--Petite_lilya
Lilya n'avais connu que sa maman, avec des responsabilités ou là mais peu présente, Lilya savait que sa mère l'aimait mais peu souvent avec eux, saturnin c'était occupé de chinon (son frère) et d'elle...
Du temps où sa mère était maire, elle rentra un soir en disant,
- je ne me représente pas une troisième fois je me sens pas bien, du repos avec vous mes enfants, j'ai envie de passer du temps avec vous
Lilya eu un sourire amusée car sa mère leur avait fait des gâteaux, des rôtis enfin elle avait une maman rien qu'à elle, qui était là présente, elle apprit aussi que sa maman avait été tisserande, et avec un beau drap blanc (cadeau d'un ami à sa naissance) Elle lui fit une robe blanche, avec des nuds rose partout...la petite fille tournoya sur elle même et se dis qu'elle ne quittera jamais sa robe...
Puis sa maman décida un jour de partir à Noirlac, la petite fille frémit, à chaque fois c'était des prières, des géni flexions, des chutttttttttttttttttttttttttt, tout rêve de petite fille de 8 ans enfermée la bas...
Ils arrivèrent devant Noirlac, chinon se cacha dans les jupes de sa mère et Lilya taquina son frère
Ne - Fais pas le bébé, et ne commence pas à hurler
- Même pas vrai mézante, MAMAAAAAAAAAAAAAAAAAAAn
Ayla exaspérait regarda ses enfants
- Mes amours, on se calme chinon non tu nes pas un bébé alors ne pleure pas, et Lilya ne taquine pas Chinon je ne me sens pas de me battre avec vous deux
Puis ils pénétraient dans ce...lieu froid, et Lilya eu un drôle de sentiment et une vague de tristesse s'empara de la petite fille
- Le même regard que Mélo, ta tante allez ma puce on ne va pas te manger
- non Maman Lilya pas mangé
Ils partirent en fou rire, Chinon avait eu son mot de fin et virent les surs arrivé en courant, d'un geste la plus vielle sépara Lilya et chinon de leur mère une autre vint prendre le relais
- avez-vous faim les enfants si oui on va aller se ravitailler à la cuisine
- Révi quoi?! Demanda chinon
- Ravitailler chinon et arrête avec tes questions et avance on ne va pas embêter ses braves gens
Chinon se serra contre sa sur et la suivit en cuisine, on leur servi une assiette pleine de bonnes choses et la sur leur dit
- Je reviens vous êtes sage je vous fais confiance
Lilya redressa la tête et vit partir la sur et se pencha vers son frère
- Je vais voir ou est maman tu ne bouges pas
La petite fille se faufila en douce, et entendit des voix elle les suivit, et vit qu'on installait sa maman
- allez ma fille au lit, vous avez besoin de reprendre des forces ne vous inquiétez pour vos enfants, votre santé avant tout, et je vous averti pas d'escapade, ni rien, car n connait votre manège à force vous êtes intenable, on na pas idée de devenir maire d'une ville aussi importante dans votre état mais bon vous en avez toujours fait à votre tête
Ho sa maman se faisait gronder, Lilya tendit l'oreille car elle savais que sa mère aller lui rabattre le caquer mais la rien ne vint et Lilya baissa la tête, car sa mère ne répondait et ne tenait plus tête a personne depuis longtemps, dans son souvenir sa mère était forte belle intelligente, et surtout elle avait était chef maréchal, et ça Lilya ca l'avait toujours impressionner moins quand sa maman était devenu douanière des papiers à donner des rapports à faire rien de bien intéressant si les gens qui l'insulter et la elle remettait tout le monde a sa place, et quand elle était devenue après son "oncle" Masa elle l'avait trouvée douée mais là, sa mère ne se battait presque plus...
- Jeune fille que faites-vous là
Une grosse voie tonna derrière la petite fille qui sursauta
- Je...je venais voir ma maman
Une voix plus frêle se fit entendre
- Lilya vient ma chérie
La petite rentra et sa maman installée sur de gros coussin lui ouvrit les bras
- une petite grippe ma dis la mère ca va aller ma puce
- Maman tu devrais appeler marraine...
- Ta marraine va m'achever oui, la je lui prouve...que je me soigne
Lilya leva les yeux au ciel sa mère même malade ne changerait pas....
--Petite_lilya
Les jours passant, Ayla se remit doucement, enfin en apparence, elle se promenait avec ses enfants, grâce aux soins des surs, elle arrivait mieux à respirer
Assise à lombre dun arbre, la jeune femme écoutait sa fille lire une histoire, sa diction était beaucoup mieux, et Ayla en profita pour écrire une lettre
- Maman tu écris à qui ? Demanda Chinon
- cest une surprise les enfants, vous verrez le temps venu
La jeune femme ne fini pas sa phrase quand une quinte de toux la prit, la jeune femme ne pouvait plus reprendre sa respiration et quand elle se fut calmer, elle était bien pale et Lilya leva sa tête et vit que sa mère cachait son mouchoir, elle y vit du rouge et prit peur
- Maman je reviens, chinon reste avec elle tu la surveille hein
Le petit garçon prit lair dun homme, la posture lui fit penser a son père la même façon de se tenir, Lilya regarda sa maman et son petit frère et parti en courant
Elle traversa tout le couvent comme ci le diable était à ses trousses, puis arriva devant linfirmerie, elle tapa à la porte et nattendit pas quon lui réponde
- Ma sur ? Cest
cest
La sur la regarda
- Calme toi ma fille et respire à fond et explique moi tout
- Cest maman elle
elle sest mise à tousser et à cracher du sang et maintenant elle est toute pale dans le parc
Venez vite !!!
