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[RP] Chateau de la Pioline - Hostel des Trévière

Kylee
Peu de temps après, ils arrivèrent à la Pioline. Elle avait quelques appréhensions, mais après tout, il faudrait bien y faire face un jour ou l'autre. Sautant avec légèreté du carrosse, elle prit le bras d'Alexis, tandis que son vassal prenait sa main, pour la baiser, fort courtoisement. Un point pour lui.

- Ravie également, messire d'Agneau. Mais je vous en prie, appelez-moi Aurore, je... N'ai point l'habitude de faire de cérémonies.

C'était dit, elle espérait ne point avoir manqué aux convenances. Elle lui rendit ensuite son sourire, et inclina légèrement la tête, en guise de révérence. Puis, toujours au bras d'Alexis, ils se dirigèrent vers l'intérieur. Aurore le sentait distant, et se doutait que ses réactions avaient du le blesser. Elle avait certes boudé tout le reste du trajet, si l'on peut appeler bouder rester le nez collé à la vitre, sans accorder une miette d'attention au pauvre Alexis qui n'y était pour rien dans cette histoire qui ne regardait qu'elle-même. Au moins, ces instants de silence lui avait permis de réfléchir à son comportement, sa façon qu'elle avait de juger les gens au premier abord, et à ne se fier qu'à son orgueil et à ses préjugés...

Alors doucement, elle serra un peu plus le bras de son cher ami contre elle, et lui adressa un sourire qui se voulait réconfortant. Promis, elle essaierait de faire un effort, et chasser le naturel sans qu'il ne revienne au galop. Puis ils grimpèrent les quelques marches, et furent accueillis par un Samuel visiblement en pleine forme, et deux jeunes femmes qu'elle ne connaissait pas encore, une rousse flamboyante (elle avait toujours aimé cette couleur...) et l'autre aux cheveux plus noirs que la nuit, comme elle. Elle leur adressa un sourire, avant de se tourner vers le Seigneur de Vitrolles, qui s'inclinait légèrement pour la saluer, d'un bref "Aurore", agrémenté d'un sourire. S'inclinant à son tour, elle répliqua un :


- Samuel. sur le même ton, une amicale risette aux lèvres.

Puis vint le tour de la demoiselle en noir, qu'il avait désignée comme se nommant Misanata.


"-enchanté dame Aurore si vous aviez besoin de compagnie ce soir c'est avec plaisir qu'Enored et moi même viendrons discuter avec vous! ainsi cela nous permettrai de faire plus ample connaissance!!!"

Ce à quoi elle répliqua, toujours souriante :

- Enchantée également, mademoiselle. Je serai effectivement ravie de nous voir discuter ensemble !

Et se penchant un peu plus vers elle, la jeune femme ajouta à voix basse, les yeux pétillants et à moitié prête à rire :

- A vrai dire, je vous en serai même reconnaissante... Je crains de faire tapisserie !

Puis la belle rousse la salua à son tour. Celle-la ne devait point être de la noblesse, ou le cachait bien ! Cela rassura notre Aurore, qui se détendit un peu.

- Enchantée, Enored O'Caellaigh. Mais je vous en prie, appelez-moi Aurore...

Sourire en coin cette fois, elle l'intimidait. Peut-être ses cheveux roux, ou ses yeux verts, elle avait très envie de la dessiner... Voire même de dessiner les deux demoiselles, si différentes l'une de l'autre... Ne manquait plus qu'une blonde aux yeux bleus, et la palette n'aurait été qu'encore un peu plus complète. Néanmoins, elle se résolut à percer un peu le mystère qui semblait auréoler l'amie de Samuel, si tant est qu'elle consente à discuter avec elle.
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Istanga
Mon séjour à Brignoles m’a presque rendue aimable. Presque, parce qu’il ne faut pas exagérer les bienfaits de la prune Brignolaise. Elle a, certes, des vertus laxatives, ceci expliquant cela. Bref, l’invitation de mon cousin à sa réception va me permettre de faire la connaissance de provençaux en place, sans d’ailleurs y espérer un intérêt quelconque.

En tout cas, c’est décidé, je n’y vais pas seule. Samuel a accepté que ma nouvelle lubie m’accompagne. Toupac a dit oui. Nous allons pouvoir ensemble scruter barbes, moustaches et favoris divers. Si je me laissais complètement aller, j’aurais sans doute apporté mon nécessaire. Mais il paraît que c’est malvenu dans une réception. J’en aurais presque la mine boudeuse.

