Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9   >   >>

[RP] L'Auberge " A la Belle Endormie"

--Narrateur
Ils sillonnèrent les rues toutes la journées comme de simples voyageurs profitant d’une belle journée pour se changer les idées. Il déjeunèrent longuement à la Castillonaise, observant les allers et venues des passants en sirotant leur lait de chèvre, attablés près de la fenêtre. Castillon s’était hissé au rang de carrefour économique depuis que les vignes avaient recouvert ses coteaux, et la ville attirait désormais de nouveaux métiers. Là des charpentiers cerclant leur tonneaux, ici des marchands de raisins haranguant la foule pour écouler leur stock, plus loin des négociants en vin, richement vêtus, le livre de compte à portée de main, avec le plus souvent un garde du corps au visage rougeaud en guise d’enseigne. Les acheteurs eux aussi inondaient les rues, des plus expérimentés aux plus novices, comme ce drôle de couple tout droit sortit d’une étable et qui semblait aussi bon dans ce métier qu’un évêque à la pêche au thon. Tous papillonnaient d’un étal à l’autre, discutant le bout de gras, s’offusquant de façon outrancière ou riant de bon cœur, et finissaient par taper la main du vendeur après d’interminables palabres, signe que la transaction était enfin conclue.

Les deux hommes restèrent quasiment silencieux toute la journée, ne parlant que par des hochements de tête et des gestes nonchalants. De temps en temps, Enguerrand se penchait vers Tranchelune et murmurait quelques mots à son oreille mais là se limitèrent leurs discussions. Ils laissèrent le jour se traîner lentement, profitant du soleil clément et de la douce tiédeur de ce mois de Septembre, oubliant les bruits de la foule, le cri des roues de charrettes sur les pavés, et les odeurs d’ammoniaque refoulant des caniveaux.

Le soir venu, ils retournèrent à la Belle Endormie après avoir dîné Au Chat qui se Trémousse et séché un dernier verre à la Bottine Souriante. A l’intérieur, Nestor trônait toujours derrière son bar, surveillant d’un œil distrait les quelques convives attablées. A proximité de l’entrée, un ménestrel sans âge, feutre à plume de pintade et costume moulant, accordait son crin-crin. Arrêté sur le seuil en pierre, Enguerrand les survola du regard avec autant de dédain que s’il regardait un champs de betteraves. Tétanisé, le musicien laissa un fa dièse en suspend, archer tendu, corde pincée.


Va Tranchelune, profite un peu de la ville. Je n’ai plus besoin de toi ce soir. lança t’il à demi-voix.

Le garde du corps inclina la tête et disparu aussitôt. Enguerrand se dirigea vers l’escalier donnant accès au premier étage et tout en montant quelques marches lança au majordome.

J’ai encore du travail ce soir et ne veut pas être dérangé.

A défaut de merci, son pas s’accéléra, résonna jusqu’à sa chambre et mourut sous le claquement sec d’une porte et le crissement métallique d’un verrou.

Ecumedesmers
Ecume des mers dont le caractère teigneux ressortait souvent, souhaitait absolument prendre la température de la taverne de "la belle endormie".

Elle pénétra dans la taverne étrangement calme.

Elle choisit une table dans le fond, prit une chaise et s'assit.

Rien à voir avec l'ambiance exécrable de l'autre jour.

Toute cette affaire autour de cette disparition aiguisait sa curiosité désireuse de pouvoir s'immiscer.

Mais pour cela il fallait que quelqu'un la mette au parfum.

Pourquoi, où, et comment cet homme avait il disparu, pour avoir les réponses à ses questions et l'autorisation de s'investir dans cette affaire curieuse elle alla voir son Major Dragones.

Elle lui avait expliqué que deux hommes étaient arrivés en ville pour une histoire de testament, elle n'y croyait pas trop.

Autorisation lui en avait été donnée de s'investir mais de façon prudente.

Lui demander d'être prudente équivalait à retirer le sein à un bébé affamé.

Comment allait elle procéder ? Par quoi fallait il commencer ?

