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[RP]Le Petit Musée Municipal de Clermont - Le Musée CAEDES

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Concours de peinture :







Quelle peinture vous preferez ???
"Hurricane de Noel" de Nordquay 18% [ 6 ]
"Lumière d'Automne" de Yanyan 0% [ 0 ]
"Abstrait" de Gnompom 21% [ 7 ]
"Un honneur bafoué" de Yanyan 3% [ 1 ]
"Sans Titre" de Aylla 9% [ 3 ]
"Sans Titre 2" de Aylla 6% [ 2 ]
"Un banc pour 2" de Bradley 39% [ 13 ]
"Le bonheur est dans la vie" de Ludoboy 3% [ 1 ]

Total des votes : 33


Ylalang a écrit:
Je décerne le premier prix à Bradley !!!

Bravo ! Belle oeuvre !!
---fromFRKurtWagner
Le Petit Clermont 1












---fromFRKurtWagner
Comment on sait quand est-ce qu'on accouche ? : La naissance de Taliesin

Kahlan a écrit:

Deux jeunes femmes se promenaient paisiblement non loin de Clermont, souriantes, leurs longs cheveux noirs flottant doucement sur leurs épaules, balayés par la brise printanière. Voilà longtemps que Ylalang et Kahlan ne s’étaient pas retrouvées à deux pour discuter tranquillement de choses et d’autres. Et pourtant, alors que la Champagne se divisait petit à petit, il devenait de plus en plus nécessaire de s’évader un moment, de s’occuper l’esprit à autre chose.
Surtout pour Ylalang. Kahlan voyait tout cela d’un œil extérieur et n’en était pas directement touchée. Mais Yla faisait partie du Conseil et était donc visée par les critiques de certaines mauvaises langues.

Mais en ce jour les deux jeunes femmes ne se souciaient de rien d’autre que d’elles-mêmes. Il y avait déjà tant à dire ! Kahlan s’amusait de voir Ylalang rougir quand elle lui parlait de Melani, et éviter soigneusement les questions qui n’avaient de toutes façons pas besoin de réponse. Kahlan voyait bien que derrière ce masque fatigué se cachait un amour profond mais réservé qui lui rappela ses premiers pas avec Hurricane.

Les deux amies rentraient sur Clermont quand Ylalang… :


« J’ai envie d’une pomme ! »

Kahlan la regarda d’un drôle d’air et éclata de rire.

« C’est pas la saison. A la rigueur au verger tu trouveras des cerises…
-Bonne idée, on va faire un tour au verger ? »

Kahlan suivit sa belle-sœur, ravie de la voir aussi pleine d’entrain. Par cette belle journée, elles n’étaient pas certaines de trouver un arbre libre, et encore moins des cerises : il n’y a pas plus voraces que les oiseaux. Surtout lorsqu’il s’agit de cerises.
Mais il y avait bien un cerisier sans cueilleurs ! Un peu à l’écart des autres, solitaire, abandonné, plus petit et décharné que les autres… (snif) mais parfait pour rassasier la faim (ou plutôt la gourmandise). Yla ramassa une échelle qui traînait dans le coin (en haut à droite du verger, y’a souvent des échelles abandonnées…) et monta rapidement à l’arbre :


« T’en veux ? cria-t-elle de son perchoir.
-Avec plai… »

Et Kahlan se reçut une poignée de cerises sur la tête. Toutes plus ou moins mûres, en plus. Elle grommela en essuyant la tâche rougeâtre qu’avait laissée une cerise trop mûre, justement, sur sa robe blanche.

« Ça va, tu les as eu ? hurla Yla, sans prendre la peine de regarder en bas.
-Ben oui, en général, quand tu lances quelque chose, ça tombe. Marmonna Kahlan en ramassant les fruits.
-Quoi ? brailla Yla. Parle plus fort, les merles piaillent trop fort, en haut !
-Ils ne sont pas les seuls…
-Quoi ??!!! »

C’est à ce moment là –alors qu’elle était en train de se goinfrer de cerises– que Kahlan ressentit une violente douleur au ventre qui la fit hoqueter de surprise et se plier en deux. Son noyau fut éjecté à la vitesse de la lumière.
Yla était en train de redescendre quand elle vit son amie en train de grimacer.


« Qu’est ce qu’il y a ? Tu n’aimes pas les cerises ?
-Si, mais apparemment mon estomac ne les supporte pas. »

Kahlan prit la place de Yla sur l’échelle en entreprit de balancer allègrement les cerises qu’elle cueillait, jubilant en entendant les jurons de sa belle sœur qui les recevait sur la tête. Et puis, peu de temps après, la même douleur se fit sentir, comme un coup de poignard dans le ventre. Kahlan vacilla et perdit l’équilibre. Elle battit violemment des bras (croyant peut être que ça l’aiderait à se poser en douceur) et poussa un cri d’effroi en se sentant tomber en arrière.
Heureusement, Ylalang avait des réflexes, et elle amortit sa chute…non sans effort.


« Je préfère que ce soit les cerises qui me tombent dessus, figure toi ! s’indigna-t-elle. Qu’est ce que tu fabriques ? Ce n’est pourtant pas compliqué de tenir sur une échelle ! »

Kahlan se remettait lentement de ses émotions, écoutant à peine les plaintes de la jeune femme, son cœur battant à toute allure. Quand enfin elle eut repris une respiration normale, elle demanda à Ylalang, d’une voix blanche, une main posée sur son ventre arrondi :

« Comment on sait quand est-ce qu’on accouche ? »


Ylalang a écrit:
Ylalang resta une seconde interdite, ses yeux d'améthyste s'écarquillant de surprise.

Eh bien en général quand on se pose la question c'est que ca y est... Je pense qu'on devrait penser à rentrer chez toi, ca sera plus agréable sur un lit que sur le sol.

Elle se releva et aida Kahlan a faire de même. Elle la vit grimacer et elle dut réprimer un accès de panique. Elle se força à dissimuler son inquiétude et sourit à Kahlan tandis qu'elles rentraient vers la maison. Les regards des villageois se posaient sur elles avec curiosité, semblant comprendre qu'aujourd'hui serait un grand jour.

Arrivées à la maison, Kahlan alla s'allonger sur le lit, tandis qu'Ylalang essayait d'analyser la situation.


Je pense que nous disposons de temps avant que tu n'accouche proprement dit, je vais te faire couler un bain chaud, ca aidera à te détendre, pendant que j'irai chercher chez moi de quoi apaiser les douleurs...

Ylalang s'affaira pour faire chauffer de l'eau dans une marmite posée sur le foyer de la cheminée... Au bout de quelques minutes, une baignoire d'eau chaude fumait dans la salle d'eau. Ylalang y jeta de la lavande et de la sauge qu'elle avait toujours dans sa besace, autant pour parfumer que pour aider Kahlan a se détendre. Elle aida ensuite la jeune femme à s'installer dans la baignoire.

Je reviens dans quelques minutes avec tout ce qu'il faut. Sois sage, et euh... attends moi !

Yla sortit presque en courant de la maison, traversant Clermont à toute vitesse comme poursuivie par les quatre cavaliers de l'Apocalypse.


Inca a écrit:
Inca avait décidé de passer sa journée dans sa taverne, le ménage était à faire. Elle prenait un moment de repos , sur la terrasse, appuyée sur son balai quand elle vit passer Yla, telle une jument en plein galop.

Yla que se passe-t-il ? Où vas tu aussi vite?

Yla tourna la tête mais ne ralentie pas , du coup Inca n'entendit rien et décida de la suivre, pour savoir ce qui agitait autant son amie.

Elle arriva chez Yla, celle ci cherchait visiblement quelques choses parmis ses fioles.


-Yla, tu peux m'expliquer ce qui te mets dans cet état ?

- Kalhan..... [/i]Dit Yla sans se retourner.

- Quoi Kalhan ? ..... mon dieu .... le bébé.... c'est ça ?

Inca respira profondément , c'était pas le moment de paniquer. Elle aida Yla et elles repartirent ensemble chez Klahan.


KurtWagner a écrit:
Kurt prenait le soleil devant sa taverne, pensant a la bonne bière qu'il pourrait boire quand il le souhaitait... posséder sa taverne avait du bon en cette saison !

Il fit étonné de voir courir Yla, et encore plus étonné de la voir repasser dans le meme sens avec Inca... comme un tavernier se doit d'etre au courant des nouvelles de la ville, et il se décida a les suivre..

Il était arrivé devant la maison de Kahlan quand Inca l'arretta.


"Affaires de femmes" lui dit elle

Il soupira en comprenant ce qui se passait, et se proposa pour garder la maison et éloigner les curieux qui ne ferait que perturber l'efficacité de ses trois femmes.


Ylalang a écrit:
Ylalang éparpilla le contenu de son baluchon sur la table et commença à selectionner diverses fioles. Elle s'aperçut alors qu'elle avait oublié son mortier, et décida d'emprunter celui d'Hurricane dans son bureau.
Elle entendait Inca et Kahlan papoter dans la salle d'eau, tandis qu'elle préparait une mixture étrange.


Alors de l'extrait de bouton d'or, de reine-des-prés, de l'ecorce de saule...

Elle rajouta encore 2 ou 3 ingrédients et finit par obtenir une espece de pâte verte. L'odeur végétale qui en émanait était doucereuse, presque entêtante. Elle retourna à la salle d'eau pour voir ou en était Kahlan.


Kahlan a écrit:
Kahlan avait vu Ylalang revenir accompagnée d'Inca quelques minutes plus tôt et elle en avait été soulagée. Rester trop longtemps toute seule l'angoissait un peu...En fait, elle était terrorisée tout court.

Ylalang revint de la pièce d'à côté avec un bol rempli d'une chose verdâtre à l'allure absolument répugnante mais dont l'odeur enchantait les narines de Kahlan.


-Je dois avaler ça ?
-Contente toi de le mâcher.

Kahlan fit ce qu'on lui disait, avec un peu de dégoût. Mais si c'était nécessaire pour qu'elle se sente mieux...
Les trois jeunes femmes se mirent alors à parler de tout et de rien, afin d'apaiser le climat de tension qui régnait tout autour. Parfois des contractions se faisaient sentir, mais elles n'étaient pas vraiment douloureuses.

Cependant, il arriva un moment où les contractions se firent plus rapprochées, plus violentes, et la mixture de Yla n'était apparemment plus assez efficace pour les calmer.


-Je crois que je ferais mieux de sortir, ça devient insupportable, et...enfin...j'ai une impression désagréable...

Et Kahlan s'empressa de sortir de l'eau, aidée par ses deux amies, tout aussi fébriles qu'elle. Elle l'aidèrent à s'installer confortablement sur le lit. Kahlan était essoufflée et tremblante.

-Inca j'ai cru entendre Kurt dehors. Quand tout sera fini, j'aimerai que tu ailles lui dire d'aller prévenir Matt de la naissance. S'il te plaît...

Elle poussa alors un cri de surprise quand une dernière convulsion se fit sentir.


Hurricane a écrit:
Chevauchant tranquillement en direction de Clermont, Hurricane rentrait de la chasse. Sa jument avançait au petit trot, tandis que lui, son aigle posé sur le bras gauche, regardait dans le vague et profitait du passage du temps. Il était depuis quelques temps déjà revenu auprès de sa femme, et il coulait des jours tranquilles auprès d’elle.

Aux abords de Clermont, il constata une certaine agitation, mais ne s’inquiéta pas outre mesure, la ville étant toujours relativement animée. Une certaine appréhension s’empara de lui, cependant, lorsqu’il s’approcha de chez lui. Il y vit Kurtwagner, attendant on-ne-savait quoi, juste à l’entrée de la boulangerie. Nul besoin d’être devin pour comprendre ce qui était en train de se passer. Il força le rythme, lâchant son aigle dans les airs pour pouvoir saisir la bride de son cheval à deux mains, et arriva vers Kurt au grand galop. Le tavernier esquiva prudemment le nuage de poussière, reculant de plusieurs pas. Lorsque la brise vint chasser la poussière, on pu constater que Hurricane était déjà descendu de son cheval, et qu’il se dirigeait au pas de course vers sa maison…

Manquant d’enfoncer la porte, il fit irruption dans la chambre à coucher comme s’il voulait y surprendre quelque cambrioleur embusqué, en criant :


-Kahlaaaaaaaaan !!! Ca va ??

Devant l’air surpris d’Ylalang, d’Inca et de Kahlan, il se sentit un peu confus et retrouva en partie sa contenance.

- Ne t’inquiète pas, lui sourit Ylalang. Je lui ai donné quelques herbes, et tout semble bien se passer.

Rassuré, il acquiesça de la tête et vint se mettre à genoux au pied du lit, enserrant la main de sa femme dans la sienne, et déposant l’autre haut sur le front de la jeune femme, d’où quelques gouttes de sueur commençaient à perler. Il fixait à présent ses jolis yeux, et elle lui rendait son regard.

- Sois courageuse, ma belle. Je compte sur toi. N’oublie pas que tu auras dans quelques instants entre tes mains le fruit de notre amour… Et quand tu veux quelque chose, tu l’obtiens toujours… (L’expression de son visage changea, un sourire moqueur s’y dessina) J’ai épousé une vraie tête de mule.

Kahlan eût elle aussi un sourire, mais, soudain, celui-ci s’effaça, et elle sembla se contracter, voulant se plier en deux. Il la prit alors doucement dans ses bras, et la ramena petit à petit en position couchée :

- Reste couchée, tout ira bien.

Et il accompagna ces derniers mots d’un sourire reflétant tout l’amour qu’il pouvait éprouver pour elle, mais cachant également très mal l’appréhension qui commençait à s’emparer de lui.


Ylalang a écrit:
Ylalang laissa son frère réconforter un peu Kahlan, puis elle prit par les épaules pour l'aider à se relever.

Il serait sage, je pense, que tu ailles faire un tour en ville en attendant que ça se termine. Inca et moi auront bien assez de Kahlan à gérer sans qu'en plus tu sois dans nos pattes. Ne t'inquiete pas, on s'occupera bien d'elle...

Elle lui sourit pour atténuer le ton de commandement.

Allez, oust, dehors !

Elle poussa Hurricane hors de la pièce et referma la porte derrière lui. Il y avait des spectacles qu'un homme ne devait jamais voir concernant sa femme, l'accouchement en faisait partie...

Elle revint près de Kahlan et posa une serviette humide sur son front. Elle décida de lui redonner également un peu de sa mixture aux plantes. L'accouchement allait probablement se faire très vite, vu que Kahlan avait perdu les eaux dans la baignoire. Il fallait maintenant attendre que le petit être en elle accepte de sortir.


KurtWagner a écrit:
Kurt se poussa a temps pour éviter un Hurricane qui semblait avoir le feu au derrière.... Il sourit en pensant que cette réaction était décidément commune a tous les pères....

Mais puisqu'il était la pour éviter tous problèmes à Kahlan, il pouvait se permettre de quitter son 'poste de garde' et d'aller prévénir sa soeurette qu'un nouvel enfant allait naitre a Clermont.


Inca a écrit:
Inca regardait son amie, ce que Kalhan était en train de vivre faisait monter en elle une terrible angoisse.
Bientôt se serait son tour, Inca avait peur mais en aucun cas ne devait le montrer.

Et puis Yla était là , on pouvait lui faire confiance pour que tout ce passe bien.


Nyoma a écrit:
Nyoma était partie dans les bois quelques heures plus tôt, ne sachant que faire pendant cet après-midi ensoleillé. Elle y avait trouvé de jolies fleurs sauvages, qui embaumeraient surement la maison pendant un moment. Quand elle entra dans la ville à proprement dite, une étrange effervescence regnait. Bien que Clermont soit toujours en effervescence, aujourd'hui tout semblant différent. Les femmes chuchotaient entre elles, comme si elles avaient peur d'effrayer les mouches en parlant trop forts, et pratiquement aucun homme n'était dans les environs. Puis elle localisa le lieu de toutes les attentions: la maison de Kahlan. Nyoma savait que son amie était enceinte, et ne mit pas beaucoup de temps à comprendre se qui se passait. Elle lacha aussitôt son bouquet de fleurs, et se précipita dans la maison tout en essayant d'écouter pour voir si le travail avait commencé. Elle frappa doucement à la porte de la chambre d'où elle entendait trois voix. En ouvrant la porte, elle vit son amie en sueur, essouflée, et épaulée par deux de ses amies Ylalang et Inca. Ces trois dernières regardèrent en même temps la porte s'ouvrir sur une Nyoma quelque peu angoissée.
Ylalang :
Je croyais avoir dit que per...oh bonjour Nyoma...
Nyoma:Bonjour...je sais que je ne viens pas au bon momnet, mais quand j'ai compris ce qui se passait je me suis dit que je pourrais peut être apporter mon aide...
Ylalang:C'est très gentil de ta part mais malheureusement, pour l'instant, il ne nous reste plus qu'à attendre, et puis nous avons toute l'aide nécessaire. Mais va à l'église prier pour Kahlan et son enfant.
Nyoma:Oui...Bonne chance Kahlan. Fait nous un beau bébé.

Après un dernier sourire d'encouragement pour son amie, Nyoma sortit de la maison d'un pas lourd, légèrement mélancolique. A la porte de la maison, de nombreuses personnes attendaient le moment où on viendrait leur annoncer la venue de l'enfant, croyant que tout était déjà finit, des sourires se dressèrent sur les visages des villageois quand Nyoma sortit, mais elle démentit leur pensée. Tout en pensant à Kahlan, et à se qu'elle devait ressentir, elle se prit à penser qu'elle aurait aimé être à sa place. Alors elle se dirgea d'un pas vif vers l'église, plusieurs personnes se retournant sur son passage se demandant pourquoi elle était si agitée, et se dépêcha d'aller dans l'église, sanglotant doucement et priant pour que Kahlan et son bébé soient sains et saufs dans quelques heures. La cloche de l'élise sonna 15 heures, et nyoma était toujours agenouillée devant l'autel, serrant ses mains du plus fort qu'elle pouvait, plissant les yeux tellement elle priait fort, de grosses larmes de peur roulant sur ses joues...


Kahlan a écrit:
Kahlan ressentait de plus en plus une douleur constante. Quelque chose était en train de se passer. Elle entendait tout en sourdine autour d'elle, se concentrant sur ce mécanisme, à l'intérieur d'elle-même, qui lentement se mettait en place...

Ca y était...il voulait sortir, Kahlan le savait, son corps était en train de l'aider à s'extraire, à l'aide de contractions plus violentes. La jeune femme gémit, et elle entendit ses deux amies s'affairer à ses côtés, murmurant entre elles, lui donnant des conseils qu'elle entendait à peine.

Il fallait que ça cesse. Kahlan eut un dernier soupir de douleur, puis elle prit sur elle, voulant tout donner pour son enfant. Elle écouta alors attentivement les deux femmes qui la guidaient dans sa tâche difficile...


Ylalang a écrit:
Ylalang regarda Inca, qui regarda Ylalang. L'accouchement se passait plus vite que prévu, et les deux jeunes femmes pouvaient déjà sentir la tête du bébé pousser. Yla passa un linge humide sur le front de Kahlan pour la rafraichir un peu.

Bon Kahlan, à la prochaine contraction, tu pousses autant que tu peux, il est sur le point de sortir, et il faut l'aider un peu...


Kahlan a écrit:
Kahlan hocha la tête, les yeux fermés, le front ruisselant de sueur. Elle serra les lèvres et poussa de toutes ses forces, sentant peu à peu la fatigue la gagner.
Mais elle devait être forte, pour son bébé.

Aussi plusieurs fois elle poussa, criant parfois, aggrippant les draps, les déchirant même.

Le temps semblait s'être arrêté...Tout était si lent !


Ylalang a écrit:
Ylalang, aidée d'Inca, essaya de faciliter le passage de la tête du bébé. Au bout d'un moment, Kahlan eut une contraction plus violente et hurla tandis que la tête du bébé sortait.

Inca soutint la tête tandis qu'Yla encourageait Kahlan a pousser une dernière fois.


Kahlan a écrit:
Kahlan puisa dans ses dernières forces et poussa, sentant alors la seconde vie qui l'habitait depuis des mois la quitter subitement. Ce fut un soulagement mais en même temps quelque chose d'intensément brutal.


Ylalang a écrit:
Ylalang et Inca recueillirent le nourrisson dans un linge propre, tandis que Kahlan expulsait le placenta.
Inca prit une ficelle et la noua autour du cordon ombilical pour pouvoir le couper.

Ylalang, épuisée, essuya un peu le visage du bébé. Il était bien joufflu, et poussa un premier cri puissant, qui sembla résonner dans tout Clermont, tel un éclair de foudre s'abattant sur la ville.
Elle s'approcha de sa belle soeur et lui tendit le bébé qui vagissait, des larmes d'émotion dans les yeux.


Toutes mes félicitations mon amie, c'est un magnifique petit garçon.


Kahlan a écrit:
Kahlan ouvrit les yeux, et ils s'illuminèrent quand elle vit Ylalang tenant dans ses bras la chair de sa chair. Des larmes roulèrent sur ses joues, rendant flou le monde qui l'entourait, à l'exception de ce petit être encore tout fripé qui criait de frustration, déçu d'avoir été aussi soudainement retiré de son cocon si douillet.

Kahlan observa Inca et Ylalang nettoyer soigneusement son fils, se reposant, reprenant un souffle plus régulier. Son fils...cela était si étrange. Elle était maintenant mère, cela changeait tout ! Elle se sentait différente, bien plus différente qu'il y a quelques heures. Cela aussi, était étrange !

La jeune mère accueillit son enfant dans ses bras avec amour et tendresse. Il s'était arrêté de pleurer et avait même fermé les yeux. Tant mieux, se dit Kahlan, ça signifie qu'il se sent en sécurité finalement.
Elle pouvait le sentir respirer tranquillement, posé sur son coeur, et alors elle se remit à pleurer sans bruit, inquiète à l'idée qu'elle puisse le réveiller.

Ylalang et Inca la regardait en souriant, aussi émues que Kahlan l'était. Elles avaient parfaitement rempli le rôle qui leur avait été confié, et, d'une voix pleine de reconnaissance, Kahlan ne trouva qu'un mot à dire :


Merci.


KurtWagner a écrit:
Kurt n'avais pas pu parcourir beaucoup de mètres.... a chaque pas il avais été arrété par un Clermontois ou une Clermontoise a qui il racontait la nouvelle, et finalement, il entendit le cri de l'enfant nouveau né, ce qui le figea sur place, et il s'en retourna immédiatement voir si tout c'était bien.

Passant la tete par l'entrebaillement de la porte, il vit les larmes de Kahlan, et son sourire quand elle recut son enfant dans ses bras..


C'est un garcon lui chuchotta Inca en le voyant ainsi.

Kurt sourit en entendant cette heureuse nouvelle, et la propagea dans toute la ville avant d'arriver au manoir de sa soeur.

Tout essouflé, il se précipita vers elle et lui délivra son message


Ellaeusonbebecestungarconellevabien !

Comme Matt le regardait avec de grands yeux ronds, il se rendit compte qu'il avait été parfaitement incompréhensible, et se reprit donc :

Kahlan a eu son bébé ! C'est un garcon !!


Nyoma a écrit:
Vers 15H30 plus rien ne bougeait dans l'église, et l'on entendait que le souffle de Nyoma trouvler le silence de ce lieu sacré. Puis, quelques minutes passèrent, et elle entendit des gens qui hurlaient à tue-tête dans tout le village. Elle sut alors que tout était fini.
- Pitié Seigneur, dites-moi qu'ils sont tous deux en vie... s'il vous plait je vous en supplie...
Son visage était sec, elle pensait ne plus avoir de larmes à verser tellement elle avait pleuré. Après une dernière prière, elle sortit en courant de l'église, et se dirigea vers la maison de Kahlan. Elle alla vers l'entrée de la maison, et y parvint enfin au bout de plusieurs pardon excusez-moi. Elle entra alors tout doucement. Elle se dirigea vers la chambre de Kahlan , où elle n'enetendait plus aucuns sons. Elle poussa tout doucement la porte, et vit Kahlan, son enfant sur elle, qui avait l'air endormi, et Inca et Ylalang qui se tournèrent vers elle, le visage en sueur, l'air épuisées. Elles lui dirent en choeur :
-C'est un garçon !
Nyoma se sentait si heureuse, qu'elle sauta de joie, puis pleura quelques larmes, ses nerfs ayant lachés brusquement, toute la tension de l'après-midi se déversant par ses yeux. Puis, elle eut l'ipression de ne plus avoir de force, et puis...trou noir. Elle s'était évanouie, épuisée.


Inca a écrit:
Inca ne cessait de regarder Kalhan , son bébé dans les bras. Son amie avait souffert mais ce petit ange lui faisait visiblement oublier les souffrances qu'elle venait de vivre, vu le son visage rayonnant.

Kalhan, il est magnifique, je suis tellement heureuse pour toi et Hurricane.... mais où est il ? Quelqu'un l'a t il prévenu ?

Elle se tourna, interrogeant Yla du regard.


Ylalang a écrit:
Je vais m'en occuper.

Ylalang s'approcha de Kahlan, et saisit doucement le nouveau-né. Elle lui sourit tandis que celui-ci vagissait a qui mieux mieux, tout en regardant partout autour de lui. Elle sortit de la pièce le bébé dans les bras.

Elle se dirigea vers le salon, ou Hurricane attendait avec Atto Melani. Son frère semblait d'un calme olympien, mais Yla le connaissait suffisament pour savoir qu'il était mort d'angoisse...
Elle s'approcha de son frère, un sourire aux lèvres et lui présenta le nourrisson.


Tout s'est bien passé. Kahlan va très bien.

Je te présente ton fils.


matt a écrit:
Depuis qu'elle avait quitté le conseil de Champagne, Matthilde s'était réfugiée dans un premier temps sur la pierre tombale de son père... Elle pensait y rester et s'y endormir mais par un beau matin alors qu'elle ouvrait les yeux, un messager vint à elle pour lui montrer les nombreuses missives de soutien ... Elle décidait après lecture de rentrer et de préparer alors ses bagages... Soudain, elle entendit à la porte du manoir des bruits intenses... Elle se précipita alors vers le vestibule et vit son frère entrer en trombes...

Kurt !!! Qu'y a t-il ? Tes enfants ont un souci ?? Elle commençait à prendre peur puis soudain une fois qu'il eut marmonné puis prononcé plus paisiblement, elle compris qu'il s'agissait de Kahlan... Alors qu'il lui annonçait l'heureuse nouvelle, Matthilde eut un sourire nostalgique en songeant à l'époque ou elle avait promis à Kahlan d'être à ses côtés... Les temps avaient bien changé hélas...Elle s'empressa de prendre sa plume, de rédiger une petite missive de félicitations à l'attention de Kahlan et pris un petit paquet dans lequel se trouvait un petit objet qu'elle avait elle-même pris soin de tailler dans la forge, son métier d'origine enseigné par son propre père... L'objet était taillé dans un or très fin et un ange y était sculpté

Kurt, prends cette missive s'il te plait, transmets là à Kahlan, je n'aurai pas la possibilité de me rendre chez elle, de plus elle doit être suffisamment entourée à présent, je ne vais donc pas imposer une présence supplémentaire.

Prends également ce petit présent, je sais que Kahlan et son époux ne sont pas croyants mais à mon sens la valeur n'est pas dans l'effigie mais dans le plaisir que j'ai pu avoir à le façonner...

Kurt pris tout ce que sa soeur venait de lui remettre pour Kahlan, elle lui offrit de quoi se rafraichir et lui dit qu'il n'y avait aucune hâte à faire le chemin inverse. Il pourrait les lui remettre lorsque bon lui semblerait...


Hurricane a écrit:
Ylalang avait vu juste : il semblait d'un calme olympien, effectivement, mais ce n'était que la terreur qui le figeait. Atto tentait de lui faire la conversation pour le réconforter, mais l'accent italien, pourtant si chantant, ne parvint pas à le détendre. Il comprenait qu'on l'ait mis à la porte, mais il aurait tellement voulu être avec sa femme... Il ferma les yeux un instant et tenta d'imaginer la scène... Ylalang et Inca s'affairant, Khalan... souffrant... Comme cette situation était paradoxale. Souffrir pour mettre les enfants au monde... Les aristoteliciens considéraient cela comme une malédiction divine, c'était une façon de voir les choses... Mais à la vérité il devait s'agir comme toujours de rétablir un équilibre. On ne pouvait éprouver l'immense joie que procurait la naissance d'un enfant, qu'en en payant le prix par ailleurs...en souffrant physiquement.

Ses paupières, déjà fermées, se crispèrent à l'évocation de cette souffrance. Comme cela lui était intolérable, de savoir Kahlan en train de souffrir et de ne rien pouvoir y faire... pire, de devoir se convaincre que c'était nécessaire qu'elle souffre...

L'angoisse était en train de devenir intolérable, lorsque, malgré la porte de la boulangerie fermée, il entendit Kahlan crier. Atto cessa de parler. Il envisagea un moment de s'engouffrer à nouveau dans la maison comme il l'avait fait quelques temps plus tôt, puis il entendit un autre cri... pas celui de Kahlan, ni encoire moins celui de Inca ou d'Yla... la voix était ronde, et si puissante... il ne pouvait s'agir que de... l'enfant.

Il était père. Son esprit, encore une fois, se mît à vagabonder : il s'imaginait avec un nourisson dans les bras, puis avec un jeune enfant courant autour de lui. Enfin il se vît prendre dans ses bras un adulte... et oui, cela allait arriver, un jour. Le temps allait faire son oeuvre désormais, la puissante machine de la vie était en marche. En quelques fragements de secondes, il avait imaginé vingt ans de son futur ; il fût pris d'un léger vertige, lorsque le cri qu'avait poussé Kahlan le tira de sa réverie. L'enfant, à n'en pas douter, était sain, sinon il n'aurait pas crié de la sorte. Mais elle ? La... mère ? Comment allait sa Kahlan ? Elle lui avait offert le plus beau des cadeaux du monde, mais ne l'avait-elle seulement pas payé trop cher ?

Encore une fois, il eût l'intention de se précipiter sur la porte de la boulangerie, mais ce fût sa soeur qui cette fois l'en dissuada. Elle était en train de sortir, et mît fin à ses craintes de quelques mots. Son coeur cessa de bondir, mais seulement pour quelques instants.

"Je te présente ton fils."

A ces mots, il baissa les yeux par réflexes. Ils rencontrèrent d'abord une petite masse ovale de linge blanc. Il s'approcha, fébrile, et découvrit de son doigt le visage du nourisson. Une petite tête se tourna vers lui et de grands yeux le fixèrent comme emprunts de surprise... Bien qu'il s'attendait à voir ce qu'il voyait, Hurricane, lui non plus, ne pût s'empécher de ressentir une sorte de surprise. C'était bien plus que son fils qui posait ses grands yeux sur lui ; c'était son espoir, son destin, en somme une nouvelle raison d'être... d'un demi-mêtre et de quelques kilos, linge compris. Il était impressionnant de constater que cette petite chose, qui semblait si fragile, possédait déjà sur lui tout l'ascendant de sa mère... en un mot, il s'était, en croisant ce regard, mis à les aimer tous les deux tout autant, lui qui, il n'y a qu'une minute, ne voyait le monde que dans le mirroir des yeux de Kahlan. Subitement, le cours de la vie ne dépendait plus de la régularité d'un, mais de deux souffles.

Il s'avança encore vers sa soeur, qui, tout sourire et les larmes aux joues, lui tendit son enfant. Autant elle avait instinctivement su comment le caler au creux de son bras, procurant peut-être au passage à Atto un sentiment de tendresse, pensa Hurricane, autant lui ne savait pas trop comment s'y prendre pour attraper le petit. il tendit les mains, les tourna dans un sens, puis, se ravisant, les tourna dans l'autre, et finit par les mettre sous les petits bras, qui, déjà, se tendaient vers lui dans une mimique bizarre. Il ramena le nourisson contre son torse, contemplant encore un instant la profondeur de ses yeux démesurés, il finit par souffler :


- Bienvenue... Taliesin...

Pris d'une soudaine envie de crier ce prénom, il saisit l'enfant fermement par les aisselles, et, le portant jusqu'au dessus de sa tête et se tournant vers les quelques personnes qui se trouvaient là, et qui le regardaient l'air émus, il répéta :

- TALIESIN !!

Reconnaissant ainsi son enfant à la manière dont les gens de son pays d'origine avaient coutume de le faire, c'est à dire en le brandissant bien haut au-dessus de leur tête. Le petit gesticula un moment, si bien que Hurricane le ramena tout contre lui, puis, le regardant toujours, s'engouffra dans la maison pour le rendre à sa mère, et lui dire au passage combien il l'aimait.


gnompom a écrit:
Gnompom avait vu galoper Kurt qui lui avait annocer la nouvelle sans retourner, ça avait donné une réponse incompréhensible:
Kahlan est chez elle avec Yla et Inca, elle vient d'accoucher et c'est un garçon

Gnompom décida alors de rendre une petite visite à ses amis.

Il frappa doucement à la porte et Inca vint lui ouvrir:


Elle est dans la chambre au bout du couloir.

Gnompom passa la tête dans l'entrebaillement de la porte, ragarda Kahlan et lui dit:

Il parrait qu'un être presque aussi parfait que moi est venu au monde, je voulais donc féliciter mon amie qui l'a mis au monde.

Il s'approcha d'elle et l'embrassa sur le front:

Alors vous avez décidé de l'appeler Gnom ou Pom?

Kahaln sourrit, mais avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit, tous deux entendirent un cri venant de la maison:

TALIESIN

Gnompom horrifié, demanda:

Me dit pas que c'est le prénom que vous avez choisit? le pauvre vous avez décidé qu'il partirait avec un handicap ou quoi?

Je plaisante bien entendu, je vais te laisser te reposer et dire à ton mari de te ramener ton bébé au lieu de le secouer en criant son nom partout, mon dieu qu'il doit être ridicule.

La dernière phrase fit sourire kahlan, elle devait elle aussi imaginer Hurricane.


Ylalang a écrit:
Ylalang leva les yeux au ciel, mimant un profond desespoir en entendant les paroles du Maire. Puis elle lui fit un clin d'oeil moqueur.

Bon allez oust ! Laisse Kahlan se reposer, si il y a bien quelqu'un qui a travaillé aujourd'hui c'est elle. Va te saouler à la taverne pour feter ça, tu excelles dans ce genre de performance !

Elle le prit par l'épaule et le mit dehors sans autre forme de procès


Hurricane a écrit:
Quelques jours plus tard, Hurricane vint rencontrer son ami Gnompom à la mairie, travaillant sur le bureau qui fût il n'y a pas si longtemps le sien. Après avoir écouté plusieurs bons mots et quelques jérémiades, Hurricane parvint enfin à exposer l'objet de sa visite :

Je te donne ceci ; c'est pour les archives de la ville

Et il lui tendit un billet sur lequel était écrit, d'une encre très noire :

Citation:
Moi, James "Hurricane" O'Dana, Seigneur de Clément, je reconnais l'enfant né à Clermont ce 5 juin 1454, de Kahlan, sa mère, et prénommé "Taliesin", comme étant mien et mon unique héritier.

H.d.C.


KurtWagner a écrit:
Quelques jours s'était écoulé, et Kurt se décida a donner le cadeau de Matt à Kahlan... Elle devait etre reposée de toutes ses émotions maintenant !

Il prit le paquet de Matt, n'oublia pas la lettre, et se dirigea tranquillement vers la maison des nouveau parents.

Il frappa doucement pour ne pas réveiller un éventuel jeune dormeur, et Kahlan lui ouvrit, souriant en le reconnaissant.

Entrant dans la maison, il lui confit la lettre et le présent, en s'excusant du léger retard qu'ils aveient eu, expliquant trés sérieusement qu'ils étaient du aux grèves dans le service de distribution de courier spécialisé dans le Clermont-Clermont.


Kahlan a écrit:
Kahlan lut avec empressement le message de son amie Matt, ravie de voir qu'elle avait pensé à elle.

Elle tira de l'enveloppe un objet délicat, doré, représentant un ravissant petit ange. Kahlan sourit de contentement, pensant au temps que Matta avit dû passer pour façonner unobjet aussi minutieux. Il méritait qu'on lui attache de l'importance, surtout que c'était un cadeau d'une de ses plus chères amies.

Hurricane perçerait la figurine afin d'y passer une chaîne, et Taliesin la portera autour du cou...


Kahlan a écrit:
Fin du RP. Merci à tous ceux ayant participé. Vous avez fait de Kahlan une mère heureuse.
---fromFRKurtWagner
Le Petit Clermont 2








































---fromFRKurtWagner
Grande Course de Cochon n°6 Partie 1


gnompom a écrit:
Grande course de Cochon organisée par la mairie de clermont, elle aura lieu la semaine du 15 mai, les inscriptions sont donc acceptées jusqu'au 14 mai.

Tous les participants sont les bienvenus, qu'ils soient éleveur de cochons ou non, les non clermontois sont aussi acceptés.

Les règles pour ceux qui ne connaissent pas encore suivent, je vous souhaite à tous de trés bons entrainements, je rappel que les Bonus sont toujours acceptés, si vous ne vous rappelez plus du palmarès de votre cochon, je pourrez vous le rappeler.


Règles de base:
Une course de cochon se fait sur une distance de 150 mètres.
La course va se dérouler en plusieurs tours, à chaque tour les cochons jettent 5 dés, le résultat obtenu correspond au nombre de mètre parcouru par le cochon. (babe lace 5 dés et fait 16, il avancera de 16 mètres)
Le vainqueur est bien entendu le cochon qui passe en premier la ligne d’arrivée.

Obstacles :
La course aurait été trop facile sans obstacle, c’est pourquoi au mètre 50 se trouve une marre de boue, où les porcs auront une inexplicable envie de se vautrer et donc perdre du temps.
Arrivé à la boue, chaque cochon devra jeter un dé pour savoir s’il s’arrête ou pas.
Entre : 1 et 3 il s’arrête et repart au prochain tour, 4 et 6 il continu son chemin comme si de rien n’était.
(exception pour le cochon nain plus intelligent : 1, il s’arrête, 2 à 5 il continu, 6 il prend de la vitesse en maîtrisant une glissade et augmente la distance restant à parcourir de 5m, et pour le cochon rapide qui continue en faisant minimum 5)

expl : babe est à 12m de la boue, il lance les dés et fait 18, c’est un cochon bourrin donc il avance de 12 jusqu’à la boue, lance un dé et fait 2, il s’arrête là jusqu’au prochain tour et perd donc les 6m qu’il lui restait à parcourir sur ce tour.

Un second obstacle est placé au mètre 100, les mangeoires, qui risquent fort d’altérer la course des cochons.
En effet, tout cochon qui aura le malheur de s’arrêter repartira qu’au prochain tour et finira la course avec 3m en moins à chaque tour, arrivé là chaque cochon devra encore lancer un dé et suivre le même principe que précédemment.
Même cas particulier pour le cochon nain, sauf qu’il ne prend pas de vitesse avec 6 mais ne compte plus de mètres de pénalités.
En revanche les cochons rapides ont plus de chance de s’arrêter, ils s’arrêtent entre 1 et 4 il leur faut 5 ou 6 pour continuer.


Différentes races disponibles :

4 types de cochon seront acceptés, ils ont chacun des avantages et des inconvénients.
A vous de choisir la race que vous trouvez la plus avantageuse, mais les apparences sont souvent trompeuses.

Catégorie des cochons intelligents: les cochons nains

Apparences : Oreilles courtes et pointues, queue droite avec un petit plumeau au bout (pas de queue en tire bouchon), ventre bedonnant, groin assez court. Robe : noire, rose, gris ou marron.
35 à 60 kg pour de 35 à 55 cm au garrot pour un adulte.
Intelligents, curieux et explorateurs dans l'âme, ils ont des personnalités variées.

Caractéristiques : cochon intelligent, donc il aura moins de chance de perdre du temps aux obstacles (cf . obstacles), il évitera avec facilité les bourrades du cochon bourrin.(cf. cochons bourrins)
En revanche, de part sa petite taille, il perd en vitesse et donc perd 2m à chaque tour.

Catégorie des cochons bourrins: les Large white

Apparences : C'est un porc de grande taille, au corps allongé parallélipédique, aux oreilles dressées, aux membres forts et rustiques. La robe est uniformément claire, blanche, sans aucune tache, avec des soies blanches sur une couenne blanche. La hauteur au garrot est de 80 cm pour les femelles et 85 cm pour les mâles ; le poids adulte est respectivement de 280 et 320 kg;

Caractéristiques : de part sa carrure et son agressivité, le bourrin est un cochon qui se laisse que très peu doubler, les cochons qui tenteront de doubler un bourrin, se verront éjecter 3m derrière ce dernier.
Condition de réussite : à chaque fois qu’un cochon tentera de doubler un bourrin, un dé sera lancé :
S’il s’agit d’un cochon nain : il faut faire 6 pour réussir la bourrade (sinon il évite l’attaque et poursuit sa route)
S’il s’agit d’un autre cochon bourrin : il faut faire 5 ou 6 pour réussir la bourrade (sinon il résiste à la charge et continu)
S’il s’agit d’une autre race : il faut faire 2.3.4.5.6 pour réussir la bourrade (sinon le cochon résiste et continu normalement)
Cependant, si plusieurs cochons tentent de doubler, le bourrin aura une chance de moins à chaque cochon. (si 3 cochons veulent doubler, il faudra faire 2à6 pour charger le premier, 3 à 6 pour le second et 4 à 6 pour le troisième et ainsi de suite.)

Catégorie des cochons rapides: les culs noirs du limousin

Apparences : c'est un porc coureur, très vif, très alerte, habitué à chercher sa nourriture dans la nature. Il est de couleur blanche avec des taches noires plus ou moins larges.
150 à 200 kg pour de 55 à 70 cm au garrot pour un adulte.
Caractéristiques : de part sa nature athlétique, le rapide est un cochon qui a +2m à son jet de 5 dés, à chaque tour.
En revanche, il se fait facilement bousculer par le bourrin et tombe facilement dans le piège du mangeoire (cf. obstacles)

Catégorie des cochons belges: les piétrains

Apparences : c'est un porc de taille moyenne, caractérisé par sa croupe rebondie. La robe est blanche tachetée pie noire.
C'est une race qui a une musculature exceptionnelle, hypertrophiée, avec très peu de gras.
Ce cochon est en revanche sujet à un stress violent pouvant amener le porc à périr de mort subite par « crise cardiaque du porc ».
200 à 250 kg pour de 65 à 75 cm au garrot pour un adulte.

Caractéristiques : grâce à ces aptitudes musculaires exceptionnelles, le belge aura beaucoup de chance d’être rapide.
S’il fait un score supérieur ou égale à 23, alors il avancera de trente mètres .
Cependant, s’il fait un score inférieur ou égale à 10, le stress perturbe la bête et la fait tombé dans les pommes.
(cas exceptionnel : 5, le cochon meurt d’une crise cardiaque ; 30, le cochon se sent pousser des ailes et avances de 35m)
S’il fait 5 ou 6 en tentant de doublé un bourrin, le belge résiste à la charge.


Voilà en espérant avoir été assez clair, il vous suffit maintenant pour participer de remplir la fiche d’inscription présente ci-dessous :


Fiche d’inscription à la course de cochon :

Catégorie du cochon :

Nom :

Poids :

Taille :

Palmarès :



gnompom a écrit:
il y a 33 cochons inscrits

Wiz
kalie
Wotan
Bulle d'ozer +3
La bouse
Malo ku
Riri le normand +1
Wat
Oolon
Toramal
Cixi +1
Nouf-Nouf
Roseline
Yanyounet +1
Fritus +2
Grouin 1er +1
Cochonou
Garbancito +1
Jolly pig
El jambono
Hebus
Foudre
Fuster
Tarak
Joffrey
Babe
Jo
Terminatruffe
Bipbip
Taquilla
Wawan +1
Jean-Pierre +2
Pecket

Dont:
10 nains
4 belges
10 bourrins
8 rapides


gnompom a écrit:
Bonjour à tous, nous sommes réunis aujourd’hui pour la sixième course clermontoise de cochons.
33 cochons participent venus de Clermont, Argonne, Troyes et Compiègne.
3 Courses de 11 cochons vont avoir lieu, où les 5 premiers vont être qualifiés pour une grande finale à 15.

C’est maintenant l’heure de la première course qualificative, le tirage au sort a été en faveur des cochons rapide, car ils n’auront aucun cochon bourrin pour les inquiéter sur cette course.
On retrouve ainsi notre grande favorite, Bulle d’Ozer 5 fois finalistes, 3 fois sur le podium et elle a gagné la plus grande des courses qui avait réunit des cochons de toute la Champagne.
On trouve aussi Riri le normand, Yanyounet et Grouin 1er qui ont tous trois terminé une fois sur le podium.

On peut reconnaître Nouf-nouf, souvent participant rarement qualifié, les autres participent pour la première fois :
Joffrey un argonaute, Foudre, Kalie, Hebus, Cochonou et Labouze.

Les propriétaires placent leur cochon sur la ligne de départ, les cochons expérimentés ne posent aucun problème, alors que les petits nouveaux courent dans tous les sens en poussant des GROUIC, poursuivis par des fermiers poussant des COUIC-COUIC.

Je ne vous cache pas que la foule est déjà morte de rire, même si nous n’aurons pas la chance de voir de jolies charges aujourd’hui, le spectacle risque d’être au rendez-vous.

Le calme est enfin revenu, les cochons sont alignés sur la ligne et Kurtwagner va enfin pouvoir donner le départ, il sort une corne de brume rutilante et souffle le plus fort possible.

Les cochons partent en trombe, Yanyounet, Cochonou et Nouf-nouf prennent tout de suite les devants de la course suivis de près par Foudre, Bulle et Grouin 1er.
Viennent ensuite Riri et Hebus, les 3 nains débutants semblent en revanche surpris par se son assourdissant après lequel tous les autres sont partis. Le propriétaire de Joffrey s’est de nouveau mis à poursuivre son cochon pour le faire avancer, ce qui à l’air de marcher puisqu’ils se sont finalement tous mis à courir.

Yantounet : 24m
Nouf : 24m
Cochonou : 24m
Foudre : 22m
Bulle : 22m
Grouin 1er : 21m
Riri : 20m
Hebus : 19m
Kalie : 15m
Labouze : 14m
Joffrey : 14m


gnompom a écrit:
Tout le monde s’observe, personne ne semble vouloir prendre la course en patte, mais Ririr remonte très fort, pendant ce temps Joffrey se promène, il vient à l’instant de s’arrêter manger une pâquerette.
Les 5 cochons nains ferment la marche alors que Riri continue encore à doubler un à un les cochons qui le précédaient, c’est incroyable après un bon au dessus de Grouin, il prend l’intérieur pour dépasser Bulle, IL PAS’ COCHONOU EN LE PRENANT DE VIT’S, C’EST EXCEPTIONNEL, C’EST AU TOUR DE NF-NF D’S F’R D’BLER , MCFANTSTK KL FOEN MHMLJGGR PRF FKV …………………
RMMMMh RMMMMh, excusez moi, je ne me contrôlais plus, tout ça pour dire que Riri a pris la première place grâce une vitesse prodigieuse, je bois un verre d’eau et je cous commente la suite.

