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[RP]Eglise St Bertincourt, Cérémonies & Annonces Officie

Judowarrior
Judo avait longuement hésité ce matin en se préparant,il avait en premier lieu choisi d'aller à l'église simplement vêtu de ses braies et d'une chemise,puis il s'était finalement rabattu sur la tenue d'apparat des Protecteur d'Angel.

Il arriva donc à l'église dans les couleurs des Protecteurs,lui qui passait la plupart de son temps à servir les autres,se devait d'être baptisé dans ces couleurs.


Bonjour Frère Olivier,me voici,je suis prêt...
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Judowarrior était arrivé, le diacre Olivier alla l'accueillir en ce lieu saint.


Soyez le bienvenu !


Après que Judowarrior eut pris place, le diacre s’adressa à lui :

Je vais vous rappeler à quoi sert le sacrement du baptême :

Il vous intègre dans l'Eglise, la société des croyants, et vous rend participant de l'Amitié Aristotélicienne.
Il permet d'affirmer que vous reconnaissez en Dieu à la fois le moteur du monde, la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Il permet d’affirmer reconnaître l’Eglise Aristotélicienne comme votre guide dans la connaissance de Dieu, et de jurer de lui rester fidèle ainsi que de reconnaître son autorité, car elle est la seule représentante sur terre de l'Etre Divin.
Il confirme que vous acceptez tout cela de votre propre volonté pour le salut de votre âme en vue de la résurrection près de Dieu dans la contemplation éternelle de Sa Beauté.
Enfin, il permet de faire apparaître votre nom comme étant baptisé et serviteur de Dieu Tout Puissant.
Il vous ouvre en plus de la voie vers Dieu, la possibilité de servir la cité en participant à la vie de l’église, il vous permettra même peut-être d’obtenir un poste dans l’église au service de Dieu et de la parole d’Aristote.
De même vous vous ouvrez les portes du paradis.


Lisons maintenant ensemble le Crédo Aristotélicien, symbole de notre foi :




Judowarrior, vous vous engagez par le baptême à entrer pleinement dans la foi en Dieu et en ses deux prophètes Aristote et Christos. Mais il faut savoir que le baptême est un début, non une fin. C'est le début d'une vie entièrement centrée sur Dieu dans son Amour et dans l'amitié de son prochain.

Vous, Judowarrior, enfant de Dieu, voulez-vous appartenir pleinement à l’Eglise Aristotélicienne ?
Acceptez-vous de vivre selon les préceptes de cette Eglise pour Dieu et vos semblables ?
Jurez-vous d’aimer le seul Dieu comme il vous aime ?
Judowarrior
Judo fut accueillit par le Frère Olivier,qui lui rappela le but du baptême,et ses principes.

Puis il reprit avec lui le Crédo Aristotélicien:



Enfin,il répondit aux questions du Frère.


Vous, Judowarrior, enfant de Dieu, voulez-vous appartenir pleinement à l’Eglise Aristotélicienne ?

Oui je le désire.

Acceptez-vous de vivre selon les préceptes de cette Eglise pour Dieu et vos semblables ?

Je l'accepte et m'y engage.

Jurez-vous d’aimer le seul Dieu comme il vous aime ?

Oui,je le jure.

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Je vais maintenant vous lire un passage du Mythe Aristotélicien :

Citation:
Création VII, l'amour.

Dieu ne répondit pas à la créature qui avait fait l’apologie de la domination du fort par le faible.

Il se tourna vers un groupe de créatures. C’était justement celui qui faisait partie de l’espèce humaine et qui avait parcouru le monde. Dieu savait que ce groupe se croyait rejeté par Lui. Ces humains pensaient être privés de tout talent. Ils estimaient être mis à l’écart de la création du fait de leur prétendue infériorité. Mais, parmi eux, l’humain qui portait le nom d’Oane détenait, sans en être sûr, la réponse à la question posée par le Très Haut.

Car Oane doutait. Il regardait souvent les étoiles, espérant voir Dieu. Il aimait le Très Haut d’un amour sincère, mais ne savait pas si cela était le véritable sens de la vie. Il voulait bien donner sa réponse, mais il était considéré comme faible d’esprit par son groupe et personne ne voulait le laisser parler. Mais Dieu était omnipotent. Il avait écouté le groupe d’humains se plaindre. Mais surtout, Il avait perçu l’amour et le doute dans le coeur d’Oane.

