Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8, ..., 19, 20, 21   >   >>

[RP] Salle des doléances et autres questions pour le Comté

Telya
Elle soupira , décidement on ne pouvait être contre les décisions du conseil sans se faire agresser
il est vrai que le ton de yolaine n'etait pas des plus diplomates mais on ne pouvait lui enlever le fait de travailler dur pour son comté.



Messire Odradek , le comté n'est privé des talents de personnes .
Yolaine met son energie au service de la capitale , ce qui vous en conviendrez est une tâche hardue.

Si pour vous être maire n'est point travailler pour son comté , j'avoue que je ne vous comprends pas.
une mairie n'est rien sans le comté , mais le comté n'existerait m^me pas sans les mairies.
les deux sont complémentaires , enfin je le vois ainsi.

Messire Lebron , Pau bénéficie peut etre d'un traitement de faveur , mais n'oubliez pas que c'est la capitale et que le passé nous a helas prouvé combien il etait important d'avoir une capitale active et forte.
Mauleon et Orthez vous semble en difficultées mais , est ce une raison pour pénaliser Lourdes ou Tarbes ?
peut etre les choix que vous avez fait en élisant des maires qui n'ont peut etre pas aidé la ville , bien que chaque maire d'orthez aient dit qu'ils etaient le meilleur, orthez ne serait peut etre autant en difficultés si ça avait été le cas.
vous avez actuellement un maire qui semble etre efficace , profitez en .

Lourdes et Tarbes sont , elles aussi , prés d'une frontiére ou tout est moins cher dans les villes à coté , cela ne les a pas empechées de prospérer.

vous dites que vous prenez un bénéfice en achetant le bois ailleurs .
bien sur c'est une solution , une autre solution c'est la préférence béarnaise mais j'avoue que je n'ai jamais réussi à faire comprendre le bien fondé de cette mesure.
les différents conseils s'y sont opposés , et je ne l'ai pas proposé à celui là , sachant d'avance que j'essuyerais un refus , si vous voulez je puis vous expliquer comment je verrais son fonctionnement.
_________________
Vever
va falloir a pau combattre contre la surproduction car la ville est vide de ses habitant
et c'est inquietant je vi que de la coupe de bois et non de mon champ ni meme de mon metier de menier
Telya
il y a en effet stagnation des produits sur le marché car il y a peu de vente d'effectuée
pau s'est vidée comme une outre percée à la demande du conseil de régence pour en faire une terre brulée

il faudra longtemps je crois avant de retrouver une situation normale

les palois ne peuvent vivre de leur champs ou échoppe , c'est une situation dramatique pour beaucoup d'entre nous
_________________
Vever
j'espère que ca va tre vite etre remideier car si cela dur pau sera vide de tout car tout le monde partira
et pau deviendra ville fantome
Telya
je l'espére aussi , en tout cas on va tout faire pour que ça s'arrange
_________________
Vever
ca serai chouette pour tout le monde
Ptitmec13
Ptit était dans le coin de la salle de doléance, chacun faisait sa petite sauce histoire de se chercher à mettre l'autre dans la panade. Les paroles en l'air fusaient et la blondine écoutait. Une question posée et pas de réponse... Froncement de sourcil, les échanges continuaient et pourtant cette question restait sans réponse.
Elle s'avança vers Odradek arborant le sourire qui ne la quittait que rarement.


Bonjour Messire Odra,
Je vais essayer de vous répondre.
Si dans "loi concernant la non attribution de la citoyenneté en cas de fermeture de frontières" vous entendez parler de celle intimant de demander l'autorisation de s'installer en Béarn pour les non Béarnais de naissance, en effet elle vient tous juste d'être abrogée.
Le conseil, du moins pour ceux qui se sont exprimés, a estimé qu'elle était restrictive quant à la nécessité de peuplement de certaines villes et qu'il serait toujours à temps de la remettre en fonction si la nécessité s'en faisait sentir.
La plus part des ennemis sont partis et sont surveillés, la loy martiale vient d'être levée mais les frontières restent fermées.
De plus nous travaillons actuellement à la vérification des déménagements en Béarn.
J'espère avoir pu répondre à vos interrogations.


Elle le regardait l'air posé, faire abstraction de ce qui se disait à coté. Parfois cette salle de doléances devenait une vraie ménagerie.
_________________

Prévost des Maréchaux
Odradek
Il salua de la tête la responsable de la prévôté

C'est bien de cette loi dont je parlais. Je continue de trouver dommage qu'une loi qui permettait d'anticiper des actions hostiles ait été abrogée. Et elle n'a vraiment de sens qu'avant l'arrivée d'un ennemi, pas pendant qu'il est la.

