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[RP] Une mairie tombe et les mouches tombent en silence...

Fanette.debronnec
[les limbes.. la douleur]

.. voix venus de loin.. douleur insoutenable la ramenant..son corps lui fait mal de partout.. respirer est une lutte.. elle crache le sang..


un gémissement sourd se fait entendre..

mourir..faut mourir.. le Gil plus la.. personne ...

le douleur vive lui transperce les tempes..partir.. ailleurs..loin..

le noir.. rien que le noir.. plus de douleur.. ouvrir les yeux dans le noir, apaisement.. se laisser aller..se remplir du néant..se laisser tombée...dans les abimes infinis du noir.. la ou on ne souffre plus

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Chuichian
La lecture d'un courrier peut provoquer bien des sentiments et réactions: les palpitations alors que l'on parcourt les lignes, l'effroi de la compréhension du texte, des mains tremblotantes et une gorges sèches, des yeux humides et un noeud au creux du ventre...

On lui avait annoncé qu'elle était tombé, que sans distinction la lame avait frappé: incisif, le fil de l'épée avait tranché le fil de la vie.
La douleur qui suit cette annonce n'a pas de mesure, n'a pas de comparaison. La dévastation qu'elle provoque la rend presque insensible: telles les vagues qui, les jours de tempête, frappent les côtes, elle se dresse et submerge toutes autres pensées. Sacs et ressacs des mots qui empêchent toutes émergences de pensées logiques, de cohérence, de raisonnement.

C'est dans ces instants d'extrême perdition, pendant que l'esprit, dans le flou, navigue, que l'on prend des positions, que l'on fait des choix qui ne sont qu'erreur et bêtise.
C'est dans ces instants, quand on lui a parlé de linceul blanc, qu'il s'obstina à cacher dans un coin de son âme la réalité des choses: "Non elle n'était pas morte, elle était disparue. Où? Mais de qui parlons-nous?"
Déni de la vérité afin de maintenir le cap.

...Les jours passe, la coquille protectrice reste...
...Nouvelle missive, bouteille à la mer, d'une tante naufragée au milieu d'un océan de larme...

La lecture d'un courrier peut provoquer bien des sentiments et réactions: les palpitations alors que l'on parcourt les lignes, l'effroi de la compréhension du texte, des mains tremblotantes et une gorges sèches, des yeux humides et un noeud au creux du ventre...

Doucement la coque se brise et les mots se rappelle à l'esprit, à la chair et à l'âme. Brisé, saignée et torturée.
Chaque pas tente de retenir le temps, ce temps qui file et s'échappe. Ces souvenirs qui s'élancent, ses précieuses secondes où tout va bien et dans l'obscurité des remords et regrets disparaissent.
Chaque pas ne rend que plus clair, concret, apparent la dure vérité si longtemps ignorée.
La porte s'ouvre et elle apparait.

"Garce!" fut le premier mot qui heurta son esprit alors que la silhouette de Kissiou apparut dans son champ de vision. D'un revers sec, il baffa celle qui avait mené leur fille dans les tourments des Enfers
Kiiara
[Le choix..]
Choisir .. entre père et mère …
Choisir entre ciel et terre
Tremblait a l’idée de perdre l’un de ses deux parents, balbutier des mots incompréhensible
Blanchir…. Frémir …
Elle tourne la tête vers la lumière.. Et elle est si intense qu’elle plisse les yeux et a cette instant elle ressemble plus que tout a kissiou …

Elle et sur le point de le repousser en lui hurlant que jamais elle ne choisirait entre ses parents, que si l’un deux avait besoin d’elle ben elle voulait être là
Même si elle était que l’erreur d’une faiblesse de l’amour même si elle était ce mots qu’on ne cessait de lui rappeler du haut de ses 5 ans, une enfant « illigitime» mot bien trop compliquer pour être gentil….

Ses points se serrent.. Et son visage reprend sa forme de pestouille en action, ses joues rougissent pour retenir sa colère, ses sourcils se fronce dans un regard sévère

La vie était trop injuste, pourquoi le destin était si cruel, méritait t’elle un tel châtiment et tout en se crispant de tous ses membres dans les bras de son « papy », sa petite cervelle marche a toute vitesse et quelque chose fit tilt …
Tout au long de cette errance a la recherche de son père elle n’avait entendu que les cris de sa mère l’intimant de revenir vers elle
Son père n’avait su que disparaître derrière un arbre pour ne plus jamais ni réaparaître ni répondre a ses appel incessant
Et pis il était grand après tout il pourrait retrouver tout seul son chemin…
Et dans le ciel sombre la voix du paternel qui retentit « garce » comme un coup de point
Etait ce pour elle …?? mot comme un repproche qu'elle prend comme une coup de poignard cette fois là la décision ne s’éternisa plus, mais quelquechose la retenait encore...
Elle tourna la tête vers le lieu que l’homme lui montrait
Il était d’un sombre et inquiétant
elle souffla gènait d'avouer se qu'elle ressentait


z’ai peur il fait noir la bas comme dans la cave …
Tu me laisse pas hein … c’est pas une punition ? Promis ?


