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[RP] Manoir de la Baronne d'Apremont

Petitjehan
[Apremont la grille l'allée centrale]

Il venait de franchir la grille et remontait la grande allée...Enfin il arrivait et distinguait les lumières du manoir loin devant lui.
Un vin chaud serai le bienvenu une tranche de lard au besoin...Sa tante allait être contente de le voir et lui l'était tout autant...
Cette femme avait su l'apprivoiser le guider l'aider le conseiller avec une bienveillante affection. Elle avait été là pour Gaby...jehan frissonna en évoquant son fils. Letilet était venu et avait juste poser ss main sur son bras sans dire un mot mais ils s'étaient compris, rejoints dans le malheur.
Depuis il avait pour elle une affection qu'il ne pouvait expliquer. peut être avait elle quelque chose de sa défunte mère il ne savait...

Une ombre semblait se diriger vers les écuries attirant son regard. mais à cette distance et la nuit tombée va t en reconnaitre quelqu'un toi. Heureusement Tempête ne faisait quasiment aucun bruit et donc ne donnerait pas l'alerte de son arrivée.
cela dit il eut fallu être fol pour venir chez l'ancien Juge pour commettre un méfait. Tous les policiers avaient la résidence dans leur ronde. certes cela faisait loin mais pour un Juge le Poitou n'hésitait pas à faire protéger la demeure de l'ancien magistrat.

_________________
...
Voter POITOU c'est voter pour VOUS!
--Liamchaa



[Le coup de la salière...]

Le bras tendu.
Invitation.
Oeil perçant.
Elle se dérobe.
Regard fuyant.
Dans son dos.
Alerte.
Elle remue.
Un truc tombe.
Elle se baisse.
Précipitation.
Alerte deux.

La voilà maladroite.
Avec sa tenue.
Sa réserve depuis le début.
Un truc cloche.
Gestes désordonnés.
Intentionnels.


Oh mais j'y pense, ne deviez vous pas nourrir votre cheval? Allons aux ecuries de suite, vous aurez ainsi tout le loisir de retrouver votre bien aimée ensuite!

D'un coup.
Le Sombre tourne la tête.
Son cerveau...
Une guirlande clignotante.
Tout est au rouge.
La lucarne.
Personne.
En apparence.
Il zieute la Baronne accroupie.


Ton invité!!! Tu viens d'le voir c'est ça!!!

Son rire fuse.
Se répand dans la demeure.
Main tendue.
La relève.
Sans brusquerie.
Elle n'en vaut pas la peine.
Aussi sournoise que belle.
Décidément.
Aucune confiance en ces nobles.


Viens Baronne Letilet... Allons voir ma "bien Aimée"... 'suite, on ira voir les écuries... envie d'jouer dans la paille? Hahahaha!!!

Sourire de fauve.
Canines pointues.
Émeraudes cruelles.
Malgré sa noirceur.
Visage éclairé.
Joie de vivre.
Entrainer la femme.
Direction le baquet d'une blonde.
Letilet
[Dommage...]

Silence.
Le noir aux aguets comme un animal flairant sa proie.
Il ne la croyait pas, elle le sentait.
C'en était fini de ses espoirs de délivrance.

Déception.
Qui croyais tu leurrer sombre crétine!
Letilet se maudissait.
L'espace d'un fugace instant, elle avait été fiere de sa ruse.
Elle s'était cru plus maline que lui.
Le mener vers les ecuries.. Thierryvlad en embuscade...
L'homme repu, en confiance, pris par surprise.
La blonde, loin, se prélassant dans son bain, n'entendant rien.
Mais le petit plan, fruit de son imagination naîve s'effondrait.
Elle avait oublié une chose, primordiale, l'instinct du felin.



Ton invité!!! Tu viens d'le voir c'est ça!!!



Tension.
La baronne, les yeux clos, toujours agenouillée, accusait le coup.
Il allait falloir assumer le mensonge, affronter la sentence de l'homme à poigne de fer.
Le coeur s'embalait à nouveau, la sueur perlait sur les tempes.
Ouvrir les yeux, se soutenir par une main posée sur le sol de la cuisine.
Le ventre déchiré par l'angoisse, entendre ce rire tonitruant et glacé se propager dans la piece.
Il s'amusait d'elle et de sa peur.




Viens Baronne Letilet... Allons voir ma "bien Aimée"... 'suite, on ira voir les écuries... envie d'jouer dans la paille? Hahahaha!!!


Découragement.
Et puis à nouveau cette main, comme un étau se refermant sur la sienne, la forçant, ou l'aidant, à se redresser sur ses jambes tremblantes.
Plus de courage, plus de sang-froid.
Letilet cédait à la panique.
Elle ne voulait pas le suivre là haut, elle ne voulait pas rester seule avec eux à l'étage.
Elle ne voulait plus de la grossiereté de l'homme, de l'impertinence moqueuse de la blonde.
Elle voulait rester là, prés de l'entrée, elle voulait sentir la présence de Thierryvlad à proximité.
Elle voulait fuir ce rire entêtant et cruel par n'importe quel moyen.....



La Baronne gesticulait essayant de se défaire de l'étau.
Elle pleurait à présent.


