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[RP/IG] La taverne "La vieille bâtisse Lochoise"

Ephesius
Ephesius était amusé de la scène. Le gredin voulait qu'il parle, il n'attendait que ça. Après tout, pourquoi pas ?

Bon écoute moi toi.... J'ai pas envie de te remodeler ta sale tronche, parce que vu le degré au quel tu es râté physiquement, ce serait un geste sympathique de ma part de te modifier le visage, j'risque de te rendre un peu moins moche à la limite... Et je ne pense pas que tu le mérite.

Deuxièmement, tu tombes bien bas de faire payer une femme en nature, tu n'es qu'une misérable vermine, et fait gaffe que je ne te coince pas dans une ruelle un soir, parce que je te creverai bien les yeux sans pitié, comme ça tu n'ira plus regarder les catins, les seules femmes qui te veulent bien dans leurs draps... moyennant quelques écus bien sûr..


Retournant sur sa chopine, il en prit une gorgée, et la reposa violemment sur le comptoir. La scène avait attiré l'attention des personnes présentes dans la taverne.
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Jasson
Jasson commenca a perde pasience comme cette homme pouvais traiter sa soeur de cette maniere . Jasson avais ecoutez sont ami et dit a sont tours :[

Bon ecoute moi toi tu va baissez d'un ton sian je te jure que tu n'aurais plus de téte ! Et ma soeur de ta payera jamais de cette façon tu la touche tu est mort c'es comprit ?!

Jasson s'enerver de plus en plus et ce demande pourquoi il na pas encore tranchez sa téte.Jasson retourna au comptoire et pris une choppe pour ce calmer
Michmuche
La Miche de Much se hâtait de retrouver celle dont il avait rêvé cinq jours durant chez les moines. Il pressait le pas vers la taverne, chantonnant, sifflotant, voire chansifllotant...

La porte était fermée mais il entendait que ça s'engueulait là dedans. Il reconnut la voix de Jasson avant d'ouvrir la porte. Un rapide coup d'oeil, Ephesius, Jasson et un solide gaillard plus grand d'une tête. Puis il remarqua les traits nerveux des trois hommes, l'épée sortie de Jasson qui défiait l'inconnu du regard.

Etrange situation, jamais vue encore à la vieille bâtisse lochoise. Mais pour le moment, il n'avait qu'une seule envie, et surtout pas de prendre part à une dispute. Il prit son élan, posa une main sur le comptoir pour l'enjamber et se retrouver nez à nez avec Tayabrina.

Il pointe d'abord son doigt vers elle...


Toiiii, hooo toiiii

...puis la prit dans ses bras pour l'embrasser passionnément, oubliant l'environnement dans lequel il était et la tension palpable icelieu.

Tu m'as tellement manqué toi !!!
Jasson
Jasson étais pré du comptoire a cote de sont ami et il vint sont beauf entrée et serre taya dans ces bras Jasson ce dit que taya ne l'avais pas mis au courent de ce qui ce passe ici Jasson s'approcha de sont beauf mais attend quil ons finit de s'embrasser avant de lui dire bonjour mais surveilla Etroitement Zankou Jasson avais toujours sont épee a la main il étais un peux moin en colére mais essye de ne plus penser a ce que znakou avais dit sur sa soeur pour pas faire un acte irréfléchis et dit:

Ah qui voila ! Bon je vous derangerai pas longtemp je voulait juste dire bonjour a mon beauf


Jasson tape amiclame sont beauf sur le dos et sourit
Tayabrina
Soudain des bras l’enserre et ses lèvres furent prit en otage, elle reconnaîtrai ses baisers même en étant morte, il était là il es enfin revenu. Elle oublie tout et se laissa transporter par son baiser.

Mon chéri, t’es enfin revenu !! Que tu ma manqué !

Elle était si heureuse de le voir. Ce qu’il la manqué son Muche, l’enlancant et retrouva son sourire.

Voyez vous-même messire Zankou, la nature que vous réclamez elle à déjà un propriétaire !