Ses points serraient tenaient fermement la chemise de l’homme, pas du tout décidaient à le lâcher
Puis d’une petite voix fragile elle lui murmura a l’oreille comme pour ne pas que quelqu’un d’autre l’entende


Emmène moi a m’man …

[i]Petits sanglot étouffé aux mots prononcé.... Elle voulait sa maman, ses bras chaud et sécurisant, sa voix forte mais tellement douce, son odeur si particulière dont seul elle a le secret, ses colère… sa tendresse….
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Estelline
Elle était toujours là, comme invisible aux yeux de tous et pour cause, elle n'avait salué personne en entrant ... son seul objectif, sa seule raison d'être là en ce moment, c'est lui ... c'est Gil ... le reste fait comme partie d'un rêve, d'un flou , d'un brouillard.

Elle tient toujours sa main, elle ne l'a pas lâchée depuis de longues minutes. Elle est ailleurs, dans un monde inaccessible. Seules leurs mains la rattachent à la réalité. Elle, elle médite intensément. Avec toute la concentration dont elle est capable quand l'urgence est là ... Elle le porte, à bout de bras mais ça, de l'extérieur, personne ne peut le voir.

Un mouvement la ramène à la réalité. La jeune femme vient d'éponger le front de Gil et de lui réadministrer des médicaments. Estel sort de sa torpeur et tente un sourire à l'attention de Cali....

Soudain elle se penche ... surprise et incrédule ... il chante ? Gil chante ?!


Gilgalad
[Le retour…]

Il regarde celle qu’il considère comme sa petite fille , il sais qu’elle est torturée , combien de choix a du t-il faire lui aussi ? Bon ou mauvais il fallait les faires sans regrets….

Elle se crispe sur lui …il la serre fort …il vois dans ses yeux cette étincelle de vie qui reviens et viens lui murmurer pour la rassurer …


Je ne te laisserais plus jamais , et non ce n’est pas une punition , juste le couloir de la vie …. Vers ta maman …

Il entends une prière ….il sourit son écuyère est là aussi
Il regarde Kiiara ému et s’avance vers le couloir sombre et s’y engouffre …un tourbillon les transportes tous deux puis les séparent , il tends sa mains essayant de rattraper celle de la petite fille mais en vain ….

Il ouvre les yeux inspirant profondément comme si il étais resté en apnée de longue minutes il regarde la femme qui éponge son front et hume le parfum de rose esquisse un sourire murmurant …


La tantine …

Puis tourne la tête , vois Estelline et serre sa mains dans les siennes …. La regarde , un regard qui la remercie du fond du cœur puis ses yeux se voilent …la petite il la cherche ..tourne la tête , s’agite la voit et tends la main vers elle… murmure d’une voix faible …

Kiiara …. Ma fillotte …

Il est inquiet comment vas t-elle reagir quand elle saura qu'il n'est pas son grand père ....
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Kissiou
[A l'extérieur, quand la dernière carte du château arrive.]

Les yeux rivés sur l'sol, une voix familière lui vint aux oreilles, "garce" elle connait s'te voix, son cœur s'emballe sans vouloir, et aussitôt la chieuse voit apparaitre devant elle des pieds chaussé.. son visage s'reléve alors lentement sur la silhouette d'un Chian posté d'vant elle.
Elle n'avait pas eu l'temps de poser entiér'ment son r'gard sur lui qu'son visage à elle s'détourna violemment sur l'côté. Elle serra la mâchoire silencieuse quelques seconde, le souffle coupé.
sa conscience soudain inondée, enivrée par l'émotion de la sensation vive qu'elle ressentit à cet instant sur sa joue. Elle bouillit mais n'broncha pas pendant un instant, sa main vint s'poser par réflexe sur sa joue. Pour qui il s'prenait? de quel droit s'permettait il d'venir ici et d'la gifler en plus de ça?

