[RP] Eglise Saint-Miguaël de Dijon

Eric se rendit à l'église, une fois de plus pour pleurer un habitants de Dijon, ayant fait partit de ceux qui laisse une trace ici bas.

Arrivé à hauteur du Diacre il s'arrêta.

Bonjour, voilà une bien triste journée.

Puis s'en alla s'assoir à sa place au fond de l'église.

Mogi se leva pour le passage de Ouk, quand une ombre oppressante apparut à la porte de l'église...

Serait ce la mort qui vient accompagner Ouk dans son dernier voyage?

Sans peur, il se dirigea discrètement vers la porte, tandis que le cercueil avançait dans l'allée.
Une fois sur la parvis... personne. Juste un parchemin accroché à la porte...

Il le pris et le lut attentivement...

Encore un de ses vagabonds utopiques et hérétiques...

Vérifiant que personne ne l'observait, il déchira le parchemin et en mis les morceaux dans sa poche, pour être sur que personne d'autre ne puisse le lire...


Puis retourna honorer Ouk comme se doit...
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Aube : Une Bourgogne Accueillante, Une Bourgogne Légère, Une Bourgogne Juste

Erzy releva finalement les yeux vers le cercueil.Elle ne voyait presque rien tellement elle avait les yeux embrumer par les larmes. Elle du se tenir au banc tellement elle se sentait étourdit. Elle aurait voulu courir et s'éloigné le plus possible de cette cérémonie mais elle devait rester par amour pour son Ouk. Elle passa le dos de sa main sur ses larmes naissantes et répondit a l'appel du diacre

Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami

Robi arrivait en retard... Quelle honte !
Cependant ce n'était pas entièrement de sa faute, elle avait rencontré des problèmes sur le chemin de Langres...
Entrant donc doucement et discrètement elle alla se placer un peu à l'écart... Priant en silence, sentant l'émotion et les larmes la gagner...

Elle n'avait plus revue Ouk depuis 'longtemps'... Mais se souvenait tout à fait des rires dans les tavernes, de cette personne toujours si vivante... et maintenant elle... n'était plus...
Et en plus elle était en retard à son enterrement... non mais vraiment !

Cependant lorsqu'elle vit le cerceuil, sur l'estrade, elle ferma les yeux... c'était dur ! il fallait avoir du courage... la seule chose qui lui manquait ses derniers jours...
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Ange qui en revenait pas d'avoir perdu un si grand ami, eu un peu de retard mais se dépêcha de reprendre le file

Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami

Après l’amitié qu’il a reçu et qui a guidé sa vie, accorde lui l’amitié ultime qu’et la tienne Seigneur.

Mogi regardait ange qui visiblement n'avais pas compris.... Ca devait son premier enterrement..
Mogi, lui n'avais pas cette chance..

Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami
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Aube : Une Bourgogne Accueillante, Une Bourgogne Légère, Une Bourgogne Juste

Mogi suivait la cérémonie avec attention...

AMEN
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Aube : Une Bourgogne Accueillante, Une Bourgogne Légère, Une Bourgogne Juste

Erzy le regard vide a moitié fievreuse répondit telle la demande du diacre.Elle baissa le regard ver le cercueuil et dit

Amen

Ange ferma les yeux et dit avec tout le monde

AMEN

La jeune femme avait porter grande attention aux paroles du diacre.Elle respira un bon coup et s'avanca jusqu'a l'estrade. Passant près du cercueil elle laissa ses doigts glisser sur le bois finement sculpté tout en étouffant un sanglot.Montant la dernière marche elle respira profondément pour se donner le courage d'affronter le regard de la foule qui la dévisageait surement,elle cette femme maintenant veuve de l'amour qui la prédestinait au bonheur. Arrivé elle cala sa fille sur sa hanche et déplia un morceau de parchemin meme si elle le savait déjà par coeur elle entama d'une voix tremblotante


Tu m’as laissé gagner mon amour
Je t’aime et plus que toi
J’aurais préféré perdre et t’avoir encore a mes cotés
Vivants pleinement nos projets rêvasser
Mais le destin en a décider autrement
Veille sur nous a qui tu manque terriblement
Je ne peux que prier le soleil de se coucher
Pour que dans mes rêves je puisse t’y retrouver
Même si a mon réveil, la vie me paraîtra cruelle
Je finirai par sourire de toutes nos folies réelles
Comblée de t’avoir rencontré
Déchirée de t’avoir perdu
Repose en paix mon amour
Je t’aime et plus que toi…..



Levant les yeux sur l'assistance,elle laissa ses larmes couler sans gêne tout en se dirigeant a nouveau vers le cercueil qu'elle caresse tendrement avant de déposer un baiser dessus.Puis dans un murmure de larmes elle se glissa sur le banc les yeux fermés rassemblant dans ses pensées les doux souvenirs des bons moment passé avec Oukile

nol rentra pour prier un peu et fut étonné de voir sa future marraine ici,elle ne puis s'empêcher d'aller vers elle et de lui faire un big bisous sur la joue

salut ma future marraine comment va tu tu m'a trop manquer je suis si heureuse de te voir.

Keltica fut surprise d'entendre une voix connue près d'elle, et leva la tête ; devant elle se tenait sa chère Nol.

Nol ? Mais que fais-tu là ? Je suis en voyage à travers la Bourgogne, et voilà que je tombe sur toi !!! J'en suis bien ravie !!!

Elle fit une grosse bise à sa future filleule, l'invitant à s'asseoir près d'elle ; ce faisant, elle reconnut dans le fond de l'église le visage d'Ericlebon, qu'elle avait croisé parfois au château, et lui fit un signe de tête et un sourire en guise de salut, avant de s'asseoir.

J'irai le saluer mieux à la sortie, se promit-elle silencieusement.
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[Cathédrale de Dijon - Dimanche 28 Juin 1457]

Le père Bender avait toujours sa demi-journée de retard, comme à son habitude, il sorti ainsi de la sacristie pour s'apercevoir qu'il y avait déjà du monde dans l'église. Il fit le tour des personnes qu'il connaissait pour les saluer et fut heureux d'en revoir certains.

Le curé s'approcha d'Eric et lui lança :

Bonjour mon ami, comment vas-tu ? Cela fait plaisir de revoir ton visage ici, profite bien de cet office car il sera peut-être le dernier.

Voyant Vientiane il afficha un sourire de circonstance pour lui dire :

Bonjour ma chère ! Hé bien, voilà un bon bout de temps qu'on ne s'était pas vu. Cela me fait chaud au cœur de te voir ici.

Il s'en alla saluer Clothaire qui lui, était un fervent admirateur du curé et lui répondit :

Bonjour cher Clothaire, alors, je t'ai pas trop manqué ?

Avec un sourire, il ajouta :

Sirantonio n'a pas servi du trop mauvais vin pendant mon absence ?

Sans attendre de réponses, il alla se mettre devant l'autel et attendit que Sirantonio se présente, même si le diacre n'avait pas l'habitude d'être si en retard, il ne pouvait commencer l'office sans lui.
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Vientiane toute heureuse de voir son prètre préféré se mit à prier avec ferveur, de temps en temps elle tournait la tête vers Clo qui se reculait vivement, elle se demandait bien pourquoi ?

Mais enfin Clo, je sens mauvais ou quoi, tu t'éloignes chaque fois que je viens vers toi, je me suis lavée ce matin, tu sais menfin !!!

Elle en était presque véxée, croyant lui faire plaisir en venant s'asseoir auprés de lui, elle s'apercevait qu'au contraire elle génait... Le retour serait difficile, dans ce cas autant partir !!!

Je confesse a Dieu tout Puissant,
A tous les Saints,
Et à vous aussi,
Mes Amis,
Parce que j’ai beaucoup péché,
En pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints et vous,
Mes amis,
De prier la créateur pour moi.
Que le Très Haut
Nous accorde le Pardon,
L’absolution et la rémission
De tous nos péchés.

Tout en récitant la prière Clothaire faisait des grands signes à Leontille pour qu'elle se rapproche et lui montrait la place libre à côté de lui. Elle avait l'air un peu perdue au fond de l'église... et apeurée, surtout. C'est vrai que le père Bender était impressionnant aujourd'hui.

Une femme avec un comportement étrange s’approcha de l’église avec une torche enflammée. Un sourire sadique s’afficha facilement sur son visage, cette église devait bruler et une occasion s’offrait a elle. Elle s’approcha des lourdes portes et déposa la torche au sol, non seulement la porte allait pouvoir bruler mais la fumée que celle-ci produira enfumera l’intérieur de cette bâtisse de dégout. Les personnes présentes a l’intérieur allait pouvoir dire enfin adieux. La jeune femme se déplaça sur le coté pour ramasser des branchages qu’elle déposa au pied de la porte pour augmenter le feu. UN rire démoniaque se fit solidement et fortement voyant les flammes prendre peu a peu de l’ampleur

[Je précise que les râleurs voir les râleuses s’abstenir ! Et toute personne voulant participer au rp est le bienvenu a condition qu’il respecte les règles…c'est-à-dire pas tuer le perso ou jouer au héros ! Faut savoir faire la cohérence, merci. je signale également que ya eu un accord avec LJD de bender ! ]

Bender regarda Sirantonio avec stupeur, se demandant q'il avait déjà tapé dans le stock de vin de messe. A une heure pareille, c'était tout de même pas son genre, ainsi, il regarda dans la direction ou le diacre zieutait et vit de la fumée lui aussi, il lança :

Par Aristote, on tente de nous enfumer...

L'air perplexe et répondant à Sirantonio, il ajouta :

Réfléchir autour d'un bon vin rouge ? Mais vous êtes pas bien mon fils...faut agir et vite !

Sans prendre le temps de penser plus avant il donna quelques ordres :

Bon, les femmes et les mômes dans la sacristie, les autres venez près de moi !

Faisant signe à Sirantonio il désigna le baptistère et lui dit :

Mon ami, allez chercher des fioles vides, des contenants, le sceau baptismal et tout ce que vous trouverez, il faut arroser cette porte pour sortir !

Il regarda Clothaire et lui demanda :

Mon cher Clothaire, va falloir jouer des guibolles ! Tenez, voici la clé pour monter au clocher, allez sonner l'alerte...trois coups courts, trois coups longs et trois coups courts ! Vite, faut alerter les dormeurs, il croiront à une attaque et se rendront sur la place du village, là, ils verront l'église en feu et les fidèles hurlant au feu...

Regardant le reste des ouailles présente, il ajouta :

Les autres, allez récupérer des couvertures dans la sacristie et trempez les dans l'eau bénite, il faut à tout prix empêcher la fumée de rentrer...
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Y'a un problème, mon père... Y'a un gros problème...Ca va pas être possible. C'est pas que je ne veux pas mais je ne peux pas monter au clocher....je... j'ai... heu...j'ai le vertige et puis...heu..... je ne suis pas sûr de savoir compter jusqu'à trois... Alors vous voyez, hein !

Keltica à raison... laissez la faire. Regardez comme elle a l'air agile avec ses grandes jambes de sauterelle ! Elle aura vite fait de grimper là haut, elle !

Bon, si vous voulez, je peux emmener les dames à la sacristie... Des fois qu'il y en ait une qui s'évanouisse, on ne sait jamais.
C'est une bonne idée, non, mon père ?
Ben oui, quoi, faut quelqu'un pour la réanimation !

Clothaire croisant le regard de Bender...

Ben quoi ? Qu'est ce que j'ai dis de mal encore ?