Regarda son z’homme, elle lui fit signe de sortir pour se retrouver au calme.

Mais le défie tiens toujours ! Rendez vous sur le champs de tir ! Et la prochaine fois essayer de ne pas me confondre avec une catin ! Malotru !

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Il n'y a pas de place pour deux pieds dans une même chaussure. Je n'aimerai que vous , et ce jusqu'à mon dernier souffle....
--Zankou
Il écoute le pic assiette parler et l’autre protecteur de la gérante, les mots qu’il entendit le fit rire,

Il fit un geste vers eux


Vos mots ! Ils glissent sur moi comme l’eau sur du goudron !! Bande des trouillards !!

Ne pouvait se contenter de rire aux éclats quand un client entra dans la taverne.

Il faillit crever sur place quand l’énergumène qui se présente devant lui embarda le comptoir et prit sa petite proie tendre entres ses lèvres. Faut avouer que ici, il n’y avait rien à faire, bel homme qui hésite pas de risquer a laisser ses attributs sur le comptoir pour courir dans ses bras, son arrivé dans la taverne détendit l’atmosphère redonne ainsi à la gérante imprudente plus de fierté avec sa petite bouille, elle été qu’une paysanne ! Et se la joue haute devant lui avec son homme.

Pour lui c’était rien il s’en fiche carrément de tout ça ! Il voulait la tavernière il l’aura qu’importe le moyen. Il trouve très vite.

Tiens donc t’es qui toi face de rat ? Pour te permettre de cesser mes ébats !!

Il regarde le nouveau venu dans les yeux.

Tu te fais mener par le bout du nez !

Puis a nouveau vers la tavernière

Hop ! hop ! Allez p’tite servante au champ !

Imitant la jeune femme avec ses chéris il repartit dans un fou rire ! La scène était tellement piteuse à son goût, franchement il y’avait mieux à faire avec elle que de la donner un petit baiser. Il sentit un étourdissement subit, …Le Zankou n’a jamais ressentit ça de toute sa vie, une bière ! Il n’avait prit qu’une bière ! Pourquoi voyait il floue ? Le mieux à faire était peut être de sortir prendre l’air, une douleur aigue au crâne le terrasse presque. Mais c'était pas son genre à defiler.

Au champ ! Je vous attends servante !! C’est pour tout de suite ?

Toujours ce fichue vision ! Il attendit que la tavernière lui donna son accord pour le défie. étrange que dans ce village de crève les hommes sont si faibles au point de refuser à se battre.

Michmuche
Trop ravi de la revoir, il en avait oublié le géant derrière son dos. Il se retourna vers l'homme alors qu'il comprenait brusquement ce qui était en train de se passer. Un violeur...Un mercenaire peut-être...

Et lui avec sa force d'huître pas fraîche, et ses deux bâtons dans son dos dont il ne s'était jamais servi autrement que pour taper dans les branches et ramasser les fruits tombés. Il aimait pas la castagne le Mich et il n'y était pas doué du tout. Fallait être plus intelligent que la brute tout simplement... Il réfléchissait quand...


Tiens donc t’es qui toi face de rat ? Pour te permettre de cesser mes ébats !!

Sourire aux lèvres habituel, les joutes verbales il connaissait et les insultes lui passaient au dessus...

C'est à ce moment qu'il regarda l'arrière du comptoir et aperçut les fioles vides. Le sourire que lui donna Tayabrina alors qu'il la regardait confirma sa pensée. Le géant venait de se faire avoir comme un bleu... Michmuche pensa bizarrement au bruit sourd qui allait résonner lorsqu'il tombera à terre...


Tes ébats ? T'es puceau au point de croire que ça va tomber du ciel sans même te pignoler devant ta seule compagne ?

Il pointait la bière en prononçant ses mots, amusé de penser que cette bière sera peut-être sa dernière compagne, la "veuve noire" qu'il proposera à taya de l'appeler après cet épisode, ça marchera du tonnerre de Brest !

