Mertin
[lundi soir, non loin du marché]
Mertin avait honte. Jamais au grand jamais, il n'avait ressentit pareil sentiment. Mais ce soir était spécial. Spécial en quoi, me demanderez vous? Et bien Mertin, pauvre de lui, venait de constater qu'un enfant connaissait plus de choses que lui. Pas étonnant, que suite à cette confrontation, ces maitres soient partit en le laissant derrière. Certes, on lui avait bien indiqué un ou deux endroits ou il aurait put passé la nuit. Mais cela était surement moquerie de la part de ces nouveaux propriétaires. Il y était allez faire un tour et y avait trouvé des maisons de maitres. Et lui, n'était point un maitre. Osez s'y présenter lui aurait surement valut le fouet. Peut être était-ce là leur volonté.. Mais en ce soir, la honte lui suffisait. Aussi c'était il éloigné après constations. Il s'était mis à déambuler dans les ruelles du village, cherchant un endroit ou se coucher. Il avait alors trouver un charriot garé non loin du marché. Il s'était faufilé dessous, et depuis, attendait, recroquevillé sur lui même que le sommeil vint.
Le sommeil ne tardât pas à se présenter, puis, laissant la nuit garder le corps de merlin, prit possession de son esprit. Il l'emmena loin de Lectoure, loin de ses habitants si différents de ce qu'avait toujours connut le jeune homme. Il l'emmena jusqu'à une petite maisonnée. Pour beaucoup ce ne serait qu'un taudis, mais pour Mertin cet endroit était tel un palais. Un palais issu de son passé. Et bien que les formes soient devenus troubles au fur et à mesure que les années passaient, il était devenus son refuge. Le seul endroit au monde ou Mertin se sentait libre.
La demeure n'était composée, en tout et pour tout, que d'une seule pièce. S'y trouvait là un grand lit, capable d'accueillir toute la famille, soit, les huit enfants accompagnés des deux parents. Il y avait, également, une cheminé dans laquelle une marmite se prélassait sur des braises épuisés. De cet endroit provenait l'odeur douce du gruau, qui composait le plat régulier de la fratrie. Enfin se trouvait une table entourée de deux banc. Sur l'une de ses extrémités était entassé des bols en terres cuites et à l'autre un coffre contenant les maigres possessions de la famille. Dans ce souvenir de sa plus tendre enfance, Mertin se sentait enfin chez lui et à sa place.
Soudain le tableau changea et une ombre humanoïde entra dans la pièce. Ses yeux rouges flamboyaient tels des braises et un fouet se tenait dans sa main droite.
Je t'ai retrouvé
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Description RP
Mertin avait honte. Jamais au grand jamais, il n'avait ressentit pareil sentiment. Mais ce soir était spécial. Spécial en quoi, me demanderez vous? Et bien Mertin, pauvre de lui, venait de constater qu'un enfant connaissait plus de choses que lui. Pas étonnant, que suite à cette confrontation, ces maitres soient partit en le laissant derrière. Certes, on lui avait bien indiqué un ou deux endroits ou il aurait put passé la nuit. Mais cela était surement moquerie de la part de ces nouveaux propriétaires. Il y était allez faire un tour et y avait trouvé des maisons de maitres. Et lui, n'était point un maitre. Osez s'y présenter lui aurait surement valut le fouet. Peut être était-ce là leur volonté.. Mais en ce soir, la honte lui suffisait. Aussi c'était il éloigné après constations. Il s'était mis à déambuler dans les ruelles du village, cherchant un endroit ou se coucher. Il avait alors trouver un charriot garé non loin du marché. Il s'était faufilé dessous, et depuis, attendait, recroquevillé sur lui même que le sommeil vint.
Le sommeil ne tardât pas à se présenter, puis, laissant la nuit garder le corps de merlin, prit possession de son esprit. Il l'emmena loin de Lectoure, loin de ses habitants si différents de ce qu'avait toujours connut le jeune homme. Il l'emmena jusqu'à une petite maisonnée. Pour beaucoup ce ne serait qu'un taudis, mais pour Mertin cet endroit était tel un palais. Un palais issu de son passé. Et bien que les formes soient devenus troubles au fur et à mesure que les années passaient, il était devenus son refuge. Le seul endroit au monde ou Mertin se sentait libre.
La demeure n'était composée, en tout et pour tout, que d'une seule pièce. S'y trouvait là un grand lit, capable d'accueillir toute la famille, soit, les huit enfants accompagnés des deux parents. Il y avait, également, une cheminé dans laquelle une marmite se prélassait sur des braises épuisés. De cet endroit provenait l'odeur douce du gruau, qui composait le plat régulier de la fratrie. Enfin se trouvait une table entourée de deux banc. Sur l'une de ses extrémités était entassé des bols en terres cuites et à l'autre un coffre contenant les maigres possessions de la famille. Dans ce souvenir de sa plus tendre enfance, Mertin se sentait enfin chez lui et à sa place.
Soudain le tableau changea et une ombre humanoïde entra dans la pièce. Ses yeux rouges flamboyaient tels des braises et un fouet se tenait dans sa main droite.
Je t'ai retrouvé
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Description RP