Keltica sourit au messire qui semblait bien peu assuré et que le curé avait désigné pour sonner l'alarme ; comprenant son mal-être, elle lui prit gentiment la clé des mains.

Dites-moi simplement où est la porte de l'escalier menant au clocher, par contre... Je ne suis pas dijonnaise et ne connait pas si bien l'intérieur de la cathédrale ! Et pouvez-vous me répéter le code convenu pour les cloches s'il vous plaît ?...

Elle sourit poliment, prête à aider de son mieux.

Je me dépêche de sonner, puis je redescends vous aider !
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Ode se promenait dans les rues de dijon, histoire de voir comment se portait la capitale en ces temps houleux, quand elle aperçue au loin de la fumée près de l'église. Elle se mit à courir pour aller voir de plus près et c'est à ce moment qu'elle vit la situation, l'eglise prenait feu!!! Courant de suite vers la fontaine, elle prit un seau et s'egosia à la ronde

" Ya le feu!!! l'église prends feu!!! Vite, vite faut éteindre l'incendie!!!"

Revenant à la porte, elle le jeta dessus et s'approchant de la porte cria :

"y a du monde la dedans?" question bete s'il en est vu que c'était l'heure de la messe mais Ode n'etait pas tres au point à ce sujet.

Entendant un semblant de ruit, elle repartit de plus belle vers la fontaine et fit ainsi plusieurs aller retour, jetant de l'eau a tout va. Cela ne semblait pas vraiment éteindre mais l'empechait de vraiment prendre, on gagnait du temps et c'etait le principal!

Courant toujours entre la fontaine et l'eglise, elle criait aux habitants de venir l'aider et se bouger que diable!!!!

Et à la porte de l'eglise : Vous inquetez pas, je ....euh...on va vous sortir de la!!!
et plus bas, enfin "on" va essayer quoi.

Dès qu'elle eut la clé et les indications, Keltica fila très vite vers la porte et l'ouvrit. Des marches apparurent devant elle ; relevant légèrement ses jupes, la jeune femme monta vivement, et parvint assez vite à la petite salle d'où l'on sonnait les cloches. Ne connaissant pas quelle corde correspondait à quelle cloche, elle prit la première, et tira longuement dessus.

Un coup... deux coups... trois coups !

Dong ding dong....

Trois "dong" retentirent, coup sur coup, puis la jeune femme bloqua la corde, avant de reprendre.

Un... deux... trois !!

Dooong... Diiing.... Dooooong....

Que la cloche était lourde !! Les coups se firent plus longs, comme lui avait demandé le curé. Les mains fines de la jeune femme s'écorchaient sur la corde rugueuse, mais elle poursuivit le dernier code.

Allez ma belle encore un petit effort ! Un, deux et trois !!!

Dong ding dong....

Voilà, le code était achevé ; Keltica lâcha la corde, souffla sur ses mains rougies et brûlantes, puis redescendit vivement dans la nef, glissant la clé dans sa poche.

Mon père, vous avez dû l'entendre, le code est donné !

Sans attendre, elle prit une des couvertures mouillées pour la disposer devant la porte...
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Eric inquiet regardants la fumée s'épaissir entendit les paroles de Bender, regardant le plan, il compta une deux trois tours .

Il allait faire la remarque quand Clothaire ayant retrouver toute sa hardiesse pris les choses en main.

La fin de sa phrase lui fit venir un sourire qui n'était pas de circonstance.

clo
" C'est vrai, quoi, t'es assez fragile "

J'vais t'en donner du fragile moi tu va voir.

clo
"Allez hop, on y va. Je m'occupe de la tour sud".

Bon et bien je prend la nord et si l'on ne trouve rien rendez vous dans la tour Ouest.

Allez Clo et t'arrête pas pour ouvrir une barrique, bourrique.

Eric après avoir jouer le chasseur d'araignée avec sa tête, était parvenu dans la tour nord.

Un fatras hallucinant s'étendait devant ses yeux.

Un amoncèlement de bancs, chaises et autres fourbis lui cachait la vue.

Pas le temps de faire dans la dentelle, Eric empoignas les objets et les projeta derrière lui.

Une porte, bon sang de ......, donner moi une porte.

S'avançant dans la pièce a grand fracas, eric se vautras lamentablement au sol, son pied s'étant pris dans quelque choses.

Bon dieu de m......, pardon seigneur mais bon la tu m'aide pas non plus.

Regardant vers la chose qui l'avait fait tomber il vit un anneaux relier à une trappe.

Encore une cave à vin de notre ami Bender, pensa Eric.

Peut importe, une issue possible, il finis de dégager la trappe et l'ouvrit.

Croyant avoir les narines emplies d'effluve de vin, Eric y été aller sans aucune précautions, mal lui en pris.

En guise de vin, une odeur de putréfaction lui remplis les poumons.

AHHHH LA VACHE.

Le coeur soulevé par l'odeur, eric eu toute la peine du monde a contenir un ajout superflu d'effluves nauséabonde.

la surprise passé le Lieutenant descendit les quelques marches le conduisant dans les couloirs des égouts, faute de sortie, cela suffirais comme refuge.
Il remonta d'une traite les marches et courut pour rejoindre les autres.

Vientiane qui suivait Clo comme sont ombre et avait perdu son chapeau dans la course se mit a rire soudain comme une folle ***ahahahahahahahah***

Mais Clo ce ne sont que des petites souris et des cafards qui ont plus peur que toi, ils se sauvent en te voyant et croient que tu es un géant...... ***ahahahahahah***Clo un géant ***ahahahahahahah***en peu plus...
Allez vient on fait demi tour , tape des pieds, ils se sauveront.
Beurkkkkkk une toile d'araignée s'est prise dans mes cheveux Cloooooo!!!!!aide moi siteplait

Enlève, j'aiiiiiii peeuuuur

Vientiane se débattait en tous sens avec ses cheveux hérissés sur son crâne et c'est ainsi qu'ils émergèrent de la cave et attérirent dans l'église ... ceux qui la virent ne purent s'empêcher de rire malgré le drame, elle toujours si soignée , elle courrait en tous sens et tomba dans les bras d'Eric, le regarda, le reconnu....

Ooooooh !!! Eric, enlève moi ces araignées dans les cheveux elle me font horreur et Clo en a peur aussi !!!! S'il te plait

Bon les filles ne perdons pas de temps allons chercher les autres j'ai trouvé un passage pour se mettre à l'abri.

Eric pris la direction de l'entrée de l'église, un grand sourire sur le visage et une furieuse envie de rire en pensant à l'endroit ou il allait les emmenés.

Débouchant dans la nef, il cria.

Bender héhhooooo tout le monde, venez tous par là j'ai trouvé un passage.

Près d'Eric, Vientiane et Clothaire, Keltica attendait le reste du groupe, avant de suivre la voie trouvée par le lieutenant. Elle tâchait de rester sereine, pourtant une douleur grandissait en elle ; d'un air des plus naturels, elle s'adossa contre un mur, puis respira profondément.

Du calme, mon ange, reste sage, tout va bien...

Son léger murmure s'adressait à son petit ventre encore discret sous la robe ample ; le bébé qui grandissait en elle avait choisi ce jour pour donner les premiers signes de sa présence !! L'agitation, la chaleur étouffante et la nervosité ambiante n'arrangeaient certes rien... Secouant la tête, elle prit la suite du groupe, tâchant de retenir ses crispations pour rester discrète. Bientôt, ils seraient tous sains et saufs, à l'air libre, et la jeune femme pourrait alors se reposer de ses émotions.

On te suit Eric, dit-elle d'une voix légèrement mal assurée.
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Stella arriva devant l'église et se demande si elle peut quand même rentrer

Elle vis les grande porte qui avais brûler .

mais comment peut-on faire ça !!!!

elle attendi devant c'est grande porte que quelqu'un passe pour demander

Stella vis arriver Croxanvic elle l'écouta


mais...mais... pfffffffffff


Elle vis demitour et reparti chez elle

tristement car elle voulais le voir ou voir sirantonio

mais elle ne pourras peut etre le voire en taverne

Eric failli s'étrangler a force de ce retenir de rires, mais il fallait se hâter pour sortir de la.... bin enfin non on était en plein dedans au propre comme au figuré.

Eric s'avança un peu dans le noir et jura .

La vache, c'est pourris de rat la dedans

Son avancé avait débusquer une niché de rat qui se faufilait entre ses jambes. Puis tout bas il rajouta à l'oreille de Bender

Y'a plein de copain pour Clothaire

léa arrivée tôt en ville se rendit a l'église qu'elle ne fut pas sa stupeur!!!

ça devient une habitude en bourgogne de faire bruler presbytère et église qu'elle honte!!!

enjambant les débris de l'entrée elle se dirigeât vers l'autel pour prier et se recueillir quelques instants

un rayon de lumière passait par le toit éclairé juste l'autel lea avait préparée le vin,le pain et les cierges.

elle ne fit pas sonnait les cloches ne voulant pas que le toit s'effondre il faudrait vraiment qu'un charpentier vienne sonder tout ça.

lea se contenta d'accueillir les fidèles sur le parvis de l'église en leur souhaitant la bienvenue

Lohan arriva avec quatres enorme vases il en disposa deux de chaque coté de l'entrée et deux autres dans le fond de chaques coté egalement! puis il ressortit, quelque temps apres il revint avec un paquet énorme de roses blanches, qu'il partagea dans les quatres vases, enfin il se recula, redressa une ou deux roses de ci de la , enfin il jugea de l'effet et se mit en place pour écouter la messe .

Ange joignais ses deux mains entre elles et commence sa prière

Je confesse a Dieu tout Puissant,
A tous les Saints,
Et à vous aussi,
Mes Amis,
Parce que j’ai beaucoup péché,
En pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints et vous,
Mes amis,
De prier la créateur pour moi.
Que le Très Haut
Nous accorde le Pardon,
L’absolution et la rémission
De tous nos péchés.

mais au moment de chanter elle fredonnait car il parait qu'elle chante comme une casserole

Ange se mit à réfléchir, pas trop aussi non son cerveau risquerai de fondre, puis elle baissa la tête pour prier à nouveau pour que ces incendies cessent, elle rejoignis à nouveau ses main et prie

Mais une chose étrange arriva, une lumière aveugla tout le monde, une sorte d'éclair retenti et des colombes s'échappa du peu de toiture qui resté encore debout



Après ce passage, une tête apparue dans le ciel, Ange resta sans voix, et oui Ange la piplette ne savait quoi dire



Après quelque seconde qui paraissait des minutes, Ange se dit que c'est un signe, alors elle pris des pierres une par unes et les empila pour reconstruire l'église

lea après avoir travailler une bonne partie de la journée avec dame Ange et messire lohan alla se laver et se changer pour reprendre la route

Dame Ange messire Lohan je vous remercie de l'accueil que vous m'avez
fait je reviendrais avec plaisir

lea embrassa ces deux nouveaux amis monta a cheval et se mis en route

Alors que les Dijonnais s'affairaient à reconstruire ce qui avait été détruit de la Cathédrale du village, un homme, vêtu d'un robe de bure effilochée et trouée, pâle comme un décédé arriva de nulle part au devant de la foule entassée à contempler son travail. Il boitillait légèrement et toussotait comme un bête malade et à l'agonie. Ses cheveux étaient caché sous un toque de paysan ressemblant plus à un haillon qu'à autre chose.