Toupac n’a pas de cheval, je réquisitionne la mule de Darius. Elle conviendra pour un début. Et je trouve que la mule lui sied bien, à défaut d’être confortable. Je me retourne de temps en temps, vérifiant qu’il est toujours derrière, avec un sourire d’encouragement, car je sais sourire d’un air encourageant.


La Pioline est en vue. Difficile de rater le château d’ailleurs, éclairé comme il l’est. Il va falloir que je glisse un mot à Samuel à ce propos, car l’économie n’est visiblement pas son fort. Cela dit, je ne suis que sa cousine, et ce n’est pas moi qui irai me plaindre d’un héritage écorné par les dépenses du patriarche.

Arrivés à l’entrée, nous laissons les montures en des mains expertes, je me tourne vers mon compagnon de route :


Suivez-moi, allons nous rafraîchir dans mes appartements. Les invités ne sont pas encore arrivés et nous en avons largement le temps.

A peine ces mots prononcés que je les regrette déjà. J’aurais dû m’exprimer autrement. J’espère qu’il ne verra pas là une invite, quoiqu’il me semble peu porté sur la bagatelle.

Bref, choses étant dites sont aussitôt faites, et me revoilà lavée, étrillée, peau massée à l’huile d’argan, robe de voile noir rebrodée d’or. Pas de bijou. Cheveux libres. Comme moi.

Toupac est tout propret et, surtout, merveilleusement bien rasé. Evidemment, il ne porte pas d’habits de lumière, mais les siens, simples, l’attirent. La lumière, je veux dire. D’ailleurs, je le lui dis :


Toupac, vous êtes parfait de simplicité. Venez, allons draguer dans les hautes sphères.

Je lui prends le bras d’office, et le traîne à ma suite dans l’escalier. Irmine est en bas, je presse le pas pour la rattraper. Elle est comme moi, ne doit pas connaître grand monde

Salâm, Irmine. Je suis bien aise de vous voir. Ces réceptions, où l’on ne connaît personne et doit faire bonne figure m’ennuient. Je vous présente un ami de Brignoles, Toupac. Toupac, voici ma cousine, Irmine, en Provence depuis peu, elle aussi.

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Packdeux
Rire étouffé, compliment reçu d'un hochement de tête mesuré. Toupac gardait ses gros sabots pour plus tard et suivit Istanga sans histoire. Elle lui avait pourtant dit qu'il se ferait une pièce en s'occupant de l'intendance avec Darius, pas de fanfredaines parfumées, mais...lui dire non. Il sourit avançant à son bras.

Il ouvrait de grands yeux sombres qui compensait esperait-il son apparence chétive...S'il naviguait depuis longtemps au milieu des brutes, il ne connaissait pas encore cet art qui lui semblait plus cruel encore dans ce monde si élevé.
Vero5
Vero ayant répondu au courrier du Poussin sans hésiter par un Oc, franc et massif, certaine d'y rencontrer des personnes digne d'intérêt et surement autres que ceux que l'on puisse trouver communément, lui faisant entièrement confiance de faire une soirée mémorable.

Parti de bonne heure, muni de sa monture renâclant d'être si peu montée et boudant les grands chemins, un peu perdue, demandant des arrêtes fréquents et profitant des merveilles offertes par la naissance de l'automne si riche que le temps file vite.
L'après-midi s'étire et le temps soufflant chaud, la distance s'amenuiser d'autant, heureusement!

Les doigts tachées de couleurs les parchemins maculé et les yeux luisant des lumières encaissées, Vero s'approche enfin de la demeure qui lui semble éclatant de lumière ...Ahh un soleil de nuit.. voila qui est prometteur et au risque de lui plaire.

S'y approche d'un pas assuré et l'œil soudainement attirer par un massif de fleurs bifurque à droite, s'y penche , en détache une et en observe les teintes nacrées, les nervures, caresse le soyeux et s'enivre de sa senteur. Absorbée par la contemplation se laisse envoutée par la magie de l'instant.

Des vagues rumeurs la tire de la et se souvient de son but. s'ébroue et regarde la petite catastrophe son démon bleu qui semble lui aussi avoir consumé les délices de la nature et mâche consciencieusement ce qu'elle avait eu le malheur de s'intéresse quelque instant auparavant.

