[RP/IG] La taverne "La vieille bâtisse Lochoise"

Tayabrina

Non ma zoulie…Pas triste, mais juste un peu déçue de beaucoup de choses, ne t’en fais pas ça va aller, à présent je t’ai toi.

Un sourire à sa marraine qui saura bien vite que tout va aller pour le mieux. La bâtisse semblait bien calme.

Alors ma chéwiee ….Tout va bien pour toi ? tu as fait quoi pendant mon absence ? Tu sais c’est peut être le moment pour toi d’aller découvrir le domaine villandry. Là ou habite ta Bab.

Elle entraîna Davia et la posa sur la table regardant ses petites mains.

Tu as l’air propre ! Bien c’est bien tout ça.

Un coup d’œil à sa marraine qui lui semble trop anxieuse à son sujet.

Bon marraine tu me dit quand on l’emmène au domaine.

C’est plus la peine de se triturer avec des conneries, elle avait Davia et sa marraine pour la conforter, peut être qu’un séjour au domaine Villandry lui fera du bien et elle pourra enfin s’occuper de son aile. Aile que sa marraine voudrait à tout prix changer, mais Taya fuyait tout le temps ses responsabilités, dès qu’il s’agissait du domaine Taya était angoissée de perdre un peu sa liberté acquise depuis peu.

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Il n'y a pas de place pour deux pieds dans une même chaussure. Je n'aimerai que vous , et ce jusqu'à mon dernier souffle....

--Beetista

Hoo la Taya est enfin de retour !!! Dit-donc demoiselle vous croyez que je me taperai seule cette bâtisse, avec tout vos sac à bières qui déambulent ici ?

Une semaine que vous ne montrez pas votre nez en votre démeure !

Marmonnant intérieurement contre Taya, Beetista avait reçu l’ordre de s’en aller de la bâtisse, elle ne pouvait pas partir et laissée seule la petite Davia, revenant du lac ou elle lavait les draps et autres linges sales de la bâtisse, elle avait pue aussi prendre une bonne trempette bien à l’abri des regards pervers.

En revenant à la bâtisse elle assista à une scène qui ferai pleurer, mais Beet connais trop bien Taya, Elle avait trouver comment se faire pardonner et ne pas prendre un bonne raclée de sa marraine. Ainsi donc elle es triste, la pauvre ….

Vous me devez un bon salaire ! Sinon je m’en vais de ce taudis, j’ai d’autres chat à fouetter au domaine moi !

Beetista était furax ! Mais elle se devait de ne pas manquer à son devoir, elle avait la langue très pendue, mais au fond elle avait une âme très charitable. Elle s’inclina devant les trois demoiselles et partit à la cuisine préparer le rôti de viande à l’ail. Le boucher était déjà passé et avait laissé morceaux des viandes et charcuteries, il avait aussi prit soin de laissé la note bien en évidence. Elle revint vers Taya qui papotait toujours.

Tenez !

Elle mit la note sous le nez de Taya.

C’est tout même pas moi qui va vous régler les dépenses !!

S’en retourna à ses fourneaux au moins elle n'aura pas à subir les cris de la mioche durant une journée, toute à sa marmite elle écouta furtivement les conversations pour être bien informés de la vie de ses patron.

Davia

En entendant sa mère et Bab échanger, son sang ne fit qu'un tour.

NONNN! Ze veut pas partir moi! Ze veut pas être loin de Wan! et d'oncle Coco et de Zérémie et de Luc et de Zafara et de Mèri et d'Ellana!! Et puis c'est ou le domaine de Bab? c'est pas ma maison! Ma maison c'est la Bâtisse!

Davia se mit à sangloter et regarda tout à tour Bab et sa mère, les yeux rougis.

Babak29

babak s'accroupit devant Davia

On te demande pas de partir mais de découvrir ou ta maman Taya a grandit, chez moi, la batisse est ta maison et personne ne te forcera a quitter ce lieu si tu n'en as pas envie.

babak regarda la petite et lui sourit

Gwennie

TOC TOC!!!!!!!!!!!!!!

Y a quelqu'un??????????

Gwen posa son barda de plus en plus allégé par des rencontres diverses et variées depuis son put...de Limousin de m... Il semblait qu'elle etait là pour plus de temps que prévu , autant prendre chambre et poser ses fesses quand elle ne patrouillerait pas alentour d'une ville qu'elle avait décidé de défendre en dépit du bon sens commun.

Kermaëdic un jour, Kermaëdic toujours...ou l'art et la manière de faire tout sauf ce qui est bon pour soi...

Une blanche et une duchesse...Ma foi comme journée elle avait connu pire...Sans compter une puce de 5 ans.Bref se faire un brin de toilettes, pioncer pour oublier et ce soir, sens alertés sur les remparts. A défaut d'autre chose...
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--Beetista

Les grandes dames s’affairaient à calmer la bambine qui commençait à chialer qu’elles n’entendirent même pas le son de la porte qui toque. Laissant ses affaires à la cuisine, s’essuyant rapidement les mains à l’aide de son tablier, elle alla s’en inquiéter de quoi il était question du brouhaha à la porte.

Je dois tout faire ici !

Se posta devant la porte déjà ouvert, grimace en voyant une donzelle avec bagages, voilà elle va avoir encore être surchargée, elle qui vient à peine de retourner du lac avec lessive propre, elle allait avoir encore des draps qui lui casseront les reins à les rendrent à nouveaux propre.

Entrez donc ! Et bienvenue à La vielle bâtisse Lochoise. Laissez moi vous aider.

Elle aida l’étrangère avec ses bagages et lui pria de s’installer à une tablée, le temps qu’elle aille vérifier quelle chambre lui donner, sachant déjà que la chambre derrière le comptoir déjà prit par un sire borgne.

Reposez vous ! Je reviens à vous dans un instant !!

Jasson

Jasson entra dans la taverne de sa soeur d'un pas joyeux il vit sa soeur et embrasse ces deux petite femmes puis s'assit sur le tabouret et prenna une biére en surveillant Davia du coin de l'oeil pour quelle ne pique pas sa biére e

Gwennie

Citation:

Je dois tout faire ici !
Entrez donc ! Et bienvenue à La vielle bâtisse Lochoise. Laissez moi vous aider
Reposez vous ! Je reviens à vous dans un instant !!

Un deux, Gwen essaie d'en placer une mais renonce...Repos????? N eo ket possib'e en ce bas monde mais pourquoi pas faire semblant...Un moment du moins...

Gwen a mal à son visage qui à certains endroits prend une couleur verdâtre des plus disgracieuses alors qu'à d'autres le violet se dispute encore avec le rouge...Bah...Elle grimace un rapide sourire de remerciement et s'assoit lourdement sur un banc dos au mur dans un coin, là où la lumière est suffisamment douce pour atténuer la violence ancrée sur son visage de bourrique bretonne...

Elle s'installe donc et se tait, observant les gens peuplant la salle.
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Zafara

Zafara entra dans la taverne-auberge, elle aperçut une voyageuse, épuisée et couverte de quelques bleus, elle s'assit près de la cheminée et frotta ses mains l'une contre l'autre. L'automne s'installait mais l'hiver approchait, annonçant son lot de rhume, refroidissement, et autres joyeusetés du genre... (Ironie). En attachant ses cheveux, elle songea à Phyll, à Allista et à ses amis à Tours. Comme ils lui manquaient.

Mais elle avait fait une promesse, elle ne partirait pas sans l'avoir fait. Toute ces choses qu'on dit et qu'on ne faisait jamais... Mais elle tenait toujours ses promesses. Puis, plus loin, elle aperçut Davia! Elle sourit, elle adorait cette petite, et lui avait fait la dite promesse! Elle semblait pleurer, que se passait-il? De toute façon, elle la voyait sûrement, si elle voulait venir, elle viendrait quand elle le voulait!
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Tayabrina

Une tornade fit son apparition dans la taverne, Mais …C’est Beetista !! Que fout-elle ici et depuis quand ? Elle se mit à parler, à parler et à se plaindre…Taya manque de s’évanouir d’un tel flots des paroles, c’est le monde à l’envers ici, on dirait presque que c’est elle la propriétaire du lieu. La lochoise fut soulagée quand elle alla à la cuisine. Le calme revenu elle veilla à ce que Davia ne prenne plus peur.

Geste attentive envers Davia, elle prit son mouchoir et lui essuya les joues. Elle ne voudrait pas qu’elle soit malheureuse.

Tu sais…quelques jours c’est pas beaucoup…ça te fera du bien de courir dans le grand jardin. Et aussi d’y jouer dans ma chambre, j’ai encore tout mes jouets, tu pourras aussi emmener ta nouvelle camarade avec toi, si ses parents voudraient bien nous la laissée.

Elle repoussa soudainement sa tête en arrière, Beetista venait de lui fourrer un papier sous le nez, en râlant, elle prit la note et la posa sur la table. Et comme plus tôt elle fila encore une fois à la cuisine. C’est fou c’est qu’elle est autoritaire…Va falloir pensé sérieusement à la mettre bien à sa place celle là.

Bon tu as compris ma zoulie ? Où as-tu encore des doutes ?

Elle était prise dans l’acharnement de calmer Davia, qu’elle n’entendit pas la porte, et voilà que Beet se dirigea vers la porte énergiquement en faisant attention de ne point perdre sa reputation de râleuse professionnelle. Elle observa bien sa manège du comment qu’elle accueille les clients, vite la dame fut on va dire presque traînée à l’intérieur avec bagages qui allait avec. Et toujours comme une furie elle était déjà partie dans l’espace taverne.

La lochoise fit un inclinent de tête à la nouvelle venue, que voilà elle vit entrer Zafara. Une amie qu’elle avait connue à Tours, charmante accueille qu’elle lui fit dès son premier Jours dans la capitale. Elle la laissa se poser sur une chaise, puis lui adressa enfin la parole.

Et ben Dame Zafara !! Que nous valons votre visite ?

Elle était contente de la voir ici. Elle fit partirent ses yeux vers la petite Davia.

Je vous présente ma fille Davia. Et aussi ma marraine Babak que vous devez sûrement connaître c’est une habituée de Tours…

Pour une fois Beet au lieu de passer son temps à râler aurai put venir leurs offrir de quoi se désaltérer.

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Il n'y a pas de place pour deux pieds dans une même chaussure. Je n'aimerai que vous , et ce jusqu'à mon dernier souffle....

Zafara

Je suis venue au mariage d'Ellana. Oh, mais je connais Davia, Tayabrina, je l'ai rencontrée dans cette taverne un soir, elle est adorable!

Zafara sourit à son amie et l'invita à s'assoir avec sa fille adoptive. La petite Davia revenait d'un chagrin, elle avait les yeux rouges de ses pleurs, elle lui sourit. En même temps, elle posa sa main sur son ventre et le caressa.
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--Beetista

La guerre, dure temps... Beet était restée bien dans son coin observant chaque mot et chaque geste de chaque habitants de la bâtisse, cette guerre avait enlevée un être chèr à sa petite patronne. La petite Davia aussi en souffré. Mais pour Beet tout cela n’avait point d’importance, ainsi, même attristée elle continua son travail comme si de rien n’était.

La taverne attirait toujours les clients et elle avait beaucoup des besognes à terminer.

Elle s’attaqua à mettre les tonneaux vide dehors et alla à la grange chercher des pleins. Pauvre Davia pensa-elle, elle qui aimait tant son fiancé et sa mère qui vit recluse, la laissant à elle-même. Elle fera son possible pour que la petite reste avec le sourire.

Antonix

Dame Bakak, c'est un plaisir de faire votre connaissance ! Il s'inclina par respect et offrit un sourire chaleureux aux deux femmes.
La tavernière qu'il connaissait bien maintenant lança un brin d'humour qui fit rire le jeune homme. Il adorait son humour et son petit air de rien quand elle faisait cela. Il porta son regard vers ses jambes et ajouta quelques mots pour la faire rougir d'autant plus.

En effet, vos jambes vous portent bien, elles sont divines.

D'une moue amusée, il observait la jeune femme et s'enquérit de la moindre rougeur sur son visage.

N'auriez vous point trop bu, belle demoiselle ? Je vois là quelques traits roses, qui vous vont bien par ailleurs, sur vos joues fraiches.

Il prit sa chope et la leva.Merci et à votre charmante demeure, lieu de convivialité et de charme ! Il avala d'un trait le liquide relevé et reposa sa chope avec vivacité.

J'espère ne pas avoir interrompu une conversation de la plus haute importance ? D'ailleurs ... je ne vais pas tarder à retourner au travail ...

Son regard se porta vers la porte puis revint vers la jeune femme, hésitant. Ses pensées le malmenaient beaucoup mais il savait qu'il ne pouvait pas se laisser aller, il se devait de rester droit, pour sa promise.

Bonne journée à vous, demoiselles. Je reviendrai m'occuper du toit dès que possible.

Il se leva et quitta la taverne, non sans avoir donné un baise main aux femmes présentes auparavant.

Le lendemain, Antonix était revenu à la taverne. Il avait un peu de temps libre et entreprit de s'occuper des réparations du toit dans l'auberge. Il lui avait promis et il n'était pas de ceux qui promettaient dans le vide.
Il avait été chercher les outils et les planches dans la grange avant de grimper pour s'y mettre.