S'approchant plus près, certains purent reconnaitre la silhouette du curé de Dijon, récemment nommé Evêque d'Autun, mais encore en poste pour quelques temps. Le Très Haut en témoignerait pour lui, il avait changé et s'était transformé en une sorte de cadavre vivant qui se mouvait juste avec la force de sa foi. le père Bender qu'on appelait désormais Monseigneur Rodriguez s'avança et salua ceux qu'il connaissait et alpagua Ange...

Theuheu...Ange...c'est moi...Bender...theuheu...

Il tenta d'évacuer une toux difficile et grasse qui témoignait de son état de santé plus que fébrile.

Arhg....theu....je...suis désolé, ma santé m'a quitté, je n'ai pu assumer ma divine mission et je le regrette. Teheu...rhhh....

Il ajouta :

Je vais mieux mais...Theuheu...rh... c'est pas encore ça...je vais...aider Dijon à entendre à nouveau....la parole du Très Haut. J'aimerais que tu m'invites au conseil municipal pour que nous...theuheu...parlions de certaines choses...je sais que certains ont demandé des sacrements...theuheu...rhhh....je me dois de les leur donner....

Bender s'assit sur les marches de l'église épuise, regardant avec désespoir Ange dans la force de l'âge, tout comme lui, mais bien plus en forme...
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Jacksparrow arrive en ville et viens se poser devant l'église fatigué du voyage qu'il vient de faire. Il s'assoit sur les marche devant la grande porte et boit une gorgée de son ruhme.

Ha peut être qu'ici j'aurais plus "hips" de pièces que dans les autres villes.

Jacksparrow regarde sa bouleille presque vide.

Bonjour mes dames et mes demoiselles "hips" j'ai besoin de quelques "hips" pièces. N'hésitez pas "hips" à prendre quelques piècettes dans vos poches ou celles de vos amands "hips" pour m'en donner une ou deux.

Jacksparrow se rassoit.

J'éspère que j'ai attiré du monde.

Les Moutons qui était arrivée aussi ce matin avec Phoenix_Bleu et ses amis Do et Leos se dirigea vers l'Eglise pour prier pour son amie Stella quand elle vit Jack, notre clochard d'Autun, à qui elle avait donné qelques écus en sortant du baptême de sa filleule...

Elle s'approche, et lui dit bonjour Jack, alors on a le même itinéraire apparemment!!!

Elle prit quelques écus et lui donna. Allez Jack bonne journée et qu'Aristote te protège!!!!

En ce dimanche matin, une petite troupe s'était affairée devant l'église en reconstruction, à l'aide de bois, de toile et de cierges, un autel de fortune et une nef avaient été reconstitué, avec pour plafond, un ciel bleu qui laissait présager un temps chaud et sec.

L'évêque d'Autun souhaitait faire une cérémonie spéciale en l'honneur des dijonnais qu'il avait accompagné pendant un bon moment, ainsi, son âme était triste de ne plus gérer cette cure.

Alors que les quelques ouvriers continuaient à préparer et organiser cette église de fortune, Bender, lui, s'était rendu chez lui, lentement et aidé de sa canne pour rapporter un vin du plus beau millésime de sa cave personnelle. Alors, c'est sûr, il avait faillit canner trois fois dans les escaliers étroits et exigus, il avait risqué de rester enfermé là à jamais, avait du se battre avec les étagère pour trouver LA bouteille, mais il devait bien ça aux dijonnais.

Ainsi, lorsqu'il reparu sur le parvis de l'ancienne église, il sembla encore plus fatigué qu'à l'accoutumée. Mais il avait dans une besace quelque chose qui lui réchauffait le cœur, un cadeau à ses enfants dijonnais.

Lorsque tout eut été terminé et que les moindres détails avaient été inspectés par l'évêque, celui-ci fit sonner l'appel au clairon par l'un des jeunes enfants de feue la chorale des petits curetons de Dijon. Il se posta à l'avant de ce petit lieu construit en à peine quelques heures et attendit le tout Dijon pour accueillir chacun comme il se devait.


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L'installation était précaire mais figurait simplement une nef et servirait tout aussi bien à une messe, le seul défaut était l'absence de toit qui risquait de gêner les fidèles s'il se mettait à pleuvoir.



Les dijonnais arrivaient et se demandaient ce qu'avait bien pu encore fabriquer ce diable de Bender, ou allait-il chercher des idées pareilles devaient-ils se demander.



L'évêque vit Ange arriver et la salua comme il se devait, elle qui se démenait pour faire vivre Dijon, il lui déclara :

Bonjour à toi mon enfant, je suis heureux de ta nouvelle élection, j'espère que ce mandat sera aussi bien que les précédents. Comment vas-tu ?

Montrant du doigt l'installation, Bender ajouta :

T'as vu ? J'ai installé une église de fortune pour cette messe spéciale, je vais en profiter pour nommer le père Eldwin et vous le présenter.
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Il arriva sur le chantier, capuchon sur la tête. Il avait entendu dire qu'on travailler à l'édification d'une église ici.
Butor, sculpteur de son état, connaissait bien les chantiers en tout genre. Il avait travaillé dans les palais des plus grands autant que dans de multiples maisons de petits bourgeois ou du Très-Haut.

Un homme semblait donner des ordres aux ouvriers, c'est naturellement qu'il alla à lui. Baissant la capuche de son long manteau, il s'adressa à l'homme.

Bonjour messire! Il semble qu'on m'ait bien renseigné, cette église n'est pas cmplète! A-t-on besoin de moi? Je me nomme Butor, et je vais de ville en ville pour vivre de mon art, je susi sculpteur...Evidemment, s'il vous faut seulement des bras, les miens devraient être suffisamment forts pour vous êtres utiles.

La Duchesse de Nevers - d'aucuns tatillons héraldiques diraient « du Nivernais » - était de retour en Dijon. Pour combien de temps ? Elle l'ignorait. Sa vie, elle commençait à l'entrevoir, était grevée d'imprévus. Après tout, pourquoi pas ? Elle ne s'ennuierait pas.

La fille, qui avait grandi dans une abbaye, ne savait pas où était son certificat de baptême. Elle avait été baptisée dans la petite enfance... La foi avait tellement été son quotidien, que se préoccuper de savoir où étaient les papiers qui attestaient de son appartenance à la famille d'Aristote n'était jamais parvenu à son esprit.

Elle se vêtit de jaune et de vert, deux couleurs d'un renouveau qu'elle espérait. L'église serait consacrée demain... Il devait s'y trouver du monde pour préparer l'édifice et la renseigner. Une boucle noire s'échappa de sa coiffe pour danser sur sa tempe.
Comme sa mère.
Comme sur le portrait qu'elle avait vu de sa mère.

Elle entra dans l'édifice, se signa par réflexe, quoiqu'il ne fût pas encore par l'éther relié au Très Haut, et chercha celui qui pourrait la renseigner.
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La Duchesse de Nevers eut une moue déçue, et se mordit les lèvres. Ses mains gantées de soie verte se joignirent, comme elle faisait lorsqu'une chose contrariait ses projets, ou quand elle attendait un événement avec angoisse. Elle se tordait les doigts, et c'était bien parce qu'elle portait des gants qu'elle ne se rongeait pas les ongles. Ses mains, en vérité, étaient horribles.

-« Le Très Haut interdit-il à ses enfants de lui rendre visite ?
Est-ce à dire qu'il n'est nulle part en Dijon où un clerc pourra entendre la confession pressante d'une ouaille, nulle part où le Très Haut pourra ouïr avec miséricorde les prières de ses enfants ? Il nous faut parler à un serviteur du Très Haut, et nous pensions qu'il n'était lieu plus indiqué pour en trouver qu'ici, quoique l'église ne soit pas encore consacrée. »
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La jeune femme hocha la tête, elle comprenait bien. Et elle aimait bien les clercs, ce qui l'inclinait à l'amabilité et au respect à leur égard.

-« Merci bien. Nous allons donc trouver Père Eldwin de Volvent. Qu'Aristote veille sur vous, puissiez-vous nous préparer une belle fête pour demain ! »

Elle inclina très légèrement la tête, et sortit de l'église bientôt consacrée.
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Lohan arriva assez tot pour assister à la cérémonie bien qu'il ne soit pas baptisé alors qu'il attendait un enfant de sa fiancée, elle n'était pas baptisée non plus il ne savait toujours pas à quel moment ils devraient le faire ni comment mais bon ! si le pere Eldwin le savait ce serait sans doute terrible pensa t'il en souriant, Lohan prit sa place et attendit !...

je te remercie fit Lohan mais ce sont les ouvriers du pretre qui ont tout fait, moi pour rien au monde je ne travaillerai sur une église et si on me le propose je refuserai net !! pas question de travailler sur ce genre de chantier! ni aucun batiment administratif dailleur !!!

Les cloches sonnèrent la fin de la cérémonie ; Occitane se faufila parmi la foule ,elle avait pu repérer qui était le père Eldwin et s'approcha de lui pour se présenter :

" le bonjour Père Eldwin ,permettez moi de vous importuner un court instant....je n'ai pas encore eu l'occasion de vous rencontrer ,je profite donc de ce moment : je suis Occitane ,maître charpentier à Dijon ...c'est une grande chance pour tous les Dijonnais de voir revivre cette église .... grâce à votre office " dit-elle en regardant autour d'elle .
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Vice chancelière Bourguignonne

Le ton du prêtre avait la même bienveillance que celui de la Mère de Baume-les-Dames. Béatrice tâcha de retrouver contenance.

-« Allons à l'Hostel, oui. Le monde va se presser voir comment l'on a si bien restauré l'église, ce sera plus calme, au presbytère... »

Et le ton de sa voix reflétait davantage de questions que de certitudes. Au moins, cela avançait. Doucement, à sa manière...
La jeune femme se signa devant Christos, et la discussion continua à l'Hostel Saint-Louis.
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Au premier rang, celui de la noblesse, Béatrice avait joint ses mains et posé ses pieds sur un prie-dieu pour prononcer, du bout des lèvres mais de toute son âme, ces mots de rédemption :

-« Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi mes amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en paroles, en action.
Je supplie tous les Saints et vous, mes amis, de prier le Créateur pour moi. »
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Asclepiade se recueillait a la messe quand il lut le panneau. Le contenu de la lettre lui était familier ainsi il suivit la messe.
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Ecoutant le son des cloches, Anges arrêta tout travail et se dirige vers l'église afin d'assister à une messe.

Elle vit le père Erwin sur le parvis, elle ôta son châpeau du Dimanche et le salua.

Bien le bonjour mon père

Lohan s'aprochant du pere et apres lui avoir fait une révérence lui fit
c'etait une tres belle messe mon pere et je vous en remercie infiniment ! ainsi que de nous éclairer le chemin comme vous le faite!si vous avez besoin de quoi que ce soit surtout n'hésitez point mon pere je suis charpentier !

Monseigneur Rodriguez était de retour à Dijon, il avait fait le voyage depuis Chalons en diligence car il était très malade. Pris de fièvre et de quintes de toux interminables, Bender n'était plus en état de faire quoi que ce soit à part se reposer, néanmoins, il se rendit à l'église de Dijon pour y prier le Très Haut de l'aider à guérir, ce qui, selon les médicastres qu'il avait vu, n'arriverait peut-être jamais.

