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[RP] Chateau de la Pioline - Hostel des Trévière

Nanou33
Nanou fit elle aussi une bise à son père et salua Irmine.

Merci du compliment!

Elle lui fit un grand sourire. Elle commençait à se sentir un peu plus calme maintenant qu'elle était avec son père. Puis, il fit les présentations.

Tu n'exagères pas un tout petit peu?

Elle le regarda en souriant, comment aurait-elle fait si elle n'avait jamais su qu'il était son père? Puis il remis en place ses cheveux, ce qui la fit sourire encore davantage. Elle eut envie de le décoiffer pour l'embéter un peu, mais durant une réception ca ferait peut etre mauvais effet et finalement elle réussit à se retenir, pour le moment en tout cas. Elle aimait bien l'embéter de temps en temps et cela faisait un petit moment qu'elle n'avait pas eu l'occasion.

Elle lui murmura alors tu sais que je t'aime! et lui fit une bise sur la joue.

Puis elle regarda autour d'elle pour voir sui était là et elle apperçut alors sa mère qui descendait l'escalier. Elle était vrément magnifique! Elle n'en croyait pas ses yeux. Elle venait dans leur direction et Nanou lui offrit un grand sourire. Qu'est ce qu'elle pouvait être heureuse qu'ils se soient retrouvés tous les trois. Elle n'aurait jamais pu espérer avoir de meilleurs parents qu'eux. Elle les aimaient plus que tout. Et ce soir, ils étaient vraiment magnifiques tous les deux.
Misanata
misa commençait a se sentir de trop dans ce monde qui n'était pas le sien...
elle laissât donc de son habituel faculté a disparaître Samuel, avec Irmine, Nanou, Enored, Aurore, Alexis et les autres invités...

elle s'éclipsât doucement vers le jardin pour profité de la brise légère et fraîche du début de soirée... Et restât là a rêvasser

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La mort n'est que le commencement
Kylee
Travaillez vous toujours Aurore ?

Elle était déjà dans son petit monde bien à elle, une coupe de vin à la main, quand une voix retentit derrière elle. Sourire amusé aux lèvres, elle se retourna, pour faire face au maître des lieux qui s'adressait à elle.

- J'essaye, j'essaye, mon cher Samuel ! Mais il faut dire qu'un certain Vicomte dont je ne citerai pas le nom prend un malin plaisir à venir me déranger dans mon travail ! Il faudra que je vous montre quelques uns de mes dessins, quand l'occasion se présentera... J'ai un portrait d'une prostituée aixoise dont je suis assez fière !

Puis voyant Isabeau arriver, en grande diplomate qu'elle était, elle le laissa aller la rejoindre en prenant congé d'un signe de tête. Dévisageant tout le monde, elle reconnut Istanga, croisée nombre de fois en taverne à Aix, et Delta, à laquelle le commentaire précédent pouvait aussi s'appliquer. Elle leur adressa un signe amical de la main, avant d'apercevoir au fond Dona Eavan. Elle était trop loin encore pour qu'elle puisse la saluer, notre Aurore se contenta donc de puiser une nouvelle gorgée dans sa coupe. Le vin était exquis.

Résignée à ne plus bouder, elle adressa un sourire à Alexis, en grande conversation avec Enored O'Nom Imprononçable. Puis elle alla s'appuyer contre le rebord d'une fenêtre, pour apercevoir la brune de tout à l'heure qui semblait bien solitaire... Si dans dix minutes elle n'avait pas bougé de là, elle irait la chercher, foi d'Aurore elle ne la laisserait pas s'ennuyer !

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Spadachocolat
Quelques jours plus tôt, une fort jolie missive était parvenue à Spada, qui en la lisant ouvrit de grands yeux ronds. Elle, une simple roturière, était invitée à une telle réception mondaine ? Elle se demanda une seconde ou deux s’il n’y avait pas erreur, puis écarta l’idée en se disant que Samuel s’était montré très affable avec elle, et donc qu’il n’y avait pas tant d’incohérence à recevoir une invitation de sa part. Sans compter que c’était bien son nom qui figurait sur l’entête du courrier.

