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[RP] Eglise Saint-Miguaël de Dijon

Chouchou1804
Chou passa par l'église, entra et se signa...
Puis elle aperçu Christyl...
Elle s'approcha d'elle...

Bonjour Christyl. Comment vas-tu?
Que fais-tu ici?


Chou lui sourit...
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Christyl
Chris était perdue dans sa méditation quand elle entendit son nom prononcé.

Citation:
Bonjour Christyl. Comment vas-tu?
Que fais-tu ici?


Elle sursauta et sourit à Chouchou

Ho ça me fait plaisir de te voir. Tu vois, j'attends que la messe commence. J'arrive toujours trop tôt Et il faut absolument que je parle au père Baronsengir. Je viens de terminer ma pastorale avec lui et on doit fixer aujourd'hui le jour de mon baptême. Alors je suis toute contente

Elle frappa du bout des doigts la chaise à côté d'elle et dit en riant

Allezzzzz vient vite t'assoir à coté de moi et me raconter ce que tu deviens.
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Chouchou1804
Moi aussi ca me fait plaisir de te voir.
Heureusement que je suis passée par là. sinon tu aurais pu attendre longtemps. La messe à lui à la cathédrale aujourd'hui.
Viens donc avec moi nous allons nous y rendre ensemble...


Chou se signa et sortit en compagnie de Christyl.
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Asclepiade
Baronsengir a écrit:


Oh et après tout, pourquoi se contenter d'un filet d'eau? Il pencha plus encore le récipient et aspergea consciencieusement le cuir chevelu tout entier, vidant en fin de compte toute l'eau. L'on n'était jamais trop généreux avec la symbolique de l'eau purificatrice!


Asclépiade, à genoux, entendit l'eau qui allait le basptiser. Elle vint s'abattre sur sa nuque. Jusqu'à là rien de bien étrange sauf qu'après ce fut toute sa tête qui fut aspergée. Cela était nouveau : était ce une nouvelle coutume ou bien la fantaisie du beau blond??? Il refléchit que peu de temps à la question. Dans tous les cas, il avait fini trempé !

Après avoir pris la douche heu l'eau sur la tête, il se releva et vit le curé revenir avec un cierge qu'il prit dans ses mains dès que le Blond lui tendit ainsi que la chaisne.


Citation:

Félicitations mon fils! Puissent ton parrain et ta marraine estre toujours de bon conseil dans ta vie d'aristotélicien.


Merci mon Père pour tout.

Entouré de sa marraine et son parrain, il regarda l'assistance et vit que Robi était toujours présente, debout et cela paradoxalement le soulageait. Peut estre qu'elle allait mettre un terme à cette attente et à ses questions sans réponse.

Certainement que l'Eglise serait un lieu propice aux réponses insondables. Alors pourquoi pas??? Il s'excusa auprès des personnes qui le félicitaient et alla donc droit vers elle. Après tout il fallait estre fort et il avait été apaisé par la baptesme ou bien c'était l'eau??

Ne sachant pas trop par où commencer, il décida qu'il fallait lui laisser prendre la parole si seulement elle était preste. Cela ne servait à rien de la brusquer d'entrée mais Dieu qu'elle était belle !!! Ainsi il échangea des banalités :


Bonjour Robi. Comment vas tu? Me voila baptisé et complètement trempé comme tu vois!! Quelle idée qu'il a eu ce curé !! Je suis très heureux que tu sois venu assister à la cérémonie.

Il ne dit mot plongeant ses yeux dans les siens et se tut et attendit...
Robinettedesbois
Le moment de vérité était arrivé...
Soulagement ?! Peur ?! Appréhension ?! Que ressentait-elle donc ?! Elle n'en savait trop rien, peut-être les trois à la fois...
Il avançait vers elle, s'étant excusé auprès de son entourage. Elle aurait pu le laisser avec eux... Mais elle ne voulait pas partir. Tout était apparu si clairement dans cette église, en le voyant la fixer, ou encore en le voyant à genoux... Comment donc avait-elle pu ?!

Jetant un coup d'oeil à sa main, elle regarda un instant la bague qui y était toujours resté. Cela avait toujours été si évident pourtant...
Revenant à Ascle, elle eut juste le temps de prendre une bouffée d'air et il était devant elle...


Bonjour, bonjour... Ascle.

Diantre, elle était hésitante ! Cela ne se pouvait ! Fichtre, non !
Elle se sentait mal tout à coup, ces beaux yeux qui la scrutait, comme s'il voulait sonder son âme à la recherche de réponses...
Elle se sentait tout à coup comme une petite fille. Aussi fragile et petite. Allait-il donc la gronder ?!
Non, il n'en fit rien, le ton était donné... les banalités ! Reprenant un instant ses esprits, elle lui répondit...


Je vais bien, je te remercie et toi ?!