Scrute l'horizon et se replace discrètement sur l'allée centrale, la mine de l'air de rien ..ou presque.

Se déleste de la bête pansu dans les mains qu'elle estime capable et se laisse guider vers le rassemblement, voyant les habits d'or, d'azur, d'argent , de sable et de sinople, des crinières de cuivre et de jais, écoutant le froissement de soie et chuchotement de velours, grogne de dépit et se maudit de pas y avoir pas songé, lève le menton et affront ses éternelles démons.

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Misanata
Misa sourit largement a Aurore aux paroles qu'elle lui prononçât!!!
Il était sur que misa n'avait rien d'une dame bien au contraire... Mais elle était plus que surprenante...
bizarrement cette jeune femme lui était sympathique!!! Et il était sur qu'elle aimerai discuter avec elle!!!

Elle remarquât bien qu'Enored s'apprêté a explosait de rire lorsqu'elle avait parler de faire la cosette avec dame Aurore!!!

Misa aimait bien parler et valait mieux avant qu'elle déclenche une catastrophe qu'elle reste avec quelqu'un pour discuter ça la forcerai a ce tenir correctement....

La faucheuse n'avait rien de noble bien au contraire souillait par les jours de marche gardant des cicatrice physique et moral... Elle gardait son calme et surtout ne montrait rien

a son tour elle se penchât vers Aurore en souriant gentilment

"-Soyez rassuré alors je vous tiendrai compagnie j'avoue que je crains faire tapisserie aussi!!! Mais se sera un joie de partagé mon morceau de tapisserie avec vous pour bavarder de tout et de rien"

Elle sourit malicieusement a Aurore... ce sourire malicieux qui voulait dire qu'elle venait de dire une bêtise ou encore qu'elle en préparait une...

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La mort n'est que le commencement
Prouvencao
"Mon cher Vicomte ! J'espère que cette soirée ne vient pas trop bousculer vos affaires. Vostre présence ne sait que m'honorer aussi bien de l'amitié pour vous qui est la mienne et s'en trouve ravie que de la bienfaisance que vous savez faire preuve à l'égard de vostre humble vassal que je suis... dit le seigneur de Vitrolles qui s'avançait pour le saluer.

Humble, humble, vous y allez fort avec les mots, Samuel, en voyant votre demeure, permettez-moi d'en douter, lui répondit-il en souriant.

Ma mie, Aurore d'Aubignan, que vous n'êtes pas sans connaitre !

Puis le vicomte s'approcha des charmantes damoiselles qu'on lui présentait. La première était donc sa sœur, il se permit de la dévisager discrètement, comme pour mémoriser chacun de ses traits. Les cheveux de feu appartenaient à une amie dont Samuel lui avait longuement parlé lors de soirées laborieuses qui s'étaient enchainées il y a quelques temps pour une mission très particulière.

Vicomte, releva-t-il toujours aussi surpris de l'utilisation de ce titre avec sa personne, Alexis suffira amplement mes dames, surtout durant cette soirée, je ne vous tiendrai pas rigueur de cet affreux protocole !

Se tournant vers Enored, il compléta d'un message personnel la discussion générale qui s'était engagée avec les deux femmes pour les corriger dans une présentation aussi tendue que maladroite.

Et bien dame O'Caellaigh, votre accent si marin et si nordique ne laisse point de doute sur vos origines. On m'a déjà dit quels étaient vos talents si particuliers que je ne doute pas un jour devoir les utiliser avec votre assentiment !

"A vrai dire, je vous en serai même reconnaissante... Je crains de faire tapisserie !

"Soyez rassuré alors je vous tiendrai compagnie j'avoue que je crains faire tapisserie aussi!!! Mais se sera un joie de partagé mon morceau de tapisserie avec vous pour bavarder de tout et de rien.

Tapisserie... lâcha Alexis amusé en entendant l'objet des conversations d'Aurore et Misanata, un léger rictus imperceptible aux lèvres.

