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[RP] Chez Diia et Kro - Les Parasites du Vicomte Disparu ...

Striife
Striife avait décidé d'aller voir si la reconstruction de la maison du bon Kro avançait, il lui avait promis de l'aider mais celui ci ne lui avait pas parlé de ceci depuis longtemps ...

Il avançait donc tout peinard quand il entendit des cris étouffés et un bruit de lutte, il voyait rien d'ici ... Il trottina pour se rapprocher en espérant voir un combat de femme, ou de clodo ...
AHhhhh il les voyait les haillons du pauvre personnage qui se faisait rouer de coups, combat de clodos !
Il ne le connaissait pas d'ailleurs ce clochard ... Et qui était l'personnage qui avait le dessus ? Bien habillé celui la ... Tiens une barbe ...

Bon Dieu c'était son Kro qui se battait contre un clodo ? !!
Et avec un enfant accroché à son dos ? Mais quel drôle de jeu !

Il se précipita pour séparer les deux chiffonniers et s'enquit vite de l'état de Kro ...


Kro, sa va ???
Bon sang qu'est ce qu'il te prend ...


Striife regarda rapidement le clochard voir si tout allait bien pour lui ... Quelques bleus mais sa ira normalement ...
Il savait que le Kro n'allait pas bien ... Mais fallait pas défouler ses nerfs sur ce pauvre vieux ...
Cybella
Cybella allait donner une pièce au pauvre homme quand l'impensable arriva...Kro se métamorphosa en un guerrier sanguinaire se ruant sur le pauvre homme.

Kro!! mais arrête voyons!! tu vas pas ...

mais rien ne servait de lui parler il écoutait plus, ses poings allaient sur nestor et Cybella ne pouvait pas intervenir, entre deux hommes impossible elle se prendrait des coups

un petit garçon sorti de nulle part sauta dans la mêlée

hééé!! non ne t'en mêle pas c 'est des histoires d'adulte ça

la impossible de les regarder se battre sans rien faire avec un enfant au milieu, enfin sur le dos

puis Striife arriva

ahh enfin un homme pour séparer c deux là!!! vite striife enpêche les de se battre plus

lorsque striffe les sépara, cybella parti voir l'enfant en premier

faut pas mon grand sauter comme ça en plein bagarre d'adultes cela peut être dangereux pour toi

lui sourit, puis jeta un œil a Kro et vit que striife s'en occupé alors elle parti voir nestor

Nestor ça va???


le pauvre homme avait la lèvre fendu et saignait beaucoup


elle sorti un mouchoir de sa poche et lui applique pour stopper les saignements
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Kronembourg
Il ne s'était pas senti frapper. Il ne s'était pas vu s'énerver, pas meme vu porter le premier coup qui avait été fatal au mendiant. Ce n'est qu'en entendant la voix de l'enfant que Kro avait réalisé ce qu'il était en train de faire : Lui, rossant un pauvre bougre, lui homme d'église, censé répandre la paix et l'amour autour de lui, lui d'ordinire si calme et encaissant les coups bien plus qu'il n'en donnait.
L'intervention de Striife le ramena pour de bon à la raison.


Kro, sa va ???
Bon sang qu'est ce qu'il te prend ...


Et puis Cyb qui était là, aidant le pauvre Nestor à éponger son sang, face à cette vision le sacristain ne sut comment expliquer son acte inexcusable.

Je ne sais pas, je ... je ne sais pas ce qui m'a pris ...

Il ne trouvait pas les mots, non, même en se calmant un peu, Kro ne les trouvait pas. Diia était au plus mal, leur enfant venait de rejoindre le paradis solaire ... était-ce une raison pour s'en prendre à une tierce personne ? Assurément non.
Kro se dégagea du gamin qui s'était accroché à son dos.


Je suis désolé mes amis. Je ... je vais me rattraper. Le Très-Haut m'en soit témoin.

Il se tourna vers Nestor qui le sommait toujours de se calmer.

