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[RP]Eglise St Bertincourt, Cérémonies & Annonces Officie

pnj
Le diacre prit place, et fit un court sermon, que Galimor écouta avec attention. Oui, la métaphore des mauvaises herbes était belle, et tellement vraie. Mais Galimor n’était pas là pour aller jusqu’au bout de la rédemption. Il savait qu’il avait péché, savait que c’était mal envers le Seigneur, et voulais s’excuser auprès de lui, le seul qu’il aimât vraiment, même si cet amour était bien complexe. Galimor répondit néanmoins docilement quant le religieux eut fini sa tirade.

- Merci mon père, car c’est en effet à lui que je parle aujourd’hui.

L’homme prit une petite inspiration, pour se retrouver en lui-même, être franc, et parla.

-Mon Dieu, j'ai un très grand regret de Vous avoir offensé, parce que Vous êtes infiniment bon, infiniment aimable et que le péché Vous déplait. Galimor eut une petite hésitation, car il savait que la suite ne serais pas la vérité, mais le Seigneur comprendrais la nécessité de se plier aux conformités du sacrement. Je prends la ferme résolution avec le secours de Votre sainte grâce de ne plus Vous offenser et de faire pénitence.

L’homme fit une courte pause, s’en voulant de salir ainsi son sincère repentir pour complaire à l’Eglise, mais il savait que s’il ne le faisait pas, le prêtre lui refuserais de s’adresser au Seigneur, chose dont il avait tant besoin…

- J’ai péché par le vol mon Dieu. Le vol et la violence. J’ai agressé des personnes qui me sont inconnues, je les aie soumises à ma volonté par la force, et je leur aie dérobés monnaie et biens… Galimor releva la tête qu’il maintenait baissée jusqu’alors, regardant vers le ciel, au-delà du bois du confessionnal et de la pierre de l’église. J’ai également péché par le mépris mon Dieu, car c’est lui qui m’a égaré de Tes chemins. Cela m’est passé maintenant, mais je me suis mit à haïr certains de Tes enfants mon Dieu, simplement car ils étaient pauvres, bêtes ou mendiants, et que les aléas de la route me faisait leur ressembler. Je les aie battu Seigneurs, alors qu’ils sont mes frères, je les aie soumis, je les ai rabaissés pour me cacher ma chute.

Le repentant s’arrêta, posant sa tête sur ses mains liées, avant de reprendre.

- J’ai péché par le jeu et la luxure mon père, ne donnant qu’une infime partie de mon argent maudit aux pauvres et nécessiteux, afin de pouvoir disposer du reste pour m’offrir boisson, bonne chère, habillement et amusement.

Le cœur ouvert, la conscience enfin libre de ses fardeaux, Galimor venait de se livrer corps et âme au Seigneur bienveillant, ne cachant rien, honnête et transparent face à celui qui voyait tout.

Puis la magie se brisât, et Galimor reprit, apaisé, mais déçu de devoir encore se sacrifier à l’usage.

-Aidez-moi mon père. lançât-il, comme une factice demande de bouée de sauvetage.




[HRP] Merci d’apporter cette précision en effet, cela évitera surement des dérives. Je tiens vraiment à demander aux joueurs de faire attention à ne pas orienter les actions de leurs personnages, même inconsciemment, en fonction de ce qu’ils apprennent ici.
Exemple : Rechercher des traces des crimes de Galimor pour lui coller un procès, en faisant ensuite un RP joignant les deux bouts. Si vous n’avez pas entendu parler de lui, merci de ne pas chercher plus loin. [/HRP]
Willy_ii
Le jeune diacre écouta son fils, avec grand intérêt. Il savait qu’il était assez dure et faisait assez mal de reconnaître ses fautes, et cela se sentait dans la voix de l’homme. Les choses choqué un peu William II, mais bon, ce jeune homme voulait reconnaître ses fautes et les absoudre, William II devait l’aider. Il prit donc la parole :