Riri : 47m
Yantounet : 43m
Nouf : 43m
Bulle : 43m
Cochonou : 42m
Foudre : 41m
Grouin 1er : 35m
Kalie : 34m
Hebus : 32m
Labouze : 32m
Joffrey : 22m


gnompom a écrit:
Riri continue sur sa lancée alors que la foule est en délire, il bondit par-dessus la marre de boue et poursuit sa course vers la ligne d’arrivée, juste derrière lui Yanyounet tente de l’imiter, mais le saut est nettement moins impressionnant et le pauvre cochon prend un gros plat au milieu de la marre, quel dommage.
Nouf-nouf et Bulle en profite pour prendre la seconde et la troisième place, alors que Foudre, Kalie et Grouin passe à leur tour la boue sans souci.
Cochonou ne connaissant pas encore décide de faire une pause pour encrasser une peau trop nette à son goût.
Les nains Hébus, Labouze et Joffrey se promène en groupe, Hebus étant le cochon de l’organisateur fait office de guide aux deux cochons non clermontois.

Riri : 69m
Nouf : 66m
Bulle : 62m
Foudre : 57m
Kalie : 56m
Grouin 1er : 54m
Yantounet : 50m
Cochonou : 50m
Hebus : 48m
Labouze : 46m
Joffrey : 43m


gnompom a écrit:
Le commentateur est partie en courant, le tonneau de spécial à moité plein à côté du porte-voix, nous laisse penser à une pause pipi, nous pouvons d’ailleurs voir sa silhouette derrière l’arbre se trouvant au sud sud-ouest de la buvette derrière le chapiteau de départ.

Riri : 97m
Nouf : 83m
Bulle : 84m
Foudre : 75m
Kalie : 72m
Grouin 1er : 66m
Yantounet : 70m
Cochonou : 69m
Hebus : 64m
Labouze : 61m
Joffrey : 50m


gnompom a écrit:
Riri n’en finit pas de nous impressionner, il passe les auges de maïs sans même prêter attention à la nourriture, il est suivit de Bulle qui en truie expérimentée, fait pareil.
Nouf pour le plus grand malheur de Guylian s’arrête pour prendre une petite collation.
Cochonou et Foudre suivent derrière, ainsi que Yanyounet.
Viennent ensuite les cochons nains qui décidément du mal à avancer.
Joffrey ferme sans surprise la marche, il joue avec une petite fille qui lui donne des bout de pomme dés qu’il se couche, bizarre pour un cochon.

Riri : 117m
Bulle : 108m
Nouf : 100m
Cochonou : 97m
Foudre : 92m
Yantounet : 88m
Kalie : 86m
Grouin 1er : 84m
Hebus : 76m
Labouze : 75m
Joffrey : 66m

Riri continue sur sa lancée, mais il se fait rattraper par une Bulle des grandes courses, elle file à toute allure vers Riri, prête à en faire qu’une bouchée.
La bonne opération est pour Cochonou qui prend la 3ème place, Foudre a en revanche préféré s’arrêter manger, des nains seul Kalie a passé l’auge et se place en embuscade derrière les rapides.
Joffrey s’est décidé à rattraper les autres qui font toujours une belle visite guidée par Hébus, ils en sont aux tenues des pom-pom clermontoises d’un rose qui rendrait la vue à un non-voyant, nous pouvons d’ailleurs voir Ylalang et cixi habillées de la même façon, on se demanderait presque qui va concourir…………………………………………………….. excusez moi Dame Ylalang, je ne faisais que lire sans chercher comprendre un papier que venait de me remettre l’organisateur Gnompom qui vient d’ailleurs de partir en courant, votre tenue est très bien, rose mais très bien.

Riri : 138m
Bulle : 134m
Cochonou : 121m
Nouf : 115m
Yantounet : 112m
Kalie : 109m
Foudre : 100m
Grouin 1er : 98m
Hebus : 95m
Labouze : 89m
Joffrey : 85


gnompom a écrit:
Riri résiste au retour de Bulle est remporte cette première course qualificative, derrière Nouf repasse devant cochonou qui est suivit de yanyounet Kalie et Grouin, 2 de ses cochons n’auront pas la chance d’être qualifiés pour la finale, il est fort dommage qu’aucun bourrin n’est servit de juge dans cette course.
Les nains ferment toujours la marche avec Foudre qui a bien du mal à courir après avoir manger les 20 kilos de maïs qui se trouvaient dans une des auges, je n’ai jamais vu un être vivant engloutir autant de choses en si peu de temps, beurk.

Riri : premier qualifié
Bulle : seconde qualifiée
Nouf : 136m
Cochonou : 134m
Yantounet : 129m
Kalie : 124m
Grouin 1er : 123m
Hebus : 115m
Foudre : 113m
Labouze : 100m
Joffrey : 95

La fin ne réserve pas de grosses surprises, si ce n’est que Cochonou passe finalement devant Nouf et que yanyounet a bien résisté au retour des cochons nains.
Grouin finit 6ème et ne sera donc pas qualifié pour la finale, dommage un cochon aussi expérimenté aurait pu faire mieux.
Joffrey a su se ressaisir sur la fin pour passer devant Labouze qui n’arrive plus à avancer et Hébus qui s’est endormi, quand je pense qu’ils sont censés être des cochons intelligents….

Riri : premier qualifié
Bulle : seconde qualifiée
Cochonou : troisième qualifié
Nouf : quatrième qualifié
Yantounet : cinquième qualifié
Grouin 1er : 6ème
Kalie : 7ème
Foudre : 8ème
Joffrey : 9ème
Hebus : 10ème
Labouze : 11ème


gnompom a écrit:
Bonjour à tous pour cette seconde course qualificative, le ciel est bleu, les oiseaux chantent, Gab boit des bières et Kahlan pousse des cris attroces (il parait qu’elle accouche, mais je suis sûr que c’est la tenue vestimentaire d’ylalang qui la fait hurler comme ça).

11 nouveaux cochons vont s’affronter pour seulement 5 places qualificatives pour la finale, nous pouvons voir en lice :

Wotan
Oolon
Toramal
Cixi
Fritus
Garbancito
Jolly pig
Tarak
Jo
Terminatruffe
Bipbip

Parmis tous ces participants nous avons quelques prétendants au titre, comme Fritus déjà vaiqueur d’une édition, ainsi que Cixi et Garbancito, finalistes à de nombreuses reprises.
Mais je suis certains que les nouvelles têtes seront leur faire face et créer la surprise.

Le départ est imminent, les cochons grattent le sol de leur patte tandis que les propriétaires font leur dernière prière à Aristote.


gnompom a écrit:
Et c’est parti, Cixi montre tout de suite qu’elle n’est pas la pour faire de la figuration et elle prend tout de suite plusieurs mètres d’avance sur ces poursuivants.

C’est Jo qui prend la seconde place, alors que……mais il y a un problème sur la ligne de départ, il reste encore un cochon qui n’est pas parti, on me fait signe que c’est Fritus qui n’aurait pas supporter la pression d’une telle course et qui se serait évanoui.
Quel dommage pour lui, je pense que ça lui ôte toute chance de qualification.

Et malheureusement pour Jolly pig qui avait apparemment pris pour option de course de se mettre dans les pattes de Fritus, il n’a pas pu partir en même temps que les autres, car il s’est écrasé dans le postérieur de notre cochon belge.

Cixi : 25
Jo : 21
Garbancito : 20
Bipbip: 18
Tarak : 17
Oolon : 17
Toramal : 16
Wotan : 16
Terminatruffe : 11
Jolly pig : 6
Fritus : 0


gnompom a écrit:
Alors que Yanyan tente de réanimer son cochon à coup de pied et qu’Ylalang pousse à son tour des cris couvrant ceux de Kahlan en apprenant le bon départ de sa truie, la course continue.

Jo vient de passer devant Cixi qui suite aux cris de sa maîtresse, n’a plus regardé devant elle et n’a donc pas pu voir le nid de poule……je ne vous décris pas la chute, il fallait être là pour le croire.

Garbancito en profite aussi pour la dépasser, il tente même de prendre de vitesse Jo, mais ce dernier n’a pas l’air d’accord au vu du coup de dents qu’il vient de mettre dans le flanc du cochon rapide.

Après avoir dépasser tarak et Bipbip qui se poussaient mutuellement, Oolon fait un petit saut par-dessus Cixi, visiblement pour rigoler, car elle aurait très bien pu passer à côté.
Wotan double à son tour Bipbip un peu essoufflé par sa lutte contre Tarak.

En fin de course, on retrouve Fritus qui s’est enfin réveillé et qui est déjà revenu sur les retardataires Jolly pig et terminatruffe qui ont visiblement du mal à mettre une patte devant l’autre.

Jo : 45
Garbancito : 43
Oolon : 39
Cixi : 38
Tarak : 36
Wotan : 36
Bipbip: 34
Toramal : 33
Terminatruffe : 25
Fritus : 24
Jolly pig : 21


gnompom a écrit:
Jo continue sa course en tête, mais il n’est plus suivit par Garban qui a préféré se reposer un peu dans une boue fraîche et revigorante.
Il suivit par Cixi, fidèle de la boue, Tarak et Bipbip qui en revanche découvrent pour la première fois tous les biens fait d’une baignade.

Wotan en profite aussitôt pour prendre la seconde place suivit de prés par un Oolon de haut niveau.

Toramal semble se faire vieux pour ce genre de course et Fritus remonte petit à petit, obserons la suite.

Jo : 65
Wotan : 54
Oolon : 52
Garbancito : 50
Cixi : 50
Tarak : 50
Bipbip: 50
Toramal : 45
Fritus : 44
Terminatruffe : 43
Jolly pig : 38


gnompom a écrit:
Jo continue sa course en tête, ce doit être un cochon coupé entre une race rapide et bourrine tant il est rapide par rapport à son poids.
Un autre poids lourd de la course le suit à bonne distance, il s’agit de Wotan, derrière Cixi et Garbancito a qui belcro est en train de mimer la meilleure foulée à adopter pour cette course, font une belle remontée, puisqu’ils passent tous les deux devant le pauvre Oolon qui est distrait par une drôle de Clermontoise qui secoue des épis de maïs sur la ligne d’arrivée.

Sinon tout le monde se suit en fin de course, Fritus a finit par rattraper le gros des concurrents, alors que terminatruffe déjà loin des autres perd encre plus de temps pour faire quelques longueurs dans la marre de boue.


Jo : 88
Wotan : 76
Cixi : 71
Garbancito : 70
Bipbip: 67
Oolon : 64
Tarak : 64
Fritus : 64
Toramal : 63
Jolly pig : 53
Terminatruffe : 50


gnompom a écrit:
Jo n’en finit pas d’impressionner, il vient de passer les auges sans la moindre hésitation, tout comme Wotan, qui continue d’accélérer, se rapprochant ainsi du cochon en tête.

Garban et Cixi se bagarre pour la troisième place, le mâle prend l’avantage avant d’arriver sur le second obstacle, qui risque fort de les départager.

La suite de la course est beaucoup plus confuse, tout le monde se double à tour de rôle, on peut cependant noter que Bipbip a perdu un peu de temps en marchant sur Fritus qui essayait de le dépasser.

On peut désormais dire que la course est terminée pour Jolly et Terminatruffe qui sont trop loin maintenant pour espérer quoi que ce soit.

Jo : 107
Wotan : 101
Garbancito : 93
Cixi : 90
Tarak : 84
Oolon : 82
Bipbip: 81
Toramal : 80
Fritus : 79
Jolly pig : 73
Terminatruffe : 73


gnompom a écrit:
Très peu de changement, Jo est toujours devant, et Wotan le suit toujours.
Il faut noter que Garban a passé le maïs sans souci, tout comme Tarak.

Cependant, vous serez surpris d’apprendre que Cixi semble blessée, elle s’est tout d’un coup mis à boiter, ce qui permet aux poursuivants de la rattraper, quel dommage.

Le peloton reste toujours très groupé, ce qui empêche Fritus de remonter tant la piste est bouchée devant lui.

Jo : 128
Wotan : 118
Garbancito : 116
Tarak : 103
Cixi : 99
Oolon : 96
Bipbip: 96
Toramal : 96
Fritus : 94
Jolly pig : 90
Terminatruffe : 90


gnompom a écrit:
Jo est maintenant tout proche de la ligne d’arrivée et donc d’une qualifiacation, Wotan a en revanche fort à faire, il doit prendre le temps d’écraser Garban avant de pouvoir reprendre un rythme de course normal.

Tarak est lui aussi très bien placé pour se qualifier, en revanche la dernière place qualificative est très disputée Oolon, Bipbip et fritus qui vient de se faire pousser violemment par le cochon bourrin peuvent encore se qualifier, tout comme Jolly pig qui a fait une belle remontée.

Mais tout ce petit monde, profite de la blessure de Cixi qui s’est arrêtée au niveau des auges pour reprendre des forces, elle se tient seulement sur trois pattes pour manger, c’est donc bien qu’une de ses pattes la fait souffrir.
Ylalang la regarde toute de rose vêtue, la mine inquiète de la porte parole ne laisse présager rien de bon.

Jo : 147
Wotan : 140
Garbancito : 138
Tarak : 122
Oolon : 112
Bipbip: 112
Fritus : 110
Jolly pig : 109
Cixi : 100
Toramal : 100
Terminatruffe : 100


gnompom a écrit:
Et voilà Jo est vainqueur de cette seconde course qualificative, suivit de Wotan et de Garbancito, même si ce dernier finit la course en roulant suite à une cravate de Wotan.

Tarak n’est plus qu’à quelques mètre de la ligne d’arrivée, et c’est une surprise de voir que c’est Oolon qui prend de vitesse les autres qui sont il est vrai fortement ralentis par un Bipbip de plus violents, c’est une nouvelle fois Fritus qui en fait les frais.

Jo : premier qualifié
Wotan : second qualifié
Garbancito : troisième qualifié
Tarak : 146
Oolon : 133
Jolly pig : 126
Bipbip: 126
Fritus : 124
Toramal : 119
Cixi : 118
Terminatruffe : 114


gnompom a écrit:
Aucun changement jusqu’à la fin de la course, Tarak et Oolon gère leur position et se qualifient tous les deux.

Deux surprises ont donc eu lieu lors de cette course, il s’agit des mauvaises performances de Cixi et de Fritus, ce qui ouvre pour le moment toutes les portes à Bulle notre championne incontestée depuis la retraite de Sluggy qui vit des jours heureux sur le terrain de son regretté maître Edouard.


Jo : premier qualifié
Wotan : second qualifié
Garbancito : troisième qualifié
Tarak : quatrième qualifié
Oolon : cinquième qualifié
Jolly pig : 8ème
Bipbip: 6ème
Fritus : 7ème
Toramal : 11ème
Cixi : 9ème
Terminatruffe : 10ème
---fromFRKurtWagner
Grande Course de Cochon n°6 Partie 2


gnompom a écrit:
Nous voici tous réuni pour la troisième et dernière course qualificative, 11 nouveaux cochons vont s’affronter pour les 5 dernières places pour la finale.

Ainsi nous retrouvons J-P un des favoris, Wawan, Foudre, Wat, Maloku, Wiz, Babe prendre son temps pour le moment, Tequilla, Roseline, El jambono et Pecket.

Ils vont tous tenter de barrer la route à J-P qui a terminé sur le podium à toutes les courses aux quelles il a participé.

Le départ est sur le point d’être donné, dés que Notre vénérable boulius aura retrouvé le gong, ah oui on vient de le découvrir sous les fesses de notre ancêtre, et il donne le départ.

Sans surprise prend la tête de la course à la patte à patte avec Foudre, Babe et roseline tentent de suivre le rythme imprimé, tandis qu’un peloton se forme, mené par maloku avec Wat Wiz, Tequilla, Pecket et El Jambono.

Wawan a l’air de prendre son temps pour le moment, mais il est trop tôt pour commencer à s’inquiéter.

JP : 22
Foudre : 22
Babe : 21
Roseline : 20
Maloku : 18
Wat : 17
Wiz : 17
Tequilla : 17
El jambono : 16
Pecket : 16
Wawan : 15


gnompom a écrit:
Jp et Foudre sont toujours en tête, mais ce dernier se rapproche dangereusement de notre favori, et……… c’est incroyable, il vient de lui faire un croche-patte qui a envoyé le pauvre JP dans le public.

Babe et Roseline toujours l’un à côté de l’autre en profitent pour lui passer devant, tout comme Wawan qui a retrouvé ses pattes et Maloku qui semble en grande forme.

Wiz ne semble en revanche pas très bien, il tente de charger tout le monde, mais il ne touche personne et se retrouve bon dernier, que de temps perdu.

Foudre : 44
Babe : 39
Roseline : 39
Pecket : 38
Wawan : 37
Maloku : 35
JP : 34
Wat : 34
Tequilla : 31
El jambono : 31
Wiz : 30


gnompom a écrit:
Le premier obstacle commence déjà à faire ses victimes, Foudre n’a pas pu résister tout comme Babe Wawan et Jp, ils sont entrain de se couler les uns les autres, c’est un spectacle quelque peu étonnant, on dirait de vrais marcassins.

Roseline prend donc la tête de la course juste devant El jambono qui s’aide de la boue pour prendre de la vitesse, quelle technique impressionnante.

Derrière seul Pecket a pu passer la boue sans encombre, tous les autres sont encore devant cette dernière, Tequilla et Wiz se sont même arrêtés juste devant, vont-ils se laisser tenter ?

Maloku ferme la marche et tout ça pour s’être arrêté manger une pâquerette.

Roseline : 59
El jambono : 55
Pecket : 54
Foudre : 50
Babe : 50
Wawan : 50
JP : 50
Tequilla : 49
Wiz : 49
Wat : 47
Maloku : 46


gnompom a écrit:
Roseline n’en finit pas d’impressionner, elle court si vite qu’elle a déjà 17 m d’avance sur ses poursuivants.

En revanche, le reste des cochons se tiennent en quelques mètres, c’est Foudre qui mène la poursuite.

Oh mais tequilla semble vouloir prendre les choses en main et accélère, elle remonte tout le monde, elle arrive au niveau de Wiz, et…………….PAF, Tequilla viens de se faire marcher dessus par un Wiz rageur, espérons que cela ne laisse pas trop de séquelles.

Maloku est désormais loin derrière, il a finalement succombé aux multiples charmes de la boue clermontoise.

Roseline : 89
Foudre : 72
Wiz : 72
Pecket : 71
JP : 70
Tequilla : 70
Wat : 68
Babe : 66
El jambono : 65
Wawan : 63
Maloku : 50


gnompom a écrit:
Roseline passe le second obstacle, non sans perdre du temps en hésitation, ce qui permet à Foudre de revenir, ce dernier court a une vitesse terrifiante, il arrive aux auges, les passe, rattrape Roseline, freine d’un coup, retourne aux auges, et mange.

Tout ça pour ça, quel dommage.

C’est Wiz qui mène la poursuite, J-P aurait voulu prendre sa place, mais il s’est fait mordre par un Wiz qui ressemble de plus en plus à un sanglier par sa sauvagerie.

Les cochons se tiennent en 10m de la 3ème à la 10ème place, autant vous dire que tout le monde peut encore se qualifier, seul Maloku ne peut plus rien espérer.

Roseline : 105
Foudre : 100
Wiz : 91
Pecket : 89
JP : 89
Tequilla : 86
Babe : 84
El jambono : 81
Wat : 80
Wawan : 80
Maloku : 69


gnompom a écrit:
Roseline encore et toujours en tête, mais elle est maintenant juste devant Foudre.
Wiz, Pecket et JP ont passé le second obstacle sans hésitation, ce qui leur donne une bonne option pour la qualification. JP tente encore et encore de doubler WIz, mais à chaque fois il le remet à sa place, c'est-à-dire derrière lui.

Babe accélère d’un coup, il court vite, très vite, mais c’est visiblement pour arriver plus vite aux auges et se goinfrer de maïs, je ne sais pas qui est le propriétaire de babe, mais il faut penser à la nourrir, ce cochon est affamé.

Tous les autres se tiennent en 4 m à l’entrée du second obstacle, une fois passé, nous devrions voir qui pourrait se qualifier ou pas.

Roseline : 118
Foudre : 116
Wiz : 107
JP : 105
Pecket : 104
Babe : 100
El jambono : 99
Tequilla : 98
Wawan : 97
Wat : 95
Maloku : 81


gnompom a écrit:
Roseline et Foudre sont désormais sûrs de terminer aux deux premières places, tandis que Wiz JP et Pecket se rapproche de la qualifiacation, même si babe Tequilla et Wat sont encore en course.

C’est en revanche terminé pour El jambono et Wawan qui n’ont pas pu s’empêcher de faire une petite collation.

Roseline : 137
Foudre : 137
Wiz : 124
Pecket : 124
JP : 121
Babe : 115
Tequilla : 113
Wat : 110
El jambono : 100
Wawan : 100
Maloku : 97


gnompom a écrit:
Roseline et Foudre finissent très fort l’un derrière l’autre, derrière JP semble vouloir rappeler qu’il est un des favoris, il vient de laisser sur place un Wiz surpris qui se fait également doubler par Pecket.

Les cinq premières places ont l’air malheureusement déjà jouées, les 12 m d’avance de Wiz sur le sixième semblent lui assurer sa qualification.

Nous noterons tout de même la belle remontée de maloku, qui a su réagir mais trop tard.

Roseline : premier qualifié
Fuster : second qualifié
JP : 147
Pecket : 145
Wiz : 140
Tequilla : 128
Babe : 127
Maloku : 119
Wat : 116
El jambono : 112
Wawan : 110


gnompom a écrit:
Jp, finit la course tranquillement à la quatrième place, doublé sur la ligne par un Pecket ultra motivé.

Wiz, finit lui aussi la course en gérant sa cinquième place, c’est babe qui prend la moins bonne des places la 6ème.

Wawan finit très fort pour prendre la 7ème place, même si ça ne sert à rien.

Roseline : premier qualifié
Fuster : second qualifié
Pecket : troisième qualifié
JP : quatrième qualifié
Wiz : cinquième qualifié
Babe : 6ème
Wawan : 7ème
Tequilla : 8ème
Wat : 9ème
Maloku : 10ème
El jambono : 11ème


gnompom a écrit:
Nous connaissons désormais tous nos finalistes:

Yanyounet
Riri le normand
Bulle d'ozer
Cochonou
Nouf-Nouf
Wotan
Oolon
Garbancito
Tarak
Jo
Roseline
Fuster
JP
Wiz
Pecket







gnompom a écrit:
BOOOOOOOOOONNNNNNNNNJOUR CLERMONT,

Le ciel est bleu, les oiseaux chantent,la gargotte s’est transformée en champ de bataille, et tous les cochons sont dans une forme clermontique, autant dire que toutes les conditions sont réunies pour assister à une finale à rebondissement entre les 15 cochons les plus rapides de Champagne.

Je vais commencer par présenter tous les participants :

Les rapides :
Ils sont 7, on retrouve Cochonou, Yanyounet et Nouf-nouf qui ne se présentent pas en favori, mais qu’il faudra surveiller, Garbancito, Riri le normand et encore un cran au dessus Jean-Pierre qui sont des cochons que l’on devrait retrouver dans les premiers à la fin de la course.
Il nous reste Bulle d’Ozer la grande truie de cette course, elle a participé à toutes les courses, et a terminé quasiment à chaque fois sur le podium, elle est de loin la favorite des parieurs.

Il faut ce pendant noter que Jean-Pierre qui a dû suivre un entraînement ultra secret n’a jamais terminé en dehors du podium, il faut donc faire attention à son début de course.

Les bourrins :
Ils sont au nombre de 5 et vont tenter de casser les pattes aux rapides, on retrouve Jo exemplaire dans sa course qualificative, Tarak qui a dû faire une fin de course parfaite pour cette place en finale, Fuster qui a eu la chance d’avoir Roseline en point de mire, il a ainsi pu la suivre sans se poser de questions.

Wotan et Wiz sont également en course, se sont les cochons qui ont été les plus violents en qualification, surtout le second des deux qui connaît tous les coups les plus bas pour renvoyer ses adversaires loin derrière.

Les Nains :
Ils sont 2, Oolon et Pecket, le dernier à traverser presque tout le royaume avec son maître, autant vous dire qu’il est bien entraîné, Oolon est plus méconnu ce qui pourrait lui permettre de créer la surprise.

Le belge :
Seul cochon de sa catégorie à s’être qualifié, Roseline n’a montré aucune faille pour remporter sa série, cette truie est à surveiller elle pourrait très bien venir chambouler la hiérarchie des cochons rapide.

Les présentations faites, tournons nous vers la préparation des cochons, on peut voir que Roseline et Golitor s’entendent à merveille, il se roule tous les deux sur le sol, belle image que certains croquistes n’ont pas manqué de dessiner.

J-P sous une cape identique à celle de son maître, j’ai appris fort récemment que pour faire courir son cochon plus vite, il l’aurait menacé de le nommer comme son fils, j’en ai froid dans le dos.

Jehanvp donne du pain énergétique de sa fabrication à Pecket, Bebel envoi des bouts de bois à Garbancito pour qu’il aille les chercher, mais visiblement le cochon se délecte de voir son maître y aller à sa place, on se demande qui fait jouer qui.

Bulle d’Ozer en championne s’étire les pattes dans de drôle de position pour un cochon, d’ailleurs je ne savais pas qu’un cochon pouvait mettre la tête entre ses pattes arrières, bizarre……

Wiz s’entraîne à mordre un morceau de caillou tout en chargeant un arbre, vu l’état de l’arbre je ne vous cache pas que je suis content de ne pas participer, Xzibit semble en revanche peu convaincu et demande à son cochon d’être encore plus violent.


gnompom a écrit:
Oolon semble…..je ne le vois pas très bien d’ici, à son propriétaire me fait signe qu’il dort, c’est une technique comme une autre.

Pucky raconte à Riri toutes les histoires familiales, à mon avis c’est un entraînement psychologique intense, si le cochon est capable de supporter mentalement cette épreuve, il sera capable de tout en course.

Fuster et Jo tous deux argonautes se poursuivent chacun leur tour pendant que joffrey demande des explications à Quasi pour le nom de son cochon.

Yanyounet est gentiment assis à côté de sa maîtresse, tout comme Yanyan d’ailleurs.

Tarak le représentant de Troyes suit les indications de Garshey qui semble avoir une stratégie bien particulière pour cette course.

Alors que voici les représentants de Compiègne avec Roseline bien sûr, Cochonou et Nouf-Nouf, tous deux des cochons rapides, ils essayent d’attraper des pigeons, ah non, finalement ils ont décidé de courir après Marcel le messager municipal avec sa chemise sans manche.

Pour finir, Kurt et Wotan sont immobiles, je vais me rappocher d’eux pour savoir ce qu’ils font.

Hum kurt (attente) Kurt…….KURT, il se retourne enfin:

-Qu’est ce que vous faites là ?

-Ben on se prépare.

-Oui mais sans bouger ?

-Il s’imagine gagner.

-Il s’imagine gagner ?

-Oui, l’imagerie mentale est aussi importante que la préparation physique, se sont des notions qui nous viennent de l’orient, si le cochon est persuadé qu’il va gagner alors il va gagner.

-Euh…….si tu le dis, bonne course.

-Merci.


gnompom a écrit:
La course est maintenant sur le point de partir, je viens à l’instant de demander à tous les cochons de se réunir sur la ligne de départ, le regard de Wiz me parait inquiétant, et cette bave aux niveaux de la bouche me parait suspecte, brrrrrrrrrr, je suis vraiment mieux là que sur la piste.

C’est Kahlan notre future mairesse qui va donner le départ, elle ‘approche de la ligne de départ, aperçoit Wiz et recule de 10mètres, puis elle se dépêche de donner le départ, et c’eeeeeeeeeeeeeeeeesssssssssssssssst paaaaaaaaaaaaaaaaaaartiiiiiiiiiiiiit.

Je ne cous cache pas, que c’est le départ le plus rapide auquel j’ai assisté, 10 cochons ont déjà parcouru plus de 20m, c’est impressionnant.

Et comme si elle voulait confirmer les dires de ma présentation, c’est Roseline qui prend tout de suite la tête de la course, une vitesse pareil n’est pas porcine, mais le plus incroyable, c’est Tarak la suit malgré tous ses kilos en trop, la méthode Garshey se révèle être efficace.

Les autres suivent, mais ne se laissent pas distancer, je n’ai jamais vu autant de cochons courir aussi vite.

JP et Nouf ont pris un mauvais départ, alors que Oolon et Wotan n’ont pas encore démarrer, je me demande si Wotan ne s’est pas vu perdre plutôt que gagner.

Roseline : 30m
Tarak : 27m
Fuster : 24m
Garbancito : 24m
Wiz : 24m
Pecket : 22m
Yanyounet : 22m
Bulle d’ozer : 22m
Cochonou: 21m
Riri le normand: 20m
JP : 18m
JO : 18m
Nouf-nouf : 18m
Wotan : 15m
Oolon : 14m


gnompom a écrit:
Aie, Roseline après un début extraordinaire vient de s’écrouler à cause d’un nid de poule, elle arrive à préserver sa seconde place, mais elle n’a rien pu faire face à Wiz qui impressionne toute la foule, il se trouve déjà à la marre de boue, et la chute de Roseline lui permet d’avoir déjà une dizaine de mètre d’avance.

Tarak est revenu sur Roseline, mais reste à sa hauteur, la vitesse a nettement diminué, ce qui permet à Pecket et Garbancito de revenir à leur tour.

Les autres cochons tentent aussi de revenir, mais Fuster est dans une fureur telle qu’il charge tout ce qu’il croise, Yanyounet prend un coup de groin dans le flanc, Bulle se fait marcher sur une patte, Cochonou se fait mordre alors que Riri se voit décoller du sol.
Quelle rage, quelle violence, pas moins de 4 cochons ont été laissés en arrière par un Fuster bouillonnant. Jp a préféré rester en retrait pour éviter une quelconque blessure.

Tout ceci permet à Wotan de revenir un peu, alors que Jo et Nouf ont bien du mal à courir.


Wiz : 50m
Roseline : 41m
Tarak : 41m
Pecket : 39m
Garbancito : 39m
Fuster : 38m
JP : 37m
Yanyounet : 36m
Bulle d’ozer : 36m
Cochonou: 36m
Riri le normand: 36m
Wotan : 34m
JO : 31m
Nouf-nouf : 31m
Oolon : 28m

Roseline se reprend bien, puisqu’elle passe la boue et aprvient même à doubler Wiz qui semble avoir un coup de moins bien.

Garbancito a réussi à prendre sa patte pour se retrouver juste derrière Wiz et donc former un trio de tête.

En revanche les autres tentent de battre le record du nombre de cochon se vautrant dans la boue, ils sont 6, parmi eux on retrouve Tarak, Fuster, JP, Yanyounet, Cochonou et Bulle d’Ozer.
Ils s’amusent à se couler mutuellement, les enfants du public apprécient le spectacle, et les dessinateurs dessinent.

Tout ça profite à Riri et Wotan qui passent la boue sans souci et prennent la quatrième et cinquième place, alors que ce dernier était plutôt mal partit.

Nouf et Jo sont de plus en plus inquiétant, ils n’arrivent pas à trouver le bon rythme.

Roseline : 62m
Wiz : 61m
Garbancito : 60m
Riri le normand: 53m
Wotan : 53m
Tarak : 50m
Fuster : 50m
JP : 50m
Yanyounet : 50m
Bulle d’ozer : 50m
Cochonou: 50m
Pecket : 49m
Nouf-nouf : 46m
JO : 44m
Oolon : 40m

Wiz reprend la tête à Roseline qui se fait doubler par Garbancito qui revient même sur Wiz, mais un gros groin vient de s’écraser sur sa tête, il restera finalement second, à la même hauteur que Jp.

Cochonnou et Riri sont juste derrière, ils ont eux aussi dépassé Roseline qui a du mal à continuer.

Ensuite vient Wotan qui est à la tête d’un peloton de poursuivants composé de Yanyounet, Bulle Jo et fuster.

Plus loin on peut voir Tarak et pecket, ainsi qu’Oolon qui ne trouve pas le bon rythme.

C’est Nouf-nouf qui ferme la marche en barbotant dans une marre de boue regénératrice.

Wiz : 80m
JP : 78m
Garbancito : 78m
Riri le normand: 77m
Cochonou: 77m
Roseline : 75m
Wotan : 74m
Yanyounet : 72m
Bulle d’ozer : 72m
JO : 71m
Fuster : 70m
Tarak : 67m
Pecket : 63m
Oolon : 54m
Nouf-nouf : 50m

Wiz est pressé par Jp et Garban qui tentent de le doubler au même moment, mais avec une rapidité phénoménale, il écrase son groin sur le flanc de Jp tout en Crochetant une patte de garban.

Mais, Riri en profite aussitôt pour le doubler à son tour, tout cela se passe à l’entrée du second obstacle qui risque d’être décisif, mais attendez, oui c’est bien lui…..
Wotan est en train de remonter tout le monde, il marche sur Jp qui se trouvait au sol, résiste à Wiz qui tente une charge et passe enfin Riri Puis les auges et le tout sans monter la moindre hésitation.
Est-ce que cet entraînement oriental serait réellement efficace ?

Cochonou revient également sur les cochons de tête, suivit de quelques mètres par Bulle qui mène un groupe de 4 cochons avec Jo Roseline et Fuster.

Ça commence à devenir dure pour les 4 cochons qui ferment la marche à moins que les auges fassent de nombreux adeptes.

Wotan : 101m
Riri le normand: 99m
Wiz : 97m
Yanyounet : 97m
JP : 95m
Garbancito : 95m
Cochonou: 94m
Bulle d’ozer : 88m
JO : 88m
Roseline : 87m
Fuster : 87m
Tarak : 82m
Pecket : 78m
Nouf-nouf : 76m
Oolon : 71m

Wotan garde sa place de leader, mais Jp se rapproche dangereusement de lui.

Il semblerait cependant que la victoire se joue entre ces deux cochons, Tarak le troisième étant à une dizaine de mètres.

C’est Fuster qui prend la quatrième place grâce à une étonnante partie de maïs au second obstacle, pas moins de 8 cochons on choisit de s’arrêter grignoter, le spectacle est assez répugnant.

Nouf-Nouf est à l’entrée de l’orgie alors que nos deux cochons nains n’ont pas l’air de faire le poids face aux cochons les plus rapides de champagne.

Wotan : 123m
JP : 121m
Tarak : 109m
Fuster : 101m
Riri le normand: 100m
Wiz : 100m
Yanyounet : 100m
Garbancito : 100m
Cochonou: 100m
Bulle d’ozer : 100m
JO : 100m
Roseline : 100m
Nouf-nouf : 99m
Pecket : 91m
Oolon : 86m


Wotan toujours en tête mais Jp se trouve maintenant juste derrière lui, la fin risque d’être tendue.
Tarak s’est détaché pour la troisième place, alors que fuster fait une nouvelle fois le ménage derrière, ce sont Garban et Bulle qui en font les frais. Les autres restent sagement deerière de peut d’être molestés ou tout simplement car ils sont trop lourd pour courir plus rapidement.

Nouf-Nouf tente de remonter tout le monde, mais Jo calme aussitôt ses ardeurs par une charge foudroyante. C’est la première fois que je vois une course aussi homogène, 10 cochons se tiennent en 3m.
La quetrième place va être coûteuse.

Wotan : 143m
JP : 142m
Tarak : 132m
Fuster : 118m
JO : 117m
Roseline : 116m
Wiz : 116m
Garbancito : 116m
Cochonou: 116m
Bulle d’ozer : 116m
Riri le normand: 115m
Yanyounet : 115m
Nouf-nouf : 115m
Pecket : 110m
Oolon : 108m

La course touche à sa fin Wotan et Jp sont à la patte à patte, il ne reste plus que quelques mètes, Jp passe devant Wotan, mais il se fait repasser, cela reste indécis, la ligne est maintenant toute proche, Jp tente de dépasserwotanquineselaissepasfairetquimetungrandcoupdegroinquifaittrébucherJptoutprochedesaprelièrevictoire, et c’est la VICTOIRE de notre bourrin à la technique orientale Wotan.

Sans surprise termine Troisième, mais la bataille pour la quatrième place laisse des séquelles, Wiz fait du ménage, Yanyounet, Riri et Nouf se font repousser comme des malpropres pendant que Garban s’envole vers la ligne, mais il est suivit de prés par un Pecket extraordinaire qui fait un finish passionnant, il vient de se débarrasser de Wiz grâce à un coup de rein dont lui seul à le secret.

Fuster fatigué par sa course ne peut rien faire contre le retour des deux cochons en forme et il les regarde passer. L’expérience de Garban, lui permet de prendre le meilleur sur un Pecket encore jeune.

Les grandes perdantes de cette finale sont Roseline qui n’a pas su gérer toute sa course après un départ exceptionnel, et Bulle qui n’a pas réussi à sortir des pattes des bourrins. Elles terminent à la 7ème et 8ème place.

Wiz le destructeur termine à la 9ème place devant ces trois victimes, Cochonou et Oolon ont profité du carnage pour s’intercaler entre eux.
C’est Jo auteur d’une fin de course des plus déplorable qui finit bon dernier, on attendait mieux de sa part.

Wotan : premier
JP : second
Tarak : troisième
Garbancito : 4ème
Pecket : 5ème
Fuster : 6ème
Roseline : 7ème
Bulle d’ozer : 8ème
Wiz : 9ème
Riri le normand: 10ème
Cochonou: 11ème
Oolon : 12ème
Yanyounet : 13ème
Nouf-nouf : 14ème
Jo : 15ème


Kurt fête la première victoire d’un de ses cochons, alors qu’Hurri joue le blasé.

Je tiens à féliciter Garshey et sa tactique payante et tous les autres participants qui nous ont donné un jolie spectacle avec une des courses les plus serrée depuis la mise en place des courses de cochons.

Je voulais aussi préciser que la période estival qui nous attend n’aura pas sa course de cochons, vous avez donc tout l’été pour faire vos transferts en vu de la saison prochaine.

Je fais également une annonce pour l’avenir, un championnat sera mis en place ou vous serez amené à vous inscrire par deux, deux propriétaires de cochons de races différentes, pour un classement individuel et par équipe. En attendant je vous souhaite un bon été à tous.
---fromFRKurtWagner
Par une belle journée..... : La naissance de Carmélite

Ange_Aylla a écrit:
Ce matin Aylla eu envie de faire une promenade en forêt pour essayer de trouver les baies qu'elle aimait tant cuisiner dans ses desserts. Elle savait qu'il y en avait un peu plus loin près de la colline.
La marche serai longue alors elle devrait se lever très tôt demain matin pour être de retour avant la nuit. Elle prépara son panier, une miche de pain, une bouteille de lait puis elle emballa le tout dans une grande
Couverture.

Elle se coucha dans son lit et pris une bonne nuit de sommeil

Le lendemain, elle était sur le chemin les cheveux dans le vent et le sourire aux lèvres.


Elle avait marché tout l'avant midi et était arrivé à destination, après avoir amasser un panier
Plein, elle installa sa couverture sur le sol et s'installa pour manger.


- Je me sens si bien, il fait soleil, les oiseaux chantent et mon lait est délicieux

Soudain Aylla entendit un bruit non loin dans la forêt, intriguer elle avança lentement et prudemment

Elle ne voulait pas se faire attendre alors elle marcha tout doucement en prenant soin d’éviter les Petites branches.

Arrivé sur les lieux elle pu n'en croire ses yeux, devant elle il y avait une jument d'un merveilleux
Blanc et son petit poulain couleur brun crème, elle lui donnait à boire. Aylla s'approcha un peu plus près mais elle ne semblait pas reculée.




-Elle semble apprivoisé, mais ce n'est pas normal qu'elle soie ici seule avec son poulain sans personne pour la protéger. Je vais lui laissé le temps de donné à manger à son poulain pendant ce temps je vais allé chercher mon panier!

Elle ramassa tout très rapidement et alla cueillir une pleine poigner de baie qu'elle mis dans son panier puis elle retourna près de la jument qui maintenant donnait une toilette à son petit. À son arrivé elle se leva
Aussi tôt et se dirigea vers son panier pour sentir.


- Je crois que tu a faim ma belle, attend je vais t'en donner un peu!

Elle lui en déposa une grosse montagne sur le sol et la regarda manger, pendant ce temps elle pouvait en profiter pour caresser le petit qui était tout mignon.

-Je dois déjà vous quittez l’après-midi est déjà avancé et je doit rentré, j’espère que votre propriétaire vas venir vous chercher !

Aylla pris la direction du village mais après avoir marcher un moment elle se retourna et vit que la jument et son petit la suivait, elle leur fit signe de rester là puis elle continua à marcher mais rien à faire la jument la suivait toujours.

Elle s’approcha de Aylla et se mis en position pour qu’elle puisse embarquer sur son dos.


-Tu semble être seule, il t’on abandonné ? Peu importe tu semble vouloir venir avec moi alors je prendrais soin de vous, je connais une écurie merveilleuse ou je passe souvent du temps pour m’occupé des autres chevaux, vous y serez bien !

Enfin un des plus grand rêve d’Aylla était réalisé, Elle avait non pas un mais deux chevaux. D’ailleurs si tout allait bien elle offrirait le poulain à l’enfant de Leane.

-Je dois vous trouver un nom maintenant, Glow pour la jument car c’est une Lueur magnifique et Sweet pour le petit Doux comme le miel.

Aylla rentra à la maison sur le dos de Glow suivi de Sweet, à son arrivé quelqu’un l’attendais…


laetitis a écrit:
Laetitis s'était réveillée avec un étrange préssentiment. Un de ceux qui vous font dire que cette journée ne sera pas comme les autres...
Dam était endormi à ses côtés. Elle lui donna un baiser sur le front avant de sauter du lit, le soleil étant déjà haut dans le ciel. Elle devait se dépêcher de s'occuper de ses cochons avant d'aller au marché vendre son maïs.

Comme toujours, la place du village était très animée. On pouvait y acheter tout ce qu'on désirait même si certaines denrées étant présentes en abondance alors que d'autres étaient plus rares... Laetitis vendit tout son maïs en quelques heures, chose exceptionnelle ces derniers temps. Elle repartit la bourse pleine et le coeur léger.

- J'avais sentit que cette journée serait particulière... Il faut fêter ça !

La plus petite excuse était bonne pour aller faire la fête en taverne! Aussi Laetitis s'empressa d'aller chercher ses amies Leane et Aylla afin de leur proposer de l'accompagner.
La maison de Leane était à l'autre bout du village. C'était une petite masure avec un beau jardin devant et un grand potager derrière. Lorsqu'on s'approchait, l'air prenait un parfum fleuri et délicat. Laetitis tambourina à la porte:

- Leane! Tu es là? Je reviens du marché, j'ai gagné pas mal d'écus alors je voulais t'offrir un verre à la taverne!

Laetitis attendit un moment mais aucune réponse lui parvint. Elle fit le tour de la maison, les volets étaient clos. Rien ne bougeait.
Son pressentiment réapparu brusquement.

- J'espère qu'il ne lui est rien arrivé. songea-t-elle. Rhooo Laetitis, ce que tu peux être négative!! Elle doit surement être chez Aylla.

Laetitis partit sur le champs chez son autre amie. Son pas s'accélèrait à mesure que son sentiment s'intensifiait. Elle espèrait retrouver ses deux amies autour d'une bonne tasse de thé. Arrivée chez Aylla, elle entra sans même s'annoncer et fit le tour de la maison: Personne!! Laetitis se sentait de plus en plus mal.
- Mon dieu, j'espère qu'il n'est rien arrivé.

Elle s'apprétait à sortir lorsque Aylla apparu dans l'embrasure de la porte restée ouverte, un pannier à la main, le sourire aux lèvres. Laetitis se précipitat sur son amie, ne lui laissant pas le temps de dire plus de deux mots
- Laetitis! Quest-ce qu...

-Aylla! Par bonheur tu es là! Mais où étiez vous donc passées toutes les deux? Cela fait une heure que je vous cherche partout! Tout en parlant, Laetitis jetait des coups d'oeil dans le dos de Aylla Laene n'est pas avec toi?
Ho mon dieu Aylla! Je sent qu'il se passe quelque chose d'anormal. Il faut retourner chez Leane, vite!


Ange_Aylla a écrit:
-Leane??? Non elle n'est pas avec moi, j'ai passé la journée dans la fôret ou j'y es découvert deux magnifique chevaux!! Tout le monde lui avait dit de rester chez elle et de se reposé. Nous devons la chercher et la retrouver!! Viens Laetitis...


Elles partirent à la recherche de Leane dans tout le village....


Leane a écrit:
Léane avait passé une nuit agitée, elle n'avait pas fait depuis longtemps de si horribles cauchemars. Les évènements qu'elle avait revécu cette nuit datait de son enfance, quand elle vivait avec ses parents. Elle les revoyait entrain de jouer avec elle, elle se revoyait près de son père qui celui-ci lui avait appris à jouer de la flûte. Elle se disait que ces bons moments paraissaient si lointain, et ensuite le drame, elle voyait son père partir de force avec des barbares, l'aggrippant par les cheveux et le traînant hors de sa demeure, des cris horribles comme si on égorgeait une personne...
...des scènes semblables n'arrêtèrent pas de se bousculer dans sa tête, elle se réveilla trempée par ses cauchemars.

Elle décida d'aller prendre un verre d'eau pour se rafraichir et penser à autres choses. Elle se leva et fut pris de crampes assez violentes au niveau de l'abdomen, elle se dit que ce n'était rien, peut-être une indigestion, sûrement qu'elle avait trop abusé de la bonne glace à la fraise de Daviniella.

Elle prit un gant, l'humidifia, et le passa sur son front ensuite prit la cruche d'eau et se versa un verre d'eau.

Les crampes s'étaient calmées, et les derniers évènements de son cauchemar lui revinrent à l'esprit. Elle repensait à son père qu'elle recherchait depuis son départ de chez sa mère et son beau père, et qu'elle s'était arrêtée à Clermont sans avoir fini ses recherches et qu'elle devait continuer une fois que son bébé serait là !

Les crampes reprirent de nouveau, de plus en plus rapprochées, de plus en plus violentes...

Léane décida d'aller se rallonger dans son lit et attendre que cela passe...


Elle entendit quelqu'un frapper à sa porte, cette voix lui était familère, il s'agissait de Laetitis.

Entre Laetitis, entre, je me sens pas très bien , entre...
... mon double de clé se trouve dans le pot de fleurs près de la porte...


Malheureusement, elle entendit celle-ci s'éloigner.