Kiss enragea encore adossait assise, elle s'leva s'aidant du mur non pas sans mal. La colère contenue, les nerfs à vif... ne le quittant pas d'son regard glacial, ses yeux bleu devenant telle une tempête.

Il la déteste lui aussi, la maudissait surement autant qu'elle, tellement d'colére dans ses yeux qu'étrang'ment elle en est troublée, elle s'rend compte qu'sa vie dérape et fait déraper aussi celle des autres. Elle s'sent démunie, impuissante devant cet chute aux enfers.. elle hais cette impuissance semblable à un mur inébranlable

Sont esprit du mal est comblé de rigueur, cette colère qu'elle avait encore quelques minutes avant voulant l'saigner comme du bétail, cet colère qu'on n'peut ressentir après avoir aimée. Cet envie, ce sentiments de vengeance resta bloqué encore éberluée par le geste qu'il venait de lui adresser.
On pouvait autant lire son étonnement dans ses yeux embrumés que ce qui s'passait dans son esprit terrifiant émanant tout droit d'l'enfer.

Elle s'redresse.. déglutit difficil'ment.. nul b'soin d'chercher son arme elle n'en portait pas.


S'tout? Dit elle sur un ton provocateur tel était dans sa nature. J'pensais à une réjouissance d'ta part en m'voyant en un seul morceau et en vie. Elle lui adresse un semblant de sourire des plus forcé. Sa main s'appuie sur le haut d'son flanc pour atténuer la douleur d'sa plaie. Maint'nant déguerpit avant que j'te crève. Dit-elle mâchoire serré retenant ses pulsions meurtrière. Elle l'pousse lui faisant faire quelques pas en arrière puis pointe son doigt lui désignant d'circuler. Déblaye!!! à nouveau s'avance cet fois ci laissant ses poings plus vigoureus'ment s'abattre sur son torse pour qu'il daigne éviter de s'attirer sa foudre.

C'est d'ta faute alors dégage!

Elle lui inflige à nouveau un coup d'son poing sa voix défaillant retenant ses sentiments qui s'entrechoquait dans son esprit, elle aurait tant voulu qu'les choses s'passse autrement, pouvoir se sentir à nouveau contre lui encore un instant mais elle lui insufflait de circuler d'ici.

c'est d'ta faute.. t'es qu'une crevure.. un con..
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Damian.de.cheroy
[Château de Poitiers - Après les évènements.]


Assis à son bureau éclairé à les lueurs des chandelles, Damian compulsait les vieux rouleaux de parchemins, ramenés avec lui de la bibliothèque. S’esquintant les yeux à y parcourir les lignes tracées. De temps à autre, sa plume d’oie volait de l’encrier au vélin où il griffonnait de rapides annotations.

Travaillant tard le soir dans la pièce qu’on lui avait conféré pour sa charge de procureur, il ne dormait plus. Mangeait rarement. Grognait souvent.
Un labeur rythmé par les pas des domestiques pénétrant dans la pièce pour le ravitailler en bougies, nourriture ou tout document qu’il appelait de ses vœux.

Tant de gâchis !
Des vies écrasées par le poids des évènements.
Mais cela lui importait peu au final. Car cette émeute lui avait coûté ses desseins. Et Damian ne le leur pardonnerait pas. Pour cette raison, ceux qui tomberaient sous sa coupe en boiraient le calice jusqu’à la lie. En particulier la gueuse Nessty, celle qui, il l’avait bien compris, se trouvait à l’épicentre de ce capharnaüm.

Recueillant témoignages des défenseurs, recoupant les informations arrachées par ci, par là au gré de ses investigation. Petit à petit l’étau se refermait. Pas sur tous, certainement. Mais sur ceux qui étaient en ligne de mire, s’abattrait le poing de cette justice glaciale et implacable comme l’acier qu’il incarnait.

Souriant, encore un venait d’être repéré. Ils s’en retournaient en leur village. Séparés de la meute, ils devenaient plus vulnérables.
Se levant de sa chaise, il quitta son bureau pour se rendre dans les locaux de la prévôté.
Il mandat quelques courriers à transmettre prestement aux maréchaussées des villages visés.


Voici ceux qu’il me faut. Partez sans délais, et ramenez les moi.
Que justice se fasse !
Estelline
Un mouvement, une ébauche de sourire puis ses yeux qui s'ouvrent et la regarde ... elle fond littéralement ... soulagée. Ses prières ont été exaucées et il serre ses mains. Elle lui sourit, rassurante, mais déjà il détourne le regard et murmure quelques mots qu'elle ne saisit pas.