Le regard du géant noircit puis vacilla. Le poison commençait son entreprise. Mich reprit taya dans ses bras pour la faire reculer quelque peu. Les mots qu'il venait de prononcer lui couperaient sans doute son envie de rire... Son bâton glissa doucement dans son dos au cas où...
Tayabrina
Taya regarda son homme la défendre et en fut choqué c’était pas dans son habitude de se mêler des disputes il était si calme et si doux , Zankou devait être drôlement doué de mettrent les gens hors de leurs gonds pour que son chéri s’en prend à lui subitement. Le breuvage a déjà agit sur lui bientôt plus des réflexe et il ne pourra rien faire que de zigzaguer et de manquer ses cibles. Elle resta dans le bras de Muche mais répondit tout de même au vil type aigri.

La servante elle vous dit oui ! Rendez vous sur le terrain de tir.

Elle voulait même plus se défendre contre les assauts verbales de Zankou, il n’en finira jamais, à présent que son z’homme es rentré elle était pressée de sortir de la taverne et de se retrouver avec lui au calme dans la grange. Leur petit coin qui es devenue agréable depuis un certain temps.

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Il n'y a pas de place pour deux pieds dans une même chaussure. Je n'aimerai que vous , et ce jusqu'à mon dernier souffle....
Tayabrina
C’est maintenant que tu agis toi ? T’es ivre ou quoi mon frère ?

Taya la regardait morte de rire, il avait pas vu que le Zankou il était parti ! Elle prit sa capuche sous le comptoir et l’enfila sur la tête de son frère en riant toujours.

Gros bêta tu rêves trop des fois toi ! Merci d’être là pour moi …..

C’est n’était pas tout, vite fallait se remettre a ses potions y ‘a des clientes qui attendaient d’être guéries. Et elle devait remettre les désordres que zankou a foutus dans sa taverne en ordre. Pourvu que les clients ne fuient pas après cette petite scène.

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Il n'y a pas de place pour deux pieds dans une même chaussure. Je n'aimerai que vous , et ce jusqu'à mon dernier souffle....
Jasson
Jasson avais un sourire amuser sur les levers en voyant sa soeur et dit:

Mieux vos tard que jamais et puis muche et la non ? Pas ma faute je reve tous le temp de didou mais la j'avoue que j'ai exsagerai

Jasson ce dit quil aimera toujours sa soeur méme si il ce dispute tous le temp et quelle est uen petite peste mais bon sé pas nouveau..Jasson bue un peux dans sa chope et puis rit parseque il n'avais pas remarquer que zankou étais parti decidement il revais tros a sa belle..
Didou37
Trop heureuse de sortir de sa retraite du couvent, Didou se rendit vers son lieu de prédilection "La Vielle Bâtisse Lochoise". Le chemin était plutôt long, il fallait traverser toute la ville pour se rendre au quartier des tavernes.

Pendant cette retraite, elle avait beaucoup pensé à sa vie passée et avait fait pénitence de tous ses actes inavouables aux yeux de l'église. Elle se promit une vie plus sage et plus heureuse auprès de son nouvel amour Jasson. Elle était si pressée de le retrouver qu'elle se mit à marcher plus vite.

Elle croisa quelques nouvelles têtes sur son chemin mais n'y prêta pas attention. Son image fixe était Jasson qu'elle n'avait pas revu depuis plusieurs semaines. Elle était toujours dans ses pensées lorsqu'elle se retrouva sur la dernière place qu'elle devait traverser avant d'atteindre la ruelle de la taverne. Elle entendit vaguement le galop d'un cheval venir vers elle.

C'est de peu qu'elle se jeta sur le côté pour éviter un drôle d'énergumène qui faisait galoper son cheval à toute allure dans les rues de Loches.

- Ca va pas non !!! Espèce de ...

Didou arrêta de parler lorqu'elle s'aperçut que l'homme en question était déjà très loin et ne pouvait l'entendre.