Et donc, la voilà prenant la direction du château de Vitrolle, montée assez gauchement sur une jument baie. L’animal n’était pas à elle, elle l’avait emprunté à une auberge, délestant pour l’occasion cinq écus de sa bourse pour celle du jeune palefrenier. Elle n’avait pas l’habitude de chevaucher mais elle avait quelques notions d’équitation, qui lui suffisaient pour diriger la monture -qui de plus était d’une nature placide. Il le fallait bien, car si elle était résistante, le petit enfant assis à califourchon entre elle et le pommeau de la selle l’était beaucoup moins. Et Spada ne tenait vraiment pas à ce qu’il arrivât le moindre incident au fils de Yunette.

Le château se profilait enfin à l’horizon. La jeune femme pressa légèrement les flancs de sa monture, et les sabots de celle-ci finirent de couvrir le chemin qu’il leur restait. Arrivée dans la cour de l’hôtel, Spada laissa le cheval à l’homme qui semblait se trouver là dans ce simple et unique but et entra dans le salon, le petit Galaad se cramponnant plus que jamais à sa main.

Dans l’imposante pièce, le luxe des étoffes et des décorations laissèrent Spada sans voix. C’était la première fois qu’elle assistait à ce genre de réception, et l’appréhension de se retrouver parmi tout ce beau monde se faisait plus forte. Elle était vêtue de sa houppelande, assortie d’un bustier et d’une jolie ceinture pour l’occasion, mais l’ensemble, bien qu’il fût le plus beau qu’elle ait pu se procurer, faisait pâle figure devant les atours des autres invités.

L’angoisse qui la gagnait de plus en plus se calma légèrement à la vue de quelques visages connus. Samuel tout d’abord, jouant les hôtes prévoyants, et qui ne l’avait pas encore remarquée. Plus loin elle reconnu le vicomte Prouvencao, rencontré une fois en Aix, et qui était en grande conversation avec une jeune femme aux cheveux roux. A quelques pas, la maire Isabeau croisée au conseil des bourgmestres, était également présente. Plus loin, c’était Véro de Beausoleil, elle la reconnaissait. Elles s’étaient déjà rencontrées à l’occasion d’un passage de l’enjouée jeune femme à Toulon. Assistaient également à la réception différents personnages dont elle ne se rappelait plus les noms où qu’elle n’avait, tout simplement, jamais vus.

A quelques pas sur sa gauche, Spada reconnut Delta, et passée la surprise de la voir également en ces lieux, alla à sa rencontre. Elle était la personne qu’elle connaissait le mieux dans la salle et sa vue la rassurait quelque peu. S’avançant vers elle, Spada reconnut l’altière silhouette d’Eavan ; elle serait volontiers allée lui parler, ayant pour elle de nombreuses questions qui ne demandaient qu’à être posées ; mais à présent Delta l’avait remarquée et la politesse exigeait qu’elle ne suspendit pas son mouvement vers elle.

