui sembla résonner entre les murs de la cabane vide.
Pourquoi ? Pourquoi ça lui arrivait à elle ? Elle avait déjà bien assez souffert plus jeune pourquoi ce sadique sen prenait-il à elle ? Pourquoi donc nétait-elle tout simplement pas restée dans la taverne ? Pourquoi avait-elle eu ce fichue besoin de prendre lair ?
Les mots de son père, ceux quil lui disait lorsquelle était plus jeune, revenaient du fond de sa mémoire, répondant à ses questions comme un glas annonçant sa mort : " cest ta faute ce qui tarrive, tu las cherché, tu nas que ce que tu mérites."
Dans les yeux noirs, froids et diaboliques de Rifkin, elle voyait sa mort prochaine, cet homme était fou et ça la paniquait.
Et soudain, une douleur plus intense le long de son cou qui irradiait intensément, elle cria de douleur, mais ce ne fut quun petit son qui sortit de sa bouche, une boule au fonds de sa gorge avait étouffé son cri.
Elle le voyait à travers ses larmes de douleur et de peur, il se penchait sur son cou, et il y lécha le sang quil venait de faire couler "Oh Mon Dieu" pensa-t-elle, lhorreur, elle vivait une horreur refermer ses yeux pour ne plus le voir.
Ce nétait que le début, que le début de son calvaire, elle en prenait pleinement conscience et, en même temps, la lumière se fit en elle : elle ne voulait pas vivre ça, elle ne voulait pas subir ça plus longtemps, elle préférait mourir elle allait mourir alors autant que ce soit rapidement, sans la torture quil voulait lui faire subir de toute manière personne ne savait quelle était là, Renoan la croyait encore en bas à discuter avec Enored personne ne viendrait la sauver elle avait respecté sa promesse de ne pas séloigner et elle se retrouvait tout de même là Quil la tue maintenant ! Elle allait faire ce quil fallait pour ça.
Vous vous êtes dégoutant, répugnant, vous êtes même pas un homme, vous êtes quun fou, une bête un lâche jsuis sure qumême votre mère vous a jamais aimé vous êtes immonde vous valez rien vous êtes bon à rien vous valez moins quun animal
Sa voix bien quau début hésitante sétait raffermie au fur et à mesure quelle parlait, on pouvait y entendre le dédain, le dégout, la haine, la peur quelle éprouvait.
Et cela eut leffet escompté, plus quelle ne laurait cru car ce fut les yeux révulsés de rage, quil se jeta sur elle pour létrangler. Il serrait, serrait et instinctivement elle commença à se débattre, son instinct de survit lui criait quelle ne voulait pas mourir, mais elle savait quelle allait mourir et laissa ses mains retomber au sol, attendant que la mort rapide quelle désirait arrive. Elle avait mal, lair lui manquait, elle étouffait mais tendait les bras vers cette mort bien plus douce que la vie.
Elle commençait à sombrer, puis de nouveau il y eut de lair, une respiration difficile, puis deux elle était toujours vivante, et une gifle violente sabattit soudainement sur elle.
Devant ses yeux, la dague quil faisait miroiter, dans les yeux couleurs nuits, la rage, la haine quelle voyait, la pétrifièrent, tandis que de sa voix dure il lui fit ce qui ressemblait à une promesse :
Tu vas me payer cet affront ma jolie, tu vas apprécier ce que je te réserve.
Elle naurait donc pas une mort rapide, il allait la faire plier, lui faire mal, la faire souffrir, jusquà ce quelle le supplie darrêter et même en suppliant encore, il continuerait encore jusquà assouvir ses instincts les plus bas
Et lorsquil commença de la pointe de sa lame à faire une petite entaille sur le haut de sa poitrine, elle réalisa que mourir sous les coups de son père aurait peut être été mieux au final
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Elle se répétait en pensée le prénom de son bien aimé, comme une planche de salut face à la situation dhorreur quelle vivait, comme un appel au secours qui narriverait jamais ses larmes coulaient de ses yeux fermés, elle narrivait pas à les retenir
Il était sur elle, la maintenait, la caressait essayer de ne rien ressentir, de ne pas penser à ce quil lui faisait .elle essayait de toute son âme, de tout son cur mais elle ny arrivait pas, elle tremblait incapable de sarrêter, et soudain, une douleur sous son oreille et cette voix dure, froide qui lui sembla résonner entre les murs de la cabane vide.