Ange_Aylla a écrit:
Laetitis et Aylla firent le tour des tavernes et de leurs ami(es) mais ne virent pas Leane

-Je me demande vraiment ou elle est ??

Laetitis ne savait pas plus qu’elle et sa l’es rendaient folle, Leane était déjà presque au terme de sa grossesse.
Elle ne devait ni forcer, ni se surmener et encore moins courir un peu partout dans les chemins de Clermont. De plus que Leane était beaucoup agité ces derniers jours, remarque Aylla la comprenais un peu, elle aussi avait perdu son père et elle y pensait souvent.


-Viens nous allons retourner à sa maison, Elle est peut être revenue depuis ce temps !!

Elles se remirent en route très rapidement pour en finir avec leur angoisse………


Leane a écrit:
Léane décida de se lever entre deux contractions espacées pour aller ouvrir la porte de sa maison. Elle comprit que le moment tant attendu était enfin arrivé, elle mit la clé dans la serrure, tourna celle ci et pris un bol d'air.
Puis ses contractions reprirent de nouveau, elle s'accroupit , et se rendit compte que cette position atténuait les douleurs qui se rapprochaient de plus en plus.
Elle sentit un liquide chaud suivre la courbe de ses jambes.

Elle se dit que le travail allait commencer...


Ange_Aylla a écrit:
Arrivé sur les lieux, Laetitis et Aylla se rendirent vite conte que leur pressentiment était bien fondé. Leane était dans une position peu commode et essayais de souffler pour faire passé la douleur.

- Ho non Leane !!! C commencé c sa ??? Ho mon dieux aidé nous !!! Je ne sais pas quoi faire…..déjà vas t’étendre sur ton lit !!!


laetitis a écrit:
- Ha, mon pressentiment était bien fondé! Leane, comment tu te sens? tu as des contractions?

Laetitis aida Aylla à porter Leane jusqu'à son lit. Elle luit mis un coussin sous les pieds et dans le dos.
- Ca va? Tu es bien?

Elle alla chercher de l'eau dans un grand seau, ainsi qu'un linge propre afin de la rafraichir.
- Aylla, je vais aller faire bouillir de l'eau. Reste avec Leane. Il n'y a rien de pressé tant que les contractions ne seront pas plus rapprochées.


Leane a écrit:
Léane se sentit rassurée d'avoir ses amies près d'elle.

Je me sens mieux depuis que vous êtes près de moi, mais mes contractions sont très rapprochées... se redresse tellement celà lui fait mal.

Je pense que cela ne va pas tarder... agrippe ses draps et souffle

Où est Laetitis? Pensez à désinfecter ciseaux, aiguilles, prenez du linge propre dans mes armoires... fais une pause
...les vêtements du bébé se trouvent dans la commode de sa chambre, choisis ce que tu veux...

les contractions sont trrop rapprochées, c'est le moment, je...
pousse à chaque contraction

Plusieurs contractions se succédèrent et Léane sentit un gêne

Aylla regarde , je crois que la tête est déjà engagée...
...il va arriver, vite vite...


damada27 a écrit:
dam passa par la quand il a vu aylla et laetitis se dépécher d'aller vers la maison de leane, dam lui suivit mais quand il comprit ce qu'il se passait, il décida de ne pas rentrer ni de les déranger car c'est assez compliquer et angoissant, alors dam décida de rester devant la porte puis il s'assit et se mit a prier pour leane et son futur enfant


Ange_Aylla a écrit:
Vite……Vite……Vite…..Seul ces mots résonnais dans la tête d’Aylla.

-Je doit me reprendre, je doit ma calmer, je doit faire quelque chose !!

Elle trempa la serviette dans de l’eau froide et lui épongea le front.

- Mais qui vas le sortir de là ??? Je ne sais pas comment faire

Soudain elle vit Damade dehors

-Dam entre viens nous aidé.....Je ne puis être toute seule, je suis trop énerver Stp viens!!!


damada27 a écrit:
heu moi ca je ne sais pas comment m'y prendre mais je peux rassurer leane en lui tenant déjas la main puis la rasurer apres heu voila ca reste entre fille quand memeou avec le mari


Ange_Aylla a écrit:
-Oui alors entre et viens lui tenir compagnie!!


Aylla pris place pour attendre le bébé......


Leane a écrit:
Léane inspirait expirait, et poussait à la venue de chaque contraction !


damada27 a écrit:
dam arriva timidement pres de leane et lui prit sa main est dit:

leane je suis la si tu veux tu peux me serrer de toute tes forces, et tu na plus rien na craindre ait confiance en moi ma belle douce leane ne t'inquiéte plus tout va bien se passer tu fait un boulot merveilleux continue comme ca sur ta lancer reste calmes et reposer et tout ira pour le mieu


Ange_Aylla a écrit:
Aylla allait devoir s'occupé du bébé elle même.....Personne n'arrivais


-Pousse, sa tête est presque sortie apres je vais pouvoir l'aidé à sortir!!!


Yanyan a écrit:
Yanyan était sentait le cochon jusqu'à l'autre bout du village. Les cochons de son nouvel élevage étaient très capricieux et Yanyan ne s'en sortait pas. Il fallait aussi s'occuper des moutons de son Inca, quelle galère pour lui. Ce n'est pas un homme de bêtes ce Yanyan. Il décida de demander de l'aide à un clermontois...

Il était devant la maison de Leane et entendit des bruits de souffrance. Il glissa la tête par la porte...

Il pouvait voir Leane dans une position assez étrange, il se demandait ce qu'il se passait. Elle poussait des cris, mais pourquoi donc?

Par l'odeur se dissipant très vite dans la pièce une personne se retourna et demanda à Yanyan de s'éloigner quelque peu. Il resta tout demême près de la porte se demandant ce qu'il se passait.


Ange_Aylla a écrit:
Leane donnait tous se qu’elle avait, la pauvre elle poussait et poussait, l’eau qui lui coulait sur le front.

Le bébé avait maintenant la tête sortie…..Aylla le saisis et l’aida à sortir, une petite claque sur les fesses et l’enfant pleurait à plein poumon.


-Leane c’est une magnifique petite fille que nous avons là


Elle coupa le cordon et nettoya la petite mais soudain Aylla vit sur sa fesse une tâche de naissance…la même que la sienne……Son père la lui avait léguer, il avait la même tache. Cette tache ressemblait à un petit diable avec des cornes, La sienne était pratiquement identique au détail près qu’il manquait les cornes.

Encore sous le choc elle tendit à Leane sa petite fille.


laetitis a écrit:
Laetitis, qui était revenue avec de l'eau propre, avait assisté à la scène. Finalement, Aylla se débrouillait très bien toute seule! Et Dam était vraiment adorable à vouloir rassurer la futur maman: on voyait bien qu'il était paniqué lui-même...!!!
Elle attendit que Leane embrasse sa petite fille puis prit le bébé afin de lui couper le cordon et lui faire une petite toilette. Ensuite, Laetitis l'habilla avec les vêtements qu'elle avait pris dans l'armoire: une petite layette toute jaune qui avait été confectonnée avec amour.


- Voilà Leane, dit Laetitis en tendant l'enfant à sa mère, elle est toute propre. Comment vas-tu l'appeler?


Ange_Aylla a écrit:
Toujours dans le coin sans dire un seul mots, Aylla c’était assis sur une chaise, figé les yeux dans le néant. Tout ces souvenirs passé revenais en un seul instant……et cette horrible nuit ou ses parents était mort…..ou disparut. C’était la première fois que cette hypothèse lui venait en tête. Elle avait toujours été persuadé que ses parents étaient mort parce que sa tante le lui avait dit……mais si c’étais une ruse……une menterie…….et si mes parents étaient toujours en vie ??

Et cette tache de naissance…….Combien de chance avons-nous pour qu’un enfant totalement hors liens avec son père pourrais avoir la même tache qu’elle, comment une telle chose peut elle être possible ??


Leane a écrit:
Léane était soulagée et très heureuse à la fois.

Je vais l'appeler Carmélite, j'ai un bébé adorable et qui a la même tâche de naissance que sa mère.
C'est héréditaire, elle me vient de mon père qui lui l'a hérité de sa mère Carmélite, que je n'ai jamais connu...

Elle est si belle, enfin voilà ce bébé tant attendu, elle est magnifique...

Léane regarda son ange puis l'embrassa tendrement
sur le front, celle ci fit des grimaces. Léane décida de lui donner le sein, elle regarda toutes les personnes autour d'elle.


Un grand merci à vous tous, sans vous je ne sais si j'aurai réussi, vous êtes de vrais amis !

Merci Aylla, tu t'es très bien débrouillée, merci Dam pour m'avoir rassuré, et merci à toi Laetitis...

Yanyan, entre, ouvre une bouteille de spéciale et régalez vous, mangez les petits gâteaux que j'ai fait hier soir... je suis si heureuse, allez buvez, il faut fêter cet évènement...


Ange_Aylla a écrit:
La même tache que Leane sa mère…………La même tache qu'elle…………La même tache que son père.

-Es ce que c’est possible ??? Murmura t-elle doucement


Leane a écrit:
Aylla, je te vois toute songeuse, à quoi penses tu ?
Ou plutôt à qui penses tu ?


laetitis a écrit:
Cela faisait déjà quelques minutes que Laetitis observait Aylla. Cette dernière était souriante et heureuse pour leur amie, mais Laetitis voyait bien au fond de ses yeux que quelque chose la préocupait.
Pourtant, après avoir réussit l'exploit d'aider une mère à accoucher de son enfant, Aylla devrait être fière de sa prouesse. Mais, au contraire, depuis que le bébé était apparu, la jeune fille n'avait pas dit un mot.

Leane avait aussi remarqué l'angoisse de leur amie, elle la questionna. Laetitis ne voulait pas que Leane s'inquiète pour elles un jour aussi important, aussi elle détourna la conversation:

- Ne t'inquiète pas Leane, Aylla n'est pas capable de songer! Laetitis fit une grimace pour se moquer Elle ne réalise pas, voilà tout... Nous allons te laisser te reposer. On repassera dans la soirée pour voir comment tu vas.
Laetitis embrassa son amie et la petite Carmélite qui s'était endormie dans les bras de sa maman. Puis elle sortit de la pièce, entraiant une Aylla toute rêveuse derrière elle.

Arrivées sur le perron, Laetitis s'arrêta et ragarda son amie dans les yeux:

- Alors Aylla, dis-moi ce qui te préocupe autant!


Ange_Aylla a écrit:
À l’approche de Laetitis, Aylla sortie de ces pensés et fit un sourire à son amie.

-Je suis vraiment contente, c’est une magnifique petite fille, mais sa tache de naissance me trouble…….car j’ai la même.

Elle leva sa chemise et montra la toute petite tache pâle mais bien visible sur sa hanche.

- Je me demande comment cela peut être possible ?


laetitis a écrit:
A la vue de la tache que lui montrait Aylla, Laetitis reconnu la petite tache qu'elle avait remarquée sur la petite Carmélite, elle l'avait d'ailleur trouvée trop mignonne.
- Effectivement, les deux marques se ressemblent fortement. Mais peut-on en tirer des conclusions pour autant? Tu penses que vous pourriez avec un lien de parenté avec Leane? Mais j'y pense, tu ne m'as jamais vraiment raconté ton histoire, ton enfance avant d'arriver à Clermont...

laetitis s'assit sur une pierre afin d'écouter son amie


Ange_Aylla a écrit:
Aylla chercha dans sa mémoire pour retrouver des moments très lointains.

-J’ai perdu mes parents à l’age de 13 ans et j’ai vagabondé un bon moment sans m’arrêté vraiment nul par jusqu’à Clermont. Ma mère était une femme de foyer, elle venait d’une famille de fermier qui élevait un troupeau de vache. Elle a toujours vécus au même endroit. Mon père est arrivé dans sa vie juste 1 ans avant ma naissance. J’étais très proche de mon père mais je me rends conte que je ne sais rien sur sa vie et ses origines. Il est venu comme il est parti. C’est de lui que je tiens cette tache, il avait presque la même


laetitis a écrit:
Laetitis était troublée par le récit de son amie.

- Et tu penses que cette taches que porte Carmélite pourrait avoir les mêmes origines que la tienne? Si c'est le cas, tu devrais en parler à Leane. Elle pourra surement t'éclairer.


Ange_Aylla a écrit:
-Oui tu a raison, Merci beaucoup Laetitis de m’avoir écouté !

Leane avait sa petite sans ses bras et la regardait avec amour, Aylla s’approche d’elles puis pris place sur une chaise juste à côté.

-Je suis un peu bouleversé, Mon père ma transmit une tache de naissance et ta petite à la même...

Elle la montra à Leane


Leane a écrit:
Léane regarda la tâche de naissance de Aylla, elle souleva son drap et lui montra la sienne.

C'est assez étrange, elles se ressemblent, cette tâche me vient de mon père que j'ai perdu de vue très petite, et Carmélite a hérité également de cette tâche. Tu m'en as jamais parlé?
Mon père, on l'appelait Flo le grand, c'était un homme très charpenté, un bel homme, qui aimait faire la fête...
...ma mère m'a raconté qu'il est parti un jour sur un coup de tête, on n'a jamais eu de ses nouvelles, et depuis quelques temps, maintenant quelques années, je suis à sa recherche, je sens qu'il est en vie, j'ai besoin de le retrouver, besoin de lui parler, même si mon père adoptif a toujours été présent pour moi.
Je serai dans peu de temps de nouveau à sa recherche, avec mes économies, je pourrai de nouveau aller le chercher...


Ange_Aylla a écrit:
Aylla resta muette......Flo le grand!!! Son propre père s'appellais Florentin.....et lui aussi avait disparut sans dire un mots......


Un inconnu voyageur a écrit:


Citation:
Notre passé est notre présent. Nos ancêtres sont en nous. Dans chacun de nos gestes, sur chacun des trais de notre visage, dans nos yeux, dans nos veines, dans notre esprit et dans nos pensées. Où que nous soyons, quoi que nous fassions, ils sont là, avec nous, à nos côtés pour nous aider à traverser chaque épreuve mais aussi pour nous accompagner dans les bons moments, pour nous rappeler qui nous sommes et à qui nous le devons.

Parfois même notre passé devient notre futur. Lorsque le miracle de la vie se produit, c’est notre passé qui ouvre de nouvelles voies vers l’avenir. Et nous devenons à notre tour le passé de quelqu’un d’autre. Ainsi va la vie.

De génération en génération, année après année, ce qui est en nous, ce que nous sommes, mûri, évolue, s’adapte pour être toujours à la pointe de son temps. Et le passé s’efface mais il reste toujours en nous, au plus profond de nous, près à resurgir lorsque l’on s’y attend le moins pour que ces années passées ne soient pas perdues.

Notre passé est notre présent mais aussi notre avenir. Vouloir revenir dans le passé c’est nié le présent, ne pas vouloir le vivre tel que nos ancêtres on voulu que nous le vivions, oublier ce qu’ils ont fait pour nous. Alors vivons dans le présent et même dans l’avenir pour que les enfants de demain soient plus forts.

Il me suffit de te voir pour oublier mon passé et vouloir construire un avenir à tes côtés. Je comprend ce que tu ressent en ces moments de joies mais aussi de mélancolies. Ne part pas loin de moi ou tu emportera mon présent et mon avenir avec toi. Car je ne peux les concevoir sans ta présence. Puisse ces quelques fleurs guérire les blessures qui font pleurer ton cœur.


Ange_Aylla a écrit:
Soudain, un bruit étrange virent à leurs oreilles, Aylla se dirigea vers la porte et l’ouvrir.
Sur le porche il y avait un bouquet de fleur avec une lettre non signé….et avec aucun nom de destinataire. Rien au alentour….


Leane a écrit:
Aylla apporta le bouquet à Léane avec le petit mot qui l'accompagnait, elle le lut à voix haute, et eut un sourire.

Quelle délicate attention !

Ensuite elle parla de son passé avec Aylla, de ce père qui lui manque, ensuite Aylla raconta le sien (de passé).
Et une chose incroyable confirma les doutes de Aylla, elles ont le même père Florentin dit Flo le Grand, elles étaient émues et heureuses d'être des soeurs, elles qui s'aiment et qui vivent à chaque moment les mêmes choses...elles sont soeurs, que la vie est belle !


Tu seras comme prévue la marraine de ma fille, je suis heureuse de ne pas être enfant unique, cette nouvelle me remplit de joie, et la venue de ma fille, mais quelles bonnes choses, la vie est bien faite...


Ricoh94 a écrit:
Un cavalier couvert de poussière, portant les armes de la famille d'Apperault, arrêta sa monture fourbue devant le batiment, pour déposer un pli et un drôle de colis :

Citation:
Mon ange,
je viens d'apprendre que tu avais enfin mis au monde l'enfant que tu portais, et la rumeur veut qu'il s'agisse d'une petite fille.
Même si je suis actuellement loin de Clermont, je voulais te féliciter pour cet heureux événement.
Le messager te porteras aussi un bouquet de... heu... poireaux
Il n'y avait que ca au marché, et dans la précipitation...
Bref je me rattraperais lors de mon prochain passage à Clermont, ou je ne manquerais pas d'embrasser la petite Leane.
Je t'embrasse tendrement
Ton toujours dévoué
Ricoh






Ange_Aylla a écrit:
C’étais une étrange mais une merveilleuse nouvelle, Leane était sa sœur et Carmélite sa petite nièce. De plus elle avait un Frère et toute une jolie famille qui s’y rattachais. Plus l’amour dans sa vie. Rien ne pouvais allé mieux en ce moment



Davinaelle a écrit:
Davinaelle frappa à la porte de son amie. Quand celle-ci lui ouvrit et lui dit

- Je suis passée te dire un bonjour et surtout te remercier d'être là ! tiens voila pour mettre sur ta table.

et elle lui tendit en souriant le bouquet

---fromFRKurtWagner
Contes à Clermont :

Davinaelle a écrit:
Pour Sylverléa

Dans un village proche d'une foret vivait une enfant, elle avait 12 ans et elle passait sp, temps dans la fôret.
Elle était jolie meme dejà belle pour son age, elle avait de longs cheveux noirs et une regard d'ange. Nulle mechanceté, nuls sentiments mauvais, on ne pouvait lire que douceur, charme et pureté dans son regard. Elle ne savait que donner de son affection et tous les animaux de la foret l'aimaient.
Qu''ils soient cerfs, biche, faon, renard, loup et meme putois, tous s'approchaient et venaient manger dans sa main.Les plantes lui murmuraient leurs secrets et elle guerissait les gens grace à cela.
Un jour naturellement elle devint jeune fille, alors la fée de la foret lui dit : » il faut que tu choisisses maintenant, la vie des hommes ou la vie de la foret ».
La jeune fille reflechit une année, elle frequenta les hommes et decouvrit leur defauts et leurs qualités, elle decouvrit leurs faiblesses et leurs forces alors elle appela la fée et lui dit : »j'ai choisi, j'ai choisi la nature, la nature aidera les hommes à devenir meilleurs »
alors la fee tendit sa baguette et le jeune fille devint un arbre majestueux qui ne portait que des fruits curatifs, et cette arbre les hommes lui donnèrent un nom ils l'appelérent Sylverléa, l'arbre qui guerit.

***********************

Pour une amie

Il était une fois, un aigle majestueux qui planait dans le ciel.



Il vivait avec une jolie aigle, il l'aimait d'un affection sincère mais ce n'etait pas l'amour. L'amour qui brule et qui consumme, il ne ressentait pas cela pour elle. Il semblait heureux, mais il lui manquait quelque chose, il ne savait pas quoi.
Un jour il rencontra une splendide licorne toute blanche,



il en tomba follement, eperdument amoureux, c'etait l'amour de sa vie. Mais le destin avait fait son amour licorne et lui aigle.

Alors il vola par dessus les montagnes de plus en plus hautes, par dessus les cimes enneigés



alors il arriva chez le roi des magiciens



et la reine des fées



Il leur dit : " pourquoi avez-vous fait mon amour, licorne ?"

et ils lui repondirent :" Ton amour, tu l'auras si tu as le courage de l'accepter et de le vivre. Si tu as le courage de faire ce qu'il faut, alors tu auras ton amour ! et maintenant va !"

Il s'en fut la mort dans l'âme, il ne savait que faire, il erra dans le ciel azur, il regardait au loin sa licorne, mais aussi haut qu'il fut il croisait son regard levé vers lui et son coeur s'emballait. Il était heureux de lire dans ce regard, l'amour partagé et aussi son coeur se dechirait quand il y lisait la souffrance et la resignation. Alors il prit sa décision, il alla voir la jolie aigle sa compagne, et il rompit lui demandant pardon.

Il descendit pres du lac où etait sa belle licorne ferma les yeux et lui dit qu'il l'aimait. Alors elle s'approcha de lui et posa sa tete sur lui, il l'a senti legere et quand il regarda,
Ils étaient tous les deux devenus des humains. Ils s'aimèrent et furent heureux. Il avait trouvé ce qui lui manquait.




FIN

**************************

Le chêne et la liane d'or

Dans la foret, dans la cascade où s'ecoulait l'eau dans un vacarme tumultueux
sortit une fée, c'etait la fée de la douleur. Elle était merveilleusement belle et les princes et les bergers tombaient amoureux d'elle d'un regard
mais quand son regard croisaient le leur la douleur entrait dans leur coeur irremediablement et ils s'en allaient le desepoir au coeur finir leur vie loin de la fée de la douleur*
elle n'avait pas toujours été cette fée, avant elle était la joie mais un jour elle donna son amour a un berger et le roi des magiciens et la reine des fées la punirent
ils donnerent au berger l'envie d'etre riche, alors il s'en alla faire fortune laissant son amour et la fée devint la fée de la douleur
alors pour ne plus faire du mal aux princes et bergers, elle se cachait au fond de la cascade
mais par ce soir d'été doux et parfumé, elle sortit du fond de la cascade
elle respira et puis quand elle allait replonger elle entendit le son du luth, la musique était triste et belle alors son coeur s'envola : elle avait reconnu
la musique de son berger.
Celui-ci s'approcha d'elle et lui dit
j'ai laissé le magicien me separer de toi
j'ai preferé chercher la fortune à ton amour
j'ai trouvé la fortune mais elle ne m'a pas satisfait, j'y ai perdu mon âme parce que mon coeur était resté ici avec toi, je suis venu t'embrasser avant de disparaitre parce que je suis devenu dur comme le chene à l'interieur de moi
alors la fée embrassa son amour et il devint un chene dans la foret et elle se colla à lui et devint une liane d'or qui l'enroula.
voici l'histoire du chene et de la liane d'or


Davinaelle a écrit:
La Montagne

Dans un pays imaginaire, il y avait une montagne



et au pied de cette montagne il y avait un desert;



dans le desert qui etait en bas vivait un jeune garçon avec sa famille; moult legendes existaient à propos de ce mont inaccessible.
Ce garçon vivait dans la tente,



il s'occupait des lamas de ses parents, le soir à la veillée, il etait charmé par les histoires que racontaient les anciens, parmi celles-ci on disait qu'un peuple vivait dans la montagne, que c'etait un peuple magique mais que de tout ceux qui etaient partis voir ce peuple nul n'en etaient revenu.
Le garçonnet fasciné se promit d'aller voir cette montagne.
Puis les années passerèrent ,il devint un homme robusten il fondat une famille, il avait oublié le peuple de la montagne.
Alors un jour son fils agé de 4 ans courant après une brebis se perdit dans la montagne il partit à sa recherche et il le retrouva assez loin, gelé par le froid
Alors l'histoire du peuple de la montagne lui revint et sa promesse aussi. Il pria son dieu et lui promit que si son fils en rechappait il irait dans la montagne.
L'enfant guerit et quand un mois fut passé, il dit au revoir à sa femme et à ses enfants et il partit, seul malgré que ses amis voulurent l'accompagner, il refusa.
II monta alors sur cette montagne, apres beaucoup de peripeties, enfin il arriva presque mort de froid, havre et amaigri, il lui restait quelques metres à parcourir pour etre au sommet mais ses forces le trahirent et il s'effondra.
Il se reveilla, il etait etendu dans une grotte il y faisait chaud et l'air etait confine, un etre qu'il n'avait jamais vu entra, il ressemblait à ce qu'on appelle elfe



" Êtes vous un elfe" demanda-til ?
"non, les elfes ne peuvent pas vivre enfermé, nous sommes de djobis !" répondit la crêature
"des djobis ? qu'est-ce ?"
"les djobis sont des etres que vous humains vous formez chaque fois que vous faites un reve joli qui vous rend heureux"
l'homme resta surpris il ne comprenait pas
"mais je suis dans la montagne ?" interrogea-t-il anxieux
"Oui, et je vais te faire visiter, mais il y a une grande porte rouge qu'il ne te faut pas ouvrir"



l'homme promit, le djobi posa sa main sur lui et il recouvra toutes ses forces, le sang afflua de nouveau dans sa tête, il se colora et n'eut plus du tout froid. Il visita la montagne, il y avait beaucoup de djobis qui allaient et venaient, curieusement il ne faisait pas trop chaud dans cette montagne. Tous semblaient heureux, il rencontra d'autres humains qui lui dirent qu'ils preferaient vivre là. Pourtant une chose le suprenait, il n'y avait pas tant d'humains que cela. Quand il posa la question au djobi qui l'accompagnait celui-ci se renferma et ne lui repondit pas. Les humains non plus ne répondirent pas, mais un cepandant lui murmura " la porte rouge!" et s'enfuit.
La curiosité de l'homme s'eveilla, il n'eut de cesse de trouver la porte rouge. Il l'a trouva enfin aprés avoir fouille toute la montagne.
Quand il fut devant elle, il se souvint de sa promesse au djobi, son djobi qui avait disparu quand il avait commencé à chercher la porte rouge. Qu'allait-il faire ? l'ouvrir ou passer son chemin ? il partit, deux jours durant il reflechit puis il revint pres de la porte rouge et cette fois-ci resolument il l'ouvrit.
Alors il ressentit une chaleur terrible ! des êtres laids et effrayants s'approchèrent de lui .



"qui etes vous ? " demanda-t-il apeuré
" Des laydoms" repondit la créature, "nous naissons chaque fois que vous faites un cauchemard ! vous avez desobeï alors vous resterez ici tout le reste de votre vie et jamais vous ne reverez votre famille"
L'homme hurla et comprit qu'il avait fait la betise qu'il ne fallait. Quand il avança il vit une multitude d'autres hommes. Alors il se refugia dans un coin pour pleurer, son djobi reapparut et lui dit
" je t'avais dit de ne pas ouvrir la porte rouge, pourquoi les humains sont-ils si curieux ?"
L'homme qui avait compris et assumé sa faute, le regarda un moment puis repondit
" L'homme est curieux cela est vrai, sa curiosité lui permet d'evoluer et d'avancer, mais quand il ne domine pas cette curiosité, elle le detruit ! j'en suis l'exemple parfait !"
Le djobi le regarda et un sourire se dessina sur ses levres
"Tu as compris la leçon tu es le premier depuis l'aube des temps, je te ramène à ton fils et à ta famille"
Le djoli deposa sa main sur lui et il s'endormit, quand il se reveilla il etait devant sa tente.
Quand sa famille lui demanda d'où il venait, il repondit :" je viens de mon coeur" et il les embrassa.

FIN


Davinaelle a écrit:
Pour Léane

Carmelite

Il était un pays dans les nuages, personne ne pouvait le voir sauf les Dieux et les Anges.

Ce pays était peuplé d'enfants, de petits enfants. Il y avait des enfants de toutes les couleurs, de toutes les races, il y avait des noirs, des blonds, des bruns, des chatains, des indiens, des roux, des asiates...Tous vivaient joyeusement en harmonie.

Il y avait des adultes, pas beaucoup, ils étaient là surtout pour surveiller les enfants et s'en occuper de façon à ce qu'ils restassent en forme.

Il y avait un homme, le Vénérable qui avait un grand cahier, sur ce cahier était marqué le nom de tous les parents du monde.
Son travail consistait à choisir un enfant et à le donner à des parents alors l'enfant se transformait en graine et allait se loger dans le ventre de la maman pour y devenir neuf mois plus tard un joli bébé.

Tout se passait le mieux possible jusqu'au jour où une jolie petite fille refusa d'aller où le Venerable l'envoyait.


- Non ! Je ne veux pas y aller !!!

Le Vénérable lui demanda

- Pourquoi voyons ?

La petite fille resta butée

- Parce que je veux choisir moi-même mes parents !!!

Le Venerable s'insurgeat

- Mais c'est MOI qui choisit ! j'ai des critères de sélèctions très précis et je ne me trompe jamais !!

-Peut-être ! mais c'est moi qui choisit !! repondit la jolie petite fille

Le Vénérable renonça à la faire changer d'idée

- Bon ! puisque tu veux !

Il laissa la petite fille choisir. Elle prit son temps et au bout d'un mois elle vint voir le Vénéranle et lui dit :

- J'ai choisi ma mama, c'est la plus gentille de toutes les mamans, c'est la plus belle de la Terre. Je sais qu'elle m'aimera plus que tout, je la veux !!

Le Vénérable bougonna dans sa longue barbe :"Comme toutes les mamans!"

- Quoi ? vous dites ? demanda la jolie petite fille
- Rien ! repondi le Vénérable "qui est cette perle ?"

La jolie petite fille se redressa de toute sa petite taille et claironna

-Elle s'appelle Léane !!

Le Vénérable lui dit :" Bien !"
Et il regarda dans son registre et sourit; il y avait ecrit

Carmelite Léane

- Très bien Carmelite, tu peux y aller !

Carmelite devint alors une graine qui se mit à pousser dans le ventre de l'heureuse Léane. Celle-ci avait été choisie par sa fille et par le Vénérable

FIN
---fromFRKurtWagner
La naissance de Alwena

Inca a écrit:
Inca faisait le ménage "au petit poussin" maugréant contre ses amis qui visiblement avaient bien fait la fête la veille vue l'état de la taverne.

Depuis une bonne heure, elle avait de plus en plus de mal à avancer, elle s'appuyait sur son balai le temps que cette petite douleur s'estompe.


oh non s'il te plait pas maintenant , ton père s'est absenté , attends un peu pour venir au monde .....

Sur ce une douleur effrayable lui fit lacher le balai. Inca s'agenouilla , les mains sur le ventre.

Oks, Yla .....

un liquide se mit soudain à couler .... une peur immense s'empara d'elle. Elle était seule et incapable de se déplacer....


Ylalang a écrit:
Depuis son retour à Clermont, Ylalang allait souvent voir comment allait Inca. Le terme de la grossesse était très proche, et la jeune femme avait beaucoup travaillé pour remettre a jour son stock de potions d'herboristerie.

Elle décida d'aller la voir à sa taverne. Elle toqua à la porte et entendit un gémissement. Inquiète, elle pénétra dans la taverne, et vit Inca allongée par terre. Elle se précipita a ses cotés et l'examina un moment.


Le travail a commencé. Je vais éviter de te déplacer, mais je vais t'installer un peu plus confortablement.

Elle alla chercher des couvertures dans la reserve, et fit une couche de fortune pour la jeune femme. Elle l'aida a s'installer, et commença à fouiller dans sa besace. Elle sortit un pot avec une mixture brune épaisse à l'interieur, avec une odeur végétale tres prononcée. Elle en prit un peu et le donna a Inca.

C'est la même chose que j'ai donné à Kahlan. Mache bien puis avale... Ca devrait t'aider a supporter les douleurs.


KurtWagner a écrit:
Kurt profita d'un moment ou il avais fini de ranger sa taverne, de l'astiquer, et qu'il avait trouvé quelqu'un pour ramasser son blé, pour aller voir comment allait sa concurente préférée Inca.

Il se dirigea donc vers sa taverne, espérant la trouver la pour échanger les derniers ragots de taverniers, et surtout les dernières recettes, et se plaindre des prix trop bas que les autres pratiquaient.


A peine entré il sentit qu'il y avait un problème.. l'atmosphère était devenue trés lourde, et Yla s'agitait partout autour d'une Inca blanc comme neige...
Kurt ne mis qu'un instant pour comprendre la scène qui se jouait sous ses yeux, et il en fut a la fois inquiet et heureux...

Il se tourna vers Yla, qui tout a ses préparatifs ne l'avait pas vu arriver

Hum.. euh... Puis je faire quelque chose pour vous mesdames ??


Ylalang a écrit:
Eh bien, essaie de trouver Oksana déjà, je sais qu'Inca veut qu'elle soit présente. Pour le reste... laissons faire la nature... Mais tout devrait bien se dérouler, ne t'inquiète pas.

Elle lui sourit malgré la legère anxiété inhérente à la situation.

Par contre si tu pouvais éviter que tout le monde rentre ici comme dans une... taverne ! J'apprécierai de travailler tranquillement !


KurtWagner a écrit:
Kurt fit un salut tout militaire, et se dépécha d'exécuter les demandes d'Yla, non sans avoir jeté un coup d'oeil un peu inquiet a Inca.

Il prit un feuille de papier qui trainait par la, et une plume, et y inscrivit de courtes phrases qu'il accrocha sur la porte de la taverne. Tout le monde pourrait ainsi lire :


Défense d'entrée
(si vous avez envie de boire, allez aux deux anges)


Puis il partit au pas de course en direction de la mairie, ou devrait etre si rien ne la retenait ailleurs leur trés chère mairesse.


Inca a écrit:
Yla , j'espère que ta mixture est efficace car ça fait vraiment très mal ..... et où est Oks , elle m'avait dit qu'elle serait là .....

Inca ferma les yeux , espérant que cela la détendrait et par la même estomperait les douleurs.
Elle pensa à yanyan, son amour pour lui , lui permettrait d'endurer toutes les souffrances. Elle aurait aimée qu'il soit là, la vie en avait décidé autrement.

Une grimace apparut sur son visage et elle s'agrippa à la main de Yla , la serrant si fort que son amie poussa un petit cri.


désolé Yla , à la prochaine je m'agriperai à autre chose..elle ne pu s'empecher de sourir devant la mine effarée de Yla .


Ylalang a écrit:
Si tu pouvais laisser ma main intact, j'en serai fort aise mon amie !
Oksana ne devrait pas tarder a arriver, ne t'inquiete pas...

La jeune femme était quand meme inquiete de ne pas voir son amie arriver, non pas qu'elle ne pouvait pas gerer l'accouchement seule, mais Inca y tenait beaucoup.


Ange_Aylla a écrit:
Aylla se dirigait au petit poussin, elle avait envir d’un bon verre de spécial.

Arrivé elle fit face à un inscription qui disait d’allé au deux ange.
C’étais plutôt inhabituelle. Elle monta sur un tonneau pour regarder par la fenêtre si tout allait bien......et elle comprit vite la situation.


oksana a écrit:
Alertée par des cris venant du dehors, Oksana s'approcha de la fenêtre, et vit Kurt qui essayait de rentrer à la mairie, tambourinant à la porte. Elle courut afin de venir lui ouvrir.
Elle était épuisée, avait travaillé une bonne partie des trois dernières nuits à établir de nouveaux tarifs pour les produits, à gérer le plus équitablement possible les impôts sur le blé, et surtout, à tenter de temporiser les débats houleux qui se déroulaient au Conseil économique de Champagne.
Les yeux fatigués, la tête remplie de chiffres et de calculs afin de maintenir les finances de la mairie au mieux, elle tourna la clé dans la serrure afin de faire entrer son ami.

Il était essouflé et avait du mal à parler tant il avait du courir. Elle réussit à comprendre qu'il fallait qu'elle ferme la mairie et qu'elle le suive. Il ne lui laissa pas le temps de prendre ses affaires, et l'entraina par le bras sans plus d'explications.

La lumière du soleil l'éblouit, ses yeux peinaient à regarder devant, sans parler de ses jambes qui ne demandaient qu'à s'allonger !

Quand elle vit la taverne d'Inca, elle se douta de ce qui arrivait.... le bébé, le bébé de son amie devait arriver. Enfin le grand moment était là. Elle eut à peine le temps de lire le mot sur la porte, que déjà Kurt la poussait à l'intérieur.

Elle vit Inca allongée à terre et leur amie Ylalang à ses côtés. Elle s'approcha doucement d'elles et les embrassa, heureuse de vivre ce grand moment à leurs côtés.


Courage Inca, le grand moment est là. Tout va bien se passer. Tu es en train de vivre la plus belle étape de ton existence. Tu vas donner la vie, la vie à un être fait de ta chair. Un être que tu as fabriqué en ton sein, un être né de l'amour entre toi et Yanyan. C'est merveilleux...

Elle prit une serviette, l'humidifia, et tamponna le front d'Inca tout en lui parlant doucement. Elle prit sa main qui se tendait vers elle et regarda Ylalang qui s'agitait, sure d'elle, entre deux contractions. Au vu du sol mouillé, elle comprit qu'elle avait déjà fait les eaux et donc que le travail était déjà bien en cours.


Ylalang a écrit:
Ylalang vit arriver Oksana avec un certain soulagement. Elle détournerait l'attention d'Inca pendant le travail, et ca sera une autre main que la sienne qui sera broyée...
Elle palpa le ventre de la jeune femme, constatant que le bébé était déjà bien engagé. Il ne restait plus beaucoup de temps avant qu'il ne vienne au monde.


Inca, c'est désormais à toi de jouer... Il est bien placé, et a très envie de sortir, alors va falloir l'aider. Tu pousseras quand tu sentiras les contractions. Plus que quelques minutes et tout sera fini...


Inca a écrit:
Oks , mon amie ... elles étaient toutes deux Yla , elle se savait désormais entre de bonnes mains : le savoir faire de Yla et la sagesse de Oks .

Les contractions étaient de plus en plus proches et intenses, elle écouta les instructions de Yla et poussa .

Inca était épuisée, elle avait mal, mais à ce stade elle n'avait plus le choix , elle devait aller jusqu'au bout.


Yla , dis moi que c'est bientôt fini .... je ne peux plus .....


Ange_Aylla a écrit:
Aylla n’osait plus regarder Inca par la fenêtre, de la voir souffrir autant lui donnais la chair de poule !!

Mais elle devait rester tout près car son futur neveu ou sa future nièce allait venir au monde !!


-J’espère que le reste se déroulera bien !!


KurtWagner a écrit:
En faisant les 100 pas devant l'auberge de son amie, Kurt remarqua qu'Aylla s'inquiétait bien plus que lui et il alla lui parler pour la détendre un peu..


Et bien chère Aylla, on dirait que ce qui se passe dedans vous inquiète ?
Pourtant Inca est au mains des meilleures femmes qu'on puisse trouver, et le petit ange qu'elle va mettre au monde sera aussi parfait que ses deux parents !


Ylalang a écrit:
Ylalang sentit la tête du bébé bien positionné.

C'est maintenant ou jamais Inca, un peu de courage encore !


Inca a écrit:
Inca regarda ses amies et serra les dents puis poussa alors qu'une autre contraction se faisait sentir plus forte que toutes les précédentes.

ahhhhhhhhhhhhhh ..... elle ne pu échapper un cri, tandis qu'elle sentait quelque chose la quitter progressivement


oksana a écrit:
Oksana tenait Inca par la main, lui épongeait le front de l'autre, et surveillait Ylalang d'un air interrogateur. Mais celle-ci était trop concentrée pour la voir. Elle aidait Inca du mieux qu'elle le pouvait à chaque contraction, l'incitant à pousser, et lui rappelant d'inspirer et d'expirer. Il était essentiel qu'elle s'oxygène, pour elle, comme pour le bébé, et l'effort qu'elle fournissait à chaque contraction, associé à la fatigue qui commençait à se faire sentir, avait tendance à la laisser en apnée.
Le cri d'Inca, la pression de sa main, signifiaient que le bébé se faisait plus pressant. Le moment de la délivrance était proche.


- Vas-y ma petite Inca, courage, il arrive ce précieux moment. Respire un grand coup et le trésor de ta vie va apparaitre.

Elle lui fit un grand sourire encourageant et regarda Yla penchée sur elle, toujours très concentrée.


Ylalang a écrit:
La jeune femme vit la tête de l'enfant sortir, et dans la foulée les épaules également. Elle prit un linge et recueillit le bébé dedans. Elle demanda a Oksana de nouer un fil autour du cordon ombilical pour pouvoir le couper, tandis que ce qui de placenta était expulsé dans une dernière contraction.

L'enfant poussa son premier cri dans la taverne, un présage peut-être ? Ylalang emmitoufla le bébé et l'amena à Inca, un léger sourire aux lèvres.


Mes félicitations, c'est une magnifique petite fille...


oksana a écrit:
Les larmes aux yeux d'émotion, tremblante, Oksana s'exécuta, non sans avoir admiré la petite merveille qui venait de naitre.
C'était le premier accouchement auquel elle assistait, et ce moment auprès de ses deux amies était intense. Elle était heureuse et fière, pas seulement pour Inca, mais aussi fière de l'honneur qu'elle lui avait accordé en la faisant prévenir, fière de couper le lien qui liait cet enfant à sa mère, son amie.
Elle ne put sortir un son de sa bouche, resta bouche bée en regardant Inca prendre pour la première fois sa fille contre elle...


Inca a écrit:
Yla posa délicatement ce petit etre tant attendu ds ses bras . Inca déposa un baiser sur le front de sa fille, ne pouvant retenir des larmes de bonheur.

bienvenue à toi ma petite Alwena.... je te présente Oksana et Ylalang .... les filles ..... c'est le plus joli bébé de tout le royaume ..... merci à vous deux ....


Ylalang a écrit:
Ylalang sourit en voyant l'émotion d'Inca. Elle commença à ranger les divers linges sortis et se releva. Un peu chancelante, elle prit appui sur une table. La fatigue commençait a se faire sentir, et il lui restait encore tellement de choses à faire avant de partir pour Reims...


KurtWagner a écrit:
Kurt, ayant entendu le cri de l'enfant qui nait, entra enfin dans la taverne, pour y voir les trois femmes radieuses, et le nourrisson qui se calmait dans les bras de la nouvelle mère.

Il vit aussi la fatigue d'Yla, et lui proposa si elle avait finit de prendre un verre avec lui, ca ne pourrait lui faire, et ca lui redonnait des couleurs !

En attendant il fila a l'église, espérant y trouver Yanyan pour lui annoncer la bonne nouvelle... Mais l'église étant vide, il se contenta de laisser un message sur l'autel annonce que la petite Alwena venait de naitre, il la recommandait au Seigneur, avant qu'un prete ne vienne la baptiser.

Il se dirigea ensuite vers les Deux Anges, ou il espérait pouvoir discuter avec Yla.


Ange_Aylla a écrit:
-Elle est si belle….si petite, si fragile !!! Elle fera le bonheur de ses parents j’en suis certaine !! Maintenant que je suis certaine que tout c’est bien passé je vais retourné à la maison et ne pas les embêté plus qu’il ne faut !! Inca a besoin de repos et comme Kurt a dit elle est entre bonne mains !!


Inca a écrit:
Inca se tourna vers Oks...

Oksana , tu es une de mes plus chère amie, je voudrai te demander une faveur..... voudrais tu etre la marraine de ma petite Alwena .....


oksana a écrit:
Restée seule avec Inca, Oksana l'aida à relever un peu le haut de son corps afin de pouvoir donner le premier repas au bébé. L'accouchement s'était bien passé, et malgré la fatigue, la joie primait sur toutes les autres émotions.

Oksana comptait veiller sur Inca le temps qu'elle reprenne un peu des forces puis la ramener chez elle, au calme, avec Alwena jusqu'au retour de Yanyan.

Elle était toute à son admiration lorsqu'elle entendit la proposition d'Inca. Elle fut tant émue qu'elle ne put que s'entendre balbutier un oui confus empreint d'une émotion non dissimulée. Décidemment, cette journée n'avait rien d'une journée ordinaire...


laetitis a écrit:
Laetitis passa la tête par l'entrebaillement de la porte. Elle vit Inca donner le sein à Alwena, un sourire radieux sur le visage. Elle s'avança timidement.
- Toc! toc! J'espère que je ne vous dérange pas? Je venais te féliciter Inca, tu as fait du beau travail !!

Laetitis passa la main dans sa chemise et en sortit une petite poupée en laine jaune et rouge.
- Je l'ai faite pour Alwena, afin qu'elle ai une petite compagnie... Elle la tendit à la jeune maman.


Kahlan a écrit:
Kahlan exécutait sa promenade quotidienne, Taliesin dans les bras, quand elle vit passer Kurt au galop. Il lui jeta un regard incrédule et lui lança quelques mots que la jeune femme comprit à peine.

-Inca...taverne...

Elle fronça les sourcils, un brin soucieuse, comprenant que l'évènement le plus merveilleux pour Inca venait d'avoir lieu.
Elle accélera le pas, pressant la tête de son fils contre son épaule, lui murmurant des mots emplis de tendresse dans le creux de l'oreille.

Enfin elle arriva devant le "Petit Poussin" et la porte fermée l'arrêta un instant. D'autant plus qu'une affiche en interdisait l'accès. Indécise, elle hésita d'abord à frapper. Elle se doutait que Ylalang avait dû passer par là. L'accouchement n'avait pu que bien se dérouler. Tout avait été parfait, en ce qui la concernait, le jour de l'accouchement.

Kahlan se décida enfin à toquer timidement. Oksana vint lui ouvrir, le visage empli d'une émotion non dissimulée. Kahlan en eut elle même le coeur serré par une joie soudaine. Oksana la mena à Inca, qui l'accueillit en tentant de se redresser avec difficulté.


Je te présente Alwena. lui dit elle d'une voix fière.

Kahlan s'approcha, félicita la jeune mère, et caressa délicatement la joue de la petite fille.


Bienvenue, Alwena. Sois à l'image de ta mère, aussi jolie et aussi vivante. Je te présente, pour ma part, Taliesin. Vous avez à peu près le même âge, et je suis heureuse de voir qu'il aura une amie quand il aura l'âge de jouer et de marcher !


Inca a écrit:
Merci Laetitis, ton cadeau me touche beaucoup.

Elle avait vu rentrer Kalhan avec joie et avec une fierté non dissimulée lui présenta sa fille.

Tu sais Kurt m'a dit que ton fils et ma fille ne pourraient se moquer du prénom de l'autre car les deux étaient imprononçables !!!!
Ils sont d'age .... regardant sa fille , elle lui dit Alwena , ma chérie, voici Taliesin.... peut etre mon futur gendre !!!!!

Oksana, Kalhan et Inca se regardèrent et éclatèrent de rire .


Yanyan a écrit:
Puis Yanyan revennait de la foret où il s'y était légèrement égaré. Il rentra chez lui et ne vit personne. Mais où était donc son Inca? Il se rendit en taverne, celle de son Inca.

Il entra et vit sa femme, son Inca avec un enfant dans les bras.


Mais qu'est ce que? C'est quoi ce..? Qui est cet enfant?