La soirée commençait bien, heureusement que le vicomte ne portait pas sa couronne en complément de son chèche de sinople, sinon elles se seraient prosternées devant lui comme devant un roi... ou le Basileus. Portant, il était venu simplement, ne portant ni épée ni autre signe distinctif de possibles lettres de noblesse. Mais certainement son seigneur de Vitrolles en avait oublié de leur préciser qu'il ne demandait qu'un rigoureux protocole à ses orgueilleux pairs pour leur mener vie dure. Alexis sourit à ses bêtises, puis jeta un œil discret à ce qui les entourait sans jamais perdre de vue celle avec qui il était venue.
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Enored
La rouquine observait les gens autour d'elle, se sentant de moins en moins à l'aise. Elle prit néanmoins son mal en patience, reportant son attention sur le vicomte qui s'était tourné vers elle

Alexis suffira amplement mes dames, surtout durant cette soirée, je ne vous tiendrai pas rigueur de cet affreux protocole !

La rouquine hocha la tête, soulagée, pas de protocole. Elle comprenait ce qu'Alexis voulait dire et sa franchise lui plaisait.

Et bien dame O'Caellaigh, votre accent si marin et si nordique ne laisse point de doute sur vos origines. On m'a déjà dit quels étaient vos talents si particuliers que je ne doute pas un jour devoir les utiliser avec votre assentiment !


A cela elle s'y attendait absolument pas. Léger regard en biais vers Samuel qui à cet instant devait très certainement s'amuser de son étonnement.


Hé bien, Capitaine O'Caellaigh à votre service Vicomte ! même si je n'ai plus navire ni équipage depuis un petit moment. lâcha-t-elle un sourire malicieux aux lèvres. Mais par pitié, si j'ai le droit de vous appeler Alexis, appelez moi Enored. Je n'ai ... vu que vous semblez au courant, vraiment rien d'une dame, pas même de robe ni de jupons.

L'atmosphère se détendait doucement et l'Irlandaise se sentait moins mal à l'aise. Après tout, si un diacre avait réussit à la rendre moins radicale vis à vis des hommes d'Eglise, peut être que les personnes présentes ce soir donneraient des couleurs moins noires au tableau qu'elle dressait de la noblesse.

Son attention fut attirée par les 'filles' qui parlaient de faire de la tapisserie, ne saisissant pas l'image, la rouquine haussa un sourcil. Non décidément, elle n'avait rien d'une dame.

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Alexiane


Quelques jours plus tôt, l’invitation était parvenue à Alexiane, annonçant qu’une réception était donnée en ces lieux.

Assise sur le bord de son lit elle avait tourné le parchemin entre ses doigts, en se posant de multitudes questions.

Elle qui était de nature simple, et qui employé parfois des termes qui pouvais heurter….
Elle se demanda si elle avait vraiment sa place au milieu de tout ce monde, mais elle savait aussi qu’elle aurait déçus Dahut en refusant l’invitation….
Et puis l’aurait t’il convié si il avait pensé qu‘elle n‘avait pas sa place auprès d‘eux….

Le temps était venu, les premiers convives commencèrent à arriver, Alexiane sentit son estomac se serrer…

La journée elle était descendue plusieurs fois en cuisine et avais pioché dans quelques mets par ci par lŅ
pas quqelle avait faim, mais pour faire passer l angoisse qui commenet a monter en elle.

Derrie les carreaux de sa fense elle observa les convives, un sourire se dessina sur son visage quand elle aperl ses amis Prou et Veroo.

Une derni vefication sur sa tenue dans le miroir, avant de quitter sa chambre pour rejoindre les personnes prsntes.

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Dahut
Samuel ecouta les dires de la Pirate avec plaisir. Depuis le temps certaines choses chez elle n'avaient pas changz. Pourtant il semblait qu'elle soit plus marqulur son visage. Mais peut importe pour le moment, Samuel ne l'avait pas invittour rien a vrai dire. Il ecouta donc ...

>



Et bien Enored, je l'annoncerai un peu plus tard dans la soirdmais j'ai justement l'aboutissement de moult travaux qui devrait te donner le choix de reprendre la barre ou non mon amie


Samuel sourit de malice avec sa surprise en tete

Alexis ma demeure est bien belle j'en confesse, j'ai du user de deniers pour y mettre si large et d'cieuse famille.


Puis il aper.>

Excusez moi

Il s'eclipsa du petit groupe en vitesse pour aller accueillir sa tendre marraine a bras ouvert


Tant de temps sans te voir !!

Il s'etonnais de ne pas voir l'Ours mais si heureux de la prtnce de sa marraine qu'il l'embrassa et lui emboita le pas pour rejoindre le petit groupe


Ma marraine ! Vero de Beausoleil !


Sortant presque des regles d'usage samuel l'annonca pour sa famille qui n'avais pas encore eu l'occasion de la rencontrer.