Il avait fait beaucoup de bruits en clouant. Les clients devaient crier pour se faire entendre mais malgré cela ils étaient tous resté, car, il n'y avait pas à dire, la belle taverne rendait le lieu chaleureux et accueillant. Qui aurait voulu partir d'ici ?

Pendant la pause, elle lui offrit un verre. D'autres offrirent des tournées. Cela lui mettait du baume au coeur pour travailler, c'était certain ... jusqu'à ce que le toit se dérobe sous ses pieds et qu'il s'écrase lourdement sur le sol.

La douleur avait été incroyable mais le visage de la jeune femme avait adouci ce moment d'horreur. Il perdit conscience un moment. Un homme le soigna du mieux qu'il put, à l'aide d'herbes. Pour l'aider à revenir à lui, Tayabrina lui versa de nombreuses chopes dans la gorge. Antonix s'éveilla dans un état d'ébriété incommensurable. Ce jour là, il devait aller travailler de nuit à la maréchaussée pour faire des rondes. C'était mal parti.

Ainsi la douleur se fit moins forte et il se releva. Les côtes, sans doute brisées, lui donnaient le souffle court. Il avait divagué le reste de la soirée puis sous l'impulsion de l'alcool, il l'avait embrassée et s'en fut rapidement.

A la maréchaussée, il traina la patte et heureusement, il devait accomplir sa ronde seul. Malgré le regard méfiant du lieutenant qui lui donna ses instructions, on le laissa faire. Très vite, il s'écroula près du mur de la ville, inconscient. Sa nuit fut agitée mais ses souvenirs partirent dans la fumée des voluptes du matin naissant.

Rien, il ne se souvenait de rien après l'accident. Juste qu'il souffrait le martyr et qu'apparemment, il n'avait pas accompli son travail correctement. Malgré cela, il était allé récupérer la bourse de sa paie. Le voyant grimacer, le lieutenant lui demanda ce qu'il s'était passé. Antonix lui expliqua brièvement une altercation avec un soulard, ce qui était faux, et s'en alla, le coeur lourd, sans vraiment savoir pour quoi. Ce mensonge lui était insupportable mais pas au point de le mettre dans cet état. Il y avait eu autre chose. Quelque chose dont il ne se souvenait pas.

Se reposant au possible chez lui, il ne passa pas en taverne. Son travail lui prenait bien plus de temps qu'avant, avec la douleur lancinante dans son torse. Malgré tout, il continuait à travailler d'arrache pied. Pas le choix, sinon il aurait à peine de quoi manger.

Enfin, il eut l'occasion de passer en taverne et de revoir sa belle tavernière. Quel ne fut pas sa surprise quand elle arriva ennervée devant lui. Sans comprendre, son sourire disparut. Il n'eut pas le temps de lui faire le délicat baise main habituel, elle le refusait même. Il l'écouta lui dire qu'il l'avait embrassée. Aucun souvenir. C'était sans doute le plus terrible de la situation. Son esprit n'était que brume quant à la soirée après l'accident.
Il s'excusa comme il put mais le mal était fait. Son coeur serré de la voir ainsi souffrir d'avoir laissé aller son coeur, le meurtri d'autant plus intérieurement.
Il ne laissa rien paraitre. Il voulut essuyer la larme qui coulait sur sa joue, elle l'en empêcha. Sa décision était prise, il ne devait plus la revoir. La voir souffrir à cause de lui le conforta dans sa décision de partir au plus tôt.

Il quitta alors l'auberge en lui promettant de ne plus l'importuner.
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Tayabrina

Ce soir là, elle l’a regardée partir sans rien faire, elle avait que trop dit et elle comprenait, c’est mieux si leur route ne se croise plus, ça l’évitera beaucoup de mal. Ayant quand même prit la peine de lui envoyer une missive elle s’attendait à avoir au moins une réponse mais rien ….

Depuis elle s’était déjà mise dans la tête de l’oublier elle s’était vaguait a ses occupations quotidienne. Taverne, marché, mine quand la taverne n’a pas eu de rentrées d’écus. Un soir alors pendant qu’elle était seule un homme fit son entrée dans la taverne lui obligeant à boire une choppe de bière rien que pour voir comment elle se délectes d’une bière.
Trouvant l’homme bizarre, elle se dit que Loches possède de drôle d’énergumène des fois. Ce qu’elle ne savait pas ce que au fil des jours une amitié naissante aller donner jour à plus qu’une amitié, Jasson allait devenir son frère et la protège déjà de tout ce qui pourra éventuellement la nuire.

Tayabrina avait déjà commencer as oublier l’incident désastreuse de cette fameuse nuit, cette nuit ou il la prise par la taille et la envoûtée d’un baiser passionné, puis la laissant là sans réaction il était partis non sans avoir rentrer dans la porte plusieurs fois, elle fut bouleverser, avait beaucoup pleurée, car elle avait longtemps résister connaissant ses obligations…Mais lui sous l’emprise de l’alcool il avait omit tout ça.

Ce matin là quand elle vit un pigeon entrer dans la taverne et voler dans tout tous les sens. Une missive à la patte, elle comprit vite que c’était lui. Avec beaucoup de peine elle pu attraper le volatile qui ne voulait pas se laissé faire, pour enlever la missive de sa patte ce fut encore plus difficile. Missive en main elle se posa à la tablée de la taverne et commença de lors la lecture de son billet.

Crispant la missive, ses yeux se remplirent des larmes de rage , ses joues prenait feu, elle hurla contre l’expéditeur du billet, même si il était absent de la taverne, Loches entière à du entendre ses hurlements et lui avec.

Vous auriez du ne pas répondre à ma missive !! Cela aurait était mieux !! Bourreau de cœur !!

Et vlan !!! Dans son accès de colère, elle renversa la table, fit voler les tabourets mais se reprit aussitôt c’était pas dans sa nature, une douleur aigue lui monta à la gorge, sensation de brûlure du aux hurlements qu’elle à pousser. Elle se calma et essaya de reprendre son esprit, fallait retrouver le calme.

Se remémorant de ce que Jasson et dame Didou lui as dit « toujours rester calme qu’elle que soit la situation »

Elle rétrouva très vite sa douceur, elle se mit au comptoir tourna la missive fatidique au verso elle entreprit d’écrire, de lui écrire…

Et….

Elle ne lui écrivit pas grand-chose mais suffisamment pour qu’il comprenne que il l’a blessé sans le vouloir par ses mots et non par ses agissements. Taya savait qu’elle ne pourrait jamais le détester.

Ensuite elle sortit retrouver le pigeon et le lui attacha la missive aux pattes en lui sommant de le retourner à l’expéditeur.

Bredouille elle rentra dans la bâtisse et essaya de remettre la table à sa place, mais elle ne put le faire …au lieu de ça elle s’effondra à terre même pas une larme, les mots de la missive lui tourna dans la tête sans cesse.

« Pourquoi ? »
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Tayabrina

Pourquoi ?

Pourquoi elle ?
Elle n'avait que 19 ans après tout, elle avait fuit le château Villandry pour mener sa petite vie tranquille. Un séjour interminable dans ce couvent là où elle avait appris avec acharnement la vie, la vraie, elle avait une éducation décente, courtoise, aimable, douce, Taya ne manquait de rien, elle s'était jurée de ne pas laisser son coeur se prendre dans le filet de l'amour.

Alors, pourquoi ? Pourquoi avoir fuit le couvent aussi ? Cette vielle bâtisse reconvertit en taverne pour qu'elle puisse mener une vie décente sans se casser les os, ou à se torturer ses mains délicates à la mine. Cette bâtisse laissait entrer une joie indescriptible, chaleureuse et si accueillante. Elle qui sortait rarement pour aller au marché et qui restait si recluse. L'amour l'a foudroyée sans pitié ici même dans cette taverne et cela pour un homme promis ailleurs.

Très tôt ce matin son frère avait du mal à se réveiller, les épis des maïs sont manquants dans la réserve ainsi que la viande. Elle se résout à aller au marché en ce dimanche, le village semblait calme ,elle prit la route vers le village, à l'entrée du village marqua une pause à la porte d'espoir, puis continua sa route tranquille, elle fit ses emplettes rapidement six épis de maïs et un morceau de viande, un sourire au boucher qui le zieuter d'un drôle d'air, elle fila vite de la place du marché, passant par la mairie elle remarqua le chef des maréchaux qui recrutait pour la journée, possible qua dans la journée elle viendra postuler, elle pourra ainsi se divertir l'esprit et chassée toutes ces pensées tristes de son esprit.

Elle se rendit chez messire Adermast pour prendre le 16 écus qu'il la devait pour avoir aidé à récolter son champs de blé, le bougre n'était pas là elle repassera plus tard. Cette fois ci elle sortit du village et se rendit à la mine, le comté lui devait aussi pour la journée ou elle y est allée rien que dans l'espoir de le voir lui.

La demoiselle savait que c'était fini, pour elle c'était fini, elle l'aimera toujours dans son coeur et priera toujours pour son bonheur qu'il soit heureux ou qu'il soit. Elle passa par le lac déposa son panier d'emplette et fit sa petite trempette du matin, remémorant les derniers jours passés souriant à la vie, oui Taya était heureuse de sa vie et comblée.
Quand elle revint à la Taverne Jasson dormait toujours

Quel ronfleur celui- la !

Haussement d'épaules, son tablier enfilée elle s'occupa de préparer les galettes que les gens raffolaient en ce moment, la taverne commencée à avoir une baisse de consommation le propriétaire de la vague à l'âme était de retour et c'est tant mieux Loches s'anime sous ses yeux et elle aura moins de boulot ainsi
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Jade5

Jade qui visitait le village, s'arrêta devant une maisonnette bien joliment décorée.
Elle vit Tayabrina, qu'elle avait bien connu toute petite.

Qu'elle est belle se dit elle...

elle était en conversation avec d'autres personnes, elle ne voulut pas la déranger, continua son chemin et se dit qu'elle aurait bien l'occasion de la revoir en taverne.
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--Zankou

Mort d’ennui dans ce foutue village ! Il erre sans but …La porte de taverne s’ouvrit violemment la tavernière affairée a ses breuvages ne le vit même pas entrer, un tabouret tiré de sous la tablée, le brute jeta un regard mesquin vers la gérante qui semble l’ignorer, son sang fit un tour cela le dérange !!

Hey toi là !! Ramène tes fesses et un fut de bière avec !

Sa frimousse innocente l’insupporter, comment une femelle puisse être si arrogante au point de l’ignorer, lui Zankou.

Il jeta sa capuche en arrière devoila mieux son visage balafré, grimaçant au décor stupide de cette taverne, tout cela n’es pas à son goût, La donzelle ne semble pas réagir , comment ose –elle ? Il renversa le tabouret le plus proche de lui !

Ça vient ou pas ? Tu veux peut être que je te fouette ?

Aucune réaction…soit elle es sotte soit trop fière de sa bouille rosie par la chaleur que procurer sa marmite…Il le regarda longuement et se voit envahir d’un désir de le toucher, de palper cette chaire qui semble douce. A cette heure personne ne viendra…il sourit à cette pensée…Oui de qu’elle s’approche il tentera quelque chose peut être qu’elle loue ses services dans sa petite chambre médiocre.

Ramène toi z’ici !!! C’est comme ça que tu reçois tes clients toi ?

Recula un peu le tabouret, il posa ses pieds sur la tablée en attendant qu’elle daigne s’approcher de lui.

Jasson

entre dans la taverne de sa soeur et voit un homme tres vulgaire qui parle a sa soeur comme une esclave s'approche de l'homme et dit
Et vous vous ne parlez pas de ce ton la a ma soeur ce n'é pas votre servante ! partez d'ici sian vous allez avoire un bras en moins..

--Zankou

Tiens qui sait celui là ? Au parler de l’homme c’était le frère de la gérante inactive à ses gestes.

Une main sur son front le repoussa de toutes ses forces.

Va voir chez les navettes toi !!! Ne me dérange pas !!

Comment un homme puisse être si bête ? Ne savait il pas qu’en laissant sa soeur dans une taverne, qu’elle allait se faire tripoter par les ivrognes, et ça essai de la protéger.

Hahahaha

Alors ça vient cette foutue bière ou pas ?

Il regarda le protecteur de la gérante et lui dit :

Peut être pas ma servante, mais tu verra qu’elle va me servir !!

Il repartit dans un rire rauque.

Ephesius

Ephesius lui aussi était rentré au même moment pratiquement. Mais au contraire de l'homme qui beuglait, lui se posa sur une chaise du bar, l'air rêveur.
Enfin.... avec l'autre ce sera difficile de rester plongé dans ses pensées. Le pauvre frère se faisait aussi enguirlandé et celà commençait à devenir lassant. Il tourna la tête vers l'autre raclure qui semblait avoir un sale caractère aujourd'hui, répliquant :

Hé toi.... Tu pourrais pas la fermer un peu là ? J'vais te servir une ou deux baffes moi tu va voir....

Il posa ses mains sur le comptoir, et tourna la tête vers la tavernière. Encore un gueux bourré ou qui avait passé une sale journée avec son maitre certainement. La routine d'une taverne quoi...
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Jasson

Regarde l'homme et ce dit que sé un pauvre type qui a tros bue et va pré de sa soeur pour surveiller cette homme

Tayabrina

Hop et hop elle mit ses feuilles séchée à bouillir dans la marmite, notre guérisseuse concoctait une de ses breuvage empoisonnée, elle avait entendu le Zankou, le breuvage nécessité beaucoup d’attention pour le bon dosage, elle souriait au dire de ce brute ignoble, elle le laisser beugler et se consumer de sa haine de toujours. Taya le connaissait que trop bien, ses yeux restait fixer sur la marmite, le breuvage allait être prêt elle pourra enfin mettre l’alcool et une once de lait pour adoucir l’amertume qui sortait de la bouche de ce client désagréable.

