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[RP] "Autuntamarre" Le journal sans tambour ni trompette !

Irex
fier comme un bar-tabac, le irex saisit son verre, trinqua à l'amitié , et avant de le boire prononça quelques mots:
"A ta santé Ethel, toi qui a su redonner à notre Tristan cet air malicieux.
Nous aimons le voir heureux.... Tu as dû user de quelques charmes de la Tribu...... (irex éclata d'un grand rire)...... merci fille du vent et de la lune, tu seras toujours la bienvenue autour du feu de mon clan."
Irex cracha au sol pour signer son serment et prit Tristan dans ses bras, heureux comme une jeune homme qu'il n'était plus depuis longtemps.
"Tristan, notre amitié fut longue à venir, tu craignais peut-être que je foule tes plates-bandes? Sache Tristan, que tu pourras toujours compter sur moi, tant que mes pas fouleront le sol du Royaume, tant que le monde sera monde, tant que la nuit bercera mon neurone...."
Sur ce,Irex éclusa son verre et partit, au galop de ses grandes jambes vers la cathédrale, pour s'y recueillir.

Aure62
A l’appel du POC que fit la bouteille, exhalant des parfums que l’on dit enivrant, Aure se retourna, prit son verre et trinqua.

Eh oui, Tristan, les damoiselles font aussi bien que toi. Mieux ? Plus ?

Elle eut une pensée pour Léa qui cumulait maintenant les fonctions de diaconesse et de juge, qui élevait son fils ainsi que ses chenapans de frères, était tavernière, ne comptait pas ses nuits qu’elle réservait toutes à Irex, mais qui avait trouvé le temps d’apporter le breuvage capiteux, sans toutefois en boire une goûte.
Prends garde à toi Léa, songea-t-elle, et préserve ton petit jardin de curé, celui qui n’appartient qu’à toi mais se réduit comme peau de chagrin.

A ton journal, Ethel ! Et pour ce qui est de ma contribution, je cogite et j’en rêve…
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"Dans mon coeur un amour fou"
J'en rêve encor' jusqu'au bout.
"A l'ombre bleue du figuier
Passent, passent les étés."
Leapuce
léa laissant un instant ses obligations vint boire avec ses amis

et son tendre époux une gorgée, histoire de montrer a ces dames que même s'il elle parait loin elle veille au grain!!!


merci Ethel pour ce breuvage
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Tristan_du_cost
Tristan fut surpris lorsque Irex, le Grand Irex, le Seigneur, le Chevalier, le prit dans ses bras pour une accolade virile. Dans ce mouvement brusque, son verre se renversa et le vin capiteux se répandit sur la tunique brodée de son ami ainsi que sur sa chemise, à l'image d'un scellé indélébile au bas d'un traité d'alliance.

A la bonne heure, mon ami. Tu m'étonneras toujours Irex des bois, Irex du domaine royal.
Allez, re-servons-nous. Pour une fois que je vide mon verre sans le boire !


Et se tournant vers la belle brochette de damoiselles, il crut bon d'ajouter :

Mais je vois que vous parlez beaucoup, que vous avez des projets d'articles plein la tête ... mais nous ne voyons rien venir.
Alors pendant qu'Irex et moi buvons à votre intelligence, mettez-vous au travail. Allez, allez ... hop ! Et que ça bouge !

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Haut Fonctionnaire
Diacre d'Autun
Diplômé du séminaire archidiocésain Saint Bynarr de Lyon
Ambassadeur bourguignon près le Grand Duché de Bretagne
Jacklepetit
Jack arriva en retard mais bon mieux vaut tard que jamais^^

Bonjour Ethel je te félicite pour ton iniciative de faire un journal et te souhaite beaucoup de réussite pour celui-ci
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Votez VERT,VERT l'avenir^^
Ethel
Ethel avait pris Aure par le bras, il y a longtemps qu’elle n’avait pas bavardé un peu avec elle.
Cela lui manquait.
Elles se retrouvaient souvent tard le soir en taverne et Ethel appréciait sa compagnie.


Oui Aure, ta place est ici, tu le sais bien...

Puis Lea arriva…
Ethel était toujours surprise par cette jeune femme, qui malgré une fragilité qui ne devait être apparente, savait toujours se rendre disponible.
Elle était partout, à l’église, en taverne et maintenant au château !
Cela lui donna une idée, elle lui en parlerait plus tard lorsque le moment s’y prêterait.


Allez levons nos verres !

Elle se tourna vers Tristan qui avait décidé de liquider la bouteille avec Irex !

Oui, c'est ça Messires... buvez à notre intelligence !
Je suis...


Elle n’eut pas le temps de continuer qu’un pigeon se déposa sur le bord de la table, il portait un parchemin.
Elle se précipita pour libérer la bestiole et déroula avec hâte le message.


Ah ! Tristan ! Mes amis ! Ecoutez…

Elle se tut un instant, relut encore le message...