Par ses proches bien sûr !


Elle sortit prestement de la taverne pour aller chercher la maison de la fameuse Robinus, femme du cher disparu.
Rozzena
Rozzena poussa la porte de la taverne. Une odeur de bière et pain flotaient dans l'air.

Elle regarda autour d'elle, c'etait la première fois qu'elle venait dans un tel lieu. Elle scruta la salle, afin de voir s'il y avait des visages connu.

N'y apercevant personne, elle alla s'assoir a une table.
--Philibert.
Philibert entrait dans la taverne afin d'y rencontrer son cousin Nestor ..
Dame Kahhlan repartait encore sur les routes .. et lui même si son coeur était partagé entre rester aux cotés de Dame Patience qu'il avait appris à connaître à chacun de ses retours, il ne se résoudrait pas à la laisser voyager seule ..

Personne au bar ..
Tiens ! Il doit être au ravitaillement ...et bé la clientèle devait être rudement assoiffée ..

Il passa derrière le comptoir et s'offrit tout de même une bonne rasade de mirabelle.

Ah bin j'ai bien fait de la planquer celle là !!!
bon c'est pas tout ça mais il faut que je lui écrive au cousin ..




Mon cher Cousin,

J'imagine que depuis ton arrivée ici, tu as du te familiariser avec le pays .. rien de comparable avec Périgueux et mon ancien hôtel n'est-ce pas ?
J'aurai bien aimé te saluer de vive voix , te remercier surtout !!
N'oublies pas de compter tes heures , dame Kahhlan se fera un plaisir de te porter ta solde au retour et si tu es dans la gêne, tu pourras toujours lui écrire ..
La voilà repartie sur les routes avec un peu moins de bagages cette fois ! Elle commence peut être à prendre pitié de mon dos ..

Au cas où tu aurais envie de vadrouille, ferme la boutique ou trouve une aimable tavernière tient ! Ça changera de nos vieilles carcasses !

Au plaisir de te revoir Nestor, et portes toi bien .

Ton cousin Philibert.

Il accrocha le mot sur le meuble à clés .. s'enfila une nouvelle rasade de goutte et sortit rejoindre la carriole ..
Opusone
Opus, Sibille et Winbill avaient choisi d'aller passer quelques jours à l'auberge plutôt que de rester dans la roulotte.
Sibille aimait de temps à autre le confort d'une auberge.

Certes, ils auraient pu rester chez Dragones et Seamus qui les avaient si gentiment hébergés lors de leur dernier voyage et qui leur avaient à nouveau proposé de les accueillir dans leur demeure.

Certes, ils auraient pu placer leur roulotte à côté du campement que Inmakh et Grantrol avaient installé au bord du lac. Mais le besoin de confort était le plus grand. Ils voyageaient depuis près de 6 mois dans la roulotte.

L'auberge de "La belle endormie" portait bien son nom. Opus avait laissé Sibille et Winbill chez Dragones. Arrivé à l'auberge, il dû frapper à la porte un long moment sans qu'âme qui vive réponde.
Aprsè un long moment, il avait pris l'initiative d'entrer. Sur le comptoir, il y avait une bouteille de mirabelle entamée. Sur le meuble à clé une missive qu'il se permit de parcourir.


Bon !! Visiblement les patrons sont absents et laissent l'auberge au bon soin du dénommé Nestor.
Que faire ???


Opus hésita un moment. Il décida de goûter la mirabelle. Le Sire Nestor n'était toujours pas arrivé que la bouteille de mirabelle était vide.
_________________
Les aventures de Sibille et Opus: http://forum.rp.non-off.rr.xooit.fr/f25-Duche-du-Bourbonnais-Auvergne.htm
Sibille
Elle était restée un peu chez Dragones et Seamus pour régler le problème des bètes à mettre à l’enclos et avait décidé avec Winbill et Barack de marcher tranquillement dans les rues de Castillon pour s’imprégner de l’atmosphère. Pour voir où se trouvait cette auberge dont elle avait entendu parler. On lui avait dit qu’il y avait eu un changement de propriétaire. Elle, elle s’en moquait, du moment qu’elle trouvait deux chambres côte à côte dont une avec un grand lit confortable et une grande baignoire pour s’y prélasser, le reste n’était pas important.