Pendant que Jasson essayer de la protéger, elle soupira mais le laissa faire, Taya avait d’autre moyen plus efficace et moins énervant pour gérer cette situation. Elle était entrain de verser le breuvage ensorceler dans une choppe, quand messire Fée entra dans la bâtisse. Elle sourit à chaque fois qu’elle le voyait, elle se remémora de sa petite cousine.

Ben didu ! Messire Fée que faites vous ici ?

Regardant Zankou qui s’énervait.

Oui messire j’arrive !! Attendez que j’aie terminé avec le client au comptoir.

De lors Messire fée ….Dame Shamael es avec vous ?

Elle lui servit une choppe de bière tiède et lui tendit un plat de pudding.

Vous devez être fatigué ! Reprenez de force c’est la maison qui offre !

Elle faisait tout pour essayer d’énervé le Zankou, le connaissant il allait peut être mettre la taverne en dessus dessous, elle allait attendre le bon moment pour lui donner le breuvage.

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Il n'y a pas de place pour deux pieds dans une même chaussure. Je n'aimerai que vous , et ce jusqu'à mon dernier souffle....

Ephesius

Il regarda Taya lui servir un petit repas.

Merci beaucoup, et non je ne suis pas accompagné de Sham, peut être qu'elle a des occupations plus importantes qui sait... . J'suis arrrivé à temps pour l'enterrement de l'acariâtre non ?

Regardant rapidement du coin de l'oeil l'autre homme.

Tu devrais t'occuper de l'impatient à coté avant que quelqu'un le vire à coups d'pieds au cul si tu vois ce que je veux dire....
En attendant j'vais savourer ce petit met que tu m'a confectionner.

Et il commença à manger, une oreille attentive vers le chieur de service, si jamais celui çi venait à lui répondre.
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--Master_le_phoenix

Aristote avait permit a Master de réapparaitre

Mais Master préférait venir en fantôme tant l'énergie nécessaire pour apparaitre était épuisante...

C'est ainsi qu'il vit rentrer le messire rustre et mal léché dans la taverne de dame Taya

IL lui murmura a l'oreille

Messire tu vas causer meilleur a dame Taya
Sinon je hanterais tes nuits jusqu'a ce que tu meure d'épuisement je te soufflerais dans les oreilles et te chatouillerais les pieds...

Le messire tressaillit ...
Master se demanda si il avait bien comprit le message

Jasson

Jasson étais assit a coter de Ephesius et disscuta avec lui de tous et de rien Jasson sorti sa bouteille de voodka et demand à Ephesius

Vous en voulez sé de la voodka ?

Jasson

Jasson va deriére l'homme et sort son épee s et la met sur sa gorge et
agrippe l'homme pour quil ne le desarme pas et dit :

Tres bien monsieur je me crois plus fort que lui soit déja conten que je ne t'ai pas encore trancher le coup tente quoi que ce soit et tu est mort tu a deux solution soit tu part soit tu part sans téte a toi de choisire

Ephesius

Ephesius sourit au moment ou l'autre brute tapa sur le comptoir. Jasson avait finit par craquer, allant jusqu'a sortir sa lame. Un peu d'animation n'était pas de refus, mais le sergent de la 1ere compagnie de Chinon ne voulait pas retourner dans sa jeunesse, ou les combats de tavernes étaient fréquents.

Ahh ! Que de souvenirs.... Des gueules cassées, des crânes ouverts, des pomettes rouges comme le sang. C'était l'bon temps tout ça... Le temps ou il mettait souvent des gros costauds au tapis. Un mauvais mot par là, et c'était la chopine qui volait, suivit des poings, finissant en bagarre générale, ou tout le monde tapait sur tout le monde, un moyen comme un autre de se défouler après une journée de labeur. Retourner en taverne le lendemain avec la machoire de travers, ou un oeil au beurre noir, saluer ceux qu'on avait démolit la nuit d'avant, trinquer de nouveau comme si de rien n'était, se demandant même à quand la prochaine bagarre. C'était amusant, tellement distrayant de se battre, une nature chez Ephesius qui n'était jamais contre un peu d'adrénaline. M'enfin... A 26 ans il fallait commencer à ce calmer, de plus est qu'il n'était pas à Chinon mais à Loches cette soirée.

Le gros dur avait l'air sur de lui... Zankou... certainement que sa mère ne l'avait pas voulut pour lui donner un nom aussi absurde ! Cette scène là, il l'avait déjà vêcut plusieurs fois, spectateur comme acteur aussi, les cons il y en a partout. Et puis avec l'armée, il s'était bien amélioré en combat, la lutte était d'ailleurs un entrainement régulier, et celà pouvait bien servir dans cette situation, une petite soumission... ou une situation confortable pour pouvoir lui déformer le visage... Rhoo.... que de mauvaises pensées qui sont là !

Voilà ce qu'il pensa en une fraction de secondes, comme si la scène avait tournée au ralentit, mais il fallait revenir dans le présent promptement.

Jasson laissez le voyons, il vient juste noyer son chagrin dans une chopine le pauvre.... quoi que vu son énervement il est peut être en manque cet ivrogne... N'en venez pas au poings celà serait si...'fin celà serait dommage bien sur...

Regardant son plat renversé sur le comptoir ensuite, il ajouta :

Regardez moi ce gâchis.... Tayabrina mettez fin à ce spectacle je vous prie... Servez lui sa chopine.

Il fixa la tavernière d'un regard calme et réfléchit, même si ses poings ne voulait pas le même sort. Mais la raison l'emporte sur l'envie, ou du moins, doit l'emporter... Pour le bien de tous.
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Tayabrina

Elle fit glisser la choppe rempli de son breuvage sur le comptoir, Les choses commençaient à trop s’envenimer, son frère devenait nerveux et menaçait de trancher la gorge de Zankou. Pour sure le breuvage allait calmer sa colère qui devenait nuisante pour la réputation de la bâtisse.

Jasson lâche le, ne te salis pas les mains pour si peu !

Elle sourit à Zankou ; Tenez messire votre bière ! Elle est bien tiède.

Elle le regarda s’approcher s’accoudant a son comptoir, elle avait ses petites idées en tête.

Si vous voulez messire moi je ferai bien un petit combat avec vous ! Si vous aimez tant les défies. J’accepte un défie de Tir à l’arc !

A la carrure de Zankou il savait probablement bien manier l’arc, mais son entraînement quotidien allait la tirer de là. Ce qu’il ne savait pas ce qu’avec ce que la donzelle a mit dans sa choppe à pour conséquence de faire perdre le réflexe tellement les nerfs seront detendus. Elle garda son calme légendaire et sourit à Zankou, guettant la moindre réaction de sa part.

Mais peut être avais vous peur de vous faire battre a plate couture par une Donzelle ! Une tavernière de plus !! Répondez vite j’ai pas que ça à faire moi ! M’occuper d’un malotru puant comme vous !

Et en plus c’était vrai , elle avait a préparer une huile a base de moutarde, pour dame La-xias, ses pommes empoisonnée mariner toujours dans le jus, des missives à envoyer à Antwerpen, des missives à répondre, allez voir sa petite filleule, trouver quelqu'un pour labourer le champ. Et pour combler le tout elle devait encore nettoyait la taverne. S’occuper du corps D’ashabie. Et voilà qu’un énergumène arrive et lui fait perdre son temps.

Regard complice vers Messire fée et son frère.

De lors vous vous décidez ? Où déclarez vous forfait de maintenant.

Elle s’adressa à Ephesius et Jasson. Vous deux vous serez nos témoins si vous le voulez bien.

Posa son regard sur ses mains elle sourit mesquinement

Décidez vous à présent !!

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Il n'y a pas de place pour deux pieds dans une même chaussure. Je n'aimerai que vous , et ce jusqu'à mon dernier souffle....

Jasson

Jasson tenai toujours zankou fermement et sa lame étais toujours sur la gorge de zankou sa soeur avais demander a un defi a l'homme au tire a l'arcJasson savais que sa soeur étais doué au tire a l'arc et dit:

Vous vous tirez a tres bon compte sale ivrogne mais sachez que si vous traitez encore ma soeur comme cela vous n'aurait plus de téte !

Jasson lache l'homme et dégage sont épee de sa gorge mais garde sont épee
en mains

Jasson tourna vers sa soeur et dit:Mets lui une bonne leçon !

Jasson sourit ah sa soeur et l'embrassant sur le front et garda un oeil sur zankou pour pas quil fasse de betises

--Zankou

Concentrer sur les rondeurs de la petite gérante, sa chaire devait être tendre. Mais il n’eu pas le temps de continuer sa vision qui lui procure une agréable sensation dans ses braies. Subitement il se trouve mobiliser par une faible force, il sentit l’objet froid contre sa gorge, ce fichu crâne raser le prend au dépourvu !

Mais lâche moi !! Traître m’attaquer de derrière ça va pas non ??

Il n’eut pas le temps de réagir quand la tavernière ordonna à son frère de le laisser tranquille. Et il lui obéit instinctivement. Enfin libérer de ce fou, il se dirige vers la choppe que la tavernière lui servit enfin.

Ce n’est pas trop tôt !!

Rapidement il avale le contenu de la choppe ! Un étranglement coupant à la gorge quand la donzelle parla… Elle oser le défier !

Mouhaaaaa mouhaa haaaa

Vos jupons ne vous gêneraient guère ? Il pose un doigt sur son nez la repousse agilement

Je ne me bats pas avec du chiffon mouahh ! Ha haha

Et vous deux Hommes là, ils veulent pas vous défendre !

Dit t’a pas assez de la graine pour défendre ta sœur toi ??

Quand la tavernière imprudente ose mettre en doute ses compétences,il fulmine, mais ce qu’elle avait pas la langue dans sa bourse elle !! Tenace ! Elle la traite de tout les noms, c’est vrai qu’il puer !!

Bien bien ! Il fait mine de réfléchir, ces deux là n’ont pas oser se battre contre lui, elle qui décide de tirer à l’arc, froncements des sourcils qui dévoila mieux ses rides frontale, pourquoi elle et pas.

Soit ! T’es idiote de te faire humilier par moi !! Mais si les hommes sont trouillards ici j’accepte !

Caresse son menton ….

Tu sauras que j’aurai quelque chose à gagner si tu perds ? Tu devras me payer de nature !!

Il rigole a ses dires ….Attend sa réponse en souriant en la seule pensée de pouvoir bientôt profiter d’elle. Il regarde l’homme accouder au comptoir !

Et vous au lieu de dire des bêtises sur moi prouvez moi que vous êtes un homme !! Il rit de le voir qui regardait son plat de pudding infecte renversait.

Vous creviez de faim on dirait !!!

Ephesius

Ephesius était amusé de la scène. Le gredin voulait qu'il parle, il n'attendait que ça. Après tout, pourquoi pas ?

Bon écoute moi toi.... J'ai pas envie de te remodeler ta sale tronche, parce que vu le degré au quel tu es râté physiquement, ce serait un geste sympathique de ma part de te modifier le visage, j'risque de te rendre un peu moins moche à la limite... Et je ne pense pas que tu le mérite.

Deuxièmement, tu tombes bien bas de faire payer une femme en nature, tu n'es qu'une misérable vermine, et fait gaffe que je ne te coince pas dans une ruelle un soir, parce que je te creverai bien les yeux sans pitié, comme ça tu n'ira plus regarder les catins, les seules femmes qui te veulent bien dans leurs draps... moyennant quelques écus bien sûr..

Retournant sur sa chopine, il en prit une gorgée, et la reposa violemment sur le comptoir. La scène avait attiré l'attention des personnes présentes dans la taverne.
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Jasson

Jasson commenca a perde pasience comme cette homme pouvais traiter sa soeur de cette maniere . Jasson avais ecoutez sont ami et dit a sont tours :[

Bon ecoute moi toi tu va baissez d'un ton sian je te jure que tu n'aurais plus de téte ! Et ma soeur de ta payera jamais de cette façon tu la touche tu est mort c'es comprit ?!

Jasson s'enerver de plus en plus et ce demande pourquoi il na pas encore tranchez sa téte.Jasson retourna au comptoire et pris une choppe pour ce calmer

Michmuche

La Miche de Much se hâtait de retrouver celle dont il avait rêvé cinq jours durant chez les moines. Il pressait le pas vers la taverne, chantonnant, sifflotant, voire chansifllotant...

La porte était fermée mais il entendait que ça s'engueulait là dedans. Il reconnut la voix de Jasson avant d'ouvrir la porte. Un rapide coup d'oeil, Ephesius, Jasson et un solide gaillard plus grand d'une tête. Puis il remarqua les traits nerveux des trois hommes, l'épée sortie de Jasson qui défiait l'inconnu du regard.

Etrange situation, jamais vue encore à la vieille bâtisse lochoise. Mais pour le moment, il n'avait qu'une seule envie, et surtout pas de prendre part à une dispute. Il prit son élan, posa une main sur le comptoir pour l'enjamber et se retrouver nez à nez avec Tayabrina.