Nestor, je vous présente mes plus plates excuses. A partir de ce jour et ce jusque mon dernier jour, je ferai de vous mon ami et vous traiterai comme tel.

Ce n'est pas qu'il en avait tellement envie, mais la situation dans laquelle il s'était fourré n'exigeait pas d'autre forme de réparation. Il écouta attentivement le mendiant.

Vous voulez une maison ? Nestor il en connait une. Même qu'elle a appartenu à un Vicomte qu'est pas revenu chez lui depuis des années.

Fronçant les sourcils à l'écoute de ces paroles, le sacristain désespéré d'offrir un jour une maison digne de ce nom à Diia, s'éloigna de ses amis et s'approcha du mendiant.
la maison d'un Vicomte. Un Vicomte disparu.
L'idée lui parut saugrenue dans un premier temps, puis, en y réfléchissant, le barbu hôcha la tête en signe d'approbation.
Ils iraient voir. Voir ne signifiait pas s'installer. Et puis il fallait qu'il réfléchisse à ce qu'il allait dire à Diia. Justifier ce déménagement. Faisant signe à Nestor de ne point trop parler fort, non qu'il n'ait pas confiance en ses amis mais parce que n'importe quel passant de Blaye pouvait l'entendre, Kro prit congé de ses interlocuteurs.


Mes amis, je m'en vais de ce pas payer une bière à Nestor afin de sceller notre nouvelle amitié. Merci à vous de prendre autant soin de moi, je ne serais qu'un petit homme sans vos interventions.

Se tournant vers Nestor.

Nous y allons ?
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Avant d'être homme d'Eglise, je suis homme de Dieu
Cybella
Cybella aida Nestor à se relever

vous pouvez garder le mouchoir Nestor, vous en avez plus besoin que moi

Kro...heu..faudrait lui soigner ses équimoses, on s'est jamais, sinon il pourra pas manger il a la lèvre fendu

Cybella ne savait quoi penser de tout ça, Kro la surprenait souvent, il est comme le jour ou la nuit, l'agneau ou le loup, tantôt doux, tantôt féroce... Chacun de nous l'a plus ou moins...enfin tout s'arrangeait elle en était soulagée.

Bon striife, ramenons l'enfant à sa mère, tu veux bien, je crois qu'il devrait rentrer chez lui.

prend l'enfant par la main doucement et lui fait un sourire

ta maman va s'inquiéter de ton absence on te ramène

Cybella et striffe le ramenèrent chez lui, mais chacun garda le silence sur cette affaire malheureuse
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--Le_nestor
[ Sur le chemin du verger, quelques centaines de mètres loin des drnières habitations ]





Vous allez voir Messire Détrlaqué, Nestor il va vous montrer un bâtisse comme jamais vous en avez vu.

Nestor il était tout content de s'enfoncer dans les bois aux côtés du messire qui n'arrêtait pas de lui donner des piècettes depuis qu'il l'avait battu tout à l'heure. Ach'prix là ça vallait presque l'arnaque de se faire taper dessus tous les jours hi hi hi ! Au fur et à mesure qu'ils avançaient le Nestor il pouvait plus cacher son enthousiasme : Le fou avait dit qu'ils allaient être amis et des amis, Nestor il en avait jamais eu.

Encore une piècette siouplai. Parlce que vous auriez dû m'emmener à la taverne, c'est ce que vous avez dit à dame Cybelle, et pourtant j'ai pas 'cor vu l'ombre d'une chopinette dans le fond de mon gosier hi hi hi !
Ah, on apprloche. Vous allez pas être déçus du palais ....


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Kronembourg
Kro marchait aux côtés du mendiant sans trop parler, préoccupé par ses actes de la journée, recherchant à l'intérieur de lui la façon dont il pourrait dédommager ce pauvre Nestor dont le visage était encore grimmé de coups.
Au fur et à mesure que tous les deux s'enfonçaient dans les bois, le Sacristain voyait les dernières maisons s'éloigner au rythme de leurs pas. Pour sûr cette soit-disante maison de Vicomte était tombée dans l'oubli depuis bien longtemps dans le village : Depuis un an et demi que Kro avait élu domicile à Blaye, il n'avait jamais entendu parler de cette bâtisse.

