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[RP] Eglise Saint-Miguaël de Dijon

Baronsengir
Merci bien mon fils. Je suis l'abbé BaronSengir.

J'ose espérer vous voir aux prochaines messes, ainsi que les autres dijonnais à l'avenir.

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Baronsengir
Dimanche, c'était dimanche, et comme tous les dimanches, la messe! Que les dijonnais fassent encore la grasse matinée, peu importait. Si seuls quelques rares se souciaient du salut de leurs asmes, le Paradis serait moins encombré... Mais enfin c'était aussi son rosle de diffuser la foy, aussi ferait-il quelque effort en ce but. Mais pour l'heure, priorité à la célébration dominicale.

Le blond ouvrit grand les portes, lorgna sur les bancs du fond qui viendraient bientost rejoindre les rangs du milieu, et s'avança le long de la nef, sans se presser, écoutant le bruit de ses pas répercutés jusqu'aux voustes. Elle avait bonne acoustique cette église... S'il trouvait à l'occasion quelques moines chanteurs désœuvrés, lassés des siestes et des hommages répétés à Sainte Boulasse au monastère, il pourrait en inviter pour l'organisation d'un concert... Projets, projets, tout se mettait peu à peu en ordre en sa nouvelle vie. Il reprit ses esprits arrivé à la porte close de la sacristie. Il la déverrouilla, alla siffler dans la réserve cachée de vin que son ami Bender avait laissé, confirma au passage d'un miroir qu'il était toujours aussi bel et blond et enfin, alla se placer au pied du clocher, où pendait nonchalante une corde arrogante. Foy de Sengir, elle allait moins rire! Et c'est dans un éclat soudain que le silence fut brisé par les cloches appelant les paroissiens à la messe dominicale.


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Ericlebon
Ericlebon, avait oublier les jours, il ne se rendit compte que l'on était Dimanche qu'en entendant les cloche résonner.

En courant il rejoint l'église, espérant ne pas être trop en retard, il se faufila sans un bruit dans l'édifice.
Mogi
Mogi avait été trés occupé ces derniers jours... les temps était dur et les brigands rodent de partout...
Il avait bien besoin d'un moment de calme et de prière...

A peine il eu entendit les clochers qu'il termina les affaires en cours et se dirigea vers l'église.

Peu de monde était encore présent, pourtant l'heure était déjà avancé...

Il se mit a sa place habituel, fermant les yeux en attendant que le père commence...

Espérons que Mogi ne s'endorme pas....

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Aube : Une Bourgogne Accueillante, Une Bourgogne Légère, Une Bourgogne Juste
Baronsengir
Le prestre revint vers la maigre assistance et se tint debout, bel et blond guide spirituel.

Dijonnais, bien peu nombreux comme je le déplore toujours, soyez la bienvenue en cet édifice sacré, maison du Très Haut où foy et piété se consomment sans modération.

Savez-vous ce qu'est un homme bon, un homme vertueux? Savez-vous ce qu'attend le Très Haut de chacun de nous? Avez-vous réellement conscience de ce qui vous attend après votre mort? Pour le savoir, venez à la messe le dimanche écouter les enseignements et travaillez votre foy tous les jours? Si certains s'en moquent, qu'ils restent chez eux, mènent existence basse et matérialiste, et passent l'éternité à endurer mille et mille souffrances auprès des hérétiques, des assassins et des princes démons...


Regard circulaire et insistant pour bien faire entrer le message au plus profond des esprits.

Sinon, avez-vous péché cette semaine? Et je ne parle pas de truites ou de goujons! Allons, vous connaissez le tarif!



Maintenant que votre asme est aussi lavée qu'une jouvencelle à la rivière, la messe en tant que telle peut commencer, c'est à dire, la célébration de l'amour envers le Très Haut. Et ce, par la récitation haut et fort, j'insiste, et de tous, du credo aristotélicien.

Afin de réveiller les dormeurs, il frappa sur la table de l'autel du poing.

J'ai dit!