Yanyan n'avait pas réalisé tout de suite, il est vrai que la naissance de son enfant lui faisait peur. Mais il ne fallut pas trop longtemps pour revenir à la réalité, il comprit alors qu'il était maintenant papa.

C'est ma fille dit il d'une petite voix

Il regarda Inca puis ajouta


Tu vas bien Inca? Et elle comment elle va? Depuis quand? Racontez moi s'il vous plaît. Je n'étais donc pas présent pour la naissance de ma fille, je m'en veux Inca. Je ne serai pas un bon père, je le sais Inca, je suis désolé...

C'est donc une fille, et donc si ma mémoire est bonne son nom doit être Alwenna, comme nous l'avons convenu.

Il alla alors embrasser sa fille puis sa maman pour qui il avait tant de respect.


Inca a écrit:
Yanyan.... enfin ..... Alwenna , je te présente ton papa.


Inca déposa sa fille ds les bras de Yanyan et manqua éclater de rire devant l'air effaré de celui ci, visiblement il ne savait comment la tenir et que faire de ce petit etre.

Ne t'inquiète pas yanyan, laisse parler ton coeur et tout ira bien....


Yanyan a écrit:
Il prit sa fille et se mit à crier au même moment.

Chhhuuuut disait Yanyan

Je suis ton papa, Yanyan est mon nom. Bienvenue ma petite Alwenna.

Mais elle n'arretait pas de crier, il la déposa alors à côté d'Inca. Elle s'arreta alors tout net de crier. Yanyan avait du mal à le croire, pourquoi? Il rentra alors chez lui et se rasa, en effet la barbe de quelques jours pouvait faire peur...


oksana a écrit:
Restée en retrait, heureuse de voir enfin Yanyan arrivé, Oksana pouffait de rire devant la maladresse de ce pauvre Yanyan qui ne savait que faire de sa fille. Elle n'avait pas plus de mérite, ayant eu la chance de s'occuper de Taliesin en l'absence de Kahlan.

Lorsque Yanyan fut reparti, elle vint à côté d'Inca et lui tendit la main pour l'aider à se relever.


Inca... il faudrait que nous rentrions maintenant. Yanyan est revenu, et vous serez mieux que dans la taverne. Alwena a mangé, et tu as repris quelques forces. Je vous ramène et vous préparerais quelque chose à souper pour toi et Yanyan.
Et puis... Belcro devait également revenir. Peut être est-il déjà à la maison.

Oksana ne put réprimer un sourire rempli d'espoir. Elle espérait qu'il soit là, effectivement, afin de lui présenter la fille de son amie, sa filleule...


Inca a écrit:
Oui nous serons mieux à la maison,......Oks ..... merci d'avoir été là ...Elle déposa une bise sur la joue de son amie.


maelle a écrit:
Emue, hesitante Maelle franchit le seuil de l'auberge. Les nouvelles allaient vite au village et la naissance de la fille d'Inca lui avait été annoncée sitot faite.
La maman était allongée, pâle, légèrement assoupie. Elle ouvrit les yeux lorsqu'elle entendit le grincement de la porte. Le bébé était posé contre elle, repu, endormi.Un léger toupet de cheveux blonds illustrait son crâne rose.

"Bonjour Inca, je suis désolée de t'avoir réveillée. Je suis accourue dès que j'ai appris l'heureuse nouvelle. Je suis ravie pour toi, cette petite fille est magnifique, j'envie ton bonheur, bien que je sache le mien proche"

Maelle posa les mains sur son ventre en un geste tendre et protecteur.

"Deux filles, un garcon sont nés au village, je me demande quel sera le sexe de mon bébé, j'aimerais tant donner un fils à Malitor"

Maelle regardait Alwena en souriant, rêveuse.......


Inca a écrit:
Inca était enfin à la maison, Alwena dormait dans son berceau. Elle se dirigea dans la salle et s'approcha de yanyan et lui murmurra:

merci mais n'oublions pas de penser à nous , oks se ferra un plaisir de la garder.
---fromFRKurtWagner
La mort de Yanyan

Partie I - A Coeur Ouvert


mariemarie a écrit:
C'est le coeur chargé de honte, de peur, mais étrangement mêlé de bonheur que mariemarie osa refranchir les portes de Clermont.
Voilà bientôt deux mois qu'elle était partie. Deux tout petits mois qui lui avait semblé être une éternité.

Qu'avait-elle fait de sa vie depuis ce départ, qu'avait-elle accompli de glorifiant ? Rien...
Ses chausses rouges avait erré sur les routes d'artois, ne prenant pas la peine de retenir les noms des villages et encore moins ceux des habitants.
Tous les chemins se ressemblaient maintenant.
Bien que les nuits de Juillet offraientt parfois de magnifiques spectacles dans les cieux, elle n'osait lever le regard vers ce ciel qui ne contenait pour elle aucune étoile.
Son étoile à elle avait déjà trouvé sa lune... voilà sa souffrance.

Et puis par un jour de Juillet alors qu'elle tentait maladroitement de pêcher sur les rives de Bertincourt elle reçut une bien étrange missive.
Les larmes aux yeux elle découvrit que cette belle missive venait de cette étoile, cette étoile qu'elle avait cru filante.... Yanyan....

Elle lut et relut cette missive dont elle ne pouvait croire les mots inscrits. Yanyan l'aimait encore, et qui plus est, lui proposait de revenir en Champagne.
Le ciel nu de tout étoile se remit à scintiller de mille feux.
Elle senti sa poitrine lui brûler comme jamais, elle qui était prête à tout pour lui hésita tout de même quelques temps. Et puis d'autres missives arrivèrent, toutes plus belles que les autres. et d'autres encore et encore!!

Mariemarie se croyait devenir folle. Que faire ? Oser aimer un homme déjà marié et père ? Ou ne penser qu'à bonheur et rejoindre celui qui la rejoignait chaque nuit dans ses rêves ? Mais faire son bonheur serait rendre malheureux tant de personnes....Pourraient-ils vivre leur amour au grand jour ?

Las de ses questionnement perpétuels, de ses états d'âme qui lui gâchaient sa vie déjà bien misérable. Elle répondit favorablement à la demande de Yanyan et reprit la route pour Clermont.

Peut importe ce que penserons les clermontois, Yanyan est tout pour elle, et elle sait qu'elle est dans son coeur. Et serait prête à tout pour lui... mais lui ?


Yanyan a écrit:
Voila déjà quelques jours, une certaine dame aux chausses rougeâtres était arrivée à Clermont. Elle se nommait Mariemarie, quel était le prénom du nom? Yanyan se l'était toujours demandé... Marie était une dame que Yanyan avait rencontré au cours d'une mission avec les loups. Il était à Sainte Ménéhoulde pour combattre un certain Mötorhead, la mission terminée il entra alors en taverne. Il y vit alors une jeune vagabonde, seulement revêtit de son haillon. Elle avait besoin d'aide, elle voyageait sans rien, elle était seule.

Ils discutèrent alors un moment et firent connaissance. Voyant que Marie avait besoin d'aide et voyant la situation instable en Champagne, Yanyan proposa à Marie de l'escorter jusqu'à Clermont le temps pour elle de voyager dignement. Mais durant ce voyage il se passa quelque chose. Ils étaient seuls sur les chemins direction Clermont, c'était une femme charmante et attirante. Marie arrivait à comprendre Yanyan comme peu d'autres l'avait fait, c'était la première fois qu'il discuta de cette manière avec quelqu'un. Très vite Marie prit de l'importance pour lui, très vite Yanyan su que Marie n'était pas qu'une simple vagabonde.

Ils arrivèrent alors à Clermont, ces deux jours de marche étaient passés très vite. Yanyan avait alors retrouvé son Inca, elle l'avait accueilli de bonne façon. Inca supposait qu'il s'était passé quelque chose entre les deux, des sous entendus, des missives, Inca sentait que Yanyan s'éloignait. Les rencontres alors entre Marie et Inca étaient devenues violentes, elles ne s'aimaient pas, l'une avait peur qu'une vagabonde lui change sa vie, l'autre suivait ce que son coeur lui disait. Yanyan continuait de voir Marie en secret, mais il ne s'était jamais rien passé, certes il la voyait souvent, certes ils s'échangeaient des mots doux, mais il ne s'était rien passé de concret. Puis un soir, la pression fut trop intense, des sous entendus d'un homme, une missive d'Inca, des conversations à son sujet, Yanyan craqua, il avait pris la décision de partir avec elle. Partir avec Marie, cette vagabonde rencontrée quelques jours plu tôt. Mais Yanyan respectait Inca, elle ne méritait pas ceci. Inca faisait tout pour Yanyan, elle l'aimait, elle était incroyable. Comment Yanyan pouvai-il alors la quitter après ce mariage, ce futur enfant et cette fidélité qu'Inca lui vouait? Pour ne pas laisser Inca dans le désespoir, Yanyan voulut alors la dégoûter, il pris soin de faire en sorte qu'Inca allait maintenant le haïr. D'une façon peu correcte il quitta Clermont, Yanyan espérait maintenant qu'Inca l'oublierait.

Mais comment oublier son époux? Et Yanyan, comment pouvait-il oublier Inca? Sa femme, la mère de son futur enfant… Qui était Yanyan pour agir comme ça. Alors à Compiègne Yanyan se remit en question, il pensa à sa discussion avec Bradley, alors intime confident de Yanyan. Par le mariage Yanyan se souvenait avoir été lié à jamais avec sa femme. Il a juré affronter l'adversité, il a juré contourner les obstacles pour conserver cet amour jadis si intense qu'il fut la cause du mariage. Oksana lui avait aussi demandé de revenir, de se souvenir qu'il serait père, cette chère dame fit tomber la balance pour Clermont. Voyant qu'il ne pouvait agir de cette sorte, Yanyan fit demi-tour, et laissa Marie vagabonder sur les routes de France. C'était cependant le coeur lourd, très lourd, qu'il quitta celle qu'il aimait désormais. Yanyan devait revenir avec Inca, il n'avait pas le choix, mais il le savait, celle qu'il aimait était Marie. Cette chère demoiselle aux chausses rouges avait pris place dans son coeur. Yanyan revint alors à Clermont, dans sa demeure, il s'excusa mais la flamme ne brillait plus autant. Pendant environ un mois, Yanyan s'occupait de ses vaches, cela lui suffisait, il n'avait plus le moral à faire quoi que ce soit. Il s'était quelque peu retiré, il se trouvait paradoxalement seul entre ces deux femmes. Il s'opposait à ce que son coeur lui disait pour respecter Inca, son futur enfant et le Tout-puissant. Et le temps passait, Yanyan s'adaptait à cette situation qui semblait bien pénible.

Puis un beau matin il entra en taverne et y découvrit une drôle de dame. C'était une amie de Marie, certes Yanyan pensait à elle toutes les nuits, mais il n'avait jamais osé reprendre contact. Ils s'étaient quittés les larmes à l'oeil, ils s'étaient quittés par obligation et par respect. Et être au contact de cette amie le rapprochait de Marie, il prit alors sa plume et contacta Marie pour lui témoigner son amour. Et voila petit à petit que leur amour les rapprocha, Marie revint en Champagne puis à Clermont. Elle revint pour lui, pour Yanyan car elle l'aimait, car elle était prête à tout pour lui. Mais Yanyan était-il prêt à tout pour elle? Certes il l'aimait, mais il n'a pas eu le courage nécessaire pour affronter le Très-Haut et la dignité. Il n'a pas eu le courage pour suivre ce que son coeur lui disait car cela lui demandait d'être lâche. Alors était-il prêt à tout pour elle? Il ne l'a pas été capable une première fois, mais comment sera l'avenir?


Yanyan a écrit:
Yanyan terminant son travail dans sa boulangerie se rendit au verger. Il y vit alors Marie dangereusement accrochée à un arbre pour tenter d'y cueillir un fruit encore peu mûr. Il lui fit alors signe de descendre. Yanyan voulait lui parler. Marie exécuta son ordre et lacha prise, elle tomba dans les bras de Yanyan.

Marie, il faut que nous parlions, vous êtes venue ici par amour, mais qu'avons nous fait depuis votre arrivée? Combien de mots avons-nous échangé? Marie, ma chère, voulez bien me suivre? J'en ai plus qu'assez de devoir vous éviter, j'en ai plus qu'assez de vous savoir à quelques mètres de chez moi. Oublions les autres l'espace d'un instant, suivez-moi ma chère.

Ils se dirigèrent alors vers la grange de Yanyan. Celle-ci possédait un grenier où le porpriétaire y déposait autrefois du foin pour les bêtes. Dans ce grenier étaient aussi déposé les quelques souvenirs que Yanyan avait de Marie. Il les avait bien évidemment caché de peur qu'Inca les découvre un jour. Ces quelques objets se trouvaient à l'intérieur d'une poutre en bois, où un trou y avait été délicatement creusé. Ils s'allongèrent alors dans le foin et parlèrent du passé et de leur amour...


mariemarie a écrit:
Mariemarie se laissa guider par Yanyan dans l'obscurité de cette grange.
Bien qu'à l'extérieur le soleil offrait déjà tous ses rayons à cette belle ville de Clermont, à l'intérieur de cette grange elle ne pouvait distinguer de lui que sa silhouette. Parfois un rai de lumière passant entre deux planches mal jointes lui permettait d'entrevoir son visage.

Depuis qu'il était venu la chercher en ce verger, elle n'avait pu prononcer mots.
Elle ne pouvait croire que c'était lui, ici, près d'elle. Yanyan... Cette homme qui lui faisait perdre la tête, cette homme dont l'amour était devenu sa foi, sa raison de vivre.

Elle suivit du regard cette silhouette se déplacer au fond de la grange et revenir avec un petit paquet.
Yanyan s'allongea dans le foin, tendit le bras à mariemarie pour l'inviter à le rejoindre.

Bien que l'envie de le rejoindre était immense mariemarie hésita, avait peur que quelqu'un ne les surprenne.

Mais êtes-vous devenu inconscient Yanyan, quelqu'un pourrait entrer, pourrait nous voir, imaginez que nous....

Il ne lui laissa pas terminer sa phrase, la prenant par le bras, il la fit s'allonger dans le foin avec lui.

Mariemarie se disait qu'elle n'avait jamais été aussi proche de cette homme qu'à cet instant.
Ses yeux s'étant habitués maintenant à la pénombre, elle pouvait voir enfin son visage, ses yeux, ses lèvres dont elle ne connaissait le parfum.

Il se regardèrent dans les yeux longtemps, très longtemps. Ils ne disaient mots mais ce regard était chargé pour eux de tout l'amour qu'ils se portaient l'un vers l'autre.

Elle vit entre les mains de yanyan ce curieux paquet qu'il était allé chercher. Elle posa sa main sur celui-ci et demanda à Yanyan :

Vous vouliez me parler ? Mais qu'est-ce donc que ce paquet ?

Délicatement il défit le lacet de cuir et Mariemarie découvrit des missives.
Elle resta un instant incrédule, ne comprenant pas la situation. Elle prit une des missives entre ses mains et reconnut son écriture.


Mais... ce sont les lettres que je vous ai envoyé!! Vous les avez gardé tout ce temps ?

Une larme roula sur sa joue devenue aussi rouge que ses chausses. Ne quittant Yanyan des yeux, elle porta sa main en son sein gauche et en sortit une enveloppe de cuir. Sur cette enveloppe on pouvait y voir gravé une lettre : Y.


Moi aussi Yanyan, je l'ai ai gardé. Je peux même vous les réciter sans même prendre la peine de les ouvrir tellement j'ai pu les lire et les relire. Ces lettres ont été pendant ces deux derniers mois ce qui me rattachait à cette pauvre vie et m'empêcher de me jeter à l'eau à Bertincourt. Elles sont l'unique chose que je possède.

Ils se rallongèrent dans ce foin leurs corps étaient maintenant plus proches, se touchaient. Jamais ils n'avaient partagé tel moment d'intimité.
Tournant la tête vers Yanyan, mariemarie lui sourit.


Je vous aime tant Yanyan... quel souffrance que de pouvoir respirer le même air que vous, de vous croiser dans les rue, et devoir feindre n'avoir aucun sentiment en votre encontre ! Puisse Aristote me pardonner de certaines pensées que j'ai parfois..

Vous souvenez-vous de la première fois que nous nous sommes rencontrés ?
Vous souvenez-vous de ma première missive dans laquelle je vous faisais part de mes sentiments et de mon désir de fuir cet amour ?
Mais comment le fuir ? Il est ancré en moi.
Que dois-je faire Yanyan ? Que dois-je faire ? Que devons-nous faire? N'ayez peur de me blesser, dites-moi ce que votre coeur vous dit. Dites-moi si c'est une erreur que d'être là près de vous?

Yanyan déposa un doigt sur les lèvres de Mariemarie pour qu'elle se taise.


Yanyan a écrit:
Nous ne faisons que respecter notre amour Marie. Que dit votre cœur ? Allez y, suivez le. Si vous ne m’aimez point alors partez, je ne vous oblige point à rester. Si vous rêvez encore de moi chaque nuit, alors restez ici, et oubliez le monde quelques instants. Evadons-nous ma chère, combien de temps depuis notre rencontre avons-nous été ensemble ? Trop peu ma chère…

Yanyan regarda alors Marie dans les yeux, il y avait un regard intense qui s’échappait des deux individus, un regard chargé d’amour. Il fut alors bloqué, absorbé par ce regard, par cette femme qu’il aimait tant. Puis une souris sortit du foin, celle-ci alerta Yanyan, il prit une fourche et la tua sans aucne hésitation. Elle fuyait les deux hommes et Yanyan l'avait tué car elle était venue interrompre ce moment. Yanyan paraissait prêt à tout pour vivre du mieux possible avec Marie.

Marie, vous me demandiez tout à l’heure si j’avais souvenir de notre rencontre, si vos missives étaient encore présentes dans ma tête. Et bien comme vous, je les connais par cœur, voyez les comme elles sont bien écrites.

Yanyan sortit alors une missive de la boîte, il y était inscrit « déclaration ». C’était une missive de Marie écrite lors de leur arrivée à Clermont suite à leur rencontre à Sainte Ménéhoulde

Ecoutez ma chère, comme elle est belle cette lettre,

Citation:
Messire,

Ce que j'ai à vous dire n'est pas chose facile pour moi. J'aurais souhaité autre missive plus réjouissante...mais bon, la vie nous offre à chacun son lot de chagrin, et je crois qu'elle m'en a servi le double.
Votre gueuse, votre "red shoes girl" va devoir partir, et ce le coeur déchiré.
Partir non pas par devoir mais par fuite....Pour VOUS fuir Messire.
Sachez que vous n'êtes pas mon étoile, et ne le serez jamais Sieur Yanyan.
En réalité vous êtes ma lune, celle que je cherchais à décrocher depuis tant d'années.
Dès que je vous ai vu à Ste Ménehould, la terre s'est dérobée sous mes pieds. Et plus je vous rencontrais plus mon coeur me brûlait. Ce fut pour moi un véritable enfer que de croiser un si beau regard, votre regard. Et sans y voir l'ombre d'un intérêt pour moi à l'intérieur.
Hélas, j'ai appris par la suite que cette lune a déjà trouvé son étoile, et pas n'importe laquelle: la plus brillante de toutes, Dame Inca.
A la rencontrer, je me rends compte de ma petitesse, moi, cette vagabonde, et elle...elle qui est dans votre coeur.
C'est pourquoi, je vais partir. Je ne pourrais point vivre près de vous et ne voir point d'amour dans vos yeux.
Et par delà toute chose, je ne veux pas offusquer Dame Inca, elle qui est si bonne.
Voilà messire, voilà ce que cet aspect mystérieux, dont vous m'avez tant de fois parlé, cachait.
Je vous remercie encore de votre bonté, de votre grande aide.
Je vous souhaite une vie paisible et heureuse. Je penserais bien à vous (comment ne pas penser à vous d'ailleurs!)
Je viens d'envoyer une missive à Amiens, j’attends leur réponse pour partir.

Veuillez me pardonner pour ces confessions, mais je ne pouvais partir sans vous dire.
Et s'il vous plait, brûlez cette lettre. De toute façon je pense qu'elle ne possède aucune valeur à vos yeux. J'aimerais que ces quelques mots restent entre nous. Laissez-moi ce plaisir que de savoir que j'ai pu partager au moins une chose avec vous dans l'intimité...


Je n’ai visiblement pas réalisé votre souhait ma chère, vous me demandiez de la brûler, mais cela était impossible. La brûler aurait été faire disparaître les dernières traces qu’il me restait de vous.

Puis Yanyan sortit une autre missive, celle-ci comportait l’inscription « en route ». Cela signifiait tout simplement le retour de Marie en Champagne

Cette missive m’a remonté le moral comme rien d’autre n’aurait pu le faire. J’étais alors au bord du gouffre, et à la réception de cette lettre j’ai tout oublié si ce n’est vous. J’en ai laissé les cochons, ils mourraient de faim sans que je ne m’en aperçoive. Ecoutez là Marie, écoutez comme les sentiments passent dans cette lettre.

Et Yanyan commença à lire la missive…
Citation:
Très cher Yanyan,

J'ai lu et relu votre missive, et ma décision est prise: je reviens en Champagne.
J'ai fait abstraction de tous ces principes que je m'inflige et qui me torturent jours et nuits.
Dois-je éternellement rester sage et me cacher??
Je pars dès demain pour Varennes où j'espère y retrouver mon amie.
Vous me disiez avoir des connaissances là-bas, lesquelles sont-elles?
De plus, j'ai une confession à vous faire, qu'il va falloir que je fasse également au sieur Mithrilas. Je vais revenir une journée à Clermont...
Dans la plus grande discrétion cela va de soi, surtout après les évènements que nous connaissons.
Si j'ai décidé de refranchir les portes de ce village, c'est par pur esprit de reconnaissance envers sieur Mithrilas, lui qui avait été si bon avec moi.
Mais surtout, je lui avais fait promesse de ne me fournir en tissu que chez lui. Les temps se couvrent malgré cette saison estivale, et une chemise me serait bien utile.
Je viendrai donc au petit matin, et repartirai dans l'heure qui suivra.
Je pense qu'il sera inutile et fort osé que de vous informer du jour exact de ma venue.
Vous croiser me mettrait dans un grand embarras...ma place n'étant pas en ce village.

Votre Mariemarie.


Merci ma chère pour les tendres moments que vous m’avez accordé à la lecture de ces lettres. Regardez comme la boîte est pleine, je les connais toutes, il m’arrivait souvent de venir ici me rapprocher un peu plus de vous.

Marie ne disait pas grand mot, mais son regard suffisait à comprendre ce qu’elle ressentait. Ils étaient là, seuls au milieu de ce foin. Ils avaient rêvé de ceci des centaines de fois, et les voici réunis tous deux, pour récupérer d’une certaine manière, ce temps trop longtemps perdu















mariemarie a écrit:
Mariemarie sourit à la lecture de ses missives.
Ne quittant Yanyan du regard, elle pressa contre sa poitrine son enveloppe de cuir, et se remémora la première missive que Yanyan lui avait envoyé. En réponse à la sienne.


Citation:
Ma chère,

Je ne sais que penser, c’est vraiment difficile pour moi. D'un côté j'ai ma femme, mon Inca, je vais bientôt être père. De l'autre il y a vous. Je dois bien dire que je n'ai rarement rencontré quelqu'un comme vous... je dois même dire jamais. Vous êtes si parfaite! Vous vous abaissez dans votre lettre mais sachez qu'il n'en est rien. Jamais je n'ai fait de si beaux rêves depuis notre rencontre. Mon désir penche de votre côté ma chère, je dois bien le dire. Mais que faire?

"Ce fut pour moi un véritable enfer que de croiser un si beau regard, votre regard. Et sans y voir l'ombre d'un intérêt pour moi à l'intérieur." Non ma chère Marie, cela n'est que bêtises. Je vous AIME, mais comprenez ma situation. Suis-je à un croisement ou suis-je dans une impasse? Je ne le sais point. Une chose est sûre cependant, votre départ me ferait terriblement souffrir. La nuit dernière je n'ai pensé qu'à vous, je rêvais d'être à vos côtés. A chaque fois que je vous vois, la vie semble si intense! C'est un réel délice d'être à vos côtés, je nage dans le bonheur. Mais ce bonheur n’est que de courte duré, la réalité me rattrape ensuite…

Je vous en conjure mon amour, ne partez pas. Ne me laissez pas seul, cela me briserait le cœur à jamais. Je ne veux pas faire de mal à ma femme, mais je ne puis contrôler ce que je ressens. Pour vous prouver mon amour je viendrai à la taverne ce soir dire que je vous aime. Mais cet amour doit rester secret, le comprenez vous Marie ? Je sais que c’est difficile à admettre, mais je ne puis abandonner ma femme dans de telles conditions. C’est vous que j’aime aujourd’hui, j’en suis sûr. Nous pourrions vivre dans le secret, même si cela risque d’être difficile pour vous. Peut être que l’avenir nous éclairera ensuite sur le chemin à prendre ?

Votre lettre n’ira pas aux flammes, mais restera dans mon cœur. Je la garde à jamais, les heures que je vis en ce moment sont si belles que je ne puis les ignorer. Cette lettre ne restera qu’entre vous et moi, mais je vous en conjure, ne diffusez pas la mienne non plus. Même si la haine de Satan doit s’en prendre à nous, promettez moi une chose ; ne diffusez pas cette lettre.

Je vous aime Marie, vous êtes aussi cette lune que je cherchais désespérément. Partir ne ferait que me détruire.

Votre Yanyan.


Elle se remémora également la missive qui l'avait résolue à revenir à clermont. Les lettres de Yanyan étaient toutes plus belles les unes que les autres;

Citation:
Ma très chère,

Vous êtes donc à un croisement, quelle route prendre? Telle est votre question. Je dois vous avouer avoir contacté dame Misslutine pour vous héberger vous et votre amie à Varennes. Cependant mon plus grand souhait serait de vous revoir ma chère. En deux mots ce que je veux se résume par; prenez Clermont. Et oui ma chère, prenez Clermont et non Varennes, prenez la route menant à ma ville, vous serez guidée par les étoiles.

La dernière fois que j'étais à Compiègne c'était avec vous. Nos chemins se séparaient, il est venu le temps de rattraper le temps. La boucle est bouclée, revenons au point de départ, je ne désire que vous revoir. Pour tout vous dire, si vous ne venez pas à Clermont et allez à Varennes alors je viendrai vous chercher à Varennes. Croyez moi, je vous aime, je veux vous revoir!

Au sujet de la dame que vous avez rencontré à Compiègne; Talysia ou quelque chose comme ça, je ne la connais pas. Mais je connais bien Moqi... Dame Garatatronche vous a peut être raconté quelques anecdotes à son sujet. Il y avait un amour naissant entre les deux, et pour ma part, Moqi est un homme que je n'aime pas. Mais cette dame est peut être bien différente. Peut être saura t-elle se montrer digne et respecter le silence. J'espère qu'elle ne dira rien quant à votre arrivée. Mais faîtes voyage à deux, les brigands sont partout. Je ne voudrais pas vous voire morte ma chère. Prenez soin de vous, ne jouez pas les héros.

Je viens d'apprendre qu'un homme vous a demandé en épousailles (?^^). Cela est dû à votre charme, je suis tombé sous le votre comme beaucoup d'autres je pense. Seulement, je ne vous aime pas seulement pour votre charme ou votre physique, je ne vous aime pas pour passer une nuit à vos côtés, je vous aime vraiment, de tout mon coeur, je ne pense qu'à vous désormais. Je suis prêt à mourir pour vous ma chère, je suis prêt à tout pour vous. Mon amour est pur et sincère, croyez moi.

Voila, j'en termine ma missive, je rêve de rencontrer à nouveau votre regard, de vous revoir à nouveau, et ce autrement que pas des mots. Tournez vers Clermont, faîtes le pour nous Marie. Voila ce que je désire.

Votre dévoué,
Yanyan


Elle resta immobile, face à cet homme qu'elle aimait tant, ce grand homme, ce Yanyan.
Regardant le corps de la pauvre souris qui avait osé les interrompre dans ce moment, elle se demanda si Yanyan serait vraiment prêt à tout affronter pour les privilégier. Affronter choses et personnes plus importantes que cette petite bête.

Des frissons lui parcouraient le corps. Elle n'attendait maintenant qu'une chose.....un geste d'amour de Yanyan. En ayant assez des mots, elle souhaitait à ce moment et à cet endroit qu'une seule chose. Un baiser. Connaître le goût de ses lèvres, ses lèvres qui lui avaient chuchotée tant de mots doux.
Elle se disait, qu'après cela elle pourrait mourrir le coeur plus léger.








Yanyan a écrit:
Yanyan écoutait la douce voix de Marie, il profitait au maximum de ce moment car de son expérience, les vrais bons moments ne durent pas. Celui-ci faisait parti de ses deux plus grands moments de sa vie, et paradoxalement, l’autre était celui du mariage avec Inca.

Puis Yanyan se rapprocha de sa douce et lui murmura quelques chose à l’oreille


Je vous aime Marie, vous êtes si belle et si charmante… Vous êtes l’incarnation de la beauté, vous êtes mon étoile. Mais il existe toute sorte d’étoile, et je peux vous confirmer que vous êtes plus du genre étoile polaire, celle qui scintille plus que les autres. Merci pour tout Marie, merci pour ce moment de bonheur que vous m’avez fait vivre.

Marie était maintenant une partie de Yanyan, leurs êtres semblaient fusionner, c’était comme s’ils ne faisaient plus qu’un. Leur amour les rapprochait ; « parce que c’était elle, parce que c’était moi », voila une phrase pouvant résumer la situation. Les deux individus ne pouvaient le nier, ils étaient fait l’un pour l’autre. Il y avait cependant d’autres paramètres en jeu…

Marie, j’ai toujours rêvé d’être à vos côtés sur une terre déserte pour vivre pleinement notre amour. Nous sommes ici restreints et nous l’avons jusqu’ici toujours accepté. Nous avons par le passé fait avec ces paramètres nous interdisant de suivre notre cœur. Car nous ne sommes pas seuls sur cette Terre, je me suis marié, j’ai ma femme, je l’ai aimé, je vais être père. Jusqu’ici j’ai toujours rêvé de cette terre déserte où nous serions seuls car cela semblait relever de l’imaginaire. Mais je faisais erreur, bien que cela sera sûrement de courte durée, nous y voila. Nous sommes y ici seuls, entre nous pour vivre pleinement notre amour. Car oui je vous aime ma chère.

Et Yanyan déposa sa main sur le visage de Marie, puis il s’avança la regardant dans les yeux. Sa main glissa alors dans les cheveux de sa chère, il sentait cette peau si douce. Puis il déposa un doux baiser, un doux et long baiser concrétisant ce moment si intense.

Puis il se recula et avala sa salive, une larme coula le long de son visage


Marie, je ne puis, cela est impossible, comment pourrions nous vivre ailleurs ? Je ne puis être à Clermont, mais je ne pourrais être ailleurs sur ce Royaume de France. Je suis lié à Inca, je suis lié par elle si ce n’est pas amour, par le respect pour une femme si glorieuse. Je ne puis disparaître en laissant un enfant sans père et dans l’inconnu. Je ne peux trahir Dieu de nouveau, je me suis égaré à plusieurs reprises de son chemin, et il m’est impossible de vivre continuellement dans le pêché. J’ai prêté serment en me mariant. Comprenez moi ma chère, ce baiser fut si beau, si merveilleux, croyez moi, il était plus que sincère. Mais je ne suis pas homme à vivre sans morale. Bien sûr j’ai fait des erreurs, et en nombre je l’avoue, mais abandonner femme, enfant et Dieu est trop m’en demander. Il me serait impossible de vivre.

Mais d’un autre côté il me serait impossible de rentrer ce soir chez moi, de faire comme si de rien était encore une fois. Il me serait impossible de vous quitter. Je suis dans l’impasse Marie, je ne sais que faire, je ne trouve aucune solution. Je ne puis m’opposer à mon cœur, et je ne puis m’opposer à ma tête. Parfois je me demande si la vie vaut la peine d’être vécue ma chère…


mariemarie a écrit:
Mariemarie écoutait Yanyan, et elle se disait qu'elle aussi était perdue. Qu'était-elle venue chercher en ce village ? L'amour ? La haine ? La déception ? La tête lui tournait. Pourquoi le Très Haut ne lui avait pas permis de vivre cette amour dans l'insouciance comme il le permet à tant de demoiselles ? Pourquoi elle ? Pourquoi eux ?
Ses yeux devenus fous, elle se mit à pleurer, et à crier, tapant des points contre la poitrine de Yanyan.


Cessez yanyan, cessez !!! Si je n'avais point existé vous seriez bien heureux avec votre Inca et cette petite fille !! Cessez je vous en conjure.

Quittant les bras de Yanyan, elle s'agnouilla à ses pieds. Le visage trempé de larmes, c'est d'une voix sans timbre qu'elle se mit à chantonner un air que feue sa mère lui avais apprise.

Vole, petit ange vole,
Que tes ailes te donnent ton envol,
Vole si ton âme s'affole,
Regarde les cieux,
Tu n'y verras que mes yeux.

Mariemarie se releva, continuant à chanter cette air. Yanyan ne pouvait reconnaitre son visage, tellement les traits de celui-ci s'étaient durcis. Echeveulée, les yeux hagards remplis de larmes, elle continua à chanter en se dirigeant vers une petite lucarne d'où on pouvait voir le ciel.

Vole, petit ange vole,
Que tes ailes te donnent ton envol,
Vole si ton âme s'affole,
Regarde les cieux,
Tu n'y verras que mes yeux.


Vole, petit ange vole,
Que tes ailes te donnent ton envol,
Vole si ton âme s'affole,
Regarde les cieux,
Tu n'y verras que mes yeux.

Le regard vers le ciel, Mariemarie sentait une douleur battre dans ses tempes. Elle se prit la tête entre ses mains, cachant son visage. et on pouvait encore entendre murmurer :

Vole, petit ange vole,
Que tes ailes te donnent ton envol,
Vole si ton âme s'affole,
Regarde les cieux,
Tu n'y verras que mes yeux.

Vole, petit ange vole,
Que tes ailes te donnent ton envol,
Vole si ton âme s'affole,
Regarde les cieux,
Tu n'y verras que mes yeux.

Elle se retourna et regarda Yanyan. Cette âme qui s'affole..... les cieux..... tes yeux..... On pouvait voir apparaitre sur son visage un sourire que personne ne lui connaissait. Elle s'avança vers yanyan d'une démarche ébrieuse, toujours avec cet étrange sourire aux lèvres.

Yanyan, pourquoi ne comprenons-nous les mots de nos mère que tardivement ?

Yanyan ne dit rien, il ne comprenait pas. Mariemarie se mit à rire, un rire nerveux.


Vous ne savez pas mon amour ? Pourquoi faut-il toujours comprendre les choses trop tard? Cessez vos tourments Yanyan. Cessez de souffrir. Je ne puis vivre en sachant que je vous rend malheureux.
Quelle jolie vie auriez-vous eu sans moi!
Vous me disiez que j'étais votre étoile, POLAIRE qui plus est! si BRILLANTE! on ne voit qu'elle!!
Et bien mon amour, ne vous tourmentez plus, cette étoile va rejoindre le ciel. Nous pourrons dorénavant nous voir quand bon nous semblera.
Regardez les cieux Yanyan, Vous n'y verrais que mes yeux.[/i]

Mariemarie s'avança vers Yanyan. Elle pressa son corps contre le sien et l'embrassa. Elle ne pleurait plus maintenant. Elle le regarda longuement. Sa main gauche se porta sur la joue de cette homme qu'elle aime tant.
Sans que Yanyan ne s'en apperçoive, elle plongea sa main droite dans la poche de Yanyan, en sortit un couteau et ramena sa main derrière son dos.
Ses lèvres se séparèrent de celle de Yanyan. Elle recula à petit pas, les yeux plongés dans ceux de Yanyan.

Mariemarie porta sa main droite dans laquelle se tenait le couteau à son coeur.


Je crois Yanyan qu'il serait tant que je suive les conseils de feue ma mère.

Yanyan se jeta sur mariemarie et lui arracha le couteau des mains.


Yanyan a écrit:
Yanyan avait alors le couteau dans ses mains, il se recula et regarda Marie. Puis un silence se fut, il réfléchissait, Yanyan avait le sentiment que Marie avait trouvé la solution. Il ne pouvait vivre avec Marie, il ne pouvait vivre avec Inca, la mort serait-elle la solution ? Il contempla son couteau et le rangea dans sa poche.

Marie, peut être avez-vous raison. Ce couteau serait-il mon objet de délivrance ? Ce n’est pas une décision à prendre à la légère mais je crois que c’est la seule…

Vous me demandiez si je suis prêt à tout pour vous. Je suis prêt à mourir pour vous, voila ce que je peux faire. Nous pouvons encore rester ensemble, et ce, par l’intermédiaire de ce couteau.

Il leva la tête en direction de Marie

Voila, Marie, je veux vous suivre dans ces cieux pour se rapprocher des étoiles. C’est décidé Marie, je veux rendre l’âme pour vous, je veux monter là-haut à vos côtés. Nous y serons heureux et personne ne nous dérangera. Ici, en bas ils me verront morts et m’oublieront très vite.

Puis il s’approcha de Marie et l’embrassa longuement. Des larmes coulaient sur son visage,, puis il prit la parole

Seriez vous prêt à me suivre là-haut ?

Marie hocha la tête

Souvenez vous Yanyan je suis prêt à tout pour vous.

A ces mots Yanyan s’allongea dans le foin. Voila, la décision était prise, c’était l’unique solution, ils allaient se donner la mort par amour l’un pour l’autre. Puis Yanyan ajouta :

Je veux partir avec vous, me rapprocher du Royaume de Dieu, je vous suivre pour l’éternité. Là est le seul endroit où cela sera possible. Cette Terre ne veut plus de nous, alors disparaissons. Mais je veux laisser trace de ma mort, je veux laisser une dernière lettre pour ceux que j’aime.

Marie était d’accord, il fallait laisser une lettre pour sa femme, son enfant mais aussi les thomistes et Clermont. Elle sorti un crayon de la boîte, ce crayon même avec lequel Yanyan écrivait les missives à Marie. Elle prit de même un parchemin de cette boîte et s’apprêta à écrire.

Je vais vous aider messire Yanyan, vous allez me dicter ce que je dois écrire, je me charge du reste.

Puis Yanyan commença à parler

Celle-ci est pour Inca, ma femme, celle que j’ai jadis tant aimé ;

Citation:
Inca,

A l’heure qu’il est ton époux n’est plus. Comme tu le sais, Marie m’a changé la tête, Marie m’a complètement bouleversé, je l’aime Inca. Je sais que ces mots seront douloureux pour toi, toi qui m’as toujours aimé, toi qui m’as toujours respecté. Toi qui est si grande, si forte et si chaleureuse. Tu m’as toujours aidé quand j’en avais besoin, tu m’as toujours accompagné lorsque je partais. Tu m’as fait sortir de ma grange autrefois, grâce à toi j’ai découvert la vie. Je t’en serai éternellement reconnaissant. Et c’est pourquoi je me suis donné la mort. Car je te respecte, je respecte une femme comme toi, je t’ai aimé, mais mon cœur ne bat plus pour toi, il bat pour Marie cette gueuse que tu n’as jamais aimé. Cependant je ne peux partir avec elle, disparaître et ainsi laisser ma femme, et mon enfant. Comment puis-je vivre avec cela sur la conscience. Je ne puis Inca, et mon amour est tout de même trop fort envers Marie. Alors je me suis donner la mort, je l’ai fait pour Marie et moi, mais aussi pour toi. Que mon âme monte aux cieux est je crois la meilleure solution. En vérité c’est la seule, tu seras maintenant libre et heureuse. Tu garderas mon enfant, je te fais confiance pour t’en occuper au mieux. Il serait bon de trouver un homme, celui-ci t’aidera dans cette nouvelle vie qui débute. Je te lègue aussi tout mon argent mais aussi mon champ et ma grange. Je te donne tout Inca. Tu as tant fait de choses pour moi que j’en ai honte de t’écrire ainsi. Mais je n’ai pas le choix, tu m’oublieras et ce sera la meilleure solution.

Voila Inca, cette missive bien maigre pour tout simplement te dire merci mais aussi pardon. Pardon pour ce que j’ai fait. Tu es une grande dame, continue à travailler pour le bien de Clermont, oublie moi désormais, je n’ai pas été homme à la hauteur. Je ne méritais même pas de vivre à tes côtés.

Pour ce qui est d’Alwena, notre enfant, dis lui que son père n’est plus. Dis lui que celui-ci est mort, dis lui qu’il n’avait pas le courage de vivre. Apprends lui les valeurs de la vie, fais d’elle une grande dame. Je te fais confiance pour qu’un jour elle te ressemble. Je n’ai jamais été à la hauteur pour cet enfant, je serai à ses yeux un incapable mais les enfants détiennent la vérité. Elle a raison, Yanyan est un incapable, il n’a même pas eu le courage de vivre pour sa fille. Qu’il passe aux oubliettes, qu’on l’oublie à jamais sur cette Terre. Inca, sache tout de même que je veillerai sur toi depuis là-haut. Sache que tu n’as rien à te reprocher, tu as été une femme parfaite, et tu sauras trouver homme à ta hauteur.

Je pense aussi à Clermont, à tous mes amis, annonce leur ma mort. Dis leur que je les ai toujours aimé, dis leur la vérité, je ne suis pas à la hauteur. Dis leur que je les protègerai de là-haut. Clermont est une ville que j’ai toujours aimé, vous êtes tous d’honorables personnes.

Je n’oublie pas non plus les thomistes, annonce leur ma mort, annonce leur que je me suis égaré du chemin de Dieu, dis leur que travailler à leur côté a toujours été un réel plaisir pour moi. Dis leur qu’ils ont su m’ouvrir l’esprit. Qu’ils continuent maintenant à travailler. Je n’ai pas été à la hauteur du thomisme, je n’ai pas respecté mon serment suite à mon mariage, je n’ai pas toujours pu suivre ce que Saint Thomas me disait. Je n’ai pas été à la hauteur une nouvelle fois. La congrégation grandit de jour en jour, dis leur que je leur souhaite tout simplement bonne continuation. Remercie les pour ce que j’ai vécu avec eux.

Cette missive m’a déchiré le cœur, tu n’as pas été une simple femme pour moi, tu as été celle que j’aimais autrefois. Je ne pouvais plus vivre de cette façon, c’était vivre dans le mensonge et cela m’était impossible. Alors voila Inca, occupe toi de ton enfant, de celle que tu as mis au monde. Je ne l’ai même pas vu naître, je me demande parfois si je suis son père. Enfin, je n’ai jamais été à la hauteur, que ce soit pour toi ou pour Alwena. Alors je vous dit au revoir, je vous protègerai de là-haut.

Adieu Inca,
Yanyan, ton époux


Et Marie déposa la lettre sur le sol, elle regardait maintenant Yanyan, l'heure était arrivée...





Partie II : Amour et trahisons

Inca a écrit:
Inca ressentait une immense fatigue, c’est vrai que l’arrivée de Alwena ne lui laissait plus de répit, gérer la petite, le moulin, d’élevage de moutons, les tontes… cela faisait beaucoup.
Mais ce que ressentait Inca , elle en était certaine, ne venait pas de là, c’était quelques choses de plus …. Elle ne savait comment le définir…. Une sensation …. Une intuition ….

Il y a deux mois, avec Yanyan , ils avaient traversé une crise majeure. Comme souvent , Yanyan était parti en mission avec les loups , sans rien lui dire. Mais elle le savait la guerre était aux portes de Ste Ménéhoulde. Elle respectait son choix de servir les loups de Champagne, mais si cela la faisait trembler à chaque mission. Yanyan était un homme d’honneur qu’elle respectait, jamais elle ne lui aurait demandé de faillir à sa mission. La grandeur d’âme de son époux était connue de tous , sa fonction de diacre, sa promptitude à aider son prochain.
Il était revenu de cette mission totalement changé, Inca s’était inquiété mais Yanyan lui avait certifié que tout allé bien. Puis elle avait fait la connaissance d’une certaine Mariemarie , qui avait fait le voyage avec Yanyan. Inca l’avait de suite détesté , elle sentait que cette vagabonde n’était pas honnête . Puis un soir en taverne , Yanyan lui avait dit brutalement en aimer une autre, inutile de préciser qui , Inca avait deviné. Sur l’instant , Inca était entrée dans une fureur telle qu’elle l’avait giflé et insulté , la taverne était quasi pleine, elle se sentait humiliée. Qu’avait elle fait pour mériter ça ? le soir même , il avait quitté clermont avec mariemarie , sans un mot.
S’en était suivi de nombreux jours de désespoir, elle l’aimait , peu importe ce qu’il s’était passer, elle voulait qu’il revienne, son amour était suffisamment intense pour lui pardonner. Quand elle l’avait vu franchir le pas de porte, elle avait cru défaillir , ils s’étaient regardés , sans rien dire , seules leurs larmes respectives pouvaient faire ressortir ce qu’ils éprouvaient à ce moment .

Elle avait décidé d’oublier mais inconsciemment cet épisode était toujours là, comme une petite voix dans sa tête qui lui disait « attention ». Elle l’aimait, de ça elle ne doutait pas mais quelque chose c’était brisé en elle.

Yanyan aussi n’était plus le même, il rentrait tard, parlait peu, il semblait indifférent au monde extérieur, comme absent. Inca avait pensé que l’arrivée de Alwena changerait beaucoup de choses mais Yanyan ne la prenait que très rarement dans ses bras , non par manque d’amour , lorsqu’il regardait sa fille , un mélange de bonheur, de fierté et de tristesse transparaissaient. Yanyan souffrait , elle le voyait mais que pouvait elle faire , elle se sentait impuissante devant son silence.


Il y avait trop longtemps que Inca gardait ça en elle , Oks et Yla, peut être pourraient l’aider….


Ylalang a écrit:
Malgré le fait qu'elle ne soit revenue que depuis quelques jours à Clermont, Ylalang avait réussi à se mettre au courant de tous les potins du moment. C'est avec tristesse qu'elle avait appris ce qui s'était passé dans la taverne quelques jours plus tôt entre Inca et cette Mariemarie, se demandant quand la meunière pourrait enfin trouver la paix.

Elle décida d'aller chercher Inca dans Clermont pour pouvoir soutenir la jeune femme.


Inca a écrit:
Inca était allée se réfugier au petit poussin, seul lieu où elle pouvait oublier momentanément ses soucis.
Elle était en train d'astiquer le comptoir, mettént toute sa rage dans son geste , quand la porte s'ouvrit:


- Yla ....elle posa son torchon et prit son amie dans ses bras.

