Nessty
[Missive à tryptique ou coups de triques depuis Angoulême]
Encore un de ces volatiles de toute sorte et de tout bord
Qui virevoltaient dans le ciel avant d'arriver à bon port
En ce jour de novembre 1456, dans le Périgord.
Parmi les mouettes fientant à tribord sans remord,
Parmi les corbeaux cyniques croassant comme des croquemorts,
Parmi les colombes roucoulant trop fort,
Parmi les hirondelles fuyant la mort,
Parmi les moineaux picorant sur les contreforts.
Un de ces piafs galopins,
Qui ne ressemblait à rien
Mais qui remuait bien
Voir trop aux yeux de certains,
Vint lâcher son chargement avec entrain
Non de fiel mais de parchemin
Devant un homme au nom incertain
Avant de s'affaler sur un tas de crottin
Qui lui servirait d'oreiller jusqu'au fagotin.
Encore un de ces volatiles de toute sorte et de tout bord
Qui virevoltaient dans le ciel avant d'arriver à bon port
En ce jour de novembre 1456, dans le Périgord.
Parmi les mouettes fientant à tribord sans remord,
Parmi les corbeaux cyniques croassant comme des croquemorts,
Parmi les colombes roucoulant trop fort,
Parmi les hirondelles fuyant la mort,
Parmi les moineaux picorant sur les contreforts.
Un de ces piafs galopins,
Qui ne ressemblait à rien
Mais qui remuait bien
Voir trop aux yeux de certains,
Vint lâcher son chargement avec entrain
Non de fiel mais de parchemin
Devant un homme au nom incertain
Avant de s'affaler sur un tas de crottin
Qui lui servirait d'oreiller jusqu'au fagotin.
Nessty a écrit:
Sieur ou sir,
En l'espace de quelques jours correspondant à mes entrées en la ville dAngoulême, ville devenue blême sous votre emblème, mest parvenue une missive similaire en tout point cachetée à la glaire de babouin en dehors de... comment vous dire... de votre identité démultipliée, de votre sceau de sot, de votre seing dassassin ! J'en arrive à me demander quel est cet être multiple qui se cache un hère alcoolique. Et bien oui, vos plis portent signature d'un habitant d'Angoulême tout comme celle d'un comte et d'un régent du Périgord-Angoumois. Malice d'une triplice divine ou maligne ?
Qui que vous soyez sieur ou sir, je vous invite à m'apporter réponse, à la simple gueuse que je suis et à l'ensemble des étrangers du Périgord Angoumois
Je suis tant une voyageuse de passage qu'une visiteuse fort sage, en restant avant tout une résidente de l'Alliance du Centre et non une pédante grimaçante, que diantre ! Ainsi en arrivant sur vos terres du périgourdin, me réjouissant même de retrouver certains, j'ai été plus qu'outrée d'être considérée comme une misérable indésirable, une brigande dune bande, une hors la loi sans accord et sans foi et je passe sur les plus salaces.
Vous, le triple instigateur de cette missive rébarbative, faites référence à une loi martiale immédiate sans droit primordial en date du 21ème jour de novembre 1456,
- loi non portée à la connaissance de vos voisins et alliés en temps et en heure. Un affront diplomatique pur et simple à l'AdC et à sa population.
- loi vous octroyant des pouvoirs farfelus et anachroniques pour chacune des fonctions derrière lesquelles vous vous dissimulez.
En date du 22 novembre 1456, soit moins de 24h après proclamation de la loi martial, Grégory de Festigny était démissionnaire de son poste de comte du PA.
En date du 21 novembre 1456, Sanktuaire de crussol n'était absolument pas nommé comme régent du PA. Loctroi dune décision comtale dune telle ampleur nest rien dautre que lusurpation du travail de sa Grandeur.
En date du 21 novembre 1456, Schumif1 n'était ni comte ni régent mais... pilier de taverne ou limier de balivernes peut être.
- loi méconnue pour le commun des mortels à l'identité unitaire que sont tous voyageurs et visiteurs. Je vous prierai donc de me faire parvenir un extrait de ce référentiel législatif sur lequel vous prétendez vous appuyer avec tant de fiel hatif. Vous n'êtes point sans ignorer qu'une gueuse de ma condition et de mon érudition ne peut avoir connaissance ou accès à ces documents qui sont, je vous cite, le Corpus Juris Civilis en son livre II. Chapitre V. opus III.