Elle prend conscience de la présence des autres et serre toujours sa main. Elle ne le lâchera pas ... Elle découvre tout à coup le capharnaum de la pièce, tout ces blessés et là, non loin de Gil, une gamine de quelques années à peine .... Et des mots qui volent ...

Elle ne comprend pas la scène, ses yeux restent rivés sur la petiote puis reviennent à Gil. Elle se penche vers lui et murmure ...


Tiens bon mon ange .... accroches-toi ...

Elle restera là, tout le temps qu'il faudra pour s'assurer qu'il revienne. Tenant toujours sa main.

Cali
Cali s'arrête un instant, écoutant la comptine chantée d'une douce voix par Akashia et sourit, fredonnant dans sa tête l'air qui lui revint par la suite sans cesse.

Extra venait d'arriver, effondrée devant le petit corps brûlant de fièvre de la gamine. Cali ne sut que lui dire, elle même avait l'impression de vivre un cauchemar mais ça la rassurait de voir arriver la Thouarsaise, son amie de toujours.

Gilgalad s'agita et soudain de sa bouche sortit la chansonnette qu'Akashia venait de chanter.


Le chat ouvrit les yeux ...
Le Soleil y rentra ...
Le chat ferma les yeux ...
Le Soleil y resta !
C'est pour ca que le soir ...
Quand le chat se réveille ...
On voit dans le noir deux morceaux de soleil ...
On voit dans le noir deux morceaux de soleil ...


La médicastre écarquilla les yeux en voyant le blessé inconscient reprendre les mêmes mots et regarda Akashia éberluée dans un silence interrogatif puis reporta ses yeux sur Gilgalad et la jeune femme qui lui tenait la main.

Et le miracle se produisit.... Il ouvrit les yeux la regardant et esquissa un sourire puis se tourna vers la jeune femme à ses côtés mais le plus étonnant c'est lorsqu'il chercha du regard Kiiara en tendant sa main vers elle et que faiblement il murmura son nom.

Cali souffla, soulagée que Gilgalad soit sorti de son profond sommeil et le confia à la jeune femme puis alla voir une autre blessée que Sagaiii venait de ramener.

Rah mais c'est pas vrai ça! Qu'est ce que c'est que ces bouchers là!

Soupirant de voir dans quel état était l'étrangère que Sagaiii venait de déposer, la médicastre s'empressa de lui donner les premiers soins, notant au passage le sang qui s' échappait de la bouche de la blessée.

Cali entendit des éclats de voix à l'extérieur , reconnaissant celle de Chuichian et de Kiss. La médicastre sourit..." Kiiara allait entendre son père qu'elle voulait tant revoir"... puis elle fronça les sourcils... " à moins que kiss ne l'achève avant le Chu.. arf.."

La jeune femme désinfecta les plaies du corps torturé, cousut et pansa en espérant que la médication qu'elle lui donnait fit rapidement effet car la jeune blessée souffrait beaucoup même en étant inconsciente elle aussi.

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Kiiara
[Séparation brutale]

Déjà l’homme partait dans cette endroit effrayant………
Et plus leur pas s’enfonçaient dans l’épais brouillard plus la douleur de ses blessures se faisait plus forte ….
Son visage se crispa et elle enfouit son visage dans celui de Gil pour tentait d’apaiser se mal mais rien n’y faisait …
Et quand elle releva sa tête pour lui hurler sa douleur, leur crops fut arrachait loin de l’autre et l’enfant apeurée hurla de détresse la mains tendu vers Gil mais en vint

PAAAAPYY !! [i]


[i]ses mot se perdirent dans les abîmes…


Mais trop tard… il n’était plus là
Il avait pourtant promis qu’il la quitterait pas, est ce qu’ aucuns adultes étaient digne de confiance ??
Et son corps qui semblait tombait .. la chute interminable allait elle cesser un jours !!!!


Haaaaaaaaaaaaaaa !!!!!

Et la chute stoppa net !
Ses paupière s’ouvrirent difficilement, La lumière était éblouissante et la seul chose qu’elle vit se fut une silhouette d’homme penchait aussi trouble que l’eau des marées
Sa bouche était pâteuse pour ne pas dire désertique et elle eu des difficultés à sortir un mot…
Mots qui étonnera sans doute plus d’un …


Papy…. …???

L’image devient plus net petit a petit, un homme inconus apparu soudain…il ‘a tenait dans ses bras …. Panique !!
Un gémissement…

Maman… ??