L'experience montre à quel point elle aurait été utile dans l'affaire des Lions.

Je doute qu'elle soit restrictive pour le peuplement du Béarn : son application est trés légère, et elle ne s'applique pas hors période de troubles.

Bref...


Yolaine
Et le grand n'importe quoi des mines continue...

Je viens d'apprendre par un ami lourdais que la carrière a été limitée à 33 places.
Peut-on connaitre la méthode utilisée pour définir cette valeur ?
Le dé à jouer ? Le tarot divinatoire ? la loterie ?

Non parce que tant qu'à limiter, autant prendre une valeur efficace !
Y'a pourtant qu'à calculer...
Pour un mineur de moins, on gagne plus !
Je sais, c'est paradoxal, mais quand on maîtrise le fonctionnement des mines, on est capable de savoir ça.

Le mineur supplémentaire :
- il coute un salaire et un quintal de pierre en entretien en plus
- il produit seulement 2 quintaux de pierre
Vu qu'un salaire coûte plus qu'un quintal, je vous laisse méditer au bilan.


Yolaine leva une fois de plus les yeux au ciel devant l'incompétence répétée du conseil.
_________________
Ingenue
Et la blondine de lever l'index d'un air docte.

Le pendule et la baguette de sourcier.
_________________
Odradek
Le front soucieux, Odradek vint interpeler la personne de permanence en ces lieux

Quelqu'un peut il me dire si nous sommes en état de guerre contre le Marquisat?

Ce faisant, il étala un article de l'AAP sur lequel il venait de tomber

Citation:
Guerre contre le Marquisat: le conflit s'étend à l'Italie et à la Savoie!

BRIGNOLES (AAP) - Lors de notre dernier point sur le conflit qui opposait les Compagnies d'Ordonnance Françaises, les impériaux, et les Provençaux loyalistes aux partisans du Marquisat des Alpes Occidentales, nous avions conclu sur un statu quo.
Aujourd'hui ce statu quo est remis en cause.
En effet, on a pu constater ces derniers jours l'arrivée massive de Catalans, venu soutenir le Marquisat, qui ont mis le siège devant Toulon, toujours tenue par la première vague des Compagnies d'Ordonnances Françaises, commandées entre autre par le Connestable de France, l'Amiral de France, le Duc Lexhor d'Orléans, le Vicomte Pierre du Val de Loire de Montlouis et le Vicomte Pierre de Courtalain de Conches. In Phooka Memoriam, commandée par la Baronne Angélique d'Harfleur fait face à Despertaferro commandée par Rocabertí. Il semblerait que, seuls, les Catalans ne puissent déloger les Français solidement implantés et aguerris. Cependant, beaucoup de sorties des assiégés ont été effectuée sans pour autant que l'armée Catalane n'ait levé le siège.
De plus, le premier dimanche du mois de mars, l'armée Catalane semble avoir rompu la trêve dominicale en s'attaquant à la bannière Béarnaise du Sieur Oli13, qui a vu sa petite troupe massacrée alors qu'elle était implantée non loin du camp Catalan. On note aussi que les Catalans auraient tués des Languedociens qui avaient tenté de ravitailler les assiégés par mer.

A Arles, la ville était sous domination des forces françaises du Baron Nkhan de Saint Saën et du capitaine franc, Namaycush. A l'heure actuelle le gros de leur armée est aux alentours de Forcalier ils auraient forcé le passage à deux armées Marquisales, dont celle de la Marquise Hersende. Une armée impériale, menée par le Baron savoyard Ninoupitch de Miolans, vient de lever bannière à Arles. Il prit la succession du commandement de la place lorsque les deux armées sus-citées ont fait mouvement. Mais aujourd'hui, une révolte des rebelles a poussé un marquisard à la tête de la mairie, un dénommé Gmat.

Du côté marquisal on note toujours la présence de deux armées à Aix, deux à Brignoles et une en campagne, en plus de celle des Catalans.

A présent le conflit vient de s'étendre à l'Italie et à la Savoie, première province d'Empire a être touchée. En effet, les troupes Génoises qui étaient en Provence s'étaient -aux dernières nouvelles- repliés sur la République Ligurienne pour défendre leur territoire contre l'Alliance Vénise, Milan, Modène et du Temple Italien, qui les sommaient de revenir dans le giron Impérial.
Visiblement la réponse des Génois fut la prise de Chambéry, par un coup de main audacieux, bien que le Doge ait condamné et destitué les révoltés et nié toute implication, malgré les bruits de couloir et les minutes du conseil qui ont fuis du huis clos. De fait, l'Empire est attaqué au cœur de son domaine et l'on pourrait assister à un revirement des positions des Provinces, plutôt portées sur le dialogue. On attend notamment la position de la Franche Comté, très critiquée ces derniers temps. Il est à noter que Monseigneur Tully s'est fait médiateur d'une trêve entre les Génois et la Savoie. Si cette dernière retire ses troupes de Provence -chose qui semble ne pas avoir d'écho- elle aurait récupérerait la maîtrise de sa Capitale.