C'est ainsi qu'il tomba sur la petite note chétive laissée par le père Eldwin, celle-ci fit enrager le religieux, malgré sa faiblesse. Il s'avança sur sa cane et entra dans l'édifice pour se diriger lentement, en soufflant, vers la sacristie. Là, il pris une plume, de l'encre et un parchemin et se mit à écrire à la lueur d'un faible soleil d'automne.

Une fois qu'il eut terminé, il alla afficher cette note sur les portes de l'église fraîchement reconstruite par les aimables fidèles et croyants de Dijon. Sur ce message, voici ce qu'on pouvait lire :


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Jerem, vicaire de Semur, était venu spécialement à Dijon pour baptiser Sophye.
A peine arrivé, il alla visiter les lieux et envoya une missive à celle-ci pour la prévenir de son arrivée puis, ayant réussi à trouver le bedeau, il lui demanda de faire sonner les cloches à toute volée pour inviter les fidèles à venir assister à la cérémonie.
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Prêtre de l'Eglise aristotélicienne, vicaire de Semur et théologue du St-Office; conseiller aux légumes et aux niveaux 3

Récitons à présent le Credo, symbole de notre foi et de notre croyance



Mes biens chers frères et soeurs,
dans sa Vita, Christos se montre très soucieux de la lutte contre l'esclavagisme.
C'est ainsi qu'il proclamait

Même si les prix, de nos jours, ne sont plus ceux de l'époque de Christos, l'esclavage n'a pas disparu, il tend même à s'institutionnaliser.
Partout, vous le constaterez, contrairement à ce que préconise Christos, les salaires des travailleurs sont inférieurs aux salaires des mineurs.
Il y a là, véritablement, hérésie; et pourtant, en toute bonne foi, ceux qui sont les complices de cette hérésie, vous jureront qu'ils sont de bons Aristotéliciens.
Aujourd'hui, même les producteurs sont touchés.

Prenons, par exemple, un producteur de légume qui ne possède qu'un seul champ; celui-ci lui rapporte 4 légumes.
S'il vend ses légumes à 9,50 écus, en théorie, il gagne 38 écus.
Mais, de ces 38 écus, il faut déduire la nourriture qu'il consomme durant les 5 jours que son champs met à les produire, soit 6,15 euros (prix le plus bas du marché aujourd'hui) mutipliés par 5, ce qui nous donne 30,75 écus.

Il ne gagne donc, sur la vente de ses légumes que 7,25 écus, soit 1,45 écus par jour !

Admettons qu'il embauche quelqu'un pour récolter à sa place; alors il faut rajouter 14 écus supplémentaires à sa charge et donc déduire des 38 écus originels 30,75 + 14 écus; il ne se retrouve donc plus qu'à gagner - 6,75 écus, autrement dit, il perd de l'argent !

Notre producteur de légumes, comme d'autres d'ailleurs, est victime d'un esclavagisme qui ne dit pas son nom.
Il a plus cours à abandonner ses champs et à aller travailler à la mine qui lui assure un salaire de 8,85 écus par jour, nourriture déduite.

Je vous invite donc, mes biens chers frères et soeurs producteurs, à ne plus produire et à vous reporter sur la mine pour gagner de meilleurs salaires, afin de créer une pénurie qui est la seule façon de mettre fin à ce nouvel esclavagisme que Christos n'eût pas toléré.


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Prêtre de l'Eglise aristotélicienne, vicaire de Semur et théologue du St-Office; conseiller aux légumes et aux niveaux 3

N'ayant toujours pas vu Sophye paraître à l'église, Jerem décida de rentrer à Semur, sa paroisse.
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Prêtre de l'Eglise aristotélicienne, vicaire de Semur et théologue du St-Office; conseiller aux légumes et aux niveaux 3

Le lieutenant de police Ericlebon, passant devant l'église, se remémora le temps des messes de son ami Bender, avec une certaine tristesse depuis le départ de ce dernier.

Arrivant à hauteur de la porte il vit cette dernière entrouverte, chose anormal, Dijon n'ayant plus de curé.

Il poussa la grande porte, qui fit chanter les gonds.

Faudra voir à mettre de la graisse, ce dit eric à lui même.

Dans la pénombre de l'église Eric distingua, de dos, la silhouette d'une femme, visiblement en train de prier.

Respectant se dialogue avec le très haut, le lieutenant, décida de s'asseoir en bordure de l'allée centrale, attendant que la jeune femme ai finis.

Il en profita pour adresser une prière au très haut pour implorer la guérison de son ami, Bender.

Eric reconnu dame léapuce, qu'il avait croisé de nombreuses fois sans pour autant avoir été présenter.

Eric se releva pour incliner la tête en signe de respects.

Mes respects dame, je vous connait de vue et pour vos charges, temporelle et intemporelle.

Le lieutenant certain de ne pas être reconnus se présenta à la jeune femme.

Je suis Ericlebon, Lieutenant de police de Dijon, j'ai été attiré par la porte entre ouverte, j'ai été rassuré en vous voyant ainsi, occupé à vous en remettre, au très haut.

Si vous souhaitiez voir le curé de la paroisse, hélas, cela fait un moment que Dijon, est abandonné d'un guide, mais il existe en cette ville de fervent Aristotélicien, qui n'attendent qu'un son de cloche le dimanche pour venir partagé leur fois.

Je crois me rappeler que vous êtes, une représentante de notre sainte église, étes vous ici pour combler ce vide ?

Mais je parle, je parle, ne vous laissant pas le temps de répondre.

Eric un peut confus, se tempéra , il avait la fâcheuse habitude de monopoliser la discutions.
Un espoir au cœur de voir de nouveau, peut être, un représentant de l'église venir, guider les Dijonnais.

Eric sourit en entendant Lea annoncer quel officierais le lendemain.

Bonne nouvelle que celle là, j'espère que les dijonnais seront tous présent pour la messe de demain.

Concernant le presbytère je ne saurait être formel, mais par contre je peux vous assurer d'un toit dans cette auberge

Arrivé devant la porte Eric l'ouvrit puis s'effaça pour laisser passer Lea.

Je vous en prie, après vous.

lea sonna les cloches pour avertir que la messe aller commencer




elle espère bien avoir un peut de monde mais ça ne changerais rien la messe serait dites quand même

lea sourit a l'assemblée

bonjour et bienvenue a vous tous tout d'abord reconnaissons que nous somme pécheur



après un instant de recueillement lea reprit avec le credo

Lohan connaissait ces parole par coeur et c'est pourquoi il se lanca dans une longue priere :

Je confesse a Dieu tout Puissant,
A tous les Saints,
Et à vous aussi,
Mes Amis,
Parce que j’ai beaucoup péché,
En pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints et vous,
Mes amis,
De prier la créateur pour moi.
Que le Très Haut
Nous accorde le Pardon,
L’absolution et la rémission
De tous nos péchés.

Je crois en dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du ciel et de la Terre,
Des enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote son prophète,
Le Fils de Nicomaque et Phaetis,
Envoyé pour enseigner la Sagesse,
Et les lois divines de l'univers aus hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep,
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le Martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil ou l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action Divine,
En la Sainte église aristotélicienne romaine, une et indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la vie éternelle.

Amen

puis il murmura :

Credo in Deum,
Altissimum Omnipotentem,
Creatorem caeli et terrae,
Inferos et Paradisi,
Ultima hora animae judicem nostrae

Et in Aristotelem, prophetam,
Nicomaqui Phaetique filium,
Missum ut sapientiam et universi
Divas leges errantibus hominibus erudiret

Credo etiam in Christum,
Natum ex Maria et Ioseph,
Vitam dedit ut nobis paradisi viam monstraret
Sic, postquam sub Pontio passus est
Propter salutem
Nostram martyr perivit
Consecutus est Solem
Ubi Aristoteles ad Altissimi dexteram eum expectabat

Credo in Divinam Actionem,
Sanctam Ecclesiam aristotelicianam, romanam, unam et indivisibilem
Sanctorum communionem,
Peccatorum remissionem,
Vitam aeternam.

AMEN
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Longvic : les Tigres de Bourgogne

lea vit tonio entrer et sourit

je ne vais pas vous faire de long discours
juste vous lire un passage du livre des vertu
de L’archange
saint Georges sur l’amitié

bien sur l'amitié pure et sincère passe parfois par le pardon alors j'aimerais vous faire entendre ces quelques mots

lea laissa les fidèles se recueillir le temps de préparer la communion



la communion est le rite de l'amitié aristotélicienne
approchez mes amis et partageons le repas du seigneur

Pour Della, Dijon était aussi un pèlerinage.
C'était ici que son frère, Monseigneur de Volvent, avait été curé.
Elle savait, plus que quiconque, la foi et la passion qui poussaient son frère vers le service sacerdotal. Frère critiqué même par ses pairs, par l'Evêque même, mais frère prêt à tout pour le Très Haut.

Dimanche était revenu, la blonde arrivait vers l'église.

Lorsque je montai les marches du parvis, j'eus la vision fugace de Eldwin accueillant les fidèles. Il paraissait froid et rude mais son coeur était fait de miel et de tendresse. Peu le savaient. Moi, je le savais.

Mais ce dimanche, personne pour accueillir les fidèles.
Plus de curé à Dijon. Même pas un curé critiqué.

J'entrai dans le magnifique édifice et comme à chaque fois que je pénétrais dans une église, je ressentis la présence divine qui habitait le lieu.

Lentement, je remontai l'allée centrale pour venir m'incliner devant l'autel et ensuite m'agenouiller sur un prie-Dieu, espérant la présence de quelques uns pour unir mes prières aux leurs.
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Le lieutenant de police Ericlebon faisant sa ronde quotidienne passa devant l'église et vit les portes grande ouverte.

Pas de curé à Dijon, donc qui pouvait avoir ouvert en grand les porte ?

Souhaitant en savoir plus, eric entra dans l'édifice, et y découvrit un homme inconnu en train de s'afférer à nettoyer les lieux.

Rassurer sur le pourquoi des porte ouverte, le lieutenant, s'adressa à l'homme.

Bonjour Messire, je me présente Ericlebon, lieutenant de police de Dijon.
C'est le Maire qui vous à embaucher pour nettoyer l'église ?
Besoins d'un coup de main peut être ?

Un valet arriva, bien vite, car on avait recommandé diligence en cette affaire, et lut à tous le parchemin qui suit, avant de le laisser contre le panneau de liège.

Ericlebon vint s'installer à sa place habituelle au fond de l'église à droite en entrant, il s'assit et attendit la suite de l'office.

Occi se hâta vers l'église ;elle n'avait encore jamais rencontré le nouveau curé de Dijon mais avait comme tout Dijonnais eu connaissance de son arrivée ;
elle le salua d'un signe de tête en arrivant et alla prendre place ; les présentations ,ce serait pour plus tard ...l'office n'attendait pas .

Ah cela faisait du bien! Les cloches avaient dû réveiller toute la capitale, si ce n'est toute la Bourgogne. Les oreilles bourdonnantes et l'équilibre aléatoire, c'est un prestre chancelant qui parvint à l'autel, en vue de tous les paroissiens. Quelque chose qu'il avait malheureusement trop connu en sa cure précédente se répétait à nouveau. Cela ne resterait pas tu.