Elle allait bien ?! Tout était relatif, évidemment... Mais en ce moment il semblait qu'elle allait un peu mieux, oui...

Oui, mes félicitations pour ton entrée dans la grande famille qu'est la famille Aristotélicienne !

Puis elle ne put s'empêcher cette fois-ci de laisser échapper un rire léger et cristallin... La scène avait été si amusante, et il était si mouillé à présent...

Excuses moi, peut-être te trouvait-il mieux ainsi bénit et mouillé que tout sec...
Concernant ma venue, c'était une promesse, je n'aurais manqué ça pour rien au monde ! Je suis heureuse d'avoir pu y assister, d'avoir été là.


Esquissant un sourire, elle se rendait compte que contenir les battements de son coeur était chose difficile, devant son regard... Elle avait l'impression qu'il cherchait à découvrir tous ses secrets et avait grand peine à ne rien laisser paraître, s'efforçant de rester la plus calme possible... Et pourtant elle se sentait fondre, cela faisait si longtemps.
Inconsciemment elle s'était approchée, lorsque soudain, elle ne savait pourquoi, elle n'avait pu résister à laisser glisser sa main dans ses cheveux mouiller, tout doucement... Laissant échapper un chuchotement involontaire, un chuchotement traitre...


Je préfère quand ils sont sec... ils sont plus doux...
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Asclepiade
Asclépiade était devant elle. Elle répondit à son salut et s'enquit de sa santé. Elle était si proche et en même temps si lointaine.

Robinettedesbois a écrit:

Je vais bien, je te remercie et toi ?!


Je vais très bien Robi puisque tu es là. Ah là là il allait encore se rendre ridicule avec de telles phrases. Alors il esquissa un sourire et puis elle le félicita pour son entrée dans l'Eglise. Il remarqua qu'elle arborait toujours la bague qu'il lui avait offert un certain soir...

Et là instant merveilleux, elle se mit à rire et Asclé se détendit. Comme elle était craquante quand elle riait comme cela !!!
Elle se remit à sourire après lui avoir parlé. Il écoutait distraitement ce qu'elle disait. Son cerveau refusait de traiter les informations car son esprit s'imprégnait d'elle, de ses mimiques, de son parfum et de tout c'est petit rien, pas même remarqués par un inconnu mais de prime importance pour l'amoureux.
Et oui Asclépiade était amoureux.... de sa voix, de son charme, bref d'elle tout simplement.

Il allait parler, essayer de mettre des mots sur ce qu'il ressentait en sa présence et ce qu'il lui manquait pendant ses absences quand elle fit glisser sa main dans ses cheveux. Geste non dénué de sens, elle mettait souvent sa main pour corriger un épi ou tout simplement pour le décoiffer.

Revenu quelques moys en arrièret avant qu'une distance ne les sépare, ce geste valait cent fois plus que de longues explications ou mots.
Reprenant leur vie à deux, mise en parenthèse, cette proximité retrouvée, rendait ivre de joie Asclépiade ou bien était-ce un effet méconnu de l'eau bénite???

Pendant qu'elle lui chuchotait, il passa les mains sur ses hanches et enlaça Robi. N'émettant pas de résistance pour le moment, il l'attira à lui et dans un souffle, lui murmura :


Alors je vais devoir les sécher mais pour ce faire, j'aurais besoin de ton aide précieuse...Viendrais tu m'aider?

Il aurait voulu l'embrasser, poser ses lèvres sur les siennes mais ils étaient dans une Eglise et il venait de se faire baptiser.... La Vertu la suivre. En tout cas, le fait d'avoir les cheveux trempés pouvait jouer un rôle éminent dans une discussion. Etait ce le fruit du hasard ??? Etait ce la volonté du Seigneur ???

Quoiqu'il en soit, Asclépiade était content de son baptesme fortement arrosé et attendait avec un peu moins d'inquiétude les réactions de Robi
Robinettedesbois
Ses joues s’étaient violemment empourprées lorsqu’elle s’était rendu compte de son geste. Pourquoi donc, si soudainement et surtout si évidemment, avait-elle laisser sa main glisser dans ses cheveux ?! Ou pourquoi tout à coup avait-elle laisser échapper ces quelques mots ?! Elle ne savait pas, cela avait été si instinctif, qu’elle ne s’en était rendu compte tout d’abord…

Confuse, elle l’était… Elle ne savait où se mettre à présent. Et il ne l’aida pas à arranger son trouble, lorsque tout à coup il l’attira dans ses bras. Ne résistant pas, elle se sentie rougir de plus belle, et se laissant aller contre lui, elle n’esquissa aucun mouvement de fuite. Elle était comme stupéfaite de son propre laisser aller, ahurie de se voir rester là, contre lui. C’est comme si sa raison la regardait de plus haut, lui rétorquant qu’elle était sotte et qu’elle ne savait plus ce qu’elle faisait ! Mais elle n’entendait plus, plus rien… Et c’est au travers de son long fil de pensées confuses, qu’elle entendit le chuchotement… Son regard plongée dans ces beaux yeux bruns, elle l’écouta donc, avant de finalement acquiescer, laissant de nouveau échapper un rire léger…