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Procuraire de Prouvenço Lièure
Cònsol de Touloun
Luèctenent de Policia de Touloun
Enored
Les fesses dans l'herbe, la pirate réfléchissait aux paroles du Vicomte. Une flotte de galères, mahonnes et autres vaisseaux alliant savamment rames et voiles, car vous n'êtes pas sans savoir que dans Notre Mer nous ne pouvons nous en passer. Bien sur qu'elle le savait pour s'en être passé bien trop longtemps. Elle avait sourit quand le vicomte lui avait présenté le Vénitien. Marchand certainement, elle ne se souvenait plus vraiment. Peut-être avait-elle un jour attaqué un de ses bateaux. La coincidence l'aurait bien faire rire à une époque... j'aimerai bien avoir un autre capitaine à mes côtés pour diriger mes équipages ! Elle n'avait alors pas réussit à commenter que déjà le Vicomte reportait son attention ailleurs. Peut-être était ce mieux, elle l'aurait traité de fou sur l'instant. Ce bout de discussion avait provoqué de nombreuses questions. Qu'est ce que Samuel avait bien pu dire à Alexis ? Comment un vicomte pouvait-il lui faire confiance à elle ? Ces questions la firent sourire doucement. Si ces premiers contacts étaient plus que satisfaisant, la rouquine n'avait pas vraiment le coeur à la fête et seul un coup d'oeil vers son verre vide la fit quitter son petit coin de tranquillité. Après tout, personne ne l'obligeait à être radieuse, souriante et ... tiens ... la petite soeur seule dans le parc et Aurore à la fenêtre, pourtant elle était juste à côté d'Alexis quelques instants auparavant... Décidément ... les hommes avaient tendance à délaisser les femmes qui leur étaient chère, volontairement ou non ... reprends toi ! La rouquine reprit une bouffée d'air frais avant de retourner vers Samuel et ses invités. Elle s'arrêta près d'Aurore et lui glissa aussi discrètement que possible au vu des oreilles présentes non loin.

Vous semblez aussi à l'aise que moi ici ... j'ai pas l'habitude de ... tout ça.
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Alexiane
Quand Dahut lui offrit son bras, Alexiane l’accepta avec plaisir, elle savait que c’était sa façon à lui de la rassurer, il l’a connaissait si bien.
Son petit mot doux la fit sourire……

Quand ils firent face à Prou son ami, Alexiane lui sourit

Bonsoir Prou ça me fait plaisir de te voir

Puis regardant la jeune femme aux cotés de celui-ci elle la salua

Bonsoir Aurore, je crois que nous nous sommes déjà vus à Aix

Alexiane lui fit un sourire et détourna le regard vers la porte, en apercevant d’autres convives, fairent leur entrée.

Elle reconnu au loin Eavan et Castor son ami de toujours.....
Ne lâchant pas le bras de Dahut, elle écoutât celui-ci discuter avec Aurore…

C'est en voyant des plateaux passer devant eux, qu'Alex sentit la faim l’envahir..

Aussi elle se pencha vers Dahut et d’un air entendu le laissa continuer son accueil,

Puis elle chercha du regard ou se trouvai Misan et Nanou, afin de voir avec elles pour installer les convives à table.

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Prouvencao
Alexis s'était emparé de deux coupes avant de rejoindre sa belle et lui en remettre une. Il avait choisi de l'hypocras, un alcool qu'il aimait toujours autant, que de saveurs chaleureuses, orientales et vivantes. Lui aussi porta son regard au dehors et vit la sœur de Samuel. Enored passant par là, le tableau fut compléter. Si le seigneur de Vitrolles et Alexiane n'étaient pas venu, il lui aurait proposé d'aller lui tenir compagnie. Alexis était quelque peu solitaire, heureusement que le visage souriant d'une amie le faisait vivre.

Et moi donc ma belle Alexiane, toujours aussi radieuse, de quoi faire pâlir de jalousie notre Beausoleil, dit-il non sans amusement.

Les laissant repartir, le vicomte se tourna vers sa vicomtesse et lui offrit son bras. Il était très sociable, mais aimait aussi une simple compagnie et non une foule de courtisans. Il y avait de plus en plus de monde, et en cela il se sentait étouffer.

Un tour du domaine en amoureux ma mie ?
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Vero5
Un violent tourbillon s'empare de ses sens et l'accueil de son poussin l'émerveille, un art qui sait trouver mesure et finesse quand l'occasion ce doit.
S'engouffre reconnaissante et heureuse de l'effusion, l'embrasse tendrement et l'observe évoluant parmi les siens


Ou certes toujours trop long les absences, mais la qualité des retrouvailles me semble en valoir la peine.

Suit son filleul et sourit gaiement aux inconnus qui semble être de famille.. ou des amies

Je suis ravie de vous rencontrez....pardonnez moi de mon ignorance du quand ou et qui et éventuellement de mes impaires qui vont s'en assortir!