Citation:
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

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Mogi
Baronsengir a écrit:
J'ai dit!


sur ces mots, Mogi se réveilla en sursaut....

un peu perdu, il repris la prière en cours de route...


bla bla bla....

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AAAAAAAAAAAA *baillement* MEN


Il se frotta les yeux, et attendit la suite, en ce demandant si le père avait remarqué sa sieste dominical....

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Aube : Une Bourgogne Accueillante, Une Bourgogne Légère, Une Bourgogne Juste
Ericlebon
Arfffffff, sursaut au coup porter par le curé.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN
Baronsengir
Bien, bien, les dormeurs avaient été secoués et le serment de foy avait été récité. Prenant lors son temps, il tourna les pages du Livre des Vertus et fit lecture aux dijonnais.



Livre de la Création
Chapitre VII - « L’amour »


5 Et Dieu lui demanda: "Et toi, l’humain, n’as-tu rien à Me répondre ? J’ai ici convoqué toute Ma création pour trouver celui qui donnera la juste réponse à Ma question. Tu es venu et tu n’as pas répondu. Alors, maintenant, Je te somme de le faire !" Alors, Oane, terrifié par le ton sévère de son créateur, leva les yeux vers Lui et, d’un ton hésitant, dit: "Mais, ô Très Haut, je ne sais si ma réponse est juste..." Et Dieu lui ordonna: "Parle et je te le dirai !"

6 Alors, Oane répondit: "Tu as certes fait Tes créatures se nourrissant les unes des autres. Il leur faut chasser et tuer pour se nourrir. De même, il leur faut se battre pour défendre sa vie. Mais il n’y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres. Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs. Car Tu es notre créateur."

7 "C’est pour cela que Tu as donné des talents plus beaux les uns que les autres à toutes Tes créatures. Chacune d’elles a sa place dans Ta création. Son talent permet à chacune d’elles de la trouver. De ce fait, il n’y a pas de créature préférée de Toi, ô Très Haut. Nous sommes toutes pareillement aimées par Toi et nous nous devons tous de t’aimer en retour. Car, sans Toi, nous n’existerions pas. Tu nous a créés alors que rien ne t’y obligeait et nous nous devons de t’aimer pour te remercier de ce geste."

8 "Nous sommes certes enchaînés à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour." Alors Dieu dit: "Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer ses semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes."

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Theodomir.
Voilà déjà presque quatre jours que le jeune duc était arrivé à Dijon afin d'y honorer ses serments. Autant de jours depuis lequel il se remettait de son agression par quelque sinistre brigand... Si son enveloppe physique était meurtrie, sa Foy, elle, était toujours intacte.

Aussitôt remis, il se dirigea vers l'église afin d'y prier. Quelque peu surpris de voir qu'une messe avait encore lieu à cette heure, il n'y prêta finalement pas attention, s'agenouilla au dernier rang et se recueillit en lui-même.
Ce pour quoi, ce pour qui il priait ne nous regarde pas. Un peu déboussolé, le Hennfield termina en chuchotant en ces mots :


Tu nous guides quand notre âme est embrouillée
Tu guéris le chétif et le maladif
Tu nous offres tes vêtements quand les nôtres sont mouillés
Tu éloignes les marchands des brigands, les bateaux des récifs

Tu soulages les plaies
Tu guides tes prophètes pour qu'ils puissent nous montrer la voie
Tu nous sauves des guerres en aidant la paix
Tu fais régner l'ordre quand toutes s'égarent les voix

Pardonne-nous si nous nous sommes détournés de Toi
Et nous, nous nous confessons
Et nous, nous t'aimons
Ô Très-Haut!
Soit loué!