Elle entra donc dans l’auberge contente d’avoir fait cette petite promenade qui l’avait totalement rassuré sur le calme du quartier et vit son tendre Opus, accouder au comptoir, le chapeau tombé sur les yeux, une bouteille vide près de lui qui à l’odeur était d’alcool fort.

Elle s’approcha doucement de lui en mettant un doigt sur sa bouche pour son fils et mis une petite pichenette au chapeau qui ne tenait que très peu et qui tomba sur le nez d’Opus.


Ben alors mon tendre, tu n’as pas trouvé de lit ? Tu dors ici ? sur le comptoir..
_________________
Opusone
Opus se réveilla en sursaut.

Heueueu !! Je crois que je me suis endormi en attendant l'aubergiste.

Opus remit son chapeau, regarda Sibille et Win en souriant

La mirabelle de cet endroit est excellente, faudra que tu la goûtes un de ces jours Sibille.

Je crois qu'on va quand même occuper les lieux avant que l'aubergiste ne revienne. Il y a des chambres à l'étage et la cuisine est ouverte.
La propriétaire est absente et son gérant aussi. Ils ont laissé un mot pour un cousin sensé venir tenir l'auberge. Mais ce cousin Nestor, je ne l'ai pas encore aperçu.
Dame Kahhlan la propriétaire ne nous en voudra pas si on s'installe déjà, je me rappelle d'elle comme quelqu'un d'agréable dont nous avions fait la connaissance l'an dernier.

_________________
Les aventures de Sibille et Opus: http://forum.rp.non-off.rr.xooit.fr/f25-Duche-du-Bourbonnais-Auvergne.htm
Sibille


Le jour de leur arrivée

Oui, je veux bien goûter cette mirabelle, si tu m’en laisses un peu mon tendre. Elle lui fit un sourire malicieux et le regarda se remettre de sa sieste forcée.

Et puis si tu es fatigué de notre voyage, on peut décider de se coucher tôt. Je pense que Win est aussi lasse de la roulotte, je lui fais un bon bain, on le fait manger et on le couche et nous après, nous pourrons avoir tout le temps de nous délasser dans un bon bain comme je les aime et toi aussi il me semble.


Elle prit son bras et ils se dirigèrent vers l’étage où ils allèrent trouver deux chambres côte à côte vides. Au fond du couloir, ils trouvèrent leur bonheur, l’une petite avait 2 lits bien confortable et l’autre plus grande un grand lit drapé de tissus en dais de chaque côté, idéal pour s’y lover et y avoir toute intimité. Ils trouvèrent dans le fond du couloir un grand baquet de bois et s’occupèrent de mettre de l’eau à chauffer pour leur bain.


Dans leurs chambres au premier étage.

Tu as raison, Opus, même si ma mémoire me fait défaut en ce qui concerne cette dame Kahhlan, je ne me souviens pas avoir trouvé qui que ce soit de désagréable à notre dernier voyage et en plus, on fait le travail de l’aubergiste, on se débrouille tout seul.

Elle se mit à chantonner pendant qu’elle montrait à Winbill l’endroit où il dormirait avec son fidèle Barack non loin de lui. Le baquet fut rempli une première fois en partie pour son bain où il se prélassa et joua gaiement pendant que ses parents rangeaient leurs bagages. Ils firent ensuite un repas simple avec ce qu’ils avaient encore de cuit de la veille. Viande cuite et pain, fromage et fruits. Winbill après le bain se mit à bailler longuement et Sibille alla le coucher dans le grand lit qu’il avait choisi, l’embrassant et le caressant quelques instants pour voir si tout allait bien.


A nous maintenant mon tendre.. l’eau chauffe. Nous avons besoin de nous détendre.
_________________
Opusone
A nous maintenant mon tendre.. l’eau chauffe. Nous avons besoin de nous détendre.