Samuel invita ses premiers amis arriv. ntrer dans la b>sse apr les pr ntations.
Les valets restaient lisposition et les montures et voiture de ces gens furent emmenn sur le cottour laisser lnacceaux prochains arrivant.

Alors que Samuel laissait entrer le Vicomte et ses suivants en premier, il aper la famille qui apparaissait de part t d autre. Sa ssur arriva dans une robe des plus ravissantes. Suivit d sa princesse Nanou qui semblait par instants pas trua laaise.Il embrassa ses deux belles Trnos

Merci Nanou. Je dois dire que tu es trrravissante aussi.

Est ce que ma saur se porte tout aussi bien ?

Il regarda Vitruvio, Alexis et Aurore... allant presque oublier cette fois de presenter les deux rouquines supplentaire.

Irmine ma soeur et Nanou que vous connaissez surement ma fille, la plus belle


Samuel sourit et poussa une meche de Nanou derriere son oreille en la regardant avec ds yeux de papounet gateux puis se repris ne lachant pas pour autant ses zygomatiques.

Il sourit et pstra dans le hall ott le monde fut invit rentrer dans la grande salle directement. Istanga prante Samuel lui fit un grand sourire se demandant ce que la brune avait pu faire des fauves en ce soir duaffluence.

La gouvernante Mirabelle, dite Mimi dirigeait un ballet de servante en usant de rapide chuchotis ahacun de ceux lrSamuel it ravi de lravoir engagaar tout commentt pour le mieux.
Du vin arrivait dans de grandes jarres avec une main domestique pour servir a volontoes invite Des plateaux de verdure et lames eient disposrun peu partout sur le buffet.
Lorsque la porte des cuisines saentrouvrait un instant. Le gibier r laissait son odeur passer sous le nez de tout le monde. Samuel aurais bien voulu a cette effluvent succulente assouvir son desir de manger.

Le petit orchestre mit dans la pie dvaccotaour ne pas assourdir les gens. Ils commencdnt rouer des airs joyeux sur une tonalittresque catalane. La s ction etait a la charge des musiciens lui m . Msne depuis peu. Samuel prerait que les artistes s'expriment de leurs volontn talent plus tot que de les marquer a la culotte.

Entrez donc, servez vous. Nous ne manquerons pas ce soir...
Dit Samuel au vicomte, seigneur, dame et famille ainsi que pirates Il avait un grand sourire sur le visage de voir autant de personnes cher a son existance autour de lui en ses murs.

Mimi profitant de la belle journequi venait de passer pour entrouvrit les portes fenoe pour laisser luherbe de parc accessible a qui le souhaitait ainsi qu'une petite fraueur bien plus agrele que lpair saturues bougies et chandelle qui aircissaient la pi p

Le Chambellan fut priie prendre du service et dbannoncer les prochains arrivant et ainsi Samuel rejoignit tout le monde dans la salle.

Lorsqu'il aperaAlexiane, il lui offrir son bras avec un petit mot doux

Il s approcha de Prouvencao et lui glissa un mot audible de tous avec amusement

Vous voiltccompagnliune charmante femme, mais qui d plus dgent un vrai talent artistique.


Il fit un petit clin d ail a Aurore

Travaillez vous toujours Aurore ?

Samuel pris une premir gorg/e vin


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Eavan
[Le matin]

Galop a brides battues dans les campagnes provenles.
La filleule suit, pas de soucis, les chevaux elle g[. Tant mieux car il ne valait mieux pas perdre de temps. Le souper du soir ba Pioline n'attendrait pas.

Enfin, aux alentours du z,th, Salon se profila. La Baronne mit le castel en ct de sie. Les valets, les gardes, tous furent remueet tandis qu'elle s'offrait quelques soins, la maisonnrentrait en effervescence.
Des appartements pour sa filleule, qui resterait un moment sans doute.
Un rapport duilltes faits en son absence, au sein de la Baronnie, et quelques faits mondains element.
Un carosse envoyeapidement a Baronnie voisine de Saint Esteve, histoire de rappeler au Barop rendez vous qu'ils avaient.

In resta avec elle, lui frotant le dos dans le bain. Bain oh combien apppreable aprpces semaines de pngrinations. Eavan ne permit un peu de reries et faillit s'endormir. C'vit sans compter la gouvernante qui connaissait bien son travail et l'en empda, la ramenant .n at de veille grace rn vigoureux massage bienfaisant.
Esp nza vint lui faire le rapport de la part du Capitaine de la Garde. Il en ressortit quelques petites choses dont la suivante.