- je ne sais plus où j'en suis .... Il y a deux jours alors que je me rendais ici, je suis passée devant la taverne que tiens Sylv, je pensais juste m'arreter les saluer, mais quand je suis entrée , j'ai cru défaillir.
Elle était là, Yla, te rends tu compte elle a osé remettre les pieds à Clermont. Je l'ai giflé, insulté , lui ai ordonné de nous laisser tranquille et de partir , mais je suis sur qu'elle est encore là, Yanyan n'est plus le même, je n'ai même pas eu droit à une explication.... Que dois je faire ? aide moi ....
Tout le monde me regarde avec pitié à Clermont , MAIS JE NE VEUX PAS DE LEUR PITIE .... je n'ose plus sortir.....


Ylalang a écrit:
Ylalang caressa les cheveux de la jeune femme, ne sachant tout d'abord pas quoi lui répondre pour la soulager de sa peine. Un sombre pressentiment l'habitait depuis quelques jours, et la conversation qu'elle avait eu plus tôt avec son frère l'avait conforté dans cette idée. Elle prit la parole au bout d'un moment.

Inca, je pense qu'il faudra que tu aies une explication avec Yanyan, et très rapidement... Il n'a pas à te rendre malheureuse comme il le fait.
Tu n'as rien à te reprocher dans cette histoire, tu as toujours été fidèle à Yanyan, et tu lui as donné une magnifique petite fille, alors je voudrais que tu redresses la tête et que tu affrontes ainsi la tempète qui t'attend...


oksana a écrit:
Après une semaine de campagne électorale dont le score final avait été sans réelle surprise pour Oksana, celle-ci, en sortant du bureau des élections après le dépouillement, étonnée de n'avoir vu ses amies Ylalang et Inca venir la féliciter, alla les chercher dans Clermont.

La nuit tombant, elle se rendit à la taverne d'Inca voir si elle ne s'y trouvait pas. Elle avait rencontré cette Mariemarie à la taverne pendant qu'Inca était à Compiègne pour acheter du bois pour la mairie, et lui avait signifié clairement qu'elle n'était pas la bienvenue à Clermont. Non seulement elle était Artésienne, mais également la maitresse de Yanyan, et ça, elle ne pouvait l'admettre. Elle s'était rendue compte que celle-ci n'avait tenu compte de sa demande, et espérait qu'elle ne rencontra pas Inca afin de ne point la blesser plus.

Elle était furieuse contre cette Artésienne, vagabonde de surcroit, qui osait ainsi détruire un couple dans son moment le plus merveilleux, celui de la naissance de son premier enfant. Pour Oksana, il ne s'agissait ni plus ni moins que d'un sacrilège inadmissible. Elle n'avait point encore d'enfant, n'était même pas fiancée, mais elle voyait ce moment comme celui de l'aboutissement de l'Amour dans toute sa splendeur, celui où deux êtres qui s'aiment créent une troisième vie, mélange parfait de l'Union de ces êtres.

Arrivée dans la taverne, elle trouva Inca en pleurs dans les bras d'Ylalang et comprit immédiatement que ce qu'elle craignait s'était produit...


Inca a écrit:
Inca avait écouté les sages paroles de Yla, c'est elle qui avait raison, elle devait absolument relever la tête, c'était elle la victime dans cette histoire, elle avait fait une promesse devant Dieu il y a 6 mois et jamais ne l'avait rompu.

Lorsqu'il est parti, il y a deux mois , j'ai tout fait pour qu'il revienne, mais aujourd'hui je ne sais plus... je pense à Alwena, dois je retenir son père au risque qu'il reparte un jour ou qu'il continue à courir jupons afin qu'elle grandisse avec son père; ou dois je au contraire lui dire de partir, de nous laisser en paix ....

Elle vit oks entrer, il lui semblait qu'entourée de ses amies elle était prete à tout affronter....


Ylalang a écrit:
Elle regarda Oksana qui venait d'entrer, puis Inca.

Peut-etre serait-il temps d'enfin mettre les choses au point... de reveler ce qui est caché, d'amener à la lumière ce qui est assombri par la peine, la rancoeur et la colère.


oksana a écrit:
Oksana était désepérée de voir son amie dans cet état. Elle ne méritait vraiment pas ce qui lui arrivait. Lorsque Yanyan avait répondu à ses missives, et qu'il lui avait annoncé qu'il allait revenir, elle avait espéré que tout allait s'arranger, qu'ils allaient oublier cet incident et que leur vie à trois allait pouvoir débuter paisiblement.

Inca, malgré les blessures de son amour propre, avait pardonné, amoureuse comme au premier jour, espérant voir sa fille grandir entre son père et sa mère. Mais cette vagabonde avait eu l'affront de revenir à Clermont. Oksana se sentait impuissante et coupable à la fois. Elle avait insisté pour que Yanyan revienne et maintenant elle sentait que tout était désormais perdu pour son couple d'amis...


Inca a écrit:
Inca regarda ses amies , écouta les paroles de Yla. Ses paroles étaient sages mais elles étaient très dures à entendre car Inca savait que Yla avait raison, cette situation avait assez durée, il était temps de mettre les choses à plat, d'admettre s'il le falait que tout était terminé.

Yla , tu as encore une fois raison, ça ne sert à rien d'en discuter des heures , je me fais du mal et Alwena a besoin d'une maman forte. Je sais au fond de mon coeur ce que j'aimerai mais il est tant que Yanyan prenne ses responsabilités et dise exactement ce qu'il compte faire, personnellement je crois avoir déjà fais trop de concessions ....


Ylalang a écrit:
Ylalang souria à Inca et hocha la tête.

Alors nous allons sortir de la taverne et partir à la recherche de Yanyan. Il est probablement au moulin à cette heure...

Inca rangea les dernieres petites choses qui trainaient, et Ylalang et Oksana sortirent dehors pour l'attendre. Les deux jeunes femmes étaient silencieuses, et Ylalang s'éloigna un peu pour calmer l'angoisse qui montait en elle. Le pressentiment qui l'habitait depuis quelques jours devenait de plus en plus palpable. Elle ferma les yeux et pencha la tête en arrière pour respirer l'odeur du foin coupé qui flottait dans l'air. Elle rouvrit les yeux au bout d'un moment, et eut un hoquet en voyant la lune dans son dernier quartier, presque noire. L'image d'un rêve qu'elle avait fait quelques jours plus tôt lui traversa l'esprit et son estomac se noua...
Ainsi c'était pour ce soir...

Elle revint près d'Oksana et dissimula son inquiétude autant qu'elle le put. Inca ferma la taverne, et les trois femmes partirent en direction du moulin...


Inca a écrit:
Inca ferma la porte de la taverne mais son geste était loin d'être sure, si on y prenait garde un léger tremblement agité ses mains... l'heure de l'explication était proche et elle était loin d'avoir l'assurance mise dans ses paroles un moment plus tôt... le vérité lui faisait elle peur? .... elle avait le présentiment que cette nuit , sa vie allait etre boulversée, que demain une nouvelle vie, une nouvelle Inca verrait le jour et ça ne lui plaisait pas spécialement......avait elle suffisament de force et de volonté pour l'affronter? ..... une pensée traversa son esprit.... gnompom..... qu'elle aurait aimé qu'il soit là......il aurait su la rassurer.... Une petit voix dans sa tête sembla murmurer "ne t'inquiète pas , oks et yla, tes amies sont là , elle t'épauleront quoiqu'il arrive".

Inca partie rejoindre ses amis , une douleur au creux du ventre , s'amplifiant à mesure que la distance entre elles et le moulin diminuait......


Inca a écrit:
Toutes les trois arrivèrent au moulin, Inca s'arretant un instant , regardant son moulin et la grange de Yanyan , imbriqués l'un dans l'autre, formant un tout au même titre que Yanyan et Inca il y a encore très peu de temps....comment avaient ils pu en arriver là .....

Tout semblait si calme , comme si le temps c'était arreté, attendant le dénouement avec anxiété ....

Elles pénétrèrent dans le moulin, un lourd silence y reignait, aucune des trois n'osait prononcer un mot comme muée par une terrible angoisse.Si on lui avait donné le choix , Inca se serait enfuit , mais elle le savait , elle ne pouvait plus reculer....son calvaire avait assez duré....." soit forte ... pour Alwena..."


Ylalang a écrit:
Dans l'air flottait cet étrange sentiment nébuleux, cette impression que les Tisseuses avaient un instant interrompu leur tâche, laissant dans l'incertitude les destinées des acteurs de la tragédie qui se déroulait en cet instant.

Puis elles recommencèrent leur travail, le temps se remettant en marche...


Les trois jeunes femmes entendirent alors du bruit à l'étage, dans la gr
---fromFRKurtWagner
Yanyan a écrit:
De son côté Marie ramassa la lettre et la glissa entre ses doigts. Yanyan était bouleversé par l'émotion, il ne réagissait plus vraiment, Marie gardait plus de sang froid. Elle dit alors d'une voix basse

Sortons Yanyan, ne mourrons pas dans cette grange, mais sortons, allons à l'extérieur pour que nos âmes puissent grimper jusqu'aux cieux.

Yanyan prit la main de Marie, et ils sortirent alors de la grange. Yanyan n'était plus dans son état naturel, la mort se rapprochait, il le savait. Il marcha sur la souris sans s'en rendre compte. Puis Marie ouvrit la porte de la grange.

VOUS!

La surprise fut forte, elle tomba presque à la renverse. Les voici maintenant face à trois drôles de dames...


Inca a écrit:
On descendait... elle se retourna et ce qu'elle vit à ce moment là la mit hors d'elle , cette vision ... Yanyan .... cette .... tout ce bouscula dans sa tête , plus rien ne pourrait maitriser la haine qu'elle éprouvé à ce moment là....


JE SUIS LA RISEE DE TOUT LE VILLAGE MAIS CA NE TE SUFFIT PAS IL FAUT QUE TU AMENES CETTE TRAINEE SOUS MON TOIT ........ elle s'approcha d'eux , yanyan et marie reculant devant la fureur d'Inca, ses yeux se baissèrent sur le papier que tenait Marie , lui arrachant des mains. Elle le parcouru sans vraiment le voir , elle ne retenu que le mot suicide et à ce moment la vie le couteau dépasser de la poche de Yanyan..

VOUS SUICIDER !!!!!!!!! TU N'ES DONC QU'UN LACHE INCAPABLE D'ASSUMER . PAS UNE SEULE FOIS TU AS PENSE A TA FILLE .....

Inca criait et pleurait à la fois tant sa rage était grande, elle se précipita sur yanyan afin de lui enlever le couteau.


oksana a écrit:
Oksana fut tétanisée à la vue de Yanyan et de cette Mariemarie.

Ici ! Chez Inca ! Ils avaient eu l'audace de venir ensemble sous son toit ! Elle était horrifiée ! Mais comment Yanyan avait-il pu ? Elle le connaissait depuis longtemps mais ce n'était plus le même que celui avec qui elle avait sympatisé. Elle ne le reconnaissait pas. Son Yanyan, celui de son amie était amoureux, attentionné, aimant. Jamais il n'aurait fait cela. Quelle audace ! Quel affront !

Elle sentit la haine, la rage, la colère monter en elle aussi soudainement qu'un éclair frappait sans prévenir. Elle entendit Inca hurler sans entendre ce qu'elle disait. Elle la vit se jetter sur Yanyan et, soudain, vit le couteau. Inca ! Inca était en danger ! La seule vision qu'elle eut de ce moment là fut ce couteau sur lequel se précipitait son amie.

Inconsciemment, elle la suivit vers ce couteau qu'elle visait sans réellement savoir pourquoi...


Yanyan a écrit:
Yanyan, plus par reflexe que par volonté se défendait. Il ne voulait pas lâcher ce couteau car c'est par celui-ci qu'il voulait se donner la mort. Il était cependant dans un état second, et ne réagissait plus de la même manière. Jamais il n'aurait voulu faire de mal à Inca, et cette situation était plutôt inconcevable.

Puis dans ce moment de panique, Yanyan fit un geste brusque. Dans ce geste il heurta le bras d'Inca, celle-ci cria. Du sang se mis rapidement à couler, Inca cria de plus fort lorsqu'elle vit son bras entaillé.

Mais comment? Comment ai-je pu?

Par ce geste Yanyan retrouva quelque peu ses esprits, il se demandait alors comment il avait pu réagir de cette manière. Il venant de faire du mal à une femme qu'il a toujours voulu protéger. Yanyan resta immobile, le couteau lui glissa des mains, celui-ci se planta à ses pieds.


oksana a écrit:
Voyant le couteau à terre, par un réflexe inconditionnel, Oksana tira Inca en arrière. Elles tombèrent toutes les deux à terre, contre le mur de la grange. Sonnées, elles ne purent qu'assiter, impuissantes, à la scène qui se déroulait devant leurs yeux...

Mariemarie, tétanisée, n'avait pas encore pu esquisser un seul geste. Ylalang, emplie de colère, se jeta d'un bond vers Yanyan qui se baissait pour ramasser ce satané couteau, Inca tenant toujours à sa main la lettre qu'elle avait arraché à ces êtres emplis de trahison, se serra involontairement contre Oksana...


Ylalang a écrit:
Elle avait assisté aux étranges retrouvailles d'Inca et Yanyan pétrifiée par la stupeur. Son cerveau et ses muscles se remirent en marche, animés par la colère et la peur quand elle vit Oksana et Inca tomber par terre, et Yanyan reprendre le couteau.

Sans s'inquieter une seconde du danger qu'elle pouvait courir, elle se précipita sur Yanyan pour essayer de le désarmer. Ils se battèrent un moment, chacun cherchant à repousser l'autre, quand il la poussa violemment sur la pierre du moulin. Ylalang l'heurta violemment et sentit une douleur blanche envahir son épaule gauche, l'éblouissant un instant.


Yanyan a écrit:
Yanyan était dans une rage folle. Ces trois femmes avaient interrompu ce moment d'intimé, elles venaient changer les plans de Yanyan. Il désirait se suicider avec sa chère à ses côtés. Il ne réfléchissait même plus, et était en train de se battre avec celles qui étaient jadis, ses amies.

Et Yanyan la vit à terre, c'était Ylalang, cette belle femme avait l'épaule en sang; Voila deja deux blessés pour la soirée; Comment Yanyan pouvait-il faire cela? Même durant sa fonction de loup il n'avait jusque là jamais blessé qui que ce soit.


Honte à vous

cria Yanyan. Il était en plein délire, il ne savait plus ce qu'il faisait; Voyant alors Ylalang par terre, il serra fort son couteau entre ses doigts puis s'avança vers elle. Il le va son bras, prêt à poignarder Ylalang.


Ylalang a écrit:
Elle avait tellement mal...

Elle voulut toucher son épaule blessée, mais des larmes de douleur s'échappèrent de ses yeux. Elle entendit le hurlement de Yanyan, et le vit s'approcher d'elle, l'air menaçant...

Non, cela ne pouvait pas finir ainsi... Le temps se ralentit un instant quand elle vit le couteau pointé vers elle... Elle ne pouvait pas dégainer son épée, surtout avec un bras invalide, il ne restait que la dague qu'elle avait dans sa botte...
Elle se pencha pour la saisir et la dirigea vers la poitrine de Yanyan. Elle fut presque surprise de la sentir s'enfoncer dans la chair du diacre, une tache rouge commençant à se répandre sur sa chemise.

Elle sentit un liquide chaud couler sur sa main, ses yeux s'agrandissant d'effroi en réalisant ce qu'elle venait de faire.

Elle trouva la force de le regarder dans les yeux, qui étaient déjà embués par la mort.


Pardonne moi...


Inca a écrit:
NNNNNNNNNNNNOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNNNNNN


Elle vit avec effroi la dague pénétrer le corps de Yanyan , et la vie quitter cet être qu'elle aimait tant . Elle se précipita sur ce corps inerte , pleurant le père de sa fille....


oksana a écrit:
Oksana ne pouvait plus esquisser un seul geste... Elle était au bord de l'évanouissement, enveloppée d'un voile de terreur. Instinctivement, elle serra Inca contre elle, incapable de tenter de se relever. Un instant, Belcro, son Belcro, lui traversa l'esprit. Mais il ne fit que passer, l'horreur de la scène lui otant toute réaction. Elle vit Yanyan s'effondrer, scène au ralenti, cauchemar parmi les cauchemars les plus atroces, impensable...

Elle ne sentit plus rien en elle, tout était anhilé, son corps comme son esprit...


Ylalang a écrit:
Anesthesiée par ce qui venait de se produire, Yla resta un moment sans réagir, n'entendant même pas le hurlement d'Inca. Elle ne faisait que regarder le corps sans vie de Yanyan, étendu par terre, le sang commençant à former une flaque autour de lui.

Elle revint à la réalité en entendant un autre hurlement, celui de Mariemarie. Elle n'eut pas le temps de réagir qu'elle vit la jeune femme se ruer vers elle, hurlant au meurtre. Ses mains se refermèrent autour du cou d'Yla. Mais cette fois-ci, cette dernière n'avait plus aucune arme à disposition, sa dague étant restée plantée dans la poitrine de Yanyan. Elle essaya avec sa main droite de faire lacher prise à Mariemarie, mais ce fut peine perdue. Ses forces commencèrent à l'abandonner, et un voile rouge passa devant ses yeux.


Melani a écrit:
Atto rentrait tranquillement chez Yla en longeant la rivière, lorsqu'il entendit des cris provenir de l'autre côté. D'après ce que lui avait dit sa compagne, il s'agissait de la demeure d'Inca et Yanyan. Elle lui avait également précisé que le temps n'était pas au beau fixe pour ce couple. Visiblement, il avait tourner à l'orage.

Sans hésiter une seconde, Melani se mit à courir en direction du moulin. Fort heureusement, le pont devant lequel le Baron s'était retrouvé menait directement à la bâtisse. Il parcouru rapidement le reste du trajet et enfonça la porte d'un coup d'épaule.

Ce qu'il vit le mit dans une fureure noire; à peine à l'intérieur, il s'était déjà jeté sur Mariemarie, la faisant lâcher prise. Plus fort qu'elle, et ce même si la rage lui donnait une force qui surprenait l'Italien, il réussit à la maîtriser et à plaquer l'une de ses mains sur sa bouche afin de l'empêcher de crier.

Profitant de ces quelques instants de répit, Beaurepaire évalua la situation. La Mairesse Oks semblait s'être évanouie, ou du moins n'était-elle pas en état de faire quoique se soit. L'état de l'épaule d'Yla n'était guère réjouissant, tout comme son allure générale.
Melani continua à balayer la pièce du regard et ce n'est qu'alors qu'il remarqua Yanyan, mort, une dague plantée dans la poitrine, Inca à ses côtés.

Melani comprit rapidement ce qui s'était passé, il ne lui restait désormais plus qu'une seule solution pour limiter les dégats.

Tandis qu'il maintenait les mains de Mariemarie immobiles en serrant ses poignets dans sa main gauche, il enleva sa main droite de sa bouche, ce qui lui permit de crier.
Pas longemps toutefois, car le Baron avait déjà dégainé sa dague et faite pivoter entre ses doigts pour qu'elle présente sa pointe vers l'avant.
En un éclair, la dague transperça la gorge de la jeune femme, mettant fin à son hurlement dans un flot de sang.

La mort avait été instantanée et elle n'avait pas souffert. Du moins pour ce coup là.

Atto prit une longue inspiration, puis souffla doucement. Gardant ainsi son sang-froid, il retira la dague de sa gaine de chair et l'essuia sur les habits de la défunte jeune femme.

Il se releva ensuite, puis regarda autour de lui. Beaucoup de sang avait coulé et il fallait autant s'occuper de soigner les blessés que de faire disparaître les corps.


Ylalang a écrit:
Ylalang sentit au bout d'un moment que l'etreinte des mains de Mariemarie se relachait sur sa gorge. Elle aspira une goulée d'air avec avidité, faisant ainsi refluer l'étourdissement qui l'avait prise, et put voir ce qui se passait dans le moulin.

Ce qui la fit frémir d'horreur... Tant de sang-froid devant la mort donnée lui donna presque la nausée, et elle se demanda un instant si c'était bien l'homme qu'elle aimait qui agissait ainsi devant elle...

Elle espera l'espace d'un instant que tout ceci ne soit qu'un horrible cauchemar, mais sa douleur lancinante à l'épaule gauche lui montra que non, tout ceci était bien réel. Elle tenta de bouger le bras mais il refusa, ne procurant qu'une douleur intense.

Aucun son ne put sortir de sa bouche, et elle envia un instant Oksana qui s'était réfugiée dans les limbes de l'inconscience.

Elle ne put que murmurer d'une voix étranglée :


Mon dieu, qu'est ce que j'ai fait...


Inca a écrit:
Inca ne pouvait plus retenir ses larmes, elle était là , presque allongée contre Yanyan.... jamais elle n'avait voulu ça ....

Un lourd silence reignait dans le moulin, elle leva les yeux , vit marie ...morte ... puis Melani ... ses yeux se portèrent sur Yla , son amie, ce qu'elle lu dans son regard la terrifia, elle semblait comme perdue.

Comment avait on pu en attiver là .... de quoi seraient fait les prochains jours ....Dieu seul le savait ....


Hurricane a écrit:
- Dors mon fils… dors… Do mathaír codladh fathast, macc.

Il déposa l’enfant dans son berceau, et, sans le quitter des yeux, s’assit dans un fauteuil qui se trouvait à côté. Il aurait déjà dû dormir depuis une bonne heure, mais il préférait babiller d’un air moqueur en regardant son père. Ce petit est décidément parti pour me ressembler, se dit Hurricane, tandis qu’il commençait à faire doucement osciller le petit lit de bois. Tant mieux… le sommeil est une perte de temps. Tu aimes déjà veiller tard dans la nuit, n’est-ce pas ? Un sourire tendre se dessina sur ses lèvres. Comme pour y répondre, l’enfant émit un gazouilli, sans doute conscient que son père s’adressait à lui. Il entrepris ensuite de saisir son pied droit entre ses deux mains, dans un visible effort de concentration. Hurricane émit un soupir de sérénité. Son regard se détacha un instant du berceau, pour se porter plus loin, dans l’ombre, en direction de la chambre à coucher. Il tendit l’oreille et parvint à saisir la respiration lente et régulière de Kahlan, qui, elle, dormait déjà profondément. Ses traits se détendirent encore. Le silence et le calme flottaient dans l’air comme un navire sur une mer d’huile. Le temps lui-même, qui poursuivait pourtant invariablement sa course, insensibles aux tempêtes et à leurs accalmies, semblait dans cette situation s’étirer jusqu’à l’infini, s’étirer comme les muscles fourbus du forgeron qui savourait cet instant de repos. En silence encore, à la maigre et apaisante lueur des bougies, les objets projetaient leurs ombres dansantes au gré du souffle des deux êtres qui peuplaient la pièce.

Veiller sur sa famille… dans la douce chaleur de la nuit, rien ne lui paraissait plus important que cela. Etre là pour couvrir leurs épaules lorsqu’ils frissonnaient, toujours. Caresser leurs joues pour les aider à trouver le sommeil, chaque soir. De temps en temps, subir avec courage les caprices du destin, et croiser le fer avec lui. Et pour quelle récompense ? La meilleure de toute. Se tenir, en toutes circonstances, à leurs côtés, pouvoir les aimer en toute quiétude. Et de temps en temps les prendre dans ses bras et s’abandonner à l’amour qu’on leur porte.

Machinalement, l’idée d’affronter l’adversité, plutôt irréelle dans ce tranquille paysage, lui fit observer la pénombre de la rue par la fenêtre de la maison. La Lune, ce soir, était froide et sans âme, comme revêtue de quelque suaire céleste. Le dernier quartier… une pensée d’un froid mordant traversa furtivement l’esprit du veilleur. Comment allait sa sœur en cet instant ? Sa conscience se perdit un instant à travers les rues sombres de la ville de Clermont, qu’il connaissait par cœur, les parcourant une à une, à la vitesse du vent. Il les vît plus dépeuplées et plus immobiles les unes que les autres. Le léger sourire qu’il arborait jusqu’alors quitta ses lèvres, tandis qu’il porta d’un geste inconséquent la main sur son épaule, la laissant glisser jusqu’à sa gorge, pour qu’elle retombe finalement sur l’accoudoir du fauteuil. Soumis au feu des bougies, le bleu sombre qui hantait son intuition s’empourpra peu à peu, pour finalement s’évanouir dans un soupir.

Tandis que là-bas, loin au dehors, deux spectres s’élevaient main dans la main, toujours plus haut au-dessus du petit village, emportant avec eux les rires d’une petite fille et l’unité d’un foyer, une autre famille confluait doucement dans la quiétude et l’insouciance du sommeil.


oksana a écrit:
Au bruit d'une porte qui s'enfonçait, Oksana sortit de sa torpeur. Un homme, qu'elle ne reconnut tout d'abord pas, venait d'enter dans la grange, et se précipitait sur Mariemarie.

Un bref instant, leurs regards se croisèrent, et elle reconnut Atto Melani, l'ami d'Ylalang. Elle reprit peu à peu ses esprits et la scène qui se jouait devant ses yeux était la représentation parfaite de l'horreur absolue : du sang, de la paille partout, des corps, les larmes d'Inca...

Elle se souleva à grand peine afin de l'aider à se relever de sur le corps de Yanyan qui restait inerte. Elle ne vit tout d'abord pas la dague plantée dans sa poitrine, cachée par la position d'Inca, et crut qu'il était simplement blessé.


Melani a écrit:
Melani s'était vite précipité vers Yla, il la vit revenir à elle tout doucement, puis entendit ces quelques paroles.

Ce n'est rien ma chérie, tu n'as certainement pas eu le choix... c'était la première fois que tu tuais quelqu'un?

Un petit signe de tête affirmatif confirma les craintes d'Atto.

Écoute... tu n'es ni la première, ni la dernière a tué... je sais, non, je ne sais pas, mais je peux imaginer que pour quelqu'un qui découvre cela ainsi à quel point cela doit être perturbant...

L'Italien l'observa quelques instants, puis remarqua que son épaule était sortie de l'articulation. Il prit alors un morceau de tissu, le fourra dans la bouche d'Yla et lui conseilla de mordre dedans. Quelques instants après, Atto prit l'épaule d'Yla et tira un bon coup dessus. Après une courte douleur d'une rare intensité, son bras pu à nouveau bouger.

Bon... tu dois avoir repris possession de cette partie de ton corps... pour le reste, je ne peux rien pour le moment.

Melani se releva et réfléchit quelques secondes. Comment se débrasser des corps? La rivière? Non, il faudrait les saigner à blanc pour éviter que l'eau n'en devienne rouge et donc pour le moins suspecte. Qui plus est, le Baron doutait de la capcacité du courant à emporter les corps, qui seraient retrouvés un jour ou l'autre de toute façon. Les brûler? Sûrement pas, l'odeur attirerait trop l'attention et le feu mettrait trop de temps à les réduire en cendres.
Il ne restait que la possiblité de les enterrer. Inca refuserait sans doute de le faire ici-même. Il fallait donc les emmener dans la forêt.

Dans un moulin, il y a du blé... et qui dit blé, dit sac...

L'Italien se renseigna sur la localisation de la réserve et prit quelques sacs en plutôt bon état.


Bon, écoutez-moi, il n'y a pas de temps à perdre, alors reprenez vos esprits au plus tôt, nous aurons tout le temps de nous lamenter une fois que cette affaire sera règlée.

Atto prit le corps de Mariemarie et le plia en position foetale. Il le fourra ensuite dans l'un des sacs.
Il se dirigea ensuite vers Inca. Il ne dît rien, mais son regard ne laissait planer aucun doute quant à la conduite à tenir. Il fallait l'emballer tout comme celui de la défunte. Voyant la détresse de la jeune mère, il déclara tout de même.


Nous ne pouvons de toute façon pas partir maintenant... je vous laisse faire votre deuil durant quelques heures encore, mais nous devons nous débarasser des corps cette nuit.

Beaurepaire jeta un regard circulaire sur la pièce, puis s'adressa à tous les protagonistes.

Y a-t-il des pelles ici? Nous en aurons besoin.

Sans attendre la réponse, il continua.

Nous restons là jusqu'à trois heures du matin. Une fois l'heure venue, nous irons dans la foret les enterrer. Je pense que nous pourrons être de retour vers quatre heure, quatre heure et demi. D'ici là, réfléchissez à une histoire qui vous couvrira les uns les autres. Nous avons tout sauf besoin que des gens viennent se pencher sur cette affaire. Il faudra aussi nettoyer le sol au plus tôt et cacher les corps en cas de visite impromptue. Inca pourra toujours déclarer qu'elle n'a pas le coeur à recevoir des visites, mais il faudrait éviter que le sang puisse se voir depuis la porte d'entrée.


Ylalang a écrit:
Yla était bien loin des considérations logistiques d'Atto en cet instant. Un maelstrom d'images sanglantes et violentes défilait dans son esprit, menaçant à chaque instant de lui faire perdre la raison.

Son esprit se tourna par instinct vers la seule personne susceptible de comprendre ce qui la tourmentait... une pensée apaisante telle un baume sur les plaies de la jeune femme.
« Quoi qu'il arrive je suis sûr que tu sauras le surmonter... » lui avait-il dit.
Surement n'avait-il pas imaginé l'ampleur de la tragédie qui allait se dérouler ce soir là...
Elle se raccrocha à la pensée de son frère, il lui avait enseigné tant de choses, modelé son esprit, donné des armes pour chaque situation...
Elle ne devait pas se laisser aller aux tourments qui l'agitait, et elle pensa au sceau portant un caducée qu'elle avait à chaque instant sur elle.
Et cela fut suffisant pour faire refluer le mascaret de ses sentiments... cette unique pensée suffirait à lui garder la tête froide pendant les prochaines heures.

Elle fit bouger son épaule gauche, la douleur physique n'était plus qu'un souvenir. Elle prit une voix atone.


Il doit y avoir tout le matériel nécéssaire dans la grange, je vais aller regarder ça.

Elle fut surprise un instant que son corps réponde à sa volonté, et monta dans la grange. Elle vit les lettres éparpillées, mais ne s'attarda pas dessus. Elle alla fouiller dans les outils, et prit ce dont ils auraient besoin pour dissimuler les corps.
Elle redescendit de la grange et posa les outils dans un coin, et s'approcha d'Oksana. La mairesse semblait comme hypnotisée par la scène, et il était urgent de la faire sortir de sa torpeur.


Melani a écrit:
Atto examina les outils, lorsqu'il entendit Ylalang parler à Oksana sur un ton moins aimable qu'à l'accoutumée. Tout à ses réflexions, il ne prêta guère attention à ce qu'elle lui disait. Le résultat fut cependant probant, puisque la Mairesse avait repris ses esprits.

Durant les heures qui suivirent, le moulin fut nettoyé et les blessés reçurent quelques soins.

Finalement, la troisième heure du jour s'approchait. Doucement, Melani s'approcha d'Inca et lui fit discrêtement comprendre qu'il fallait désormais faire disparaître son défunt époux. Elle se recueillit encore quelques secondes, puis se détacha lentement de lui. Le Baron prit alors le corps et, à l'instar de celui de Mariemarie, le glissa dans un sac.

Atto répartit ensuite les rôles: lui-même porterait Yanyan, Yla et Oksana Mariemarie et Inca les pelles. Le petit groupe sortit, les rues de Clermont étaient désertes. La pâle lueur de la lune les éclairait un peu. En silence, les quatres ombres quittèrent Clermont et se dirigèrent vers la foret, au sud. Le moulin se trouvait fort heureusement dans la périphérie de la ville, ils furent rapidement hors de vue.

Ils marchèrent ainsi durant une bonne demi-heure, se griffant à certaines branches ou trébuchants sur des racines à cause de l'obscurité. Enfin, ils atteignirent un endroit difficle d'accès. Melani examina la terre; elle pourrait être creusée aisément.

Le groupe se mit alors à déblayer le sol. La fosse devait être profonde, afin que nul animal ne puisse déterrer ces corps, entre autres. Beaurepaire jugea finalement que le trou était suffisamment profond, il prit le sac qui contenait le corps de Mariemarie et le déposa au fond de la tombe. Inca fit ensuite ses adieux au corps de son ancien époux, puis laissa Melani le mettre à côté de celui de son amante.

Le Baron ressortit de la fosse et ils commencèrent à reboucher le trou. Cela leur prit peu de temps. Atto espérait que personne ne passe ici avant un moment, car n'importe qui aurait pu remarquer que la tere venait d'être retournée. Heureusement, ce coin était très isolé et le risque était minime.

Leur sombre travail terminé, les ombres rentrèrent au Moulin afin d'attendre le jour.

Comme Melani l'avait prévu, il était à peine quatre heure et demi du matin...


Ylalang a écrit:
La dernière heure de la nuit a toujours été la plus sombre.

Les étoiles perdent peu à peu leur place dans le ciel, sans pour autant que les rayons du soleil n'éclairent encore la ville de Clermont.

Une longue discussion eu lieu entre les 4 personnes réunies dans le moulin, souvent entrecoupée de longs silences.

Ylalang et Melani devaient de toute façon partir de Clermont pour retourner à Langres, c'était donc à Oksana et Inca de porter sur leurs frêles épaules l'épilogue de la tragédie.

La fatigue se lisait sur les visages, parfois teintée de tristesse, d'incompréhension, de dureté... ou d'indifférence...

Ils se séparerent ainsi aux premières lueurs sanglantes de l'aube. Tandis que leurs compagnons allaient seller leurs chevaux pour partir, Oksana et Inca allèrent se reposer avant d'affronter une journée qui s'annonçait difficile.


Partie III - Une vie s'achève , une autre commence

Inca a écrit:
[i]Inca et Oksana était "Au petit poussin" , une feuille était posée sur la table, elle se regardaient, incapable de dire un mot . Inca pleurait silencieusement. Son regard se leva sur la porte, Belcro et kurt entraient....


belcro a écrit:
Kurt et Belcro entrèrent dans la taverne, le sourire aux lèvres. Ils venaient de boire quelques spéciales et se tenaient bras dessus-bras dessous.

Bonsoir les filles ! dirent-ils à l'unisson

En s'approchant du comptoir, ils se rendirent compte que quelque chose ne tournait pas rond. Inca et Oksana d'habitude si joviales, ne s'étaient même pas retournées, n'avaient même pas répondu.

Youhou ! bonsoir les filles ! redit Kurt d'une voix plus ferme.

Quand ils arrivèrent tout contre le comptoir, les deux garçons s'aperçurent très vite que quelque chose s'était passé. Oksana semblait figé, abasourdie ! Quant à Inca, ses yeux rougis et cernés montraient qu'elle venait juste de pleurer.
Immédiatement Belcro se dirigea vers Oksana tandis que Kurt saisit Inca par les épaules.


Mon Ange ! que se passe-t-il ? tu es toute pâle !

Au même moment Inca s'effondra contre Kurt, tendant une lettre encore auréolée de larmes


Inca a écrit:
J'ai trouvé ça ce matin .....Inca tendit une lettre et pleura de nouveau, ne pouvant s'arreter.

Citation:
Inca,

A l’heure qu’il est ton époux n’est plus. Comme tu le sais, Marie m’a changé la tête, Marie m’a complètement bouleversé, je l’aime Inca. Je sais que ces mots seront douloureux pour toi, toi qui m’as toujours aimé, toi qui m’as toujours respecté. Toi qui est si grande, si forte et si chaleureuse. Tu m’as toujours aidé quand j’en avais besoin, tu m’as toujours accompagné lorsque je partais. Tu m’as fait sortir de ma grange autrefois, grâce à toi j’ai découvert la vie. Je t’en serai éternellement reconnaissant. Et c’est pourquoi je me suis donné la mort. Car je te respecte, je respecte une femme comme toi, je t’ai aimé, mais mon cœur ne bat plus pour toi, il bat pour Marie cette gueuse que tu n’as jamais aimé. Cependant je ne peux partir avec elle, disparaître et ainsi laisser ma femme, et mon enfant. Comment puis-je vivre avec cela sur la conscience. Je ne puis Inca, et mon amour est tout de même trop fort envers Marie. Alors je me suis donner la mort, je l’ai fait pour Marie et moi, mais aussi pour toi. Que mon âme monte aux cieux est je crois la meilleure solution. En vérité c’est la seule, tu seras maintenant libre et heureuse. Tu garderas mon enfant, je te fais confiance pour t’en occuper au mieux. Il serait bon de trouver un homme, celui-ci t’aidera dans cette nouvelle vie qui débute. Je te lègue aussi tout mon argent mais aussi mon champ et ma grange. Je te donne tout Inca. Tu as tant fait de choses pour moi que j’en ai honte de t’écrire ainsi. Mais je n’ai pas le choix, tu m’oublieras et ce sera la meilleure solution.

Voila Inca, cette missive bien maigre pour tout simplement te dire merci mais aussi pardon. Pardon pour ce que j’ai fait. Tu es une grande dame, continue à travailler pour le bien de Clermont, oublie moi désormais, je n’ai pas été homme à la hauteur. Je ne méritais même pas de vivre à tes côtés.

Pour ce qui est d’Alwena, notre enfant, dis lui que son père n’est plus. Dis lui que celui-ci est mort, dis lui qu’il n’avait pas le courage de vivre. Apprends lui les valeurs de la vie, fais d’elle une grande dame. Je te fais confiance pour qu’un jour elle te ressemble. Je n’ai jamais été à la hauteur pour cet enfant, je serai à ses yeux un incapable mais les enfants détiennent la vérité. Elle a raison, Yanyan est un incapable, il n’a même pas eu le courage de vivre pour sa fille. Qu’il passe aux oubliettes, qu’on l’oublie à jamais sur cette Terre. Inca, sache tout de même que je veillerai sur toi depuis là-haut. Sache que tu n’as rien à te reprocher, tu as été une femme parfaite, et tu sauras trouver homme à ta hauteur.

Je pense aussi à Clermont, à tous mes amis, annonce leur ma mort. Dis leur que je les ai toujours aimé, dis leur la vérité, je ne suis pas à la hauteur. Dis leur que je les protègerai de là-haut. Clermont est une ville que j’ai toujours aimé, vous êtes tous d’honorables personnes.

Je n’oublie pas non plus les thomistes, annonce leur ma mort, annonce leur que je me suis égaré du chemin de Dieu, dis leur que travailler à leur côté a toujours été un réel plaisir pour moi. Dis leur qu’ils ont su m’ouvrir l’esprit. Qu’ils continuent maintenant à travailler. Je n’ai pas été à la hauteur du thomisme, je n’ai pas respecté mon serment suite à mon mariage, je n’ai pas toujours pu suivre ce que Saint Thomas me disait. Je n’ai pas été à la hauteur une nouvelle fois. La congrégation grandit de jour en jour, dis leur que je leur souhaite tout simplement bonne continuation. Remercie les pour ce que j’ai vécu avec eux.

Cette missive m’a déchiré le cœur, tu n’as pas été une simple femme pour moi, tu as été celle que j’aimais autrefois. Je ne pouvais plus vivre de cette façon, c’était vivre dans le mensonge et cela m’était impossible. Alors voila Inca, occupe toi de ton enfant, de celle que tu as mis au monde. Je ne l’ai même pas vu naître, je me demande parfois si je suis son père. Enfin, je n’ai jamais été à la hauteur, que ce soit pour toi ou pour Alwena. Alors je vous dit au revoir, je vous protègerai de là-haut.

Adieu Inca,
Yanyan, ton époux


c'est Yanyan ....c'est terrible .....




oksana a écrit:
Lorsque Oksana vit son ami Kurt et son Amour entrer, elle sentit un soulagement monter en elle. Elle n'eut cependant pas la force de se lever, et esquissa un pâle sourire qui personne ne perçut. Ses forces l'avaient abandonnées dans la grange et elle avait perdu sa conscience lorsqu'Ylalang était entrée en action. Elle avait vécu cette nuit comme dans un rêve des plus noirs, témoin d'une scène d'horreur dont elle était la spectatrice impuissante.

Lorsque Belcro s'approcha d'elle, elle ne put que tendre une main vers lui afin de l'inciter à la prendre dans ses bras, relevant des yeux emplis de larmes de douleur et de remords. Un semblant de soulagement l'entoura à la chaleur de ses bras, et elle ne put que lui murmurer un :
Yanyan est mort.

Elle fut prise de sanglots et se laissa aller contre l'épaule de Belcro, exorcisant cette nuit d'angoisse.


Inca a écrit:
Inca était contre la poitrine de Kurt, secouée par les sanglots.
Elle se sentait très mal, non seulement car elle avait perdu l'homme qu'elle aimait mais aussi car elle était en train de mentir à ses deux amis.
La nuit avait été terrible, tout s'était déroulé si vite , personne n'avait voulu ça .
Inca était vraiement anéantie par la mort de Yanyan, comment allait elle pouvoir continuer , en avait elle vraiment la force.... pour Alwena , elle n'avait pas le choix.


belcro a écrit:
Les mots d'Oksana résonnaient dans la tête de Belcro. Il n'était pas sûr d'avoir bien entendu, mais ne voulait pas la faire répéter non plus. Pendant un instant il resta immobile, le regard hagard.

De son côté Kurt avait commencé à lire la lettre que lui tendait Inca. Son air sérieux conforta Belcro dans sa première impression. Immédiatement il se leva et se plaça à côté de lui.

Yanyan était mort ! ou du moins il voulait mettre fin à ses jours. Le message était on ne peut plus clair. Etait-il déjà trop tard ? Pouvait-on encore l'empêcher de commettre ce terrible pêché ? Les deux hommes n'en savaient rien.
Ils restèrent là un moment, encore sous le choc de la nouvelle, puis Kurt leur dit :


Nous n'avons pas un instant à perdre ! Il faut essayer de le retrouver avant qu'il ne commette l'irréparable si ce n'est pas déjà fait !

Belcro s'adressa à Oksana d'un ton plus solennel :

Oks ! je pense que tu devrais raccompagner Inca chez elle et rester à ses côtés. Kurt et moi allons essayer de partir à la recherche de Yanyan. Inca a besoin de quelqu'un, il ne faut pas qu'elle reste seule. Prends soin d'elle et de toi aussi !

Puis il lui chuchota à l'oreille : Je t'aime très fort ! courage ! on va le retrouver.
Il la serra fort contre lui, puis boutonna sa chemise et suivit Kurt qui l'attendait dehors.


KurtWagner a écrit:
Kurt n'avait pas dit un mot depuis qu'il avait lu la lettre...

Sa peau avait pris un couleur cendrée, et il ne cessait de lire et relire les mots qu'il avait devant lui...

Yanyan s'est suicidé.... c'était écrit noir sur blanc, mais il n'arrivait pas a s'y faire... un homme qu'il avait vu arriver tout jeune a Clermont, un homme avec qui il avait bu, partagé des ivresses, des joies et des peines... suicidé car partagé entre sa femme et son nouvel amour...

Il avait laissé Inca pleurer contre lui, meme si lui ne pleurerait pas... ou du moins pas maintenant... il fallait essayer de voir si Yanyan était encore la.. si il n'avais pas encore commis son acte fou, il pourrait peut etre etre sauvé..


Nous n'avons pas un instant à perdre ! Il faut essayer de le retrouver avant qu'il ne commette l'irréparable si ce n'est pas déjà fait !

Puis a Inca, plus doucement alors qu'il s'éloignait d'elle :

Ne t'inquiètes pas Inca, nous le retrouverons et nous te le ramènerons ! Je te le promet !

Puis sans un regard en arrière, tout a sa tache, il sortit de la taverne et attendit que Belcro ait terminé ses adieux a Oks.


Inca a écrit:
Inca ferma la porte derrière Kurt et Belcro, elle voulait etre seule avec Oks.
Elle alla dans la cuisine et revint avec deux tasses et une tisane, elles en avaient besoin.


Oks , j'ai peur de l'avenir , que dirais je à Alwéna quand elle me posera des question sur la disparition de son père?

Je dois envoyer un message aux thomistes , dont il faisait parti....

Oks , j'aimerai aussi que Brad , dise une messe en sa mémoire, malgrès sa trahison je veux que Dieu l'acceuil comme l'homme qu'il était avant qu'il ne croise cette ......


belcro a écrit:
Aprés avoir écumé tous les environs de Clermont, Kurt et Belcro regagnèrent le petit village. Ils avaient passé au peigne fin tous les sentiers, tous les chemins, tous les champs... sans résultats !

Ils avaient crié ! appelé ! ... sans jamais de réponse !

C'est cette absence qui les inquiétait. Mort ou vivant, ils auraient dû le retrouver. Un corps ne passe pas inaperçu !
Mais là : rien ! rien du tout ! pas la moindre trace, ni le moindre indice qui pouvait laisser présager telle ou telle issue.

Abattus, mais pas forcément résignés, Kurt et Belcro avaient décidé de retourner au village.
Voir dans quel état se trouvait Inca, mais également pour manger un morceau et dormir quelques heures avant d'éventuellement repartir à la recherche de Yanyan.


KurtWagner a écrit:
Kurt réfléchissait... aprés tous les environs de Clermont, ils pourraient pousser plus loin... la foret entre Clermont et Compiègne était vaste, mais il y avais des chance que Yanyan soit allé la pour mettre fin a ses jours... le seul problème étant que de fouiller toute la foret leur prendrait surement des mois...

Et il pouvait aussi s'etre perdu du coté de Paris... ou meme essayé de regagner sa Bretagne de coeur, et mettre fin a ses jours au bord de la mer...

Il soupira et suivit Belcro.. manger quelque chose ne serait pas de refus, ni se reposer quelque peu.. mais il lui faudrait repartir vite.. Ils retrouveraient Yanyan !


Inca a écrit:
Elle vit revenir ses amis la mine triste après des heures de recherche infructueuses....

C'est en les entendant dire qu'ils allaient étandre leurs recherches qu'elle prit une décision.


Ecoutez, cette lettre ne nous donne pas la certitude que yanyan a mit fin à ses jours, mais je vous demande d'arreter les recherches ....Belcro et kurt la regardèrent, incrédule.
je l'aime plus que tout et j'aimerai qu'il soit pret de moi , mais je préfère le savoir heureux où qu'il soit et respecter sa volonté plutôt que de ne voir que souffrance sur son visage comme c'est le cas depuis debut juillet.....

Ses paroles ne sonnaient pas faux , Inca en était certaine, si elle l'avait laisser partir rien de tout cela ne serait arrivé....Yanyan serait vivant , loin d'elle , mais vivant....

Belcro et Kurt hochèrent la tête , résignés. Inca prit la main d'Oksana, elles se regardèrent, les larmes aux yeux.....elles partageaient un très lourd secret et devraient désormais vivre avec.

Yanyan ... dans son coeur à tout jamais....

La vie était bien cruelle quelque fois ......


FIN



Avec :


Inca
Yanyan
Mariemarie



Oksana
Ylalang
Melani
Belcro
KurtWagner
Et Hurricane
---fromFRKurtWagner
Le médaillon de Davi

Davinaelle a écrit:
Davinaelle en revenant de sa retraite ne put s'empecher d'aller voir ses chevaux pourtant elle avait beaucoup d'ecriture à faire.

