Krystel_van_hoedezee
Krystel était partie quelques semaines hors des Flandres... Vraiment ? Oui, car un mystérieux appel vanillé lui était parvenu à Gent, alors qu'elle était alors "accompagnée" de quelques brigands. Les faits des semaines précédentes, dignes de ce que l'on appellera un vaudeville, ou une histoire complètement débile, méritent un petit résumé. Pour ceux qui s'en cognent, un conseil : passez au paragraphe d'après.
Un soir, alors que la jeune fille travaillait chez elle, à Dunkerque, une bande de mercenaires l'enleva. Ayant reconnu en elle un officier royal (ben ouais), ils décidèrent de la promener en Flandres et de la laisser exercer son office. Ils n'avaient effectivement pas très envie qu'une bande d'hommes armés vînt délivrer la môme à coups de hache sur la moustache. Et puis, elle était leur seul lien vers deux gars qu'ils recherchaient pour le compte d'un chef mystérieux. La jeune fille ayant un appartement à Bruges, décision fut prise de se rendre en la capitale des Flandres. Hélas, l'un des sicaires mourut. La bande fit disparaître le plus discrètement du monde le corps (dans le canal), puis se sauva à Gent. Krystel, ayant récolté quelques marrons au cours d'un interrogatoire musclé, récupérait de ses émotions, quand on lui apprit qu'un courrier lui était parvenu. En prenant connaissance du contenu de la missive (convocation), décision fut prise de se séparer en deux groupes : l'un allait voir le chef pour donner des nouvelles des mercenaires missionnaires ; tandis que l'autre se rendait à la convocation de l'auteure de la lettre. Krystel parvint donc à Menessaire, en Bourgogne, accompagnée du reste des sicaires. Sur le chemin de retour, Krystel et ses compagnons rencontrèrent un nid de frelons, qui les obligea à se séparer. Le cheval de Krystel décida de prendre la fuite par la rivière, tandis que les brigands couraient la campagne.
Krystel revenait donc seule de Bourgogne, un paquet sous le bras, débarrassée de ses ravisseurs. La Providence, et aussi, la profonde stupidité des sicaires, l'avaient délivrée de cette situation périlleuse. Elle avançait au pas, caressant d'une main le grain fin du coffret offert et tenant de l'autre les rênes de sa jument. Soudain, sa monture, sans doute piquée par un taon, s'emballa. Cheval et cavalière traversèrent la campagne en trombe. La gamine appelait à l'aide, bien sûr, quelques serfs levaient le nez à l'approche du cheval... avant de s'écarter de sa route.
A L'aide ! A moi ! Mon cheval s'est emballé... Hé !
Krystel se sentit soulevée de la selle. Elle sentit un choc violent. Puis, tout devint noir.
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Un soir, alors que la jeune fille travaillait chez elle, à Dunkerque, une bande de mercenaires l'enleva. Ayant reconnu en elle un officier royal (ben ouais), ils décidèrent de la promener en Flandres et de la laisser exercer son office. Ils n'avaient effectivement pas très envie qu'une bande d'hommes armés vînt délivrer la môme à coups de hache sur la moustache. Et puis, elle était leur seul lien vers deux gars qu'ils recherchaient pour le compte d'un chef mystérieux. La jeune fille ayant un appartement à Bruges, décision fut prise de se rendre en la capitale des Flandres. Hélas, l'un des sicaires mourut. La bande fit disparaître le plus discrètement du monde le corps (dans le canal), puis se sauva à Gent. Krystel, ayant récolté quelques marrons au cours d'un interrogatoire musclé, récupérait de ses émotions, quand on lui apprit qu'un courrier lui était parvenu. En prenant connaissance du contenu de la missive (convocation), décision fut prise de se séparer en deux groupes : l'un allait voir le chef pour donner des nouvelles des mercenaires missionnaires ; tandis que l'autre se rendait à la convocation de l'auteure de la lettre. Krystel parvint donc à Menessaire, en Bourgogne, accompagnée du reste des sicaires. Sur le chemin de retour, Krystel et ses compagnons rencontrèrent un nid de frelons, qui les obligea à se séparer. Le cheval de Krystel décida de prendre la fuite par la rivière, tandis que les brigands couraient la campagne.
Krystel revenait donc seule de Bourgogne, un paquet sous le bras, débarrassée de ses ravisseurs. La Providence, et aussi, la profonde stupidité des sicaires, l'avaient délivrée de cette situation périlleuse. Elle avançait au pas, caressant d'une main le grain fin du coffret offert et tenant de l'autre les rênes de sa jument. Soudain, sa monture, sans doute piquée par un taon, s'emballa. Cheval et cavalière traversèrent la campagne en trombe. La gamine appelait à l'aide, bien sûr, quelques serfs levaient le nez à l'approche du cheval... avant de s'écarter de sa route.
A L'aide ! A moi ! Mon cheval s'est emballé... Hé !
Krystel se sentit soulevée de la selle. Elle sentit un choc violent. Puis, tout devint noir.
RP final ouvert à tous. Les soigneurs peuvent lui faire boire des trucs pas clairs, lui prodiguer toute sorte de soin. Vous pouvez même la déplacer si vous le désirez. Mon dé ayant choisi un bras cassé pour ma louloute, soyez cohérent avec ça. Elle n'est pas morte. Elle est juste très sonnée.
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