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[RP] Le marché de Nancy

pnj
ah bon? qu'est ce que ya eu avec corniaud?
cherche le phénomene canin du regard et le voit terré dans un coin...mais en revient a la drole de position de bulle
oh la laisse moi t'aider à te lever de la. bonne idée remarque il fait crevant de chaud!
ah oui et mordi...
oui c un canard que j'ai, mordicus, il ma accompagné pdt mon voyagae a epinal, et me lache jamais !

ma ptite bulle , si tu veux, passe chez moi je te donnerais de quoi te changer, enfin si tu le veux...
Bulle
Qu’est-ce que y’a eu avec Corniaud ? Ahum…
Gratouillage gêné de tignasse sale.


L’a rendu son déjeuner sur une dame, sur les bottes d’Ama pis sur mes jupes… et le pain que j’avais réussi à voler, le saligaud !

Puis Bulle recula vivement, de peur que Bibi mette ses menaces de l’aider à la relever à exécution.
Une Bulle, ça se touche pas ! Sinon ça éclate !
La dernière fois que quelqu'un avait essayé, ça avait fait mal.
Elle manqua du coup de se casser un énième fois la figure, mais ça va elle commence à en avoir l’habitude et le lecteur aussi.
Les pattes en l’air et le séant dans l’eau elle décida en effet qu’il faisait bien trop chaud pour sortir du lavoir.


Ah j’le savais qu’c’était un canard que t’avais ! Dois être bien gras d’puis l’temps… Ahum… Oh te dérange pas, va ! Mes habits suffiront bien ! En plus ça va m’rafraîchir, fait une chaleur !
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A perdu le pouce gauche en offrant un cadeau. Moralité : soyez égoïstes !
pnj
bibou regarde bulle, toujous égale a elle meme et c'est comme ca qu'on l'aime...
hé bé corniaud ta bien arrangée en tout cas, arf ama n'a surement pas du t'en tenir rigueur, c'est une fille géniale, quant a la dame jsuis sur qu'elle s'en remettra hihihi
bibou aurait bien voulu voir la scene n'empeche hihi, deposa son panier de linge sale a coté du lavoir d'a coté et laisse bulle se relever tout seule, puisque tel est son souhait.
elle sorti de sa besace un morceau de viande qu'elle lui tendit:
tiens bulle, en revenant d'epinal, je suis passé par vaudemont chercher de la viande pour les nanceens, partage le avec corniaud (ou juste pour toi), ca me fait plaisir
Bulle
Bulle sourit, et espéra qu’en effet la dame aux drôles de vêtements s’en remettrait…
Sinon c’était sur elle qu’allaient retomber les fautes de ce crétin de chien !
Manquerait plus qu’ça, pff !

Elle se redressa maladroitement pour attraper la viande que Bibi lui tendait.


Merci, c’gentil ! Corniaud l’en aura pas nan mais oh ! L’avait qu’à pas gâter l’pain qu’j’avais vol… chour… chip…emprunté !

Elle mâchouilla un bout de viande, pour goûter, et jeta un coup d’œil autour d’elle.
Hum… Comment sortir de là, en sachant :
_ Qu’elle allait encore glisser et se casser la figure
_ Que le rebord du lavoir était haut quand même et qu’elle avait d’autant plus de chances de se croûter
_ Que la viande tomberait certainement dans l’eau dans cette affaire et que le steak flotteux c’était pas bon
_ Que Corniaud aurait sa revanche sur la taloche sur la tête qu’elle lui avait flanqué

Se renfonçant dans son bain, la gueuse décida que le lavoir c’était vachement bien finalement et qu’elle y resterait jusqu’au soir.


Elle observa Mordicus barboter dans le lavoir où sa maîtresse lavait son linge, et se rappela du coup qu’un Maure vendait des oranges plus loin sur le marché…
*Miam*

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A perdu le pouce gauche en offrant un cadeau. Moralité : soyez égoïstes !
Thays
- Pendant ce temps-là, sur la place du marché -

Citation:

- Je me présente, je suis Amazone1ere de Galway, bouchère de Nancy et patronne de la taverne "Chez Amazone". Veuillez excuser mon regard mais j'avoue que nous ne sommes pas habitués à voir des Dames dans cette tenue. Cela est trop déshabillé pour nous. non pas que nous ne voudrions pas mais cela serait mal vu. Je remarque que vous n'êtes pas du coin.



