Atypic
Monsieur le Duc Vaxilart, si les "apparences de conflits d'intérêt" justifient de ne pas avoir le droit de s'exprimer en place publique, puisque c'est là que nous sommes, alors je pense que nombreux sont ceux qui, ici, devront s'abstenir d'intervenir...
Je ne vois pas, je dois vous l'avouer, en quoi je choquerais la logique et la sincérité. Mais je ne vous demande pas de me croire, et ne l'ai jamais demandé. Car, depuis le 2 septembre, je fais, justement très attention à éviter de faire appel à la croyance, mais bien au contraire, de faire appel à la logique, en m'appuyant sur les articles du Codex bourguignon. Et que me répond-on ? Pas un élément légal, pas un texte de loi, pas une argumentation (vous pouvez vérifier !). Des jugements, des certitudes, des croyances, à la pelle, mais du concret ?
Les faits sont têtus. Les articles de loi également.
Je sais parfaitement que le Collège de la Noblesse est fondé à invalider toute liste, sans motif particulier. Soit. Je pensais cependant que l'article 01.3 du Codex (je cite de tête : "Le Duché recognoit l'autorité des institutions royales et notamment la Pairie, la Cour d'Appel du Royaume, et la Hérauderie du Royaume de France") concernait aussi le Collège de la Noblesse et que, à ce titre, le fait que les statuts de cette institution officiellement reconnue précisent que l'acceptation d'un appel suspend de fait toute invalidation s'imposait à tous. Mais il doit s'agir d'une erreur de mes sens abusés. Vous souhaitez que nous n'entrions pas dans des arguties sans fin ? Soit, laissons cela, de toute façon, ce n'est pas le lieu...
Enfin, compte tenu du fait que les procès de ceux qui ne sont, je vous le rappelle, en rien mes protégés, sont directement liés à la procédure de vote dont le Collège nous a tenu informés et a mis sur la place publique, je ne vois pas qu'ils doivent être disjoints de cette conversation. Et ceci d'autant plus que, vous le soulignez vous-même, contrairement à ce que vous disiez devant le Tribunal l'autre jour, me traitant du même coup avec condescendance, la Cour d'Appel dont vous disiez qu'elle pouvait être saisi et que tout était bien, ne peut revenir sur le verdict. Si celui-ci est néanmoins inique, ce que je maintiens jusqu'à plus ample informé, cette noble institution ne peut le modifier. Et vous voudriez que cela me paraisse justice ?
Vous le voyez, Monsieur le Duc, je tente de ne point mélanger, ni la Cour de Bourgogne, ni le Collège de la Noblesse, ni l'avis des nobles de Bourgogne, ni la Cour d'Appel des Royaumes... J'essaye juste de trouver quelque part trace de la Justice.
Je ne vois pas, je dois vous l'avouer, en quoi je choquerais la logique et la sincérité. Mais je ne vous demande pas de me croire, et ne l'ai jamais demandé. Car, depuis le 2 septembre, je fais, justement très attention à éviter de faire appel à la croyance, mais bien au contraire, de faire appel à la logique, en m'appuyant sur les articles du Codex bourguignon. Et que me répond-on ? Pas un élément légal, pas un texte de loi, pas une argumentation (vous pouvez vérifier !). Des jugements, des certitudes, des croyances, à la pelle, mais du concret ?
Les faits sont têtus. Les articles de loi également.
Je sais parfaitement que le Collège de la Noblesse est fondé à invalider toute liste, sans motif particulier. Soit. Je pensais cependant que l'article 01.3 du Codex (je cite de tête : "Le Duché recognoit l'autorité des institutions royales et notamment la Pairie, la Cour d'Appel du Royaume, et la Hérauderie du Royaume de France") concernait aussi le Collège de la Noblesse et que, à ce titre, le fait que les statuts de cette institution officiellement reconnue précisent que l'acceptation d'un appel suspend de fait toute invalidation s'imposait à tous. Mais il doit s'agir d'une erreur de mes sens abusés. Vous souhaitez que nous n'entrions pas dans des arguties sans fin ? Soit, laissons cela, de toute façon, ce n'est pas le lieu...
Enfin, compte tenu du fait que les procès de ceux qui ne sont, je vous le rappelle, en rien mes protégés, sont directement liés à la procédure de vote dont le Collège nous a tenu informés et a mis sur la place publique, je ne vois pas qu'ils doivent être disjoints de cette conversation. Et ceci d'autant plus que, vous le soulignez vous-même, contrairement à ce que vous disiez devant le Tribunal l'autre jour, me traitant du même coup avec condescendance, la Cour d'Appel dont vous disiez qu'elle pouvait être saisi et que tout était bien, ne peut revenir sur le verdict. Si celui-ci est néanmoins inique, ce que je maintiens jusqu'à plus ample informé, cette noble institution ne peut le modifier. Et vous voudriez que cela me paraisse justice ?
Vous le voyez, Monsieur le Duc, je tente de ne point mélanger, ni la Cour de Bourgogne, ni le Collège de la Noblesse, ni l'avis des nobles de Bourgogne, ni la Cour d'Appel des Royaumes... J'essaye juste de trouver quelque part trace de la Justice.