- Calme toi tu vas aller la rejoindre et rester auprès de ton petit frère, jarrive jai un pigeon à écrire
La petite fille ressorti, et se cacha dans un coin pour pleurer, car du sang qui sors de la bouche ce nest pas normal, sa mère allait mieux, mais on lui avait lavais vue avec sa tante Melodya, que des fois ca réapparait plus tard, et on meurt Lilya renifla sessuya le nez sur sa manche et retourna dehors
- A ma chérie tu es allée ou ?
- Maman jai
eu une envie pressente
- tu aurais pu me le dire, javaaaaaaaaaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii envieeeeeeeeeeeeeeee
Lilya regarda son frère et lui intima de se taire
- Maman tu vas mieux ? demanda Lilya
Difficilement Ayla hocha la tète et prit la lettre et attacha a la patte dun pigeon sa lettre et le fit partir
- Maman tu as écris a qui ?
- A ma mère
Ayla eut le visage qui se ferma pale et essayant de reprendre sa respiration quand la sur de linfirmerie arriva et Lilya eut lair soulagée
--Soeurcolette
Sur Colette sinterrompit en apercevant une petite fille arriver en criant.
Citation:Cest maman elle
elle sest mise à tousser et à cracher du sang et maintenant elle est toute pale dans le parc
Venez vite !!!
Sur Colette regarda la gamine calme toi ma petite ! Calme-toi !
Tu dis du sang dans le mouchoir par Aristote !
Elle laissa ce quelle était entrain de faire puis se rendit à la cellule de la jeune femme en question.
Elle laperçue au loin dans le jardin.se dirigea vers elle.
Alors Dame Ayla que ce passe til votre fille est venue me voir affolée, vous savez également que les enfants ne sont pas autorisés ici ils sont tolérés durant certaine heures et c'est tout ,alors de les voir en plus courrir dans les couloirs...
Elle ma dit que vous crachiez du sang ?
Il y a longtemps ?
Non, non ce nest rien elle jeta un regard sévère à sa fille, je vous dis que ce nai rien du tout juste une irritation du à la toux. Elle sest affolée pour rien.
Pourquoi a tu été dérangé Sur Colette ! Je vais bien, je vous lai dis.
Cest ce que vous dites mais je vois bien que non !
Vous avez maigrit, vous êtes toute pâle, vous avez peu appétit et la vous
Ayla soupira jai limpression dentendre Asterie décidément
Asterie vous dites cest un nom qui me dit quelques chose.
Oui cest le médecin de Saint Aignan.
Tu devrais lui dire maman.
Oh non !Tu ne la connais pas elle va venir de suite et me faire avaler je ne sais quoi et surtout minterdire de sortir du lit
Asterie oui je me souviens maintenant elle est un dés professeur de Noirlac elle à enseigner la folie. Vous devriez lui
Ma sur vous ne la connaissez pas elle va ma persécutez.
Vous persécutez voilà un bien grand mot.
Je vous le dis ma sur vous la connaissez pas elle va mobliger à rester au lit et je ne pourrais plus sortir de la chambre cest quelle a un grand pouvoir de persuasion et en plus elle est aider. Je me souviens quand jétais enceinte pas moyen de lui échapper !
Sur Colette regardait la jeune femme et ne pu sempêcher de sourire en entendant la description faites par Ayla du Médecin de Saint Aignan.
En effet vous avez raison cest terrible un médecin qui oblige ses patients à se soigner. Va falloir la dénoncer à léglise vous ne trouver pas ?
En attendant cest moi qui vais prendre le relais vous aller allez vous reposer dans votre cellule ici lair est un peu frais.
Je vais vous apporter une tisane et si ça ne va pas vous viendrez à linfirmerie.
Asterie
Asterie état au dispensaire entrain de préparer quelques onguents et préparation. Elle fît également linventaire de ce quil lui fallait en plantes pour les commander à Maitre Pharmacien.
Maintenant quelle avait de laide de Mathis cela la soulageais un peu.
Une jeune novice frappa à la porte et lui remit une missive.
Elle las prit et la lu.
Citation:Maître Asterie dAmbparé,
Je me permets de vous envoyer cette missive pour vous demander conseil.
Je suis Sur Colette de labbaye de Noirlac je moccupe de linfirmerie.
Nous avons un Médecin qui passe de temps en temps sinon nous avons Sur Marie qui est notre apothicaire en chef qui soccupe de tout ce qui est des traitements aux différents malades aider de Sur Elise et de Frère Pierre herboristes.