- "Mon fils, ce sont de graves fautes que tu as fait... Dieu ne doit vraiment pas être content de toi. Mais reconnaitre tes tords, est déjà un bon pas vers le Bien, mais ce n'est pas assez, tu le sais bien. Les pauvres personnes, tes frères et sœurs, que tu as agressés... pense à eux, à l'heure actuelle... Je peux comprendre que tu as fait cela pour survivre au début, mais ce n'est pas bien du tout. Et tu vois où cela t'as amené ? Tu t'es laissé mener par la Créature sans nom. Comprends bien ta faute, et honte d'avoir fait cela, mais soit fier de l'avoir reconnu et d'avoir demandé le Pardon et de jurer ainsi à ne plus recommencer. Pauvre gens travaillant pour survivre, et tu les as volé. Il est pourtant plus simple, et plus saint de demander de l'aide... d'ailleurs, je suis là pour t'aider.
Pour montrer que tu as reconnu ta faute, que tu t'en veux vraiment, et que tu ne recommenceras plus, tu devras porter ceci (http://img261.imageshack.us/img261/992/banvolig9.gif) pendant 10 jours (En signature). Mon fils, je te fais confiance, si tu as encore quelques biens que tu as volé, tu me les restitueras, j'en ferai don aux plus pauvres. Tu devras également donner 2 fois 5 écus aux mendiants. ("Église" -> "Donner" x2) pour tous les tords que tu as fait à des gens certainement dans cet état, je te demande aussi de jeuner pendant 2 jours pour te punir intérieurement. On accepte de souffrir car on a fait souffrir, mais il ne faut pas oublier que souffrir n’est pas une vertu.
La souffrance comme pénitence n’a de sens que si elle sert à nous rappeler combien si elle est pénible pour nous, elle le fut pour celui qui a été notre victime.
Comme disait Oane « ne cherchez pas Dieu dans la souffrance, mais souvenez vous d’avoir souffert pour ne pas le perdre. »

Tu auras donc reconnu tes fautes, tu détruis ce que tu as fait contre la nature de l’humain, pour que Notre Créateur sauve l’âme qu’il a faite... Quand tu commences à détester ce que tu as fait, c’est qu’il n’y a pas de bien dans ce que tu as fait, et le mal est l’absence de bien.
En donnant satisfaction par les peines données précédemment, tu assume la responsabilité et par là, tu t’ouvre de nouveau à Dieu et à la communion de l’Église afin de rendre possible un nouvel avenir meilleur. Surtout, soit plus fort la prochaine fois, ne recommence plus ces fautes, car ce sont des fautes vraiment très graves.

Tu as reconnu et confessé tes fautes, tu dois maintenant réparer les torts causés, ainsi reconnaître qu’elles sont sources de mal et les abjure de toute ton âme, tu pourras alors recevoir l’absolution

Que Dieu, par Sa grande gentillesse, te pardonne, mon fils."


William II s’arrêta un instant, puis rajouta :

- « As-tu quelque chose à rajouter mon fils ? Il ne faut pas cacher certaines fautes, car "si le malade rougit de découvrir sa plaie au médecin, la médecine ne soigne pas ce qu’elle ignore" »
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Reviendra un jour... tôt ou tard...
Toute ma pensée à mes amis, mes frères et soeurs, mes supérieurs hiérarchiques (SE Aaron principalement )
Garygygax
Mon père je dois avouer quelque chose : j'ai bu une grande quantité d'alcool que me présentait Satan. Hélas j'ai succombé et j'ai bu tonneau entier. Et Dieu me punit me rendant incapable de travailler et de me nourrir correctement. Je mourut mais Le Très Haut me sauva et je veut lui rendre grâce. C'est pour cela que je demande à L'Eglise d'installer un confesseur dans la ville ce qui sera mieux que de devoir aller jusqu'au halles.
Je vous remercie mon père.
Cyann
En provenance directe du cochon trognon arrivèrent les deux sœurs jumelles aux cheveux couleurs de blé.

Cyann poussa le lourd vanteaux de la porte massive qui barrait l'entrée du saint lieu puis admira la petite église plein de charme de leur village, du village qu'elle allait quitté .... Elle regarda les vitraux sur les ogives du côtés et les cierges qui illuminait la salle de petits flammes de vie. Elle entra dans l'édifice bientôt suivit de sa sœur et se dirigea vers la statue de sa sainte favorite, Sainte Boulasse à qui elle adressa une prière fervente. La jeune femme se releva ensuite et chercha des yeux le père Willy. Elle voulait lui remettre ceci afin qu'il en fasse ce qui devait être fait.



Citation:

Cher père Willy, diacre de la paroisse de Bertincourt,
je vous fais parvenir par la présente la "Publication des bans".

Je soussignée, Cyann, résidente de Bertincourt, actuellement rédactrice pour l'AAP déclare souhaiter épouser Ylanis, actuellement avocat, résident d'argentan le 4 mai 1456 en Artois, à Bertincourt.
Nous emménageront ensuite à Lourdes.

