Titca
QUOI ! Pas un non, pas deux ben non, mais trois !! Trois...trois...trois !! Mon dieu elle vivait un cauchemar, tout cela n'était qu'un mauvais rêve, demain elle en rigolerai en racontent tout cela à Jacou, qui lui aussi se moquerait, oui un cauchemar un énorme mauvais rêve qui bientôt allait ce terminer, quand son amour enfin réveiller l'embrassera dans le cou et la serrent contre son coeur, ou quand Achille et Lyes hurlerons '' Maman !!'' oui pas de panique un cauchemar. Plongée dans ses pensées ce débattant pour croire au mauvais rêve plutôt qu'as la réalité qui s'imposait à ses yeux, Titca avait pris une couleur blanche quasiment transparente, une main détacha le devant de son corsage, mais pas trop tout de même raisonnablement, alors de son autre main elle fit allée rapidement la lettre de haut en bas et de bas en haut. Mmmh quelle fraicheur agréable, ce petit vent sur sa peau la sauva d'un risque de tomber dans les vapes. Trois... trois...oh mon dieu, mais TROIS !!
....M........o.......u.......a...........r............f.... **Un mauvais rêve c'est un mauvais rêve Titca, respire bien fort...voilà c'est bien ma grande... ** Songeait-elle. Folle la troubadour n'en crut pas ses pauvres oreilles et pour très peu elle aurait traité Nasti de menteuse, de lâche ou encore de pauvre catin incapable de dire une dose de vérité dans son lac de mensonges, mais elle savait aussi parfaitement que la gouvernante ne mentira jamais sur un sujet aussi important et capitale, pourtant aujourd'hui, jour oh combien banale d'une visite oh combien banal dans le parc de la Confrérie Troubadour, elle ne trouvait pas une demie soeur, non TROIS !
Malloz Doué , Gast ! sac'h kaoc'h ... Trois mots, trois insultes lancer à sa mère, les yeux fixent le soleil, elle aurait pu la faire revenir pour ensuite la tuer de ses mains, à ce moment précis, Titca l'aurais fait sans hésiter une seule seconde ! Tout son monde, toute sa petite vie entière s'écroulait dans un énorme gouffre et à en croire Nasti le fond était encore loin, voilà ce qu'on récoltait à être trop curieuse, des ennuies et encore si seulement ils n'y avaient que les ennuies ! Mais aussi TROIS demi-frère et soeurs.
Titca se pinça fortement le bras, la douleur signe que tout ceci n'était pas un mauvais rêve, mais la réalité, réalité qui a cet instant la frappait de plein fouets. Mais quelques secondes après, quand ses yeux ce posèrent dans ceux de Takdoa, toute trace de colère de haine ou encore de douleur avait disparu, pour laisser place à un regard neutre, un sourire tout aussi neutre. Plus tard dans la chaleur de sa maison, quand les enfants seront couchés et que le calme envahira la demeure des deux troubadours à ce moment précis, elle s'écroulera dans les bras de Jacouillet pour tout lui raconter, mais pas maintenant pas devant Tak ni Nasti d'ailleurs, un caractère de fer cachant une femme plus que fragile, Titca.
tremblante légèrement, elle bu une gorgée de la bouteille et ferma les yeux, laissant le nectar réchauffée son coeur et par la même occasion lui donner un peu de chaleur.
Ur banne chouchenn ? Demanda la troubadour en donnent la bouteille à Takdoa, bien contente que celle-ci saches aussi le breton, car pour le moment c'était la seule langue que Titca arrivais à parler, puis elle reposa son regard sur Natsi.
Digarez! Kollet on...* Oui c'était le cas de le dire, Titca était perdue, perdue dans cette histoire dans sa vie, dans ses sentiments, dans tout, son regard ce posa doucement sur les deux femmes et d'un petit geste de main elle demanda à Nasti de continuer.
* Je suis perdue en breton pour les lecteurs qui n'auraient pas compris.
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....M........o.......u.......a...........r............f.... **Un mauvais rêve c'est un mauvais rêve Titca, respire bien fort...voilà c'est bien ma grande... ** Songeait-elle. Folle la troubadour n'en crut pas ses pauvres oreilles et pour très peu elle aurait traité Nasti de menteuse, de lâche ou encore de pauvre catin incapable de dire une dose de vérité dans son lac de mensonges, mais elle savait aussi parfaitement que la gouvernante ne mentira jamais sur un sujet aussi important et capitale, pourtant aujourd'hui, jour oh combien banale d'une visite oh combien banal dans le parc de la Confrérie Troubadour, elle ne trouvait pas une demie soeur, non TROIS !
Malloz Doué , Gast ! sac'h kaoc'h ... Trois mots, trois insultes lancer à sa mère, les yeux fixent le soleil, elle aurait pu la faire revenir pour ensuite la tuer de ses mains, à ce moment précis, Titca l'aurais fait sans hésiter une seule seconde ! Tout son monde, toute sa petite vie entière s'écroulait dans un énorme gouffre et à en croire Nasti le fond était encore loin, voilà ce qu'on récoltait à être trop curieuse, des ennuies et encore si seulement ils n'y avaient que les ennuies ! Mais aussi TROIS demi-frère et soeurs.
Titca se pinça fortement le bras, la douleur signe que tout ceci n'était pas un mauvais rêve, mais la réalité, réalité qui a cet instant la frappait de plein fouets. Mais quelques secondes après, quand ses yeux ce posèrent dans ceux de Takdoa, toute trace de colère de haine ou encore de douleur avait disparu, pour laisser place à un regard neutre, un sourire tout aussi neutre. Plus tard dans la chaleur de sa maison, quand les enfants seront couchés et que le calme envahira la demeure des deux troubadours à ce moment précis, elle s'écroulera dans les bras de Jacouillet pour tout lui raconter, mais pas maintenant pas devant Tak ni Nasti d'ailleurs, un caractère de fer cachant une femme plus que fragile, Titca.
tremblante légèrement, elle bu une gorgée de la bouteille et ferma les yeux, laissant le nectar réchauffée son coeur et par la même occasion lui donner un peu de chaleur.
Ur banne chouchenn ? Demanda la troubadour en donnent la bouteille à Takdoa, bien contente que celle-ci saches aussi le breton, car pour le moment c'était la seule langue que Titca arrivais à parler, puis elle reposa son regard sur Natsi.
Digarez! Kollet on...* Oui c'était le cas de le dire, Titca était perdue, perdue dans cette histoire dans sa vie, dans ses sentiments, dans tout, son regard ce posa doucement sur les deux femmes et d'un petit geste de main elle demanda à Nasti de continuer.
* Je suis perdue en breton pour les lecteurs qui n'auraient pas compris.
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