S'éclaire en identifiant quelques têtes connus qui malgré le temps prennent pas ride et d'autres qui malgré tout restent reconnaissable.

Vitruvio quel plaisir de te revoir si je parle de sabliers avec notre hôte alors avec toi je vais devoir écluser la plage et en trouver réceptacle pour en contenir la somme!! Le temps file..dangereusement.

Le voit distrait pensif et le laisse à ses préoccupations se disant qu'elle reviendra l'embêter avec ses vieux stocks de draperies plus tard.

prélève en chemin une contenance et en boit une gorgée

Écoutant au passage le persiflage de l'or et d'azur, Pose une main sur le bras de sa douce jumelle et l'embrasse en coup de vent, lui chuchote au passage


Très heureuse de te voir, je regrettais de ne plus m'apercevoir au loin, c'est tellement plus agréable de se voire plus belle qu'en réalité!!

Fait les gros yeux au maladroit qui s'enlise en compliment pour en plaire à une autre.
Lève son verre en riant ...


Vive valeque Alexis...ou peut-être, Carpe Diem, serais plus adapté!

continue tranquillement son cheminement et regardant invité et lieu, aperçoit Eavan et sa marmotte et tente de s'en approcher, bouscule légèrement une femme vêtue d'une robe de voile noir rebrodée d’or et fleurant l'huile d’argan, s'en excuse au plus vite et tends la main vers un plateau sur pied et lui fourre vite un verre dans les mains.

Nous avons point eu plaisir ou désagrément de faire connaissance, que cela soit palier à l'instant!
Vero de Beausoleil... fada, barbouilleuse et enquiquineuse notoire.. assagit


z'yeute le jeune homme qui semble assorti et en apprécie la facture reviens rapidement vers son interlocutrice et reprends une gorgée de nectar.

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Whaou74
des bruits de sabots résonna dans la cour du chateau de la poiline .
c'est le whaou74 le septimontain de draguignan qui arriva enfin
il rentra dans la grande salle et alla directement saluer le maître de la maison .

monseigneur dahut merci pour votre invitation , c 'est un honneur
lui dit a l 'oreille
des olives , et des bouteilles d'huile ceux trouve en cuisine , venue directement de draguignan

puis salua dame isabeau

bonsoir comment va la mairesse de choc de notre bien belle ville ?

a coté d'eux ceux trouve dame nanou .

dame nanou c 'est un grand honneur pour moi de vous rencontrè , dame votre mere ma dit que du bien de vous .

puis le whaou74 ceux glissa dans la foule , pour ceux faire connaitre de tous .
--Galaad_von_f.


Une promenade à cheval. Qu'est ce qu'elle est gentille Spada. Depuis que maman et Nours sont partis, c'est elle qui s'occupe de moi. Et, je l'aime bien. Elle écoute quand je pleure la nuit, que je me réveille sans savoir pourquoi. Elle me serre très fort dans ses bras, comme maman et puis, elle chante, elle chante bien Spada. Ça me rappelle un soir en taverne, quand elle avait joué pour eux. C'était bien.

Aujourd'hui, je suis bien habillé, mieux que le dimanche. Spada m'a dit qu'on allait voir... le fille euh le... de maman. J'ai pas compris encore trop ce que c'était, ça a un rapport avec ce que raconte grand papé le dimanche matin quand on va manger et boire dans l'église. Mais bon, l'art des sottes, j'apprendrai quand je serais grand. Parce que, comme c'est très haut que ça se passe, ben, faut être grand.

Da ! Hue ! C'est comme ça qu'il s'appelle le fille euh... le monsieur. Faudra que je le salue bien et que je sois poli. T'façons, je sais pas pas être poli, on m'a pas appris. Il parait que la maman de maman, elle n'est pas polie, elle et qu'elle vend des morceaux d'elle. Comment elle fait pour être encore en vie ? Ah, le voyage touche à sa fin. C'est que c'était long, mais, contre Spada, j'ai pas eu froid. Elle est gentille Spada, même que souvent elle m'emmène voir Célia. Elle me manque elle aussi.

