Titan34
[arrivé sous les remparts de Compiegne]
titan était aussi arrivé avec sa troupe sous les murailles de Compiègne ou était installé le camp princier.
à peine arrivé et ses pieds foulant ce sol ou tant de sang avait déjà coulé, que les tentes blanches se dressaient fièrement, se découpant sur l'azur du ciel.
le fanion des 45 claquait au vent, rappelant à titan la première fois ou ils avaient dressés leurs camps à quelques mètres prés au même endroit.
il s'étira, donnant ses ordres pour l'organisation des taches et aussi des gardes, puis il s'approcha de son suzerain.
Bonjour mon ami, et aujourd'hui mon frère d'armes.
entre nous c'était déjà à la vie à la mort, ce sentiment ne s'en trouve que plus conforté avec ton adhésion parmi nous et sache que j'en suis fier.
il donna l'accolade à son ami et s'assit prés de lui, les yeux perdus vers le lointain, vers le sentier menant vers la mine Artésienne qu'il avait tenue durant des semaines interminables, tandis que chaque soirs, ils harcelaient les troupes artésiennes aux portes de Péronne sans jamais pénétrer dans la ville car là n'était pas leurs objectifs, ils fallait seulement affaiblir les armèes Artésienne et les empecher à tout prix d'atteindre Compiegne, plein de souvenirs l'assaillant à ce moment, les cris, le sang qui maculait la plaine verdoyante.
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titan était aussi arrivé avec sa troupe sous les murailles de Compiègne ou était installé le camp princier.
à peine arrivé et ses pieds foulant ce sol ou tant de sang avait déjà coulé, que les tentes blanches se dressaient fièrement, se découpant sur l'azur du ciel.
le fanion des 45 claquait au vent, rappelant à titan la première fois ou ils avaient dressés leurs camps à quelques mètres prés au même endroit.
il s'étira, donnant ses ordres pour l'organisation des taches et aussi des gardes, puis il s'approcha de son suzerain.
Bonjour mon ami, et aujourd'hui mon frère d'armes.
entre nous c'était déjà à la vie à la mort, ce sentiment ne s'en trouve que plus conforté avec ton adhésion parmi nous et sache que j'en suis fier.
il donna l'accolade à son ami et s'assit prés de lui, les yeux perdus vers le lointain, vers le sentier menant vers la mine Artésienne qu'il avait tenue durant des semaines interminables, tandis que chaque soirs, ils harcelaient les troupes artésiennes aux portes de Péronne sans jamais pénétrer dans la ville car là n'était pas leurs objectifs, ils fallait seulement affaiblir les armèes Artésienne et les empecher à tout prix d'atteindre Compiegne, plein de souvenirs l'assaillant à ce moment, les cris, le sang qui maculait la plaine verdoyante.
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