Le bon jour à vous dijonnnais, et soyez la bienvenue en la maison du Très Haut! Je me présente à vous, subjugués par ma blonde prestance, je suis le père BaronSengir, beau, blond, comme vous avez pu le remarquer, mais également qui sent bon! Et je voudrais à ce propos interpeler ces messires et dames s'agglutinant dans le fond de l'église ou se cachant derrière les piliers. Votre curé ne sent pas le pourceau se vautrant dans la fange! Et les premiers bancs sont réservés à la noblesse, donc eux-mesme doivent sentir bon le savon et les parfums hors de prix! Donc faites moi plaisir de cesser de vous placer le plus loin possible. Les bancs, je pensais les faire remplacer, mais en attendant, je pourrais enlever ceux du fond et garnir plus à mesme le milieu. Ceux qui tiendront à tout prix à rester dans l'air froid de l'extérieur et le plus loin des paroles de votre bel et bon curé, n'auront qu'à rester debout pendant la messe, j'ai dit!

Bien, bien.

Le blond reprit ton plus calme après la diatribe d'introduction qu'il entendait faire entrer dans les esprits.

J'imagine que vous fustes bien longtemps laissés sans guide spirituel, sans personne pour vous rappeler les enseignements des prophètes et vous éloigner du vice. Oh comme vous devez avoir l'asme noircie par l'accumulation de plus ou moins petits péchés!

Pose théastrale, avec air affligé et main sur le front.

Mais rassurez vous chers fidèles, car mesme si ce qu'il y a en vous tient plus de la cheminée encrassée que de l'eau clairette d'un torrent, vous n'estes point condamnés, il subsiste un espoir! Car vous estes tous les enfants du Très Haut, et si vous avez repentir sincère et franc, Il vous pardonnera. Aussi, quand cela sera mis en place, je ne vous recommanderai que trop de m'accompagner au confessionnal une ou quatre heures, le temps de vider un peu votre sac, si je puis dire... Mais en attendant, que tous ici récitent d'un cœur honneste et d'une voix forte la prière de la confession!



Après que la dernière voix se fut tue, celui qui fut appelé en d'autre lieux "votre blondeur" reprit.

Vous vous sentez mieux, mes enfants, j'en suis certain. Regardez-vous les uns les autres et observez les mines joviales, les yeux rieurs, la joie qui transparait d'estre ici tous réunis afin de... de quoi donc au fait? Qu'est-ce qu'Oane le grand, le prime, nous a appris? Afin de célébrer notre amour envers le Très Haut, tout à fait Gertrude!

S'adressant à la petite vieille édentée qui avait donné la bonne réponse :

Vous vous appelez bien Gertrude? Non? Cela vous allait pourtant... Enfin bref! Donc nous sommes ici en cette église, pour la messe dominicale, afin de vénérer le Très Haut, de Lui exprimer notre amour et de nous redonner motivation à suivre les vertus! Pour ce faire, nous allons tous réciter haut et fort jusqu'aux ogives le credo aristotélicien.



Vous allez maintenant ouïr et écouter avec attention cet extrait du Livre des Vertus.

Le curé ouvrit le livre épais, rejeta d'un grascieux et caractéristique mouvement de teste la mèche blonde qui pendait devant son oeil, mouilla son index et tourna les pages jusqu'à la voulue.


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Après l'envoi, le prestre ramassa ses affaires et redescendit la nef.

Il sortit et se tint sur le parvis de l'église, au cas où un dijonnais aurait quelque question à lui poser.
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Au son des cloches, Mogi se rendit à l'église...sans oublier son petit coussin

Il entra de l'église et se plaça au premier rang comme d'habitude.....

L'église était encore vide, et le père battait encore les cloches..

Quel Fougue!
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Aube : Une Bourgogne Accueillante, Une Bourgogne Légère, Une Bourgogne Juste

Eh bien, sa lecture avait dû les frapper de stupeur ou de paralysie, car nul ne bougeait, pas un son ne se faisait entendre dans l'église.

Ma foy, vous avez l'air tout ébaubis par ce rappel des vices et vertus? Je ne vais donc en rajouter et vous laisse méditer dessus? Voyez dans votre vie ce qui se rapproche ou s'éloigne de ceux-ci.

Partageons à présent, comme toute communauté aristotélicienne qui se respecte. Que l'amitié se fasse jour entre tous, par le symbole du pain et du vin.

Voyant que bien peu avaient compris le message, il ajouta :

Allez, venez boire et manger à l'autel, par les sandales d'Oane!



Après sa coupe réglementaire et une deuxième pour la forme, il déclama à l'assemblée :

Allez dans la paix du Très Haut! Si vous souhaitez vous entretenir avec votre blond curé, rejoignez moi sur le parvis.
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Asclepiade, travaillait à ses Mémoires car depuis quelques temps, le sable du temps fuyait moins vite et les jours passaient lentement.

Il était donc sur un énième parchemin à raturer et corriger les phrases qu'il couchait péniblement quand il entendit un bruit de cloche vibrer dans Dijon.

Tiens se dit il que se passe t il???

Un enterrement?? Non ce n'était pas le bon son
Un mariage??? Cela pouvait vu le boucan mais non il l'aurait su sinon.

Finalement le plus simple lui vint à l'esprit enfin : LA MESSE !!!

Diantre Dijon avait un nouveau curé. Il se dit qu'il devait y aller ne serait ce que pour souhaiter longue vie sur Dijon au curé.

Il se doutait bien qu'il arriverait en plein milieu mais bon on lui pardonnerait bien ses excentricités et puis il allait a la messe. C'était déjà un exploit lui qui s'était cloitré depuis quelques semaines chez lui.

Il arriva et fichtre la messe déjà finie. Le pretre sur le parvis, il alla donc le voir :


Mon père toutes mes félicitations pour votre nomination. Je me nomme Asclepiade et j'espère que vous resterez le plus longtemps parmi nous.
J'ai manqué la messe mais le temps que je comprenne ce qu'il se passait et que je m'habille décemment et ben c'était déjà fini.
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Dimanche, c'était dimanche, et comme tous les dimanches, la messe! Que les dijonnais fassent encore la grasse matinée, peu importait. Si seuls quelques rares se souciaient du salut de leurs asmes, le Paradis serait moins encombré... Mais enfin c'était aussi son rosle de diffuser la foy, aussi ferait-il quelque effort en ce but. Mais pour l'heure, priorité à la célébration dominicale.

Le blond ouvrit grand les portes, lorgna sur les bancs du fond qui viendraient bientost rejoindre les rangs du milieu, et s'avança le long de la nef, sans se presser, écoutant le bruit de ses pas répercutés jusqu'aux voustes. Elle avait bonne acoustique cette église... S'il trouvait à l'occasion quelques moines chanteurs désœuvrés, lassés des siestes et des hommages répétés à Sainte Boulasse au monastère, il pourrait en inviter pour l'organisation d'un concert... Projets, projets, tout se mettait peu à peu en ordre en sa nouvelle vie. Il reprit ses esprits arrivé à la porte close de la sacristie. Il la déverrouilla, alla siffler dans la réserve cachée de vin que son ami Bender avait laissé, confirma au passage d'un miroir qu'il était toujours aussi bel et blond et enfin, alla se placer au pied du clocher, où pendait nonchalante une corde arrogante. Foy de Sengir, elle allait moins rire! Et c'est dans un éclat soudain que le silence fut brisé par les cloches appelant les paroissiens à la messe dominicale.


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Mogi avait été trés occupé ces derniers jours... les temps était dur et les brigands rodent de partout...
Il avait bien besoin d'un moment de calme et de prière...

A peine il eu entendit les clochers qu'il termina les affaires en cours et se dirigea vers l'église.

Peu de monde était encore présent, pourtant l'heure était déjà avancé...

Il se mit a sa place habituel, fermant les yeux en attendant que le père commence...

Espérons que Mogi ne s'endorme pas....
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Aube : Une Bourgogne Accueillante, Une Bourgogne Légère, Une Bourgogne Juste

sur ces mots, Mogi se réveilla en sursaut....

un peu perdu, il repris la prière en cours de route...

bla bla bla....

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AAAAAAAAAAAA *baillement* MEN

Il se frotta les yeux, et attendit la suite, en ce demandant si le père avait remarqué sa sieste dominical....
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Aube : Une Bourgogne Accueillante, Une Bourgogne Légère, Une Bourgogne Juste

Bien, bien, les dormeurs avaient été secoués et le serment de foy avait été récité. Prenant lors son temps, il tourna les pages du Livre des Vertus et fit lecture aux dijonnais.


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Passage éclair par Dijon, Uriel s'arrêta à l'Eglise avant de quitter la ville afin de remercier Dieu pour ses bienfaits.
Les chevaux étaient prêts à partir, Mgr Oisele se rapprochait de Toulouse, la Cadette Héliona découvrait la Bourgogne, et en ville quelle ne fut pas sa surprise de faire deux rencontres : une de ses élèves, qui souhaita l'accompagner pour un temps, tandis que le soir en taverne il revit Della, qu'il avait connu en Lorraine, voici déjà si longtemps.
Retrouvailles entre deux amis qui avaient échangé de nombreuses lettres, puis s'étaient, par la force du destin, perdus de vue, deux chemins qui avaient l'air si différents se croisaient à nouveau.

Le Premier Archidiacre de Trèves remonta discrètement l'allée latérale pour aller prier non loin du choeur.
Que Dieu accorde le bonheur aux gens qui lui étaient chers et qu'Il les protège ...

Son Credo récité, il se releva et reprit la route, direction Chalon !
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Perdu en ses pensées, Baron songeait au séminaire qu'il avait achevé l'an passé, à des visages qu'il avait croisés lors de ses aventures, aux postes divers qu'il avait occupés... Un toussotement le fit revenir à la réalité, face aux paroissiens dijonnais. Il relut rapidement pour lui-mesme le passage qu'il leur avait récité, afin de se le remettre en mémoire. Et là, un tonitruant :

Tout à fait! Le sens de la vie, mes enfants! L'amour, il n'y a que ça de vrai, je vous le dis! Aimer le Très Haut, Le remercier de Son amour pour nous, pour avoir fait de nous Ses enfants! Quiconque ne rendra pas hommage au Divin se rendra coupable d'acédie, rappelez vous-en!

Aimer vos voisins, les membres de votre communauté! Ne pas laisser les discordes briser l'harmonie des villages et des familles. Ne pas trop aimer la jolie bergère, par contre, ou après le mariage uniquement. Petite précision que je juge nécessaire... Par contre les hérétiques, les apostats, les hétérodoxes en tout genre, ceux là, vous avez le droit de ne point les aimer. Si, si, c'est permis. Et mesme de préparer fourches et torches, et... Mais c'est une autre histoire...

Allons, venez tous vous rincer le gosier et vous emplir la panse à l'autel, que le vin et le pain partagés par tous renforce l'amitié aristotélicienne qui unit la paroisse dijonnaise!



Le gueuleton fini, les aristotéliciens repus de retour en leurs bancs, le prestre prit une dernière fois la parole.

Mes amis, j'ai entendu demandes de baptesmes, de pastorales... Mais où sont les gens qui m'envoient missives? Je rappelle que tout bon aristotélicien se doit d'aller à la messe dominicale ; or je vois bien peu de monde...

Sachez que comme à l'habitude, je serai sur le parvis de l'église, si vous avez toute question ou volonté de discuter. Allez en paix mes enfants.

Le curé avait prononcé l'envoi, il ramassa ses effets et se rendit à l'entrée, comme il l'avait précisé.
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Un blond, un panier bien garni à la main, franchit les portes de l'église à une heure matinale. Il passa en regard les bancs vides, s'imaginant déjà mettre en place les idées qui lui trottaient par la teste... Mais point de suite, un jour, peut-estre...