Thays la regarda sans comprendre.


Trop déshabillé ? mmmh... je viens de Weno, c'est presque trop habillé là bas... Appelez-moi Thays.

Elle inspecta la tenue de la dame, puis la sienne, écartant les bras, souliers en main... quand tout à coup, un chenapan les lui arracha des mains, en courant.

AU VOLEUUUUUUUUR !!
Amazone1ere
Citation:
AU VOLEUUUUUUUUUR!!

Amazone se retourna pour voir qui était le chenapan qui avait volé les souliers de Dame Thays.

- Arf, pas de soucis, je le connais et je sais où aller pour vous les récupérer. C'est un petit miséreux du coin qui a fait une fixation sur les chaussures. Attendez moi ici je vais aller les chercher.

Amazone partit en direction de la Meurthe car elle savait qu'elle le trouverai par là. Elle alla voir le petit et lui demanda de lui rendre les souliers qu'il avait volé.

- euh j'les ai plus! dit-il.
- Je sais que tu les a toujours petit. Je te donne mes chausses en échange je n'en ai plus besoin, j'ai maintenant des bottes.

Le petit regarda les chausses et semblait intéressé . Il se mit à farfouiller dans le tas de souliers et lui rendit ceux de la Dame.

-Merci petit!

Amazone repartit en direction du marché où elle avait laissé la Dame. Elle arriva essoufflée devant elle pieds nus.

- Tenez les voici!!

Amazone tendit les souliers à Thays.
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Ex Tribun de Nancy
Cassandras
Cassandras, était arrivée dans la matinée dans la capitale. Bigbull l'avait accompagnée. Il disait qu'il serait plus tranquille ainsi. C'est vrai que de voyager seule, elle ne l'avait encore jamais fait. Mais tout a une première fois...

Après un saut dans les tavernes de la ville, Cassandras décida d'aller voir dans les rues de Nancy, et notamment sur sa place du Marché.

De loin, elle aperçut les étals de produits frais, ainsi que l'animation qu'il y avait autour. Quand elle arriva aux portes de la ville, elle avait vu des affiches vantant la saveur exquise des fruits de Nancy. Elle se dit qu'une ou deux pommes feraient du bien à son teint un peu blanchâtre. En y allant, elle vit un étal d'oranges. Cela lui fit rudement envie.

Elle s'y arrêta alors. Bien que plus au loin, on y criait "au voleur", Cassy ne se laissa pas perturber. Elle fit tout de même attention à sa bourse.


'Jour ! Il fait beau, n'est-il pas ?
Comment vendez-vous vos oranges ?


Elle tâta quelques unes pour s'assurer que les fruits fûssent bien fermes.
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Cassandras
RrRsschüh tzzchheckh aö mn ggash

Cela a été plus ou moins ce que les oreilles de Cassandras a pu entendre des mots prononcés par le marchand d'oranges. Même en tendant bien ses deux oreilles, elle ne put identifier la langue parlée par le marchand. Si tant est que cela fût un langage humain.

Un peu déconcertée par un tel langage, Cassandras se ravisa de son idée qui lui semblait pourtant brillante au début. Pour se consoler, elle alla s'offrir une belle miche de pain. Et alla la manger tranquillement en retrait, en observant les va-et-vient du marché.

Arrivée à la dernière morse - il faut dire que le pain a été bien largement entamé par son geai bleu de compagnie - Cassandras réalisa à quel point sa famille lui manquait. A cet instant, elle décida de reprendre la route de Toul et rejoindre les siens.
Laissant ainsi Nancy derrière elle - du moins pour un moment ; qui le sait.