Il pointe d'abord son doigt vers elle...

Toiiii, hooo toiiii

...puis la prit dans ses bras pour l'embrasser passionnément, oubliant l'environnement dans lequel il était et la tension palpable icelieu.

Tu m'as tellement manqué toi !!!

Jasson

Jasson étais pré du comptoire a cote de sont ami et il vint sont beauf entrée et serre taya dans ces bras Jasson ce dit que taya ne l'avais pas mis au courent de ce qui ce passe ici Jasson s'approcha de sont beauf mais attend quil ons finit de s'embrasser avant de lui dire bonjour mais surveilla Etroitement Zankou Jasson avais toujours sont épee a la main il étais un peux moin en colére mais essye de ne plus penser a ce que znakou avais dit sur sa soeur pour pas faire un acte irréfléchis et dit:

Ah qui voila ! Bon je vous derangerai pas longtemp je voulait juste dire bonjour a mon beauf

Jasson tape amiclame sont beauf sur le dos et sourit

Tayabrina

Soudain des bras l’enserre et ses lèvres furent prit en otage, elle reconnaîtrai ses baisers même en étant morte, il était là il es enfin revenu. Elle oublie tout et se laissa transporter par son baiser.

Mon chéri, t’es enfin revenu !! Que tu ma manqué !

Elle était si heureuse de le voir. Ce qu’il la manqué son Muche, l’enlancant et retrouva son sourire.

Voyez vous-même messire Zankou, la nature que vous réclamez elle à déjà un propriétaire !

Regarda son z’homme, elle lui fit signe de sortir pour se retrouver au calme.

Mais le défie tiens toujours ! Rendez vous sur le champs de tir ! Et la prochaine fois essayer de ne pas me confondre avec une catin ! Malotru !

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Il n'y a pas de place pour deux pieds dans une même chaussure. Je n'aimerai que vous , et ce jusqu'à mon dernier souffle....

--Zankou

Il écoute le pic assiette parler et l’autre protecteur de la gérante, les mots qu’il entendit le fit rire,

Il fit un geste vers eux

Vos mots ! Ils glissent sur moi comme l’eau sur du goudron !! Bande des trouillards !!

Ne pouvait se contenter de rire aux éclats quand un client entra dans la taverne.

Il faillit crever sur place quand l’énergumène qui se présente devant lui embarda le comptoir et prit sa petite proie tendre entres ses lèvres. Faut avouer que ici, il n’y avait rien à faire, bel homme qui hésite pas de risquer a laisser ses attributs sur le comptoir pour courir dans ses bras, son arrivé dans la taverne détendit l’atmosphère redonne ainsi à la gérante imprudente plus de fierté avec sa petite bouille, elle été qu’une paysanne ! Et se la joue haute devant lui avec son homme.

Pour lui c’était rien il s’en fiche carrément de tout ça ! Il voulait la tavernière il l’aura qu’importe le moyen. Il trouve très vite.

Tiens donc t’es qui toi face de rat ? Pour te permettre de cesser mes ébats !!

Il regarde le nouveau venu dans les yeux.

Tu te fais mener par le bout du nez !

Puis a nouveau vers la tavernière

Hop ! hop ! Allez p’tite servante au champ !

Imitant la jeune femme avec ses chéris il repartit dans un fou rire ! La scène était tellement piteuse à son goût, franchement il y’avait mieux à faire avec elle que de la donner un petit baiser. Il sentit un étourdissement subit, …Le Zankou n’a jamais ressentit ça de toute sa vie, une bière ! Il n’avait prit qu’une bière ! Pourquoi voyait il floue ? Le mieux à faire était peut être de sortir prendre l’air, une douleur aigue au crâne le terrasse presque. Mais c'était pas son genre à defiler.

Au champ ! Je vous attends servante !! C’est pour tout de suite ?

Toujours ce fichue vision ! Il attendit que la tavernière lui donna son accord pour le défie. étrange que dans ce village de crève les hommes sont si faibles au point de refuser à se battre.

Michmuche

Trop ravi de la revoir, il en avait oublié le géant derrière son dos. Il se retourna vers l'homme alors qu'il comprenait brusquement ce qui était en train de se passer. Un violeur...Un mercenaire peut-être...

Et lui avec sa force d'huître pas fraîche, et ses deux bâtons dans son dos dont il ne s'était jamais servi autrement que pour taper dans les branches et ramasser les fruits tombés. Il aimait pas la castagne le Mich et il n'y était pas doué du tout. Fallait être plus intelligent que la brute tout simplement... Il réfléchissait quand...

Tiens donc t’es qui toi face de rat ? Pour te permettre de cesser mes ébats !!

Sourire aux lèvres habituel, les joutes verbales il connaissait et les insultes lui passaient au dessus...

C'est à ce moment qu'il regarda l'arrière du comptoir et aperçut les fioles vides. Le sourire que lui donna Tayabrina alors qu'il la regardait confirma sa pensée. Le géant venait de se faire avoir comme un bleu... Michmuche pensa bizarrement au bruit sourd qui allait résonner lorsqu'il tombera à terre...

Tes ébats ? T'es puceau au point de croire que ça va tomber du ciel sans même te pignoler devant ta seule compagne ?

Il pointait la bière en prononçant ses mots, amusé de penser que cette bière sera peut-être sa dernière compagne, la "veuve noire" qu'il proposera à taya de l'appeler après cet épisode, ça marchera du tonnerre de Brest !

Le regard du géant noircit puis vacilla. Le poison commençait son entreprise. Mich reprit taya dans ses bras pour la faire reculer quelque peu. Les mots qu'il venait de prononcer lui couperaient sans doute son envie de rire... Son bâton glissa doucement dans son dos au cas où...

Tayabrina

Taya regarda son homme la défendre et en fut choqué c’était pas dans son habitude de se mêler des disputes il était si calme et si doux , Zankou devait être drôlement doué de mettrent les gens hors de leurs gonds pour que son chéri s’en prend à lui subitement. Le breuvage a déjà agit sur lui bientôt plus des réflexe et il ne pourra rien faire que de zigzaguer et de manquer ses cibles. Elle resta dans le bras de Muche mais répondit tout de même au vil type aigri.

La servante elle vous dit oui ! Rendez vous sur le terrain de tir.

Elle voulait même plus se défendre contre les assauts verbales de Zankou, il n’en finira jamais, à présent que son z’homme es rentré elle était pressée de sortir de la taverne et de se retrouver avec lui au calme dans la grange. Leur petit coin qui es devenue agréable depuis un certain temps.

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Tayabrina

C’est maintenant que tu agis toi ? T’es ivre ou quoi mon frère ?

Taya la regardait morte de rire, il avait pas vu que le Zankou il était parti ! Elle prit sa capuche sous le comptoir et l’enfila sur la tête de son frère en riant toujours.

Gros bêta tu rêves trop des fois toi ! Merci d’être là pour moi …..

C’est n’était pas tout, vite fallait se remettre a ses potions y ‘a des clientes qui attendaient d’être guéries. Et elle devait remettre les désordres que zankou a foutus dans sa taverne en ordre. Pourvu que les clients ne fuient pas après cette petite scène.

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Jasson

Jasson avais un sourire amuser sur les levers en voyant sa soeur et dit:

Mieux vos tard que jamais et puis muche et la non ? Pas ma faute je reve tous le temp de didou mais la j'avoue que j'ai exsagerai

Jasson ce dit quil aimera toujours sa soeur méme si il ce dispute tous le temp et quelle est uen petite peste mais bon sé pas nouveau..Jasson bue un peux dans sa chope et puis rit parseque il n'avais pas remarquer que zankou étais parti decidement il revais tros a sa belle..

Didou37

Trop heureuse de sortir de sa retraite du couvent, Didou se rendit vers son lieu de prédilection "La Vielle Bâtisse Lochoise". Le chemin était plutôt long, il fallait traverser toute la ville pour se rendre au quartier des tavernes.

Pendant cette retraite, elle avait beaucoup pensé à sa vie passée et avait fait pénitence de tous ses actes inavouables aux yeux de l'église. Elle se promit une vie plus sage et plus heureuse auprès de son nouvel amour Jasson. Elle était si pressée de le retrouver qu'elle se mit à marcher plus vite.

Elle croisa quelques nouvelles têtes sur son chemin mais n'y prêta pas attention. Son image fixe était Jasson qu'elle n'avait pas revu depuis plusieurs semaines. Elle était toujours dans ses pensées lorsqu'elle se retrouva sur la dernière place qu'elle devait traverser avant d'atteindre la ruelle de la taverne. Elle entendit vaguement le galop d'un cheval venir vers elle.

C'est de peu qu'elle se jeta sur le côté pour éviter un drôle d'énergumène qui faisait galoper son cheval à toute allure dans les rues de Loches.

- Ca va pas non !!! Espèce de ...

Didou arrêta de parler lorqu'elle s'aperçut que l'homme en question était déjà très loin et ne pouvait l'entendre.

Elle se releva et se frotta les fesses toutes endolories. Elle reprit le chemin de la taverne et entra dans "La Vielle Bâtisse Lochoise".

Elle vit tout de suite l'amour de sa vie en compagnie de sa charmante soeur Taya, de Muche et de Messire Fée. Elle sentit une drôle d'atmosphère mais ne s'en occupa pas. Elle sauta au cou de Jasson tellement heureuse de le retrouver.

- Vous ne devinerez jamais : j'ai failli me faire écraser par un fou furieux sur un cheval !

Jasson

Jasson vit didou entré dans la taverne comme une déesse qui venait a sa rencontre Jasson prit didou dans ces bras en s'en ficche de tous le monde qui le regarde et l'embrasse comme un fous Didou se decrocha de lui et dit q'un fous furieux l'avais a faillit l'ecarser a cheval Jasson senerva et dit:

il est ou se fous furieux que je le corrige ?!

Jasson s'enerva en pensant a cette homme pour qui ce prennez t'il pour avoire fallit ecraser sa compagne il ne sait méme pas excuser ! Jasson resta grnion dans les bras de didou en pensant a cette homme

Agesisel

Voilà quelques jours que Tayabrina, la propriétaire de la Vieille Bâtisse Lochoise, s'était absentée et avait laissé Agesisel comme tavernier. Comme tous les jours, il était seul en taverne, après avoir vu quelques clients habituels. Il débarrassait les rares tables qui avaient servi de support à des chopines. Il laissait tremper les ustensiles dans un sceau remplie d'eau opaque, tout en passant un coup de chiffon sur les tables. Une vraie femme de ménage. Par contre, pour un coup de balai, faudra lui dire où il est.

C'est en essuyant les chopes avec le même bout de tissu qui sert à essuyer les tables que le tavernier eut l'idée d'écrire à Tayabrina, qui se demandait peut être comment allait sa taverne. Après tout, elle aurait pu être saccagée par des soiffards, brûlée par des brigands, détruite par une mini-tornade. Oui, faut pas s'emballer non plus. Et puis, c'était la moindre des choses que de la tenir informée, elle lui a quand même fait confiance pour entretenir la taverne.

Mais ne sachant pas écrire, il partit chercher Fortunat dans la petite bicoque délabrée qu'ils occupaient en dehors du village, avant de la ramener dans la taverne avec du papier et de l'encre. La blonde n'arrêtait pas de soupirer, agacée d'écrire tant de missives à cause de la correspondance qu'entretenait le cul-terreux avec une voyageuse partie en Bourgogne pour une escorte.

Pendant au moins un quart d'heure, Agesisel dictait, puis demandait de raturer. Fortunat, jalouse qu'il fasse tant d'efforts pour des femmes, rouspétait, mais finissait pas faire ce qu'il lui demandait. A la fin, la missive donnait ceci :

Citation:

A Tayabrina, propriétaire de la Vieille Bâtisse Lochoise.

Je t'écris cette missive pour te donner des nouvelles de la taverne dont tu m'as confié l'entretien et l'animation durant ton absence. Je suis toute la journée en taverne, et pourtant, je ne croise pas grand monde. Dans les meilleurs jours, 5 personnes en une journée, dont la moitié sont des voyageurs. Quelques habitués viennent me voir, mais les sujets de conversation sont épuisés. Quand je suis seul, je nettoie les chopes et les tables, mais tu n'as pas pensé à me dire où était le balai.

Loches est toujours aussi calme. Le marché ne bouge pas trop malgré que nous approchons du mois de septembre, qui devait, pour les optimistes, être le mois des retours de retraites spirituelles.

Comme tu le sais sûrement, j'ai été débattre pour le programme de la liste Renaissance Tourangelle. J'ai d'ailleurs cru t'apercevoir, tu te faisais discrète, mais je t'avoue que j'avais hâte de partir après avoir entendu cet homme qui ne sait argumenter que par sarcasmes. Et en plus, il n'y avait non pas une, mais deux diaconesses. Imagine le cauchemar pour moi qui suis un Réformé. Enfin, je me suis forgé un opinion : ils sont égaux à des chiens qui se mordent la truffe pour le morceau de viande qu'est le conseil ducal. Par contre, j'ai été agréablement surpris d'entendre un noble dire qu'on ne servait pas la Touraine pour les titres, mais bel et bien pour servir son duché.