Alors, depuis le ciel, un rayon de lumière se fit et vint nimber Oane. Toutes les créatures furent ébahies, admirant la douce lumière qui auréolait l’humain. Elles s’écartèrent alors, le laissant seul face à Dieu. Il contempla son corps enluminé d’un regard plein de curiosité. Puis il se tourna vers les membres de son groupe. Pour la première fois de sa vie, il put voir dans leur regard non pas du mépris mais du respect.

Et Dieu lui demanda: “Et toi, l’humain, n’as-tu rien à Me répondre? J’ai ici convoqué toute Ma création pour trouver celui qui donnera la juste réponse à Ma question. Tu es venu et tu n’as pas répondu. Alors, maintenant, Je te somme de le faire!”. Alors, Oane, terrifié par le ton sévère de son créateur, leva les yeux vers Lui et, d’un ton hésitant, dit: “Mais, ô Très Haut, je ne sais si ma réponse est juste...”. Et Dieu lui ordonna: “Parle et je te le dirai!”.

Alors, Oane répondit: “Tu as certes fait Tes créatures se nourrissant les unes des autres. Il leur faut chasser et tuer pour se nourrir. De même, il leur faut se battre pour défendre sa vie. Mais il n’y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres. Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs. Car Tu es notre créateur.”

“C’est pour cela que Tu as donné des talents plus beaux les uns que les autres à toutes Tes créatures. Chacune d’elles a sa place dans Ta création. Son talent permet à chacune d’elles de la trouver. De ce fait, il n’y a pas de créature préférée de Toi, ô Très Haut. Nous sommes toutes pareillement aimées par Toi et nous nous devons tous t’aimer en retour. Car, sans Toi, nous n’existerions pas. Tu nous a créé alors que rien ne t’y obligeait et nous nous devons de t’aimer pour te remercier de ce geste.”

“Nous sommes certes enchaînées à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour.” Alors Dieu dit: “Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer tes semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes.





Reconnaissons donc nos péchés :

Nous confessons à Dieu et à ses prophètes Aristote et Christos avoir péché par pensées, par action et par omission.
C'est notre faute! C'est notre faute! C'est notre très grande faute!
C'est pourquoi nous demandons à Dieu, dans sa grande miséricorde et par l'intercession de ses prophètes Aristote et Christos de nous pardonner.


Olivier saisit une coupe, la remplit d'eau, et versa le contenu sur le front de Judowarrior :

Ainsi vous voilà purifié par la grâce du Tout-Puissant. Vos fautes sont pardonnées.
Je vous baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.


Olivier tendit un cierge et une médaille à Judowarrior en disant :

Que cette flamme et cette médaille soient les témoins de votre foi ! Portez cette foi à votre alentour.



Je vous bénis au nom du Très-Haut, d'Aristote et de Christos, Amen.

Allez en paix dans l'Amitié Aristotélicienne !

Olivier félicita Judowarrior et remercia chaleureusement tous ceux qui avaient assisté à la célébration.
Judowarrior
Judo se laissa purifié de ses pêchés par le Frère Olivier,et mit à son cou la médaille qu'il lui tendit,tenant la flamme dans sa main gauche.

Amen.

Il remercia encore le Frère Olivier d'avoir eu la bonté d'accéder si vite à une demande de baptême,puis lui tendit un panier avec quelques miches de pains et épis de maïs.

Je sais d'avance que vous refuserez ce don,mais je tiens à vous remercier pour votre geste,je sais que vous trouverez bien un vagabond ou une personne en ayant besoin.

Il le salua et sortit de l'église.
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Le diacre prit le don et remercia Judowarrior.
Effectivement, les pauvres ne manquaient pas en ces temps difficiles.
Les orphelins non plus après la peste qui avait fait des ravages.
Le diacre salua Judowarrior et dès qu'il fut sorti, il alla offrir ces victuailles à une petite fille qui grelottait de froid sur le parvis de l'église, attendant une aumône des gens venus prier.
Puis, à son tour, il se retira pour aller préparer la célébration de la veillée de Noël.
pnj
Les cloches de l'église de Bertincourt appelaient avec joie les fidèles à la veillée de Noël. Il faisait bien froid dehors. Qui viendrait en ce saint lieu se réchauffer au feu de l'amitié divine? Ce soir n'était pas n'importe quel soir. C'était celui où l'on célébrait la naissance de Christos. Après avoir accueilli les fidèles qui étaient venus, le diacre de Bertincourt s'installa derrière l'autel afin de commencer la messe de minuit.