Qui que vous soyez, je vous saurai gré d'éclairer lignorance due à mon innocence et à mon insolence.
Conformément au traité liant les contrées de l'Alliance du Centre, aucun seing n'est exigible avec un tel entrain risible auprès de lun de ses membres pour traverser ou séjourner le Périgord Angoumois. Quel est donc cet affront que vous faites là à vos alliés ?
Vous exigez bien selon vos mots un laissez-passer de ma part pour entrer et pour sortir de votre comté. Je suis en ces lieux périgourdins, au milieu de vauriens, dans l'incapacité de séjourner et encore moins de m'échapper. Piégée et prisonnière comme de nombreux voyageurs, vous me soumettez de la sorte à suspicion de vos cohortes. Vous nous mettez vous même en situation illégale afin de nous produire sans sommation devant tribunal. Votre cour s'est ainsi emplie en quelques jours d'infamie et d'hérésie.
Vous affirmez accorder un délai de 48h aux non périgordo-angoumoisins ce qui équivaut à mener les plus beaux ovins à labattoir si leur carcasse na pas reçu d'autorisation de séjour à compter de la parution de la mise en exercice de votre loi martiale. Je vous rappelle que cette loi a été validée le 21 novembre 1456, que vos exigences de séjour étaient valables jusqu'au 23 novembre 1456 et que, malgré tout, vous persistez à promulguer des menaces de poursuites judiciaires plus que caduques à l'encontre des voyageurs et visiteurs auxquels j'appartiens. Ces agissements frôlent l'inquisition fécale ou la dérision dictatoriale.
Vous vous affichez également comme étant détenteurs de "liste rouge". Par curiosité, je vous encourage à venir publier cette liste afin dattester la sobriété de votre police. A ma connaissance, ce type d'information n'a aucune validité reconnue qui vous en autorise une application particulière, que cela soit dans le cadre d'une loi martiale, d'une démarche belliqueuse, d'une formalité administrative ou d'une pénalité juridique. Vous vous exposez par là même comme étant un comté usant illicitement d'informations non certifiées et pratiquant je ne sais quelle sorcellerie. Couardise ou pleutrerie ? A vous de le confirmer.
Qui que vous soyez sieur ou sir, vos insultes à mon intégrité vous attireront non pas incultes inamitiés mais occultes combativités.
Le comble de votre sottise aura été, non seulement duser dun titre antidaté, mais de vouloir légaliser les actions meurtrières que vous menez fièrement sur les chemins de votre contrée en responsabilisant des voyageurs innocents. Le non remboursement des préjudices causés se rapproche du brigandage officiel car vous semblez ignorer le nombre de voyageurs morts ou grièvement blessés sous les lames de vos armées et qui gisent déjà selon votre sens de la légalité au delà des frontières du Périgord.
La dernière aberration ou désolation que je soulèverai est celle relative aux lances, ayant moi même subit le chantage de me retrouver en procès sous moins de 24 h pour détention d'une lance. Vous tolérez les lances du cortège royal, des armées de l'ADC, des saintes armées identifiés et celles des autorités comtales. Je ne vois dans cette liste exhaustive et non constructive aucune habilitation à former des lances municipales ou celles d'habitants rejoignant la défense du PA. Encore une fois, vous vous mettez vous même dans l'une des situations illégales que vous énumérez si sciemment en laissant vos ânes concourir en toute liberté sous nos yeux les mulets royaux. Alors que ma pauvre bourrique séreinte à trainer une charrette avec une énorme barrique dévorant andouillettes et charcutailles. Lon me refuse dabreuver ma bête et lon me menace de décoller ma tête. Vous comprendrez aisément mon courroux et mon dégout alors que je fuis déjà les poux du Poitou.
A moins que ce ne soit là une stratégie, dont je n'ai point saisie la subtilité, pour offrir en toute légalité votre comté à ces brigands gascons qui ont envahis Bergerac. Les plus grands brigands ne sont-ils pas les pédants intriguant autour de notre Roy ?