Je voulais aussi t'annoncer la bonne nouvelle : une conseillère municipale m'a envoyé une missive pour me prévenir que ma demande pour intégrer le conseil de Loches était à l'étude. Pendant ce temps, la maire me questionne dans son bureau.

C'est aussi suite à la demande de la conseillère qu'avec Fortunat, nous avons préparé le mannequin de ce fameux Valzan pour le pilori. J'ai indiqué le chemin de la hall à deux jeunes lochois, dont un a été voir, l'autre semblant s'en moquer éperdument, pour qu'ils viennent voir le spectacle.

Enfin, selon ma carte, tu devrais avoir bientôt fini le tour de la Touraine, à moins que tu restes plusieurs jours dans les même villages. En tout cas, je ne te cache pas que j'ai hâte de te revoir, je commence vraiment à avoir du mal à entretenir une conversation avec les clients, puisque les sujets se résument à quel genre de champs ils ont, des remarques de ma part sur le non-écoulement des marchandises, et quand je commence à parler de mes projets politique pour Loches, ils s'enfuient -en ayant payé leur bière bien sûr-.

En attendant de tes nouvelles,
Agesisel

Le vagabond regarda ensuite sa scribe avec ses yeux vitreux, sans rien dire. Fortunat soutenait son regard, haussant un sourcil, se demandant ce qu'il lui voulait encore, quand elle comprit.

Ah non, me demande pas ça ! s'exclama-t-elle en haussant le ton pour lui faire comprendre que c'était un refus catégorique.

Mais cela n'empêcha pas le gueux de continuer à la regarder, avec cet air inexpressif qui le caractérise, et ce regard intense dans lequel on pourrait se noyer. La blonde en armure finit par soupirer en baissant les yeux, signe qu'elle acceptait.

Et où veux-tu que je la trouve ? Je suis pas un Gros Pigeon Surentrainé.

Agessiel acquiesça d'un mouvement de la tête, pour dire qu'il était d'accord que cela posait problème. Il une carte de la besace qu'avait apportée Fortunat, l'étala sur la table, et réfléchit. Au bout d'une dizaine de secondes, il finit par poser sur son doigt sur la carte, là où il était marqué "Tours".

Le jour de son départ, elle est partie pour la capitale. La logique veut qu'elle fasse ce trajet, dit-il en faisant passer son doigt par Tours-Vendôme-Tours-Chinon-Loches. Rends-toi à Chinon, et renseignes-toi pour savoir si elle est là-bas. Si elle n'y est pas, va à Tours, et dans le cas improbable qu'elle n'y soit pas, Vendôme.

La blonde en armure s'était levée, et regardait par dessus l'épaule de Agesisel, avec une moue sur les lèvres.

C'est un sacré trajet. Un pigeon ensorcelé qui trouve toujours son destinataire serait plus approprié.

Non, rétorqua-t-il froidement.

Tu m'énerves. Alors, pourquoi t'envoies pas un pigeon à Chinon, pour qu'ils remettent la lettre à cette femme, et sinon, ils enverront un autre pigeon à Tours, puis Vendôme si il le faut.

Je n'ai confiance qu'en toi, finit-il par dire pour toucher le cœur mou sous l'épaisse armure.

Fronçant les sourcils et retroussant son nez, Fortunat prit la lettre à contre-cœur, et alla atteler sa monture pour apporter la missive. Elle pensait même à se faire payer par la destinataire. Après tout, ce serait bien fait pour elle. C'était son vagabond, pas celui de toutes ces femmes avec qui il communiquait. Pour être jalouse, elle l'était, surtout quand on lui fait traverser la Touraine pour remettre une lettre.

Tayabrina

Dans la bâtisse, alors que un s’amuse a essayer de lui envoyer des tomates pourrîtes, et qu’un autre cuve sur le comptoir de sa cuite de la vieille. La Taya avait mieux à faire, écrire à sa marraine qui était en voyage…

Citation:

Marraine,

Tu es partie sans m’avertir ! Et si c’est moi qui faisait cela, je me suis trouvée bête quand Sophie ma annoncer ton départ pour Tours, Tu es y allé pour tirer les oreilles de Bozal-Lothar ! J’en suis certaine…Je m’ennuie de toi moi, quand reviens tu ? Franchement que fais tu la bas…ta place est à Loches près de moi …Pour m’empêcher de faire des bêtises.

Messire Jeremy attend patiemment de tes nouvelles, ses journées semblent longue et se termine dans la jardin. Tu ne le sais pas …ma taverne marche à merveille, Hier une rentrée de plus de 100 écus, je l’avoue je grimper les prix des bières, Loches es rempli des pochtrons …Quelqu'un ma parler d’un confrérie hier…Les assoiffés ? Tu connais ?

Messire Agesisel est candidat à la mairie…Son programme me fait peur, et beaucoup ne sont pas contents de son programme, notre Petite Mary ne se représente pas, je trouve cela fort dommage….

Loches revit sous mes yeux, des petits nouveaux qui prend goût à rester enfin, et des emménagements, des nouveaux couples aussi à Loches, Muche es enfin revenu de sa retraite, j’ai pu enfin faire la rencontre de messire Skippy, Il parle beaucoup lui. Si par hasard tu rencontre messire Hans et sa péouse, dites leur que j’essai de m’occuper un peu de leur établissement.

Comme tu le sais sûrement, la liste sur laquelle j’étais n’est pas sorti majoritaire ce qui fait que je suis libre, c’est peut être mieux, vus les crêpages des chignon sur la halle gargote…Je m’en passerai bien de devenir comme eux. J’ai des projets pour Loches…je t’en parlerai de que tu reviens.

Pour finir, ramène nous vite le messire mon frère Lothar, Donne moi vite de tes nouvelles. Je t’envoie une grosse bisouille baveuse. (Essuie ta joue)

Ta p’tite peste adorée.

Taya.

Dites messire Agesisel !! Fortunat peut aller traîner dans le duché remettre cette missive ?

Au même instant la porte de la bâtisse s’ouvrit brûtalement, le tas de ferraille ambulant se rua presque sur elle, lui arracha le missive de la main, un regard noir fut lancé à la gérante de la taverne.

Uniquement parce que vous l’aider à se rincer le gosier, pendant sa campagne !

Plus un mot, rien qu’une femme enragée qui referma violemment la porte laissant la bâtisse dans un silence de mort pendant quelque instant. Après réflexion Taya se prit dans un fou rire regarda son tavernier qui était toujours aussi froid.

Vous z’avez pas peur d’elle ?
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Il n'y a pas de place pour deux pieds dans une même chaussure. Je n'aimerai que vous , et ce jusqu'à mon dernier souffle....

Agesisel

[Tiraillé entre les deux frères : Gabriel et Leviathan]

Et marque aussi que je ne mettrais plus les pieds dans sa taverne ! dit Agesisel, énervé, avant de refaire les cents-pas, en rond, dans la vieille bicoque délabrée qui lui servait d'habitation, à lui et Fortunat.

Quant à cette dernière, elle était debout, au milieu de la pièce, au milieu des cercles dessinés par Agesisel. Elle écrivait ce que lui dicter son vagabond, qui était pris d'une soudaine rage depuis qu'il était revenu -drôlement tôt- de la Vieille Bâtisse Lochoise, où il avait l'habitude d'aller discuter avec ses amis. A peine avait-elle eu le temps de lui parler qu'il lui a ordonné de prendre de quoi écrire. Elle s'exécuta, sans broncher, mais se posait quand même des questions ; questions auxquels elle eut réponse pendant qu'elle écrivait. La blonde en armure l'avait mis en garde contre sa patronne, qui lui paraissait être plus une petite peste qu'une villageoise investie. Mais non, il y retournait quand même, nettoyer des chopes. Et voilà où ça l'a mené.

J'ai fini. Tu veux que j'aille apporter la lettre, je suppose ? demanda Fortunat en levant les yeux vers le tourmenté qui n'arrêtait pas de marcher pour autant.

Oui, et si tu la voix, tu lui claques bien devant le nez. Et devant les autres clients, puisqu'elle aime se donner en spectacle.

Fortunat se leva, sans répondre, et prit la direction de la taverne. Elle sentait la haine dans sa voix, mais aussi la tristesse, même si il le nierait sûrement. Il avait été déçu par le comportement de Tayabrina, et maintenant, il était parti pour une période sombre où il allait broyer du noir et boire pour oublier. Mais elle ne comptait pas le laisser ainsi à cause d'une donzelle. Oh ça non.

[Dans un théâtre, même ancien, on joue des comédies ; mais faut savoir baisser le rideau]

Fortunat, en parfaite messagère des sentiments, fit claquer la porte contre le mur en entrant, espérant voir des mines de soulards ébahis par l'apparition d'une femme en armure. Mais non, personne. Ou du moins, personne qui ne se cache pas. Elle avança donc dans la pièce, regardant autour d'elle, tentée d'y mettre le souk. Mais serait-ce vraiment raisonnable ? Ce n'est pourtant pas l'envie de renverser chaises et tables, de tailler le comptoir avec son épée, de perforer les tonneaux, de renverser les bouteilles et les chopes, qui lui manquait.

Se résignant à faire pareilles choses, Fortunat se contenta de poser la lettre sur le comptoir, avant de cracher sur le sol, et de sortir pour joindre son vagabond avant qu'il ne fasse une bêtise.

Sur la lettre, on pouvait lire ces mots :

Citation:

A Tayabrina, gérante de la Vieille Bâtisse Lochoise, actrice en mal de spectateurs

Si je vous écris en ce jour, c'est pour vous donner ma démission de tavernier de votre établissement. Mes motivations sont simples : je suis révolté fasse au comportement de mon employeur, c'est à dire vous.

Première chose, les gens veulent que je m'excuse parce que vous n'arrêtez pas de pleurer. Je n'ai certes pas le sens diplomatique d'un chambellan, ni le caractère d'un militaire ; mais une chose es sûr : jamais je ne plierais l'échine devant quelqu'un. Jamais je ne plierais devant vous ou le conseil ducal pour m'excuser ou suivre les ordres juste pour faire plaisir.
Je ne regrette pas de vous avoir voler ce baiser, je n'ai donc aucune raison de m'excuser d'un geste que je n'ai pas fais par plaisir de le faire, mais guider par les sentiments que j'éprouvais envers vous.

Deuxième chose, comme je l'ai appris cet après-midi, vous avez été raconter ce différent à trois ou quatre personnes. Est-il utile de vous décrire ma colère en apprenant cela, alors que c'est vous même qui vous disiez être "déshonorée" ? Si vous l'étiez vraiment, vous ne raconteriez pas cette histoire partout autour de vous. Mais cela a eu au moins le mérite de m'ouvrir les yeux : vous n'êtes qu'une gamine pourrie gâtée, comme tous les gosses de votre condition, et leurs parents. Vous voulez juste attirer l'attention sur vous car vous aimez être au centre de tout, comme vous avez été habituée dans votre enfance quand les domestiques étaient au petit soin pour vous. Mais j'ai une révélation pour vous : vous êtes encore plus méprisable que la plus sale des souillons.

Je ne remettrai jamais les pieds chez vous,
Agesisel

Tayabrina

Revenant de la grange ou elle venait de passer une nuitée fort agréable avec la Much de Miche, elle avait finit par laisser ses bras pour venir s’informer ou était l’état de la taverne.

La veille Muche ne comprenait pas, comme beaucoup d’autres, car, elle a du le raconter à presque tout le village, les bas actes de son tavernier. Comment le tavernier peut il encore s’occuper de son poste dans la bâtisse ? Mettez le dehors ! Ils lui ont tous dit de le jeter. Elle ne s’était pas résolue à le faire encore. Taya était trop naïve et un caractère d’agneau, voila ou cela à mener.

Quand elle pénétra la bâtisse, elle failli glisser sur une glaire gluante au sol, les yeux rivés au sol, haussement du sourcil, s’enquiquinant de ce que cela pouvait être, serait il possible que des gens s’adonnent à des activités peu commune ici ? Un regard circulaire dans l’espace taverne, pas une seul âme qui vivent, même le tavernier était absent, elle se mit donc au comptoir, ramassant les choppes qui traînaient et essuyer en même temps le meuble qui servait a s’accouder et à poser sa choppe. C’est là qu’elle vit une missive pliée, qu’elle ouvrit pour n’en être que outrée après lecture de ce parchemin, Lecture qui donna naissance à une haine sans précèdent, amertume qui prit vie dans ses tripes pour remonter dans ses yeux en un flots des larmes.

Comment pouvait il se le permettre après ce qu’il lui a fait ?

Après des torrents des larmes, comme elle savait si bien le faire, elle décida d’une main tremblante d’écrire.

Citation:

A Agesisel, vagabond que je méprise

Grand bien me fasse que vous ne reveniez plus dans ma bâtisse, c’est ici un grand faveur que vous me faîtes, merci de prendre conscience que de par votre acte immonde envers ma personne, vous vous accorder le droit ne plus vous présenter sous mon nez. Pour deux raisons bien évident.

En premier lieu, C’est bien vous qui vous êtes vanté devant le sire Coocker de votre acte dégoûtante, oui vous avait bien entendu, dégoûtant qu’un homme aussi ignoble, terne, sans aucun trait de caractère qui laisse plaisir a vous côtoyer, sachez que si il le faut le royaume entier prendra connaissance de votre acte, ainsi c’est vous la victime ? Vous me faites bien rire. Vous m’avez dénigrer hautement en racontant à ce vil chauve votre erreur, que lui m’as prit pour une catin et à fait de même. Messire vos paroles glissent sur moi comme de l’eau, essayez de me faire le moral, que ma langue est pendue, alors que c’est vous la cause du malheur que je suis entrain de vivre en ce moment.