Elle se releva et se frotta les fesses toutes endolories. Elle reprit le chemin de la taverne et entra dans "La Vielle Bâtisse Lochoise".

Elle vit tout de suite l'amour de sa vie en compagnie de sa charmante soeur Taya, de Muche et de Messire Fée. Elle sentit une drôle d'atmosphère mais ne s'en occupa pas. Elle sauta au cou de Jasson tellement heureuse de le retrouver.

- Vous ne devinerez jamais : j'ai failli me faire écraser par un fou furieux sur un cheval !
Jasson
Jasson vit didou entré dans la taverne comme une déesse qui venait a sa rencontre Jasson prit didou dans ces bras en s'en ficche de tous le monde qui le regarde et l'embrasse comme un fous Didou se decrocha de lui et dit q'un fous furieux l'avais a faillit l'ecarser a cheval Jasson senerva et dit:

il est ou se fous furieux que je le corrige ?!

Jasson s'enerva en pensant a cette homme pour qui ce prennez t'il pour avoire fallit ecraser sa compagne il ne sait méme pas excuser ! Jasson resta grnion dans les bras de didou en pensant a cette homme
Agesisel
Voilà quelques jours que Tayabrina, la propriétaire de la Vieille Bâtisse Lochoise, s'était absentée et avait laissé Agesisel comme tavernier. Comme tous les jours, il était seul en taverne, après avoir vu quelques clients habituels. Il débarrassait les rares tables qui avaient servi de support à des chopines. Il laissait tremper les ustensiles dans un sceau remplie d'eau opaque, tout en passant un coup de chiffon sur les tables. Une vraie femme de ménage. Par contre, pour un coup de balai, faudra lui dire où il est.

C'est en essuyant les chopes avec le même bout de tissu qui sert à essuyer les tables que le tavernier eut l'idée d'écrire à Tayabrina, qui se demandait peut être comment allait sa taverne. Après tout, elle aurait pu être saccagée par des soiffards, brûlée par des brigands, détruite par une mini-tornade. Oui, faut pas s'emballer non plus. Et puis, c'était la moindre des choses que de la tenir informée, elle lui a quand même fait confiance pour entretenir la taverne.

Mais ne sachant pas écrire, il partit chercher Fortunat dans la petite bicoque délabrée qu'ils occupaient en dehors du village, avant de la ramener dans la taverne avec du papier et de l'encre. La blonde n'arrêtait pas de soupirer, agacée d'écrire tant de missives à cause de la correspondance qu'entretenait le cul-terreux avec une voyageuse partie en Bourgogne pour une escorte.

Pendant au moins un quart d'heure, Agesisel dictait, puis demandait de raturer. Fortunat, jalouse qu'il fasse tant d'efforts pour des femmes, rouspétait, mais finissait pas faire ce qu'il lui demandait. A la fin, la missive donnait ceci :


Citation:
A Tayabrina, propriétaire de la Vieille Bâtisse Lochoise.

Je t'écris cette missive pour te donner des nouvelles de la taverne dont tu m'as confié l'entretien et l'animation durant ton absence. Je suis toute la journée en taverne, et pourtant, je ne croise pas grand monde. Dans les meilleurs jours, 5 personnes en une journée, dont la moitié sont des voyageurs. Quelques habitués viennent me voir, mais les sujets de conversation sont épuisés. Quand je suis seul, je nettoie les chopes et les tables, mais tu n'as pas pensé à me dire où était le balai.

Loches est toujours aussi calme. Le marché ne bouge pas trop malgré que nous approchons du mois de septembre, qui devait, pour les optimistes, être le mois des retours de retraites spirituelles.