Bien sur ils étaient en pleine forme Cicc s'en était merveilleusement occupée pendant son absence.

Il prit Deleclair et partit courir dans la lande champenoise, elle adorait cette lande, elle lui avait manqué à Saint Pol.


Chef.des.ombres a écrit:
Il y a peu de temps, quelque jours pour dire vraie, chef des ombres avait reçus un rapport d’un ami, espion, qu’il pensait mort en Angleterre il y a de cela des années…
Tout laisser à dire qu’on l’avait retrouvé !

Il failli en sauter de joie n pleine salle de briefing général avec ses armées…
Mais il avait réussit a se contrôler, souriant a ses troupes ils leurs avaient donné leur journée libre au château, ou on trouvé toute une ville avec un village isolé non loin.

Alors comme sa elle se caché…vivait…à Clermont en champagne…
C’était une bonne nouvelle d’avoir sa trace, et il partis voir un ami qui était le futur parrain de sa petite fille Jilia.
Il s’entraînait dans la salle de combat avec deux gardes des forces spécial quand il le trouva.
Le faisant arrêtais son combat il lui parla d’une mission en duo qu’il devrait faire avec lui.
Lui expliquant les détail, les point important et le reste ils partirent tous les deux en direction de la cible.

Après plusieurs jour de route, Chef des ombres c’était arrêter a une auberge avec son homme de confiance, se renseignant sur la ville et recueillant des infos.
Le soir, ils allèrent sur place, selon les info leur cible avait le colis et se nommer « Davinaelle »
On leurs avaient dit qu’elle était en retraite a l’église de la ville, depuis un petit moment, mais quand il y allèrent, personne !
Juste qu’elle était repartie plus tôt, sûrement quand le rapport lui était arrivé…

Mais Chef des ombres ne renoncerait pas maintenant, il savait qu’il trouverait quelque chose sur cette « Davinaelle » et sa coûte que coûte.

Sur son étalon noir, arabe pur-sang « SpeedDead » Chef des ombres retourné vers l’auberge a l’extérieur de la ville quand il croisa un indic qui vivait en ville…
Elle était sortit de retraite peu avant leur arrivé et était rentré chez elle…
Si elle suivait ses habitudes, elle irait faire une promenade dans les landes avec son cheval…

Regardant son ami, Chef des ombres avait retrouvé un sourire de prédateur qu’il aimait montré, cela signifiait que l’action n’était pas loin.
Récompensant l’indic d’une petite bourse d’écus, ils repartirent au galop en direction des landes…

Où bientôt leur cible se rendrait !
Après cela, se serait du gâteau de récupérais le médaillon cher aux yeux de Chef des ombres qui lui ouvrirait un avenir radieux !


Davinaelle a écrit:
Davinaelle galopait ivre de liberté, elle aimait tant ça ! C'etait une des choses qui lui avait le plus manqué dans sa retraite. Elle arriva dans la fôret, elle ralentit et trotta.

Elle s'installa sur un gros tronc pour reflechir et jouer du luth. Elle pensait à son epoux, à ses amis, à Shakaa, à tout ce qui s'etait passé depuis qu'elle avait prit la route.

Elle se mit à jouer et à chanter. Son chant etait nostalgique et beau.


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres était sur SpeedDead, trottant en direction des Landes, quand il entendit une mélodie, mélancolique, mais mélodieuse qui naissait en forêt.
Descendant de cheval, il siffla a son ami, telle un oiseau des forêt, pour lui demandais d’attendre la…

Avançant doucement il avança jusqu'à un large tronc d’arbre, ou il passa discrètement un œil rapide.
C’était, une jeune femme, plutôt belle, et jeune qui jouer du Luth, des chant d’oiseau accompagné sa mélodie, se qui aurait pu paraître assez jolie, si il n’avait pas eu a faire se qu’il ferait bientôt.

Retournant vers son ami, il lui fit plusieurs signaux de la main, chacun lui indiquant quelque chose.
Son ami partis et alla plus loin en direction de l’avant de la route, a l’opposé de chef des ombres et de faire sa un piège !

Puis patientant il remonta a cheval écoutant la mélodie, et surtout attendant le signal de Dague D’argent !


Davinaelle a écrit:
Tandi qu'elle chantait le pigeon arriva. Elle fut surprise et lu le pli

peredhil a écrit:
un pigeon arriva sur la fenetre de Davinaelle

Mon amour,

Je me meurs à Tonnerre je ne sais si je pourrais un jour te revoir.
Je dois rester pour essayer de survivre.

en espèrant te revoir
Peredhil


- QUOI ??? ohhh !!!

Elle se leva et apres avoir tout ranger elle sauta sur Deleclair. Il fallait qu'elle aille retrouver son mari

* j'ai ete si froide dans ma dernière lettre !! oh mon dieu ! pourvu qu'il s'en remette !! il faut que j'y aille !! *








La Dague d'Argent a écrit:
Alors que Dague s'entraînait au château, CDO était venu le trouver pour lui parler d'une mission. Après avoir congédié ses deux partenaires, il le laissa lui expliquer quel serait son rôle. Ce serait un enlèvement. Il ne connaissait ni la cible, ni les raisons de cette mission. Mais, il ne souhaitait pas en savoir plus.

Ils partirent le soir même, accompagnés par une poignée d'hommes, spécialement préparés pour ce genre d’opérations. Ils chevauchèrent jusqu’à Clermont, en Champagne. Là, ils s’installèrent dans une auberge, prenant chacun des chambres différentes. Pour être sûrs de ne pas être repérés, ils n’avaient pas l’autorisation de communiquer entre eux, en dehors de la nuit, moment où personne ne pourrait les surprendre ensemble.

Chef des ombres et lui se rendirent le lendemain à l’Eglise où Davinaelle avait fait retraite. On leur apprit alors qu’elle en était partie quelques jours auparavant. Ayant contacté plusieurs informateurs, ils retrouvèrent sa trace. Après avoir passé plusieurs jours à préparer l’opération à l’auberge, ils se rendirent dans les landes. Ils savaient de source sûre qu’elle avait l’habitude de s’y promener à cheval.

Tout était prêt, et ils avaient trouvé le lieu où se retirer après l’enlèvement. Ils l’attendirent, dans la forêt où elle passait habituellement. Dague attendait le signal de CDO… il vit enfin la cible arriver, et Chef des Ombres s’approcher lentement d’elle. D’où il était, il entendait les douces notes de musique du luth. Sans y faire plus attention, il plaça ses hommes de façon à l’entraîner dans leur piège.

Il avait remarqué une rivière, trop profonde pour être passée à cheval. Ils forceraient la victime à s’y rendre, et la bloqueraient à cet endroit. Chacun d’eux la rabattraient tour à tour vers l’endroit voulu, la forçant à se rendre.

Soudain... elle se mit en route. Ils donna le signal à CDO.


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres se laisser entraîner par la mélodie quand un bruit changeant les note…
Un sifflement d’oiseau du Nord !, c’était le signal de dague d’argent !

Son sourire de prédateur de nouveau sur les lèvres.
Il sortit doucement son arbalète, ne voulant utiliser son arc qu’il n’avait pas prit.
Discrètement il avança a travers chemin, visant la cible il sourit.


« Holà ! Rend toi et je te ferait pas de mal ! »

Mais alors que la cible commencer a être furieuse de ce retard non admis.
Alors qu’elle allait prend la parole pour crier sur chef des ombres, celui-ci visa devant le cheval pur sang et tira en plein devant lui le faisant faire demi tour et partir, dans la direction de dague !

Sifflant a son tour son signal pour le prévenir de l’arrivé de la cible !


Davinaelle a écrit:
Davinaelle tenta de retenir Deleclair qui fonçait, visiblement il avait été effrayé.

Il fonçait et elle arrivait pas à le retenir, alors elle prit le parti de le laisser faire et la laissa courir.


La Dague d'Argent a écrit:
Dague entendit CDO siffler.... le signal. A peine eut il le temps de regarder dans sa direction qu'il vit la cible passer devant lui à vive allure, maitrisant à peine son cheval. Heureusement, la jument qu'il montait était rapide, il se lança immediatement à sa poursuite, faisant sauter sa monture au dessus de la haie qui le separait du chemin qu'avait emprunté Davinaelle.

Il se trouva bientôt à sa hauteur, leurs deux destriers se trouvant presque côte à côte. Calmement, il sortit sa cravache. Il devait rabattre la victime sur la droite. Après s'être approché, il frappa vigoureusement le flanc gauche de l'animal. Il recommença plusieurs fois son geste, touchant à quelques reprises la cuisse ou le bras de Davinaelle.

Bientôt, ils furent rejoints par un autre cavalier de la Panthère, lui s'occupait du flanc droit. Il avait bloqué l'accès à un chemin bifurquant dans une direction qui aurait pû entrainer la cible loin du piège. A deux, ils tentaient de l'orienter le mieux possible vers l'endroit prévu.


Davinaelle a écrit:
Davinaelle quand elle s'est vu attaqué et quand elle reçut le coup de cravache, maitrisa son cheval qui lui obeit malgré le coup reçut et à son tour cravacha la cavalier qui l'attaquait, elle le rata mais continua quand un autre cavalier surgit sur son autre flanc alors elle accelera et decida de fuir, elle pouvait à la limite lutter contre un mais pas contre deux, surtout elle avait laissé son épée à l'auberge.
Deleclair était rapide et enérvé, il fila à la première invite, laissant les deux derrière lui qui relancèrent la poursuite.


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres suivit de loin la course poursuite, suivant doucement au trot, comme si tout suivait sa cour prévue !
Faisant trottiné SpeedDead, chef des ombres regarda au sol, suivant les traces de la course…
Les traces n’étaient pas bonnes, mais elle disparaîtrait toutes seule avec le temps.

Sur l’avant et les coté, on voyait la végétations plutôt jolie et paisible…
On entendais un peu plus loin une rivière, plutôt bruyante même, souriant il vit le deuxième cavalier au loin, partir au galop pour rejoindre la cible et dague.

« Sa se referme tout seul et tout doucement ! »

Murmura t’il comme pour parlait a lui-même, caressant le pommeau de son épée tendis que dans son autre mains se trouvé les reines de SpeedDead.
Doucement il sortit un médaillon qu’il gardait souvent au cou, c’était un médaillon qu’il avait fais confectionner et ou se trouvé le portrait, peinture, de sa femme, avec une de ses mèches de cheveux.

Partant dans ses pensé, il ferma les yeux, revoyant le visage et le doux regard de son ange a son égard.
Puis la voyant avec leur petit fille Jilia dans ses bras.
Il sourit a cette vision, puis revint a la réalité a causse du bruit de chevaux au galop, murmurant.


Im bolgor tïûs Illiana…

Avant de rouvrir les yeux faces a la course poursuite, lançant SpeedDead au galop…
Plus vite cette affaire était règle, plus vite il retrouverait sa fiancée et sa fille.


La Dague d'Argent a écrit:
Lorsqu'ils se firent distancer, Dague fit signe à son compagnon de ne pas trop fatiguer sa monture, ils allaient ratrapper Davinaelle progressivement. Au loin, ils virent deux hommes à cheval lui bloquer l'accès à un chemin, puis la poursuivre une fois qu'elle était arrivée à leur niveau.

Elle est tombée dans le piège, dépechons nous.

Deux autres hommes surgirent et partirent à leur poursuite. Dague fit accelerer son destrier, le lançant à vive allure en direction de la rivière. Il était maintenant à la hauteur des hommes en tête de groupe.

Depechez vous, avant qu'elle ne trouve une solution pour s'en sortir.

Quelques instants plus tard, il arriva en bordure du cours d'eau. La cible y était, prise au piège entre une rivière infranchissable, et un groupe de six hommes armés.

Il mit pied à terre, et fit quelques pas en sa direction.


Je vous laisse le choix... combattre inutilement, ou vous rendre...


Davinaelle a écrit:
Davinaelle était partie en flèche puis deusx hommes lui avaient bloqué la route l'obligeant à bifurquer

*mais que se passe-t-il ?*

Elle continua sa course, le bruit de la rivière augmentait

*Oh !! noooonn !! la rivière !!! js suis cuite !!*

elle entendait les autres se rapprocher et la rivière surgit tout à coup devant elle, tumuluteuse, violente, infranchissable à cheval.

Elle mit pied à terre et se saisit de sa dague qui jamais ne la quittait. Elle avait le manche ciselé, son bois etait precieux, c'etait Peredhil qui lui avait
offert.
Elle attendait les agresseurs avec calme, elle avait cette faculté de garder son calme devant le danger, elle avait des peurs retroactives.


La Dague d'Argent a écrit:
Dague s'attendait à ce qu'elle se rende. Une femme desarmée n'aurait aucune chance face à un groupe si bien entrainé. Cette solution l'aurait arrangé, puisqu'il devait éviter de la tuer. Mais, elle sortit sa dague. Elle se battrait tant qu'elle le pouvait... et il savait que la peur de la mort pouvait faire accomplir des actes impossibles à de nombreuses personnes.

Est-ce que vous êtes serieuse?

Il émit un rire froid et moqueur.

Je vous laisse une dernière chance, lachez cette arme, et vous aurez la vie sauve. Toute l'affaire en serait simplifiée : vous ne serez pas tuée, mes hommes n'auront pas besoin de se servir de leurs arbalètes, et moi, je ne sortirai pas ma lame.

Il la fixa du regard, lisant sur ses traits une certaine determination. Un long silence s'ensuivit, seul le bruit du courant de la rivière, et le henissement de certains chevaux impatients venaient le troubler.


Davinaelle a écrit:
Davinaelle n'avait pas l'intention de se battre, elle voulait vivre mais elle protegerait l'integrité de son corps

- Je n'ai pas l'intention de me battre, je veux seulement que vous ne posiez pas vos mains sur moi, je vous suivrais. J'aimerais savoir pourquoi vous en avez après moi ?


La Dague d'Argent a écrit:
Dague sourit... il avait reussi. Il n'aurait pas besoin de se battre, et de risquer de la tuer. Il n'avait plus qu'à attendre CDO.

Aucun mal ne vous sera fait, si vous cooperez. Pour ce qui est des raisons de tout cela... une seule personne le sait... notre chef. Vous lui poserez la question en le voyant.

Il entendit le bruit des sabots d'un cheval derrière lui... et fit quelques pas en arrière, pour rejoindre ses hommes.

Le voilà justement...

Il se tourna vers Chef des Ombres.

Tout s'est passé comme prévu.


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres était sur SpeedDead, coupant paisiblement a travers la végétation jusqu'à arrivait face a la rivière, la suivant du regard en remonta il vit ses hommes…
Laissant SpeedDead aller au pas, il arriva entre deux gardes de la panthère…

La cible faisait t’elle de la résistance…regardant les alentours il n’en fit qu’a sa tête, la forêt était trop calme et paisible a son goût, beaucoup de marchand devait la fréquenter…
Dague entendit le bruit de SpeedDead, ou plutôt de ses sabots sur la terre sèche…

L’écoutant il ne dit pas un mot, aillant gardé sa cape levé, on ne distinguer que vaguement les traits de son visage avec un regard perçant ainsi que son sourire de prédateur.
Descendant de cheval, il n’avait pas besoins que la cible vois ou elle sera conduit, souriant dans la pénombre de sa capuche, il tendit une main vers le poignard.

Son autre main portait à son épée Tarentula, avança d’un pas léger comme porter par la nature…
Avançant main tendu vers la cible, il lui sourit, d’un sourire provocateur, et quand il failli prendre l’avant de sa dague.
Elle voulu lui faire peur, pour le faire reculait, levant sa main au dernier moment, il posa sa main son le haut de la sienne, faisant pointé la lame du poignard vers le sol tout en passant dans son dos, pose sa main qui était a sa garde, juste sur sa nuque, faisant une pression plutôt hostile contre son cou…

Il avait déjà fais cette prise des centaines de fois et la dernière fois c’était sur Lucy, sa conseillère qui avait était blesser et ne se contrôler plus pendent un combat…

Juste après la pression il avait entendit un cri de rage, mêlée a la surprise avant de voir sombrer la cible dans le sommeil, tête la 1ere, tombant droit dans les bras de dague.

Chef des ombres ramassa la dague au sol, et sourit a son complice…


« Jamais discuter avec une femme, sa ne sait jamais se que sa veux ! Sauf celle qui ont un anneau au doigt que vous leur aviez offert ! N’oubliez jamais sa ! »

Les gardes ricanèrent un peu, tendis que Dague faisant allongé la cible sur son cheval, tenant maintenant les reines du pur sang agité, caressant son flanc d’une main hâtive comme pour le rassurer…mais le cheval était stresser par l’agitation et par sa maîtresse qui était tombé dans un sommeil lent…et plutôt mouvementé, bonjour les maux de tête au réveille...

Chef des ombres remonta en selle puis fit un signe au groupe pour rentré à l’auberge du vieux hibou, leur auberge de forêt un peu plus loin de la ville.

« On rentre au repère ! »


Davinaelle a écrit:
Le chef des bandits avait l'habitude, il etait un rapide et davinaelle n'vait pas eu le temps de se batte, elle aurait suivi sans discuter tant qu'on la touchait pas.

Elle etait dans une sorte de sommeil lethargique, du à la pression sur son cerveau.


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres trouvait son coéquipier l’esprit tête en l’air…
C’étant mis en tête de groupe ils avaient attendus le soir dans la forêt, quand le tavernier aubergiste fit partir les derniers clients, chef des ombres entra seul, calmement.

Cherchant le tavernier du regard, il le vis près d’une table à lever un client trop…soul…
Dehors chef des ombres entendit ses hommes allait mettre les chevaux a l’écurie, mais alors que le tavernier virer le dernier client, il remarqua que le tavernier était septique…
L’ivrogne dehors il vint vers lui pour lui dire quelque chose…

Levant les yeux il n’avait prêter attention a une table bruyante dans le fond…des gardes municipaux…
Le tavernier venait de lui dire que chef devrait partir car les gardes avaient la manie d’arrêter toute personne suspect mais il lui expliqua que quand il était soul…tout le monde était suspect à leur yeux et qu’un fois il avait même arrêté le tavernier en personne…

Chef des ombres posa sa main a une mini arbalète sous sa cape, mais le tavernier pris peur et se recula…
Quatre garde municipaux, et leur monture dehors, si c’était des habituer leur disparition ne ferait que les faire s’inquiéter…
Fixant le tavernier il demanda d’une voix très basse…


« Ils leurs est arrivé de rester plusieurs jours ici a boire sans faire de rapport… »

Le tavernier répondu que oui par un signe de la tête, la sueur au front…
Il ne voyait pas de grade dans les rangs…des gardes…
Levant son arbalète, il s’approcha doucement et tira une flèche dans le dos d’un des garde, faisant sursauter les trois autre gardes qui se levèrent…plutôt avec difficulté.
Chef des ombres passa sa main sur son visage…un combat contre des gardes rond comme des cul de bouteille…pitoyable, dégainant son épée, il regarda les trois gardes articuler tant bien que mal des paroles incompréhensibles, mais alors que ceux la allait venger leur camarade, deux sifflement dans la taverne se fit entendre, et deux garde s’écroulèrent t’elle une masse énorme sur deux table de coté…
Un bouquant d’enfers tandis que le 3eme était lancé sur chef des ombres…
Faisant un pas de coté chef des ombres esquiva cette attaque pitoyable, frappant son adversaire en plein dans le dos le laissant entraîner dans sa chute, s’écroulant sur le sol…mort…

Faisant face a la sortit il sourit, ses hommes étaient alignés, dague aillant gardé la prisonnière sur son épaule, deux gardes rabaissant leur arbalète…

Sans un mots, plusieurs garde arrivèrent près des corps pour aller les mettre dans le faussé de dehors, dissimuler par la faune sauvage de l’environnement alors que la prisonnière était conduit dans une chambre, avec pour seul issue plausible la porte, les fenêtres aillant était condamnée.
Fermement attaché à un lit, deux gardes se trouvaient à l’extérieur pour surveiller…

Mais quand chef des ombres sortie de l’auberge, dague aillant pris du repos plusieurs minute après leur entrée, chef des ombres alla mettre SpeedDead a l’écurie de l’auberge, mais remarquant les chevaux des gardes il ne pu voir cinq chevaux et non quatre….

Regardant autour il rentra rapidement dans l’auberge disant aux gardes de faire le tour des environs.
Attrapant l’aubergiste par le col, il le souleva lui demandant à qui était le cinquième cheval…
Celle-ci ne voulu répondre avant d’avoir sentit la lame froide du poignard de la prisonnière sous la gorge…

La l’aubergiste lui expliqua que c’était le cheval d’un des supérieurs des quatre gardes, mais que celui-ci était dans une chambre avec une jeune femme…
Un rictus et sourcil froncer, il leva les yeux vers les escalier de l’étage demandant la porte du 5eme garde, et y envoya plusieurs gardes, faillant fouiller l’auberge une fois…

Mais les gardes apportèrent à leur chef qu’aucune personne n’avait était trouvé…
Le garde et la femme avaient disparut.

Les chose se compliqué, ordonnant l’affectation de sentinelles dans les alentour, chef des ombres posa l’aubergiste au sol, rangeant la dague il alla se servir une pinte de bière, attendant le réveille de sa victime…

A pied…la ville était bien à une journée de marche et de nuit, les brigands rodent en forêt, espérons que celui-ci et sa compagne tombe sur mauvaise compagnie…


Ange_Aylla a écrit:
Depuis la découverte de Glow, une superbe jument blanche, Aylla allait souvent à l’endroit ou elle l’es avait trouver elle et son petit. Cela lui prenait une bonne partie de l’avant-midi pour s’y rendre car c’étais sur l’autre rive et prés du village l’eau était beaucoup trop profonde pour que sa jument puisse passé.

Cette journée là, elle y avait été juste pour allé cueillir ses merveilleuse et succulentes baie rouge qu’elle adorait. Dehors il faisait vraiment chaud et elle savait que si elle empruntait le petit sentier tout près de la colline qu’elle aboutirait au bord de la rivière. De cet endroit elle pouvait voir sa maison et une bonne partie de Clermont ainsi que tout le long de la rivière de l’autre côté.

Elle marchais tranquillement lorsqu’elle vit de l’autre côté des cavaliers, des hommes, il s’emblait un peu agité. Elle était beaucoup trop loin dans la forêt pour qu’ils puissent la voir parmi toute cette broussaille, surtout qu’ils étaient occupés à autre chose, mais quoi ?

Elle pris garde de s’asseoir par terre et de regarder la scène en silence, elle ne prendrais pas la chance de se faire voir car si sa présence n’étais pas voulut elle ne pourrais pas se défendre contre tout ce monde. De plus elle n’avait aucun arme avec elle, seulement Glow.

Soudain, un autre cheval arriva en furie, mais Aylla reconnaissais ce cheval et encore plus sa cavalière. C’étais Davinaelle sont amie. Son cœur battais très vite elle était là à regarder tout sa se déroulé et elle ne pouvait rien faire. Puis un autre cavalier arriva près du groupe qui encerclait Davi, il lui fit quelque chose pour l’endormir puis tous partirent et disparurent dans la forêt.

Elle couru vers Glow, l’enfourcha et se dirigea vers Clermont à tout allure. Elle trouva Shakaa dans le village et lui expliqua la situation, ensuite elle alla chez elle rédiger un message qu’elle envoya par oiseaux voyageur à Peredhil.


Mon cher Peredhil,

Vous ne me connaissez point mais moi je connais votre femme. Je viens de Clermont et je suis amie avec Davi. Aujourd’hui j’ai vue des hommes à cheval l’enlever. J’ai crue bon de vous prévenir.
J’essaie de m’informer de mon côté.

Bien à vous, Aylla


Shakaa a écrit:
Aux mots d'Aylla, le sang de Shakaa ne fit qu'un tour !
Il courut à l'auberge afin de sortir son épée du coffre où il l'avait enfermée depuis si longtemps déjà. Il dégaina : l'acier était toujours aussi effilé qu'un rasoir. Jouant quelques instants avec le reflet, il se remémorra la dernière fois qu'il avait sorti cette lame du fourreau... Ce jour où son fils avait perdu la vie... Il rengaina, prit quelques victuailles et se dirigea vers l'enclos qui retenait Pyaray, le destrier qu'il avait offert à Davinaelle.

Jetant une selle à la va-vite, il l'enfourcha ausstôt et se jetta sur les routes à la rescousse de la femme qu'il aimait...


peredhil a écrit:
Peredhil recevant le message, s'en voulut d'avoir du arreter son voyage suite à un brigandage. Il n'y aurait pas eu d'enlevement s'il avait été là et il aurait été près de sa douce s'il n'avait pas été laissé pour mort sur les routes.

Bien que venant à peine de recuperer de cette mésaventure, il se mit de suite en route pour aller sauver son épouse.

Il renvoya son faucon avec ce message:

Chère Aylla,

Je me mets en route dès ce jour mais ne serait à Clermont que dans 3 jours.
Surveillez les sans prendre de risques et retrouvons nous dans 3 jours à la nuit tombée à l'auberge de Clermont.
Tenez moi au courant de tous mouvements, en renvoyant mon faucon qui saura toujours me retrouver.

amitiés
Peredhil


Davinaelle a écrit:
Davinaelle reveilla avec une douleur à la tête, elle était dans un lit, alors elle tendit la main inconsciement vers la table de chevet pour prendre son verre d'eau habituel quand elle ne reconnut pas la chambre.
Il n'y avait pas son bureau, les murs étaient décrepis même s'il étaient propres. La chambre n'etait pas aussi belle que la sienne.


*que fais-je ici ?*

soudain tout lui revint en mémoire brusquement, alors voulut sortir du lit mais elle ne put le faire, elle etait attachée et bien attachée. Elle allait crier quand elle reflechis qu'elle allait alerter les agresseurs. Elle etait prisonnière !

*mais où suis-je ?*

Elle reflechit et decida de patienter. La patience était la dernière qualité de Davinaelle. Au bout de 2 minutes qui lui semblèrent une éternité , elle hurla

- hé !! héééé !! j'ai soif !!!


Shakaa a écrit:
Shakaa arriva à l'endroit d'où Aylla avait vu les bandits enlever Davinaelle.

Il chercha un gué et revint sur les lieux mêmes... Re gardant au sol, il vit les traces de nombreux chevaux venir et partir.

Avisant une direction principale, il reprit sa chevauchée en murmurant :


Tiens bon, ma douce, j'arrive...


La Dague d'Argent a écrit:
Pretextant un coup de fatigue, Dague s'était enfermé dans sa chambre à l'auberge. En dessous, il entendait des bruits de bataille. CDO prenait plaisir à se battre contre des gardes municipaux complètement ivres. Oubliant ce detail, il ouvrit une armoire, et en sortit une ceinture. De nombreuses pochettes y étaient accrochées. On y trouvait quelques poisons, de drôles et très petits recipients en terre cuite, qui renfermaient d'étranges substances, certaines d'entre elles n'étant simplement que de la poudre à explosion.

Il prit ensuite plusieurs dagues, qu'il rangea dans des endroits spécialements prévus : des coutures dans ses vêtements, ou un foureau à sa ceinture, puis ses deux katanas, et sont arbalète, qu'il mit en bandouillère grâce à une sangle. Il l'avait légèrement modifiée : la corde avait été retrecie, se tendant encore plus qu'à l'habitude quand on bandait l'arme. Les carreaux partaient donc plus rapidement, et pouvaient parfois traverser entièrement un corps, pour atteindre un second ennemi.

Les bruits de bataille et de fouilles en bas s'étaient tûs, Dague avait d'ailleurs été géné par un jeune sbire qui était entré dans sa chambre. Ce dernier avait eu le droit à une serie d'insultes et de reprimendes. Avant de sortir, il prit une chaine, qu'il enroula autour de son bras gauche. Ses coups de coude en seraient plus puissants.

Il ouvrit la porte donnant dans le couloir, et y fit quelques pas. Son calme contrastait avec l'agitation ambiante. Les clients s'étaient tous enfuis, ou étaient faits prisonniers, les étages étaient maintenant étrangement vides, on aurait dit qu'une terrible catastrophe avait chassé les hôtes. Le silence regnait, malgrès les va et viens des gardes de la panthère.

Il fut soudainement attiré par les appels de Davinaelle, qui demandait de l'eau. Il entra dans sa chambre, où elle était attachée au lit, et sourit, d'un air moqueur.


Vous voilà enfin reveillée? Pas trop mal à la tête? Je l'espère, car vous en aurez besoin pour répondre aux questions du chef. Je vais vous chercher à boire... alors vous allez me faire le plaisir d'arrêter d'hurler comme une degenerée, ou je vous ferai taire, et d'une manière moins délicate que celle que nous avons utilisé pour vous transporter.

Ne prêtant pas attention à sa reaction, il alla chercher un verre d'eau dans la chambre d'à côté. Il en trouva un, vide. Ne voulant pas perdre son temps, il le trempa dans le bain encore tiède que devait prendre cet hôte quelques minutes auparavant. Il observa le contenu à la lumière : il était encore transparent, et aucune trace de saleté ou de savon était reellement visible. Cela lui éviterait sûrement de se faire cracher dessus, l'eau avait l'air potable.

Il entra à nouveau dans la chambre de la prisonnière, envoyant un garde prévenir CDO qu'elle était reveillée.


Si vous croyez que je vais vous détacher pour vous donner à boire, vous pourrez toujours attendre.

Il se mit assis sur le lit à côté d'elle, et lui fit ouvrir la bouche en la tenant par le menton, pour y vider le verre, rapidement. Il avait été rapide, et elle s'étrangla un court instant, l'eau étant descendue un peu trop vite dans sa gorge. En toussant, elle recracha quelques goutes qui coulèrent le long de son menton. La prochaine fois, elle reflechirait avant de demander quelque chose.


Davinaelle a écrit:
Davinaelle fut tres etonnée qu'on lui porte de l'eau tout de suite, c'etait le sous-chef, celui qui l'avait coursé. Elle n'eut pas le temps de parler qu'il lui fit boire une eau tiedasse, infecte. Elle manqua de s'etouffer. Elle enrageait d'être impuissante, et avant qu'elle fasse quoique ce soit il etait partit en la menaçant.

Elle réalisait pour la première fois sa faiblesse. Elle qui était si orgueilleuse, elle qui était si prompte à degainer son épée. Elle qui ne tolerait pas qu'on lui manque de respect, elle etait prisonniere. Elle devrait surement s'humilier pour garder la vie sauve, à cette pensée des larmes jaillirent de ses yeux. Et personne ne viendrait la sauver. Personne sauf Shakaa ne tenait à elle. Elle etait trop nouvellement arrivée à Clermont et personne ne savait qu'elle avait ete enlevée.

Elle decida de se preparer à une mort qu'elle esperait pas trop douloureuse. Elle reflechit et ne trouva pas le pourquoi de cet enlevement.

Elle pensa à Perdehil et son coeur se crispa, elle allait mourir sans l'avoir revu. Elle l'avait aimé plus que tout, elle avait fui la douleur. Maintenant qu'il etait revenu, maintenant qu'ils allaient s'expliquer, elle allait mourir betement sans rien savoir.

Davinaelle laissa les larmes s'ecouler sur ses joues et cette fois-ci se tut et attendit.


Shakaa a écrit:
Un certain temps après avoir commencé à suivre la piste de Davinaelle et de ses kidnappeurs, Shakaa arrêta Pyaray pour lui attacher un linge autour de chaque sabot afin d'être le plus silencieux possible.

Il commençait à ne plus savoir où se diriger quand il entendit un vacarme devant lui. Il fit demi tour, attacha son cheval en dehors du chemin et revint vers l'origine des bruits à pas feutrés...

C'était une auberge qui semblait la proie de pillards. Il s'avança pour essayer de voir dans l'écurie combien de chevaux et donc combien d'occupants s'y trouvaient encore...


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres était au barre, a réfléchir a se qu’il allait pouvoir faire après.
Une petite idée trottée dans sa tête, pensant au milicien mort plus tôt…
Appelant l’un de ses gardes, il lui demanda d’aller voir quelque chose pour lui.

Quelques minutes après, le garde revint avec un tas de vêtement, tissus…, qui avait appartenue au garde de la milice auparavant.
Faisant appeler trois autre garde il leurs ordonnèrent de mettre ses uniforme avec un petit bandeau rouge et noir a leur garde d’épée et de partir en direction des alentour, en groupe…

Si il croisait quelqu’un avec un doute, ou suspect, il arriverait près de lui et l’arrêterait avant de l’assommer…

Les gardes s’exécutant, un des garde qui se trouvait à l’étage et que chef des ombres avait assigné a la surveillance de la cible descendu…
Il lui avait fallu trois heure avant de sortir de son « sommeil » léthargique, pourtant il n’avait pas forcé sur la prise…

Un repas avait passé et comme le dit chef des ombres,
« On ne fais pas un interrogatoire le ventre vide ! »
C’est pourquoi il discuta encore en bas, le temps que le tavernier prépare un rapide « plateau repas »
Des fois Chef des ombres se disait qu’il était trop gentil, si il allait en prison il aurait pas le droit a sa, de l’eau croupît avec de la chance…

Le tavernier ce raclant la gorge gênée, sortit chef des ombres de sa pensé pour le laisser monté avec un rapide plateau simple…
Pain, eau, et une petite assiette de ragoût…Chef des ombres en avait reprit trois fois au repas d’avant, délicieux et pas cher que demandait de plus…

Dehors, il avait entendu trois chevaux commencer a partir mais qui c’était arrêter un peu plus loin…
Un problème dehors ?
Par sécurité, Chef des ombres demanda a deux autres gardes, de sortir et de gardait leur arbalète près a tiré au moindre suspect…

Rentrant dans la pièce, il la vit encore attaché au lit, et regarda dague qui…n’était pas loin.
Approchant, il posa le plateau et avec la dague de Davinaelle, il coupa les lien de ses main, ne laissant que ses jambe attacher, pis posa le plateau non loin en silence, lui faisant signe de se restaurer alors qu’il jouait avec le poignard…

Restant tête enfoncé dans sa cape, ne laissant paraître l’ombre d’un trait de son visage, n’aillant pas encore révélé son identité…
Si ces souvenir son bon, elle n’avait pas vraiment entendu sa vois, et ne savait rien de lui, la noirceur de sa capuche lui donnait encore cette avantage du mystère…

Doucement le temps passa, laissant sa victime se délecter de ses quelques denrées alimentaires…
Quand elle eût fini, il fit retiré le plateau par un garde de devant la porte et la regarda d’un air fixe.
Son regard vert perçant dans l’obscurité par un rayon de lune très faible.

D’un voix calme, posé et réfléchit, il demanda sans réel émotion.

"Le repas vous a-t-il convenu…Madame Davinaelle…ou dois-je dire demoiselle…
On ne sait plus comment s’adresser au gens de nos jour, ils ont eu sale habitude de résisté a tout, de tout se refuser, de peur d’être blesser…
Et donc pour sa il lutte, juste pour être remarquer du commun des mortel…

Mais je ne suis pas ici pour parlait de la misère du monde, vous devait vous en douter…
J’aimerait que vous me rendait se qui met dû…
Car je n’aime pas perdre « mes » objets, mais encore moins qu’on me les vole…"


Sur la fin, sa voix se réduit progressivement jusqu'à revenir a un silence, pesant et long, le chant des oiseau n’étant que souvenir passer, les chevaux ne faisant plus le bruit, comme si la pièce était couper du monde par cette nuit d’été…

Comme seul bruit, le poignard de Davinaelle, tourbillonnant dans les mains de Chef des ombres, mais aussi les bruit de pas de dague, comme anxieux ou presser…
Sûrement sa belle qui lui manque, a cette pensé chef des ombres avait sourit, faisant attention a son environnement il attendit qu’elle prenne la parole pour répondre avant qu’il ne perde patience et demande a dague de lui remontrait l’un de ses talent qu’il fais si bien….la torture…


Davinaelle a écrit:
Davinaelle couchée sur le lit reflechissait à ce qu'elle avait pu faire ou dire qui puisse entrainer ce traitement. Elle avait beau se creuser la cervelle, rien ne venait.
Les derniers evenements notables de sa vie etaient des evenements amoureux et cela n'entrainaient pas un enlevement.
Toutes ses reflexions l'emmenèrent à penser qu'il n'y avait rien, mais rien dans sa vie qui motive tout ceci, c'etait surement une erreur, pourtant elle sentait confusement que les brigands avaient bien enlever la bonne personne, alors pourquoi ? pourquoi ? on l'avait enlevé ?

La porte s'ouvrit et un homme de grande stature entra couvert d'une houpelande avec une capuche qui lui dissimulait le visage. Quand elle l'eu vu entrer elle reconnu le chef, non qu'elle avait vu son visage mais à sa façon de se tenir, il avait le port et la demarche altiere de la personne qui sait commander et qui est certaine d'être obeit.

Elle eut la suprise de la voir avec un plateau repas, elle decida de ne pas parler, d'attendre qu'il lui explique. Elle se restaura quand il l'installa pour qu'elle puisse manger, elle mangea tout epatée qu'il la nourrisse, elle comprit que ça serait tres dur, cet homme etait intelligent rare sont les geoliers qui nourrissent convenablement leur prisonnier, il devait etre certain de son pouvoir. Alors elle mangea tout et se prepara à l'affrontement. Quand il lui parla quand elle entendit sa voix melodieuse, elle fut certain d'avoir affaire un homme qui pourrait etre d'une dureté incommensurable, elle soupira. Le combat allait commencer, leurs intelligences allaient s'affronter, la blesserait-il ? oui, sans hesiter, mais elle pensait qu'il le ferait en dernier recours, il avait de gros moyens de persuations elle en etait certaine. En plus il l'avait appelé par son nom, ce n'etait pas une erreur. Le dernier espoir de Davinaelle s'effondra.
un objet ? il parlait d'un objet ? quel objet ? elle ne voyait vraiment pas de quoi il parlait.


"Moi ? vous voler ? mais je n'ai jamais voler personne de ma vie !! et vous voler quoi ?"

La voix de Davinaelle tremblait, comment se proteger si elle savait rien de ce qu'on lui reprochait ?


Chef.des.ombres a écrit:
Dans sa capuche, le regard fixer sur Davinaelle, chef des ombres prit le temps de réfléchir…
Cherchant quelque peu ses mots pour ne pas crée de confusion, un sourire au coin des lèvres, il marcha jusqu’au rebord de fenêtre…

Regarda dehors avec un regard un peu à l’étroit, il resta debout le dos tournée a Davinaelle comme pensif, essayant de se rappeler les fais exacte…
Car il est vraie qu’elle ne lui avait rien prit dans un temps, mais plutôt…donner…si ses information était correcte, et lui-même sais qu’ils le sont…souvent…

Remontant rapidement dans sa mémoire il se rappelle le rapport et l’enquête qu’il avait menée personnellement…
Elle avait suivis un trajet sûr est certain, et il ne pouvait n’y avoir que elle pour avoir le médaillon…

Pivotant lentement vers Davinaelle, il la fixa du regard, alors qu’elle réfléchissait a tous se qu’il venait de dire, a quoi pensait elle …
Souriant, il continuer a manipuler la dague avec un certain sens de l’inconscient, d’un vois sûr de lui il approcha d’elle et lui demanda.

« Aurait tu trouvais un médaillon ?! Il y a de cela un bon moment !
Un médaillon normal d’aucune valeur…pour toi… »


Il était devant elle, debout il avait une stature plus imposante, mais il s’abaissa, pliant sur les genoux pour venira hauteur de regard, sa tête encapuchonnait au maximum…
On ne voyait que son regard, et son regard n’était plus dans les yeux de Davinaelle mais un peu plus bas, fixant un instant sa poitrine, avec la noirceur du soir, il n’avait pas remarquer de médaillon autour du cou…

Remontant, il se faisait craqueler les doigts un par un, jusqu'à avoir fini une main et a rejouer avec la lame de la dague…
Il était attentif aux mouvement et parole de Davinaelle, au cas ou, mais il semblait pensif en même temps.
Approchant d’un table il se posa en appuie, la regardant amuser…
Une femme « robuste » et « puissante »… elle grelotter presque de peur et d’incompréhension…
---fromFRKurtWagner
Le médaillon de Davi partie 2

Davinaelle a écrit:
Davinaelle tremblait de froid, un froid glacial c'etait emparé d'elle, pourtant il faisait doux, etait-ce de la peur ? Elle n'avait jamais ressenti de vraie peur, elle avait toujours reagi devant le danger et encore il y 'a pas si longtemps lors de l'attaque des loups. Les loups !! alors elle se mit à penser à lui et oublia un instant le chef des brigands et ce qui lui arrivait. Lui, elle pensait qu'elle le reverrait jamais, mais là si elle mourait c'etait certain. Son coeur se crispa et elle se mordit les levres pour ne point pleurer, l'autre le chef croirait que c'etait par peur.

Brusquement le chef parla et cela la fit revenir à la realité, à le quitter, Lui.
*un medaillon ?* elle ne voyait pas. Il s'approcha d'elle, elle aimait pas ça, mais il ne la toucha pas, il l'examina seulement. puis il s'eloigna


- ce medaillon, je l'aurais trouvé quand ?


Shakaa a écrit:
*Au moins une dizaine de chevaux... La tache risque d'être ardue...*

Shakaa, caché non loin de l'auberge, vit quatre personnes sortir du batiment.

*N'en reste plus que six voire huit... Si je veux tenter quelque chose, il serait bon que j eme dépeche mais je ne connais pas la disposition des lieux à l'intérieur et foncer tête baissée me conduirait droit à une mort certaine... Si seulement, je savais dans quelle pièce se trouve Davi...*

A ce moment, il avisa un garde qui venait vers lui. Il se camoufla du mieux qu'il put dans les fourrés en espérant pouvoir le prendre par surprise et le neutraliser...


caro68130 a écrit:
N'ayant point vue Davi de plusieurs jours et de surcroit sans aucune nouvelle, je trouvais cela bien étrange et pris donc la décision d'aller voir Aylla qui elle savait peut-être quelque chose. En chemin je tombais nez à nez avec Aylla

Aylla, ah te voilà je me rendais justement chez toi. Aylla, je voulais savoir si tu avais des nouvelles de Davi. Cela fait plusieurs jours que je suis sans nouvelles et cela m'inquiète. Je suis passée chez elle, mais il n'y a pas âme qui vive et son cheval n'est pas dans son enclos. Aylla, rassure-moi et dis moi que tu sais où elle est ?


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres avait un air pensif sous sa capuche, réfléchissant tranquillement, il répondit calmement a la question de Davinaelle…

« Je n’ai pas la date exacte, j’ai vu ton prénom à coté du registre mortuaire de l’église d’un village, comme étant la dernière personnel, potentiel, à avoir le médaillon !
Aillant perdu la traces de ce sale voleur, je ne pouvait continuer mon enquête mais il semblerait que le hasard m’ai reconduit a le retrouvé, après avoir tuer certaine personne m’assurant leur silence, je suis ici !

«Et tu a deux option a ta porté, tu es gentille et me rend le médaillon qu’il ta donner, cacher, échanger, confié ou autre ! Et moi et mes hommes te libérons calmement sans faire de mal a toi et ton entourages, surtout que j’ai pour info qu’une personne importante a tes yeux viens vers cette direction !

Soit, tu refuse de coopérait, et la tu verra se qui arrive quand on défis la panthère et que l’on lui tien tête ! »

En disant cette dernière phrase il avait jeter la dague dans la porte dans le centre d’un petit cercle naturel dû à la croissance du bois qui avait servit à confectionnais la porte…
Marchant vers la porte il reprit la dague, et continua à rejouait avec, un poils agacés par la perte du temps qu’il s’imposer lui-même.
Regardant dague, il se dit que dague irait peut-être plus vite a lui faire cracher le morceau, ou a l’écrire avec son sang si sa langue venait a disparaître…

Revenant a sa place il se tint en appuie sur le haut de table, de la pièce, qui devait servir de simple décoration très rustique et peu onéreux…
Chef des ombres n’aimait pas parlait avec ses victimes, mais celle-ci était plutôt amusante par rapport au portrait que tous se faisait d’elle…

Enfin, elle n’avait pas osé risquer sa vie, mais elle devait être bonne escrimeuse et d’une très bonne fine lame, vu ces mains habituer à l’épée.
Baissant les yeux vers son épée tribal « Tarentula » il se dit que bientôt, qui sait, il pourrait s’en servir…

Relevant les yeux, son regard de braise se fixa dans ceux de Davinaelle, ne la lâchant pas une seconde attendant chacun de ses mots.


peredhil a écrit:
Peredhil s'etait mis en route dés qu'il avait recu la note d'aylla. Il avait cravaché sur la route menant son cheval à sa limite.
Pourquoi l'avait on enlevé, cette questionle taraudait depuis qu'i avait appris la nouvelle: Il n'etait pas riche et ne possédait rien d'extraordinaire ni Davi d'ailleurs.
Décidement le sort s'acharnait à les maintenir eloigner!

Il arriva à Clermont plus tôt que prévu et se rendit à l'auberge où il avait donné rendez vous en espérant qu'il pourrait trouver quelqu'un pour le renseigner.


Davinaelle a écrit:
Davinaelle regardait le chef jouer avec sa dague, cela etait enervant, elle y tenanit à cette dague et cela l'ennuyait de penser que ce serait sa propre dague qui servirait à lui donner la mort.

- Un medaillon ? votre homme il est mort où ? moi je n'ai aidé qu'un seul homme mourant et c'etait en Angleterre dans la foret de Wincester dans le comté de Wiltshire. Il m'a dit s'appeler Vercongé est-ce votre homme ?

Elle reflechissait et ce dit qu'il ne pouvait s'agir que de cet individu, elle l'avait trouvé mourant couché au pied d'un chêne et elle s'en était occupé. Elle lui avait donné à boire et etait restée avec lui jusqu'à sa mort, il était instrans portable et en plus à l'epoque, elle etait à pied et enceinte, elle ne pouvait pas le porter et il avait refuse qu'elle aille au village sachant qu'il mourait, il ne voulait pas partir tout seul. Il lui avait confié le medaillon, et lui avait dit :

- Gardez le ! c'est mon bien le plus precieux, peut-etre qu'il vous apportera la fortune, cette fortune que j'aurais du avoir.

Elle l'avait interrogé mais il ne pouvait plus parler, c'etait les derniers instants, quand il mourut, elle alla dans le village declaré son deces puis elle signa le registe de la mairie. C'est là surement que le Chef avait du voir son nom.


caro68130 a écrit:
Viens Aylla, allons boire quelque chose à la taverne, nous y serons mieux

A peine avons nous franchit la porte que je remarquais tout de suite la présence d'un inconnu. Sans m'y attarder d'avantage, je me suis mise à l'écart avec aylla pour discuter de la disparition de Davi

Alors Aylla, sais tu où est Davi, je n'arrive pas à la trouver et cela m'inquiète


peredhil a écrit:
Entrant dans l'auberge après avoir conduit son cheval à l'etable pour le laisser se reposer et se faire soigner, Peredhil se dirigea vers le tenancier.