Frères et soeurs, nous fêtons ensemble cette nuit la naissance d'un être extraordinaire, Jeshua, notre Christos, qui a vécu de tout son coeur l'amitié qu'Aristote nous a enseigné à la lumière de Dieu. Nous savons bien que nous avons du mal certains jours à suivre son exemple. Nous ne sommes pas parfaits et nous faisons de notre mieux. Commençons donc cette célébration par reconnaître humblement que nous sommes pécheurs et demandons pardon à Dieu pour nos péchés afin de nous sentir plus légers, car Dieu pardonne à celui qui le lui demande sincèrement.

Citation:

Nous confessons à Dieu et à ses prophètes Aristote et Christos avoir péché par pensées, par action et par omission.
C'est pourquoi nous demandons à Dieu, dans sa grande miséricorde de nous pardonner.



Frères, Dieu nous aime. Il nous le montre chaque jour par tout ce qui peut nous arriver de bon et par cet espoir qu'il a que nous le suivions. Affirmons ensemble maintenant avec tout notre amour que nous croyons en lui.

Citation:
Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN



Le diacre ouvrit ensuite le Livre des Vertus afin d'y lire la naissance de Christos.


Citation:
Lecture de la Vita de Christos, Chapitre 1.

... Maria vivait avec Giosep qu’elle allait épouser. Tous deux étaient d’humbles vagabonds, mais ils vivaient dans la vertu, en remerciant le Très Haut des bienfaits terrestres dont ils jouissaient. En outre, ils éprouvaient l’un pour l’autre un amour sincère et pur de toute luxure, leur vie était heureuse. Mais un jour, Maria vit en songe un cavalier venant de loin aller à sa rencontre. Arrivé devant sa maison, il mit pied à terre. C'était un homme d’allure majestueuse; il s’avança, et dit :

" Maria, n’aie crainte, car l'Eternel t’aime et t’a choisie. Aussi, un enfant va naître de toi, que tu nommeras Jeshua. Il sera un guide, un messie habité par Dieu. Il portera la parole de Dieu partout où il lui sera donné d’aller et sauvera le peuple de ses péchés en lui enseignant la sagesse d’Aristote. "

Le cavalier repartit ensuite vers sa contrée lointaine comme il était venu. Maria se réveilla à ce moment là et vit Giosep devant elle la regarder avec des yeux amoureux.

Et il advint ce que le songe avait annoncé, Maria conçut un enfant, et les deux parents firent en tout selon la prophétie d’Aristote, le nommant Jeshua.

L’Enfant naquit à Bethléem, en Judée. Du fait du surpeuplement qui existait alors dans cette ville, le couple ne trouva pour se loger qu’une bicoque délabrée car il n’y avait plus de place ailleurs pour les accueillir. Mais lorsque l’enfant naquit, celui-ci semblait, à tous ceux qui le virent, être touché par la grâce divine, car il rayonnait de douceur et de calme. Si bien que les gens du petit village se cotisèrent pour que cet enfant béni de Dieu ait tout ce qui lui était nécessaire. Les uns amenèrent du linge, d’autres contribuèrent à la rénovation de la bicoque et d’autres encore amenèrent des vêtements neufs et de la nourriture aux deux heureux parents.

Maria était transfigurée par le bonheur. Sa joie la rendait lumineuse et elle remerciait chaque jour le Très Haut de la naissance de cet enfant ...




Frères et soeurs, dans la lecture que je viens de vous faire, vous aurez remarqué une chose extrêmement importante. Christos est né dans la misère, ses parents étaient pauvres ... mais ils étaient heureux ! Pourquoi frères et soeurs ? Grâce à l'amour et l'amitié, simplement ça ! C'est ce que Dieu nous a donné de plus précieux au monde. Et tout de suite les gens ont aidé cette famille dans le besoin tant ils étaient frappés par la douceur et le calme de cet enfant béni de Dieu. L'amitié, frères et soeurs, l'amitié et l'amour de notre semblable. C'est cela qui est le plus important au monde. Christos l'a tellement bien compris qu'il l'a vécu de tout son coeur. Alors, fêtons ce soir ensemble sa naissance et prenons exemple sur lui. Même si nous nous sommes disputés avec notre femme, avec notre époux, avec notre enfant, avec notre voisin, faisons un geste, faisons parler l'amitié et l'amour, offrons-leur un cadeau. Si nous sommes en guerre, laissons ce soir nos armes de côté et faisons la paix. Suivons les pas de Christos et aimons notre semblable de tout notre coeur. Dieu nous le rendra au centuple !

