--Evenement
JE suis lengeance désavouée, tapis dans lombre JE mène dune main de maitre les petits vers une mort certaine. Vos pavés si propres à labri de lenceinte ME font vomir, JE préfère sentir lodeur de la terre maculée. JE suis lautre visage de ce village, celui si bien caché dans vos esprits étriqués. Si petit et si grand, exilé dans une surface qui aurait pu être saine si vous naviez décidés de reléguer votre nature loin de vos regards mesquins. A trop vouloir aseptiser votre morceau de terrain, vous Mavez laissez grandir loin de votre sein. Enfant abandonné, orphelin, JE suis devenu le souverain consacré de tous les reniés. Le sang mêlé au stupre, les pestilences à la torture, la mort à la jouissance et le feu à la libération. Tout un univers dont vous vous êtes privés, toute une extraction qui vous a échappée.
Dans MON antre JE fais la loi. Les cris et les pleurs rythment ce qui fait NOTRE devoir. Vous êtes bien au chaud dans vos petites maisonnées mais quand JE passerais vous rendre une visite pour vous emmenez là où vous pousserez votre dernier souffle vous vous direz que votre maison ne vous protégez pas assez. Méfiez-vous de vos actes, de vos paroles, J'entends tout, JE vois tout. Méfiez-vous des apparences, les murs ont des oreilles. Les dénonciations fusent, J'arrive et JE vous emmène, dites adieux à votre vie car elle M'appartiendra. Dans cet endroit que vous appelez trou à rat, MOI je l'appelle le sanctuaire. Vous avouerez tous vos crimes créatures du mal. Vous verserez du sang entre les mains de MES bourreaux. Et la nuit... Si vous n'êtes pas entre leurs mains, les gardiens viendront vous rendre visite. Visiter votre intimité autant qu'il leur plaira. Et peut-être viendrais- JE. Votre vie M'appartient désormais...
Entrez. Entrez dans en MON Domaine. Pénétrez dans les entrailles de la nature humaine. Si le sang ou les horreurs humaines ne vous provoquent un haut le cur. Vos assassins, Vos catins, Vos cimetières nont rien à envier à MES enfants car au final tous le deviennent.
Entendez se refermer les carcans en une douce mélopée. Tendez loreille. Ecoutez la douce mélodie provoquer par les cris des suppliciés. Profitez de la symphonie envoutante. Mélangez-vous aux soudards pour percevoir de leur bouche lencensement fait à la violence. Borborygmes hachés. Respirez à plein poumons lair vicié.
VOTRE curiosité est bien plus forte que votre air terrifié. VOTRE air pincé laissé sur le seuil de MON repaire. Tant de beauté dans la répulsion. Approchez. Approchez. Encore. Plus près. Voyez au détour dun sentier des prisonniers enchainés au pilori. Cette fascination qui devient votre alors que vos yeux le détaille. Pas un centimètre nest laissé à labandon. Avidité malsaine. Cette odeur poisseuse de cendres colle à lhabit tel une seconde peau. Le bûcher crépite encore. La fumée en farandole. Votre attention happée par votre pied foulé. De la terre retournée. Frisson. Dégoût. Excitation sordide. Savoir sans voir. Des corps sous le sol. Entassés. Mutilés. Le rire gras coincé au fond de votre gorge. Et pour ceux plus sensible, ceux qui bientôt ME rejoindront par déni, courront à laveugle pour se retrouver devant toute labomination. Sang. Excréments. Eau croupie. Nature humaine abolie. Animaux domptés.
Dans MON antre JE fais la loi. Les cris et les pleurs rythment ce qui fait NOTRE devoir. Vous êtes bien au chaud dans vos petites maisonnées mais quand JE passerais vous rendre une visite pour vous emmenez là où vous pousserez votre dernier souffle vous vous direz que votre maison ne vous protégez pas assez. Méfiez-vous de vos actes, de vos paroles, J'entends tout, JE vois tout. Méfiez-vous des apparences, les murs ont des oreilles. Les dénonciations fusent, J'arrive et JE vous emmène, dites adieux à votre vie car elle M'appartiendra. Dans cet endroit que vous appelez trou à rat, MOI je l'appelle le sanctuaire. Vous avouerez tous vos crimes créatures du mal. Vous verserez du sang entre les mains de MES bourreaux. Et la nuit... Si vous n'êtes pas entre leurs mains, les gardiens viendront vous rendre visite. Visiter votre intimité autant qu'il leur plaira. Et peut-être viendrais- JE. Votre vie M'appartient désormais...
Entrez. Entrez dans en MON Domaine. Pénétrez dans les entrailles de la nature humaine. Si le sang ou les horreurs humaines ne vous provoquent un haut le cur. Vos assassins, Vos catins, Vos cimetières nont rien à envier à MES enfants car au final tous le deviennent.
Entendez se refermer les carcans en une douce mélopée. Tendez loreille. Ecoutez la douce mélodie provoquer par les cris des suppliciés. Profitez de la symphonie envoutante. Mélangez-vous aux soudards pour percevoir de leur bouche lencensement fait à la violence. Borborygmes hachés. Respirez à plein poumons lair vicié.
VOTRE curiosité est bien plus forte que votre air terrifié. VOTRE air pincé laissé sur le seuil de MON repaire. Tant de beauté dans la répulsion. Approchez. Approchez. Encore. Plus près. Voyez au détour dun sentier des prisonniers enchainés au pilori. Cette fascination qui devient votre alors que vos yeux le détaille. Pas un centimètre nest laissé à labandon. Avidité malsaine. Cette odeur poisseuse de cendres colle à lhabit tel une seconde peau. Le bûcher crépite encore. La fumée en farandole. Votre attention happée par votre pied foulé. De la terre retournée. Frisson. Dégoût. Excitation sordide. Savoir sans voir. Des corps sous le sol. Entassés. Mutilés. Le rire gras coincé au fond de votre gorge. Et pour ceux plus sensible, ceux qui bientôt ME rejoindront par déni, courront à laveugle pour se retrouver devant toute labomination. Sang. Excréments. Eau croupie. Nature humaine abolie. Animaux domptés.