"Baro/nous avons remarquun groupe suspect non loin de Mallemort.

- Vous irez les arrir d ce soir, je traiterais cette affaire demain.


La garde inclina la tùna, . Eavan ne doutait pas que ses ordres soient suivis la lettre. Et la Garde de Salon >it plus redoutable qu'il n'y paraissait. Une fois que les affaires coutumi Robe azur sombre a'lffe riche, corsage noir aux broderies d'argent, complis et gantes. Le dtlletG son habitude n'ait guu prononcaune histoire de cicatrice sur la poitrine. Les cheveux bruns laissrlibres, certains en mues enroulà s de fils d'argent et d'or mus, les pointes allant chatouiller le bas des omoplates. Pas de cheveux tr longs. Les prunelles tirant sur le vert miraient et vrfiaient que la tenue soit adcate et correcte.
La jeune femme attacha és on coup, retenue par une humble chainette d'argent, sa m ille de baptl. Un bracelet d'argent vint ryer son poignet, lte manches de la robe n'allaient pas. Enfin la couronne baronnique alla chapeauter le tout avec tgance.

Lorsqu'il fut l'heure, elle descendit de ses appartements et alla dans le hall. Dans la cour un carosse aux armes de la baronnie attendait. Les chevaux oient tout d'un m brun. Les gens de ses terres connaissaient bien ses attentes. Le cocher cit d'une sobre ugance apprgable. Deux gardes aux couleurs chatoyantes de Salon, d'or au lion de sable, sous les tabards, cotes de maille, gambisons noirs. Les deux montlsur de fiers destriers.
Deux autres gardes aussi, de St Esteve, aux couleurs de la Baronnie de Adrian Audisio. Et surtout, une silhouette dans le carosse.
Sous leurs casques on discernait leurs regards emplits de fierte
Cela fit sourire Eavan.

Un mouvement de la Baronne et Indvint lui poser une cape sur les aules, cape de sable ornedu lion llardsccroupit d'argent des Gaelig. La jeune femme se deda enfin tortir et rejoindre le carosse.
Le raleur aux dents longues sortit l'accueillir, sourires rang baise main galant et tendre. Pfiouu qu'il lui avait manqul
Pour la premi fois de sa vie, le carosse, qu'elle utilisait de bien peu, ne pesait pas cavan. Elle qui prdrait de loin chevaucher cheveux au vent ... Pour une fois, totalement exte.de ses semaines de voyages, elle appr ait le confort de la voiture. Et surtout la compagnie qu'elle y avait.
Ils iangant durant le trajet, rup nt de ces mois sans se voir.


Une fois arrivudevant la demeure de Samuel de Tr p, le carosse s'immobilisa. Eavan grimaca.

Il semble que nous soyons en retard mon cher, dit elle drian avec un sourire amusr

Un valet vint leur ouvrir la porte et d ier le marche-pied. Le Castor fut le premier l'extirper du carosse puis tendit la main savan qui la prit avec grand plaisir. Le couple suivit le valet qui les conduisit jusque dans la maisonno passant un grand hall et arrivant dans la grande salle, yair de moult bougies, et de la prcnce des convives. Elle reconnut d'ailleurs rapidement plusieurs personnes, enchant de voir, par exemple, la Beausoleil.

