Massai
Il était apparut quelques minutes plus tôt alors que Massaï prenait les candidatures des Cadurciens prêts à se mesurer en duel... Il n'avait fallut que quelques secondes pour réveiller la rage et la violence du bandit, celles qu'il tentait de maîtriser un tant soit peu lorsqu'il se trouvait ici, à Cahors... Celles auxquelles il aimait tant se laisser aller lorsqu'il écumait les routes...
Et voilà, il s'était retrouver dans l'arène, un peu plus tôt que prévu, l'épée au clair, les yeux mi-clos, la respiration saccadée, à jauger son adversaire... Il allait se livrer à son activité favorite... le combat... ce pourquoi il avait été "dressé" il y a si longtemps... mais si peu de gens étaient au courant de cela... Il n'était au fond qu'une machine à tuer... tellement bien formé qu'il avait finit par se rebeller contre ses "maîtres"...
Il se sentait enfin lui même, plus sauvage, plus agressif que jamais, comme attiré, attisé par l'idée du sang qui allait couler, il n'avait plus qu'une envie, tuer... tuer pour ne pas mourir, le seul et unique combat de sa vie... Le seul qui valait la peine d'être mener, et plus aucune règle n'existait, juste tuer, laisser sa colère, sa violence, son désir de vengeance et toute sa rage s'exprimer pleinement...
L'homme en face de lui n'avait aucune chance...il le savait, le sentait, ne le craignait pas... Tarrelian avait changé, sa force de jeune lieutenant de police semblait l'avoir quittée, il n'était plus que l'ombre de lui même...
Bien sûr, lui aussi avait vieillit, mais bien que ses cheveux jais avaient tendance à blanchir sur les tempes, il était resté fort, il avait entretenu sa forme lors de ses "campagnes de brigandage" où il courait les bois, se battait régulièrement et tuait de sang froid... Non il ne craignait pas le pauvre hère qui lui faisait face...
Et puis, il le savait, s'il devait mourir, alors ce serait ainsi... Il aurait vécu comme il l'avait souhaité, libre et sauvage... il mourrait de la même manière...
Il chassa cette idée saugrenue de sa tête... Non il tuerait Tarrelian, là, maintenant... Cela faisait trop longtemps qu'il en rêvait, personne ne lui gâcherait ce plaisir !
Il s'élança, l'épée brandie à deux mains, sur son adversaire en poussant un grognement de joie...
Meurs charogne !
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Et voilà, il s'était retrouver dans l'arène, un peu plus tôt que prévu, l'épée au clair, les yeux mi-clos, la respiration saccadée, à jauger son adversaire... Il allait se livrer à son activité favorite... le combat... ce pourquoi il avait été "dressé" il y a si longtemps... mais si peu de gens étaient au courant de cela... Il n'était au fond qu'une machine à tuer... tellement bien formé qu'il avait finit par se rebeller contre ses "maîtres"...
Il se sentait enfin lui même, plus sauvage, plus agressif que jamais, comme attiré, attisé par l'idée du sang qui allait couler, il n'avait plus qu'une envie, tuer... tuer pour ne pas mourir, le seul et unique combat de sa vie... Le seul qui valait la peine d'être mener, et plus aucune règle n'existait, juste tuer, laisser sa colère, sa violence, son désir de vengeance et toute sa rage s'exprimer pleinement...
L'homme en face de lui n'avait aucune chance...il le savait, le sentait, ne le craignait pas... Tarrelian avait changé, sa force de jeune lieutenant de police semblait l'avoir quittée, il n'était plus que l'ombre de lui même...
Bien sûr, lui aussi avait vieillit, mais bien que ses cheveux jais avaient tendance à blanchir sur les tempes, il était resté fort, il avait entretenu sa forme lors de ses "campagnes de brigandage" où il courait les bois, se battait régulièrement et tuait de sang froid... Non il ne craignait pas le pauvre hère qui lui faisait face...
Et puis, il le savait, s'il devait mourir, alors ce serait ainsi... Il aurait vécu comme il l'avait souhaité, libre et sauvage... il mourrait de la même manière...
Il chassa cette idée saugrenue de sa tête... Non il tuerait Tarrelian, là, maintenant... Cela faisait trop longtemps qu'il en rêvait, personne ne lui gâcherait ce plaisir !
Il s'élança, l'épée brandie à deux mains, sur son adversaire en poussant un grognement de joie...
Meurs charogne !
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