Nestor parlait fort et parlait beaucoup, c'était là son seul défaut. Et peut-être aussi réclamait-il un peu trop d'argent en échange de son amitié ... à ce rythme là, dans un an, c'est le vagabond lui-même qui allait pouvoir s'offrir la maison du Vicomte.
Mais Kro l'aimait bien au fond. Il ne devait pas être un mauvais bougre, juste était-il profondément marqué par ses tristes conditions de vie. Le problème, c'est que le barbu bourru n'était pas en soi un être très sociable. Encore moins bavard.
Il ouvrait son coeur et ses mots auprès de Diia depuis qu'il était tombé amoureux d'elle, mais en dehors de cela, dans les dialogues de tous les jours, il n'était pas particulièrement doué. Les gens bavards le fatiguaient, lui brouillaient les ideées. Lorsque Nestor était à ses côtés, Kro n'avait d'ailleurs absolument plus aucune idée dans la tête.

Ils arrivèrent aux abords d'un ruisseau, là où les dernières maisons du village semblaient presque n'avoir jamais existé, et là ....





Tu ... tu es sûr que cette maison, ce ... ce Château est vraiment inhabité ?

Il n'attendit pas la réponse du mendiant et courut chercher Diia à l'officine. Lorsque sa femme verrait cet endroit, le désespoir d'avoir perdu leur enfant ferait vite place à une timide joie retrouvée.
C'était l'occasion où jamais.
Kro disparut en courant à toutes jambes vers le village.

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Avant d'être homme d'Eglise, je suis homme de Dieu
Aradiia
[Chemin de la plage au Donjon]


Les joues rougies par le vent marin, cheveux au vent elle goûtait avidement ses lèvres sucrées salées. Un mélange des plus délicieux de sel et de salive de leurs longs baisers, sa main resserra un peu plus celle de son prince. Le temps passait doucement près de lui et chaque jour l’amour pour celui qu’elle avait choisi dès le premier jour ne cessait de se renforcer.

Le couple rebroussait chemin, derrière eux au loin la ligne du ciel et de la mer avalait le soleil couchant. Diia en avait mal à la tête tant de force lui venaient à la fois. Cette nature puissante et envahissante la submergeait en l’aidant comme une amie à surmonter les épreuves.
Son désir d’enfant était intact, dès qu’elle regardait son Kro. Mais à présent ce n’était plus de la tristesse mais de l’espoir qui l’habitait. Ils n’étaient encore que deux, mais l’union qui les attachait l’un à l’autre se reflétait dans leurs yeux. Elle sortit de ses pensées quand le rire de Kro fendit le vent. Il ne s’arrêtait pas, un rire puissant et communicatif qu’elle aimait entendre, ça la rassurait et l’émerveillait aussi.


-Rentrons chez nous mon amour. Je vais t'emmener dans un endroit où nous vivrons plus heureux encore.

Elle souleva un sourcil en riant à son tour heureuse de ce moment passé seule avec lui. Quand il parla d’un endroit ou vivre elle s’imagina tout de suite une nouvelle carriole. Beaucoup moins délabrée que celle qu’ils habitaient depuis des mois et accepta son bras pour sautiller à ses cotés pressant le pas.

-Ou m’emmènes tu Kro ? Dit moi tu as trouver une nouvelle carriole qui ne prend pas la pluie ? Ha non ! Je parie que tu as reconstruit la taverne.

Elle sautait autour de lui, comme un gamine devant des cadeaux. Attirer son attention, le faire parler. Pourtant elle savait si bien faire ça.

-C’est ça hein ? Aller dit !!