Frissonnant encore des fraisches températures du dehors, le prestre alluma des cierges près de l'autel et des bougies à divers endroits situés le long de la nef. Bien, l'église était éclairée et il faisait plus doux qu'à l'extérieur. Mais il n'avait pas non plus cherché à réchauffer complètement l'édifice. Un peu de froid, ça empeschera les paroissiens de dormir durant la messe, si d'aucuns auraient eu l'outrecuidance de le faire.

Il alla ensuite répartir ce qui attendait les fidèles au bout de la cérémonie, miches de pain, coupes et bouteilles. Mais le meilleur pour la fin, voilà était son adage. BaronSengir se rendit lors dans la sacristie, se prit une petite lampée de calvados histoire de se donner de l'énergie, et déverrouilla la porte menant au clocher. Le curé s'empara de la corde et tira de toutes ses forces. Plusieurs minutes durant, l'appel à la messe dominicale retentit avec force dans toute la capitale.


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Le blond s'en vint auprès des fidèles toujours peu nombreux et débuta la messe.

Mes enfants, en ces périodes troubles pour le duché et notre ville, prions le Très Haut, affirmons notre foy afin que notre cœur et notre asme soient remparts inamovibles face aux difficultés présentes et à venir.

En Alençon, en Guyenne ou en Toulouse, j'ai connu bien des crises. Savez-vous comment s'en sortir? Par la cohésion et l'entraide au sein de la communauté. Nous sommes dijonnais, nous sommes bourguignons, et nous devons unir nos forces afin que tous s'en sortent.

Prions, mes amis, puis déclarons notre foy.

Le prestre récita la prière de la confession avec les paroissiens...



... puis le credo aristotélicien.



Bien... Afin d'entrer dans la grande famille aristotélicienne, il convient de suivre une pastorale. Celle-ci servira à enseigner aux croyants les bases de notre religion et de notre foy, afin qu'ils soient prests à se faire baptiser.

Je ferai passer les pastorales au siège de l'archevesché. Quand une sera achevée, je conviendrai d'une date d'avec le demandeur pour la célébration du baptesme, avec ou non présence de parrain et marraine.

Il est bien dommage que je reçoive tant de demandes par ailleurs, pour ne voir aucun de ces pieux requérants à la messe... Enfin. J'ai eu réponse de notre évesque quant à mes interrogations, aussi nous pourrons commencer sous peu tout ceci. J'ose espérer voir plus de piété que subitement lorsque l'on a besoin de se marier, et disparition totale de toute activité religieuse une fois les sacrements obtenus.

Allons, c'est l'heure, que tous se présentent à l'autel, que le partage du pain et du vin renforce l'amitié aristotélicienne entre tous!

Après avoir trinqué à Sainte Boulasse, le curé invita les dijonnais à s'asseoir à nouveau.

Je vais remplir listes de demande afin que nul ne soit oublié. N'hésitez pas à venir vous inscrire en pastorale ou pour de futures cérémonies. Je serai comme à l'habitude sur le parvis de l'église. Bonne semaine!
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Lylou était rentrée de voyage la veille , de bonne humeur , tout en allant travailler au champ , elle passa devant l'eglise , s'arreta......monta le parvis et poussa la porte qui grinça....la refermant tout doucement afin de ne pas importuner les personnes presentent....elle alla s'asseoir dans le fond , pres du enorme pilier......

Il est vrai qu'elle ne mettait guère les pieds en ces lieux .......l'atmotphère particulière qui ce degageait de cet endroit , le silence qui y regnait , le recpect des lieux , ce tout l'amena a reflechir , et oui !!! ça lui arrivait quelques fois , pas souvent des fois!!!! .......

peut etre devrait elle aller se confesser .......regardant autour d'elle , elle grimaça ......chuchotant d'une voix a peine audible....

Pardonnez moi pour le mal que j'ai fait , pour mes mauvais choix a certains moments de ma vie .......en espèrant que ceux que je prendrais dans l'avenir seront plus sures ......moins douleureux pour les personnes que j'apprécie .......aidez moi a trouver le bon chemin .......

Lylou resta un moment toute pensive , ferma les yeux pour respirer ce calme , ce silence et fini par s'endormir la tete contre l'enorme pilier .......éreintée de ces derniers jours de voyage...

Victime d'une extinction de voix - ou était-ce le trop grand choix à faire entre les bouteilles de vin de Bourgogne qu'il avait testé ; toutes, il était consciencieux ; pour la préparations de ses futures messes , enfin, toujours est-il que le blond avait passé dimanche en sa chambrine, l'estomac instable et la teste alourdie. Depuis, il allait mieux, et l'aller retour aux archives de Rome l'avait requinqué.

Il alla en ce jeudi en l'église dijonnaise, chargé de son fidèle panier. Il fallait vraiment qu'il pense à trouver diacre ou bedeau afin de déléguer toutes les basses besognes et de se la couler douce. Bientost, bientost...

Quelques dizaines de minutes plus tard...

Tout était prest, ne manquaient plus que les concernées. Le prestre apposa affiche sur la porte avant de traverser la nef et de rendre à l'arrière. Il commença à sonner les cloches, afin d'annoncer la cérémonie.



Sur l'affichette, simple, pouvait-on lire :


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L'idée lui était venu dans une église. Mais l'histoire commença lorsque Gribouille marchait doucement dans les bois derrières le village. Elle observait ces lieux de paix. De nuit on entendait que le bruit des oiseaux noctures et du vent qui sifflait à travers les branches. Artmaniak du Doubois était mort. Elle décida de commencer son pélérinage icelieu.

Une amitié voire un amour sans borne avait été envers Artmaniak du Doubois, l'évêque de Toul..

Elle marchait en faisant défiler les histoire de sa vie vécu quand Artmaniak était encore en vie. Il voulait être diacre. Puis il fut évêque de Toul, avant de mourir dans le monastère Grégorien.

Gribouille etait si fiere. Image d'un temps béni où tout semblait souriant et heureux, loin des soucis de la vie, des pièges de l'amour. L'homme à qui l'on pouvait faire confiance, avait eu de nombreux amis qui faisait un pélerinage aujourd'hui au nom du Très-Haut. Pour rendre un dernier hommage à Artmaniak selon un rite que certains ne comprendront pas forcément. Mais bon les hérétiques.

Dans ses souvenirs quand une idée lui vint comme si une lumière divine lui avait inspiré et partit alors faire une prière dans un lieu saint.

Gribouille était sur le parvis.

Un pied sur la première marche, Elle regardait la façade. Puis avança vers la porte de, la poussa et pénétra.

elle referma un peu plus sa bure sur son corps qui tremblait par le froid.

Pourquoi l’intérieur des églises est toujours froid ?

Elle avança le long de la nef, posa sa main sur le dossier d’un des bancs de bois et s’agenouilla puis se signa.

Elle se rapprocha encore de l’autel. S’installa sur une chaise de prieur et récita une prière qu'elle avait déjà récité dans de nombreuse église.

Faire un pélerinage au nom du Très-Haut? Artmaniak Aurait aimé.
D'où lui venait cette prière? Et d'où lui venait cette envie de faire un pélerinage? Elle avait apprit il y a quelques jours que de nombreux pélerins était sur les routes de tous les royaumes en hommage à Artmaniak du Doubois on parlait même de trois personnes qui auraient eu la vision de Artmaniak dans leur rêve. Est ce possible?

Puis à haute voix

Après cette Prière je continuerais ce pélerinage  Pélerinage    lerinage    nage ......

Le lieu saint faisait résonner son "pélerinage"

Puis elle sortit de l'Eglise.
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Tonio, fraichement élu Maire de Dijon pour la troisième fois entendit les cloches sonner et se douta, puisqu'on était pas dimanche, que c'était le début du baptême de sa belle.

Il se précipita à l'église, entra et s'assit à côté de sa douce qu'il embrassa discrètement puis lui donna la main pour la rassurer.

Il s'était vêtu très... spécialement pour cet évènement et attendait les réactions...


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Maistre Académique de l'Institut Royal de Politique
Ex-Procureur de Bourgogne ~ Ex-Maire de Dijon (4 mandats)

misandrelle arriva en toute hâte.....
elle embrassa lylou et tonio,elle etait fiére d'être la marraine de sa meilleure amie!
elle salua le pretre....
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Mat arriva à pas de loup dans l'église pour ne pas se faire remarquer, il avait peur d'être en retard.
Dès qu'il vit chou, il alla s'asseoir près d'elle et lui chuchota:

Est ce que ca a commencé mon amour? Je me demande pourquoi lyly a ce regard coquin.

Mat se tut et attendit que le curé débute la cérémonie en prenant la main de son amour.

Clo gravit les marches du parvis et poussa la lourde porte qui n'avait pas dû être graissée depuis belle lurette. Il y avait déjà beaucoup de monde. Il remonta la nef cherchant une place.

Clip clop, clip clop, clip clop…..

Il finit par s'asseoir sur un banc, déposant avec précaution sa besace à côté de lui. En venant il s'était arrêté au marché et avait choisi un bel œuf de Pâques en chocolat pour Lylou. Certes il savait que la gourmandise est un péché mais bon…. c'était un jour particulier, un beau jour pour son amie. Le curé ne dirait certainement rien.

Sur sa besace il déposa le bouquet de jonquilles qu'il était allé cueillir ce matin, dans le bois à la sortie du village. C'est joli les jonquilles. Lylou qui aime tant les fleurs sera sans doute ravie.

Puis Clo attendit le début de la cérémonie. Ses pensées vagabondaient.

Lylou vit Misan presqu'arriver en courant , lui souriant et la bizouillant aussi , Chouchou arriva tout aussi essoufflée que son amie Misan.......

Chou posa ses p'tites fesses sur le banc , lorsque Mat arriva a pas de loup......enfin........des pas de loup pas vraiment discret........

Elle fit la bise a King , qui avait eu la gentillesse de venir aussi , le remerciant dans un murmure, vu les lieux......

Serrant nerveusement la main de Siran , elle entendit un .......

qu'elle reconnu aussitot , tournant la tête , elle vit Clo remonter la nef , lui adressa un sourire , heureuse qu'il soit aussi présent a son baptême .......elle aperçu le bouquet de jonquilles qu'il tenanit a la main ......... se retourna a nouveau vers le père...........la cérémonie allait debuter ........Lylou l'ecouta , sa jambe bougeant toujours nerveusement , triturant les doigts de son coeur avec les siens ..............

Lylou lacha a regret la main de Siran , se leva et suivit le père Baronsengir.........

pui elle lut un passage du livre des vertus

Quand cette foule se dissipa, la place se vida, laissant place aux gardes du procurateur romain qui gouvernait cette ville. C’est alors, mes amis, que j’eus l’une des peurs les plus profondes de ma vie. Les soldats, rouges, en habit de sang, faisaient irruption sur la place par les multiples ruelles.

Certains surgirent sur les murailles et d’autres sortirent de différents bâtiments, bloquant toutes les issues et toutes les portes. Un tribun descendit alors les marches du palais du gouverneur, accompagné d’un robuste centurion.

Arrivé au milieu de la place, le tribun arrêta sa marche, et se pencha du côté de son centurion. Ce dernier prit alors la parole et nous dit de sa grosse voix brutale :

" Toi, Christos, qui te dis le messie et le guide ! Je t’accuse de nuire à la cité. Tu es un fomenteur de révoltes, un dangereux révolutionnaire, un homme de troubles. Aussi je te demande de me suivre ! "

Nous autres, ses apôtres, étions paralysés par la peur. Nous n’entendions que le sifflement de la brise qui faisait s’agiter les capes des romains. Et nous guettions, inquiets, la réaction de Christos. Daju était terrorisé, lui qui avait été vexé de ne pas avoir été choisi par Christos pour construire son Eglise.