Opus sourit à l'invitation de Sibille. Il eut tôt fait de sauter dans la baignoire.


Sibille l'avait rejoint pour une séance de détente et d'ébats que nous ne décrirons pas ici.


Plus tard dans la soirée au sortir du bain, Opus fit la lecture à Sibille. Un poème de circonstance.

Citation:
Le plaisir

Les yeux comme envoûtés
et le coeur emballé
le corps encore cabré
et toujours en suée
écoutez-les gémir
et crier de plaisir
écoutez-les finir
on les croirait mourir

Ce corps en funambule
sur votre corps ondule
et d'un coup vous bascule
dans un plaisir sans recul

Cette main en tendresse
qui passe sur vos fesses
en douceur et souplesse
plus loin pousse ses caresses

Et ce corps qui réclame
brûlant comme la flamme
qu'on pénètre son âme
de la plus belle lame

Sur le dos épuisé
d'un combat sans pitié
son regard sans parler
vous dit ......encore.......encore

_________________
Les aventures de Sibille et Opus: http://forum.rp.non-off.rr.xooit.fr/f25-Duche-du-Bourbonnais-Auvergne.htm
--Grandpapa



Petit matin jour 3 :

Le vieil homme arriva d’un pas lent à l’Auberge, tapant des pieds sur le palier, il entra dans l’auberge.
Sa voix raisonna :
OH Hé tavernier y a du monde !

Grand’pa se tenait en appui sur sa houlette, ses habits élimés par le temps, poussiéreux de travail, et odorants des parfums de l’élevage.
Vêtu modestement, il repoussa simplement la capuche qui dévoila sa chevelure couleur de neige.
Sibille


Dans une chambre à l'étage

Le bain s’était prolongé, massages voluptueux aux huiles parfumées, les fleurs de camomille parsemées dans l’eau servant de prétexte à quelques jeux de mains se finissant en grands éclats de rire à peine retenus pour ne pas déranger leur fils et les voisins de chambrée. Opus n’avait pas perdu de ses talents connus à Montpensier qu’elle espérait bien maintenant garder pour elle seule. Pas qu’elle soit jalouse ni qu’elle ne lui fasse confiance mais tout de même… ses mains, elle les aimait pour elle seule.

Il la regardait et savait sûrement à quoi elle pensait car au sortir du bain, il lui fit lecture d’une poésie plus que suggestive.

Elle s’était approchée de lui et encore nue s’était lovée dans ses bras, elle l’embrassa et s’allongea sur leur lit où ils s’étaient installés.
Merci pour ces doux moments de détente, j’ai encore les effluves des huiles en tête qui me réchauffent. Elle prit sa main et la posa sur sa cuisse puis un peu plus loin et elle lui récita avec un sourire malicieux : «Cette main en tendresse qui passe sur vos fesses en douceur et souplesse plus loin pousse ses caresses».

Les caresses ne furent pas longues à venir et si les voisins ne dormaient encore pas, ils sauraient que les jeux et les éclats de rire n’étaient pas finis, loin de là.

Epuisée, ayant puisé dans le poème tous les mots dont elle s’était rappelée pour s’amuser, ils avaient fini par s’endormir, en pensant aux jours prochains et à la petite fête qu’ils allaient organiser.

_________________
Sibille
Le lendemain matin et les jours qui suivirent, ils eurent la mauvaise surprise d’apprendre qu’une loi martiale venait d’être mise en place, obligeant les voyageurs à demander autorisation de rester, ce qui fut fait heureusement par leur amie Dragones mais celle-ci était de courte durée et les jours passaient à une telle vitesse, rythmés par les travaux aux champs pour pouvoir se nourrir et la vie quotidienne d’une famille.

Ils se rendaient régulièrement voir les bêtes parquées dans l’enclos du maire, près de Ness son âne. Les peurs avaient fait place à la curiosité et l’ânesse Caprice avait vite repris l’habitude de venir près de son compagnon périgourdin quant à leur progéniture Cabochon, il avait appris rapidement à apprécier ce géniteur dont il n’avait pas connu l’existence jusqu’ici.