Mains dans la main dépassant le verger, un tapis de feuilles mortes avec de bonnes odeurs de noisettes et aux arbres nus, leur branches portant quelques rares fruits maigrichons.
Elle découvrit à l’écart des habitations, une immense demeure semblait flotter sur l’eau aux ardoises remplie de mousse. Diia s’arrêta net bouche entrouverte, contemplant le donjon aussi haut qu’une montagne. Elle ne pu regarder Kro quand elle poussa un cri.


Quoi ! Mais… Mais c’est un château. Mon amour, comment as-tu fait ?
Tu l’as acheté ? C’est à nous cette magnifique maison ?

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Kronembourg
Lorsqu'il avait rejoint Diia à l'officine et que la jeune femme lui avait demandé de l'emmener jusque la plage, Kro se sentait encore le coeur léger. Voir son épouse si heureuse, reprendre goût à la vie après la perte de leur enfant représentait pour lui un présent inestimable que seule la grâce de Dieu ( et un peu de médecine ) pouvait lui apporter.
Ils avaient marché, couru une heure ou deux le long de la mer, le temps entre eux avait si peu d'importance ... ce n'est qu'après, lorsque Kro avait proposé à Diia de rejoindre le domaine du Vicomte, qu'il s'était posé la question fatidique : Qu'allait-il raconter à sa femme pour lui expliquer qu'ils allaient tous les deux vivre chez un autre, qui plus est un richissime inconnu qui risquait de rentrer chez lui d'un jour à l'autre ?

La vérité, oh, Kro avait bien songé à la lui avouer. Mais c'eut été gâcher la joie que Diia éprouvait en apercevant le domaine : Après tout, après tant de mois passés dans une carriole délabrée au milieu des poellons et des peaux de bêtes, tous les deux avaient bien droit à un petit morceau de bonheur et de confort.
Restait donc le mensonge qu'il lui faudrait porter à l'écart des regards, un terrible mensonge qui devrait rester secret coûte que coûte.


Quoi ! Mais… Mais c’est un château. Mon amour, comment as-tu fait ?
Tu l’as acheté ? C’est à nous cette magnifique maison ?


Timide sourire sur la bouche du barbu. Comment ne pas fondre face à une telle joie de vivre ? ... Qu'allait-il expliquer ? Kro s'écouta parler sans en croire lui-même ses oreilles.


Nous l'avons gagnée mon amour. J'ai participé à une grande loterie Ducale l'autre jour en me promenant en Gargote, et Dieu ... ( oh non, ne pas mêler Dieu à ça ... ) ... et j'ai gagné le premier prix. C'était ce domaine. Il te plaît ? Tu es contente ?


C'était la première fois que Kro mentait à Diia depuis le jour de leur rencontre. Il en prenait conscience tandis qu'ils avançaient tous les deux en bordure de jardin, observant l'extérieur du domaine avec de grands yeux ébahis. A présent que le processus était lancé, le sacristain ne pouvait plus reculer. Un flottement de peur dans le ventre l'empêchait de trop s'exprimer, mais il continua :


On va visiter ?
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Avant d'être homme d'Eglise, je suis homme de Dieu
Aradiia
Contente n’était pas le sentiment qui habitait Diia, mais plutôt un ravissement inespéré. Après la tristesse de ces derniers temps, la chance leur souriait donc à nouveau.

-Mais c’est merveilleux !! Je suis enchantée mon amour. C’est un palace, tu te rends compte après notre carriole ! Gagné une chose pareille à la loterie ? Je n’avais jamais entendu parler que le duché offrait des châteaux aux Guyennais.

Elle fit une légère moue, avec un soupire forcé et scruta son Kro.
-A part nous prendre des écus et être incompétent, je ne savais pas qu’il était aussi généreux… Il faudra que j’écrive une lettre de remerciement à notre duchesse quand même. C’est la moindre des politesses, tu ne crois pas ?

On va visiter ?