Je crois que je dois bien vous partager CE QUI EST ECRIT LA !


Elle regarda tout le monde et lut.

"Dame Ethel,
Soyez remercié avant toute chose pour vos félicitations et vos encouragements, cela me va droit au cœur.
Je me souviens de vous et de notre rencontre en taverne autunoise.

Sur la question de votre journal maintenant, c'est à mon tour de vous féliciter, je ne puis que je me réjouir de ce que des Bourguignons se lancent dans des projets destinés à rendre leur village, et donc le duché, plus vivant.
Je serai ravie de répondre à vos questions.

Que le Très-Haut vous garde.

SA Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg,
Duchesse de Bourgogne."


Elle se précipita dans les bras de Tristan et lui murmura

Ca marche Tristan ! ça marche !


Resserre nous à boire !
Lea, on peut ouvrir ta bouteille ?


Jack venait d'arriver.

Merci Jack... mais ne pars pas, nous allions justement trinquer à la réussite du journal et puis je crois que tu as quelque chose à nous annoncer !
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Leapuce
léa sourit a la lecture du pigeon par Ethel

elle commençais a bien connaitre la duchesse et la réponse ne l'étonner pas


bien sur Ethel ouvrons!! ouvrons!!
profitons que j'ai du temps libre aujourd'hui!!

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Jacklepetit
Oui Ethel mais bon,certains le savent déjà...

Je me présente aux élections municipales surement contre Sorane

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Votez VERT,VERT l'avenir^^
Ethel
(Hrp : peu de disponibilités depuis 2 jours mais tout va repartir normalement demain !
Merci aux gentils Rpistes que vous êtes de votre patience d'ange ^^
Autuntamarre va faire du bruit !!! )

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Graoully
Bam Bam Bam, les trois coups ont résonné, v'là l'autre râleur qu'arrive !


Ayant entendu du bruit, Graoully arriva et retrouva des paroissiens. Il salua vaguement tout le monde et prit connaissance de la lettre par le biais de la lecture faite.
Mince, si l'archevêque s'en mêle, ça ne va plus être pareil. Un grand sourire le prit en repensant au billet de loterie qu'il avait tenu et qui se prétendait "journal".


Alors, il paraît qu'on lance un nouveau journal ici ? Dangereux ça...
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Ethel
[Adieu Curé, je vais mourir (vous allez me faire mourir)... C'est dur de mourir au printemps tu sais...]

Ethel n'y croyait pas...
Le père Graoully...

Et ça recommençait...

Lire les lignes de la main... dangereux...
Aimer sans hypocrisie et sans détour... dangereux...
Lancer un journal … dangereux…
D'accord... d'accoord... comme dirait Tristan.

Elle ne savait plus si elle devait en rire ou en pleurer.
Cela tenait de la persécution mais comme on dit « qui aime bien, châtie bien » et Ethel commençait à se demander si le curé n’avait pas ...
Enfin bon, là elle s'égarait...

Elle se reprit d'autant plus qu'en ce moment, il fallait peut être plutôt calmer la vapeur avec les autorités religieuses.

Bonjour mon père...
Et bien oui, c'est encore moi... mais rien à voir avec la roulotte je vous promets.

Alors bienvenue dans ma deuxième maison !
Elle s'appelle Autuntamarre, cela vous plait ?
Cela veut dire qu'on va pouvoir y faire un peu de bruit !

De l'information mon père et de l'amusement aussi ! Il faut que ça bouge !
Et pour tout le monde.
Cela vous tente ?
Je suis persuadée que vous trouverez bien quelques articles à me confier.
Non ?

Ethel s'aperçut qu'il lui restait un peu de vin. Pas du meilleur cru mais bon...
Le père Graoully ne cracherait pas dessus de toute façon.


Allez père Graoully, trinquez à la réussite de mon projet !
Et santé à vous et joies dans vos br....


Oups... elle se tut et lui accorda son plus beau sourire.


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Ethel
Ethel n’avait rien compris...
Elle n’avait pas fini de remplir le verre du père Graoully qu’il était déjà parti.
Cela ne lui ressemblait pas, il était plutôt d’un nature curieuse et d’un tempérament incisif, c'était le moins qu'on puisse dire !
Elle se demandait s’il n’avait pas reçu un mauvais coup derrière la tête lors de sa chute à la cathédrale.


Ou alors, l’arrivée proche de l’évêque le rendait prudent.
Devait-il simplement se contenter de proférer des mises en garde ?
Possible..

Dommage, elle aimait bien le père Graoully et aurait bien discuté un peu avec lui.

Un peu déçue, elle se replongea dans son journal.

Elle allait monter au château dans l’après midi rencontrer sa Grace Ingeburge, le questionnaire n’était pas vraiment prêt mais elle allait improviser, c'est ce qui ferait la différence.
Et puis, elle passerait voir Sorane à la mairie.