Cyann.

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Rédactrice en chef de l'AAP FRANCE
Gardienne des Plumes Libres
Maitre Troubadour à la confrérie
Pro-fesseuse d'histoires à dormir debout
à Belrupt & en taverne qu'on se le dise !
pnj
Comme il le pensait, le religieux, plein de bonté et d’humanisme, se précipitât pour l’aider à revenir dans les chemins du Seigneur. Le sermon était plein d’amour et d’espoir, et Galimor fut comme à chaque fois remplit d’admiration pour ces hommes qui parvenaient à transformer Son amour en chaleur humaine. Lui aussi L’aimait, mais il ne parvenait pas à se sortir de sa déchéance, de la fange morale dans laquelle il avait sombré, et à transformer ses injures quotidiennes en paroles qui répandraient Sa douce parole.

Le diacre parlait de rédemption, de ne plus recommencer, mais Galimor n’y croyait plus, il ne se connaissait que trop bien. C’est pour cela qu’il prêta une oreille attentive lorsque l’ecclésiastique aborda le chapitre des pénitences, sachant que c’était là le seul langage qu’entendait son corps.

Porter un brassard visible et caractéristique des bandits. Le regard méprisant et colérique des passants le suivrait maintenant partout pendant dix jours, dix jours qui donneraient à son esprit un bon châtiment.

Rendre ce qu’il avait volé. Mais il n’avait plus rien, les villageois eux-mêmes se battant entre eux pour lui acheter son butin qu’il vendait à des prix défiants toute concurrence. C’était d’ailleurs limite si il ne le donnait pas, certaines fois, n’ayant que faire de quelques écus de plus ou de moins.

Donner l’aumône. Oui, il le ferait, il le ferait d’ailleurs à chaque fois qu’il en aurait l’occasion à partir de maintenant, mais était-ce vraiment de la générosité que de donner ce qui n’est pas à soi ? Qu’importe, au moins, cela profitera à ceux qui en ont besoin, et non plus à lui.

Jeûner durant deux jours. Là, Galimor eut un sourire intérieur à l’attention du religieux, on ne peut plus vif d’esprit. Il ne pouvait y avoir de meilleure pénitence en fait, et il ne pouvait qu’espérer, même s’il en doutait, que sentir dans ses chairs les mêmes souffrances qu’avaient endurées ses victimes le pousserait à la rédemption.

Puis le prêtre s’arrêta, avant de demander au pécheur si il lui avait bien tout dévoilé.

-Non mon père, je n’ai rien à rajouter, et je n’ai plus rien à cacher que le Seigneur ne sache déjà. Je ferais ce que vous ordonnez mon père, afin de tenter de me racheter à Ses yeux, et qu’Il ait la bonté de me pardonner. Je porterais le brassard, symbole des affronts que j’ai osé Lui faire, je donnerais l’aumône afin que mes crimes ne me profitent plus, et je jeûnerais afin de me punir. C’est avec humilité que je vous aurez rendu mon butin mon père, mais je suis fautif car je l’ai bu. Galimor fit un pause, se remémorant le calme intérieur qui régnait en lui lorsqu’il Lui parlait, puis leva les yeux, regardant le diacre au travers la grille de bois. L’homme était certes bon et aimant, mais Galimor n’avait plus rien à voir avec lui, ayant fini ce qu’il était venu faire. Il accomplirait les pénitences, car il ne doutait pas que c’était là la volonté du Seigneur, mais pour le reste, il avait suffisamment sali sa relation avec Lui par les mensonges nécessaires au bon déroulement du cérémonial, et ne voulait pas recommencer si jamais le prêtre s’avisait de lui poser d’autres questions.

Le brigand prit donc une petite inspiration, avant de reprendre la parole.

-Merci mon père, de m’avoir permit de Lui exposer mes péchés afin qu’Il comprenne que je ne fait pas cela par manque d’amour de Lui. Merci de m’avoir permit de Lui demander de me pardonner.

Galimor se releva dans le box, ramassant son chapeau au passage tout en écartant le lourd rideau d’une main.