Enfin, la cloche sonna minuit. Un enfant traversa la nef de l'église, et dans la crèche qui se trouvait à côté de l'autel, il déposa sa petite poupée qui représentait Christos, signifiant par là que l'enfant béni de Dieu était né. Le diacre sourit et embrassa l'enfant puis serra la main des fidèles qui étaient venus à la célébration. Ceux-ci firent de même entre eux en signe de paix. Ensuite le diacre reprit sa place et poursuivit.

Partageons à présent le pain de l'Amitié, celle qui élève et sauve les âmes.

Les fidèles vinrent recevoir la communion puis ils rejoignirent leur place, méditant les paroles de l'homélie.

Après un temps de recueillement, le diacre termina la célébration.


Allez en paix frères et soeurs, je vous souhaite à toutes et tous une très heureuse fête de Noël.
Willy_ii
Willy II entra dans l'eglise de Bertincourt.
Il se presenta devant l'autel, alluma un cierge, et s'agenouilla pour prier.


"Te suivre, Seigneur,
n'est pas une aventure commencée à la légère
et poursuivie avec désinvolture.
Un jour "oui" et l'autre "non" !
Cela, tu n'en veux pas.
Te suivre, Seigneur, c'est prendre du temps,
beaucoup de temps pour te comprendre,
t'approcher et apprendre à t'aimer.
Te suivre, Seigneur, ce n'est pas l'affaire d'un jour
mais c'est l'affaire de tous les jours.
Fidélité, par-delà les obstacles et les ténèbres.
Fidélité, par-delà la peur et le doute.
C'est aussi trouver le temps et la patience,
laisser la fleur sortir de terre,
s'épanouir et se tourner vers le soleil.
Rien, jamais rien, ne pourra se réaliser par la force.
Te suivre, Seigneur,
c'est aussi travailler chaque jour,
à la construction de notre vie de chrétiens
en puisant en Toi les forces nécessaires
pour tenir et tenir jusqu'au bout de l'aventure. "


Il alla ensuite voir le Père Kolmar, pour lui rendre une missive qu'il avait ecrit.
Le Père Kolmar n'était pas présent dans le presbytère, il déposa donc sa missive où bon lui semblait.



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Reviendra un jour... tôt ou tard...
Toute ma pensée à mes amis, mes frères et soeurs, mes supérieurs hiérarchiques (SE Aaron principalement )
Willy_ii
Willy II avait reçu la réponse de Père Kolmar, enfin, depuis qu'il attendait. Mais bon comme on dit, plus c'est long, plus c'est bon. Père Kolmar était si gentil, que ça se voyait dans sa missive.

Père Kolmar, dans sa missive, lui demandait s'il avait un Parrain et une Marraine pour pouvoir l'accompagner. Willy II s'empressa d'aller demander à Perl et à Ericp, et il reçu très rapidement leurs accords.

Après les avoir remerciés très chaleureusement, il écrivit au Curé pour lui annoncer :



("Marraine" à la place de "Marrain" ^^ et "je vous" est en trop... ^^ désolé, je viens seulement de m'en rendre compte... pas le courage de recommencer xD)
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Willy_ii
Willy II entra dans l'église de Bertincourt, comme à son habitude il referma la lourde porte derrière lui.
Il faisait frais et humide, par les pierres. Willy II aimait se recueillir à l'église, c'était comme un endroit magique pour lui... quelque chose où l'amour était omniprésente.

Il s'approcha du bénitier, afin de tremper sa main pour faire le signe de croix. Il s'agenouilla ensuite, et commença à réciter une prière.


"Tu nous guide quand notre âme est embrouillée
Tu guéris le chétif et le maladif
Tu nous offre tes vêtements quand les nôtres sont mouillés
Tu éloigne les marchands des brigands, les bâteaux des récifs

Tu soulage les plaies
Tu guide tes prophètes pour qu'ils puissent nous montrer la voie
Tu nous sauve des guerres en aidant la paix
Tu fais règner l'ordre quand toutes s'égarent les voix

Et nous, nous te louons
Et nous, nous nous confessons
Et nous, nous t'aimons
Ô Très-Haut!
Soit loué!

Credo

AMEN !"


Il sentit immédiatement son Père Créateur, auprès de lui... cette sensation, était de plus en plus détectable.
Il refit son signe de croix, puis embrasse le crucifix qu'il avait autour du cou.

Il se releva, puis juste avant de sortir, il sortit un parchemin qu'il accrocha devant sur la porte de l'Église.



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Seriella
Seriella arriva au pas tranquille d'Ulysse. Le vieux cheval de trait commençait vraiment à donner des signes de fatigue, et la première chose que fit la jeune évêque fut de lui trouver une stalle bien propre dans une auberge.