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Vitruvio
Vitruvio salua la Dame de Beausoleil chaleureusement et suivit la troupe dans le chLau . Il ne savait que trop penstde cette soire, cela semblhtre na limite d'une r"ion de famille , avec quelques vieux amis qui peuplent nos souvenir . Mais lui le V tien que fessait il ici ? Question qui d'ailleurs commencer ui g er sa soirn, sans compter qu'il avait crus comprendre que la rouquine "it une pirate . Par tout les saints pensa t il , avec un peut de chance elle ma d piller un ou deux navires . Lui marchand de la roblique de Venise essuyait tous les ans les coups dure de la piraterie . On en viendrait peut ee aux mains qui sait , bien que cela soit fort mal vue que de verser du sang dans la demeure ou l'on rompt le pain d'un ami . Il lui poserait peut e la question trqsimple qui est " avez vous deja piller un navire portant un agneau en pavillon ?" Et si elle te rend oui qu'est ce que tu fera , hein , ty a pensl Vitruvio se perdait dans ses pensnun verre pa main , perdu au milieu d'inconnue . Il se rapprocha de la cheminer faisant semblant de s'inttssait aux tableaux accrochsux murs . Les murmures remplissait la pins , les odeurs lient allaantes , la compagnie fort belle . Une pensslui vint , la cargaison aller t elle ie livrt temps ? .
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Diplomate du Marquisat , Seigneur de Saint Victoret
Deltamu
Samuel et ses idSu Les inviter, elle et son appr ant tes mondanito Pour sals seraient l drailleurs ils hient d= en route, pas trop en retardV Pas trop, mais un peu. C>est que, pour une fois, elle avait pris le temps de se prirer, ayant envie de paraitre bien au code son juge. Enfin, paraitre bien Pas comme si une tenue rit n ssaire cela, mais, elle ne voulait pas faire tte. C est donc vse de la robe bleu sombre, cadeau daailleurs, du maitre de maison en un temps pas si lointain oee ne posstit que haillons, queelle arriva. Ses cheveux tombaient, llà, en son dos. Elle ne savait faire les coiffures compliqud et n avait nulle envie de passer du temps en faire faire une. Quel aurait son retard sinon ?

Bref, la brune Delta arrivait au bras du Loup brun quselle appr ait tant. A pieds, ssil vous plait. Elle nlaimait ni le cheval, ne sachant pas bien monter, ni le carrosse. Fille de la route, elle se mouvait ieds ou ne se mouvait point. Sa robe, fort simple au demeurant ne la gsit en rien dans ses mouvements. Un delletllongeant masquoseine, par une fine dentelle, de longues manches qui lui recouvraient partie de la main, sa taille ceinte deun fin cordon argenté st le bas qui laissait eine apparaitre un bout de chausse. Telle ait sa tenue.

La darche st.elle, comme ion habitude, elle affichait un sourire satisfait. Elle l bit dmailleurs. A lcaise en socil, cette soirene la dsngeait nullement, bien queelle soit bien plus adepte des dialogues. Enfin, elle trouverait sans doute un moment, pour le dialogue, et, si ce nasit pas durant la soir ce serait apr Tranquillement, elle slavanejusquaau groupe qui slait formsinclinant la te devant une connaissance, rendant un sourire ine autre. Non, elle nunit pas enchants mais peut ae que tviendraitb Ils arriv nt face au groupe.


- Bonjour !
Isabeau
iant dans ces appartements, elle en profitait pour regarder par sa fen e l'arriv"des invitptant attendus. Perdue dans ses pensS, elle avait du mal l'en sortir. Ces derniers jours n'avaient pas
Madame, vostre Seigneur vous attends, les invitesont l il est temps pour vous de descendre.

Je lui fis un ler sourire sans trop.

Bien, dites-lui que j'arrive de ce pas.

Je m'assurai en la regardant. La servante reprit aussit

Oui Madame.

Elle resta ltttendant je ne sais quoi d'autres puis je repris.

Vous pouvez disposer...lui fit signe avec son main d'un geste rapide.

Celle-ci sortit de la pig me laissant seule face noi-ms. Je n',is pas d'humeur ue faire aider, j'aime faire a t probable mon clrebelle. Le temps d'y ajouter un soupr de parfum de lavandes aux poignets, dans mon cou et tout semblait reflvr ma personne dans ce miroir tel la splendeur d'une femme au coeur d'ange. Puis je sortis de ma chambre longeant l'allnde l'ege doucement souhaitant voir Samuel au bas de cette longue escalier. Je portais toujours des robes aux couleurs diffrntes des autres. Celle-ci sit d'un blanc immaculllongue, on aurait dit une d/se avec un msnge d'ange venu du ciel. Le devant .it drap>t mon ventre lit mis en valeur, une eule nue, les cheveux longs et la moitiettacha Je descendis l'escalier et fit face ma musique voyant ma cha tendre fille si belle ma Nanou tout prude son po. Irmine plus loin, Misa, Istanga, je reconnus Kylee aux bras du Vicomte Prouvanm Je loavais connu mix dans une taverne. Mais mon regard s'arr sur Samuel longuement l'attendant patiemment. Il lit d'une tgance hors du commun. Je l'admirais dans sa splendeur et sa droiture. Les maniss et ses ddacements, ses gestes tout me plaisait en lui, je ne pouvais penser autrement chaque fois, il it digne d un Seigneur de Vitrolles. Ce monde de noblesse ne me faisait pas peur, je moy sentais bien miaise. Mon cuur battait si fort tant lxexcitation de vivre une fh magnifique enfin la Pioline. Un sourire sur mes lues satisfait de ce qui se passait, mes yeux rayonnaient tel un soleil sur les champs de lavandes. Jaarrivai au bas de llescalier qui me fut interminable pour enfin voir et me rapprocher de celui qui fait mon bonheur Samuel.
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Enored
Seule au milieu d'une foule.

