Sofio51
Il était de ces nuits noires, ou avancer sans bruits a tâtons elle s'en serait bien passée, étrange tous ces aboiements de chiens égarés, a peine la dernière maison de Millau passée.
Une longue file de soldats, certains amaigris, d'autres armée de bâtons, mais tous portant dans leurs curs, la certitude d'aller de l'avant pour une gloire inconnue,le visage fier, les pensées morbides, un pas de guerrier avertis, certains se sont retournés, j'en ais vu ramasser une poignée de terre et la mettre en poche.
premier émois.
La route est longue, pas le cur aux chants, la route est noire, pas un murmure en rangs, combien de temps encore...
Ombres de la nuits, hé toi la lune t'es ou ce soir tu te caches?t'as la frousse?donne moi de ton rayon, que je puisse voir ou je fourre mes godillots, tant que ca avance devant, c'est que nul obstacle ne se présente.
Je fous quoi la?me peler les miches, rien a grailler de consistant, adieu belles tavernes, ou chaleur et bières, envoutent mon corps et mon esprit, quand vous reverrais je?
je suis pas chez moi la, ma terre d'Auvergne j'en vois pas les contours, et mes hauts volcans ont disparus, se sont éteint comme dans un souffle.
Avance.
La colonne de fer s'arrête d'un coup, le cliquetis des armes se tait, plus aucun bruit,j'entends une respiration pas loin, fatou...sa grossesse est avancée, elle a du mal a suivre le rythme, merdum j'avais dit reste au camp fais la tambouille, non ca quand ca sort d'Auvergne ca renonce pas.
Je vois les remparts de Lodeve, ils illuminent un ciel sans étoiles, peu prometteurs pour demain ca.Puis si il pleut faudra changer de godasses zut la poisse, patauger dans la gadoue.Manquerait plus qu'il tombe des grenouilles en route.
Le chef de file lève un bras, on sait.....des murmures se font entendre, puis le sol bouge, il tremble, il a peur.
Une course effrénée, et déjà les premiers sons de fers, puis des cris, des coups, dans la nuit, un homme est la tout prêt il est pas des siens, il pue la Languedoc!! elle fonce sur lui, l'abattre et le voir trainer au sol telle une bouse coulante, il finira au sol, a ramper sur le coté.
Qu'il crève, comme un puant, et que son sang impur se répande en tous vents, colère, pas bon, raisonne, ou sont les autres....
Revenir au devant, et frapper, taper jusqu'à ne plus rien voir , saleté de lune tu le paieras,un homme est la au sol, elle reconnait sa barbe naissante..vincentte, bordel sa sur va me tuer, j'avais promis...
Plus loin , elle voit une hache, qui tournoie, des gens tombent partout, son épée se marre, elle s'éclate elle pourrait l'entendre se gausser si partout, autour et encore la des bras, des mains au sol.....
Zik, ta hache lâche la, elle s'approche de zik, il tiens sa hache comme un trésor, mais ses yeux sont fermés, il souffre, mais il vit, laisse le...
Elle cherche lel, ne le voit pas, ou es tu amour, m'entend tu, pas le temps, c'est fouinage ou tabassage, elle retourne, dans la mêlée, boucherie de sang, Languedoc tu ne passeras pas, on en crèvera tous les uns après les autres.
Un ami m'a dit tu es auvergnate tu ne meurs pas, merci a toi l'ami ce soir je pense a toi.
Saloperie de lune, tu te montres enfin, tu brilles et tu sors tes lianes de feux, pour venir me montrer en ton berceau le corps de rai,il avait parié qu'il ne tomberait pas avant d'en avoir tué, héé rai , honores ton pari bordel mais relève toi!!ils sont devenus fous.
Amas de corps enchevêtres, terre ensanglantés, du ruisseau le sang de la gloire coulera, qu'il aille porter au Rouergue l'air de liberté, nous ne sommes pas vaincus, certains sont tombés et ont soufflé aux vivants la rage de vaincre.
Petit matin, nous soignons nos blessés et comptons nos morts,je ne veut pas m'approcher d'eux, je ne veut pas voir les noms de ceux tombés, et je crache au passage sur l'ennemi, qui s'est replié.
Assise sur une pierre et je cache mon visage, j'ai vu lel debout vivant, j'ai vu fatou l'air hagard elle tiens encore son épée, les combattants du Berry sont la aussi, ca elle n'aurait jamais cru voir le BA et le Berry s'unir pour une cause, elle apprécie ses hommes venus de si loin, qui aurait cru que la force pouvait les réunir un jour.
Et la lune pourquoi tu te casses la??t'as finis ton travail de la nuit, traitresse.
Il est temps de se relever, le combat n'est pas finie,le premier acte n'a fait que commencer, ces fourbes seront la dés l'instant de l'entre chien et loup.
Elle prend une plume et commence a écrire.
Une longue file de soldats, certains amaigris, d'autres armée de bâtons, mais tous portant dans leurs curs, la certitude d'aller de l'avant pour une gloire inconnue,le visage fier, les pensées morbides, un pas de guerrier avertis, certains se sont retournés, j'en ais vu ramasser une poignée de terre et la mettre en poche.
premier émois.
La route est longue, pas le cur aux chants, la route est noire, pas un murmure en rangs, combien de temps encore...