- Hola tavernier, connaissez vous une denommée Aylla?


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres écoutait attentivement Davinaelle, elle avait une bonne mémoire, et maintenant il savait qu’elle avait son médaillon !
Souriant, il planta la dague dans la porte, la reprenant encore une fois et regarda Davinaelle…


« Ma petite Davinaelle, vous avait assisté à la mort d’un traître de la panthère torturer par mes soins il y de cela un moment, quand je lancer des attaque sur des villages d’Angleterre où j’entraînait mes troupes contre les félon anglais !

Dans ce temps j’avait un soldat, une nouvelle recrue, du nom de Vercongé, et un soir pendent une nuit de pleine lune il c’est sauver avec une jeune femme…Une jeune femme qui était importante au sein de mon groupe…

Après plusieurs jours a les traquer j’ai rattraper Vercongé et la jeune femme, et j’ai était contraint de le torturer pour le faire parlait d’où il avait mis mon médaillon !
Mais celui-ci refusé de parlait et j’ai dû le menacer de mort pour qu’il se décide a parlait, mais au moment de me rendre le médaillon, la jeune femme a essayait de le sauver en me combattant…ma propres cousine…je l’ai tuer !

Elle a préféré aidait un traître que sa famille, et pendent ce combat ce lâche a fuis jusqu'à ne plus pouvoir fuir, mais je ne l’ai pas retrouvé, enfin pas vivant…Et pour dire c’est l’un de mes espion en Angleterre qui a retrouvé la trace du traître, dans la ville que vous avez dit !

Pas malin de signer, surtout que plusieurs personne vous on vu avec ce même médaillon !
Après quoi, le rapport de mon espion m’est arrivait dans les terres de France et j’ai tout de suite venue récupérer mon bien !

Donc faite votre choix ! Sans demandait a quoi il me servira ou je tuerait tes proche un par un !
Même que je suis sûr d’aimait sa ! »

Chef des ombres avait un grand sourire, convaincu est sérieux, désirant autant que Davinaelle, parle, soi curieuse, ou refuse de parlait !
Le médaillon en personne lui apportant des choses que n’importantes quel chef terroriste rêve d’avoir, le control d’une armée, en territoire Anglais, avec le comté qui va avec, tout ne serait qu’histoire de temps !

Mais chef des ombres compter bien donnait ce médaillon a l’un de ses homme de confiance à la cour d’Angleterre, s’assurant un control sur les cote anglaise pour ces plan futur avec le Roy Levan…
Que donnerait le Roy Levan pour un territoire sûr et fidèle en Angleterre, en temps de guerre !
Chef des ombres ricana légèrement en regardant Davinaelle, attendant patiemment la réponse de la jeune femme, plutôt stresser.


Davinaelle a écrit:
Davinaelle regarda tranquillement le chef, maintenant qu'elle savait de quoi il s'agissait elle avait moins peur. Elle haussa les epaules et repondit

- Vos histoires ne me concernent pas ! vous auriez pu venir me le demander tranquillement sans faire tout ça de degats, mais je suppose que cela doit vous plaire. Chacun prend son plaisir où il peut.

Ce medaillon en effet etait en ma possession, un gros medaillon avec un dragon a deux tetes graves dessus. Comme il etait trop masculin à mon goût, je l'ai laissé dans les affaires de mon epoux quand j'ai vendu ma maison à Argentan. Je ne l'ai plus, en plus je ne savais pas à quoi il servait, c'est un beau bijou pour un homme, mais pas pour moi.

Je peux avoir de l'eau propre à boire s'il vous plait ?


caro68130 a écrit:
Malgré notre distance d'avec le comptoir, j'entendis un homme interpeller le tavernier et demander s'il connaissait Aylla. Cet inconnu qui demandait Aylla me semblait bien étrange et pris donc la décision d'aller le trouver

Excusez-moi de vous importuner, mais je viens bien malgré moi d'entendre que vous cherchiez une dénommée Aylla. Pourrais-je savoir ce que vous lui voulez ?

Aylla n'avait pas bougé de sa place, elle se demandait qui pouvait bien la chercher, de surcroit un inconnu. Pourtant elle avait une petite idée mais dans le doute je lui avais conseillé de ne pas se montrer.


Ange_Aylla a écrit:
Silencieuse dans son coin elle observait l’homme de loin et attendais de voir ce qu’il dirait à Caro.

Depuis un moment Aylla était très nerveuse du fait de parler avec des inconnues, elle ne pouvait s’empêcher de penser qu’un des hommes avait pu la voir et la faisait chercher. Plusieurs pensé hantais sa tête, Davinaelle était-elle encore en vie depuis ce temps ?? Elle ne pouvait pas savoir par où ils étaient partis puisqu’ils avaient disparu dans la nature. Mais Aylla doutais qu’ils aillent bien loin et ce sans se faire voir, Puisque personne ne l’es avait vue impossible qu’ils aient changer de village, sinon la nouvelle se serait répandus partout dans Clermont.

Elle regardait toujours l’homme….et attendait


peredhil a écrit:
Etes vous Aylla? j'ai donné rendez vous à cette personne qui m'a annoncé l'enlevement de mon epouse Davinaelle.
Sinon prevenez la que je suis là, je veux savoir où est mon épouse à l'heure actuelle


Peredhil était inquiet et aurait voulu retrouvé son épouse tout de suite. Machinalement il porta sa main au médaillon qu'il portait au cou, ce medaillon que Davinaelle lui avait laissé avant son départ


Ange_Aylla a écrit:
Aylla écoutais l’homme qui la redemandait.

-L’époux de Davinaelle…..c’est Peredhil. Chuchota t-elle.

Elle se leva et s’approcha doucement près d’eux

-Bonsoir Peredhil, C’est moi qui vous est envoyé un message, C’est moi Aylla !

Elle l’invita à une table au font pour mieux discuté sans être entendu. Elle pris un ton plutôt bas et lui indiqua ce qu’elle savait.

-J’étais présente lorsqu’ils l’on piégé mais j’étais sur l’autre rive et je n’es pas réussie à les retrouver. Je suis partie tout de suite prévenir Shakaa son ami et vous écrire un lettre. Par la suite je me suis informé un peu partout dans le village si des gens avait entendu parlé d’une bande de cavalier étranger…..Personne ne l’es a vue ou entendu a par moi. A mon avis ils sont toujours en forêt car si ils auraient voyager sur les routes nous le saurions. Ils ne sont donc pas si loin que sa !! J’espère que ces informations vous seront utile. Maintenant je vais allé rejoindre mon amie Caro au comptoir, bonne soirée et surtout tenez moi au courant si il y a du nouveaux.

Elle se leva et alla se commander une spéciale……car elle en avait bien besoin.


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres en avait assez entendu !
Souriant il bougea de la ou il était pour se dirigeais vers Dague et lui parla un instant.
Après un court moment il regarda de nouveau Davinaelle en souriant.

« Merci de ses information très précieuse, mais dite moi quel est le nom de votre mari…
Car si je dois le chercher j’aimerait bien savoir qui cherchait, et vu que vous êtes sa femme…et bien vous allez encore rester un moment avec nous… »


Alors qu’il allait continuer, un garde qui se trouvait dehors auparavant vint le dérangeait et l’opportunité un instant…
Souriant, Chef des ombres regarda Davinaelle, s’assurant de ses liens était bien solide, il lui rattacha les mains solidement, et rangea la dague a sa ceinture.
Priant Dague D’argent de sortir, il la regarda encore un moment avant de dire.


«On dirait que moi et mes hommes avons de la visite devant, quelqu’un à était vu rôdant dans les alentours…»

Disant cela un sourire de combattant était venue se dissimulait ses fines lèvre toujours encapuchonné.

« Soit nous vous ramenons un cadavre, soit un camarade de cellule !
Qui sait, peut-être votre époux ! »

Puis sortant il descendis les marche de l’auberge pour se dirigeait vers la sortie de l’auberge, deux gardes avec lui et dague surveillant la prisonnière de devant la porte au cas ou il y aurait des bruits suspect.

Passant la porte, sa cape avait était remis correctement et son arbalète rechargé d’un carreau noir mis sous sa cape, son épée prêt a trancher le corps d’homme ou de bête en cas d’attaque et de résistance.

Faisant plusieurs pas pour être en vue des personne a proximité, les sentinelles avait était mis a leur post comme prévu et maintenant Chef des ombres prenais parole.


« Je sais que quelqu’un se trouve dans le parage, seul ou accompagné !
Vous avez deux choix a votre porté ! Vous rendre, et vivre ou mourir en tentant de fuir ses lieux !
Si vous êtes la pour Davinaelle, elle souffre de nos torture et votre fuite ou résistance la conduira a sa mort ! »


Chef des ombres conter bien jouait sur le bluff pour faire sortir ce héro avec ou sans sa bande si il en avait…


caro68130 a écrit:
Tout au long de la discussion d'Aylla avec Peredhil, je n'avais pas bougé du comptoir. Entendre ces mots "mon épouse Davinaelle" m'avait laissé sans voix. Ainsi cet inconnu est le mari de Davi. Le fameux mari.......

Perdue dans mes pensées, je ne vit même pas qu'Aylla avait fini sa discussion et me fit sursauter quand elle demanda au tavernier :


Une spéciale s'il vous plait pour mon amie et moi-même, nous en avons grand besoin

A ces mots je revins à la réalité

Oh Aylla excuse moi ma belle, je ne t'avais pas vu venir.


Au meme moment le tavernier posa les 2 spéciales devant nous. Je pris la chope pour trinquer avec Aylla et la bu d'un trait

Aylla, je suis de plus en plus inquiète pour Davi, ce n'est pas normal tout ça, sans compter l'arrivée de son mari. Mari qui d'un coup d'un seul ressent de l'intérêt pour son épouse ????? Aylla je n'y comprends plus rien


Davinaelle a écrit:
Davinaelle se retrouvait à nouveau les mains liées, elle soupira. Elle allait avoir mal avec ça pendant des jours, deja elle avait un bleu au poignet.

Qui etait cet homme qu'il avait vu et qu'il allait traquer ? ça ne pouvait etre que Shakaa, elle savait qu'il donnerait sa vie pour elle. Il a du s'inquieter de sa disparition et partir à sa recherche. Ce n'etait pas son epoux, il ne savait pas ce qui ce passait, et meme s'il le savait rien ne prouve qu'il affronterait des bandits. Ce n'etait pas l'homme qu'elle aimait non plus, il n'etait pas au courant.
Shakaa, il les affronterait seul les brigands, elle le connaissait bien. Il était parfait, dommage qu'elle ne l'aimat point. C'etait un grand frere protecteur pour elle. Il risquait de mourir.

Deux grosses larmes coulèrent sur ses joues. Elle n'avait fait qu'aider un mourant. La vie était trop injuste !


Shakaa a écrit:
* Mince ! Ils m'ont repéré ! *

Shakaa ne savait trop que faire : ainsi Davi était bel et bien dans cette auberge mais d'un autre côté, elle était aux mains de brigands prêts à la tuer pour le plaisir... Il n'avait d'autre choix que d'essayer d'échanger sa vie contre celle de la femme qui lui avait fait rebattre le coeur...

Surveillant les soldats visibles, il répondit à celui qui avait pris la parole en prenant soin de ne pas être visible pour autant :


Relachez la ! Que lui voulez vous ? Je puis peut être vous aider à obtenir ce que vous voulez d'elle...


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres sourit à l’entente de la voix d’un jeune homme…
Ainsi ses doutes étaient fondés, ils avaient bien était repérés…Le supérieur des gardes municipaux, non ! Il lui aurait fallu un cheval…
Souriant il écouta attentivement l’individu qui parlait…


« Je ne discute jamais négociation avec un fantôme ! ! »

Faisant une petit sifflement une ombres qui suivait toujours Chef des ombres dans le moindre de ses déplacement sortit discrètement des rangs de Chef des ombres pour s’engouffrais dans la forêt épaisse.

« Broxigor, troüvê’hîs l’intrüês ! »

L’ombre avait bien comprit et commença sa tache tandis que Chef des ombres reparla à l’intention de l’inconnu.

« Pourquoi ne pas sortir de ta cachette, pour discuter calmement autour d’une bonne chopine et d’un accord pour libéré la jeune et Belle Davinaelle !
Je serait a ta place je serait inquiet pour son corps sa pureté…
Mes hommes sont loin de leur compagne quand ils en ont !
Et leurs pulsions elles, sont toujours là !
Ne préférerais tu pas juger par toi-même de son état !

Alors vois par toi-même si tu veux la laissait avec ce risque ! »


Un vent souleva un peu de poussière, tandis qu’un silence se posa…
Les hommes de Chef des ombres ne faisait rien aux femmes et enfants, malgré se que certain « justicier » pouvait raconter.
Mais sa n’était pas plus mal, comme cela ils leurs étaient possible de bluffer avec conviction et assurance


Dante a écrit:
Alors qu'il était à Tonnerre, dante recut un courrier d'une amie à Clermont lui annoncant que Davinaelle était retenue prisonnière. Il prit au plus vite la route pour la retrouver.


peredhil a écrit:
Peredhil ecouta avec attention Dame Aylla, il la remercia de l'avoir prévenu et des renseignements.
Il alla prendre une chambre pour la nuit afin de se reposer et de laisser son cheval se remettre de sa folle cavalcade.
Dans sa chambre, il affuta sa lame, vestige de son passage dans l'ordre des templiers.
Il s'allongea, s'endormit en se demandant ce qu'on pouvait bien vouloir à son épouse.


sylverlea a écrit:
Sylverlea entra de joyeuse humeur dans la taverne, son fiancé, après un passage chez les moines, était revenu, ca méritait quelques spéciales. Elle avisa ses deux amies Aylla et Caro a une table.

"Bonjour! Tavernier, trois spéciales pour mes amies et moi même s'il vous plait!"

Et puis, s'avancant un peu plus près, elle remarqua les traits soucieux qui marquaient le visage des deux jeunes femmes.

"Caro...Aylla... que se passe t-il?"

Ses deux amies tentèrent de lui faire un sourire, mais il n'était que peu convaincant et très tendu.

"expliquez moi"

Caro poussa un petit soupire, et commenca a raconter tout bas

"Ca conserne Davi...elle a été enlevée"

Au bout de dix minutes, Sylverlea savait tout de la triste histoire.

"oh non! Davi n'a t-elle pas déjà eu assez d'évênements traumatisants dans sa vie! Et l'on se sait vraiment rien de ce qu'ils lui veulent? bizarre... vraiment bizarre. Il faut qu'on en parle tous ensembles, qu'on trouve une solution, et vite..."


caro68130 a écrit:
Bon maintenant que Syl est au courant, nous sommes une de plus. Aylla, Syl il faut vraiment que nous trouvions ce qui a bien pu engendrer cet enlèvement.

Aylla as-tu une idée ? as tu entendu quelque chose de ta cachette ? Et ces hommes pourrais-tu les reconnaître ?

Et son mari ? qu'est ce qu'il t'a dit ? sais tu ce qu'il va faire à présent ? De toute façon que pourrait-il faire ? Cet homme qui accoure subitement quand on lui apprend que Davi a été enlevée, alors que pendant des mois il ne s'est guère soucié d'elle. N'a aucunement cherché à la contacter, ne s'est pas demandé comment se passait sa grossesse. Oui grossesse qui n'aura pas vu son terme dans la joie, malheureusement. Tout ceci m'écoeure.

Les filles il faut agir, vite très vite car j'ai peur que ces individus ne lui fassent du mal.


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres commencer à s’impatienter de cette attente…
Claquant des doigts, plusieurs arbalétriers se mirent en formation devant lui, visant la forêt, attendant patiemment l’ordre de tirer…

Pendent cette attente, chef des ombres repensait au phrase de Davinaelle, un médaillon avec des dragon oui, avec ses trois tête…
Non ! Davinaelle avait dit deux tête ! Passant sa main dans une petite sacoche a son ceinturons, il sorti un petit objet circulaire avec deux tête de dragon…

Lui C’était la 1ere partis du médaillon, le deuxième médaillon devait avoir trois tête, une que passer au centre des deux médaillon de Chef des ombres et les deux autre sur ses cotés…

Etrange sa, peut-être n’avait t’elle pas faite attention, il demanderais après…
Regardant devant dans la forêt, il vit Broxigor sur la branche d’un arbre et sourit.


« Feu ! »

Dés la fin du mot, les quatre carreaux d’arbalètes filèrent en direction de la forêt, alors qu’un craquement de branche se faisait entendre…Mais pas de cri de douleur, Broxigor ne pourrais s’occuper de sa cible…

« Tu pourrais augmenter la vitesse de réaction ou je doit dire a mes hommes de se permettre une petite « jouissance » ? »

Le bluff était une bonne arme de pression et n’aillant encore aucune réponse il claque deux fois des doigt faisant partir deux hommes dans l’auberge…

« Je t’avait prévenu, faudra pas te plaindre après ! Perreux ! »

Chef des ombres fixa la forêt, droit avec une stature fier un regard sûr de soi dans les yeux…


Ange_Aylla a écrit:
Aylla avait sursauté lorsque Sylverlea était arrivé mais lorsqu’elle avait vue que c’étais son amie elle s’était sentie un peu plus rassuré.

-Tu a raison Caro nous devons agir vite, nous n’avons aucune idée de ce qu’ils sont prêt à faire et encore pire nous ne savons pas du tout ce qu’il ont en tête….pauvre Davinaelle

Les reconnaître j’en n’es aucune idée…ils était plutôt loin. Mais peut-être que si je l’es avait devant moi je saurais…..Nous devons essayer de l’es retrouver

Tout le village est à chercher, la forêt également

Pour ce qui est de son mari…et bien il fera son possible de son côté et tant mieux si sa marche

Si nous restons ensemble toute les trois nous avons une chance de pouvoir nous défendre….car je vous l’avoue ils ne sont pas que deux ou trois

J’emporte mon épée, et mon faucon pourra faire un repérage aérien

Aylla regarda ses deux amies aussi courageusement que possible.

-Nous y arriverons


sylverlea a écrit:
"Nous y arriverons"

Ces mots résonnèrent dans la tête de Sylverlea, oui elles y arriveraient, elles n'avaient pas le choix, leur amie avait besoin d'elles, elles se devaient d'être la et d'agir.

Sylverlea se leva , accompagnée de ses deux amies.
" Si ca ne vous fait rien, on peut passer a la maison, je vais prendre le couteau qui me sert a tuer mes cochons, ce n'est pas très fin, mais on peut toujours en avoir besoin..."

Payant rapidement le tavernier, elles sortirent de la taverne.


peredhil a écrit:
Après sa nuit de repos, Peredhil partit en foret selon les indications d'Aylla.

Il alla marchant à coté de son cheval essayant de reperer les traces d'un groupe à cheval. Il inspecta donc soigneusement l'orée de la foret en bordure du village. Il mit plusieurs heures puis trouva la trace d'un groupe de 4 chevaux puis un cinquième cheval passé plus recement.

Une autre personne était deja sur la trace des kidnapeurs. Qui les suivaient?


caro68130 a écrit:
Bon les filles, je passe vite chez moi et vais chercher mon épée que je n'ai point utilisée depuis ma venue à Clermont.

Je vous rejoins à l'orée de la forêt.


Je courus chez moi, fouillait toute la maison pour remettre la main sur ma fameuse épée.

Ah tiens te voilà ma belle, ça faisait longtemps qu'on avait pas passé un peu de temps ensemble

Je saisis mon épée, la nettoya de sa poussière et partis en direction de la forêt rejoindre mes amies


Davinaelle a écrit:
Davinaelle toujours ligotée et dans le lit, sentait son courage diminué à vu d'oeil, la peur s'emparait d'elle, les minutes semblaient des heures et elle n'avait aucune idée du temps qui c'etait écoulé.

Elle tentait desespérement de ne pas pleurer, de ne pas laisser l'angoisse l'envahir. Elle pensait à Shakaa qui etait en danger, elle pensa à son amour qu'elle ne verrait jamais plus, elle pensa à Clermont et ses amies, elle savait maintenant qu'elle etait chez elle ici, mais voila c'etait trop tard, elle n'aura pas l'occasion d'y vivre heureuse.

Sylverlea la fille de la fôret, Caro l'amie au grand coeur genereux, Allya qui était plus proche d'elle que sa propre soeur et lui son amour. L'homme qui lui avait redonné le goût de vivre.

Elle pensa à toute sa famille retrouvée qu'elle n'avait pas encore vu, à sa soeur Gracillä à son frère qui ne lui avait pas donné signe de vie depuis un moment.

Les larmes gagnerent la lutte et Davinaelle se mit à pleurer comme une fontaine, silencieusement.


caro68130 a écrit:
j'arrive enfin au bois où m'attendais les filles

Me voilà, je suis prête nous pouvons y aller. Avant de venir je suis passée chez Davi afin d'y trouver ne serait-ce qu'un infime indice, mais rien, rien de rien, je n'ai rien trouvé

Bon assez parlé, par où allons-nous ?

Je caressais mon épée, bien contente de la retrouver. Cette épée qui m'avait tant aidé dans mon passé


Ange_Aylla a écrit:
Aylla avait une petite crainte en pénétrant dans la forêt, c’était humide et il y faisait très sombre.

-Nous allons allé à l’endroit ou je l’es vue l’enlever par la suite nous suivrons les traces.

Arrivé sur les lieux, Elles regardèrent les pistes tout au tour. Tout indiquais qu’il avait longé le village, mais pour allé ou ? Impossible de se rendre au village voisin par la forêt. Toute trois avancèrent doucement et tranquillement à travers cette broussaille épaisse….


sylverlea a écrit:
Sylverlea regardait autour d'elle. A travers les branchages filtraient de fins rayons de soleil, pareils a des filets d'or, laissant miroiter les minuscles diamants laissés par la dernière pluie. Le sol, marbré d'aiguilles de pin, craquait légèrement sous leurs pieds. Parfois, le murmure de la forêt se faisait entendre, un brusque craquement, un cri animal, le vent jouant avec les arbres, l'eau chantant avec les pierres d'un ruisseau... Tout était calme...armonieux... parfait peut être...
Cette atmosphère, presque magique, cette sensation de bien être profond que lui inpirait le domaine des elfes, la menèrent vers une détermination qu'elle n'avait jusqu'à lors jamais connu: pour qui se prennent ces gens qui viennent détruire pour une dérisoire envie personnelle, la vie, le bonheur, de personnes qui ne demandent qu'a vivre en semant le bonheur autour d'eux?
Elle ne pouvait accepter qu'on vienne détruire ainsi ce que Davi se donnait tant de mal a constuire.

Son pas se fit plus sur, elle regarda ses amies, leur sourit. A ce moment la, une certitude, tellement agréable, l'assaillit: ensembles, unient comme elles l'étaient, elles pourraient renverser des montagnes, et elles pourraient sauver Davi!

Alors qu'elle en était a ce stade de ses réflexions, toutes trois s'arrêtèrent d'un même mouvement.
Le calme de la forêt s'était rompu d'un coup.
Un homme parlait, de courtes phrases, mais on sentait le ton sec, autoritaire. Elles étaient trop loin pour comprendre quoi que ce soit, mais elles surent immédiatement que cet homme avait surement un rapport avec l'enlèvement de Davi.

Tout a coup, des sifflement retentirent, elles se figèrent, puis Aylla et Caro se jettèrent face contre terre, entrainant Sylverlea avec elles. Aylla souffla
"des arbalètes!".


Shakaa a écrit:
Shakaa entendit les carreaux siffler et il s'adossa à un chêne millénaire pour être certain de ne pas être atteint par l'un d'eux. Ce qui l'intriguait était cette - qu'était-ce au juste, d'ailleurs ? Une personne ? Un animal ? - cette chose que le chef avait envoyé dans la forêt...

Allons Messire, seriez vous assez vil pour permettre à vos hommes de malmener une damoiselle dont vous attendez quelque chose ? Il ne serait pas dans vostre interet qu'ils lui assènent un mauvais coup...

Il essayait d'analyser la situation mais il ne voyait pas comment tirer Davi de ses geoliers seul. Il prit une décision : il allait échanger sa vie contre celle de son amie.

Il sortit de sa cachette et se rendit tranquillement au devant des malfrats.


Vous ne vouliez parler à un fantôme, me voici donc, Messire. Retenez vos chiens de garde, soyez un homme digne de ce nom en face d'un homme que seul l'amour instruit.


peredhil a écrit:
Peredhil suivit à son rythme les traces. Il ralentit quand il entendit un groupe devant lui. Il se cacha puis observa: c'était Aylla et 2 amie qui observaient elles aussi quelque chose.

Il se dit qu'il devrait se joindre à elles, l'union faisant la force, même s'il lui semblait qu'elles ne l'appréciait guère.

Il avanca donc doucement sans trop de bruit à decouvert vers elles.


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres pu enfin voir la personne qui le guetter, lui souriant agréablement il ne dit rien…
Broxigor savait très bien se qui lui restait a faire, le fixant du regard chef des ombres chercher les mots qu’il pourrait lui répondre…


« Davinaelle ne m’ai plus d’utilité propres, juste une assurance vit pour le moment ! »

A la porte, les deux hommes qui avait prit la direction de l’auberge pour faire croire au bluff de leur chef, étaient maintenant au deux fenêtre distinct sur la droite et la gauche de la porte un sourire dément aux lèvres visant leur cible et surveillant autour d’eux.

« Je ne vous ferez aucun mal a vous et Davinaelle, je ne suis pas la pour tuer…
Désoler… »


Dés la fin de cette phrase, Broxigor la panthère noir de chef des ombres avait bondit de sa cachette, frappant dans le dos de sa victime, l’assommant sous le choc, celui-ci aillant eu la tête frapper contre une pierre au sol…

Avançant vers Broxigor, chef des ombres murmura quelque mots que seul lui et ceux de son clan peuvent comprendre…
La panthère recula calmement, attendant la caresse affectueuse de son maître avant de reprendre sa place à ses coté, restant toujours en son ombre...

Portant la victime qu’il ne connaissait pas il compter la conduire avec Davinaelle, puis de reprendre la ou il en était…
Détachant ses armes a sa ceinture, il les laissa sur une table du rez de chaussé tandis que les gardes qui était encore avec lui dehors, eux montaient dans deux arbres dissimuler dans la broussaille ne pouvant être vu que de la place de l’auberge alors qu’eux auraient une vue globale des deux route menant a l’auberge, celle du nord et celle du sud…

Montant les marches, chef des ombres arriva devant la grande porte de la chambre de Davinaelle, l’ouvrant doucement il rentra et posa la victime de Broxigor au bout du lit de Davinaelle.
Fermement attaché elle était dans ses songe jusqu'à qu’elle prête attention a son entrée…

Remarquant son agitation, il lui détacha les mains alors que Broxigor rester à coté de la porte, calmement allongé la tête vers Davinaelle et l’inconnu…


« Voila l’inconnu, vraiment on ne peut plus enlever qui que ce soit même avec plusieurs hommes ! Sans être ennuyer, les bonnes valeurs se perdent ! »

Il ricana en repensant aux hommes de la panthère dans les parages…
Quatre avait prit les chevaux des gardes municipaux et leurs affaires pour patrouiller dans la zone, deux c’étaient placé en sentinelles dans les arbres devant l’auberge…
Deux étaient au fenêtre de la porte d’entrée de la taverne auberge…Dague, et deux garde a l’étage surveillant les fenêtres et escalier et encore deux autre qui surveille la porte de sortit de la taverne de l’extérieur l’un d’eux patrouillant autour de l’auberge en intermittence pour ne pas être déranger…

Repensant au médaillon, il demanda à Davinaelle de lui redire sa description….


« Davinaelle, pourrais tu me redonner la description du médaillon avec les têtes de Dragon ?… »

Celle-ci n’était pas très attentif a causse de l’état du nouveau venue…

« Il n’ai pas mort, alors répond ou je fini ce que mon Broxigor voulait faire… »

A l’appellation de son nom la panthère avait relevé la tête pour savoir si c’était a lui qu’on adresser l’intention…


caro68130 a écrit:
Lorsque le sifflement des arbalètes avaient cessés tout redevint calme. Face à terre nous nous sommes regardées toutes les 3 comme pour se dire : c'est bon le danger est passé.

Mais tout d'un coup, derrière nous un bruit, bruit discret il faut l'avouer, mais nullement un bruit de la forêt. Toujours à terre, je me retourne discrètement pour voir ce que cela pouvait bien être. A ma grande surprise j'appercois une silhouette masculine qui devenait de plus en plus nette au fur et à mesure qu'elle s'approchait.


Je regarde Aylla et lui murmure : Tiens dont, regarde qui arrive.

Je me lève en invitant mes amies à faire de la sorte et regarde en direction de la silhouette

Pérédhil, c'est bien votre nom, il me semble ? Je vous trouve bien courageux d'avancer à découvert. Ne craigniez vous point qu'il puisse vous arriver quelque chose ? vous avez un grande chance toutefois d'avoir été épargné par les flèches.
Cependant puis-je savoir comment vous avez fait pour arriver ici, vous qui ne connaissez pas la forêt de Clermont ? Nous avez-vous suivi ?

Aylla et Syl me regardèrent d'un air étonné, jamais elle ne m'avait entendu parler aussi sèchement, et pour tenter de me faire taire me donnèrent des coups de coudes


peredhil a écrit:
Je ne me suis mis à decouvert que pour vous et pour que vous ne me trucidiez pas!
Sinon j'ai suivi les traces d'un groupe à cheval mais je vois que vous avez été plus rapide que moi.
Sinon les kidnapeurs sont là?
Que se passe t'il?


Ange_Aylla a écrit:
Aylla sursauta presque lorsqu’elle vit Peredhil !!

-Mon cher, caché vous si vous ne voulez pas vous faire embrocher comme un petit champignon. Lui dit t-elle avec un certain sourire.

Elle se leva tranquillement et marcha un peu vers la droite… pour observer les alentours. Il y avait un homme près de la porte d’entrer..

-Une auberge…je n’étais jamais venue ici…. et cet homme il faisait partie de tout ceux qui avaient osé enlever leur amie. Se rappellera t-elle

Elle alla rejoindre les autres pour les informés qu’ils étaient bien au bon endroit.

-Je crois que nous l’avons retrouvé. Le seul problème est qu’il est impossible d’entré par en avant sans se faire voir. Je pense que deux d’entre nous devrais faire le tour de la maison pour voir si une autre entré serais envisageable. Leur dit-elle.

Aylla était très nerveuse, même si elle faisait comme si elle avait confiance….mais elle ne pouvait avoir confiance car elle ne savait rien de la situation et tout était à prévoir.


Davinaelle a écrit:
Davinaelle somnolait, elle était entre le sommeil et l'eveil et elle cauchemardait.
Elle était chargé par un enorme mamouth et des brigands cornus qui lui lançaient des fleches qu'elle tentait de dévier avec son épée. Le combat était inégale et elle allait finir la tête dans l'herbe quand la porte s'ouvrit et le chef des brigands entra.

Le chef entra avec Shakaa qu'il posa sur le lit et une magnifique panthere, Davinaelle qui avait toujours ete fascinée par cet animal au point de l'avoir choisi pour emblème, regardait la scène sans trop réagir.

c'est seulement quand le chef lui parla qu'elle reprit vraiment pied dans la realité, elle respira de soulagement, il n'etait pas mort !! Elle esquissa un sourire en regardant Shakaa.


- il faut le soigner, il n'est pas tres bien quand meme !
le medaillon ? ben c'est un gros medaillon avec dessus un dragon à deux tetes et les yeux sont des saphirs, un medaillon d'homme. Je trouve que des rubis auraient ete mieux pour un dragon, mais le bijoutier l'a estimé autrement. Pourquoi cette question ?

elle le regardait intrigué, c'etait bien du medaillon de l'homme qu'il parlait. Parce que celui de la femme, elle n'en avait rien dit.


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres avait plongé la main dans une des petites sacoches de sa ceinture…
La sortant doucement après les paroles de Davinaelle il sourit.


« Si il meurs c’est que le destin le voulait ! Si il survie c’est qu’il le devait
Mais je ne t’empêche pas de le soigner si tu as de quoi le faire…
Tu penses vraiment qu’il peut mourir d’un petit choc au sol ?!... »


Remettant la main dans sa petite sacoche il prit quelque chose dans sa main et le tendis devant lui.

« Un médaillon comme celui-ci ?! »

Dans sa main se trouvait le médaillon répondant parfaitement à la description faite par Davinaelle.
Souriant il commença a parlait.


« Je vais t’expliquer une chose, ce médaillon m’appartiens et il n’en existe qu’un seul qui va de paire avec le médaillon à trois tête de Dragon…
Alors soit tu connais l’utilité de ses deux médaillons deux tête et trois tête et tu veux me cacher le second qui me manque…
Soit tu ne m’as plus d’utilités propres !

Alors je te fais une offre, la vérité contre la vie de cette personne un peut trop espion a mon goût…. »


Chef des ombres avait rangé son médaillon dans sa petite sacoche en faisant bien attention de bien fermer celle-ci.
Puis croisant les bras, il la regarda s’installant contre le mur près de la porte.
Broxigor venant s’asseoir à coté de lui.


Davinaelle a écrit:
Davi haussa les epaules

- le soigner ? attachée ? j'aurais du mal !!
je ne connais pas la signification des medaillons, mais le votre n'est pas unique, je l'avais et je l'ai laissé dans les bagages de mon epoux. Oui, il y a un autre medaillon avec 3 têtes, c'est un medaillon pour femme, il est sertie de rubis et les dragons sont finement ciselés. Je l'ai gardé, le mort ne me l'a pas donné, il etait dans ses affaires, qu'on m'a remis voila pourquoi j'ai pensé que vous ne parliez pas de lui. Il ne devait pas savoir que c'etait celui là qui était important, parce que c'est celui là que vous cherchez n'est-ce pas ?

Davinaelle n'aimait pas qu'on la prenne pour une sotte.


caro68130 a écrit:
Bon je vais y aller, je vais me faufiler vers l'arrière pour voir s'il y a une autre entrée. Syl tu viens avec moi. Aylla tu as déjà pris des risques donc reste ici et tiens compagnie à ce cher Monsieur.

Je pris la direction de l'auberge, en compagnie de Syl. Nous essayons au mieux de nous faire les plus discrète possible. Mon épée frolait ma jambe et me procurait une joie que je n'avais sentie qu'il y a fort longtemps. Lorsque nous étions proche de l'auberge, je fis signe à Syl de partir vers la droite et lui chuchotta :

Bon Syl tu pars à droite et moi je vais à gauche, on se retrouve ici dans 5 minutes. Sois prudente.

Je rampais presque au sol afin de ne pas me faire repérer, car devant la porte d'entrée était posté des hommes, qui je dois l'avouer, était bien bâtis et armés jusqu'aux dents

Allez Caro, tu as vu pire, courage et passe ton chemin

J'arrivais enfin à l'arrière du bâtiment et là, oui il avait une entrée, mais elle était également gardée, mais par un seul homme

Tout doucement je rebrouissais chemin pour retrouver Syl qui m'attendait déjà.

Bon Syl tu as vu il y a une entrée, et l'homme qui surveille, à nous 4 nous n'en ferons qu'une bouchée. Et maintenant allons retrouver Aylla et Monsieur Péredhil !


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres regardait Davinaelle en rigolant un tout petit peu, il s’avait que ses bijoux était unique et allait le prouvé.

« Ma petite Davinaelle captive, je dois te dire quelque chose !
Ces médaillon sont un seul et unique médaillon tu t’en doute ! Mais la personne qui les a fabriqué les a faite sur des plans précis qui ont était brûlé, ces plans avaient des matériaux très spéciaux pour sa composition et son créateur et morts de ma main avec les plans !

Donc celui de votre époux n’a qu’une pâle copie et je le vérifierais quand je le rencontrerais ! »


La regardant avec un air arrogant il n’avait pas encore retiré sa capuche, et sa voix jouait avec l’atmosphère de la pièce laissant un mystère sur son visage et son apparence, laissant qu’une vague idée de son age par une voix calme, réfléchis et posé avec un très de charme et de mélodie…

Sortant la dague de sa ceinture, dague qui avait appartenue a Davinaelle au début de cette enlèvement.
Approchant de Davinaelle il lui coupa ses liens, la regardant dans les yeux, n’aillant que cela qui pouvais être discerner par de petit éclat brillant dans les globes prévu naturellement pour ses yeux.

Lui coupant les cordes qui liés ses main il retourna à sa place pour la surveiller attendant ses commentaire…
---fromFRKurtWagner
Le médaillon de Davi partie 3

Davinaelle a écrit:
Enfin !! Enfin, il avait coupé ses liens ! Davinaelle se massa les poignets, ils etaient douloureux. Elle se pencha pour toucher Shakaa, c'était mal aisé puisqu'elle avait encore le pieds attachés.

- Ça va pas trop grave, une bonne commotion, il peut rester dans les vappes si on ne le reveille pas !
Oui, c'est peut etre une copie, alors le brigand que vous avez tué ne connaissait surement pas toute l'histoire ! comme vous allez me tuer comme les autres, à ce que j'ai cru comprendre vous ne laisser personne derrière vous, racontez moi cette histoire, elle doit etre passionnante ! les medaillons sont des cles ?


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres regarda Davinaelle avait un petit sourire dissimuler dans l’obscurité de sa capuche.
Son regard perçant dans la pénombre il la fixa un instant, comme perdu dans ses pensés.


« Des clés…hummm non, il ne vous sont d’aucune utilité, c’est plus un symbole important pour moi et de bonne personne… »

Chef des ombres parlait sans réel conviction, cherchant certaine chose dans sa mémoire.
La regardant elle lui avait dit qu’il ne devait pas le laisser dormir, mais il préférer, s’approchant de lui, il l’écarta de Davinaelle le tant de lui noué les pieds ensemble et les mains.
Il n’aimait pas les mauvaise surprise et avait fais les nœuds en ne quittant pas Davinaelle du coin de l’œil les faisant avec un savoir faire assez grand.

Se souvenant de ses années dans la marine, assez court mais pratique il avait fais un nœud solide et parfait.
Reculant un peu il tourna dos a Davinaelle et demanda d’une voix légèrement capricieuse.

« Mais où puis-je trouvait « mon » médaillon ?!
Il me tarde de le retrouver en ma possession, il m’est très précieux pour moi…
Dans vos affaires il me semble vous avoir dit, j’irait y jeter un coup d’œil mais je préférerais être sûr de mon déplacement, c’est votre vie, celle de votre camarade et de votre maison qui son en jeux !

Je peut très bien brûler votre maison et la transformer en cendre, je serait alors certain de retrouvait mon médaillon intact ! »


Repensant a se qu’elle venait de dire, qu’il avait l’habitude de ne pas laissait de témoin…
Il sourit, avant de répondre dans un souffle de méditation


« Il m’arrive de ne pas laisser de témoin il est vraie, mais vous ne pourrais pas faire de description de moi et donc je ne craint rien !
Mais si vous le désirez je pourrais vous délivrez des souffrances de ce monde…»


Faisant face il avait baisser la tête vers le sol murmurant une phrase qu’il avait retenu toute sa vie…
« La mort n’ai pas un châtiment…c’est une délivrance ! »


Davinaelle a écrit:
Davinaelle avait entendu la phrase qu'il avait murmuré apres sa diatribe

« La mort n’ai pas un châtiment…c’est une délivrance ! »

une délivrance ? oui, quelques fois ça l'est ! elle l'avait appelé de ses voeux, il n'y a pas si longtemps et elle n'etait pas venue. Maintenant elle ne voulait plus mourir, elle avait tout ce qu'il fallait pour vivre. Une ville où s'installer, des amis sincères et surtout un autre amour à vivre. NON ! elle ne voulait pas mourir.

Elle leva les yeux vers lui et lui dit


- j'ai le medaillon de la femme, il est ici à Clermont.


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres releva les yeux vers Davinaelle comme satisfait de savoir son médaillon non loin.
Ouvrant la porte, il parla un instant a un garde qui descendis les escaliers un petit moment avant de revenir avec des soins…de 1er secours mais des soins.
La panthère n’avait qu’une parole et le garde déposa tous les 1ers soins sur la table avant de ressortir comme un courrant d’air.

Regardant Davinaelle Chef des ombres avança vers elle, et s’abaissa au niveau de son visage la regardant amicalement, presque intimement.
Souriant doucement il leva le menton de Davinaelle qui avait baissé les yeux comme mélancolique et toute triste.


« Tu ne va pas mourir ! Et j’ai fais monter de quoi soigner l’autre suicidaire !
Mais en échange je veux l’endroit exact de mon médaillon ! Tu veux bien me dire ou il est !

Plus vite je l’aurait récupérer plus vite de disparaîtrais de ta vue et de ta vie ! »


Chef des ombres resta accroupie devant elle, la fixant gentiment dans les yeux, les mains sur le lit pour gardait appuie.


Davinaelle a écrit:
Davinaelle vit les effets pour les premiers soins sur la table avec soulagement.
Il lui parlait le chef avec beaucoup moins d'agressivité et de menaces, elle se detendit. Quand il s'accroupit et lui parla, leurs regards se croisèrent, en d'autres circonstances, ils eussent pu etre de grands amis, Davinaelle avait toujours apprecie les gens intelligents et lui le chef l'etait indeniablement.


- Le médaillon est dans mon fourre-tout. Dans un ecrin, il est si beau que je l'ai gardé, mais je n'arrivais pas à le porter, il n'avait pas été fait pour moi. C'est un bijou d'amour. Il est dans le coffre fermé à clé dans la cave de mon fourre-tout ! s'il vous plait dites à vos hommes de ne pas tout casser, j'ai investit tout ce que j'avais dans se fourre-tout, je n'ai plus rien d'autres.


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres souriait, prenant la dague de son ceinturons il la donna a Davinaelle.
Coupant les liens de ses jambes en premier temps avant de lui rendre…
Puis se relevant il alla s’asseoir sur un chaise a bascule dans la pièce se laissant balancer d’avant en arrière tranquillement
.

«Vous pourrez mieux le soignait les mains et pieds libre et la dague vous sera utile si il vous faut couper des morceau de vêtement.
Mais pour ce qui est de mes hommes, deux d’entre eux vont vous accompagnez au village pour prendre mon médaillon et me le ramener

Mais je vous impose une chose, rien n’arrive a mes hommes, pas d’entour loupe ou de coup fourré et vous me le ramener en personne ici !
Et contre sa vous repartez en paix avec cette personne !

Mais personne ne dois savoir que je suis ici, qui je suis, ce que je veux et se que je vous veux !
Si une seul personne l’apprend et sa par mes hommes qui vous accompagne, et bien dans ce cas je le tuerait sans hésiter et raserait la ville comme je l’ai fais à Mayenne !»


Chef des ombres prenait de gros risque, mais il voulait tenter le coup, et mieux valait ne pas attirer l’attention…
Davinaelle ferait ce qu’il faut sans rien trahir ou le pauvre Shakaa souffrirait…horriblement…

Souriant tranquillement, chef des ombres continuer a ce balancer dans la chaise a bascule, paisiblement attendant la réponse de Davinaelle a son offre et aussi qu’elle soigne la rançon de son action pour lui.


Ange_Aylla a écrit:
Aylla regardais ses amies se faufilé entre les branches et elle souhaitais que personne ne les voies. Elle porta un regard au pendentif que Peredhil avait à son cou….

-Il est très beau se médaillons !! Moi aussi j’ai un pendentif en ange que ma mère ma offerte lorsque j’étais jeune ! Toi ou à tu eu le tiens ?? lui demanda t-elle.

Caro et Sylverlea arriva près d’eux à ce moment et leur informa qu’il y avait plus d’un garde de l’autre côté.

- Nous devons tenté quelque chose rapidement ou sinon qui sais……..


Davinaelle a écrit:
Davinaelle prit la dague et frotta ses chevilles, elle se leva fansant face au chef

- je vous promets d'aller et de revenir sans que rien ne soit remarqué, je tiens toujours mes promesses et ma parole est d'or. Je vous demanderais mon cheval, à pied cela semblerait supect. Qu'il y ai deux hommes avec moi, personne ne se posera de questions, je suis disons une femme qui fait ce qu'elle veut et qui ne s'occupe pas de l'opinion des autres. Promettez moi de garder cet homme en vie et en bonne santé. Il est loyal et fidèle envers moi comme vos hommes envers vous, je sais que vous respectez cela.
Quand vous etes pret, je pars mais avant je soigne mon ami.

Davinaelle dont des soins à Shakaa et l'allongeat le plus confortablement possible, il ne se reveillait pas et malgré tout ce qu'elle avait dit elle était inquiete.- J'ai fini !! quand vous etes pret !!


sylverlea a écrit:
Sylverlea et Caro rejoingnirent prudement Aylla et Peredhil au couvert de la forêt.

"Nous n'avons vu qu'un garde posté a l'entrée de derrière, et que quelques autres a celle de devant.
Sylverlea hésita
"Tout cela sonne faux. Aylla tu les as vu nombreux, ils sont tous bien quelques part, et cela m'étonnerait beaucoup qu'ils soient a l'intérieur en train de s'enfiler des bières, ne prenant comme précausion qu'un nombre limité de malheureux gardes ayant perdus a la courte paille. Restons prudents. Jouons plutôt l'ingéniosité, car pour avoir ainsi capturé Davi, ils doivent l'être, mais nous le seront plus qu'eux. Je crois que j'ai un plan... Enfin l'ébauche d'un plan plutôt...
Sylverlea leur sourit
"Les écuries sont à l'écart, ils ont du y poster un garde ou deux, mais surement pas plus. Il faut éliminer ce ou ces gardes, lacher les chevaux, et faire en sorte qu'ils se dirigent vers la forêt. Ensuite, il faudra agir vite..."

Sylverlea expliqua a Aylla, Caro et Peredhil les première fondations de son plan, puis ils se mirent a le bâtir ensembles, précisant chaque aspect au fur et a mesure, établissant une solution a tous les incidents qu'ils s'imaginaient pouvoir rencontrer.
Lorsqu'ils eut terminé, Sylverlea vit que tous étaient d'accord, une lueur brillait dans leurs yeux, et ils croyaient en la victoire, ils savaient qu'ils retrouveraient Davi d'ici peu...


"Mes amis, souhaitons nous bonne chance, mais elle sera avec nous".


peredhil a écrit:
Peredhil se dirigea avec ses dames, en douce, vers les ecuries. Il laissa son cheval attaché, et comme tout le monde s'arma avec son épée.

Il songea de nouveau au médaillon, c'est vrai qu'il était beau mais il ne savait d'où il venait l'ayant trouvé dans les affaires restées à Polignac.


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres regarda Davinaelle avait un sourire de prédateur mais doux quand même.
Il la laissa soigner l’homme qu’il avait ramener, puis quand elle eu fini il sortit avec elle sans un mot.
Indiquant a un garde de rester dans la pièce pour surveiller l’intrus, descendant les marche une a eu, il rendit les affaires de Davinaelle et sortie dehors accompagner de deux garde.

