Ifrit
Je m'excuse part avance de faire un deuxième topic qui reprends en partie les choses du topic "Aux portes de la ville !!". Non pas que je ce ne rp soit ouvert a tous, mais que je trouve l'autre topic fouillis et ça me plait pas, j'ouvre donc un nouveau topic pour faire un beau rp propre. Part ailleurs mon If étant tombait au combat pour blessure, je cherche donc un joueur voulant jouer ce rp avec moi, je prends toutes les candidatures par MP, au vue du nombres de coup que ma marionnette a pris sur la tronche, il est tout a fait possible que plusieurs personnes chop le If. J'invite tout particulièrement les ljd Shanna_ , Sarah_bin, Aurelienne et Dan1512 qui ont eut le privilège ig de foutre une roustre a mon perso.
Merci a tous de respect ce topic et de ne pas en faire un rp qui part dans tous les sens comme sur le topic voisin. Merci.
Merci a tous de respect ce topic et de ne pas en faire un rp qui part dans tous les sens comme sur le topic voisin. Merci.
Ambiance
Voila plusieurs heures que l'armée des Oies était la présente non loin des portes de la ville, prêt au moindre signe a user de leurs talents destructeurs a fin de transpercer les murailles qui défendaient la ville. Alors qu'aux vues du nombres de personnes présentent dans c'elle ci, un boucan furieux aurait pus se faire entendre, les soldats des Oies laissaient vaguer avec eux un silence immense, tel le silence que l'ont peut entendre dans un gouffre, le calme avant la tempête. Chaque membres étaient derrière leurs chefs de sections, chaqu'un près a fondre sur les murailles de la ville tel un bloque uni contre un rocher encore plus énorme. Ifrit de Domyos, chef de section de la cavalerie de cet l'ost, était devant les troupes aux cotés du chef d'armée Lelmax et de l'autre chef de section Sofio. Derrière chaque meneurs se trouvaient leurs hommes tous rangés en silence a la recherche du moindre geste de leur supérieur qui pourrait alors annoncer l'assaut sur le village d'Albi. Après plusieurs longues heures passaient dans cette position d'attente, ou les deux adversaires se défiaient du regard sans que l'un ne prenne la peine d'attaquer le premier, le commandant, propriétaire des Oies sauvage, le colosse brun ouvre enfin la bouche a fin de donner des ordres a ses deux seconds. Quelques minutes plus tard les trois cavaliers retournèrent auprès de leurs sections respectivement. Le souffle de chaque soldats devenaient alors lourd, imposant, voir même étrangement écrasant. Chaque hommes de part et d'autres des murailles se sentaient comme opprimé, comme si un poids était venu leurs comprimer le thorax leurs empêchant alors de respirer a pleine bouffée.
Cet alors que chaque protagoniste, se mit face a sa propre troupe. Alors que Lelmax et Sofio commençait a motiver leurs troupes, le jeune chef de famille glissa ces quelques mots aux hommes dont il était responsable.
Soldat ! Je ne vous dirais pas que la bataille est gagné par avance bien au contraire ! Les défenseurs de la ville sont plus nombreux et on le gros avantage d'être en sécurité a l'intérieur des murailles. Mais ce ne sont pas des hommes de guerres tel que nous ! Ce ne sont que de simple paysans habitués a manier leurs tridents en cultivant leurs champs et en aucun cas ne les manies pour tuer ! Nous sommes certes moins en nombres mais nous sommes armée et entraînait pour tuer ! De part notre expérience au combat la bataille est possible, alors défendaient votre voisin, votre ami et frère de guerre durant cette bataille et alors nous arriverons a passer cette muraille qui se ferme a nous !
Alors que les trois discours s'arrêtaient pratiquement en parfaite synchronisation, chaque stratège avait le regard portait sur la dite cible, le bras en l'air près a donner ordre d'attaquer. Les yeux du jeune homme se portaient alors instinctivement sur sa fille Delicia, qui était fidèlement accompagné de son bouclier humain et garde Endy. Puis d'un nouveau coup d'oeil tout aussi bref, sa vue se porta alors juste derrière lui de façon à bien vérifier que sa soeur aînée ainsi que sa protégée était bien non loin de lui, a fin de les surveiller durant la bataille et peut être de les aider en cas de problème. Alors que le jeune homme recadrait son champ de vision, le chef d'armée lança l'ultime assaut qui le mènerait soit vers une victoire mémorable soit vers une mort certaine, le politicien aux allures de mercenaire s'élançait avec sa troupe en ajoutant ces quelques mots :
La richesse sourit aux audacieux soldats alors cette nuit sachez l'etre !
Ces derniers mots étaient les seules qui résonnait dans la tête de tout les membres du bataillon menait pas l'ancienne juge, c'était les seuls mots qui se devait d'être retenu, les homme se battent toujours mieux en croyant a une future victoire que pensant allez a un suicide, la tache allez être ardu mais qui sais peut être qu'a l'aube les chefs d'armées auraient parvenu a rentrer dans la ville et alors les portes leurs seraient grande ouverte sans que personnes ne puissent plus rien faire. Alors que les hommes sortaient de la noirceur de l'obscurité apportait par la nuit qui était pleinement tombait, a fin de foncer sur les lumières de la ville bien qui affrontait l'opacité bien présente juste a coté de la dite citée. Alors que les portes se fermaient doucement a fin qu'aucun assaillant ne puissent entrer. Pourtant les cavaliers habillent de leurs montures avaient pour certains réussi a franchir la porte et a se trouver un accueilli très rapidement par les défenseurs. Alors qu'un combat sanguinaire se lançait la nuit avançait doucement. Les corps aux sols devenaient de plus en plus nombreux dans chaque camps, le sang coloraient le sol, et les soldats pataugeaient dans ce mélange de macabés et de sang, finissant de défigurer les corps allongeaient au sol a chaqu'un de leur pas, ou a chaque sabots posaient par leurs montures.
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" Mieux vaut prendre la peine de s'assurer qu'il soit bien mort avant de parler sur un macabre "