Christos dit alors au centurion :
" En vérité, je te le dis, homme de peu de foi, je ne te suivrai pas, mais c’est toi qui vas me suivre ! "

Alors, le tribun ordonna au centurion de se saisir de Jeshua, et l’officier, à la mine féroce s’approcha de nous d’un pas lent. Je respirais au rythme de la cadence de ses pas, essayant de calmer mon cœur qui s’affolait. Lorsqu’il se trouva face à Christos, le Centurion le regarda dans les yeux, intensément et assez longuement. Lorsque soudain, il ôta son casque et s’agenouilla en embrassant la robe de notre messie.

" Maître, supplia-t-il, à la plus grande surprise du Tribun, je voudrais vous suivre et faire partie de cette communauté de fidèles. Comment dois-je faire ? Je sais que je suis pécheur et que j’ai servi un mauvais maître, mais je t’en prie dis-moi comment me faire pardonner ! "

Alors Christos le releva et sous le regard médusé des romains, il prononça ces mots :
" Pêcheur, je te le dis, tu viens de faire la première chose que les fidèles devront faire ; se montrer humble et confesser leurs pêchés. Ainsi, si ton repentir est sincère, Dieu te pardonnera. "

Christos se tourna vers ses apôtres, et continua :
" Et vous, que les fautes commises par vos ouailles leurs soient pardonnées si elles viennent les confesser à vos oreilles, et qu’elles sont prêtes à en faire pénitence."

Alors, Christos s’approcha de la fontaine, et dit encore au Centurion :
" Par la grâce de l’éternel, je vais te laver de tes péchés, te ceignant d’eau, source de vie. "

Et Christos plongea ses mains jointes sous le jet de la fontaine. Il aspergea la figure du Centurion de cette eau en chuchotant ces paroles :

" Seigneur, daigne laver cet homme de ses péchés, et lui donner ainsi une nouvelle naissance parmi les croyants ! Au nom du Très Haut. Amen "

Puis, Christos nous appela à lui, nous, ses apôtres et, les uns après les autres, il nous ceignit de l’eau de la fontaine, nous faisant naître à nouveau. Il nous dit: " Mes apôtres, tant hommes que femmes, par la grâce de Dieu, vous voici lavés de vos péchés. A vous de Lui montrer que vous saurez vous montrer digne de cet honneur qu’Il vous fait, car le sacrement du baptême pourra être retiré à quiconque en trahit l’essence. "

Ce fut une journée intense que je n’ai jamais oubliée tant elle est gravée dans ma mémoire. Notre émotion était à son comble quand nous nous aperçûmes en plus que les soldats avaient déserté la place.
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elle regarda lylou et lui sourit.....
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Le blond curé s'adressa à Misandrelle, l'air solennel.

Misandrelle, certifies-tu que Lylou ici présente a fait sa demande de baptesme en toute conscience, qu'elle ne subit aucune pression et que sa foy est sincère?
Jures-tu de toujours l'accompagner sur le chemin de la foy et de l'aider à surmonter les épreuves qui pourraient s'imposer à elle?
Acceptes-tu, enfin, d'être sa marraine devant le Très Haut et les hommes ?

Il se tourna ensuite vers la jeune croyante.

Lylou, certifies-tu d'avoir suivi pastorale afin de te rapprocher de la communauté des fidèles?

Il lui demanda ensuite :

Par le sacrement du baptême, tu renonces au péché, tu choisis de vivre selon les règles de notre Sainte Eglise, tu choisis de t'abstenir de tout mal, et de te rapprocher de Dieu par la voie de l'amitié aristotélicienne.
Lylou, acceptes-tu cela ?
Acceptes-tu de prendre le chemin difficile des Vertus ?

Le curé regarda sa paroissienne droit dans les yeux tandis qu'elle lui répondait. Il resta quelques instants silencieux, laissant planer une aura de mystère, comme s'il cherchait à vérifier la foy de la jeune fille. Il prit enfin la parole, se rapprochant.

Lylou, répète alors le serment que je vais te réciter, devant tes amis, ta marraine, mon humble personne et le Très haut :


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Lylou regardait le le curé avec des yeux tout rond , sa blondeur égayait les lieux , Lylou avait l'impression que ce curé si blond était un peu la lumière de ces lieux ...........

Elle repondit d'une voix claire , nette ; afin que tout le monde puisse entendre sa réponse ........

Oui , je certifie avoir suivi la pastorale afin de me rapprocher de la communauté des fidèles

Triturant ses doigts nerveusement derrière son dos , tapant du pied tout aussi nerveusement , provoquant un leger petit claquement qui raisonnait dans l'église ........mais ne pouvait pas le controler , elle continuait de répondre aussi clairement que possible a ses questions ....

heuuuu......vi, j'accepte de prendre le chemin tres difficile des Vertus....

Jetant un coup d'oeil a ses amis , se disant qu'effectivement, le chemin serait bien perilleux .......son regarda se posa sur son p"tit amour , ses yeux glissa sur son kilt .......pensant que oui oui.......très très périlleux.......

Se tournant a nouveau vers le père Baronsengir, elle répéta alors le serment , toujours hypnotisée par ses cheveux , detaillant sa chevelure ...... amusée, elle remarqua qu'une méche rebelle , depuis qu'il avait passé ses mains dans ses cheveux , rebiquait ......lui faisant une houpette , tel un coq dans une basse cour........

Je reconnais en Dieu le moteur du monde
la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'a son autorité , seule représentente sur terre de l'Etre divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu dans la contemplation éternelle de Sa Beauté .
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.

La marraine s'était portée garante de la foy de sa filleule ; celle-ci se tenait preste, ayant récité le serment des nouveaux baptisés. Le prestre lui demanda de s'agenouiller, tandis qu'il se munissait d'une burette qu'il emplissait de l'eau bénite du baptistère.



Il aspergea la nuque et les cheveux de la dijonnaise, puis, se disant qu'il fallait marquer le coup pour ce premier baptesme, en remit une nouvelle versée. L'on n'était jamais trop béni. Il déposa la burette et posa sa main sur les cheveux trempés.

Je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.

En cette église et sous le regard du Divin, sois le bienvenue ma fille, dans la communauté des fidèles et la famille aristotélicienne.

Il s'essuya discrètement la main sur sa soutane, alla chercher le cierge qu'il tenait à prest et l'alluma ; pestant intérieurement qu'il n'ait nul acolyte pour accomplir basses besognes à sa place. Le blond le tendit lors à Lylou.



Reçois ce cierge, représentant ton asme purifiée. Sois une lumière pour les autres et aide-les à trouver le chemin de la foy et de la vertu. Ne laisse pas ta propre foy s'éteindre et n'oublie jamais le serment que tu as prononcé.

Le prestre plaça ensuite un objet dans les mains de la jeune fille.



Voici la médaille aristotélicienne qui est tienne. Porte-la toujours sur toi. Elle est le signe de ton engagement dans la communauté des fidèles.

Et voici enfin...



... ton certificat de baptesme.

Chers amis, dit-il en s'adressant à l'assemblée, accueillez comme il se doit ce nouveau membre de notre famille! Aidez la dans ses erreurs, guidez la sur le chemin de la vertu et ayez toujours en vers elle amitié aristotélicienne! Allez dans la paix du Très Haut!

Il se recula en souriant, laissant la nouvelle baptisée se faire féliciter.
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Mat passa devant lyly pour la féliciter et lui fît un bisou sur la joue.

Bravo lylou, te voila maintenant sur la bonne voie pour être nonne.

Il retourna au fond de l'église en souriant et s'arrêta auprès de son aimée.

Robi était arrivée à Dijon tard dans la nuit, cependant ce matin, cela ne l'empêcha pas de venir pointer le bout de son nez à la messe...
Elle connaissait les rues de Dijon par coeur, ou presque, après tout ce temps...
Elle espérait par ailleurs pouvoir croiser des amis, ou personnes connues...

Donc à présent devant le parvis de l'Eglise de Dijon, elle se décida à entrer... Il faudrait qu'elle salut le curé, elle ne l'avait jamais vu ! Enfin, avec tous les petits problèmes, cela n'était pas étonnant...

Entrant donc, elle se mit à marcher lentement le long des ranger de bancs, écoutant le son des cloches, qui sonnait appelant à la messe...
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Phébus entendit les cloches annonçant la messe il se diriga vers l'église entra il vit chou et mat qui étaient déjà arrivés il s'approcha et s'assie près d'eux. après les avoir salué il pria un instant tout bas en attendant l'arrivé du prêtre et le debut de la messe[/b]
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Lylou, qui se trouvait au deuxième rang , regardait le curé avec des yeux de merlan frit ........

Ne comprenant pas comment un si joli blondinet avait prit le chemin de l'abstinence.......
elle repeta la prière

Je confesse a Dieu Tout_puissant
à tous les saints,
et a vous aussi , mes Amis,
parceque j'ai beaucoup péché,
en pensée , en parole, en action.
Je supplie tous les Saints ,
et tous , mes Amis,
De prier le Créateur pour moi
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés

Lylou était elle soulagée???....... fallait réfflechir a la question.........

après avoir fini son enseignement pour sa pastorale phébus se rendit à l'église, il entra s'assie près de lylou et écouta le prestre puis il se leva et fit sa prière

Je confesse a Dieu Tout_puissant
à tous les saints,
et a vous aussi , mes Amis,
parceque j'ai beaucoup péché,
en pensée , en parole, en action.
Je supplie tous les Saints ,
et tous , mes Amis,
De prier le Créateur pour moi
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés

quand il eu finit il pria en silence pour que le très haut l'inspire dans sa pastorale son désir le plus cher étant d'épouser celle qu'il aimait pour vivre avec elle une union heureuse et bénie.
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Matt suivait son aimée et s'assit aussi près de ses amis.

Il écouta attentivement la messe prononcé par le curé puis murmura une prière.

Tiens je vais faire un don à la fin de l'office, peut être que mon vœux se réalisera.

Matt attendit que le curé termine la messe auprès de son amour

Marie arrive un peu en retard, mais discrètement, ayant aperçu Kingrade, se glisse près de lui et récite à son tour la confession.

- Je confesse a Dieu Tout_puissant
à tous les saints,
et a vous aussi , mes Amis,
parceque j'ai beaucoup péché,
en pensée , en parole, en action.
Je supplie tous les Saints ,
et tous , mes Amis,
De prier le Créateur pour moi
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés...
_________________

comme tout les dimanche phebus se prepara pour la messe, il sortait lorsqu´il entendit les cloches appeller les fideles a la messe sachant quíl avait le temps il alla sans hate arrivant devant l eglise il vit quelques misereux qui mendiaient il prit des pieces dans sa poche et les distribua, puis il entra et sínstalla pour une priere silencieuse avant que la messe commence
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Le prestre avait malencontreusement glissé sur un tapis en travers après la sonnée des cloches. Inconscient, il avait été mené auprès d"un médicastre qui, après l'avoir ausculté, l'avait placé au repos forcé. Une teste et une épaule douloureuses, le bel et blond n'avait pu quitter le lit, tenu loin des agitations de la ville par son docteur tyrannique.