C'est grand ! Encore plus grand que chez Galuche ! De mes grands yeux bruns - ceux de maman qu'ils disent les gens, mais c'est n'importe quoi, ce sont les miens, d'yeux - de mes grandes billes donc, j'observe le château. On se croirait dans les histoires qu'elle raconte. Il est où le prince charmant ? Et la princesse que j'épouserai quand je serai un prince ?

Enfin, je pense je pense, mais là, je me retrouve par terre. Spada ! Me lâche pas. Je le dis pas... Je le pense très fort, parce que pour être poli et être un enfant sage, faut pas faire de bruit. Il y en a qui disent que je suis comme une image, mais c'est pas vrai, parce qu'une image elle peut pas parler du tout, moi, juste, je me tais.

La main dans celle de ma maman de substitution, j'avance à côté d'elle. Elle ne parait pas très rassurée. Alors, je serre un peu ma main, pour lui montrer qu'elle peut compter sur moi. Ah, tiens, on avance vers Delta, la dame qui n'aime pas les enfants mais qui leur offre des fruits, c'est bien elle est un peu à l'écart, comme ça, on va pas voir le groupe, les gens ils ont des vêtement qui brillent et tout ça fait bizarre.

Je suis poli. Je dis
- Bonjorn. Et je tends la main à Delta puis à celui qui l'accompagne, Selrach, je crois, il est juge, mais j'ai rien à craindre, je n'ai pas fait de bêtise, pas comme maman. Spada sait pas que j'ai entendu, je dors pas toujours, j'écoute. Je souris, aussi. Je suis un homme aujourd'hui, elle m'a dit que je serai son cavalier.
Irmine_de_treviere
[Dans la fosse aux lions, à quelle sauce se faire manger]

La rouquine descendit calmement l'escalier, soulevant légèrement le devant de sa robe pour éviter de faire une chute malencontreuse.
Le bruits des voix s'intensifiait, au fur et à mesure de sa descente, la rouquine aperçu les invités faire leurs entrées, un à un, tous bien vêtus et d'une prestance sans égal. Le stress montait dans les veines de la timide jeune femme, néanmoins c'est avec un sourire aux lèvres qu'elle posa pied sur le marbre du hall où elle fut accueillie par son frère magnifiquement paré et rayonnant.

Il la présenta à des invités, qu'elle salua d'une belle révérence.


Bonsoir, soyez les bienvenus.

La pauvre était totalement perdue dans la petite foule grossissante après quelques fugaces présentation, elle suivit Samuel dans la grande salle et découvrit avec émerveillement le buffet.

Samuel prit dans ses présentations et accaparé par ses connaissances, Irmine se mit un peu en retrait comme à son habitude, en observatrice. Elle n'était pas vraiment à l'aise, elle cherchait du regard une éventuelle connaissance, mais elle en avait hélas peu depuis le peu de temps qu'elle était là ... Elle se sentait un peu étrangère, mais il fallait bien qu'elle s'habitue à sa nouvelle vie ... Celle d'une jeune femme vouée à cotoyer du beau monde dans cette terre d'asile qu'est la Provence.

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Castor22
L’eau était maintenant bien froide dans la bassine. Depuis combien de temps le baron traînait dans son bain ? Trop longtemps que pour simplement se laver diront certains, pas assez pour penser à celle qu’on aime vous répondrait le baron. Mais une chose était sûre, c’était devenu le seul moment de plaisir pour le baron. Il était tellement bien dans l’eau à ne rêver qu’à elle, qu’il ne sentait même plus le froid de l’eau entourer son corps.

Soudain, provenant du sommet du château, le son d’un cor le fit sortir de ses rêveries. Il ne lui fallut que quelques secondes pour sortir de l’eau et se retrouver à la fenêtre pour espérer la voir arriver à l’horizon. Une escorte de deux hommes et un carrosse arrivèrent dans son champ de vision et de suite il reconnu les couleurs du fief de sa baronne.