Et deuxième lieu, Vos sentiments et vos excuses, j’en m’en passe très bien de tout cela, restez juste comme vous le mentionnez, loin de ma vue. Est-ce si dure que vous vous mettez dans la tête que mon cœur est prit ? Mais vous avez outrepassé tout cela, manquant du respect aussi envers l’homme qui partage ma vie. Ne plier point devant personne, car avec votre maigreur, ce corps malheureux doit manquer de souplesse, évitez de faire entendre vos craquements d’os. Prenez vos excuses et mettez les ou bon vous semble mais pas dans mes oreilles.

La plus sale de souillon qui ne sera jamais le votre.

Yeux rougis, joues endoloris, elle sortit trouver quelqu'un qui puisse aller déposer sa missive au vagabond qu’elle méprise le plus.

Edit: trépassé pour outrepassé
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Il n'y a pas de place pour deux pieds dans une même chaussure. Je n'aimerai que vous , et ce jusqu'à mon dernier souffle....

--Merchant

Le marchand de passage à Loches, avait des choses à vendre, rester au marché ne servit à rien puisque les gens n’y venait que très rarement, et s’entreprit de faire du porte à porte.

Entra dans une taverne qui se situé e dehors du village, il laissa chariot et marchandises en dehors. Le décor de la taverne lui plaisait, il prîtes place sur un tabouret au comptoir regarda la donzelle et commanda une chopine de bière lochoise.

Une chopines s’iou plait !

Il lança un écu à la tavernière.

Fraîche si possible ! Dîtes moi vous avez besoin des choses ? Dans mon chariot j’ai beaucoup des marchandises, même des bêtes si besoin de vous prendre un bon gardien. J’ai en ce moment des petits loups adorables.

Il attendit sa chopine et sa réponse

--Sacristain

Le Sacristain avait grand soif, après la messe, et le rangement de l'église, il fallait qu'il étanche sa soif, le vin du diacre, il ne fallait en prendre trop, sinon il le verrait et il se ferait en guirlander.
Donc il viendrait plus souvent en taverne, car il fallait se restaurer.

- Bien le bonjour, pourrais je avoir une chopine? Merci.

--Merchant

Merchant qui attendait d’être servit vit entrer un homme à l’allure étrange, lui qui est tout le temps sur les routes croiser rarement ce genre d’individu. Il trouva quand même la chopine lente à venir.

Eternel négociateur, qu’il est, il ne perdit pas le nord même en ayant le gosier sec, confiant il s’approcha de l’homme et lui fit révérence.

Salutation messire ! Je suis un marchand voyageur en halte dans votre beau village.

Se plaça à ses côtés, il lui donna une tape amicale dans le dos. Pour détendre un peu l’atmosphère. La vieille bâtisse avait un air de vieux, même les meubles laissait à croire que c’était des anciens alors là très anciens. Ne surtout poser ses fesses brusquement sur un tabouret pour ne pas rejoindre le sol.

Vous avez l’air fatigué ! L’êtes vous?

Il pensa que enclencher une conversation serait mieux pour au moins vendre une de ses marchandises dans le chariot.

Je vous offre votre chopine !

Il lorgna le bourse du messire pour être certain qu'il soit un preneur potentiel.

Allez tavernière ! Et deux chopines deux ! Fraîche ou tiède messire ?

Rosely

Quand , enfin quelqu'un arriva , elle servit les messires au comptoir et vient à Rosely qui était toujours sur son fauteuil

--Beetista a écrit:

Dame je suppose que vous chercher endroit où pieutée ? Je vous dirige donc vers une chambrée, qui peut abriter trois personnes…
Elle la dirigea vers la chambrée proche du comptoir. Vérifia méticuleusement la chambre si serviette et bassine était propre ainsi que drap.

Rosely fit oui de la tête en souriant

--Beetista a écrit:

Voilà dame ! La chambrée est disponible. Mettez vous à votre aise. Et bon séjour à la vieille bâtisse.

Rosely remercie la jeune fille et ferma la porte derrière elle
Elle allait pouvoir fait un brin de toilette et se reposer un moment
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Davia

L'attention de Davia était celle d'un papillon qui butine, elle oublia d'un coup la jeune voyageuse et regarda sa nourrice avec un grand sourire et une moustache de purée tout autour de la bouche. Elle se balança doucement sur sa chaise:

Nounou? ZE VEUT DE LA BIEREEEEEEEEE!!!!!

Davia, se mit à taper sur la table avec le manche de sa cuillère et à rigoler fort.

Ze le dirai pas à Maman, promis, zuré, crasssééé!

Elle regarda le sol et se dit qu'il valait sans doute mieux pas qu'elle crache par terre, elle se ravisa donc et sourit aimable à sa nourrice.

Rosely

Rosely était restée toute la journée dans la chambre de la vieille bâtisse pour faire sa houppelande elle voulait faire honneur a son compagnon
elle avait taillé cousue recousue et maintenant elle se dévêtue pour la passer pour voir ce que ça donnait sur elle
-t'en penses quoi boule de poils elle regarde son chat en souriant
elle se tourna et se retourna
- je suis belle hein , peut être que le chapeau est en trop ba on verra
http://www.outils-photos.com/tmp/090921050652.gif
Elle était fière d'elle , elle enleva la houppelande et la mit sur le lit , en prenant bien soin d'enlever boule de poils
-toi pas touche ou attention a tes oreilles dit elle en souriant
et elle se rhabilla.
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Quelques heures plus tard elle se prépara pour le banquet, mais elle fut prise d'un doute ça ne serait pas bien d'y aller sans son compagnon, elle s'assit sur le lit et réfléchit
-tu ferais quoi toi boule de poils ? tu irais ou tu n'irais pas ?
Rosely ne savait que faire , messire Mumbly les avait invité mais Gadej n'était pas là .
-que faire ?
elle fit les cents pas dans la chambre , le chat la suivait du regard sans bouger , elle s'assit sur le fauteuil et attendit .
-bon j'y vais j'ai promis , je ne resterais pas longtemps .
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Fcpa79

Je rentra dans ma taverne et j'ai vu que de monde je m'exclama:

"Bonjour mesdames"

Puis ajouta:

"Jéremy de Loches"

Il s'incline et alla s'assoire a une table

Davia

Un peu contrariée de ne pas avoir eu de bière, Davia se retourna a l'entrée d'un nouveau Sire. Elle fit un grand sourire et se précipita vers lui en riant.

Zérémiiiie!!! Regarde comme z'ai fait des progrès avec le pipeau que Wan m'a donné.

Comme lui avait enseigné Jérémie, elle se mit à souffler dans le roseau, doucement et légèrement puis à faire jouer ses doigts sur les petits trous, tentant d'être agile et de faire sortir un son mélodieux.

Elle s'appliquait consciencieusement et jetait de temps à autre des petits coups d'oeil furtifs à Jérémie pour voir s'il était content d'elle.

Le son qui sortait de son pipeau était simple, doux et aérien, il se perdait dans la grande salle et dans le brouhaha des conversations. La fraîcheur de la mélodie rappelait le doux bruit d'une rivière qui s'écoule.

Après avoir joué, Davia s'arrêta, elle se planta devant Jérémie, les mains sur les hanches et lui lança:

Alors? C'est mieux?

--Beetista

Toujours à son comptoir elle observa les vas et viens des clientèles et la petite qui jouent d’un instrument bizarre, elle avait de l’énergie, ça sautait partout dans la bâtisse. Elle prit une choppe de bière et alla la déposer sur la table ou était l’objet d’attention de Davia.

Tenez Jeremy! Ici on consomme ! Ce n’est pas un coin des bavardages !!

Beet redressa son tablier qui menaçait de tomber puis elle passa rapidement aux autres tablées prenant les choppes vides aux passages. Puis revint au comptoir et plaça les choppes dans un seau d’eau. Gardant un œil sur la petite.

Davia, fais attention de ne pas trop déranger les clients !

La petite ne faisait que réclamer de la bière. Beet n’aimer pas trop cette idée, si elle en réclamait ce que Taya devait lui en donner certainement, elle lui refila une chopine pour qu’elle cesse de lui casser les oreilles. Tant pis ce n’est pas elle qui s’occupe de son éducation. Beet n’avait qu’à la surveiller et répondre aux désirs de la petite.

C’est à ce moment qu’elle vue Rosely sortir de sa chambrée huppée dans une belle houppelande

Pfiouuuuu !! Vous allez où ? Ainsi vêtue dame ? Y’a bal dans le environs ?

Beetista l’admira, jalouse à l’intérieur que jamais elle ne pourra être dans une pareille tenue.

Puis-je vous servir quelque chose avant votre départ ?

Elle espéra ainsi tirer les vers du nez de la voyageuse. Et lui prépara une tisane elle semblait un peu fatiguée.

Rosely

Rosely sortit de sa chambre et vit beetista derrière le comptoir de la taverne . Elle s'approcha et la salua
- bonsoir beetista

--Beetista a écrit:

Pfiouuuuu !! Vous allez où ? Ainsi vêtue dame ? Y’a bal dans le environs ?

- je suis invitée au banquet au château par messire Mumbly, oh! je n'y vais pas longtemps mais j'ai promis d'y aller

--Beetista a écrit:

Puis-je vous servir quelque chose avant votre départ ?

- pourquoi pas une petite tisane ne me fera pas de mal
tout en buvant sa tisane rosely discuta avec beetista mais elle devait quand même se dépêcher le chateau n'était pas tout près.
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Davia

Davia commençait à avoir soif, elle savait que sa mère ne voulait pas qu'elle boive de la bière mais lorsqu'elle vit sa nounou pose une belle chope sur la table sous le nez de Jérémie, son sang ne fit qu'un tour.

Elle fourra son pipeau dans sa poche et se mit à tourner autour de Beetista.

Nounou, donne moi de la bière, s'il te plaît!! ze dirai rien à Maman! Une belle chope de bière, bien pleine!!

Davia se mit à tourner et tourner autour de Beetista et à tirer sur ses manches.

Allez, donne m'en! S'il te plaît!

Elle avait les yeux brillants rien qu'à l'idée de sentir le bon goût frais de la bière dans sa bouche et ce petite picottement qu'elle aimait tant.

--Beetista

Ha ! Ha ! Mais si ta maman ne doit rien savoir de ce que tu bois où pas, c’est que c’est interdit mamzelle !!

La domestique du domaine Villandry ne laisserait pas faire si facilement, non elle ne voudrait pas se retrouver sans emploi, si la p’tite retrouve sa maman dans un état d’ébriété c’est sera la porte et sans préavis. La baronne était sévère quand elle le voulait.

Et moi qui allais te refiler une chopine, ne me prends pas pour une gnangnan !!

Beetista resta sur sa décision de ne pas lui donner les manières des ivrognes et alla lui chercher du lait et des fèves

Tint !! Bois et tu arrêtes de me casser les tympans !

Maligne la p’tiote de quémander et de profiter des son innocence pour atteindre l’état de volupté. Elle se demande même où elle à pu prendre ses manières, si jeune et réclame de l’alcool.

N’oubliant pas Rosely elle lui donna sa tisane et lui souhaita une belle soirée au banquet, quelle chance qu’elle à. Retroussement de nez elle s’en retourna a ses occupations et resta bien éveillée, veillant au grain chaque mouvement de la petite.

Fcpa79

Il la salua puis lui donna 0.75 et en même temps lui glisse 1 écus dans sa main :

Tenez pourboire...

Sourit puis commença a sourire a Davia et lui répondit:

Oui tu as beaucoup mieux progresser ma belle...

Il commença a boire sa chopes et vu Rosely arrivé.

Rosely

Rosely se lève de bonne heure ce matin , va prendre son petit déjeuner en taverne et revient vite dans la chambre , où dort encore Gadej, elle le regarde et s'approche doucement de lui.
-il est beau mon homme
Elle sourit, monte sur le lit et dépose un baiser léger sur ses lèvres.
Elle lui chuchote à l'oreille
- je t'aime
Elle descend du lit et va près de la coiffeuse faire un brin de toilette en se demandant si il y avait une baignoire ici il faudra qu'elle le demande à -Beetista Rosely prendrait bien un bain .
Elle se déshabilla et commença sa toilette , elle est peut être une paysanne ça n'empêche pas qu'elle est propre non mais des fois.

Quand cela fut fait , elle sortit sans faire de bruit , Gadej devait être fatigué , elle lui laissa un message

bonjour mon chéri
suis partie au marché nous acheter des petits pains et des fruits
te fais pleins de bisous
je t'aime
ta rose

Et elle partit en fermant la porte doucement .
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Fcpa79

Il est rester toute la soirée a la taverne a boire un petit peu et a regarder sa

carte pour lui cela étais ma soirée la plus longue car il n'y avais personne

tous devais être au bal.

Gadej

Gadej se réveilla tard et s'étira un long moment ... doucement, il se lève et trouve le mot de sa douce Rosely et sourit en pensant à sa bien-aimée !!

Il s'habilla rapidement en se disant qu'il avait encore 100 000 choses à faire avant de pouvoir retrouver sa belle Rosely et la serrer contre lui ...