- Que Dieu, dans Sa grande bonté, vous accompagne partout mon père. salua-t-il avant de partir d’un pas rapide devant le chœur, où il se récita une courte prière qu’il termina en déposant un baiser sur le livre saint posé sur l’autel et dans lequel était consignée Sa grande sagesse. Puis l’homme se détourna, ne faisant qu’un détour pour déposer l’aumône promise, laissant au prêtre le soin de la distribuer, saluant rapidement les deux femmes qui venaient d’entrer lorsqu’il les dépassa pour franchir le seuil du bâtiment et retourner dans son monde.
Willy_ii
Le Père William II écouta les paroles de son fils, juste après avoir fini son sermon. Il était venu se confesser pour être conseillé dans les rachats de ses péchés, il devait donc maintenant suivre les conseils s'il le souhaitait, en sachant que l'amour de Dieu était en "jeu".

William II entendit du bruit de l'autre coté de la cloison de bois. Il put voir que son fils était en train de se lever.


- "Mon fils, si autre conseil que je peux te donner... ne joue pas avec l'Amour de Dieu... Ne recommence plus de telles choses, assure ta vie après la mort, mon fils..."

Sur ces paroles, il fit le signe de croix à travers la grille, mais s'aperçut que le jeune homme était déjà sortit.

Le diacre ouvrit la porte, et sortit à son tour. On pouvait entendre le bruit des pièces de métal tomber dans la boite à l'entrée de l'église. Il le regarda sortir ensuite du Saint lieu, lorsqu'il fut surpris de l'arrivée de Cyann
.

- "Bonjour mes enfants ! Soyez toujours les bienvenues dans la maison de Dieu. Oh vous m'apportez les bans, de vos fiançailles... très bien."

Le jeune diacre en prit connaissance, de suite, mais il manquait la ban de Ylanis, le futur époux.

- "Ma fille, où se trouve Ylanis ? Il me fait également sa ban... Et n'oubliez qu'il vous faudra déclarer vos deux bans, à Argentan également."
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Cyann
Bonjour frère Willy, comm ...

le diacre ayant pris des mains les bans de Cyann, ne s'y attarda pas et d'une traire lui annonça qu'il lui fallait ceux d'Ylanis aussi ainsi que les siens à Argentan ... La belle absente depuis si longtemps de Bertincourt car stationnée à Péronne pour les besoins de la guerre s'était fait une joie de retrouver Willy. Et maintenant qu'elle le retrouvait, il semblait bien plus préoccupées par ces foutus démarches administratives que par son ouailles ! IL n'avait même pas adreser la parole à Nathgi qui avait pourtant bioen besoin de son amitié. Cyann fut tout d'abord fort surprise et en même temps quelque chose remuait au fond d'elle même.

Bonjour frère Willy disais-je donc, Vous me semblez préoccupé mon frère ... (la blonde jeta un regarda sur la porte par laquelle avit disparu un homme à l'allure sombre et féline)

Alors comme ça, je vous amène mes bans pour mon mariage proche et tout ce que vous trouvez à me dire c'est "repassez par la case départ et ne gagner pas 20000 écus" ?! Mazette, la liste des formalités administratives s'allonge chaque jour un peu plus, nous finirons noyer sous les paperasseries avant d'^ter mariés et hum votre joie à me voir enfin marier à près de 22 ans crève les yeux ... finalement je préférais fumer un ptit quelque chose avec vous zetiez plus drôle que le crucifix à la main pardi !


Cyann se pencha vers Willy et murmura quelque chose, Willy rougit un peu puis la jeune femme rit de bon cœur et tous trois rirent ensemble

Bon je vais écrire à Ylanis pour qu'il m'envoie ses bans et envoyer les miens dans la commune d'argentan, par Aristote que c'est compliqué. Nous repasserons

Nathgi et Willy échangèrent longuement tandis que Cyann priait un peu plus loin. Puis, les deux femmes partirent après avoir saluer le diacre chaleureusement.
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Cyann
Cyann revint enfin avec la copie conforme du ban qu'Ylanis avait envoyé à l'église d'Argentan. C'est pourquoi, elle s'était faite accompagnée de Gaborio ... qui déposa la première partie du message ... le ban au sens littéral c'était bien du Ylanis tout craché ! Gaborio déposa le banc devant l'église, au moins les gens pourront en profiter à la sortie de la messe.




Cyann entra ensuite dans l'église et chercha le père Willy. Elle le vit qui sortait justement d'uen porte sur le côté, elle lui sourit :

Bonjour père Willy, voici comme convenu la copie des bans d'Ylanis .. heu l'autre moitié est dehors; C'est un cadeau .. un banc ^^ mon futur époux à beaucoup d'humour ne trouvez vous pas ?

Elle rit et tendit le parchemin à WIlly.