Pourquoi ? Pourquoi ça lui arrivait à elle ? Elle avait déjà bien assez souffert plus jeune pourquoi ce sadique sen prenait-il à elle ? Pourquoi donc nétait-elle tout simplement pas restée dans la taverne ? Pourquoi avait-elle eu ce fichue besoin de prendre lair ?
Les mots de son père, ceux quil lui disait lorsquelle était plus jeune, revenaient du fond de sa mémoire, répondant à ses questions comme un glas annonçant sa mort : " cest ta faute ce qui tarrive, tu las cherché, tu nas que ce que tu mérites."
Dans les yeux noirs, froids et diaboliques de Rifkin, elle voyait sa mort prochaine, cet homme était fou et ça la paniquait.
Et soudain, une douleur plus intense le long de son cou qui irradiait intensément, elle cria de douleur, mais ce ne fut quun petit son qui sortit de sa bouche, une boule au fonds de sa gorge avait étouffé son cri.
Elle le voyait à travers ses larmes de douleur et de peur, il se penchait sur son cou, et il y lécha le sang quil venait de faire couler "Oh Mon Dieu" pensa-t-elle, lhorreur, elle vivait une horreur refermer ses yeux pour ne plus le voir.
Ce nétait que le début, que le début de son calvaire, elle en prenait pleinement conscience et, en même temps, la lumière se fit en elle : elle ne voulait pas vivre ça, elle ne voulait pas subir ça plus longtemps, elle préférait mourir elle allait mourir alors autant que ce soit rapidement, sans la torture quil voulait lui faire subir de toute manière personne ne savait quelle était là, Renoan la croyait encore en bas à discuter avec Enored personne ne viendrait la sauver elle avait respecté sa promesse de ne pas séloigner et elle se retrouvait tout de même là Quil la tue maintenant ! Elle allait faire ce quil fallait pour ça.
Vous vous êtes dégoutant, répugnant, vous êtes même pas un homme, vous êtes quun fou, une bête un lâche jsuis sure qumême votre mère vous a jamais aimé vous êtes immonde vous valez rien vous êtes bon à rien vous valez moins quun animal
Sa voix bien quau début hésitante sétait raffermie au fur et à mesure quelle parlait, on pouvait y entendre le dédain, le dégout, la haine, la peur quelle éprouvait.
Et cela eut leffet escompté, plus quelle ne laurait cru car ce fut les yeux révulsés de rage, quil se jeta sur elle pour létrangler. Il serrait, serrait et instinctivement elle commença à se débattre, son instinct de survit lui criait quelle ne voulait pas mourir, mais elle savait quelle allait mourir et laissa ses mains retomber au sol, attendant que la mort rapide quelle désirait arrive. Elle avait mal, lair lui manquait, elle étouffait mais tendait les bras vers cette mort bien plus douce que la vie.
Elle commençait à sombrer, puis de nouveau il y eut de lair, une respiration difficile, puis deux elle était toujours vivante, et une gifle violente sabattit soudainement sur elle.
Devant ses yeux, la dague quil faisait miroiter, dans les yeux couleurs nuits, la rage, la haine quelle voyait, la pétrifièrent, tandis que de sa voix dure il lui fit ce qui ressemblait à une promesse :
Tu vas me payer cet affront ma jolie, tu vas apprécier ce que je te réserve.
Elle naurait donc pas une mort rapide, il allait la faire plier, lui faire mal, la faire souffrir, jusquà ce quelle le supplie darrêter et même en suppliant encore, il continuerait encore jusquà assouvir ses instincts les plus bas
Et lorsquil commença de la pointe de sa lame à faire une petite entaille sur le haut de sa poitrine, elle réalisa que mourir sous les coups de son père aurait peut être été mieux au final
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