Il sortit et alla retrouver son cheval Tonerre pour le seller et partit au pas vers le centre de la ville ....

Babak29

babak venait de rentré de son voyage du Berry, elle y avait passé de moments agréables et regrettait presque d'être déja revenue, ce fut trop court à son goût mais la politique entre nos Duché, le pouvoir de grandeur de certains Ducs l'avait fait revenir au plus vite, elle s'arrêta dans la taverne, elle savais qu'elle y retrouverai sa filleule et Beetista, elle entra dans la taverne et se dirigea vers le comptoir

Rosely

Rosely est restée longtemps en taverne ce soir , elle l'a attendu mais ne l'a pas vu arriver, elle a discuté un moment avec les uns et les autres et elle s'est réfugiée près de la fenêtre pour le voir arriver.
Rosely soupire le front contre la vitre, la nuit est tombée depuis longtemps mais toujours rien , encore a courir avec tonerre à croire qu'il préfère être avec son cheval.
Elle passe derrière le comptoir pour se faire une tisane , et va s'assoir sur le banc près de la fenêtre .
Les heures passent si lentement , elle baille , s"étire elle commence a avoir mal au dos , se lève marche de long en large dans la taverne déserte .
Elle passe derrière le comptoir une seconde fois pour nettoyer sa tasse et va dans leur chambre .
Elle est épuisée , se dévêtit et rentre dans le lit tout froid , et ne tarde pas a trouver le sommeil.
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Gadej

Il est tôt ce matin du 24 septembre 1457 quand Gadej entre dans la chambre de l'auberge et voit sa belle Rosely en train de dormir !!! Il sait qu'elle a encore passé une soirée seule mais il ne pouvait pas faire autrement ...

Il se penche vers sa belle Rosely et lui murmure :

ne t'en fais pas je viens de rentrer ... dors et repose-toi ... je n'ai plus à partir et serais présent tous les soirs avec toi ...

Gadej se redresse et se dirige vers la porte de la chambre et au moment de sortir se retourne et dit en murmurant :

je t'aime ma belle Rosely ...

Gadej sort de l'auberge et va au marché acheter quelques victuailles ... et reviendra à l'auberge caliner sa tendre Rosely ...

Pour une fois, Il décide de partir à pied ...

--Beetista

[Les calvaires de Beetista ]

Elle n’avait pas le temps de se tourner les pouces ici. Au domaine elle pouvait se faufiler discrètement et aller piquer des p’tits roupillon plusieurs fois dans la même journée.

Ici il était question de toujours rester dans la bâtisse, servant les clients et ramassait souvent des tripotages sans faire exprès qu’ils disaient les ivrognes. Elle devait à chaque fois aller vérifier la chambres des Rosely et de Gadej, car elle entendait oui très souvent elle les entendaient qui vérifier la solidité du lit. Elle se devait être discrète et faire de comme ci rien n’était.

Davia aussi lui donner beaucoup de temps, elle manger beaucoup et était souvent aux fourneaux pour elle, et surtout elle n’oubliait jamais de lui demander à lui donner de la bière. La petite était une vraie dégourdie, elle posait beaucoup des questions auxquels Beet ne savait pas comment répondre sans qu’elle heurte son innocence.

Cela fait des jours qu’elle n’avait pas vu Tayabrina la gérante de la bâtisse, elle ne mettait plus les pieds ici, à se demander ou elle passe ses nuitées, car Beet restait souvent éveillée tard dans l’espace taverne, y’en a des hommes qui restent jusqu'à petit matin à la bâtisse. Mais jamais elle la voyait venir même pour dormir.

Gadej était sortit de la bâtisse rapidement, il n’avait même pas vu qu’elle était là à préparer des puddings pour les vagabonds de Taya. Quand entra dans la bâtisse une personne donc elle n’espérait pas voir de sitôt.

Madame est déjà de retour ?

Beetista lui fit une inclinaison de tête, sourire pincée elle était en rogne contre elle, de la mettre subitement dans un tel environ ment. Elle se devait de garder bonne manière envers elle.

Je vous sers de la bière tiède comme à l’accoutumée ? Votre filleule adorée n’a pas mit pieds à la bâtisse depuis que je suis ici.

Elle préférait lui prévenir avant même qu’elle lui demande.

Nous avons aussi des clients qui logent ici en ce moment même ! D’ailleurs je devrai aller préparer leur déjeuner bientôt.

Pincement des lèvres et les mordit presque pour ne pas lui flanquer au visage ce qu’elle faisait ici. Sophie à bien de la chance de rester tranquille au château. Elle savait déjà que dorénavant sa place allait être ici. Mais que dire de son salaire ?

Madame pourra elle me dire si elle compte augmenter mon salaire ? Car voyez vous, j’arrive à ne pas dormir tant des fois, c’est toujours animées et bondées de saoulards cette bâtisse.

Babak29

Madame est déjà de retour ?

Bonjour Beetista? comme vas tu? ah contente de vous voir.

babak s'asseya sur un des tabouret exténué du voyage et regarda Beetista qui lui laisser un air de mécontetement,

Je vous sers de la bière tiède comme à l’accoutumée ? Votre filleule adorée n’a pas mit pieds à la bâtisse depuis que je suis ici

Oui je veux bien Beetista, comment ca vous n'avez pas vu Taya depuis que vous êtes ici, mais elle se moque de moi, je suis vraiment désolé Beetista. Elle va entendre parlé croyez moi !!

Babak ruminait dans sa moustache, sa filleule faisait vraiment n'importe quoi durant son absence, et elle aurait de ses nouvelles assez vite

Nous avons aussi des clients qui logent ici en ce moment même ! D’ailleurs je devrai aller préparer leur déjeuner bientôt.

Vous êtes un ange, heureusement que vous êtes là, mais Taya a ouvert la bâtisse, il faut qu'elle gère, rentré au domaine quand vous voulez, elle se débrouillera toute seule comme une grande, elle me dit qu'elle est adulte qu'elle me le prouve à présent

Fcpa79

Il entra normalement salua les deux jeunes femmes et s'assis a une table.

Bonjour comment allez vous ?

Puis regarda la taverne

Davia

Comme à son habitude, Davia entra en trombe dans la Bâtisse. Elle fit le tour de la salle d'un coup d'oeil et remarqua Jérémie; elle s'apprêtait à courir vers lui, lorsqu'elle vit Bab.

BAAAAAAAABBBBB!!!

Elle se précipita sur sa Grand maman et lui sauta au cou.

Tu m'as manqué!! tu sais z'ai appris plein de choses et puis maman elle veut plus que ze boive et puis Wan il va m'épouser quand ze serai grande et puis ze vais me battre, z'ai acheté un bâton et Ellana m'apprend à m'en servir et Maman elle dort zamais ici et moi z'ai une cachette sous le comptoir et là zentend tout ce que les grands disent et puis Wan il m'a offert un pipeau et Zérémie il m'a appris à en zouer et il m'a fait plein de zouets en bois, il est zentil Zérémie hein? Et tu veux que ze te montre comment ze zoue bien, dis?

Davia avait débité ce flot de paroles sans prendre son souffle, elle reprit une grande inspiration et lança un sourire complice à Jérémie. Ensuite, doucement, elle sortit son joli pipeau.

Rosely

Ce matin là ne sachant quoi faire Rosely était partie pour une longue promenade dans la campagne .
A son retour , quand elle arrive près de "La vieille bâtisse Lochoise" elle entend jouer du pipeau , elle s'arrête devant la porte et écoute
comme c'est joli pense rose
Elle entre et voit que c'était Davia qui jouait .
Cette enfant était vraiment douée se dit -elle en plus d'être adorable.
Rosely, sans bruit va prendre place dans un fauteuil et regarde la petite jouer .
Mais au bout d'un moment se sentant fatiguée , elle se leve doucement , salua messire Fcpa79 qui était a une table et dame Babak29 qui discutait avec Beetista et va droit dans sa chambre se reposer .

Un peu plus tard elle sort de sa chambre et s'installe en taverne , il n'y avait personne ce soir pas même Beetista , elle regarde si la petite Davia était sous le comptoir non même pas là .
-zut elle a emmené boule de poils avec elle Rosely sourit et va près de la fenêtre .
Elle attendait Gadej comme d'habitude et comme d'habitude elle allait surement finir dans son lit tout froid toute seule .
Quand Gadej arriva enfin , il était tard mais peu importe l'important c'est qu'il soit là près d'elle .
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Fcpa79

Il écouta Davia faire du pipeau et sourit

Tu as encore bien progressez toi...
Tu va devenir plus fort que moi !

Il lâcha un grand sourire et l'écouta de plus belle.

Davia

Davia en entendant le compliment de Jérémie se mit à rosir de bonheur.

Elle s'appliqua encore plus à bien jouer pour qu'il soit fier d'elle; elle essayait de temps à autres d'inventer des petites mélodies, en tâtonnant sur les touches.

Après s'être bien entraînée, elle se mit en quête de sa mère en déambulant entre les tables de la taverne, regardant les clients, leur faisant des grands sourires.

Fatiguée, elle décida d'aller se glisser sous le comptoir avec Boule de poil et se mit à sucer son pouce en le caressant.

Rosely

Rosely était restée dans la chambre aujourd'hui se sentant un peu fatiguée . Ce matin elle n'avait même pas entendu Gadej partir et elle n'avait aucune nouvelle de lui et maintenant elle était toute seule , elle soupire se lève du fauteuil et regarde par la fenêtre où étaient donc passé les gens du village, même pas un chat dans les rues, Gadej où es tu ?.
rosely va prendre une tisane à la taverne et reprend sa place sur le fauteuil de la chambre toute triste .

Dans la soirée elle retrouve son Gadej , enfin il était de retour , elle n'ose pas lui demander où il était passé tout ce temps, trop contente qu'il soit là.
Ils passèrent un moment a la taverne et partirent main dans la main dans leur chambre pour leur dernière nuit à Loches .
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Rosely

Ce matin des que Gadej sortit de la chambre Rosely écrit un mot à Davia

chére petite Davia
ce mot pour te dire que ce soir mon compagnon et moi nous repartons sur la route , nous rentrons chez nous alors si tu veux bien je voudrais que tu me ramène ma boule de poils je ne peux partir sans mon petit chat, j'espère que pour toi tout ira bien mais ne grandis pas trop vite stp tu as tant de choses a connaitre , embrasses ta maman pour moi
bises
Rosely de Millau

Elle plia le mot et va le mettre dessous le comptoir , là elle sait que Davia le trouvera et revient dans la chambre .
Elle avait pleins de choses a faire avant leur départ.

Elle partit faire un dernier tour dans les rues de Loches, sur la place du marché où elle acheta quelques petits pains et des fruits, et du tissus pour faire des habits pour son bébé .
Il faisait chaud elle retourna a la vieille bâtisse pour se reposer et boire une tisane où elle rencontra messire jasson et Fcpa79 et la petite Davia qui lui a rendu son chat , qui dormait sagement dans son panier .

Elle laissa un petit mot à Tayabrina

Chére Tayabrina ,
heureuse d'avoir fait votre connaissance et merci pour votre accueil et de vous êtres occupée de moi comme vous l'avez fait , j'espère qu'un jour on se reverra
je vous embrasse vous et la petite .
Rosely de Millau

Elle plia le papier et le posa sur la commode de la chambre .
Ferma la porte et partit rejoindre Gadej qui l'attendait sur tonerre devant la taverne .
_________________

Tayabrina

C’est qu’elle appréhendé était survenue subitement, elle était désormais déterminer de ne plus rien braver pour ce duché, il valait mieux rester dans coin et ne surtout plus poursuivre le travail de sa mère. Elle comprenait à présent le pourquoi de l’acharnement de sa maman à toujours avoir voulue changer ce village et les personnes au pouvoir.

Taya n’en pouvait vraiment plus, ménager une telle tâche n’est pas dans ses aptitudes, la Lochoise était trop faible. Résolue de rentrer à sa bâtisse auquel elle n’avait pas mît les pieds durant des jours. Ignorant les fait que sa marraine avait fait venir Beetista du domaine pour l’aider, c’est quasiment en rogne et pestant contre tout le monde qu’elle entra dans la bâtisse.

Daviaaa !!!

Ou pouvait elle encore être…Taya voulait avoir de ses nouvelles et surtout réclamer de la petite sans lu demander calme et réconfort. Ne recevant pas de réponse elle alla se rafraîchir un peu ce visage brûlante de colère et revint aussitôt dans l’espace taverne.

Davia !!!!!! Ma zoulie ….

Point de réponse, elle alla à sa recherche de sous le comptoir son endroit favorite
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Il n'y a pas de place pour deux pieds dans une même chaussure. Je n'aimerai que vous , et ce jusqu'à mon dernier souffle....

Davia

Comme à son habitude, Davia s'était retranchée sous le comptoir. Elle y jouait avec les jolis jeux en bois que lui avait sculpté Jérémie. Elle adorait cet endroit, à l'abri du regard des adultes, où peu de gens la dérangeaient et ou elle pouvait jouer, dormir, faire du pipeau et même... finir les chopes à demi-pleine lorsque la soirée était finie.

Elle entendit tout à coup sa mère crier. Ce n'était pas son habitude et elle sentit de la colère dans sa voix. Sans doute Davia allait-elle se faire gronder mais elle ne savait pas vraiment pourquoi.