Un grand sourire illumina le visage de la jeune femme, plongeant un regard remplis d’étoiles dans celui de Kro. Elle lui sauta au cou et l’embrassa passionnément en lui glissant à l’oreille.
-Oui!! Allons-y! Je suis si heureuse mon ange, à présent nous allons pouvoir fonder nôtre grande famille et vivre dans un château.

Le bout du nez glacé et rougit serrant son châle sur ses épaules, Diia poursuivit un peu plus bas en jetant un œil furtif à Nestor.
-Qui est-ce ? C’est un ami à toi ?

Elle se détacha de lui en adressant un sourire aimable à Nestor puis attrapa la main de Kro l’entraînant vers la bâtisse.
Un peu en arrière suivait Nestor dévisageant la jeune médicastre d’une manière forte insistante.

Elle s’arrêta devant la porte d’entrée. Diia leva le nez jusqu’au toit observant au dessus d’elle l’imposante façade. Les pierres couvertes de mousse abritaient quelques nids de volatiles piailleurs. Les minces fenêtres laissaient entrevoir de l’extérieur une demeure confortable et spacieuse.
Diia battit des mains aux anges et poussa la lourde porte qui s’ouvrit lentement en grinçant sur eux. Ils entrèrent prudemment ensemble suivi de près par Nestor en même temps qu’un courant d’air glacial. Diia serra fort la main de Kro, un peu inquiète et pleine d’impatience de découvrir leur nouvelle demeure.
Leurs pas résonnèrent dans le vestibule, quand des bruits de battements d’ailes se fondirent jusqu'à eux venant de l’étage. Elle sursauta et se cacha par instinct contre son époux à l’allure si rassurante.


-BRRRRR !!!!! C’est tout noir, on y voit rien ici ! Quelqu’un a une torche ?
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Kronembourg
[ VISITE GUIDEE DE LA CAVE AU GRENIER ]


On entendait des : " RhooOOooo !! " et des : " AaaaAAaahhh !! " résonner au loin tandis que le trio infernal dirigé par Nestor avançait pour visiter l'intérieur du domaine.
Des pièces, des salles, des multitudes de décors fastueux en chaque endroit qui émerveillaient les yeux et ravissaient les sens.





Au fur et à mesure qu'ils visitaient les bienheureux locataires n'en croyaient pas ce qu'ils voyaient, Kro tenait la main de Diia en lui prodiguant une chaleur apaisante et rassurante, mais à l'intérieur de lui, bouillonnaient mille émotions indicibles bien vite remplacées par l'émerveillement dont il était presque victime tant il ne s'attendait pas lui-même à un tel luxe.




Jamais le Sacristain n'avait cottoyé autant de faste. Chaque fois qu'il pensait être surpris par un endroit il l'était encore davantage par le suivant : Des salons, des salles de bains, chaque pièce comptait son double, on était bien loin de l'abreuvoir dans lequel se lavait Kro tous les matins, on était bien loin de la carriole au fond de laquelle le couple se couchait douloureusement chaque soir. Leur vie allait enfin changer.





Rhoooo mais Diia qu'est-ce qu'on va faire de tout ça ? Répétait Kro ébahi.

Il essayait d'oublier que sa femme envisageait d'écrire une lettre de remerciements à leur Duchesse. Celle qu'ils croisaient parfois tous les deux dans les couloirs de l'université, il suffirait même d'une seule conversation entre les deux femmes entre deux cours pour que le projet de Kro capote en un clin d'oeil. Le barbu imaginait d'ici la tête de Mélior si Diia l'abordait pour lui parler de ce fabuleux domaine soit-disant gagné à une grande loterie Ducale. Il fallait absolument éviter ce désastre ...
... Mais pour l'instant, l'heure était aux présentations.



Mon ange, je te présente Nestor. C'est un ami ... Charpentier, qui arrondit ses journées en allant mendier à l'église. Je ne l'ai pas encore vu à l'oeuvre mais s'il y a des travaux à faire ici, tu peux être certaine qu'il s'en chargera avec plaisir.