En Italie, pendant qu'un ultimatum de "deux jours solaires" du Duc de Modène courrait, le Duc de Milan est passé à l'offensive, écrasant une première armée Génoise avant de mettre le siège devant la capitale de la république Ligurienne. A l'heure actuelle, le siège est levé mais la force de frappe des alliés italiens contre Gênes est impressionnante.

La grande muette de ce conflit est l'Église qui a récemment renouvelé Tibère Plantagenêt comme Camerlingue. Provençal. On le savait proche du mouvement rebelle et sa réélection peut laisser penser que Rome ne prendra toujours pas position. Cependant, on a appris que Son Éminence Ecatarina de Sevilliano, Primat du Saint Empire, avait été suspendue de ses fonctions par la Curie. A priori cette information n'a rien avoir avec les faits présentés, mais sachant que la prélat était une farouche ennemie des troupes Françaises -d'abord embarquées dans la Croisade puis dans la guerre de Provence- on peut imaginer facilement que la situation n'est plus tout à fait la même à Rome. Si une communication de la Curie devait voir le jour, surtout après l'agression génoise sur la Savoie, la gestion ambiguë de la trêve savoyarde et les rupture de la trêve dominicale, ce serait le bon moment.

Dans l'ensemble, l'offensive semble avoir repris, à l'avantage des loyalistes, impériaux et Français. Cependant, dans les jours qui viennent, il faudra porter son regard sur l'Italie et l'Empire pour y voir la suite du conflit.

A. pour l'AAP
Gnia
Une fois n'est pas coutume, aujourd'hui c'était la Comtessa qui était d'astreinte en salle des doléances. Justement ce qu'elle détestait, elle pour qui le Porte Parole était justement fait pour éviter ce genre de désagrément.
M'enfin on ne luttait pas seule contre les idées progressistes incongrues d'une poignée qui prônait la transparence alors que lorsque l'on s'appuyait sur les faits, leurs mandats s'étaient avérés plus qu'obscurs.

La comtesse ruminait donc en s'accrochant à ses principes réac' lorsque Odradek entra en salle des doléances.
Profond soupir lorsqu'il lut l'article de ce torchon qu'était devenu l'AAP.


Aaah.. Messer Odradek, la Provence... Vaste sujet.

Alors.
Je répondrai brièvement et de façon très claire à votre question.

Le Royaume de France et notre Roy sont en guerre contre le Marquisat. De fait, étant vassaux du Roy, nous le sommes.

Au sujet de l'armée du Sieur Oli, elle est sous commandement de la Connestablie de France et plus particulièrement sous ceux, d'Anthémios de Deliancourt, Connestable de France.

Quant à savoir si le Béarn a commandé l'envoi de l'une de ses armées, de ses nobles et de son ancien sénéchal en Provence, je vous répondrai non point.
Il s'agit là d'initiatives personnelles, pour lesquelles le Régnant d'alors avait été peu ou pas consulté, quand bien même nous étions nous-même en guerre.


Petit sourire de façade qui semblait en dire plus que ce qui était exprimé.

Ai-je répondu à votre questionnement ?
_________________
Odradek
Il dévisagea longuement la Comtesse après qu'elle lui eut répondu. Son visage ne laissait rien transparaitre qui pu être interprété dans un sens ou dans l'autre.

Réprobation, stupeur, stupidité ou approbation auraient tout aussi bien pu être accolés à son expression selon l'état d'esprit de celui qui l'aurait regardé à ce moment la.

Ses lèvres s'entr'ouvrirent sans laisser échapper aucun son. Puis il articula, comme au prix d'un effort surhumain


Je vous comprend parfaitement

Il salua, tourna alors les talons et repassa la porte
Stamildon
Stamildon arriva d'un pas énergique en salle des doléances.

Messieurs dames les conseillers,

Bonjour,

A chaque élection les gens râlent à cause de l'inutilité et des conséquences des signatures électorales. Lors du mandat précédent on nous avait promis un débat et une révision de ce décret. Nous avons eu le débat qui fut unanime pour une adaptation, mais point de révision. La question est-elle toujours à l'ordre du jour? Le nouveau conseil a-t-il l'intention de finir ce qui avait été commencé? Cela sera-t-il fait avant les prochaines échéances?
Gnia
Finalement l'astreinte salle des doléances quand on avait l'impression de gagner à chaque fois comme dans Questions pour un Champion, c'est pas si désagréable...