Qui que vous soyez sieur ou sir, je vous retourne par ces plis ce que je considère comme un torchon invalide et offensant.
En salutations respectueuses, je ne viderai point mon encrier.
Fait à Angoulême le 28ème jour de novembre 1456
Nessty
Sieur ou sir,
En l'espace de quelques jours correspondant à mes entrées en la ville dAngoulême, ville devenue blême sous votre emblème, mest parvenue une missive similaire en tout point cachetée à la glaire de babouin en dehors de... comment vous dire... de votre identité démultipliée, de votre sceau de sot, de votre seing dassassin ! J'en arrive à me demander quel est cet être multiple qui se cache un hère alcoolique. Et bien oui, vos plis portent signature d'un habitant d'Angoulême tout comme celle d'un comte et d'un régent du Périgord-Angoumois. Malice d'une triplice divine ou maligne ?
Qui que vous soyez sieur ou sir, je vous invite à m'apporter réponse, à la simple gueuse que je suis et à l'ensemble des étrangers du Périgord Angoumois
Je suis tant une voyageuse de passage qu'une visiteuse fort sage, en restant avant tout une résidente de l'Alliance du Centre et non une pédante grimaçante, que diantre ! Ainsi en arrivant sur vos terres du périgourdin, me réjouissant même de retrouver certains, j'ai été plus qu'outrée d'être considérée comme une misérable indésirable, une brigande dune bande, une hors la loi sans accord et sans foi et je passe sur les plus salaces.
Vous, le triple instigateur de cette missive rébarbative, faites référence à une loi martiale immédiate sans droit primordial en date du 21ème jour de novembre 1456,
- loi non portée à la connaissance de vos voisins et alliés en temps et en heure. Un affront diplomatique pur et simple à l'AdC et à sa population.
- loi vous octroyant des pouvoirs farfelus et anachroniques pour chacune des fonctions derrière lesquelles vous vous dissimulez.
En date du 22 novembre 1456, soit moins de 24h après proclamation de la loi martial, Grégory de Festigny était démissionnaire de son poste de comte du PA.
En date du 21 novembre 1456, Sanktuaire de crussol n'était absolument pas nommé comme régent du PA. Loctroi dune décision comtale dune telle ampleur nest rien dautre que lusurpation du travail de sa Grandeur.
En date du 21 novembre 1456, Schumif1 n'était ni comte ni régent mais... pilier de taverne ou limier de balivernes peut être.
- loi méconnue pour le commun des mortels à l'identité unitaire que sont tous voyageurs et visiteurs. Je vous prierai donc de me faire parvenir un extrait de ce référentiel législatif sur lequel vous prétendez vous appuyer avec tant de fiel hatif. Vous n'êtes point sans ignorer qu'une gueuse de ma condition et de mon érudition ne peut avoir connaissance ou accès à ces documents qui sont, je vous cite, le Corpus Juris Civilis en son livre II. Chapitre V. opus III.
Qui que vous soyez, je vous saurai gré d'éclairer lignorance due à mon innocence et à mon insolence.
Conformément au traité liant les contrées de l'Alliance du Centre, aucun seing n'est exigible avec un tel entrain risible auprès de lun de ses membres pour traverser ou séjourner le Périgord Angoumois. Quel est donc cet affront que vous faites là à vos alliés ?
Vous exigez bien selon vos mots un laissez-passer de ma part pour entrer et pour sortir de votre comté. Je suis en ces lieux périgourdins, au milieu de vauriens, dans l'incapacité de séjourner et encore moins de m'échapper. Piégée et prisonnière comme de nombreux voyageurs, vous me soumettez de la sorte à suspicion de vos cohortes. Vous nous mettez vous même en situation illégale afin de nous produire sans sommation devant tribunal. Votre cour s'est ainsi emplie en quelques jours d'infamie et d'hérésie.