Citation:

Ma Tite Chatte,

Comment vas tu ?
je t'envoies ce banc car l'on m'a dis d'en mettre un à l'église d'Argentan pour mon mariage.
D'ailleurs, ta présence sera obligatoire, car bien évidemment tu es invitée à la cérémonie.

Voici les textes qu'on m'a dis de t'envoyer:
- Je soussigné Ylanis résident d'Argentan en Alençon, Boulanger, avocat et autre, déclare vouloir épouser Demoiselle Cyann.
- Je soussignée, Cyann, résidente de Bertincourt, actuellement rédactrice pour l'AAP déclare souhaiter épouser Ylanis, actuellement avocat, résident d'argentan le 4 mai 1456 en Artois, à Bertincourt.
Le mariage aura lieu sur la plage frontière entre l'Artois et la Normandie.

Prends soin de toi.

Tendrement, ton pt'i chat.

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Willy_ii
Le jeune diacre venait de se vider une bouteille de vinasse âgée de 1439, c'était un vin de très bonne qualité, il ne pouvait pas résister.
Il sortit de la sacristie en titubant un peu.

Il sursauta légèrement quand il entendit "Bonjour mon père"

Il répondit :


- "Oh bonjour ma fille... Cyann, bienvenue. *hips*"

Il cligna des yeux, plusieurs fois... puis reprit :

- "Oh le, *hips*, ban de ton époux... très bien !"

Il en prit connaissance, puis demanda à sa fille de réciter le Crédo Aristotélicien :

- "Très bien, maintenant récite moi le Crédo Aristotélicien, pour montrer ta foi."
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Cyann
La jeune femme éclata de rire en voyant le bon père willy revenu à ses premières amours.

Un crédo je n'en ai qu'un : ne jamais boire seule ! Mais ou avez vous donc mis cette bouteille mmhh ? Car le crédo dit bien d'être charitable et de tout partager mmhh

Voyant sa têten Cyann comprsi qu'il avait bu toute la bouteille et le toisa quelques instants rieuse.

Ah c'est du propre mon cher diacre. J'espère que vous aurez décuvé pour nostre mariage... Et puis pourvu que'un monseigneur ne vous surprenne pas dans cet état là ... je ne suis pas sure de vous vouloir curé vu que vous priverez ces dames d'un fort bon parti mais puisque vous avez choisi cette voix, il est sur que Bertincourt ne puis avoir de meilleur candidat. pffff allez je vais vous emmenez au lit, il ne serait pas séreiux de vous laisser ici Dieu seul sait ce qui pourrait vous arriver dans cet état ou quelle bêtise vous pourriez commettre !

Sur ce Cyann prit gentiment le bon Willy par la main et entraina le diacre fin rond vers sa résidence. Il résista quelque peu pour la forme mais dormit bientôt dans son lit en ronflant à qui mieux mieux.


Ce n'est que quelques jours sur la plage plus tard qu'elle put constater avec ravissement qu'il se portait comme un charme. Le père Willy avait décidément une bonne descente ec qui rajoutait au charme débonnaire du diacre bertincourtois

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Seriella
Seriella avait reçu l'invitation de Willy II, qui recevait le très important sacrement de l'ordination en ce jour.
Elle s'était arrangée pour pouvoir se libérer et passer les frontières, ne voulant pas rater cette cérémonie.

Depuis son arrivée au séminaire lescurien et son baptême, elle appréciait grandement le jeune diacre et tenait à lui apporter son soutien.

En plus ça faciliterait les formalités administratives qui demandaient la présence de plusieurs clercs à la cérémonie pour officialiser la chose. Ah Rome... ton univers impitoyable...

Arrivée devant l'église qu'elle connaissait déjà, elle s'aperçut qu'elle était un peu en avance. Qu'à celà ne tienne, elle allait pouvoir prendre un peu de temps pour prier.

Le vieil Ulysse se mit à brouter non loin, et la jeune évêque entra silencieusement.

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pnj
Un pigeon arriva en provenance de Franche Comté, pays au temps rigoureux.
Il avait un morceau de parchemin accroché à sa patte
.

Code:
Bien le bonjour, cher ami,

cela faisait bien longtemps que l'air frais de la FC n'avait point eu de tes nouvelles.
cela fait plaisir de savoir ce que tu deviens.
en apprenant que tu as choisit les ordres, cela m'a rappelé nos soirées endiablées à picoler des binouzes en taverne!
le bon vieux temps... hé oui, le temps a coulé sous le pont de Pontarlier!

