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Ayant vécu toute son enfance en Aragon, lieu de villégiature de la famille Volpilhat depuis Jehan Ier, ce n'est que très récemment que Aitòre organisa son retour en terres françaises aux côtés de son frère, Aristote.
Le jeune goupil naquit à Saragosse, capitale du Royaume d’Aragon, au sein de l’Hôtel familial de Volpilhat. Fils de Feu Marc de Volpilhat, il ne connu que très furtivement ses parents, son père disparaissant empoisonné et sa mère mourant en couche lors de la naissance de son frère cadet, Aristote. C’est d’ailleurs lorsqu’il sortit de l’utérus maternelle et que cette dernière s’exclama « Aristote me parle, je vois Aristote… » pour ensuite s’éteindre, que l’idée vint d’appeler l’enfant ainsi.
A postériori, la fratrie fut éduquée en secret au sein même du Palais Royal, résidence de leur Oncle, Feu Reginhart Ferreol Raphael de Volpilhat, dit Reginhart V de Volpilhat, Roy d'Aragon, de Valence, de Mallorca, de Sicile et de Sardaigne. Cette instruction, entre grandeur, richesse et confidentialité, prit fin à la mort du souverain, poussant les jeunes frères à se retirer dans un domaine aux abords de Barcelone, préparé par le roi défunt jusqu’aux quatorze ans du cadet.
Recevants l’ensembles des enseignements affairants à une famille royale et noble, se sont ainsi deux hommes aux caractères particuliers qui prirent la route lorsque Aristote arriva à l’âge fixé. Ne sachants où vivre, la décision fut prise de trouver où s’installer en France, terre quittée par leur Grand-père, Feu Jehan Ier de Volpilhat, suite à sa déchéance de la Pairie et l’obtention du titre de Grand d’Aragon.
Leur cheminement mena les jeunes frères dans le Périgord-Angoumois, à Angoulême, ville où ils vivent désormais et tentent de redonner à leur famille une existence, une image, un prestige.