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Coloquinte
Coloquinte et son âne trainaient leurs sabots et chausses au marché, brinquebalant une charrette vide derrière eux...leurs mines semblaient déconfites..."pas de minerai, pas de minerai, pas de minerai; c'est quoi cette ville où il n'y a même pas la plus petite roche de minerai? Va falloir que je me mette à acheter un champ! " pensa Colo
Coloquinte
Coloquinte était sans un rond, ne pouvant ni forger, ni acheter les 4 moutons réglementaires qu'il lui faudrait...Aujourd'hui, il a fallu qu'elle mange les fruits qu'elle voulait vendre ce matin...Espérant être embauchée par Frakara, elle se décida malgré tout à vendre sa musique sur le marché.Elle commença à chanter un chant en gaélique, où l'amour d'un homme pour son adorée brillait comme un talisman.Il honorait ses dons, notamment celui de faire venir à elle tous les oiseaux du pays: une merveille !
Coloquinte prit ensuite son violon et entama un air lent, pour ensuite lancer des airs du diable entraînants...Elle ne voyait pas si des gens s'étaient arrêtés pour écouter, elle était tout entière plongée dans la saga des notes qu'elle déroulait comme un voyage. Qui voulait entendre, entendrait. Longcil s'était couché sur le côté et soupirait.
--Bonimentard


Charles Hattand arriva de bon matin sur le marché de Nancy. Il avait la mine encore chiffonnée, la barbe mal taillée et les vêtements froissés. Il tenait par la bride Paris-en-Bouteille, sa vieille ânesse. La bête n’avait pas meilleure allure que lui. L’échine basse, elle ployait mollement sous le poids des marchandises qui ballottaient sur son dos.
L’homme attacha la bête de somme à un anneau attaché au mur de la mairie et entreprit de déballer ses marchandises.
Un peu plus loin, le grincement d’une petite charrette annonçait l’arrivée du Maure marchand d’agrumes.

Charles posa sa table à tréteaux puis y disposa soigneusement ses dizaines de petites fioles aux formes biscornues, ses pots de terre cuite et autres récipients au contenu aussi mystérieux qu’improbable. Il les épousseta, alluma quelques bougies au parfum musqué pour ajouter une atmosphère énigmatique avant de poser au sol un grand panneau de bois peint aux couleurs vives qui annonçait :


PRODUITS MIRACLES
A PRIX CASSES


Après un rapide rasage à l’aveuglette et avoir remis les plumes de son chapeau d’aplomb, Charles Hattand se racla magistralement la gorge et prit la pose. Les premiers habitants de Nancy venaient faire leurs emplettes au marché. La journée commençait.

Oyez, oyez ! Clama-t-il un sourire en tranche de melon aux lèvres. Oui, oui ! Apprrrrrrochez, aprrrrrochez damoiselles et damoiseaux ! Venez acheter les élixirs miraculeux du docteurrrr Charrrrles Hattand ! Potion d’amour, lotion capillaire, baume contre les points noirs, tout pour rester beau et en bonne santé ! Ma dame ! Oui, vous là ! Un mari à rendre amoureux ?! Des problèmes de fertilité ?! Un élixir contre la mauvaise haleine peut-être ?! Oui, vous en avez besoin ! Allez vingt écus le flacon ! Une véritable affaire ! Mais non, mais non ! Acceptez ! Ne soyez pas gênée ! Cela me fait plaisir de vous aider !

Le bonimenteur colla le flacon dans les mains de la bonne femme hébétée et lui arracha littéralement l’aumônière de la ceinture, le tout sans cesser de sourire. Puis il abandonna sa victime à son hébétement et se remit à brailler.

Venez acheteeeer notre produit de jouvence, veneeez ! Tout nouveau ! Regardez, regardez ! Quelques gouttes – bois ça ma vieille – et cette ânesse retrouve sa jeunesse ! Voyez comme elle est fringante !(Charles Hattand pinça le flanc de l’animal qui se redressa vivement, surpris). [b]Voyez ! Même ses dents ont retrouvé leur blancheur d’antan ! (Il effaça discrètement un peu de peinture blancheur que la bête avait sur la lèvre). Achetez, acheteeez ! Profitez, profitez ! Bientôt il n’y en aura plus !
Amazone1ere
Amazone décida d'aller sur le marché afin de remplir un peu son buffet de fruits et de pains quand elle entendit un homme clamer qu'il vendait des produits miraculeux. La curiosité étant l'un des défauts d'Amazone, elle avança vers l'homme et écouta ce qu'il vendait. Amazone sourit à l'entendre.