A ses mots ses perles salées jaillir de ses yeux, elle avait si mal…. Où était t’elle… la peur … le cœur qui s’emballe
Elle s’assoie dans son lit de fortune en hurlant


MAMANNN !!!!

Mais sitôt assise une douleur transperce son ventre et elle porte ses mains sur sa blessure qui semble jaillir d’une substance bizarre aussi rouge que sa jolie robe laisser au château il y a peu….
Se laissant allé sur la paille tout son petit corps retomba allongeait
Tournant la tête elle croisa le regards de Gil et aussitôt elle lui tendit la main….dans une grimace de douleur…


Papy…. Tu… tu m’a pas…. laissé…Leur doigts se nouèrent et elle ferma les yeux soulager de le voir..
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Akashia
Papy…. …???

Akashia s'arreta de chanter ... Avait il bien entendu ?? Avait il révé ?? Avait il espéré l'entendre ??

Non ses cils bougent ... il voit ses yeux s'ouvrir ...
Il dit doucement

Caliiiiiii ... .Elle se réveille !!!


Maman… ??

Oula ... la peur dans ses yeux ... la terreur meme d'etre dans un lieu inconnu et seule ... avec un inconnu a ses cotés ... Pas bon ... pas bon ... alerte !! alerte !!

MAMANNN !!!!


AHHH non ... elle se redresse ... Mais ne reste pas comme un con sans rien faire !!! MEEEEEEERRRRR....... sa blessure s'est réouverte !!!!!

Coucou Kiiara ... ne cries pas ... elle est pas loin elle ... écoute moi ... heu ...

Il prit une grande inspiration en voyant Cali aller chercher Kiss avant que la petite ne se revide de son sang

Le chat ouvrit les yeux ...
Le Soleil y rentra ...
Le chat ferma les yeux ...
Le Soleil y resta !
C'est pour ca que le soir ...
Quand le chat se réveille ...
On voit dans le noir deux morceaux de soleil ...
On voit dans le noir deux morceaux de soleil ...


En chantant pour l'apaiser il essaya de faire en sorte qu'elle s'allonge afin de la soulager et pour voir sa blessure ... Essayer de la soigner !

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A vaincre sans peril ... On triomphe sans gloire ...

Oderint Dum Metuant
Fanette.debronnec
[des soins...qui arrive à temps ou trop tard??]

on la soigne.. elle lutte.. mais pourquoi..les abimes sont si bien.. on ne souffre pas.. on n'espère rien.. on ne croit plus..on attend rien, ainsi on est pas déçue...

On la fait boire, puis la douleur qui s'empare de son corps qui la retient prisonnière, qui lui vrillent les entrailles tel un fauve de déchainait en son corps, qui la force à respirer.. à revenir

respirer pourquoi? pour ceux qui croient à des sottises, à des ragots, respirer par habitude, parce que le corps réagit.

Odeur de sang, de sueur, de morts...

Son esprit vagabonde.. Fuir de nouveau la douleur.. le seul refuge les abimes..D'un coté la lumière.. le Julius qui lui sourit qui désire qu'elle ne souffre plus et de l'autre le vide, celui qui la vie qui s'étiole petit à petit..la croisée des chemins comme on dit..

une voix aimé, lui parle avec tendresse:
tu es seule à la croisée Fanette, cela en valait il la peine? Tu ne peux rester ici longtemps, tu dois faire ton choix, ta vie s'écoule, ton corps se meurt!!! Dis moi Fanette, ta vie en vaux telle la peine, une vie pleine de promesses mais qui ne t'a rien donné, tu as été généreuse et bonne et ou cela t'a t'il conduit? Au moins avec moi tu ne souffriras plus, et cette promesse elle sera tenue, tandis qu'en bas..

Enfin... à toi le choix..

_________________
Gilgalad
[Poitier … La forge … les limbes ]

Il vois la petite se réveiller enfin , hurler et demander sa mère , puis elle tourne sa tête vers lui et leur mains se joignent …il lui sourit ému et murmure :

Non je ne t’ai pas laissé ma p’tite princesse …

Des voix dehors puis son regard parcours la forge, des gens qu’il ne connais pas .. et se fige sur Fanette… Elle est là encore inconsciente

…Impossible elle devrait être presque … non ..pas ma louve …



Il lâche la main de la petite et s’accroche a Estelline près de lui , il la regarde et lui souffle ..