Vous affirmez accorder un délai de 48h aux non périgordo-angoumoisins ce qui équivaut à mener les plus beaux ovins à labattoir si leur carcasse na pas reçu d'autorisation de séjour à compter de la parution de la mise en exercice de votre loi martiale. Je vous rappelle que cette loi a été validée le 21 novembre 1456, que vos exigences de séjour étaient valables jusqu'au 23 novembre 1456 et que, malgré tout, vous persistez à promulguer des menaces de poursuites judiciaires plus que caduques à l'encontre des voyageurs et visiteurs auxquels j'appartiens. Ces agissements frôlent l'inquisition fécale ou la dérision dictatoriale.
Vous vous affichez également comme étant détenteurs de "liste rouge". Par curiosité, je vous encourage à venir publier cette liste afin dattester la sobriété de votre police. A ma connaissance, ce type d'information n'a aucune validité reconnue qui vous en autorise une application particulière, que cela soit dans le cadre d'une loi martiale, d'une démarche belliqueuse, d'une formalité administrative ou d'une pénalité juridique. Vous vous exposez par là même comme étant un comté usant illicitement d'informations non certifiées et pratiquant je ne sais quelle sorcellerie. Couardise ou pleutrerie ? A vous de le confirmer.
Qui que vous soyez sieur ou sir, vos insultes à mon intégrité vous attireront non pas incultes inamitiés mais occultes combativités.
Le comble de votre sottise aura été, non seulement duser dun titre antidaté, mais de vouloir légaliser les actions meurtrières que vous menez fièrement sur les chemins de votre contrée en responsabilisant des voyageurs innocents. Le non remboursement des préjudices causés se rapproche du brigandage officiel car vous semblez ignorer le nombre de voyageurs morts ou grièvement blessés sous les lames de vos armées et qui gisent déjà selon votre sens de la légalité au delà des frontières du Périgord.
La dernière aberration ou désolation que je soulèverai est celle relative aux lances, ayant moi même subit le chantage de me retrouver en procès sous moins de 24 h pour détention d'une lance. Vous tolérez les lances du cortège royal, des armées de l'ADC, des saintes armées identifiés et celles des autorités comtales. Je ne vois dans cette liste exhaustive et non constructive aucune habilitation à former des lances municipales ou celles d'habitants rejoignant la défense du PA. Encore une fois, vous vous mettez vous même dans l'une des situations illégales que vous énumérez si sciemment en laissant vos ânes concourir en toute liberté sous nos yeux les mulets royaux. Alors que ma pauvre bourrique séreinte à trainer une charrette avec une énorme barrique dévorant andouillettes et charcutailles. Lon me refuse dabreuver ma bête et lon me menace de décoller ma tête. Vous comprendrez aisément mon courroux et mon dégout alors que je fuis déjà les poux du Poitou.
A moins que ce ne soit là une stratégie, dont je n'ai point saisie la subtilité, pour offrir en toute légalité votre comté à ces brigands gascons qui ont envahis Bergerac. Les plus grands brigands ne sont-ils pas les pédants intriguant autour de notre Roy ?
Qui que vous soyez sieur ou sir, je vous retourne par ces plis ce que je considère comme un torchon invalide et offensant.
En salutations respectueuses, je ne viderai point mon encrier.
Fait à Angoulême le 28ème jour de novembre 1456
Nessty
Citation:
Expéditeur : Schumif1 de Valois
Date d'envoi : 2008-11-27 09:46:31
Nous,
Sanktuaire de crussol, régent du Périgord-Angoumois,
Informons à toutes et tous, Habitants du Comté, Voyageurs de Passage et Visiteurs,
La mise en exercice de la Loi Martiale de façon immédiate, en ce 21eme de Novembre 1456, et ce sur lensemble des Terres du Périgord-Angoumois.
Ladite loi étant légitimée par les pouvoirs qui nous sont conférés ainsi stipulé dans le Corpus Juris Civilis en son livre II. Chapitre V. opus III.
Faisons savoir que toute personne souhaitant entrer ou sortir du Comté devra avoir obtenu laissez-passer auprès de notre prévôt des maréchaux ou de nous-mêmes, Nous deux seuls ayant pouvoir de délivrer droit de passage.
Ainsi toute demande antérieure à cet instant est annulée.
Faisons savoir que les non périgordo-angoumoisins n�ayant pas reçu d�autorisation de séjour sont priés de quitter le territoire dans un délai de 48h à compter de la parution de cette mise en exercice. Le délai est de 24h pour les personnes dites en « liste rouge ».