Marchant tranquillement vers l’écurie, chef des ombres s’arrêta devant un homme qui essayait de faire fuir les chevaux…
Celui-ci leur tourner dos, avançant silencieusement disant a Davinaelle de ne rien dire, il frappa du bout de son épée contre son épaule droite.


« Excuser moi, ces chevaux appartienne à des personnes a l’intérieur et aussi a cette jeune femme !
Je ne pense pas qu’ils ont étaient abandonnés… »


Chef des ombres recula laissant la personne se retourner calmement, mais qui avait sursauter sous le coup de l’épée…
Chef des ombres avait laissé sa capuche alors que les deux gardes n’avaient pas sortis leur arme, tenant leur épée sous leur cape.

Chef des ombres regarda autour de lui, et vit les quatre hommes déguisé en garde municipaux revenir de patrouille et s’arrêtant un peu plus loin d’eux.

Chef des ombres sourit et les appela d’un signe de la main, les gardes municipaux de la panthère arrivèrent sur leurs chevaux.

« Messieurs les gardes, cet individus essaye de faire fuir nos chevaux, et j’aimerait tiré cette histoire au clair !
Et la jeune femme derrière moi aimerait bien rejoindre la ville en sécurité, les routes ne sont pas sûres… »


La panthère de chef des ombres n’était pas derrière lui, où était t’il partis ?!


caro68130 a écrit:
Aylla était restée avec Peredhil mais l'avait devancé dans les écuries. Quant à moi et Syl nous étions passées par l'arrière où personne ne se trouvait. Une petite porte s'y trouvait, sans aucun doute pour y faire entrer la paille. Syl passa la première alors que je guettais mon épée prête à servir s'il le fallait. Comme aucun danger ne se présentait, je rentrais dans l'écurie à mon tour. De notre poste, nous pouvions voir Aylla, et murmura :

Syl tu vas vers Aylla et vous sortez les chevaux qui sont à l'avant. Quant à moi je m'occupe des 3 ici. Je devrais y arriver toute seule, à l'avant ils sont plus nombreux.
Peredhil est dehors à monter la garde, et si un quelconque problème devait se présenter il nous avertira comme prévu avec le cri d'oiseau qu'il imite si bien.

accroupis je faisais un tour des lieux du regard quand soudain :

Syl, Mon Dieu Syl, regarde Deléclair, Davi est donc bien ici il n'y a plus aucun doute à avoir. Bon le temps presse, assez parlé, rejoins Aylla, occupez- vous de la dizaine de chevaux, moi je m'occupe de Deléclair et des 2 autres.

Syl me regarda droit dans les yeux et me fit son plus beau sourire. Sans dire un mot de plus, elle se dirigea vers Aylla


sylverlea a écrit:
Sylverlea laissa Caro s'affairer au premier box et rejoignit Aylla. Elle s'échangèrent un sourire tendu avant de commencer a ouvrir le plus silencieusement possible les portes des boxes.

Sylverlea sentit le contact chaud du museau d'un cheval baie. Elle lui jetta un regard. La longue liste blanche de l'équidé la frappa, elle ressemblait a un arbre, s'étendant sur le front comme s'étendent des branches, ainsi des bras tendus vers la lumière, mais prisonniers d'un corps retenu par des racines en terre. Sylverlea secoua doucement la tête. Ce n'était pas le moment de rêver. Elle s'empara du loquet et le poussa lentement.
Brusquement elle sursauta, ne fit plus un geste. Quelqu'un parlait dehors, juste de l'autre coté du mur! Elle écouta, faisant abstraction des bruits parasites, sentant son ventre se contracter.


"Messieurs les gardes... fuir nos chevaux..."

S'en était assez, Sylverlea repoussa le loquet, prit la main d'Aylla, lui intimant le silence, et se dirigea le plus rapidement et silencieusement possible vers Caro.
Celle-ci avait déjà ouvert la porte d'un box, heureusement, le cheval, hésitant, n'avait pas encore avancé. Sylverlea referma prestement la porte.
Elle chuchota, la tension perçant dans sa voix.


"Ils ont trouvé Peredhil, je les ai entendu, il faut partir, vite!"
Caro lui prit le bras
"Non Syl, si l'on sort et qu'ils nous attendent de l'autre coté nous sommes fichues! Ils pensent qu'il n'y avait que Peredhil, laissons les croire ca! Mais cachons nous, et vite!"

Elle regardèrent autour d'elles. Elles ne pouvaient se cacher dans un box contenant un cheval, s'ils arrivaient et prennaient l'un d'eux, elles seraient découvertes. Elle avisèrent en même temps la paille. Elle était entreposée dans un long box vide. Sans même un regard entre elles, les trois jeunes femmes coururent s'en recouvrirent.


Ange_Aylla a écrit:
Bien caché et respirant à peine, elles regardaient au travers de la petite fenêtre du box…les brigands parlés avec Peredhil.

-Pauvre lui. Pensa t-elle

Elle essayais d’entendre leur paroles mais impossible. De leur place elles voyaient bien Davinaelle. Elle semblait Calme mais c’était une qualité qui l’habitait. Au font Aylla savait qu’elle devait avoir peur mais préférais ne pas le laisser voir devant eux.

Aylla se mit à pensé à ce qu’elles pourraient bien faire….lorsqu’elle vit dans le coin du box son arc et ses flèches..


-Haaa je l’es es tant cherché, je l’es avaient oublié ici lors de ma dernière visite !!!! Quel bon moment pour les retrouver !!

Elle s’en empara et installa le tout sur son dos puis retourna se caché sous la paille. Aylla avait un très bon tir et sa lui servirais probablement à la vitesse ou évoluais les choses.

Elles attendaient que la situation bouge, que cet homme, celui qui semblait être le chef, donne ses ordres.


peredhil a écrit:
Peredhil se retourna lentement.

Voici donc le responsable mesquin de cet enlevement. Ne pouvez vous vous comportez comme un gentilhomme? Quelle est la raison de cette forfanterie?


Davinaelle a écrit:
Davinaelle avait reconnu du premier coup d'oeil son époux, sa stature suffisait, il n'y avait pas beaucoup d'homme de presque 2m dans la region.
*Alors il était venu ?* pensa-t-elle. Elle était assez surprise, elle ne pensait pas qu'il braverait le danger pour elle, mais enfin elle était à lui, donc il venait recuperer son bien. Elle eut un pauvre sourire quand elle l'entendit, il n'avait pas changer d'un poil, toujours sur de lui et arrogant. Etait-ce le fait qu'il soit ancien templier ?
Elle ne voulait pas qu'il soit blessé mais il semblait sous-estimer la puissance des bandits.
Quand il se retourna, le regard de Peredhil l'effleura à peine, il ne s'occupait que du chef. Cela la soulagea, il n'etait pas si préoccupée d'elle. Elle attendit voir ce qu'il allait decouler de ce face à face.


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres regardais l’homme devant lui sans réelle importance…
Malgré ces presque deux mètre, l’homme ressemblait plus a une petite frappe de la cour des miracle qu’a un danger pour sa sécurité.
Souriant avec assurance sous sa capuche il ricana d’un rire plutôt moqueur.
Jetant un œil vers Davinaelle il avait le pressentiment qu’elle le connaissait bien et d’une voix plutôt mélodieuse il demanda.


« Très cher Davinaelle ! Êtes vous prisonnière ?!
Cette homme parle d’enlèvement êtes vous au courant de cette mascarade ? »


Regardant ses gardes déguisé qui demandait du regard l’ordre d’intervenir il leur répondu d’un regard noir que non…
Un peu déçus les gardes attendirent amusé de la scène.

Quand il prêta plus attention à l’homme devant lui il se rendit compte que l’homme portait la copie de son médaillon…
Instinctivement il toucha le sien dans sa petite sacoche et fût rassurer au contact des doigts sur la forme solide de son médaillon.

Chef des ombres se demandait si l’homme était venue seul, et il en doutait son assurance n’était pas dû qua sa soi disant force, il devait avoir quelque personne avec lui et chef des ombres laissa passer le moment de le tuer pour remettre cela a plus tard…

Amicalement, chef des ombres le regarda pour ne pas prêter mauvais œil sur l’opération.
Se plaçant de Profil, il pouvait maintenant voir l’homme et Davinaelle attendant patiemment qu’elle lui réponde sur sa question d’enlèvement, le pauvre allait bientôt être sans femme si il continuer dans sa lancé…

Il se contre ficher d’elle et sa chef des ombres le lui ferait payait par règle d’honneur
.


Davinaelle a écrit:
Davinaelle regardait alternativement son epoux et chef desbandits, elle ressentit comme un malaise, le chef avait l'air de plus se preoccuper de son sort que son époux, elle soupira. Elle en avait assez brusquement de cette situation, d'etre là ! Elle avait tant envie de galoper d'etre ailleurs, loin et seule. Elle repondit neanmoins

- Qu'allons nous faire là, presentement ? on y va ou pas ?


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres n’avait pas eu la réponse a sa question et sentait bien la colère et l’anxiété dans la voix de Davinaelle qui pourtant avait une belle vois naturel…
Se tournant vers le géant nain, chef des ombres voulait récupérer le faux médaillon, faisant signe au garde de s’écarter il fit reculer Davinaelle par la même occasion.


« Sir L’inconnu qui me jette des accusation non fondé, je vous défis en duel singulier pour laver s’êtes souillure faite sur ma personne !
Vous avez le choit :
-Soir relever le défi si vous avait se qu’il faut pour confirmer votre affront !
-Soit vous-vous excusez et me donnais le médaillon que vous portez sur votre personne sans en connaître les vraies valeurs !

N’ailler pas peur d’avouer vos faiblesses, une langue d’idiot dans un corps de géant c’est comme se qu’on dit des crocodiles !
Deux mètres de gueule et vingt centimètre de patte ! Pour vous sa ce confirme on dirait… »


Ne voyant pas de réaction de cet individu, chef des ombres décida de pousser un peu plus loin, posant sa main sur sa garde d’épée tribal « tarentula ».
Les gardes municipaux c’était mis en formation en carré, Davinaelle aillant était écarté alors que les deux garde de Chef des ombres surveiller les chevaux dans l’écurie au cas ou, scrutant les alentours.

Chef des ombres commença a tirer son épée de son fourreau positionnant ses jambes en appuie concentrer, chef des ombres s’apprêter à recevoir ou lancer un attaque si des excuse et le médaillon ne lui était pas remis.
Ses 18ans d’entraînement depuis son plus jeune age lui donnais l’avantage et la rapidité…ses années de guerre et de combat violent avait fais de lui une arme a tuer tout se qui s’opposer sur sa route.

Levant les yeux vers ceux du mari de Davinaelle, susurrant une petite phrase…


« Donne moi l’occasion de t’éventrer…misérable templier que tu a était sous ma surveillance de l’ordre… »


Ange_Aylla a écrit:
Deux hommes étaient à l’intérieur de l’écurie et surveillais les chevaux. Les trois jeunes femmes ne bougeaient pas et restais en silence sous toutes ces pailles.

Dehors l’ambiance semblait devenir de plus en plus tendu.


Davinaelle a écrit:
Davinaelle s'etait reculée, bien obligée qu'elle était. Il avait l'air tres en colère le chef.
Elle appreciat en connaisseuse la situation et sourit à l'invective sur les crocodiles, elle ne connaissait pas cet adage.
Elle se demanda comment allait reagir son mari, elle allait dire quelque chose pour empecher que la situation s'envenime de trop puis elle decida de laisser courir, finalement tout ceci commençait à l'amuser et sa depression passagère s'etait envolée, elle observait les deux hommes assez amusée.


peredhil a écrit:
Mon sieur, quand on retient une femme contre son gré cela s'appelle un enlevement! donc l'accusation est fondée. Il existe bien d'autres manières pour recuperer un bien s'il est le votre!

Peredhil regardait cet homme, qui semblait aguerri mais pour un combattant semblait meconnaitre certaines regles du combat: ne jamais sous estimer un adversaire. Sa stature bien qu'imposante etait exagérée mais n'etait pas sa principale force.

Le combat ne me fait pas peur mais vous sentant offensé, je pense qu'un combat au premier sang permettrait d'effacer cela! Mais je ne sais si vous pourriez etre sage pour accepter un combat dans les regles?


Chef.des.ombres a écrit:
Chef ricana devant l’homme.
Souriant dans sa capuche il le regarda un peu avant de se remettre normal.


« Je pense que je devrait peut-être me présenter pour respecter les règle !
Chef des ombres, leader de La Panthère Des Enfers, mercenaire et combattant des quatre guerre, ex espion du roy, membre émérite de templier et protecteur, ex capitaine de la garde noir, bras droit de plusieurs organisation, et aussi et surtout le dernier visage que vous verrez ! »


Sur cette phrase, chef des ombres avait laissé tomber sa cape et sa capuche laissant apparaître sa personne.
Cheveux court bien coiffé, les yeux vert ténèbres, son petit sourire charmeur et moqueur avec son ceinturons et épée tribal Tarentula.
Des vêtement couleur sombre, allant de ses bottes noir et son braie noir, portant un chemise d’un bleu foncé d’un tissus très pur.

Dans son dos, deux dague assez long que l’on appelle souvent « Les morsure de l’ange noir » et qui sont symboliquement deux lame d’une couleur rouge vif au point qu’il est difficile de savoir si c’est leur couleur ou si les dagues son recouverte du sang d’une victime…

Une garde vint ramasser la cape rapidement et la posa sur la selle de son cheval tandis que chef des ombres reprit son discours.

« Vous dite que je l’ai enlever, mais Davinaelle est libre en se moment et je prend donc vos accusation pour injure et le ferait payait non par le sang comme dans le petit duel mais par l’inconscience !...
Mais peut-être que vous ne connaissait pas ses règles monsieur…Monsieur comment a ce propos, que je puisse le graver sur votre tombe si malheur vous arrivez pendent ce petit duel. »


Chef des ombres était souriant, un sourire sûr de soi et au intention vil avec son savoir faire dans l’art de duel et combat.
Chef des ombres se remit en mode combat, faisant pivoter légèrement ses jambes il se mis sur un position d’attaque avant contre arrière avec posture mi droite pour attaque sur le flanc feinté inverse…

Chef des ombres avait refuser le 1er sang car le 1er sang signifierait la mort, de son adversaire…Sa lame tribal se faisait nommer tarentula pour une bonne raison…
Souriant, le vent vint caresser ses cheveux et rafraîchir son visage alors que son épée était dans ses mains, lame et épée tenue vers le bas au contraire des combats de tout homme…


peredhil a écrit:
Decidement vous restez mesquin! Parce que vous decidez qu'elle est libre à l'heure actuelle cela n'est point un enlevement.
De plus vous targuez d'etre un membre émérite des templiers avec vos manières de fourbe, je pense que d'anciens frères doivent se retourner dans leur tombe.
Comme je le pensais vous n'avez aucun honneur.


Davinaelle a écrit:
Davinaelle regardait les deux hommes, deux coqs prets au combat. Pourtant elle se sentait etrangère à tout ceci, il etait evident que Peredhil ne se battait pas pour elle, tout juste s'il lui avait jeté un regard.
Chef des Ombres ? ainsi c'etait lui, elle en avait entendu parlé par sa soeur. Graciellä avait eu affaire à son groupe lors de l'attaque de Mayenne, d'ailleurs c'etait un membre du groupe qui l'avait sauvé en la confiant à une villageoise, elle avait ete lachement abandonné par l'armée.
Elle l'observa, ains c'etait lui le fiancé d'Iliana ? bel homme ! Iliana avait toujours eu un gout tres sur. Iliana etait sa grande amie.

Davinaelle commençait à etre exaspérée d'être considerée comme un bibelot inutile, elle evalua la distance qui la separait du plus proche cheval, le problème est qu'il avait dejà son cavalier. Elle soupira, si au moins elle avait un tabouret.


peredhil a écrit:
Davinaelle le regardait à peine, quelque chose avait changé en elle. Il ne se battait pas plus pour elle que pour l'honneur d'une dame comme il l'avait toujours fait chez les tempiers.

Entendre cet homme parler des templiers alors que cela semblait etre un etre vil et fourbe.

Il lui jeta son medaillon.


Cela ne m'étant d'aucune utilité ni à mon épouse semble t'il, je vous le rend

Il se prepara alors à un combat sans aucune regle ni aucun honneur de la part de son adversaire mais il connaissait aussi de vils coups.


Chef.des.ombres a écrit:
Les templiers sont des pourriture, ils se disent être la pour l’église et le peuple mais profite d’eux dans leur dos.
La panthère Des Enfers elle était franche et avouer ses fais et méfais ! Elle n’avait pas besoins de faire des coups de lâche !

Regardant ce templier il commencer a en avoir marre, souriant t’elle un prédateur avide de sang.
Pour qui se prenait t’il a se croire supérieur par ses manière, si il savait que chef des ombres était un noble il se l’écraserait ce vaut rien.
Posant sa seconde main sur sa garde d’épée la faisant tournoyait doucement avant de lancer une attaque a raz du sol vers la jambe droite de son adversaire qui dégaina pour bloquer le coup de justesse.
Tournant sur lui-même il lui mit un coup de coude dans les cotes passant dans son dos leur lame s’entrechoquant de nouveau faisant jaillir plusieurs étincelles.

Leur visage près à quelque centimètre l’un de l’autre chef des ombres avait un sourire dément mais sûr avec des flamme de combat.
Quand il se bat, chef des ombres semble être posséder par le malin, frappant avec ruse les point d’ouverture de son adversaire.
Appuyant sa lame de toute ses force il lui dit.


« Le temps des bonne parole sont fini templier, que le combat commence jusqu’au premier inconscient. »

Appuyant un coup sec sur l’épée de son adversaire avec la sienne il enchaîna d’un coup de genou plein estomac profitant de lui avoir couper le souffle pour lui frapper du plat de son épée dans le dos.

« T’es mort ! » ricana t’il en faisant un bon en arrière, surveillant son adversaire de son regard vert, se préparant a bloquer le moindre coup et de lancer une contre attaque sans se penser supérieur, les combats amène souvent de drôle de surprise si on pense être vainqueur d’avance.

Tranchant un trait devant lui de sa lame il releva la tête et le regard du sol vers son ennemie.
« Approche, viens ! » Murmura Chef des ombres patientant pour lancer sa feinte trois coup.
Le templier se ferait avoir si il tenter d’attaquer, le regard de chef des ombres ne lâchait pas l’individus mais anticiper chaque mouvement et attaque possible, chef des ombres étant baser sur la vitesse et l’imagination plus que sur la force, il avait l’avantage sur ce grand homme…


caro68130 a écrit:
Du fond de l'écurie, toujours cachées, nous pouvions distinguer quelques paroles.Le ton montait entre les 2 hommes

Chef des Ombres, c'est ainsi que se nomme leur chef. Les filles, je ne sais pas ce que vous en pensez, mais moi je pense que cela va dégénérer. Tout cela va finir en duel et à mon avis il n'est point bon pour nous de rester ici. Pour peu que Péredhil ou Chef des Ombres en se défendant pénètre dans l'écurie, ils seront suivis par tous les gardes. Si tel est le cas, nous serions prises au piège et plus aucun moyen pour nous de quitter les lieux.

Au dehors, le ton montait de plus en plus

Cela devient trop dangereux, sortons d'ici. Je prends les devants pour vérifier si la voie est libre.

Je rampais, vers la petite porte arrière d'où Syl et moi étions entrées et regardais au-dehors. A droite, rien et à gauche pas âme qui vive. Je me retournais vers les filles qui m'avaient suivis.

C'est bon la voie est libre, tous les gardes doivent être à l'avant à regarder ce qui se passe. Aylla vas-y la première, court rejoindre les chevaux. Soit discrète et prudente. Je t'enverrai Syl dès que tu ne seras plus visible.

Aylla fila du plus vite qu'elle pouvait, on aurait dit un petit lapin tant elle était rapide et discrète. Syl la suivit et quand toutes les deux étaient hors de vue je sorits à mon tour pour les rejoindre


Davinaelle a écrit:
Davinaelle sursauta quand les hommes se mirent en garde. Le savoir que le combat allait commencer et le voir n'etait pas la même chose. Son coeur se serra elle ne voulait pas qu'il arrive du mal à son mari. C'etait incomprehensible, mais elle voulait qu'il reste entier. Elle avança et dit

- Ce n'est pas la peine de vous battre, CDO il vous a remis le medaillon et vous savez bien que ce n'est pas celui là que ovus desirez. Nous perdons du temps, j'ai soif comme toujours, et je suis fatiguée de rester debout à vous regarder, suivre un combat est au dessus de mes forces, donnez moi mon cheval et qu'on aille chercher le bon medaillon !

Elle essayait de ne pas regarder Peredhil, elle voulait pas qu'il lise qu'elle avait peur pour lui dans ses yeux, ça l'affecterait. Elle fit un pas vers l'ecurie.


peredhil a écrit:
N'etant pas fou, il préferrait laisser venir l'adversaire, quitte à utiliser sa botte. Il était quand meme moins vif que son adversaire, il preferrai utiliser la fureur de son ennemi. Il avait beau etre un guerrier aguerri, il se laissait depasser par ses emotions.


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres regardait l’homme devant lui…
Il avait rendue le médaillon, il était donc plus peureux et dépourvus d’art du combat qu’il le penser déjà….
Rangeant son épée tranquillement, chef des ombres prit le médaillon a terre sans quitter l’homme des yeux.

Regardant les hommes autour de lui, Davinaelle était resté en retrait et c’était peut-être mieux.
Elle voulait son cheval, mais rien ne la retenait ici…
Chef des ombres aurait préféré tuer son adversaire, mais tuer un lâche, qui n’aime pas sa femme au point de l’ignorer et ne pas la regardait, sa, chef des ombres le laissait bien aux autres criminels de seconde zone…

Les vraies adversaires se faisaient rare, c’était certain.
Souriant un peu déçus, il remis sa cape d’une voler et montra le médaillon a Davinaelle en le serrant de plus en plus jusqu'à qu’il ne casse.


« Tu vois, un faux médaillon, pour un faux homme !
Il allait bien à ton mari ! »


Les hommes de la panthère ricanèrent ensemble alors que le bruit de plusieurs arbalètes se faisait entendre dans un silence retrouvé…
Faisant claquer ses doigts, chef des ombres donna le signal à ses hommes de faire venir trois chevaux, celui de Davinaelle et deux pour son escorte.
---fromFRKurtWagner
Le médaillon de Davi partie 4

Davinaelle a écrit:
Davinaelle vit avec soulagement Chef des Ombres renoncer à combattre son époux. Peredhil ne pourra pas jouer les martyrs, il s'en sera tirer sans une egratignure.

Elle monta d'un coup à crue sur son pur-sang arabe, Deleclair etait toujours ausi magnifique, elle ne jeta pas un regard à son mari et talonnant Deleclair elle s'elança les deux hommes à sa suite. Elle galopa tout de suite, c'etait si bon de galoper, les hommes suivaient, elle ne voulait pas les semer juste courir, pour que le vent la lave de tout ça. Il fallait que Shakaa soit sauvé.


caro68130 a écrit:
De retour à notre point initial, nous étions entrain d'échaffauder un plan pour aider Davinaelle, quand soudain les oiseaux cessèrent de chanter, les lapins couraient dans tous les sens, des biches passaient devant nous comme si nous n'existions pas. Etonnées, nous nous sommes regardées toutes les trois se demandant ce qui pouvait bien ce passer pour que les animaux fuient de la sorte. Quand soudain, un bruit de galop se fit entendre. Un cheval arriva à vive allure et passa à 5 mètres de nous. On aurait cru un ouragan à la vitesse où il passait.

Surprise de la rapidité, nous sommes restées sans voix. Et soudain Aylla dit :


Mais.......mais....... c'est pas possible, je rêve........c'est....... c'est Davi avec Deléclair.

Aylla eut à peine le temps de finir sa phrase, que d'autres chevaux arrivaient, eux aussi au galop, Syl enchaina

Des gardes, deux gardes à la poursuite de Davi.

D'un seul regard, nous nous sommes comprises et plus vite qu'il n'en fallait pour le dire, nous sautons sur nos chevaux à leur poursuite.


Davinaelle a écrit:
Davinaelle filait et elle arriva bientot à son fourre-tout. Suivis par les deux gardes, elle y entra.
Cela lui fit un peu mal au coeur de constater l'absence de ses fleurs, mais tout etait propre, une personne était venu tout ranger et jeter les fleurs fanées et les gateaux rancis.

Apres un instant de reflexion, elle alla à la cave et trouva la boite du médaillon dans une malle en osier qui était rangée là. Elle verifia que le beau bijou etait dans son écrin et remonta tres vite, Shakaa avait besoin d'elle.


- Nous pouvons repartir dit-elle aux gardes

puis elle sortit et remonta que son cheval et...


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres était rentrée dans son auberge saluant l’aubergiste qui avait regardait le combat si on peut appeler sa un combat…démonstration irait mieux et encore…
L’inconnu était gardait a l’œil par la milice qui lui demandait de circuler et de ne pas crée de problème ou les geôle l’attendais.

Allant au bar, chef des ombres commandant une tournée général qu’il payant de suite discutant tranquillement avec des gardes, faisant apporter à boire et a manger au sentinelles de dehors qui leur fit leurs rapport commun, aucune anomalie dans la surveillance.

Quelques animaux fuyards, trois commerçants qui n’ont pas fait de halte, tout sembler ok…
Les hommes patrouiller autour de l’auberge, certain discuter certaine fois, d’autre surveiller le prisonnier alors que chef des ombres s’amuser au lancer de poignard dans un concours avec deux trois hommes.

Le temps passait lentement, très lentement, chef des ombres c’était installer sur une chaise ce penchant sur celle-ci gardant équilibre pour somnoler légèrement.
Il était parti dans un petit sommeil léger pour attendre, il pensait au événement récent, le templier n’avait rien apporté d’amusant, juste le médaillon.
Chef des ombres n’avait pas pu livrer un combat digne de ce nom, pfffff les templiers tous les mêmes, les templière était même mieux que leur guerrier, Zender pfffff, le mari de Davinaelle…

Vraiment pitoyable, s’éloignant un peu plus chef des ombres pensa a sa fille et sa fiancée qu’il épouserait bientôt avec bonheur, pouvant revoir dans les yeux de sa douce le bonheur de sa compagnie.

Sa chevelure brune avec ses petits yeux timides et pourtant si grands et inondés d’amour.
Il se souvenue de leur rencontre, sur l’assaut de Sarlat il y a de cela quelque mois, presque une année…

Elle lui avait était présentée par Démon des ombres, son général d’infanterie et par jalousie chef des ombres avait voulu faire groupe avec elle pour cet assaut sur la ville.
Enflammant les maison et tuant les résistant et milicien, son regard et ses pensés s’entre choquer dans l’envie de pouvoir la séduire, chose qui c’était produit au commissariat de Sarlat ou il tuèrent plusieurs garde en tête a tête.
Dans son rêve chef des ombres avait sourit, c’était de bon moment ou elle tuer pour le séduire et ou il faisait de même.
La ville en flamme, et les flammes des maisons, illuminant son visage avec tendresse mais force faisant ressortir tout son charme.

Mais cela fût terminé par l’arriver d’une fée…qui avait gelé énormément de troupes de la panthère et l’armée noire…
Armée qui avait était absorbé par les rangs de chef des ombres les gonflant d’un supplément de mille hommes entraîner mais non ordonné…

Se souvenant de moment plus intime il se remémora aussi une taverne ou Jilia sa fille avait sûrement était conçue, cette taverne n’avait jamais plus eu la même apparence rustique pour chef des ombres et sa fiancée, il ce souvient très bien de cette nuit car c’était ce soir la qu’il demanda Illiana en fiancée…

Mais alors qu’il allait rentrée dans des domaines énormément plus intime il ouvrit les yeux a causse d’un garde qui c’était écrouler de rire.


caro68130 a écrit:
Nos chevaux au galop, suivaient les 2 gardes qui foncaient tout droit vers le fourre-tout de Davi. A quelques mètres de là, nous ralentissons nos chevaux et finissons au pas.

Arrivées devant le fourre-tout, nous voyons Davi sortir de chez elle, remonter sur son cheval, une boite à la main. Elle disait aux gardes qu'ils pouvaient repartir.


Davi, ça va ? tu repars ? pour aller où ? Et qui sont ces 2 hommes ?


Ange_Aylla a écrit:
Aylla arriva juste derrière Caro et d’un signe de la main fit un signe à Davinaelle. Les gardes étaient là….elle ne devait donc pas dire depuis quand elle l’es suivait.

-Nous t’avons vue passé tout près de nous à une vitesse folle, Nous étions…En balade.


Davinaelle a écrit:
Davinaelle fit un signe à ses amies, son coeur etait gonflée de joie, ainsi ses meilleures amies Caro, Aylla et Sylverléa etaient toutes les trois reunies pour lui venir en aide.

- Mes amies, je rapporte au Chef des Ombres ce qu'il demande, la vie de Shakaa est en jeu ! il a reçu un coup en tentant de me sauver et il ne reprend pas connaissance. Il faut que j'y aille sans tarder. Ne vous inquietez pas ! je ne suis plus prisonnière. J'y vais le temps presse !

Davinaelle fit un signe à ses amies, elle n'écouta pas leur reponse, elle lança Deleclair, elle etait de plus en plus inquiete pour Shakaa. Les gardes s'elancèrent à sa poursuite. Il lui semblait que ses amies aussi mais elle n'en etait pas certaine.


peredhil a écrit:
Peredhil regarda Davinaelle s'en aller sans un regard. Elle semblait l'avoir rayer de sa mémoire mais pourquoi l'avoir fait venir?

Il jeta un oeil au bandit, se disant qu'etant bien trop arrogant il ne ferait point long feu sur terre!

Il retourna chercher son cheval puis s'en retourna seul et sans explication vers chez lui


Ange_Aylla a écrit:
Les trois jeunes femmes n’étaient pas très loin derrière Davinaelle. Peu importe le déroulement de la situation pas question de laissé Davinaelle seule dans ces conditions. Elle était leur amie et une amie ne laisse jamais tomber une autre amie. Peu importe ce qui l’es attendaient là bas elles suivraient Davinaelle jusqu'à ce qu’elle soie en sécurité.

-J’espère qu’une fois que ce Chef des ombres aura ce qu’il veut…qu’il laissera allé Davinaelle sans problème. Dans le font il ne semble pas méchant……juste extrêmement déterminer.


Davinaelle a écrit:
Davinaelle arriva devant l'auberge où était le chef, elle descendit et lui tendit l'ecrin sans un mot. Elle était droite et ne broncha pas, elle ententit arriver derrière elle les autres cavaliers, ils etaient plus de deux on dirait, mais elle ne se retourna pas, elle regardait le chef des bandits dans les yeux et attendait qu'il dise quelque chose.


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres avait eu le signal d’arrivait de plusieurs cavalier, se levant de sa chaise, il partis en direction de la sortit sa cape remis correctement et sa capuche lever…
En haut il n’avait pas eu de nouvelle que le prisonnier ce soit réveiller, mais était toujours en vie…aux dernière nouvelles…

S’avançant devant la cour de l’auberge, il vit arrivait Davinaelle, suivit de ses deux gardes qui leur fit des signe de la main, croisant les doigt, l’abaissant, montrant un nombre et autre information en langage codé….

Chef des ombres grimaça et fit signe a ses sentinelles au cas ou…
Souriant à Davinaelle il avança vers elle, Broxigor juste à ses cotés…
Broxigor semblait tendu…c’était peut-être mauvais signe mais chef des ombres le rassura d’une petite tape légère sur la tête suivit d’une caresse.


« Calme toi Broxigor…On ne risque rien ici ! »
La panthère se calma et resta calmement à observer les alentours…
Souriant toujours il regarda Davinaelle en demandant
.

« Vous avez ce qui m’appartient ?!
J’ai hâte de le retrouvait pour vous expliquer la raison de l’importance de ce médaillon… »


Chef des ombres avait un grand sourire au lèvre regardant trois chevaux supplémentaires arrivait juste derrière…
Faisant signe a ses hommes de tenir le joue il entendit deux fenêtre s’ouvrir derrière lui et les deux sentinelles des arbres prendre appuie et tenir le joue…


« A propos, votre mari lâche et partis avec de drôle de conviction…Si je puis dire vous choisissez mal vos bien aimés…
A part la grande gueule et sa modestie de templier…il n’a rien de bien propres a lui ! Juste une copie du petit soldat obéissant et stupide ! Mais ce n’est rien …C’est souvent les hommes comme lui qui vive le plus longtemps…et les plus bêtement aussi… »


Chef des ombres ricana et regarda Davinaelle avec un petit sourire Charmeur.
Abaissant sa capuche, pour savourait le soleil et le vent sur son visage.

Il remarqua dans les nouvelles venues qu’il s’agissait de trois cavalières plutôt charmantes, mais qui avait tout de même des épées…
Chef des ombres connais peut de femme du camp des « gentil » qui savent manier l’épée, elles sont plutôt doué a l’arc…Quoique sa femme a fais de gros progrès grâce a ses entraînements intensif au château de La Panthère Des Enfers !


Davinaelle a écrit:
Davinaelle tendit l'ecrin au chef et ne repondit pas à propos des remarques qu'il fit sur Peredhil. Peredhil etait reparti sans attendre de la savoir sauve, elle ne l'oublierait pas.

- Voici, votre medaillon est à l'interieur. Comment va mon ami ?

Il n'y avait que la vie de Shakaa qui lui importait.


Ange_Aylla a écrit:
Arrivé sur place, des gardes les attendais…Elles stoppèrent leurs chevaux mais ne prononça aucun mots. Le silence était une façon de lui montrer qu’elles attendaient qu’il s’adresse à eux.

Elle observa mieux le chef…..Il semblait en confiance, sur de lui, plutôt belle apparence avec de grand habit qui semblait être de très bonne qualité. Elle se demande d’où il pouvait bien venir

Aylla était plutôt calme, elles n’avaient pas l’intention d’être hostile et encore moins de contrarié ces messieurs. La seule et unique chose qu’elles voulaient était que leur amie revienne au village en leur compagnie.


Chef.des.ombres a écrit:
Chef des ombres prit l’écrin et ouvrit pour voir son médaillon…
En l’ouvrant un petit bout de tissus l’entouré, le retirant il pu voir qu’il s’agissait du bon…
Le prenant doucement, il l’inspecta du regard, un grand sourire satisfait aux lèvres, c’était le bon.

Sortant le sien, il écarta doucement les deux tête de dragon et y emboîta le second, automatiquement les deux tête de dragon masculin encerclèrent celle du milieu dans les trois tête de dragon féminin, suivit des deux autre du médaillon féminin qui se resserrèrent sur les deux tête de dragon masculin et firent un salue digne des plus noble…

Maintenant les deux médaillons ne faisaient plus qu’un !
Ricanant a peine voix, il passa le médaillon autour de son coup, faisant un large sifflement les deux gardes des arbres sautèrent au sol, ceux des fenêtre et de l’auberge sortir au pas de course s’alignant derrière chef des ombres en rang correctement.

Tous se mirent au garde a vous en même tant que le lieutenant du groupe leur donna l’ordre.
Souriant à Davinaelle il commença son long récit.


« Vous voyez il y a très longtemps exister une groupe de bandit, qu’on appeler les pillards du dragon…
Il sévissais dans les montagne entre la France et le saint empire…Les pillard avait fais un system très performant pour leur base, est était contrôler par le chef et sa femme leur pouvoir reposant dans leur médaillon spécial…
Ces médaillon avait était fabriquer par un bijoutier très reconnu par les Roy pour sa technique et son savoir faire…

Avec une équipe de recherche dans les matériaux et la chimie ils ont crée ce beau médaillon que je porte maintenant au cou.
Ce médaillon représente le pouvoir de armée du dragon et ils y sont très fidèles !

L’homme que vous avez rencontrer dans les terre anglaise était un traître qui voulait prévenir les pillards que j’avait tuer leur chef moi leur général de guerre !
Moi et mes hommes avons étaient avons était très malin, mais ma cousine voulait le pouvoir avec son fiancé !

Et sa je ne pouvait tolérer la trahison dans ma famille, c’est pourquoi elle est morte !
Mais son fiancé c’était enfuis avec le médaillon de sa fiancée au prit de la vie de sa douce !
Après beaucoup de recherche on a retrouvé le médaillon que vous m’avez remis et donc maintenant les armées des pillard du dragon vont être a moi !

Grâce a vous ma demoiselle Davinaelle, vous venez de faire grandir mes armées de deux milles supplémentaire.
Merci beaucoup a votre coopération ma demoiselle… »


Chef des ombres regarda les trois jeune femme, et leur lança un beau petit sourire coquet, s’adressant a elles il agrandit son sourire.

« Mes demoiselles, quand vous vous cachez ! Ne faite point de mouvement brusque, Broxigor les sens énormément et les chevaux panique en ne sentant pas l’odeur de leur maître !
Toujours contre vent près de plusieurs animaux ! »


Chef des ombres fit un petit sourire alors que ses hommes n’avaient pas bougé d’un poil attendant leurs ordres.
Claquant des doigts il donna l’ordre de libérer les chevaux, et alors que les chevaux commencer leur course, plusieurs hommes commencer à courir au coté de leurs chevaux montant sur eux en pleine course ne perdant pas de temps.
Deux gardes restèrent aux cotés de chef des ombres a cheval souriant. L’auberge commencer à fumer…
Souriant Chef des ombres commença a regardait le toit s’embraser.


Regardant les trois jeunes femmes il ricana.
« A l’intérieurs se trouve un homme qui avait essayait de libérer Davinaelle, maintenant que l’auberge est en feu, et bien sa vie et entre vos mains a vous trois !
Soit vous décider de nous poursuivre, soit vous aller le libérer ! »


Posant sa main sur l’épaule de Davinaelle, son pouce était sur sa nuque et il la remis dans son état d’inconscience et la monta sur son cheval, montant à son tour dans un élan…

« Je la libérerais à la frontière ! J’en fais la promesse !
Après sa sera a elle de revenir ou pas !

Mes demoiselles, je fus heureux de vous voir, La Panthère Des Enfers vous salut! ! ! »


Chef des ombres lança son étalon noir dans un élan et enchaîna par une course avec ses hommes alors que l’air commençait à vraiment sentir le brûler…
Chef des ombres n’avait pas dit que le prisonnier avait était déplacé un peu plus loin dans la forêt et se réveillerait bientôt…
Qui sait les femmes le trouverait peut-être à partir de l’étage en regardant par le carreau…

Davinaelle sortit déjà de son inconscience, sa n’était pas très normal sa, il avait du mal faire sa prise mais i continua tout de même…
Jusqu'à la frontière plusieurs heures après, et comme promis y déposa Davinaelle…


Chef des ombres laissa Davinaelle libre la ou ce trouvait son cheval et son oiseau...En lui disant...

"la vie du prisonnier n'ai pas a craindre ...Il était en forêt l'hors de l'incendie, après pour vos amie je ne peut dire si elles le sont.
Si elles sont entrée dans l'auberge en feu je ne suis point résponsable !

Nos chemins se quitte ici Demoiselle Davinaelle, mes armées vous remercies de ce cadeau !"


sylverlea a écrit:
Sylverlea regarda les médaillons s'assembler et ne devenir qu'un. Le résultat était magnifique, une pure merveille... Elle resta un instant stupéfaite.
Mais la voix du chef se fit entendre. Elle écouta attentivement, attendant ses expliquations depuis longtemps.
Il donna ses expliquations d'une voix sure, ce qu'il disait était très intéressant, leur donnant les causes de tout ce qui était arrivé, mais aussi très inquiétant. Ses armées agrandies de deux milles hommes grace a ce médaillon! Ce n'était peut être pas une bonne nouvelle...
Lorsqu'il eut terminé, il s'adressa a Aylla, Caro et elle, leur donnant des conseils quand a la démarche a suivre une prochaine fois. Sylverlea espérait qu'il n'y en aurait pas et était loin de se soucier de ses conseils dans l'état de tension ou elle était. Il avait encore prévu quelque chose, c'était certain, et elle attendait.
Une odeur de brulé commençait a légèrement parfumer l'air, elle n'y prit pas garde.
La fuite du chef ne se fit en effet pas attendre. Il leur lança avant de s'élancer:


« A l'intérieurs se trouve un homme qui avait essayait de libérer Davinaelle, maintenant que l'auberge est en feu, et bien sa vie et entre vos mains a vous trois !
Soit vous décider de nous poursuivre, soit vous aller le libérer ! »

Sylverlea n'en cru pas ses oreilles. Elle jetta un regard a l'auberge, l'on commençait a apercevoir des flammes, et l'odeur de brûlé se faisait plus insistante.

"Oh non! Ce doit être Saskaa!"

Elles n'avaient pas le choix, si Saskaa était prisonnier a l'intérieur, il n'y avait pas une seconde a perdre! Le cheval de Sylverlea sentit lui aussi l'air devenir lourd et s'agita. Elle descendit précipitemment, lança un regard au chef qui s'éloingnait avec Davi, et se mit a courir a la taverne en flammes, elle murmura:

"Si il ne respecte pas sa promesse, jamais nous ne le laisserons en repos"

Elle entra, Aylla et Caro sur ses talons. Le rez de chausée n'était pas encore atteint par les flammes, mais l'on entendait clairement le ravage qui s'effectuait plus haut. Elle fouillèrent désespéremment en bas, personne... Il avait été déposé en haut... Sans perdre une minute de plus, elles coururent a l'étage. La fumée envahissait tout, elles se protégèrent immédiatement le nez et la bouche, et avancèrent, ne se lachant pas. Elle fouillèrent frénétiquement chaque chambre, toujours personne... Mais ou était Saskaa? Sylverlea se sentait désemparée.

Aylla sortit tout à coup d'une des chambres, et leur lança:


"On sort! Vite!"

Toutes trois dévalèrent l'escalier et se ruèrent sur la sortie, avant d'avaler une grosse impiration d'air plus pur.
Aylla leur dit:


"Je l'ai vu, il est dans la forêt, venez..."


caro68130 a écrit:
Nous suivions Aylla qui avait repéré Saskaa. Arrivées près de lui, il reprenait peu à peu conscience. Sa blessure avait été soignée avec grand soin. Aylla et moi-même l'aidons à s'asseoir. Il nous dévisagea avec étonnement et se mit à regarder autour de lui. Il ne comprenait pas ce qu'il faisait ici, nous demandait pourquoi l'auberge était en feu, mais surtout s'inquiétait beaucoup pour Davi.

Syl chercha un peu d'eau. Sacré syl elle avait toujours tout à porté de main. Son cheval est un vrai garde-manger.
Elle donna une gorgée à Saskaa et chacune de nous afin de faire passer la fumée que nous avions inhalée dans l'auberge.

Nous expliquons toute l'histoire à Saskaa, qui malgré une petite inquiétude était rassurée de savoir Davi vivante et en bonne santé.

Nous aidons saskaa à monter sur mon cheval, et ensemble reprenons la route du village, en espérant que Chef des Ombres tiendrait paroles.

Au fond de moi, je ne ressentais aucune crainte et savait que Davi serait relachée comme Chef des Ombres nous l'avait promis. Cet homme, imposant et déterminé, avait j'en suis certaine bon coeur et qu'il n'avait fait ceci que dans un seul but, récupérer ce fameux médaillon.
Une chose est certaine, la rencontre impressionnante avec Chef des Ombres restera à jamais gravée dans ma mémoire.


Davinaelle a écrit:
Davinaelle avait encore mal à la tête à cause de la pression de Chef des Ombres, il faudrait qu'il perde cette habitude

Ses amis étaient donc sains et saufs, elle ne s'inquietait pas pour Caro, Aylla et Sylverléa, elles étaient trop intellgente pour se laisser avoir. Il avait Chef des ombres eu la bonté de lui laisser son cheval son sac et meme son épervier Oeil du Cyclone était là voletant au dessus de sa tête qui la faisait souffrir.

Elle le regarda partir, sans dire un mot. Elle n'avait rien à dire, elle avait ete kidnappée, mais bien traitée somme toute. Elle n'allait pas le remercier, il eu ete tellement plus simple de venir lui parler, mais les brigands ne vivent pas comme tout le monde.

Quand il fut parti elle prit son parchemin et ecrivit


Citation:
Mes amis

Alors cette aventure est terminée, qu'Aristote soit loué. Etes-vous sains et saufs ? Je sais que Shakaa est dans la foret soigné. Mes amies j'attends de vos nouvelles, mais je ne reviendrais pas à Clermont. Une page de ma vie s'arrete. J'ai connu joie et tristesse. Et cet enlevement m'a permis de voir l'etendu de l'amour que me porte mon epoux. Je m'en vais vers d'autres cieux, d'autres soleils.
Je vous aime toutes. On se reverra

Davinaelle


Elle pleurait en envoyant son épervier.Elle ecrirait à Shakka plus tard en particulier. Puis le coeur lourd elle monta sur Deleclair et fila doit devant elle, Oeil de Cyclone lui la retrouvait toujours.




Ange_Aylla a écrit:
Davinaelle a écrit:
Mes amis

Alors cette aventure est terminée, qu'Aristote soit loué. Etes-vous sains et saufs ? Je sais que Shakaa est dans la foret soigné. Mes amies j'attends de vos nouvelles, mais je ne reviendrais pas à Clermont. Une page de ma vie s'arrete. J'ai connu joie et tristesse. Et cet enlevement m'a permis de voir l'etendu de l'amour que me porte mon epoux. Je m'en vais vers d'autres cieux, d'autres soleils.
Je vous aime toutes. On se reverra

Davinaelle


Aylla serra la lettre contre sa poitrine et regarda vers le ciel….Son amie au loin chevauchait vers d’autre destins. Peut-être trouverais t-elle le bonheur qu’elle cherche tant.....

Elle lui répondit avec un petit mot


Citation:
Ma Chere Davinaelle....
Nous sommes plus qu'heureuse de te savoir en sécurité.Cette aventure m'aura permit de me rendre conte combien je tiens à toi. Je comprend ton choix de partir et sache que je ne t'oublirais jamais. Je te souhaite d'être heureuse et de faire une merveilleuse vie.

Nos chemins se croiserons de nouveau j'en suis certaine..

Bisous

Aylla








[quote="Chef.des.ombres"]...Et Chef des ombres vaicu heureux avec sa douce Illiana ainsi que sa fille agée de quelque mois Jilia.
Tout en continuant d'être le leader de la panthère des enfers et l'ennemie des duché arrogant augmentant son pouvoirs à chaque nouvelle aventure....


FIN ! ! ! ! ! !



Avec :

Davinaelle :

Chef.des.ombres :

La Dague d'Argent :

Ange_Aylla :

caro68130 :

sylverlea :

Shakaa :

peredhil :

Et Dante :
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