Après avoir réservé à son tour une chambre, elle se dirigea vers l'église. Un des nombreux avantages de l'église, c'est tout de même qu'elle est facilement repérable dans un village.

Elle fit donc un petit tour du propriétaire afin de repérer les lieux pour le baptême de Willy.
Celui ci lui avait dit que le Père Kolmar n'avait guère le temps d'entretenir le bâtiment, mais elle vit avec satisfaction que d'autres s'en chargeaient.

L'édifice était propre et accueillant. La vasque était remplie d'eau bénite.

Il ne restait plus qu'à allumer quelques bougies et d'allumer un peu d'encens, afin que les principaux éléments soient réunis.
Il ne manquait que l'âme des fidèles...

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Gabyc5
Gabyc rentra dans l'église enroulé sous son grand plaid de laine. L'hiver était peut-etre terminé, le froid recouvrait toujours la petite ville. La jeune écossaise venais assisté au bapteme de son ami Wiwi. Gabyc avançais lentement dans l'église presque vide, écoutant le bruit de ses pas qui brisait le silence austere qui regnait dans ce calme endroit. Elle s'assie sur un des banc en bois, au millieux de l'église.

Gabyc ne venait pas tres souvent en ces lieux. La dernière fois qu'elle y était venu, c'était pour son propre bapteme. gabyc ce rapella cet étrange bapteme célebrer pas Selee. Elle préferait ne pas se souvenir de ça. Elle n'avait remis les pieds a l'église depuis. Le bapteme de Willy était la seule raison qui la ramena en c'est lieu ce matin la.

Gabyc resta silencieuse un long moment, toujours sous son plaid de laine. Elle se perdit dans ses pensées, comme toujours. Elle attendait de voir la suite des chose.

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Ericp212
A la fine pointe de l'aube, le maire se réveilla difficilement, le tavernier lui avait surement remis un dernier verre et c'était bien connu, c'était le dernier verre qui faisait le plus mal. Quoi qu'il en soit il se devait d'être présentable ce matin. Il s'habilla, mis son tonneau, et décida d'aller soigner le mal par le mal. Quoi de mieux qu'une chopine de grand matin pour se remettre en forme !
Fin prêt il se dirigea vers l'église. Il se demandait qui ferait l'office car il savait que le père Kolmar devait assister aux funérailles de Patience à Arras et surtout que les réserves du père Kolmar étaient sans surveillance ... et cela lui rappela quelque peu son mal de tête.
Le maire s'installa sur un banc et tenta de ne point s'endormir.
Willy_ii
Après une nuit un peu agité à l'idée de ce grand jour, Willy II se leva très tôt pour un Dimanche. En effet, le jour qu'il attendait tant, était enfin arrivé !
Venant juste de faire la prière du matin chez lui, et s'être habillé le plus simplement et joliment possible d'un bliaud blanc.
Ce matin là, il faisait vraiment froid dehors, il sortit de son phare, longeant la plage puis pénétra dans les ruelles de Bertincourt pour rejoindre la grande place et enfin accéder à sa très Sainte Église St Bertincourt, qu'il aimait tant.

La porte était grande ouverte, il se dit que Mère Seriella était certainement arrivé à Bertincourt et avait déjà commencé à préparer les lieux.
En pénétrant un petit peu plus, d'un pas timide, dans le lieu sacré, il pu humer l'odeur d'encens régnante. Certes il était timide d'y entrer, même si ce n'était pas dans ses habitudes, mais il était heureux d'être enfin ce jour.

Il remarqua que son amie Gabyc était déjà présente, attendant le déroulement. Puis faisant glisser son regard de l'autre coté, vit son Parrain d'amour, son petit Ericounet, qui avait l'air un peu patraque, un peu jaune de peau... certainement qu'il avait encore trop bu celui là, se disait Willy II. Il eut le cœur chaud de les voir, de si bon matin, déjà présent à la cérémonie.

Willy II avança devant le bénitier, trempa la main, déposa un genou au sol, et fit le signe de croix comme à son habitude. Il s'avança jusqu'à la première rangé, pour s'y asseoir. Il ne savait quoi faire pour le moment...

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---fromFRgwen_de_bulette
Gwen arriva à la messe, pressée de se glisser anonymement sur un banc de l'église. En ce moment de période de tristesse, Gwen était contente de s'échapper de son sombre quotidien pour quelques heures.Willy allait se faire baptiser, rentrer dans la grande famille des Aristotétiliciens.

Gwen vit que la marraine, le Parrain était déjà arrivé et même le baptisé. Gwen n'avait jamais rencontré le prêtre et attendait de le voir.

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