Passé ce délai, toute personne non périgordo-angoumoisine, ou non autorisée par un sauf-conduit qui sera encore présente dans notre Comté sera passible de poursuites judiciaires.
Faisons savoir que toute personne circulant en nos terres sans avoir reçu aval des autorités compétentes, le fera sous sa seule responsabilité, et que nul remboursement ne sera versé dans le cas où nos armées mettent à mal les visiteurs en illégalité à l'égard de la loi.
Encourageons nos habitants du Périgord et de l'Angoumois à ne pas se déplacer à l'intérieur de notre province, à rester chez eux durant le temps de la loi martiale, à se préparer à prendre les armes pour assurer la sécurité de nos villes.
Faisons savoir que Cortège Royal, Armées légitimées par l�ADC et Saintes Armées identifiés ne sont pas concernés par le présent exercice et peuvent donc entrer, voyager et stationner comme prévu. Seules elles et Autorités Comtales sont désormais habilités à former et à user du droit de lances, les autres devant être immédiatement dissoutes.
Que la nouvelle soit répandue en nos terres et ailleurs.
En le 21ème de novembre 1456,
En la Chateaux de Périgueux,
Sanktuaire de crussol, régent du PA
Date d'envoi : 2008-11-27 09:46:31
Nous,
Sanktuaire de crussol, régent du Périgord-Angoumois,
Informons à toutes et tous, Habitants du Comté, Voyageurs de Passage et Visiteurs,
La mise en exercice de la Loi Martiale de façon immédiate, en ce 21eme de Novembre 1456, et ce sur lensemble des Terres du Périgord-Angoumois.
Ladite loi étant légitimée par les pouvoirs qui nous sont conférés ainsi stipulé dans le Corpus Juris Civilis en son livre II. Chapitre V. opus III.
Faisons savoir que toute personne souhaitant entrer ou sortir du Comté devra avoir obtenu laissez-passer auprès de notre prévôt des maréchaux ou de nous-mêmes, Nous deux seuls ayant pouvoir de délivrer droit de passage.
Ainsi toute demande antérieure à cet instant est annulée.
Faisons savoir que les non périgordo-angoumoisins n�ayant pas reçu d�autorisation de séjour sont priés de quitter le territoire dans un délai de 48h à compter de la parution de cette mise en exercice. Le délai est de 24h pour les personnes dites en « liste rouge ».
Passé ce délai, toute personne non périgordo-angoumoisine, ou non autorisée par un sauf-conduit qui sera encore présente dans notre Comté sera passible de poursuites judiciaires.
Faisons savoir que toute personne circulant en nos terres sans avoir reçu aval des autorités compétentes, le fera sous sa seule responsabilité, et que nul remboursement ne sera versé dans le cas où nos armées mettent à mal les visiteurs en illégalité à l'égard de la loi.
Encourageons nos habitants du Périgord et de l'Angoumois à ne pas se déplacer à l'intérieur de notre province, à rester chez eux durant le temps de la loi martiale, à se préparer à prendre les armes pour assurer la sécurité de nos villes.
Faisons savoir que Cortège Royal, Armées légitimées par l�ADC et Saintes Armées identifiés ne sont pas concernés par le présent exercice et peuvent donc entrer, voyager et stationner comme prévu. Seules elles et Autorités Comtales sont désormais habilités à former et à user du droit de lances, les autres devant être immédiatement dissoutes.
Que la nouvelle soit répandue en nos terres et ailleurs.
En le 21ème de novembre 1456,
En la Chateaux de Périgueux,
Sanktuaire de crussol, régent du PA
L'envol de ce piaf fut accompagné par une prière de plus vénères mais sans vitupères de la part de cette gueuse impétueuse.
MonSaigneur de Velours, si c'est vous, je vous exhorte à libérer la gueuse peu pieuse que je suis de cette burlesque farce avant que je ne me transforme en une gigantesque garce envers ces grotesques scribouillards.
MonSaigneur de Velours, si c'est vous, je vous supplie de porter vos griffes sur moins impétueuse et enquiquineuse que je ne suis avant que je ne m'encanaille avec de la merdaille et raille toute cette flicaille.
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