Comme tu le sais sûrement, j'ai été débattre pour le programme de la liste Renaissance Tourangelle. J'ai d'ailleurs cru t'apercevoir, tu te faisais discrète, mais je t'avoue que j'avais hâte de partir après avoir entendu cet homme qui ne sait argumenter que par sarcasmes. Et en plus, il n'y avait non pas une, mais deux diaconesses. Imagine le cauchemar pour moi qui suis un Réformé. Enfin, je me suis forgé un opinion : ils sont égaux à des chiens qui se mordent la truffe pour le morceau de viande qu'est le conseil ducal. Par contre, j'ai été agréablement surpris d'entendre un noble dire qu'on ne servait pas la Touraine pour les titres, mais bel et bien pour servir son duché.

Je voulais aussi t'annoncer la bonne nouvelle : une conseillère municipale m'a envoyé une missive pour me prévenir que ma demande pour intégrer le conseil de Loches était à l'étude. Pendant ce temps, la maire me questionne dans son bureau.

C'est aussi suite à la demande de la conseillère qu'avec Fortunat, nous avons préparé le mannequin de ce fameux Valzan pour le pilori. J'ai indiqué le chemin de la hall à deux jeunes lochois, dont un a été voir, l'autre semblant s'en moquer éperdument, pour qu'ils viennent voir le spectacle.

Enfin, selon ma carte, tu devrais avoir bientôt fini le tour de la Touraine, à moins que tu restes plusieurs jours dans les même villages. En tout cas, je ne te cache pas que j'ai hâte de te revoir, je commence vraiment à avoir du mal à entretenir une conversation avec les clients, puisque les sujets se résument à quel genre de champs ils ont, des remarques de ma part sur le non-écoulement des marchandises, et quand je commence à parler de mes projets politique pour Loches, ils s'enfuient -en ayant payé leur bière bien sûr-.


En attendant de tes nouvelles,
Agesisel


Le vagabond regarda ensuite sa scribe avec ses yeux vitreux, sans rien dire. Fortunat soutenait son regard, haussant un sourcil, se demandant ce qu'il lui voulait encore, quand elle comprit.

Ah non, me demande pas ça ! s'exclama-t-elle en haussant le ton pour lui faire comprendre que c'était un refus catégorique.

Mais cela n'empêcha pas le gueux de continuer à la regarder, avec cet air inexpressif qui le caractérise, et ce regard intense dans lequel on pourrait se noyer. La blonde en armure finit par soupirer en baissant les yeux, signe qu'elle acceptait.

Et où veux-tu que je la trouve ? Je suis pas un Gros Pigeon Surentrainé.

Agessiel acquiesça d'un mouvement de la tête, pour dire qu'il était d'accord que cela posait problème. Il une carte de la besace qu'avait apportée Fortunat, l'étala sur la table, et réfléchit. Au bout d'une dizaine de secondes, il finit par poser sur son doigt sur la carte, là où il était marqué "Tours".

Le jour de son départ, elle est partie pour la capitale. La logique veut qu'elle fasse ce trajet, dit-il en faisant passer son doigt par Tours-Vendôme-Tours-Chinon-Loches. Rends-toi à Chinon, et renseignes-toi pour savoir si elle est là-bas. Si elle n'y est pas, va à Tours, et dans le cas improbable qu'elle n'y soit pas, Vendôme.

La blonde en armure s'était levée, et regardait par dessus l'épaule de Agesisel, avec une moue sur les lèvres.

C'est un sacré trajet. Un pigeon ensorcelé qui trouve toujours son destinataire serait plus approprié.

Non, rétorqua-t-il froidement.

Tu m'énerves. Alors, pourquoi t'envoies pas un pigeon à Chinon, pour qu'ils remettent la lettre à cette femme, et sinon, ils enverront un autre pigeon à Tours, puis Vendôme si il le faut.

Je n'ai confiance qu'en toi, finit-il par dire pour toucher le cœur mou sous l'épaisse armure.