Epona la jument quant à elle, son caractère débonnaire s’était accordé à faire une place de plus à un autre âne dans les parages.

Winbill participait à la confection des repas à la hauteur de ses capacités, il accompagnait souvent Sibille au marché où elle trouvait tout ce qu’il fallait pour faire une cuisine simple dans l’auberge. Les cuisines leur étaient ouvertes sans problème. Peu de voyageur passait et en général il ne restait pas, surtout en cette période d’incertitude.

Ces temps austères avaient mis en deuxième plan la fête qu’ils avaient prévu et ils ne savaient pas encore si quelque chose serait fait avant leur départ. Maintenir la paix et le calme était le plus important pour l’instant. Ils se rendraient tout de même un soir chez leurs amis pour partager une bonne bouteille et quelques douceurs afin de les remercier de leur accueil. Pour l’instant, la vie continuait son lent décompte et ils profitaient des douceurs du temps en ce mois de septembre clément.

_________________
Davy*
Davy, fort fatigué, entra dans une auberge.

bonsoir,
je souhaiterai une chambre si vous en avez une de libre.
...


il s'avança un peu mais n'aperçut personne.


il y a quelqu'un ?
_________________
--Enguerrand_de_honfleur
Jour 3 au matin

Engerrand de Honfleur ferma soigneusement la porte de sa chambre. Le bruit métallique de la serrure résonna le long du corridor. Il réajusta le col de sa robe, s’épousseta le plastron et les épaules puis lentement se tourna en direction de la grand salle. Ses yeux s’arrêtèrent un moment, irrités, presque haineux, sur la porte d’en face où depuis quelques jours un couple s’était installé. De ces noctambules gémissants qui, à coup sur, ne tricotent pas des pulls à longueur de nuit…Les lèvres pincées, il hocha sévèrement du menton, fourrant mentalement une pomme dodue dans l’appareil vocal des ses deux voisins. Puis dans un geste sec qui fit claquer ses bottes, il se dirigea vers le rez-de-chaussée.

Là se trouvait un vieil homme tout sec aux cheveux morts et un jeune voyageur attendant au comptoir. Dans le fond, une jeune fille seule écoutait silencieusement le temps passer. Mais aucune trace du majordome. Enguerrand se renfrogna à l’approche de la dernière marche. Pour une fois qu’il avait besoin de lui. Où donc été passé ce maudit fouineur, où donc avait il été fourrer ses chausses ? Colporter d’infamantes rumeurs ou quelque diffamation sur sa personne ? Le bougre en était bien capable…

Enguerrand soupira rageusement, toisa les personne présentes en se fendant d’un vague hochement de tête vers le vieillard, puis se dirigea d’un pas résigné vers la fenêtre. Derrière son dos, ses doigts pianotaient d’impatience tandis que son pied droit battait fébrilement la mesure.


Par la malpestre pesta t’il à voix haute en fixant toujours la rue.




--Nestor_le_serveur
Nestor venait de passer la porte du village quand un coursier le rattrapa, essoufflé.....
La missive qu'il venait de lui remettre était signée de son cousin.... celui-ci lui demandait de poursuivre sa mission à l'auberge car il était souffrant....
Il rebroussa donc chemin ...

Tirant sa malle, il entra tant bien que mal dans l'auberge.... Il jeta rapidement un coup d'oeil aux clients présents.
L'intermitant serveur ouvrit alors sa cantine derrière le comptoir et en ressortit son habit de serveur... Il se glissa dans l'arrière salle et réapparu quelques minutes après en tenue de travail... un torchon immaculé sur l'avant bras gauche, une bourse pleine de monnaie attachée à sa ceinture en cuir.

"Madame, messieurs......... que puis je pour vous ?"

Le fou écarlate était là.... et le servir de nouveau n'emballait pas Nestor. Son molosse ne l'accompagnait pas, il devait être en mission pour le saigneur....
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2025
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)