Qu'Aristote te montre le chemin!

amicalement,
Rougail ton ami.
---fromFRAnonymous
Tenae n'aurait manqué pour rien au monde l'ordination de son beau Willy d'amour qui deviendrait en ce jour, Un prêtre.

Elle entra dans l'église, et se souvint des moments où elle et le père Kolmar avaient eut des conversations sur les points de la vie. Dans ses moments où sa vie basculait a lui faire mal.

Elle se souvint aussi, du jour, où elle, elle avait décidé de se faire baptisée. Frère Olivier de son vivant était devenu son parrain.

Que sa mort l'avait bouleversée. Lui, l"homme juste de la ville. Sans aucune pensée malvaillante. Toujours serviable. Il l'avait meme incité a rester.... tout juste avant qu'il.... Hooooooo

Et là, ce soir, elle vivrait les changements chez son ami Willy. Que de bons temps aussi qu'elle avait passé avec lui. Comme avec beaucoup d'Autres d'ailleurs. Sans aucune pensée futiles. Amitié pure tout simplement. Son coeur appartenant qu'à un seul homme.

Prenant le temps de tremper le bout de ses doigts dans le bénitier, une petite grenouille, sauta sur sa main. Surprise, un petit cri lui échappa des levres avant de retenir un rire qui voulait les franchir.

La Reinette de Frère Olivier.

Cette découverte, lui fit monter les larmes aux yeux. Mais de joie.


*vous voyez Olivier, je penses toujours a vous et cette petite bestiole, le fera encore et encore aussi souvent qu'elle le désirera.*

Par la suite, Tenae se signa et vint s'agenouiller a quelques rangées du devant. Elle pria pour ses amis défunts, pour Basilus où qu'il puisse être et pour Willy....

Ensuite, elle s'assied et attendit l'Arrivée de tout ce beau monde, en regardant cette église, comme si elle la découvrait pour la premiere fois.
Clementmathieu
[Fin fond des Pyrénées]

Clément-Mathieu était enn pleine discussion avec ses maréchaux dans le poste de frontière franco-espagnol. Un pigeon s'écrasa sur un carreau. Les trois maréchaux se regardèrent se demandant se qu'ils devaient faire. Clément-Mathieu leur dit alors.

Mais, tonerre de Brest, allez me chercher ce pigeon !

Les maréchaux rapportèrent au chef maréchal le pigeon à demi inconscient. Il transportait un message. A première vue, il venait de Picardie.

Chef, un message d'un Caperam pour vous.

Donnez moi cela !


Il lut la lettre envoyée par son ami. Ses yeux brillaient et les maréchaux se retennèrent de s'esclaffer de rire. Il prit un stylet pour répondre.

Citation:
Mossu Caperam, Père Willy,

Tout d'abords, je te souhaite toutes mes félicitations pour ta futur ordinnation. Je ne serais pas douté de tes capacités à tenir tes paroissiens en moins, qu'ils puissent se confesser chez toi. Parlant de confession, faudra que je vienne jusqu'en Artois pour ma confesse... Enfin soit.

J'espère que la chorale va bien. Je regrette encore de l'avoir quittée. Et si je puis t'être d'une aide quelconque, fais moi appel. - Peut-être par un autre pigeon que celui-ci, il a l'air mal en point... -

Encore une fois toutes mes félicitations,

D'un petit poste frontière au milieu des Pyrénées, Clément-Mathieu.

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Hierro.de.lusitanie
[Quelque part en Bretagne]

Les premieres gouttes de pluie faisaient leurs apparition, la legende sur l'humiditée de la bretagne aller se verifier ce soir meme.
Depuis les quelques jours de presence dans le duché bretons, hierro n'avait put constater la realitée de ces dires.

Un pigeon etait arrivé tot ce matin la, il apportait une missive.

cette missive annoçait l'ordinnation de son ami William II d'artois.

Hierro delessa les remparts de vanne et s'enfonca dans sa tente pour y griffoner quelques mots dans une lettre.


Citation:
Cher William II

Je te souhaite mes felicitation pour ton ordinnation, je suis heureu que l'eglise de Bertincourt puisse coompter un homme de ta trampe ainsi que celle de notre feu Olivier le gentille.

Je ne peut malheureusement etre presente pour la ceremonie car je suis actuellement en mission en bretagne, mais sache que mon coeur est avec toi mon ami.

Je remercirai le tout puissant d'avoir doter mon village de coeur d'un si merveilleux Diacre.

J'espere revenire en Artois tres bientot.

Coordialement Hierro de luistanie.

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