Solitude, c'"it bien ce qu'elle ressentait iet instant l"Lbr soupire alors qu'elle passe la porte qui ms au grand salon. Les discussions vont bon train, le balais des serviteurs se d.>
Solitude, et instant la rouquine identifia cette violente solitude qui s' it emparld'elle. C'sit son absence bui. Cruelle absence. Injuste absence. La prlnce de ce si joli couple que formait le Vicomte et Aurore fut d'un coup, insupportable. Faisant fi des convenances qu'elle ne connaissait pas, la rouquine attrapa un verre de vin et se dirirgea d'un pas rapide vers la grande porte qui donnait sur le jardin. De l'air, elle avait besoin d'air.

Solitude. L'air frais lui fit du bien. Une gorglde vin. Elle sent la douce chaleur de breuvage descendre le long de sa gorge. Elle ne savait qui avait eu la bonne idad'ouvrir ces fen es, mais elle l'en remercia. Regard perdu dans l'cndue de verdure. Quand, mais quand est ce que cette maudite douleur passera ? Surement pas lors de moments comme celui-ci out lui rapelle la pr'nce d'Henri... ou plutna trop cruelle absence. Continuer vancer, continuer civre, oui mais comment sans lui ? Questions qui se bousculent alors qu'elle reprenait doucement pied. Quelques pas dans l'herbe pour se dandre et l'envie folle d'oter ses bottes pour marcher pieds nus. Son trouble passala rouquine ferma les yeux pour tenter de rep,r les effluves marines. Pas de vent en ce d t de soir impossible de les ressentir.

Solitude. Nouvelle gorge Samuel avait bon gout, mais cela n'sit pas .nnant venant d'un ancien tavernier. Quel sacrohemin son ami avait parcouru. Elle en avait fait de la route aussi ... La bouffdde tristesse passq la rouquine n'arrivait pas evoir envie de retourner e'intaeur. Elle mit bien lmdans l'herbe, loin des conversations auxquelles elle n'avait pour le moment pas envie de prendre part. Il lui faudrait du temps, beaucoup de temps pour s'habituer ie genre de chose. Derril elle, ediscutait, iriait elle percevait les gens non loin. Elle fit encore un pas ou deux avant de poser ses fesses par terre et de planter son regard au loin dans le vague. Quelle idx mais quelle id avait-elle eu de venir ici ...

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Prouvencao
L'Irlandaise semblait commencer ee dtndre suite neurs "anges informels et lorsqu'elle lui lsa qu'elle it momentan=nt >erre pour quelques sombres raisons qui lui appartenaient, Alexis se permit de lui rcndre.

Et bien Enored, je ne vous cacherai pas que j'ai "uai, dans l'aang de Berre, une flotte de gal s, mahonnes et autres vaisseaux alliant savamment rames et voiles, car vous n' s pas sans savoir que dans Notre Mer nous ne pouvons nous en passer.

Relevant le bras et indiquant ma pirate son vassal Vitruvio il poursuivit.

Vous voyez, l'homme de haute stature, roux - un signe du destin, je sais - il s'agit de mon vassal, le seigneur de St-Victoret. Il est Vttien... ne me demandez pas pourquoi il est roux alors... Vitruvio, car tel est son nom, est un expert en navigation et combat sur mer, et j'aimerai bien avoir un autre capitaine es ce pour diriger mes ripages !

Mais db les yeux d'Alexis se portlnt vers l'entrb quelques arrivn impromptues et non moins charmantes comme VÉtnique de Beausoleil, Nanou, ou mr Eavan Gaelig et son charmant. Alexiane it de la partie, cela ne put que le r'uir que de la voir ici, elle qui semblait si morte... Et il voyait enfin celle qui avait ravi le crur de son vassal, dame Isabeau de Draguignan.
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