Trouve Florie …elle sais … vite …


Comme si les soins prodigués lui faisait plus de mal que de bien ses plaies s’étaient rouvertes… il a du mal a respirer … il est soudain prit d’une quinte de toux recrachant du sang …
Il s’allonge a nouveau et ferme les yeux …replonge ... inconscient …

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Cali
Veillant sur la blessée, contre un mur elle s'était adossée , laissant le sommeil la cueillir alors qu'à peine ses yeux venaient de se fermer.

MAMANNN !!!!
La tête penchée sur sa poitrine, Cali la releva en clignant des yeux puis se les frotta , regardant au milieu d'un brouillard Kiiara dont le cri venait de la réveiller.

Kiiara !
La jeune femme sourit en se relevant et se dirigea vers le berceur et la petite puis aussitôt changea d'avis... Kiss et Chuichian doivent être prévenu.

L'air frais lui fit du bien et la réveilla complètement et si ça n'était fait , l'image des deux parents prêts à se sauter au cou, crocs en avant suffit grandement à lui secouer les puces.


He vous deux ! Si vous remettiez à plus tard vos chaleureuses retrouvailles ?!!!
.. votre fille vient de se réveiller..


Cali tourna les talons et entra à nouveau dans la forge puis s'arrêta brusquement dans l'élan qui l'emmenait vers l'enfant..... Gilgalad..... La jeune femme se précipita vers le blessé qui s'était mis à tousser, recrachant du sang. Elle s'agenouilla affolée en découvrant ses plaies à nouveau sanguilonantes .


Mais.. qu'est ce qu'il se passe ?.... GIL ?... NON... non.. tenez bon.. Vous n'allez pas nous faire ça ? !!!.. Gil..
Il était de nouveau inconscient , le corps saignant par toutes les plaies comme si.... comme si ... Cali était dans la confusion la plus totale.
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Kiiara
[ douleur physique et mental]

Main nouées… doux réconfort …
Un rêve de famille…. Dans des doigts entrelaçaient… chaleur qui donne envie de continuer
Elle est relâchait détendu… c’est un cadeau inattendu… un grand père qui lui donne une bouffée d’air
Reste encore mon papy, tu m’as protégé dans cette forêt et maintenant je t’aime a jamais
Puis la chaleur se fait glaçon, les doigts qui se détendent………et tout a coup le vide, sa tête roule sur le coté, pour voir la scène sans pouvoir agir
Il est là inconscient et sa tata se précipite vers lui en criant son nom…. Gil ? Voilà le nom de son grand père , papa de son papa… son cœur se serre elle ne veux pas le perdre déjà

Elle a mal mais ce n’est pas cette douleur qui lui coupe le souffle. Elle aimerait se blottir contre lui pour lui donner la force de ne pas s’endormir, mais son corps ne répond pas
Sa tête cherche un regard connu…
Ses yeux croisent celui du chanteur …. Puis roulent plus bat et elle sur prends le regard de sa tantine inquiet
Sa mains tien la sienne depuis le début et elle ne l’avait même pas sentit jusqu'à maintenant
Un petit sourire s’étire comme pour rassurer Extraelle, puis elle murmure


Qu’est ce qu’il a papy…
Où est maman….

A ses mots elle la chercher mais ne la voit pas …
Et si sa maman était restait sur le chemin … et si l’épée l’avait fait mourir !!
Elle n’arrive pas a retenir ses larmes malgré tout la bonne volonté qu’elle essaye d’avoir
Sa force de mini succube n’était que l’ombre d’elle-même, elle n’arrivait qu’a faire sortir sa faiblesse d’enfant, pour sur sa maman était morte c’est pour ça qu’elle n’était plus là, pour ça qu’elle l’entendait dans la forêt
Elle renifla n’osant poser la question de peur que ce cauchemar devienne réalité
Sa maman était morte son papy allait mourir son papa n’était pas là….
Seul ses tantes la veiller mais cela ne suffisait pas. ….
Ses petite doigts serrèrent la main de Extra et ses lèvres se mirent a trembler et ele s’assit a nouveau sur son pit pour plongeait son visage dans le cou de sa tantine
Dans un sanglot


Maman….


Un autre sanglot….

Papa


Puis un autre sanglot…

Papy….

Et ces sanglots se multiplièrent avec dans ses soufflent les même plainte « maman, papa, papy…. »
Ses bras se resserrent sur sa nuque et elle ne lâcha pas sa tante cherchant la force qui lui manqué pour ne pas retombait dans un sommeil….

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