- Et toi là!!! Comment peux-tu être sûr que tes produits sont miraculeux?? Comment peux-tu même imaginer cela?? Seul le Très-Haut est capable de miracle. Alors qu'as tu à dire sur ça??
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Ex Tribun de Nancy
--Bonimentard


Charles Hattand, sans cesser de sourire, tourna la tête vers la femme qui l’interpellait en ces mots :

Et toi là!!! Comment peux-tu être sûr que tes produits sont miraculeux?? Comment peux-tu même imaginer cela?? Seul le Très-Haut est capable de miracle. Alors qu'as tu à dire sur ça??

Il rit de bon cœur sans se laisser démonter. Il n’aurait pas été bonimenteur si la première sceptique venue l’avait fait plier. Il s’approcha de la dame et lui fit la révérence bien bas, ôtant son chapeau orné de plumes colorées.

Tout d’abord, dame, la politesse veut que je me présente. Mon nom est Hattand, Charles Hattand pour vous servir… (Il se redressa vivement et remit son chapeau). Comment puis-je être sûr que mes produits soient miraculeux ? Une évidence, voyons, une évidence ! Une cuisinière qui mitonne soigneusement ses petits plats sait quand ils sont délicieux ! Elle le sent, car elle les a faits avec amour ! Je passe mes nuits entières moi, ma dame, à concocter mes élixirs ! (il lui agita un index véhément sous le nez). Mes nuits entières ! Et je peux vous affirmer que oui, ils sont miraculeux ! Car vous évoquez le nom du Très-Haut, mais sachez que c’est un don qu’il m’a offert ! Un don, parfaitement ma dame ! Croyez-vous que pour chaque miracle Aristote descende sur terre pour l’effectuer ? N’a-t-il pas mieux à faire ? Croyez-vous que les grands seigneurs descendent de leur demeure sarcler la terre avec leurs serfs ? Non, ma dame, je vous le dis ! Non ! C’est le Très-Haut lui-même qui me donne pour tâche d’aider les pauvres âmes à obtenir une vie meilleure !

Il se tut un instant, le temps de reprendre son souffle puis il reprit :

Mais si malgré tout vous doutez encore de mes produits, testez donc ! On ne parle en mal de mes élixirs que lorsqu’on ne les connaît pas ! Baume contre les verrues aux pieds, potion tue-la-fièvre, lotion contre les cheveux gras, élixir de jouvence… Allez-y, essayez ! Quinze écus au lieu de vingt, rien que pour vous !
Endathnor
Endathnor vint sur la place du marché dans la ferme intention de vendre une bonne fois pour toute sa récolte. Les affaires étaient mauvaises ces dernières semaines et il fallait absolument inverser la tendance en prévision de l'hiver approchant. Il restait encore suffisament de temps mais le paysan ne voulait pas être prit au dépourvu.

Il entendit des beuglements et des aboyements plaintifs. Certainement par là bas que les affaires se font, allons y !

Lorsqu'il arriva, il vit un homme bien habillé déclamer un discours sur de la cuisine délicieuse avec des trucs dedans qu'il n'avait pas écouté. Il vit également la petite Dame dont il avait oublié le nom. Celle qui écrivait bizarrement mais dont le coeur était généreux. Endathnor se dit qu'aller la saluer ne serait qu'un minimum après s'être montrée si gentille avec lui.


Bonjour !
En s'adressant à Bulle. (je précise au cas où )
Bulle
(Tu fais bien de préciser)
Bulle avait depuis longtemps réussi à sortir du lavoir – hé ! Ça fait des mois, cette histoire-là, vous êtes plus à la page !
Pour l’heure, elle était assise sur la terre battue, écoutant la discussion entre Ama et un messire à la langue bien pendue.
Il lui donnait faim, d’ailleurs, avec tout son baratin… Elle se demandait quel goût avait l’onguent pour les pieds.

Quelqu’un l’interpella.
La petite simple d’esprit leva le nez et reconnu m’ssire Endathnor, pour qui elle avait demandé qu’on écrive sur un bout de papier.


‘Jour ! Lança-t-elle poliment. ǒva comme vous vvlez ?
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A perdu le pouce gauche en offrant un cadeau. Moralitt soyez ezes !
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