AMEN


Il se releva, pris soin de mettre quelques deniers dans le tronc des pauvres malgré tout et prit la sortie.
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Uriel
Passage éclair par Dijon, Uriel s'arrêta à l'Eglise avant de quitter la ville afin de remercier Dieu pour ses bienfaits.
Les chevaux étaient prêts à partir, Mgr Oisele se rapprochait de Toulouse, la Cadette Héliona découvrait la Bourgogne, et en ville quelle ne fut pas sa surprise de faire deux rencontres : une de ses élèves, qui souhaita l'accompagner pour un temps, tandis que le soir en taverne il revit Della, qu'il avait connu en Lorraine, voici déjà si longtemps.
Retrouvailles entre deux amis qui avaient échangé de nombreuses lettres, puis s'étaient, par la force du destin, perdus de vue, deux chemins qui avaient l'air si différents se croisaient à nouveau.

Le Premier Archidiacre de Trèves remonta discrètement l'allée latérale pour aller prier non loin du choeur.
Que Dieu accorde le bonheur aux gens qui lui étaient chers et qu'Il les protège ...




Son Credo récité, il se releva et reprit la route, direction Chalon !

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Menthe
Avant d 'entrer dans l 'église, elle se couvrit la tête , elle poussa la lourde porte sculptée, puis s 'avança vers le bénitier et se signa un genou à terre.
Elle avait trop de pêchés à confesser, elle se sentait l 'âme lourde et amère......elle se mura dans la prière en étroite communion avec le seigneur..
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VITA BREVIS
Baronsengir
Perdu en ses pensées, Baron songeait au séminaire qu'il avait achevé l'an passé, à des visages qu'il avait croisés lors de ses aventures, aux postes divers qu'il avait occupés... Un toussotement le fit revenir à la réalité, face aux paroissiens dijonnais. Il relut rapidement pour lui-mesme le passage qu'il leur avait récité, afin de se le remettre en mémoire. Et là, un tonitruant :

Tout à fait! Le sens de la vie, mes enfants! L'amour, il n'y a que ça de vrai, je vous le dis! Aimer le Très Haut, Le remercier de Son amour pour nous, pour avoir fait de nous Ses enfants! Quiconque ne rendra pas hommage au Divin se rendra coupable d'acédie, rappelez vous-en!

Aimer vos voisins, les membres de votre communauté! Ne pas laisser les discordes briser l'harmonie des villages et des familles. Ne pas trop aimer la jolie bergère, par contre, ou après le mariage uniquement. Petite précision que je juge nécessaire... Par contre les hérétiques, les apostats, les hétérodoxes en tout genre, ceux là, vous avez le droit de ne point les aimer. Si, si, c'est permis. Et mesme de préparer fourches et torches, et... Mais c'est une autre histoire...

Allons, venez tous vous rincer le gosier et vous emplir la panse à l'autel, que le vin et le pain partagés par tous renforce l'amitié aristotélicienne qui unit la paroisse dijonnaise!




Le gueuleton fini, les aristotéliciens repus de retour en leurs bancs, le prestre prit une dernière fois la parole.

Mes amis, j'ai entendu demandes de baptesmes, de pastorales... Mais où sont les gens qui m'envoient missives? Je rappelle que tout bon aristotélicien se doit d'aller à la messe dominicale ; or je vois bien peu de monde...

Sachez que comme à l'habitude, je serai sur le parvis de l'église, si vous avez toute question ou volonté de discuter. Allez en paix mes enfants.


Le curé avait prononcé l'envoi, il ramassa ses effets et se rendit à l'entrée, comme il l'avait précisé.
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Eowynn_de_galway1ere
Amazone était à Dijon. Elle se rendit à l'église, seul endroit qui l'apaiser quand elle sentait triste. Elle venait de sacrifier son amour pour le protéger et c'est le coeur meurtri qu'elle avait dû mentir à Léo en lui disant qu'elle ne l'aimait pas. Ceci n'était pas vrai mais elle n'avait pas eu le choix, ses ennemis voulant le tuer s'il restait près d'elle. Sa foi devenait sa seule porte de sortir pour ne pas tomber dans un abîme de désespoir. Elle se raccrocha à cette apparition qu'elle avait vu au détour d'un chemin de campagne en pleine nuit de feu Monseigneur Artmaniak, l'évêque de Toul. Il lui avait confié une mission, celle de prier dans toutes les églises qu'elle rencontrerait pendant son voyage en l'honneur du Très-Haut et en sa mémoire. Elle s'agenouilla et pria :