Si tu es sûr de savoir ce que tu dis, je t’aiderai à les sécher, cela ne devrait prendre une infinité de temps…

Puis, tout à coup, elle sourit encore… Lui sécher les cheveux, qu’elle demande bien singulière, c’était totalement inattendue. Était-ce pour se persuader de la véracité des évènements ?! Pour la réalité de la scène qui se déroulait ici ?!
Tout à coup cela lui avait sauté aux yeux, plus immensément encore que lorsqu’elle s’était questionnée avant sa décision de partir, elle avait du le faire tant souffrir. Et, à cet instant précis elle sentait qu’elle avait été si égoïste pour partir ainsi, qu’elle en avait mal. Elle aurait voulu soudain disparaitre, pouvoir revenir en arrière, à présent qu’elle avait compris. Mais elle savait aussi que cette séparation avait du être nécessaire, nécessaire pour ainsi se rendre compte de ses erreurs, nécessaire pour répondre aux questions qui la tourmentait…

Frappée par cette prise de conscience et de l’égoïsme dont elle avait pu faire preuve, de la souffrance qu’elle avait pu lui faire endurer, elle s’était approchée plus près de lui, glissant ses mains dans son dos et enfouissant sa tête contre son épaule. Faisant fi de sa raison qui ne cessait de la tourmenter, elle comprit dans le même temps la raison de ses gestes inconscient. Ce que l’on disait était donc vrai ?! Le cœur a ses raisons que la raison ne connait pas…
Toujours dans ses bras, la tête enfouie contre son épaule, elle ne voulait qu’il puisse voir qu’elle monstre elle avait pu être, elle ne voulait qu’il aperçoive ces faiblesses de petite fille abandonnée, enfouies au plus profond d’elle-même et qui commençaient à refaire surface, refusant cette volonté de refoulement. Agrippant soudain sa chemise, elle laissa échapper un chuchotement involontaire de nouveau…


Pardonnes-moi…

Deux mots si simple et tellement cruels. Deux mots ampli de signification, mais qu’elle sentait si lâches. Elle ne pouvait lui imposer ce pardon, c’était elle après tout qui avait fuit, qui l’avait interdit de la rechercher. Et en cet instant, il ne voulait qu’il la regarde, elle ne voulait qu’il la voit comme elle se voyait elle-même, un monstre d’égoïsme et de cruauté, qui n’avait pu que fuir pour essayer de trouver réponses à ses questions et également essayer d’échapper à la douleur.
A présent, elle n’attendait rien d’autre de lui qu’un simple mot, ses larmes menaçant de la submerger et de l’emmener toute entière, ses larmes qui lui brulait les yeux et qu’elle contenait à grande peine…
Qu’allait-il faire d’elle ?! Elle, monstre presque aussi fragile qu’une petite enfant à cet instant, mais qui ne méritait certainement pas sa clémence...

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Angelyque
Angelyque faillit laisser échapper un rire quand elle remarqua que le Curé apergeait très copieusement son filleul, elle se dit qu'il s'il avait pû le tremper entièrement dans l'eau bénite il l'aurait sans doute fait...en jetant un coup d'oeil parmi les invités, elle reconnut sans l'ombre d'une hésitation son amie Robinettedesbois, elle lui adressa un petit salut discret, elle ne regretta pas de s'être déplacée, à peine baptisé, son filleul s'élançeait vers elle, ils avaient surement beaucoup de choses à se dire, elle aurait maintes fois l'occasion de discuter avec son amie plus tard...

En attendant, elle resta plantée aux côtés de son vassal et continua d'adresser de muettes prières à Aristote. Qu'il était bon d'être dans une Eglyse! à chaque fois, son esprit s'apaisait et elle se sentait renforcée au plus profond d'elle-même. Elle guiderait au mieux son filleul sur cette voie avec l'aide de son parrain, confiante, elle sourit à Phelim, toutes ses vélléités à son encontre s'étaient à présent envolées grâce sans doute aux prières et aux paroles du curé Baronsengir...

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Asclepiade
Il l'avait prise dans ses bras, ce qui était normal il y a quelques semaines pouvaient ne plus l'être ensuite. Il avait un peu d'appréhension mais cela se passa bien et il reprit espoir. Elle était d'accord pour lui sécher les cheveux. Demande étrange en pareil lieu mais c'était une des rares choses où qu'il pouvait demandé sans paraitre trop exigeant.