Fronçant les sourcils et retroussant son nez, Fortunat prit la lettre à contre-cœur, et alla atteler sa monture pour apporter la missive. Elle pensait même à se faire payer par la destinataire. Après tout, ce serait bien fait pour elle. C'était son vagabond, pas celui de toutes ces femmes avec qui il communiquait. Pour être jalouse, elle l'était, surtout quand on lui fait traverser la Touraine pour remettre une lettre.
Tayabrina
Dans la bâtisse, alors que un s’amuse a essayer de lui envoyer des tomates pourrîtes, et qu’un autre cuve sur le comptoir de sa cuite de la vieille. La Taya avait mieux à faire, écrire à sa marraine qui était en voyage…


Citation:
Marraine,

Tu es partie sans m’avertir ! Et si c’est moi qui faisait cela, je me suis trouvée bête quand Sophie ma annoncer ton départ pour Tours, Tu es y allé pour tirer les oreilles de Bozal-Lothar ! J’en suis certaine…Je m’ennuie de toi moi, quand reviens tu ? Franchement que fais tu la bas…ta place est à Loches près de moi …Pour m’empêcher de faire des bêtises.

Messire Jeremy attend patiemment de tes nouvelles, ses journées semblent longue et se termine dans la jardin. Tu ne le sais pas …ma taverne marche à merveille, Hier une rentrée de plus de 100 écus, je l’avoue je grimper les prix des bières, Loches es rempli des pochtrons …Quelqu'un ma parler d’un confrérie hier…Les assoiffés ? Tu connais ?

Messire Agesisel est candidat à la mairie…Son programme me fait peur, et beaucoup ne sont pas contents de son programme, notre Petite Mary ne se représente pas, je trouve cela fort dommage….

Loches revit sous mes yeux, des petits nouveaux qui prend goût à rester enfin, et des emménagements, des nouveaux couples aussi à Loches, Muche es enfin revenu de sa retraite, j’ai pu enfin faire la rencontre de messire Skippy, Il parle beaucoup lui. Si par hasard tu rencontre messire Hans et sa péouse, dites leur que j’essai de m’occuper un peu de leur établissement.

Comme tu le sais sûrement, la liste sur laquelle j’étais n’est pas sorti majoritaire ce qui fait que je suis libre, c’est peut être mieux, vus les crêpages des chignon sur la halle gargote…Je m’en passerai bien de devenir comme eux. J’ai des projets pour Loches…je t’en parlerai de que tu reviens.

Pour finir, ramène nous vite le messire mon frère Lothar, Donne moi vite de tes nouvelles. Je t’envoie une grosse bisouille baveuse. (Essuie ta joue)

Ta p’tite peste adorée.

Taya.




Dites messire Agesisel !! Fortunat peut aller traîner dans le duché remettre cette missive ?

Au même instant la porte de la bâtisse s’ouvrit brûtalement, le tas de ferraille ambulant se rua presque sur elle, lui arracha le missive de la main, un regard noir fut lancé à la gérante de la taverne.

Uniquement parce que vous l’aider à se rincer le gosier, pendant sa campagne !

Plus un mot, rien qu’une femme enragée qui referma violemment la porte laissant la bâtisse dans un silence de mort pendant quelque instant. Après réflexion Taya se prit dans un fou rire regarda son tavernier qui était toujours aussi froid.

Vous z’avez pas peur d’elle ?
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Il n'y a pas de place pour deux pieds dans une même chaussure. Je n'aimerai que vous , et ce jusqu'à mon dernier souffle....
Agesisel
[Tiraillé entre les deux frères : Gabriel et Leviathan]

Et marque aussi que je ne mettrais plus les pieds dans sa taverne ! dit Agesisel, énervé, avant de refaire les cents-pas, en rond, dans la vieille bicoque délabrée qui lui servait d'habitation, à lui et Fortunat.