Quoique Odradek qui venait de quitter la Salle des Doléances, elle avait plutôt l'impression qu'il lui avait concédé ce point qu'elle ne l'avait gagné.
Etrange, comme à son habitude.

Un sourire amusé sans moquerie aucune accueillit Stamildon qui venait d'entrer et ses questions.


Stamidon, vous venez de me prouver ce que je soupçonnais. On reproche au conseil son manque de communication, mais lorsqu'il communique personne ne le lit ou ne l'écoute, ou alors bien mal.

Laissez moi vous relire les annonces faites par Donà Vanyel en date du 21 février de cette année.


Citation:
Décret comtal sur la validation des listes électorales

a) Lorsqu'un groupe de personnes désire se déclarer candidat aux élections comtales, la liste doit se présenter (Noms, Villages de résidence et dates d’arrivée en Béarn) d'abord sur la gargote béarnaise.

b) Le citoyenneté des candidats ainsi que leur casier judiciaire seront vérifiés par les services de la prévôté pour s'assurer de leur éligibilité.

c) La liste ne pourra être déposée officiellement au château [IG] qu'une fois obtenu l'accord du Comte en exercice, étant entendu que le Coms ne saurait refuser l'inscription d'une liste dont tous les candidats remplissent les critères d'éligibilité.

d) Une fois la liste déposée, il ne pourra être changé plus de Quatre (4) noms sur la liste présentée, étant entendu que les éventuels remplaçants doivent remplir les critères d'éligibilité. L’utilisation du nom d’une personne sur une liste sans son accord peut entraîner plainte et poursuite judiciaire contre le meneur de la liste en infraction.

e) Le non-respect des « lois électorales » précitées, et instituées comme telles dans la Coutume du Comté du Béarn entraînera des poursuites judiciaires de la part du Comté du Béarn contre les contrevenants et rendra les contrevenants, et les listes dont ils sont membres, inéligibles.

Adopté par le conseil
Signé par Agnès de Dénéré de Saint Just dicte Gnia, Comtessa do Bearn
Faict à Pau le 22e jour de Février de l'An de Grasce mil quatre cent cinquante huit.


Citation:
Béarnais, Béarnaises

Saludi e Patz !

Qu'il soit su de tous que le décret comtal concernant la validation des listes électorales modifié et affiché le 22e jour de Février de l'An de Grasce 1458 n'est pas applicable aux élections devant arriver à échéance le 8 mars de l'An de Grasce 1458.
La raison en est un simple de souci d'équité, que chaque liste désirant se présenter aux élections devant arriver à échéance le 8 mars de l'An de Grasce 1458 soit soumise aux mêmes contraintes.
Ainsi le texte datant du 11 Février de l'An de Pâques 1456 reste en vigueur jusqu'au 8 mars de l'An de Grasce 1458, date à partir de laquelle le texte du 22e jour de Février de l'An de Grasce 1458 entrera pleinement en vigueur.

Faict à Pau, le vingt-deuxième jour du mois de Février de l'an de grâce mil quatre cent cinquante huit.



Citation:
Loi de citoyenneté Béarnaise

Article 1 - Est citoyen Béarnais
* toute personne née dans une ville du Béarn et y possédant au moins une terre ou une échoppe.
* toute personne résidant depuis au moins 30 jours en Béarn et y possédant au moins une terre ou une échoppe.

Article 2 - Toute personne perd la citoyenneté Béarnaise si elle est reconnue coupable par la cour de justice Béarnaise.
Cette perte de statut citoyen est de 3 mois pour les cas de trahison et de haute-trahison, de 2 mois pour les cas de brigandage. Pour les cas de trouble à l'ordre public, d'escroquerie grave ou de récidive d'esclavagisme et de petite escroquerie, cette durée est laissée à l'appréciation du Juge et ne saurait excéder 2 mois.

Article 3 - Nul ne pourra prétendre à être candidat à des élections Municipales ou Comtales en Béarn sans avoir au préalable acquis la citoyenneté Béarnaise.

Une dérogation peut être demandée au Comte en exercice avant le dépôt de candidature et en place publique. Toute demande par un autre biais sera déclarée non recevable.
Un silence du Conseil Comtal de plus de 5 jours après la demande équivaudra à une acceptation tacite.

Adopté par le conseil
Signé par Agnès de Dénéré de Saint Just dicte Gnia, Comtessa do Bearn
Faict à Pau le 22e jour de Février de l'An de Grasce mil quatre cent cinquante huit.


Il me semble que cela répond à vos inquiétudes, n'est ce pas ?
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8, ..., 19, 20, 21   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)