Il laissa sa femme et son ami faire connaissance un instant puis, tout à sa joie, il se plaça face à celle qu'il aimait et déposa un doux baiser sur ses lèvres. Instant fugace d'un plaisir qu'il ne voulait partager qu'avec elle. Imaginant un stratagème pour éloigner le mendiant, Kro murmura aux oreilles de son ange :


Et si nous allions voir les chambres ?
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Avant d'être homme d'Eglise, je suis homme de Dieu
--Le_nestor
Mon ange, je te présente Nestor. C'est un ami ... Charpentier, qui arrondit ses journées en allant mendier à l'église. Je ne l'ai pas encore vu à l'oeuvre mais s'il y a des travaux à faire ici, tu peux être certaine qu'il s'en chargera avec plaisir.





Hi hi hi Nestor il rigolait à l'avance, Charlpentier c'était un ben grland mot pour un mendiant qui vivait entre quatre planches et qu'avait jamais fait aucun travaux dans aucun barraquement, mais Nestor il préfèra ne rien dire pour avoir la confiance de la dame et pouvoir rester ici avec eux dormir les nuits où il en aurait envie.
Ché que chétait un malin le Nestor : Dès qu'il avait vu la dame, il avait compris que le détraqué il faisait tout pour lui faire plaisir et qu'il faudrlait donc toujours passer par la dame, indirectement, pour obtenir quelque chose.

Depuis qu'il dormait de temps en temps chez le Vicomte, Nestor il avait jamais visité entièrement le terrain. Ché que chétait un sacré domaine quand même. Le détraqué chétait un sacré menteur de dire que la commune elle leur avait donné tout cha.
Aussi le Nestor il eut d'un coup une idée de génie ... il s'approcha du fou et lui murmura discrètement à l'oreille.




Ce que Nestor il vous a pas dit, ché que c'est Nestor le gardien de la maison quand le Vicomte il est pas là. Y va falloir payer la location. Et ça va revenir cher hi hi hi !



... Et il tendit la main afin de réclamer ses premières piécettes locatives. Ah cha que ça allait être une sacrée affaire hi hi hi.



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--Diaspora


Diaspo errait dans les hauts du château, comme à son habitude, passant de pièce en pièce imperturbable et silencieuse. Le regard triste, l'âme en peine attendant son tendre fiancé pour l'éternité... un couple s'était installé au château, mais elle les fuyait ne voulant par leur faire peur, si ils pouvaient préserver sa demeure elle en serait heureuse. La lune était lumineuse, d'une brillance exceptionnelle...que de nuits passées dans les bras de son amour à regarder les étoiles filantes...Il lui restait que des souvenirs et cette attente interminable, cet espoir de le revoir surgir sur son étalon noir par le pont levi. Son chemin continua sur le chemin de ronde, les nombreux escaliers, les pièces secrètes qu'elle seule connaissait...

amour invisible
--Diaspora
traverse un long couloir secret donnant accès à la salle des trésor dont personne n'avait plus connaissance. Elle le fera connaitre aux personnes dignes de le recevoir en remerciement de leur bonté envers la demeure et son passé. Pour le moment seul le silence régnait dans la demeure du vicomte...et elle l'âme perdu, personne ne se souvenait d'elle à part des tableaux la représentant. Mais où sont les gens du château?? deux personnes ne vivront qu'ici? cela va pas être très animé part dans le salon d'hiver, une pièce verdoyante de plantes exotiques ramenaient par le vicomte de ses voyages en orient...
--L.huissier.hubert
[ A QUELQUES LIEUES DE LA ]





Le nez tendu vers le Soleil d'Hiver Limougeot, la moustache toute frémissante dressée vers le ciel froid de cette fin d'hiver 1458, Hubert pouvait sentir et ressentir la fraude à dix-mille lieux à la ronde.
C'était là un don de naissance, comme une providence, un cadeau attribué par le Très-Haut.
La Calèche aux couleurs de la Baronnie d'Ytres, domaine Artésien tel étant celui de sa naissance, mandaté par la Comtesse Ombeline en personne, dame d'Asvene-les-Bapaumes lui ayant confié pleins pouvoirs sur ses débiteurs du Sud, Hubert conduisait son carosse à travers les Royaumes à la recherche de la fraude, de l'escroquerie, afin de rabattre les fonds des créanciers mahonnètes qui sévissaient tranquillement vers les côtes Atlantiques de la France.