Dieu Créateur de toutes choses, Toi qui n'est ni bon ni mauvais!
Toi qui sais tout, purifies ton enfant afin qu'il soit reçu à ta droite.
Guide-nous dans nos actes, comme il a pu nous guider en ton nom,

Dieu qui n’intervint plus dans le monde, laissant Ses enfants vivre et prospérer.
Toi, L'Omniprésent mais nous laisse libre de notre destin,
Gardes les Vertueux dans un destin solaire et lumineux,

Dieu, Jetes les corrompus dans la lune, reclus et sombres.
Toi, je fais ma confession et mon pélerinage en Ton nom.
Gardes un regard sur mes actions et juges moi.

Dieu te Garde mon frère


Puis elle pria aussi pour son amour éternel, pour son Léo

Seigneur, je vous demande pardon d'avoir menti. Je l'ai fait dans l'intérêt de mon Léo. Mes ennemis voulant le tuer si je ne réussissais pas à le faire partir, m'ont obligé à lui dire des mots très durs que je ne pensais pas. Seigneur, protégez le de votre bienveillance et de votre amour. Et j'espère qu'un jour il comprendra.

Amen


Elle se signa et resta un petit moment en recueillement.
Baronsengir
Un blond, un panier bien garni à la main, franchit les portes de l'église à une heure matinale. Il passa en regard les bancs vides, s'imaginant déjà mettre en place les idées qui lui trottaient par la teste... Mais point de suite, un jour, peut-estre...

Frissonnant encore des fraisches températures du dehors, le prestre alluma des cierges près de l'autel et des bougies à divers endroits situés le long de la nef. Bien, l'église était éclairée et il faisait plus doux qu'à l'extérieur. Mais il n'avait pas non plus cherché à réchauffer complètement l'édifice. Un peu de froid, ça empeschera les paroissiens de dormir durant la messe, si d'aucuns auraient eu l'outrecuidance de le faire.

Il alla ensuite répartir ce qui attendait les fidèles au bout de la cérémonie, miches de pain, coupes et bouteilles. Mais le meilleur pour la fin, voilà était son adage. BaronSengir se rendit lors dans la sacristie, se prit une petite lampée de calvados histoire de se donner de l'énergie, et déverrouilla la porte menant au clocher. Le curé s'empara de la corde et tira de toutes ses forces. Plusieurs minutes durant, l'appel à la messe dominicale retentit avec force dans toute la capitale.



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Aelis
Si fait... Cette nuit l'auberge avait un été un peu moins miteuse que les autres jours, mesme si elle avait été réveillée au désagréable son de la patronne égorgeant un poulet pour le repas du midi. Et s'étant rappelé que nous étions dimanche, la jeune Dame s'était habillée en grande haste, craignant que les cloches ne sonnent avant qu'elle ne soit tout à fait preste, et ne puisse assister au début de l'office.

Mais la damoiselle était déjà vestue et chaussée lorsque l'appel aux fidèles se fit entendre. La brosse était simplement occupée à effectuer son travail de brosse dans les cheveux de la jeune Dame. Aussi, elle la reposa sur le meuble, passa sa cape sur ses épaules et sortit dans la fraischeur matinale dijonnaise. Demandant son chemin à plusieurs passants, elle finit par trouver le bastisse, et en pousser les portes.

Encore personne, qu'à cela ne tienne. Ses habituels piécettes furent déposées dans le tronc pour les pauvres, tandis qu'elle se signait, et jetait un coup d'œil circulaire afin d'admirer l'architecture des lieux. Et avançant toujours en regardant à droite et à gauche, notre aristotélicienne touriste, qui n'aurait manqué un office dominical pour (presque) rien au monde, digne filleule et cousine du Primat de France, alla poser ses délicates fesses sur un banc, et se mit à prier en tortillant sa médaille de baptême entre ses longs doigts fins.

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