Les autres articles se dessinaient et le premier numéro verrait probablement le jour avant la fin de la semaine.

Puis ses pensées, comme toujours depuis des semaines, s’égarèrent vers Tristan.
Les jours passaient et leurs sentiments se renforçaient dans un amour pressant, plein et rempli d’un indéfinissable pouvoir.
Elle toucha le bracelet rouge qu'elle portait depuis toujours… oui, c’était à lui qu’elle allait l’offrir.

Elle reprit sa plume et entreprit les dernières corrections concernant son article, celui qu’elle destinait aux villageois.
Elle sourit quand elle entendit Solomos s’agiter devant la bâtisse.
Il s'agitait et ruait...
Que se passait-il ?

Ethel sortit rapidement et comprit la tourmente de l’étalon.
Au bout de la rue, une épaisse fumée se dégageait du presbytère…

Graoully !
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Ethel
(Plusieurs heures plus tard)

Ethel revenait du presbytère.

Elle entra dans le bureau, vérifia que tout était en ordre et ferma la porte.
Il était trop tard pour qu'elle se remette à ses articles et encore plus pour se rendre au chateau ou chez Sorane.

De toute façon, le journal ne sortirait pas avant septembre, tout était bien trop calme en cette période.

Elle s' approcha de Solomos, posa sa tête entre ses naseaux et le respira.
Hmm.. il sentait bon...
Solomos, c'est le nom que lui avait donné Irex.

Elle ne l'avait pas encore monté seule en campagne et elle ressentait une furieuse envie de partir galoper à travers champs et forêts juqu'à la lune naisssante, là où se calme et tout s'appaise.
Tristan était chez les moines, peut être dormirait elle cette nuit à la belle étoile autour d'un feu...
L'appel du vent ...

Elle le détacha, le prit par les rênes et remonta tranquillement les ruelles d'Autun à pied.
L'animal, bien que jeune et fougueux, marchait tranquillement à ses cotés.

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Ethel
Ethel était arrivée de bonne heure au journal ce matin là.
En se promenant dans les rues d'Autun, elle avait eu de nouvelles idées d'articles et il fallait absolument qu'elle les rédige.
Elle souriait en pensant à l'accueil que pourraient faire les villageois à ce genre de rubriques.

Il fallait aussi qu'elle voit Lenine.
Il lui avait dit lui avoir rapporté de son dernier voyage le journal de Joinville et elle était impatiente de le lire.

Elle se replongea dans sa rédaction lorsque quelqu'un frappa à la porte.
Une personne lui apportait un message.

Ethel regarda l'homme, un peu inquiète et déroula le parchemin sans plus attendre.


Darkaprincesse, Baronne de Tracy a écrit:

Troyes, le 16ème jour du mois d''août de l'an de grasce 1457

Ma chère et douce filleule de coeur, Ethel

Quelques lignes pour t'annoncer que je viendrai te rendre visite dans la bonne ville d'Autin à la fin de la semaine.

J'arriverai normalement, si le voyage se passe sans encombre, samedi ou dimanche matin, accompagnée de mon Maréchal.

Si tu pouvais t'occuper de nous trouver deux chambres confortables en ville, je t'en serai reconnaissante.

Je me fais grande joie de te revoir et de passer quelques jours auprès de toi.

Tu es dans mes pensées et espère que tu as une vie heureuse. J'ai hâte que tu me racontes.



Que le Très Haut veille sur toi

Je t'embrasse affectueusement

Ta Marraine de Coeur.






Ethel relut trois fois le parchemin, elle n'en revenait pas...


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Tristan_du_cost
Tristan passa voir Ethel à son bureau car il avait une idée pour reconstruire le toit du presbytère.

Ethel, tu sais pas quoi ? J'ai pensé qu'on pourr...

Tristan s'arrêta net, car Ethel était en train de lire une lettre importante. Le parchemin était épais et un cachet de cire en authentifiait la provenance. Tristan s'approcha, posa ses mains sur les hanches de sa belle et lut par dessus son épaule tout en y déposant un doux baiser.

Tiens, ta marraine n'est pas une gitane ? Comment tes parents ont-ils fait pour choisir une si noble marraine ?
En tout cas, elle a pas l'air commode, la nobliotte. Deux chambres, rien que ça ! Son homme à tout faire ne peut pas dormir à l'écurie avec les cheveaux ?
Ou alors ... mmmoui, je vois, je vois ... cet homme n'est pas seulement sont maréchal, tu ne crois pas ?

Bon, on pourrait les loger au presbytère, mais il faudrait refaire le toit.
C'était d'ailleurs l'objet de ma visite. On pourrait passer une annonce dans le journal ?
Du genre : oyez, oyez, nous recherchons un charpentier pour refaire le toit du presbytère.

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Haut Fonctionnaire
Diacre d'Autun
Diplômé du séminaire archidiocésain Saint Bynarr de Lyon
Ambassadeur bourguignon près le Grand Duché de Bretagne
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