Naudeas
[Bureau à Farges]
Une journée comme les autres, non surement pas, un pigeon plus hautain que les autres qui prend son importance. Naud haussa un sourcil, mouais un pli sur sa patte ca change pas bien des habituels. Il sentait le parfum. Un pigeon de la Haute, elle esquissa un sourire. Le parchemin semblait fort long. Oh le sceau d'Azayes, la Tour d'Auvergne, la ca rigolait moins d'un coup. Elle prit la lettre, prit le pigeon et le renvoya sans plus d'égard. Elle avait enfin la réponse à sa lettre, Alivianne, écriture, droite et précise, avec un certain appuis sur certaines lettres.
Elle lut le pli, elle ne put laisser couler les larmes, mauvais présages suite à tout ça. Comment réagir la colère, la haine, non elle était trop lasse de se battre en ce moment. Son estomac ne prêtait guère à ça non plus, ses douleurs n'allaient pas en s'arrangeant. Le repos n'avait rien changé.
Elle se dirigea vers Alban qui errait dans le chateau et lui tendit le pli.
Je crois que je me suis fourvoyée sur beaucoup de chose, tu connais ou est la porte de Farges, tu peux prendre la porte. Je crois que tout est dit sans plus de raison aucune.
Salue ta mère pour moi, elle aura gagné.
Une journée comme les autres, non surement pas, un pigeon plus hautain que les autres qui prend son importance. Naud haussa un sourcil, mouais un pli sur sa patte ca change pas bien des habituels. Il sentait le parfum. Un pigeon de la Haute, elle esquissa un sourire. Le parchemin semblait fort long. Oh le sceau d'Azayes, la Tour d'Auvergne, la ca rigolait moins d'un coup. Elle prit la lettre, prit le pigeon et le renvoya sans plus d'égard. Elle avait enfin la réponse à sa lettre, Alivianne, écriture, droite et précise, avec un certain appuis sur certaines lettres.
Elle lut le pli, elle ne put laisser couler les larmes, mauvais présages suite à tout ça. Comment réagir la colère, la haine, non elle était trop lasse de se battre en ce moment. Son estomac ne prêtait guère à ça non plus, ses douleurs n'allaient pas en s'arrangeant. Le repos n'avait rien changé.
Elle se dirigea vers Alban qui errait dans le chateau et lui tendit le pli.
Je crois que je me suis fourvoyée sur beaucoup de chose, tu connais ou est la porte de Farges, tu peux prendre la porte. Je crois que tout est dit sans plus de raison aucune.
Salue ta mère pour moi, elle aura gagné.
Citation:
Expéditeur : Alivianne
Date d'envoi : 2009-09-21 21:48:34
Ma dame la prévôt,
Dame Naudéas,
C'est avec beaucoup d'intérêt que j'ai lu votre missive. J'avoue que j'ai été vraiment surprise que vous preniez la peine de m'écrire.
Si je vous dis que je crois en vos sentiments sincères, vous me croyez? Cependant, en aucun cas j'accepterai que votre relation s'officialise.
Vous allez croire que je suis une sans coeur ; que je pense qu'à mes ambitions familiales. Vous avez sûrement raison.
Par contre, sachez qu'en tant que chef d'une grande famille. Je ne peux pas faire autrement. Mon fils est mon ainé. Je le destine à un mariage arranger et si l'amour pouvait être au rendez-vous sachez que je serai la première heureuse et soulagé.
Lorsqu'il a fallu que je protège mes terres. J'ai du me trouvé un géniteur. J'ai trouvé le père de mes enfants et j'ai découvert par la suite un homme merveilleux que j'ai appris à aimer.
Ce que je dis est vraiment pénible pour vous. Je pense avoir été un peu trop ferme. Je comprends que vous vouliez à tout prix m�expliquer que vous n�êtes pas une opportuniste. Je vous libère donc de cette crainte.
Par contre, soyez une amie pour mon fils pour la suite. Je sais que vous n'êtes pas quelqu'un d'infréquentable. J�en demande sûrement beaucoup trop.
Je laisse donc faire la vie comme elle doit se faire. J'aimerais juste que vous vous protégiez un peu pour le futur. Alban ne peut pas en faire partie, du moins dans un mariage.
Je vous souhaite d�être heureuse car toute femme le mérite.
Bien à vous,
Alivianne d�Azayes
Date d'envoi : 2009-09-21 21:48:34
Ma dame la prévôt,
Dame Naudéas,
C'est avec beaucoup d'intérêt que j'ai lu votre missive. J'avoue que j'ai été vraiment surprise que vous preniez la peine de m'écrire.
Si je vous dis que je crois en vos sentiments sincères, vous me croyez? Cependant, en aucun cas j'accepterai que votre relation s'officialise.
Vous allez croire que je suis une sans coeur ; que je pense qu'à mes ambitions familiales. Vous avez sûrement raison.
Par contre, sachez qu'en tant que chef d'une grande famille. Je ne peux pas faire autrement. Mon fils est mon ainé. Je le destine à un mariage arranger et si l'amour pouvait être au rendez-vous sachez que je serai la première heureuse et soulagé.
Lorsqu'il a fallu que je protège mes terres. J'ai du me trouvé un géniteur. J'ai trouvé le père de mes enfants et j'ai découvert par la suite un homme merveilleux que j'ai appris à aimer.
Ce que je dis est vraiment pénible pour vous. Je pense avoir été un peu trop ferme. Je comprends que vous vouliez à tout prix m�expliquer que vous n�êtes pas une opportuniste. Je vous libère donc de cette crainte.
Par contre, soyez une amie pour mon fils pour la suite. Je sais que vous n'êtes pas quelqu'un d'infréquentable. J�en demande sûrement beaucoup trop.
Je laisse donc faire la vie comme elle doit se faire. J'aimerais juste que vous vous protégiez un peu pour le futur. Alban ne peut pas en faire partie, du moins dans un mariage.
Je vous souhaite d�être heureuse car toute femme le mérite.
Bien à vous,
Alivianne d�Azayes
Elle tourna les talons, allant dans son bureau, colla son dos à la porte et pleura, ayant essayé de faire face devant Alban
accord d'Alivianne pour la missive
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