Finalement elle répondit a son étreinte et le bon temps semblait être revenu si bien qu'il passa une de ses mains sur sa tête et l'autre au bas du dos quand il l'entendit murmurer une autre fois :


Robinettedesbois a écrit:

Pardonnes-moi…


Il l'enlaça plus fortement et, après avoir passé ses lèvres sur l'oreille, il lui chuchota :


Il n'y a rien à pardonner, Robi. Tu es là et cela me suffit..

Puis n'y tenant plus il posa ses lèvres dans son cou. Puis se rappelant qu'il s'était absenté un peu, il arresta son étreinte et parla plus fort :

Et dis moi Robi, si tu venais avec moi rejoindre ma marraine et mon parrain pour les saluer. Je ne voudrais pas manquer à mes devoirs...et en chuchotant ensuite nous pourrions nous en aller continuer cette conversation dans un lieu hum moins solennel et devant un bon feu de cheminée. Tu as beaucoup à me raconter? dit il en riant.
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Robinettedesbois
L'entendre lui chuchoter qu'il lui pardonnait l'avait infiniment soulagée, même si elle ne comprenait réellement comment il le pouvait si facilement. Peut-être à force de toujours s'attendre au pire, elle en oubliait que parfois cela pouvait être simple ?! Elle en avait bien la preuve ici, à cet instant...
En revanche sentir tout à coup ses lèvres sur son épaule l'avait fait légèrement sursauter, elle ne s'y attendait pas, pas du tout. Et c'était comme s'il la prenait en traitre !

Puis, finalement le sentant se dégager, elle le laissa partir, le libérant de ses petits bras, essayant de cacher ses joues, toujours empourprées... L'écoutant, elle finit par répondre plus et moins fort, jouant son petit jeu...


Avec plaisir, je dois bien absolument saluer Angelyque, et faire la connaissance de ton parrain.
Devant un feu de cheminée, excellente idée ! Au moins tu n'attrapperai froid, tu es déjà si mouillé !


Lui adressant un sourire, elle l'entraina donc dans le même temps retrouver parrain et marraine...
En revanche, elle ne savait plus comment saluer convenablement Angelyque... Avait-elle le droit de déposer une bise légère sur ses joues, ou était-ce déplacé ?! Ne préférant provoquer fureur d'on ne sait où, puisque les murs ont des yeux, elle ne fit rien... elle verrait bien...


Bonjour, bonjour !
Quel plaisir de vous voir ici !
Comment allez-vous ?!


Elle était un peu déphasée des convenances, n'ayant pas reprit son fil depuis qu'elle était partie chez les nones... Était-ce une explication ?!
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Coupdesoleil
Soleil rentre dans l'église et s'installe tranquillement et prie un peu
Baronsengir
Dimanche! Le blond était surchargé de travail, devant donner de la teste en tous lieux... Mais il finirait par s'en sortir, ou de mourir épuisé... Il y avait toujours temps pour une petite messe.

Aussi le curé prit-il son rituel panier contenant tout ce dont il aurait besoin, se rendit à l'église et déposa tout cela près de l'autel. Il resta là un instant, songeant à sa diaconesse sur les routes, en mission pour son blond. Icelui ouvrit lors la salle menant à la sacristie, déverrouilla par suite celle menant au clocher et s'empara de la corde qui pendait.




Les cloches résonnèrent à tout rompre, indiquant qu'il était l'heure d'aller prier le Très Haut.
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H2d2
H2 arriva a l'Eglise. Il s'installa au fond

Bonjour mon Père. Belle journée n'est ce pas?
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Antonio
Ces derniers temps, le Porte-parole de Bourgogne avait eu pas mal de travail, et de ce fait n'était pas aller à la Messe depuis fort longtemps, trop longtemps...
En ce doux dimanche matin, il trouva un petit moment pour se libérer, après tout, son manque de temps n'était pas une bonne raison pour ne pas venir honorer Aristote et le Très-Haut.
Il sortit de chez lui, et se rendit dès qu'il entendit les cloches retentirent, à l'église de la capitale.

Il entra dans l'église et s'assit au deuxième rang, peu de monde était encore arrivé, il aperçut H2 qu'il salua d'un signe de tête.

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Maistre Académique de l'Institut Royal de Politique
Ex-Procureur de Bourgogne ~ Ex-Maire de Dijon (4 mandats)
Baronsengir
Le blond avait fini de sonner et était remonté la nef pour sa placer sur la parvis, afin d'accueillir les paroissiens. Le premier dijonnais fit son entrée.

Le bon jour mon fils, belle journée il est vrai.

Dites-moi, il y a de la place, vous pouvez vous asseoir bien plus près de l'autel.

Je suis bel et blond, mais je ne suis pas le soleil, je ne brusle pas si l'on s'approche trop près, n'ayez peur!

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