Si vous voulez guérir, aucune affaire, traitée, pas le moindre contact avec les affaires du monde! Restez tranquille et ne bougez pas!

Et la vieille Berthe qui lui prodiguait en l'absence de l'homme de sciences soins et repas tenait à faire respecter ces consignes à la lettre. Plus geoslière qu'aubergiste, elle l'avait tenu cloistré pendant toute sa convalescence. Il ignorait tout des élections ducales ou municipales, et se doutait qu'il devait avoir nombre de demandes religieuses. Il rongeait son frein en maugréant et en avalant les potages peu ragoutants que la Berthe lui servait. Enfin, il put estre libéré et se retrouva à nouveau au cœur de la cité dijonnaise. Se promenant, il arriva naturellement à sa chère église. Il donnerait la messe la semaine prochaine, pleinement remis. Quelqu'un semblait en queste de quelque chose. Il l'entendit demander si un curé se trouvait dans les parages.

Oh, il y en a certainement un, je le pense...
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Chou alla à l'église, elle s'installa et attendit son aimé.
Elle pria en silence et récita confession tout bas:

- Je confesse a Dieu Tout_puissant
à tous les saints,
et a vous aussi , mes Amis,
parceque j'ai beaucoup péché,
en pensée , en parole, en action.
Je supplie tous les Saints ,
et tous , mes Amis,
De prier le Créateur pour moi
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés...


A la fin de la messe elle alla rencontrer le beau et blond curé et lui demanda:

Bonjour mon père. Pourriez-vous me dire où en est notre pastorale svp?

Chou attendit avec impatience la réponse.
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Eh bien mon fils, notre évesque m'a parlé de vous. Je serai ravi de vous compter comme diacre. Nous aurons quelques cérémonies à effectuer ces jours suivants.

Se tournant vers sa dijonnaise préférée du moment ; elle savait trouver les mots qui flattaient son blond ego, il n'y avait rien à redire, il l'assura que tout se mettrait vite en place.

Quelques jours plus tard, suite à la fin d'une pastorale et à la confirmation quant à la date, le prestre avait préparé ce qu'il fallait pour un baptesme. Attendant patiemment au milieu de la nef, BaronSengir était prest à officier le baptesme de Phébus.
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Phébus avait préparé sa pastorale avec beaucoup de foi et de piété aussi c'est le visage grave et très ému qu'il arriva à l'église pour son baptême, il entra dans l'église resta un instant debout les yeux fermés fit une prière pour remercier Christos pour ce jour de grace, puis s'avança vers la nef ou l'attendait le prestre qui lui avait fait aussi l'honneur d'etre son parrain, il le salua

Bonjour mon père le grand jour est arrivée un jour important pour moi je vais entrer dans la grande famille des croyants j'en suis heureux et fier

il vit chouchou près du prestre il l'a salua

Bonjour ma petite chou et bien tu n'es pas encore prete pour mon bapteme tu as le temps d'aller te préparer misan et matt ne sont pas
encore arrivés

Il s'intalla sur un banc s'isolant spirituellement en attendant le debut de la cérémonie
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Toine qui était en fonction depuis Mardi dernier arriva a l'église pour rencontrer les fidèles.

Le bonjour mes amis,

Il se tourna vers le blond curé

Je vous aiderez du mieu que je pourrai mon père

Sinon je me presente, je suis Toine, le nouveau diacre
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Ma fille, viens dimanche quand tu seras preste, et nous te baptiserons, ne t'inquiète pas.

Le baptisé du jour fit alors son apparition, ainsi que son tout nouveau diacre.

Ah frère Toine, cela tombe bien, vous allez m'aider.

Avant qu'il ait pu dire quoi que ce soit, le prestre lui remit dans la main panier lourdement chargé, contenant les différents outils ecclésiastiques qu'il aurait à utiliser.

Suivez-moi à l'autel, voulez-vous?

S'adressant à Phébus :

Et vous également, cela va de soi.

Se dirigeant vers l'autel, en vérifiant que son diacre lui emboistait le pas tant bien que mal, le bel et bon curé s'installa et fit face aux divers fidèles qui s'étaient rassemblés.

Dijonnais et curieux de passage qui se sont dit, oh la porte était ouverte, soyez la bienvenue en la maison du Très Haut! En ce jour, nous allons célébrer la venue de Phébus dans la grande famille aristotélicienne via le sacrement du baptesme.

Tout d'abord, nous allons réciter la prière de la confession, afin de nous laver des péchés qui obscurcissent nos cœurs. Notre diacre va nous faire l'honneur de l'édicter tout haut afin que tous répètent après lui.
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Chou récita la prière de confession:

Je confesse à Dieu tout-puissant, à tous les saints, et à vous aussi, mes amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.

Je supplie tous les saints, et vous, mes amis, de prier le créateur pour moi.
Que le très haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Chou souriait fièrement en regardant la cérémonie se dérouler.
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Mat arriva discrètement pendant la cérémonie. Décidément il arrivait souvent en retard. Enfin, il se glissa silencieusement jusqu'à chou puis regarda le grand brun en train de se faire baptiser.

Qu'il est élégant notre phébus, murmura matt a l'oreille de son aimée

Il se tût le reste de la célébration en pensant aux bières qu'il allait payer après en taverne.

Puis il récita doucement sa prière:

Je confesse à Dieu tout-puissant, à tous les saints, et à vous aussi, mes amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.

Je supplie tous les saints, et vous, mes amis, de prier le créateur pour moi.
Que le très haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

phébus toujours plongé dans ses prières entendit son ange arriver, elle était essoufflée elle était plus belle que jamais les joues rouge d'avoir couru
il s'avança vers elle l'embrassa lui prit le bras et s'avança vers l'autel avec elle

Desolé de t'avoir prévenu si tard mais j'avais d'abord écris à lylou pour qu'elle soit ma marraine mais sans réponse de sa part il ne pouvait y avoir que toi pour etre ma marraine, quand au parrain le pretre me fait l'honneur de le devenir

il lui sourit puis regarda le pretre et le diacre et attendit la suite de la cérémonie
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S'adressant à la marraine le curé déclara :

Ma fille, vous avez récité le credo aristotélicien, le serment de foy de tout aristotélicien. Maintenant, pourriez-vous venir à l'autel et lire à l'assemblée l'extrait du Livre des Vertus que je vous indiquerai?
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elle s'approcha du pretre ,prit le livre d'entre ses mains,s'eclaircit la voix et recita :
]Vita de Christos, chapitre XII[/size][/b]

" Maître, supplia-t-il, à la plus grande surprise du Tribun, je voudrais vous suivre et faire partie de cette communauté de fidèles. Comment dois-je faire ? Je sais que je suis pécheur et que j’ai servi un mauvais maître, mais je t’en prie dis-moi comment me faire pardonner ! "

Alors Christos le releva et sous le regard médusé des romains, il prononça ces mots :
" Pêcheur, je te le dis, tu viens de faire la première chose que les fidèles devront faire ; se montrer humble et confesser leurs pêchés. Ainsi, si ton repentir est sincère, Dieu te pardonnera. "

Christos se tourna vers ses apôtres, et continua :
" Et vous, que les fautes commises par vos ouailles leurs soient pardonnées si elles viennent les confesser à vos oreilles, et qu’elles sont prêtes à en faire pénitence."

Alors, Christos s’approcha de la fontaine, et dit encore au Centurion :
" Par la grâce de l’éternel, je vais te laver de tes péchés, te ceignant d’eau, source de vie. "

Et Christos plongea ses mains jointes sous le jet de la fontaine. Il aspergea la figure du Centurion de cette eau en chuchotant ces paroles :

" Seigneur, daigne laver cet homme de ses péchés, et lui donner ainsi une nouvelle naissance parmi les croyants ! Au nom du Très Haut. Amen "

Puis, Christos nous appela à lui, nous, ses apôtres et, les uns après les autres, il nous ceignit de l’eau de la fontaine, nous faisant naître à nouveau. Il nous dit: " [b]Mes apôtres, tant hommes que femmes, par la grâce de Dieu, vous voici lavés de vos péchés. A vous de Lui montrer que vous saurez vous montrer digne de cet honneur qu’Il vous fait, car le sacrement du baptême pourra être retiré à quiconque en trahit l’essence.[

elle posa le livre et partit se rasseoir.....
_________________

Le diacre reprit alors ce panier lourdement équipé et il suivit encor le blond curé.
Ensuite il posa le panier a proximité du père.

Il le regarda et commenca :

Baron Sengir, certifies-tu que Phébus ici présent a fait sa demande de baptesme en toute conscience, qu'il ne subit aucune pression et que sa foy est sincère?
Jures-tu de toujours l'accompagner sur le chemin de la foy et de l'aider à surmonter les épreuves ?
Acceptes-tu, enfin, d'être son parrain devant le très Haut et les hommes ?

Il etait content d'avoir poser cette quetion, et attendit la reponse de son interlocuteur.
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misandrelle émue etait debout a côté de phébus,elle glissa doucement sa main dans la sienne et la pressa doucement...
elle écouta phébus,puis ce fut a son tour :
"je certifie que Phébus ici présent a fait sa demande de baptesme en toute conscience, qu'il ne subit aucune pression et que sa foy est sincère.
je jure de toujours l'accompagner sur le chemin de la foy et de l'aider à surmonter les épreuves .
j'accepte enfin d'être sa marraine devant le très Haut et les hommes ."
elle les regarda tour à tour et sourit....
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Souriant, le blond répondit à son diacre.

Moi BaronSengir, le plus beau des blonds curés qu'a connu Dijon, certifie que Phébus demande le baptesme en connaissance de cause et ne subit nulle pression ; qu'enfin, sa foy est des plus sincère.
Je jure de toujours l'accompagner, en tant que parrain et en temps que prestre, sur le chemin de la foy.
J'accepte donc bien entendu de devenir son parrain.

Il se tourna vers le principal intéressé.

Mon fils, mon filleul, répète après moi ce serment d'allégeance.



Quand il l'eut fait, le curé prit dans le panier que Toine portait avec difficulté une burette en argent, qui pesait son poids. Le diacre parut soulagé de cette charge en moins.



Il la remplit d'eau bénite provenant du baptistère ; le Phébus était un peu grand pour s'y glisser ; et en versa sur la teste et la nuque du croyant. Il la remit en place dans le panier, semblant voir son diacre se lamenter intérieurement.

Je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saint et pour l’amour du Père de l’humanité.

En cette église et sous le regard du Divin, sois le bienvenue mon fils, dans la communauté des fidèles et la famille aristotélicienne.

Celui que l'on disait fort beau prit un cierge du panier que son enthousiaste diacre tenait et l'alluma.

Reçois ce cierge, représentant ton asme purifiée. Sois une lumière pour les autres et aide-les à trouver le chemin de la foy et de la vertu. Ne laisse pas ta propre foy s'éteindre au moindre coup de vent et n'oublie jamais le serment que tu as prononcé.



Farfouillant une dernière fois dans le barda de son assistant, l'abbé en sortit un objet qu'il posa dans la main du nouveau fidèle.



Voici la médaille aristotélicienne qui est tienne. Porte-la toujours sur toi. Elle est le signe de ton engagement dans la communauté des fidèles.

Levant les bras, il déclara à l'assemblée :

Chers amis, accueillez ce nouveau membre de notre famille comme il se doit! Que le partage, la joie et l'amitié rythment les célébrations qui vont suivre!
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