Elle pointa le bout de son nez et sortit de sa cachette, sur la pointe des pieds.

Oui Maman, je suis là!

Elle fit un joli sourire à sa maman, en espérant que ça puisse calmer sa colère et alla se jeter dans ses bras.

Tayabrina

Ses bras accueillis chaleureusement la mioche , elle grandissait vite ! Quand elle voulue l’entraînée pour la remontéé vers ses épaules, elle due la reposer agilement sur le parquet,puis la prit sans ses bras en prenant un peu d'elan,la serrant chaleureusement, lui fît des petits baisers tendre sur son petit front. Elle s’installa sur un siège, Davia fut vite posés sur les genoux de la gérante, recevant toutes les tendresses qu’une mère puisse offrir à son enfant.

Pour Taya c’était plus un enfant adopté, mais bel et bien sa fille. Jeune maman certes …Mais une maman hors du commun qui était heureuse de la joie que lui procurait ce petit bout pas plus haut que trois pommes.

Silencieuse, elle resta à contemplée Davia passant les mains dans ses cheveux et essaya de la sourire, quand la petite Davia lui sourit. Elle commençait a se calmer, mais son esprit machinalement lui rappela à l’ordre de toute sa colère. Elle enserra la petite contre elle posant la joue sur sa petite tête, et laissa perler une larme.

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Il n'y a pas de place pour deux pieds dans une même chaussure. Je n'aimerai que vous , et ce jusqu'à mon dernier souffle....

Babak29

babak regarda par la fenêtre de la batisse avant de rentrer, histoire de voir si sa filleule était la, elle aperçu un grand moment d'amour entre Taya et Davia, elle savait que Taya serais une bonne mère et en voila la preuve, elle aimais cette petite et babak étais fière de sa fillotte, elle entrant dans la discrétion et s'approcha d'elles et pris Taya et la petite dans leurs bras.
Elle sentit la colère de Taya mais n'eut rien dit pour ne pas gaché cet instant, elle y déposa un baiser sur chacun de leur front et leurs caressa leurs cheveux.

Davia

Tayabrina

Non ma zoulie…Pas triste, mais juste un peu déçue de beaucoup de choses, ne t’en fais pas ça va aller, à présent je t’ai toi.

Un sourire à sa marraine qui saura bien vite que tout va aller pour le mieux. La bâtisse semblait bien calme.

Alors ma chéwiee ….Tout va bien pour toi ? tu as fait quoi pendant mon absence ? Tu sais c’est peut être le moment pour toi d’aller découvrir le domaine villandry. Là ou habite ta Bab.

Elle entraîna Davia et la posa sur la table regardant ses petites mains.

Tu as l’air propre ! Bien c’est bien tout ça.

Un coup d’œil à sa marraine qui lui semble trop anxieuse à son sujet.

Bon marraine tu me dit quand on l’emmène au domaine.

C’est plus la peine de se triturer avec des conneries, elle avait Davia et sa marraine pour la conforter, peut être qu’un séjour au domaine Villandry lui fera du bien et elle pourra enfin s’occuper de son aile. Aile que sa marraine voudrait à tout prix changer, mais Taya fuyait tout le temps ses responsabilités, dès qu’il s’agissait du domaine Taya était angoissée de perdre un peu sa liberté acquise depuis peu.

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--Beetista

Hoo la Taya est enfin de retour !!! Dit-donc demoiselle vous croyez que je me taperai seule cette bâtisse, avec tout vos sac à bières qui déambulent ici ?

Une semaine que vous ne montrez pas votre nez en votre démeure !

Marmonnant intérieurement contre Taya, Beetista avait reçu l’ordre de s’en aller de la bâtisse, elle ne pouvait pas partir et laissée seule la petite Davia, revenant du lac ou elle lavait les draps et autres linges sales de la bâtisse, elle avait pue aussi prendre une bonne trempette bien à l’abri des regards pervers.

En revenant à la bâtisse elle assista à une scène qui ferai pleurer, mais Beet connais trop bien Taya, Elle avait trouver comment se faire pardonner et ne pas prendre un bonne raclée de sa marraine. Ainsi donc elle es triste, la pauvre ….

Vous me devez un bon salaire ! Sinon je m’en vais de ce taudis, j’ai d’autres chat à fouetter au domaine moi !

Beetista était furax ! Mais elle se devait de ne pas manquer à son devoir, elle avait la langue très pendue, mais au fond elle avait une âme très charitable. Elle s’inclina devant les trois demoiselles et partit à la cuisine préparer le rôti de viande à l’ail. Le boucher était déjà passé et avait laissé morceaux des viandes et charcuteries, il avait aussi prit soin de laissé la note bien en évidence. Elle revint vers Taya qui papotait toujours.

Tenez !

Elle mit la note sous le nez de Taya.

C’est tout même pas moi qui va vous régler les dépenses !!

S’en retourna à ses fourneaux au moins elle n'aura pas à subir les cris de la mioche durant une journée, toute à sa marmite elle écouta furtivement les conversations pour être bien informés de la vie de ses patron.

Davia

En entendant sa mère et Bab échanger, son sang ne fit qu'un tour.

NONNN! Ze veut pas partir moi! Ze veut pas être loin de Wan! et d'oncle Coco et de Zérémie et de Luc et de Zafara et de Mèri et d'Ellana!! Et puis c'est ou le domaine de Bab? c'est pas ma maison! Ma maison c'est la Bâtisse!

Davia se mit à sangloter et regarda tout à tour Bab et sa mère, les yeux rougis.

Babak29

babak s'accroupit devant Davia

On te demande pas de partir mais de découvrir ou ta maman Taya a grandit, chez moi, la batisse est ta maison et personne ne te forcera a quitter ce lieu si tu n'en as pas envie.

babak regarda la petite et lui sourit

Gwennie

TOC TOC!!!!!!!!!!!!!!

Y a quelqu'un??????????

Gwen posa son barda de plus en plus allégé par des rencontres diverses et variées depuis son put...de Limousin de m... Il semblait qu'elle etait là pour plus de temps que prévu , autant prendre chambre et poser ses fesses quand elle ne patrouillerait pas alentour d'une ville qu'elle avait décidé de défendre en dépit du bon sens commun.

Kermaëdic un jour, Kermaëdic toujours...ou l'art et la manière de faire tout sauf ce qui est bon pour soi...

Une blanche et une duchesse...Ma foi comme journée elle avait connu pire...Sans compter une puce de 5 ans.Bref se faire un brin de toilettes, pioncer pour oublier et ce soir, sens alertés sur les remparts. A défaut d'autre chose...
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--Beetista

Les grandes dames s’affairaient à calmer la bambine qui commençait à chialer qu’elles n’entendirent même pas le son de la porte qui toque. Laissant ses affaires à la cuisine, s’essuyant rapidement les mains à l’aide de son tablier, elle alla s’en inquiéter de quoi il était question du brouhaha à la porte.

Je dois tout faire ici !

Se posta devant la porte déjà ouvert, grimace en voyant une donzelle avec bagages, voilà elle va avoir encore être surchargée, elle qui vient à peine de retourner du lac avec lessive propre, elle allait avoir encore des draps qui lui casseront les reins à les rendrent à nouveaux propre.

Entrez donc ! Et bienvenue à La vielle bâtisse Lochoise. Laissez moi vous aider.

Elle aida l’étrangère avec ses bagages et lui pria de s’installer à une tablée, le temps qu’elle aille vérifier quelle chambre lui donner, sachant déjà que la chambre derrière le comptoir déjà prit par un sire borgne.

Reposez vous ! Je reviens à vous dans un instant !!

Jasson

Jasson entra dans la taverne de sa soeur d'un pas joyeux il vit sa soeur et embrasse ces deux petite femmes puis s'assit sur le tabouret et prenna une biére en surveillant Davia du coin de l'oeil pour quelle ne pique pas sa biére e

Gwennie

Citation:

Je dois tout faire ici !
Entrez donc ! Et bienvenue à La vielle bâtisse Lochoise. Laissez moi vous aider
Reposez vous ! Je reviens à vous dans un instant !!

Un deux, Gwen essaie d'en placer une mais renonce...Repos????? N eo ket possib'e en ce bas monde mais pourquoi pas faire semblant...Un moment du moins...

Gwen a mal à son visage qui à certains endroits prend une couleur verdâtre des plus disgracieuses alors qu'à d'autres le violet se dispute encore avec le rouge...Bah...Elle grimace un rapide sourire de remerciement et s'assoit lourdement sur un banc dos au mur dans un coin, là où la lumière est suffisamment douce pour atténuer la violence ancrée sur son visage de bourrique bretonne...

Elle s'installe donc et se tait, observant les gens peuplant la salle.
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Zafara

Zafara entra dans la taverne-auberge, elle aperçut une voyageuse, épuisée et couverte de quelques bleus, elle s'assit près de la cheminée et frotta ses mains l'une contre l'autre. L'automne s'installait mais l'hiver approchait, annonçant son lot de rhume, refroidissement, et autres joyeusetés du genre... (Ironie). En attachant ses cheveux, elle songea à Phyll, à Allista et à ses amis à Tours. Comme ils lui manquaient.

Mais elle avait fait une promesse, elle ne partirait pas sans l'avoir fait. Toute ces choses qu'on dit et qu'on ne faisait jamais... Mais elle tenait toujours ses promesses. Puis, plus loin, elle aperçut Davia! Elle sourit, elle adorait cette petite, et lui avait fait la dite promesse! Elle semblait pleurer, que se passait-il? De toute façon, elle la voyait sûrement, si elle voulait venir, elle viendrait quand elle le voulait!
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Tayabrina

Une tornade fit son apparition dans la taverne, Mais …C’est Beetista !! Que fout-elle ici et depuis quand ? Elle se mit à parler, à parler et à se plaindre…Taya manque de s’évanouir d’un tel flots des paroles, c’est le monde à l’envers ici, on dirait presque que c’est elle la propriétaire du lieu. La lochoise fut soulagée quand elle alla à la cuisine. Le calme revenu elle veilla à ce que Davia ne prenne plus peur.

Geste attentive envers Davia, elle prit son mouchoir et lui essuya les joues. Elle ne voudrait pas qu’elle soit malheureuse.

Tu sais…quelques jours c’est pas beaucoup…ça te fera du bien de courir dans le grand jardin. Et aussi d’y jouer dans ma chambre, j’ai encore tout mes jouets, tu pourras aussi emmener ta nouvelle camarade avec toi, si ses parents voudraient bien nous la laissée.

Elle repoussa soudainement sa tête en arrière, Beetista venait de lui fourrer un papier sous le nez, en râlant, elle prit la note et la posa sur la table. Et comme plus tôt elle fila encore une fois à la cuisine. C’est fou c’est qu’elle est autoritaire…Va falloir pensé sérieusement à la mettre bien à sa place celle là.

Bon tu as compris ma zoulie ? Où as-tu encore des doutes ?

Elle était prise dans l’acharnement de calmer Davia, qu’elle n’entendit pas la porte, et voilà que Beet se dirigea vers la porte énergiquement en faisant attention de ne point perdre sa reputation de râleuse professionnelle. Elle observa bien sa manège du comment qu’elle accueille les clients, vite la dame fut on va dire presque traînée à l’intérieur avec bagages qui allait avec. Et toujours comme une furie elle était déjà partie dans l’espace taverne.

La lochoise fit un inclinent de tête à la nouvelle venue, que voilà elle vit entrer Zafara. Une amie qu’elle avait connue à Tours, charmante accueille qu’elle lui fit dès son premier Jours dans la capitale. Elle la laissa se poser sur une chaise, puis lui adressa enfin la parole.

Et ben Dame Zafara !! Que nous valons votre visite ?

Elle était contente de la voir ici. Elle fit partirent ses yeux vers la petite Davia.

Je vous présente ma fille Davia. Et aussi ma marraine Babak que vous devez sûrement connaître c’est une habituée de Tours…

Pour une fois Beet au lieu de passer son temps à râler aurai put venir leurs offrir de quoi se désaltérer.

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Il n'y a pas de place pour deux pieds dans une même chaussure. Je n'aimerai que vous , et ce jusqu'à mon dernier souffle....

Zafara

Je suis venue au mariage d'Ellana. Oh, mais je connais Davia, Tayabrina, je l'ai rencontrée dans cette taverne un soir, elle est adorable!

Zafara sourit à son amie et l'invita à s'assoir avec sa fille adoptive. La petite Davia revenait d'un chagrin, elle avait les yeux rouges de ses pleurs, elle lui sourit. En même temps, elle posa sa main sur son ventre et le caressa.
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--Beetista

La guerre, dure temps... Beet était restée bien dans son coin observant chaque mot et chaque geste de chaque habitants de la bâtisse, cette guerre avait enlevée un être chèr à sa petite patronne. La petite Davia aussi en souffré. Mais pour Beet tout cela n’avait point d’importance, ainsi, même attristée elle continua son travail comme si de rien n’était.

La taverne attirait toujours les clients et elle avait beaucoup des besognes à terminer.

Elle s’attaqua à mettre les tonneaux vide dehors et alla à la grange chercher des pleins. Pauvre Davia pensa-elle, elle qui aimait tant son fiancé et sa mère qui vit recluse, la laissant à elle-même. Elle fera son possible pour que la petite reste avec le sourire.

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[RP/IG] La taverne "La vieille bâtisse Lochoise"