Lachez moi!! lachez moi vous dis-je!!
Laissez moi ou je vais hurler!
Je vais hurler et tout le monde entendra....


Thieee..........................








[/b]
_________________
Kar1
[Retour du grabuge]


Et elle qui se prélassait dans son bain. Manquait la mousse et elle aurait pu redevenir gamine l’espace d’un instant. Mais dans le couloir, en bas, ça hurle. La Baronne refait des siennes. La blonde imagine le Noir en train de la retenir de force. Qu’est ce qu’elle a encore bien pu inventer pour pouvoir se sortir de ce cauchemar. L’oreille se tend alors. Karine fait un bon dans la baignoire pour se redresser telle un animal à l’instinct développé, aux aguets.

Lachez moi!! lachez moi vous dis-je!!
Laissez moi ou je vais hurler!
Je vais hurler et tout le monde entendra....

Thieee..........................


S’en est peut être pas encore rendu compte mais elle crie déjà la Baronne. Sur qu’elle a vu quelque chose dans l’allée. Sur qu’il faut qu’elle se calme si le couple ne veut pas avoir de problème. Bon il est vrai qu’il y a eu sortie de dague et insertion dans le manoir. Mais ils ont quand même dit qu’ils étaient pas méchants. Pourquoi ne pas attendre que le Noir et la blonde se cassent gentiment. Tout aurait été bien plus simple. Et Karine n’aurait pas grimacé dans son bain au point de se friper le front. Rhaa.. Entre femmes, elle aurait pu comprendre, solidarité féminine.
Alors, Blondine sort expressément de son bain. Les domestiques commencent à légèrement paniquer. Tant pis, eux, ce sera pour plus tard. Peuvent rien faire de toute façon.
Karine ne s’essuie même pas qu’elle enfile la jupette rouge, déchirée la dernière fois qu’elle était en Poitou, et met son corsage en place. Si la situation avait été différente, Karine aurait été sexy dans sa chemise humide. Tant pis, elle descend en trombe et remarque que le Liam se dirige vers elle. Leurs yeux se croisent un instant. Ils se comprennent, le type arrive. Et il sait surement déjà que la Baronne est entre de mauvaises mains.


Liam.. Dégage, j’te r’joindrai, n’a des choses à faire. Autant qu’un d’nous s’en occupe avant qu’il soit trop tard. Dégage j’te dis.

La panique vole au dessus des trois têtes, telle une épée de Damoclès. Elle n’a pas envie d’en dire plus. Mais elle espère qu’il comprenne qu’il sera facile pour lui de s’enfuir du Comté. Un Noir dans la nuit, devant un château. Ca ne se reconnait pas facilement. Il avait eu de la chance. Qu’il en profite maintenant.

J’vais le ret’nir. Com’ j’peux.. Dégage!

Karine aurait aimé lui dire au revoir. Mais le moment n'est pas propice. A espérer qu’ils se retrouvent rapidement. Elle se sent parfois démunie quand il n’est pas auprès de ses cheveux de paille, de ses hanches et de son visage. Le regard perçant de la blonde se pose sur lui. Un "j’t’aime" en sort. Dégage..
_________________
Karine de Pommières.
--Liamchaa



[Suivre sa voie...]

Tirer.
Grogner.
Suer.
A croire que c'est la mine.
Mais non.
Juste une Baronne.
Grave.
Le prochaine fois.
Il tanche la gorge.
Puis il cause.
Pensées. Pensées.
Re grognement.

Une blonde qui déboule.
Une brune hurlant.
Oreilles cassées.
Regard furieux.
Bordel... les donzelles.
Grave!
Énervé pour de bon.
Se retient de lui coller une torgnole.
Pourtant bien venue...
Et méritée.


Liam.. Dégage, j'te r'joindrai, n'a des choses à faire. Autant qu'un d'nous s'en occupe avant qu'il soit trop tard. Dégage j'te dis.

Négation.
Il reste.
Il ne peut la laisser.
Trop de risques.
Regard déterminé de la Blonde.
Collée dans ses frusques humides.
Plus appétissante que jamais.
Pas le temps.
Réfléchir.
Décider.
Et l'autre appelle.
La pousser vers la Blondinette.
Elle va gérer.
Il sait qu'elle a raison.


J'vais le ret'nir. Com' j'peux.. Dégage!

Il sait.
Comme elle peut.
C'est sur.
Hochement de la tête.
Se jette vers elle.
Baiser fougueux.
Pas le temps de plus.
Dommage...
Il lui sourit.
Ouvre une fenêtre proche.
Avise l'arrière de la bâtisse.
Personne.
Tourne la tête.
Clin d'oeil rassurant d'un amant.

Fais gaffe à tes miches... On s'retrouve ou tu sais... A ... *se tait voyant les pupilles de Karine.*... moi 'ssi...

Saut dans le vide.
Pas trop haut.
Réception.
Course sans bruit.
La charrette.
Coup du plat de la main sur la croupe.
Le cheval surpris s'ébroue.
File au galop.
Parfaite diversion.
Le bois tout proche.
A grandes enjambées.
S'enfoncer au dedans.
Direction la Champagne.
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