Castor se fit apporter ses tenues et commença à s’apprêter pour la rejoindre dans la cour. Il choisit la tenue aux couleurs de la famille Audisio. Elle était majoritairement gris perle brodée de fils couleur noir, il passa ensuite sa cape, également de couleur noire, autour de son cou. Il posa délicatement sa couronne de baron sur sa tête, enfila, à son doigt, sa chevalière et fini par attacher son épée à de sa taille.

Le râleur de service, ayant retrouvé le sourire, prit la direction de la cour pour accueillir la baronne. Une fois arrivé à proximité du carrosse, il s’aperçut que celui-ci était vide et, après avoir interrogé le garde de Salon, il monta dans le carrosse et prit la direction du château de sa bien aimée.

Les deux fiefs étant voisins, le trajet ne fut pas très long et le carrosse se retrouva bien vite dans la cour du château de Salon. En voyant sortir la baronne, il descendit du carrosse pour l’accueillir, déposa un tendre baiser sur la main de sa belle et lui chuchota.


Madame la Baronne est, encore une fois, resplendissante. Vous revoir suffit pour redonner un sens à mon existence.

Castor l’aida à monter dans le carrosse avant de monter à son tour et de faire signaler le départ au cocher. Le trajet se passa dans la joie de se retrouver et rare furent les moments de silence tellement ils avaient de choses à se raconter.

Arrivé devant le domaine, Castor ne put que sourire à la grimace de Eavan et à ses dires.


Il semble que nous soyons en retard mon cher

Je pense plutôt que ce sont les autres qui sont en avance ma chère
, lui répondit il avec un grand sourire.

Castor descendit en premier du carrosse, proposa sa main à la Baronne de Salon pour descendre avant de suivre le valet en direction de la salle de banquet. Ils rentrèrent dans la salle où bon nombre d’invités était déjà présent et aperçu Véro venir dans leur direction.
Dahut

Le seigneur goûtait la réponse d’Aurore et fut ravi de savoir qu’elle travaillait encore son talent. A sa proposition, dit à couvert, il ne lui répondit que part un simple clin d’œil en guise d’accord.
À cet instant, il entendit le chambellan encore une fois s’égosiller en annonçant l’arrivée de la Baronne et de son Baron, Doyen officiel. Samuel se du d’aller les accueillir comme il se devait.

Chère Baronne, C’est un honneur pour moi de vous avoir en ma demeure ce soir.
J’espère que vous avez fait bonne route et que vous trouverez matière à vous délasser de ses dernières semaines loin de notre belle Provence.
Cher Doyen, je dois vous féliciter pour le travail que vous effectuez ces derniers temps. J’ai l’espoir à présent… N'est ce pas Marraine?
dit'il en s'adressant a Vero

Mais je vous en prie entrez, servez vous… Nos invités ne vous sont peut-être pas tous inconnus…

Alexiane lui échappa un instant alors qu’Isabeau venait d’arriver en bas des escaliers… Samuel vint l’accueillir et la présenta à la baronne de Salon-de-Provence.


Je vous présente Isabeau mairesse de Draguignan et son cavalier…

Samuel posa la main sur son ventre. Il l’embrassa et emmena tout le monde avec les autres…
En avançant alors que les valets débarrassaient les invites affluant, il vit Delta. Il laissa filer le joli monde et s’avança vers elle pour lui faire la bise… Sera la poigne de Selrach…

Content que vous soyez venu. Les mondanités certes, mais les amis aussi… Venez boire, j’ai fait venir un cru du lyonnais délicieux… Je vous y attends…


Samuel reprit les devants pour regarder un instant des petits groupes se former… Il jeta un petit regard à sa marraine avec tendresse de la voir évolué entre assurance et tâtonnement…
Il attrapa le bras de sa sœur Irmine