Quant à cette dernière, elle était debout, au milieu de la pièce, au milieu des cercles dessinés par Agesisel. Elle écrivait ce que lui dicter son vagabond, qui était pris d'une soudaine rage depuis qu'il était revenu -drôlement tôt- de la Vieille Bâtisse Lochoise, où il avait l'habitude d'aller discuter avec ses amis. A peine avait-elle eu le temps de lui parler qu'il lui a ordonné de prendre de quoi écrire. Elle s'exécuta, sans broncher, mais se posait quand même des questions ; questions auxquels elle eut réponse pendant qu'elle écrivait. La blonde en armure l'avait mis en garde contre sa patronne, qui lui paraissait être plus une petite peste qu'une villageoise investie. Mais non, il y retournait quand même, nettoyer des chopes. Et voilà où ça l'a mené.


J'ai fini. Tu veux que j'aille apporter la lettre, je suppose ? demanda Fortunat en levant les yeux vers le tourmenté qui n'arrêtait pas de marcher pour autant.

Oui, et si tu la voix, tu lui claques bien devant le nez. Et devant les autres clients, puisqu'elle aime se donner en spectacle.

Fortunat se leva, sans répondre, et prit la direction de la taverne. Elle sentait la haine dans sa voix, mais aussi la tristesse, même si il le nierait sûrement. Il avait été déçu par le comportement de Tayabrina, et maintenant, il était parti pour une période sombre où il allait broyer du noir et boire pour oublier. Mais elle ne comptait pas le laisser ainsi à cause d'une donzelle. Oh ça non.


[Dans un théâtre, même ancien, on joue des comédies ; mais faut savoir baisser le rideau]

Fortunat, en parfaite messagère des sentiments, fit claquer la porte contre le mur en entrant, espérant voir des mines de soulards ébahis par l'apparition d'une femme en armure. Mais non, personne. Ou du moins, personne qui ne se cache pas. Elle avança donc dans la pièce, regardant autour d'elle, tentée d'y mettre le souk. Mais serait-ce vraiment raisonnable ? Ce n'est pourtant pas l'envie de renverser chaises et tables, de tailler le comptoir avec son épée, de perforer les tonneaux, de renverser les bouteilles et les chopes, qui lui manquait.

Se résignant à faire pareilles choses, Fortunat se contenta de poser la lettre sur le comptoir, avant de cracher sur le sol, et de sortir pour joindre son vagabond avant qu'il ne fasse une bêtise.

Sur la lettre, on pouvait lire ces mots :


Citation:
A Tayabrina, gérante de la Vieille Bâtisse Lochoise, actrice en mal de spectateurs

Si je vous écris en ce jour, c'est pour vous donner ma démission de tavernier de votre établissement. Mes motivations sont simples : je suis révolté fasse au comportement de mon employeur, c'est à dire vous.

Première chose, les gens veulent que je m'excuse parce que vous n'arrêtez pas de pleurer. Je n'ai certes pas le sens diplomatique d'un chambellan, ni le caractère d'un militaire ; mais une chose es sûr : jamais je ne plierais l'échine devant quelqu'un. Jamais je ne plierais devant vous ou le conseil ducal pour m'excuser ou suivre les ordres juste pour faire plaisir.
Je ne regrette pas de vous avoir voler ce baiser, je n'ai donc aucune raison de m'excuser d'un geste que je n'ai pas fais par plaisir de le faire, mais guider par les sentiments que j'éprouvais envers vous.

Deuxième chose, comme je l'ai appris cet après-midi, vous avez été raconter ce différent à trois ou quatre personnes. Est-il utile de vous décrire ma colère en apprenant cela, alors que c'est vous même qui vous disiez être "déshonorée" ? Si vous l'étiez vraiment, vous ne raconteriez pas cette histoire partout autour de vous. Mais cela a eu au moins le mérite de m'ouvrir les yeux : vous n'êtes qu'une gamine pourrie gâtée, comme tous les gosses de votre condition, et leurs parents. Vous voulez juste attirer l'attention sur vous car vous aimez être au centre de tout, comme vous avez été habituée dans votre enfance quand les domestiques étaient au petit soin pour vous. Mais j'ai une révélation pour vous : vous êtes encore plus méprisable que la plus sale des souillons.


Je ne remettrai jamais les pieds chez vous,
Agesisel
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