Pourriez vous passer à Noirlac pour une visite. Nous avons plusieurs malades et puis également une de vos amie Dame Ayla qui nest pas bien du tout malgré ses dires.
Je vous pris accepter Maitre Asterie dAmbparé mes sincères salutations.
Sur Colette de lAbbaye de Noirlac.
Asterie sortit de la pièce soccupa des patients qui attendaient dans la salle attente. Puis donna des directives pour le lendemain.
Elle envoya un courrier pour annoncer son arrivée le lendemain matin. _________________
La loyauté envers une personne ne s'achète pas, elle se mérite.
--Melodya
[Entre réalité et la mort]
Ayla ouvrit les yeux, et vit assise prêt delle
sa sur
- Alors ma puce, tu me fais quoi ? Tu nas pas le droit de te laisser aller
- Norf mélo, Ayla eut les larmes aux yeux, tu
es
- Morte et oui et toi bientôt aussi mais avant il faut que tu parles a Astérie une promesse est une promesse
Ayla sourit
- Ma puce tu sais que ca fias des jours que je te parle et tu ne mentendais pas, sauf un sourire sur tes lèvres, et la tu me vois enfin
- Ben que veux tu, tu nas pas du hurler assez fort
Ayla saperçu quelle arrivait à respirer sans difficulté, elle sassit sur son lit sans aide du coup en profita pour se lever
- Astérie rentre et me voit debout elle va me gronder
Melodya lui montra le lit, et Ayla retourna la tête, sur le lit elle était couchée et respirer difficilement
- Je ne suis pas morte ?
- Non ma puce pas encore, mais ca te dis daller faire un dernier coucou à tes amis ?
- Comment ca ?
- On passe chez les uns et les autres, alors tu en penses quoi ?
- Oui je veux bien
Et dun seul coup, elles se retrouvèrent dans un bureau, une femme était en train décrire des pigeons des tonnes de livre jonché son bureau
- Cest Néphé ma déesse, elle va me manquer, elle est gentille si tu savais
Elles se sourirent et Ayla passa derrière le bureau et embrassa son amie sur la tête, puis après un nouveau changement
- On est ou ?
- Regarde bien tu vas reconnaitre
Ayla écarquilla les yeux la devant elle se tenait Babar dans son moulin, elle lavait prévenue mais lui ne lui avait jamais répondu, elle sapprocha et doucement posa sa main sur la sienne
- Nos enfants sont entre de bonne main ne tinquiète pas
Puis un nouveau bond et elles se retrouvèrent dans un bureau un homme entrain de lire
- Eeeeeeeeeeeeeeeettttttttttttt cest mon blondinet
La jeune femme se pencha sur lui et lembrassa sur la joue
- Dommage je ne lui aurais jamais enlevé la dernière plume sur son torse, mon cadeau il aura un souvenir de moi
Ayla lui chuchota soit heureux blondinet et continue à protéger tous les berrichons comme tu le fais
Un nouveau bond et la elles retrouvèrent dans un jardin, une femme entrain de donner à manger
à un poulpe
- Ysandre ma duchessssssssssssseeeeeeeeeeeeeeeee
Ayla sourit la sérénité qui se dégage de la belle duchesse la fit presque pleurer, elle sapprocha et lui caressa les cheveux et lui chuchota tu vas me manquer beaucoup
Puis un autre bond
Dans un champ une jeune femme chevauchée
- et cest ma déesse enfin mon autre déesse, elle aussi me manquera beaucoup
Sherri était entrain de galoper vers une destination, elle était pas seule mais avait lair daller bien
Encore un saut
- Heyyyyyyyyyyy mélo arrête tu ne me laisse pas les voir une dernière fois
- on na pas le temps astérie va revenir et il va falloir que tu lui parle aussi
Ayla hocha la tête et vit uen autre jeune femme qui était entrain de
ramasser des fleurs
- norf Cest gari ma sur de cur
Ayla sapprocha delle, elle savait que la jeune femme le prendrai mal sa disparition, elle se pencha vers elle et lui chuchota je ne toublierai jamais ma chérie merci pour tout, dêtre une sur, une amie
.
Un nouveau bond elles se retrouvèrent au milieu dune place de village Ayla regarda autour delle
- On est ou ?
- Tu reconnais pas?
Ayla sourit elle reconnu Bourges la ou tout avait commencé, sur un banc un messire respirer comme pour échapper a pas mal de truc elle sassit et saperçu que cétait Georges, le duc du Berry elle sassit à ses cotes
- Merci de mavoir conseillée tout au long de toutes ses années
Puis la jeune femme se retrouva dans un lieu plus connu delle
- Ho chez les gueuses
Ayla sourit et dans un coin elle vit Saturnin entrain de pleurer, elle haussa les épaules et se dis quil sne sortirai cétait plus quun portier, un ami une nounou pour ses enfants
- Allez on y retourne Astérie va venir te rejoindre, et il faut que tu sois la
Ayla acquiesça et parti avec Melodya