Ombres de la nuits, hé toi la lune t'es ou ce soir tu te caches?t'as la frousse?donne moi de ton rayon, que je puisse voir ou je fourre mes godillots, tant que ca avance devant, c'est que nul obstacle ne se présente.
Je fous quoi la?me peler les miches, rien a grailler de consistant, adieu belles tavernes, ou chaleur et bières, envoutent mon corps et mon esprit, quand vous reverrais je?
je suis pas chez moi la, ma terre d'Auvergne j'en vois pas les contours, et mes hauts volcans ont disparus, se sont éteint comme dans un souffle.
Avance.
La colonne de fer s'arrête d'un coup, le cliquetis des armes se tait, plus aucun bruit,j'entends une respiration pas loin, fatou...sa grossesse est avancée, elle a du mal a suivre le rythme, merdum j'avais dit reste au camp fais la tambouille, non ca quand ca sort d'Auvergne ca renonce pas.
Je vois les remparts de Lodeve, ils illuminent un ciel sans étoiles, peu prometteurs pour demain ca.Puis si il pleut faudra changer de godasses zut la poisse, patauger dans la gadoue.Manquerait plus qu'il tombe des grenouilles en route.
Le chef de file lève un bras, on sait.....des murmures se font entendre, puis le sol bouge, il tremble, il a peur.
Une course effrénée, et déjà les premiers sons de fers, puis des cris, des coups, dans la nuit, un homme est la tout prêt il est pas des siens, il pue la Languedoc!! elle fonce sur lui, l'abattre et le voir trainer au sol telle une bouse coulante, il finira au sol, a ramper sur le coté.
Qu'il crève, comme un puant, et que son sang impur se répande en tous vents, colère, pas bon, raisonne, ou sont les autres....
Revenir au devant, et frapper, taper jusqu'à ne plus rien voir , saleté de lune tu le paieras,un homme est la au sol, elle reconnait sa barbe naissante..vincentte, bordel sa sur va me tuer, j'avais promis...
Plus loin , elle voit une hache, qui tournoie, des gens tombent partout, son épée se marre, elle s'éclate elle pourrait l'entendre se gausser si partout, autour et encore la des bras, des mains au sol.....
Zik, ta hache lâche la, elle s'approche de zik, il tiens sa hache comme un trésor, mais ses yeux sont fermés, il souffre, mais il vit, laisse le...
Elle cherche lel, ne le voit pas, ou es tu amour, m'entend tu, pas le temps, c'est fouinage ou tabassage, elle retourne, dans la mêlée, boucherie de sang, Languedoc tu ne passeras pas, on en crèvera tous les uns après les autres.
Un ami m'a dit tu es auvergnate tu ne meurs pas, merci a toi l'ami ce soir je pense a toi.
Saloperie de lune, tu te montres enfin, tu brilles et tu sors tes lianes de feux, pour venir me montrer en ton berceau le corps de rai,il avait parié qu'il ne tomberait pas avant d'en avoir tué, héé rai , honores ton pari bordel mais relève toi!!ils sont devenus fous.
Amas de corps enchevêtres, terre ensanglantés, du ruisseau le sang de la gloire coulera, qu'il aille porter au Rouergue l'air de liberté, nous ne sommes pas vaincus, certains sont tombés et ont soufflé aux vivants la rage de vaincre.
Petit matin, nous soignons nos blessés et comptons nos morts,je ne veut pas m'approcher d'eux, je ne veut pas voir les noms de ceux tombés, et je crache au passage sur l'ennemi, qui s'est replié.
Assise sur une pierre et je cache mon visage, j'ai vu lel debout vivant, j'ai vu fatou l'air hagard elle tiens encore son épée, les combattants du Berry sont la aussi, ca elle n'aurait jamais cru voir le BA et le Berry s'unir pour une cause, elle apprécie ses hommes venus de si loin, qui aurait cru que la force pouvait les réunir un jour.
Et la lune pourquoi tu te casses la??t'as finis ton travail de la nuit, traitresse.
Il est temps de se relever, le combat n'est pas finie,le premier acte n'a fait que commencer, ces fourbes seront la dés l'instant de l'entre chien et loup.
Elle prend une plume et commence a écrire.
Citation:
a Rasta
Mon cher, la nuit fut rude, j'ai pensé a toi, un auvergnat ne tombe pas, tu vois je suis vivante mais, nos amis sont tombés,j'ai entendu raianui tomber en criant semper fidelist, j'ai vu zikzok au sol, et vincentte tous tombés sous la proie des chiens du Languedoc, fatou et l'enfant qu'elle porte vont bien,nous sommes auvergnate rasta et nous résisterons jusqu'à la mort tu a raison
je t'embrasse
ta tendre sofio
Mon cher, la nuit fut rude, j'ai pensé a toi, un auvergnat ne tombe pas, tu vois je suis vivante mais, nos amis sont tombés,j'ai entendu raianui tomber en criant semper fidelist, j'ai vu zikzok au sol, et vincentte tous tombés sous la proie des chiens du Languedoc, fatou et l'enfant qu'elle porte vont bien,nous sommes auvergnate rasta et nous résisterons jusqu'à la mort tu a raison
je t'embrasse
ta tendre sofio