Il avait déjà coincé deux minables spéculateurs dans la ville de Limoges, deux anciens Guyennais qui avaient voulu échapper à la justice locale en déménageant à la sauvette dans une ville éloignée, qui pensaient échapper à la justice ... c'était sans compter sans le traîté de coopération judiciaire entre la Guyenne et le Limousin, les deux fuyards finiraient donc en prison ainsi que l'avait écrit Hubert au juge Barryroots dès qu'il avait repéré le petit manège deux deux petits malins.

Quelques temps plus tôt Hubert avait aussi coincé de grands noms appartenant à ce royaume globalement corrompu : Vaxilart, Nicolas.de.Firenze, feu Aqualung qui avait préféré la honte de la fuite à l'honneur de mourir en homme, ainsi que le Patriarche Watelse qui pensait règner en Seigneur et Maître sur Bayonne avant que Hubert ne le destitue de ses titres factices en place publique. D'autres encore pensaient lui échapper longtemps.
Là encore, c'était sans compter sur la finesse de l'Huissier prêt à dénoncer sa propre mère pour le peu que cette dernière ait resquillé d'un denier la laitière plus crasseuse du dernier des derniers des bas-fonds des quartiers.

Pour cette fois, c'était le Vicomte de Saint-Clément-les places qui s'inquiètait du devenir de son domaine. Presque sept années que la propriété familiale était mise en vente sans trouver acquéreur. Le pli officiel sous-scellé du Vicomte avait indiqué des consignes claires : Il fallait se rendre à Blaye afin d'établir un état des lieux précis sur le mobilier et l'immobilier concernant le domaine.

La moustache toujours frétillante, L'huissier Hubert mit lentement sa calèche en route. Ca sentait les bonnes affaires, il ne fallait pas traîner.
Cybella
Cybella profita d'un peu de calme au village pour faire les échoppes elle avait une idée en tête et comme elle cherchera jusqu'à trouver ce qu'elle voulait les heures pouvaient défiler elle en avait cure. Entrant, sortant pendant des heures et commençait à râler sec

bon sang, c'est pas possible de faire des choses aussi moche pffff


elle continua son chemin et au détour d'une ruelle une petite boutique qui ne payais pas mine l'attira

hum c'est toujours la dedans que l'on trouve des trésors

elle y entra et ne fut pas déçue

bonjour dame, je me permet de faire un petit tour, il y a surement un petit trésor pour moi



la pièce était petite éclairait par des bougies car sans fenêtres. Cyb fouina partout et trouva l'objet de ses recherches, tout se temps enfin récompensé.

ahhhh! voila c'est exactement ça que je souhaite, merci de bien me l'emballer il va voyager un peu dans ma besace.

Payant l'artisan et le félicita pour son remarquable travail et sorti. Récupéra Etoile à l'auberge et parti en direction de la demeure de ses amis. Une demeure bien éloignée du village, mais si belle surtout. Arrivée devant l'imposant édifice, elle mit pieds à terre et passa la haute porte et dans la cour chercha des yeux un anneau pour attacher sa jument.

Bon bouge pas ma belle, je reviens dans pas longtemps

traverse à nouveau la court et se dirige vers la porte qui semblait être celle pour les invité. Se mis devant l'imposante porte en bois, épaisse comme le poing et se saisi du lourd marteau et le fit cogner

boum boum boum


houlà ça réveillerais un mort ça


attendit qu'on lui ouvre
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