Ça va toi ? Fais moi ton beau sourire hein…

Samuel rigola à peine un instant que déjà un nouvel arrivant entra… Le chambellan exaspéra Mimi de nouveau en Hurlant l’arrivée de Sieur Whaou…
Samuel avenant lui tendit la main…

Oh des olives ? Magnifique présent que celui ci… Soyez le bienvenue à la Pioline. Voici ma sœur puis votre mairesse non loin…

Il ne prit le temps de boire que déjà un sourire se figea sur son visage en voyant arriver Spada la ravissante accompagnée d’un petit jeune homme…

Ma chère Spada, je suis heureux que vous ayez fait le chemin jusqu’ici… Mais serait ce Galaad ?

Samuel lui tendit la main comme à un homme avec un grand sourire...

Bonjour

Puis revint faire la bise à Spada…

Il y a déjà un peu de monde, mais je suis sûr que tu vas te faire ta petite place. Si Messire Von Frayner a besoin de quoi que ce soi demande a la tite brune là-bas… Mimi a tout ce qu’il faut…

Samuel regarda dehors… La première vague semblait avoir eu lieu… Il regarda Octave le chambellan puis l’ordonna

Gardez les portes ouvertes, nous attendons encore du monde…

Il regarda Mimi et acquiesça d’un hochement de tête.

Samuel rentra dans la salle… Il posa une bise sur la joue d’Isabeau puis continua à traverser le petit monde de ses invités… Il appela Enored et Misanata à revenir l’écouter dans la grande salle.

Mes Amis

Je tenais tout d’abord a vous dire comme vostre présence ici me fait grand grand grand plaisir.
Les raisons de mon invitation ne sont évidemment pas dénouées d motivations. Nous sommes ici réunis alors nous sommes de classe sociale différente pour certains.Je suis content de voir que cela n’empêche pas le dialogue et de faire connaissance.
Je voulais aussi vous présenter ma famille qui m’a rejoint depuis peu en Provence pour vivre ensemble. Je pense a Irmine et Misanata mes petites sœurs, ou encore la belle brune là-bas, ma cousine Istanga, ma Fille Nanou et sa mère Isabeau…La présence en Provence des Trévières et de renouveler ce que nous faisons ce soir… Je l’ai toujours dis, il est important de donner vie à notre province et c’est en partageant que nous y arriveront…

Toutefois je souhaitais aussi vous faire par de mon premier achèvement sur mon fief de Vitrolles que je dois a mon généreux suzerain de Marignane… Sur l’étang de Berre vient d’être ouvert mon chantier naval… Les bateaux seront alors construit ici et c’est en baptême que le premier sera offert a ma vieille amie Enored entant que sa simple propriété… Une coqu soutenu d’un pont, plus stable que les caravelles qui sont sur le point d’etre mis en mer part les ouvriers courageux qui travail chaque jours.
J’ai aussi dans l’intention, pour rejoindre ce que je disais plus tôt de prendre des quais dans la rade de Toulon pour travailler avec sa mairie dans le but de dynamiser l’activité marchande et maritime de notre contrée… Peut-être mes amis


Samuel regarda Vitruvio

Pousserons-nous jusqu’en Adriatique et bien plus loin.

Ceci n’est que le début de mes projets, mais ceci est à présent concret…
Tout autant que ce qui arrive… Merci passez tous une bonne soirée

Les jeunes femmes des cuisines apportèrent sur les tables des grands plateaux de jambon fumé coupé… Des cochons recouvert de légumes fumants…Du faisan et des tranches de cerf servi avec des miscellanées de couleur.
A côté de cela furent apportées des boules de pain chaud en provenance de la boulangerie de Nanou. De l’huile d’olive fut disposé et du sel de Vitrolles en grains…Tapenades et autre petit ajout restaient encore à disposition… La musique s’égaya significativement sur un air plus dansant…Samuel sourit à la vue de la nourriture et se servir allégrement avant d’aller embrasser Enored espérant son présent suffisant pour lui redonner un sourire…

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Eavan
Beaucoup de nouvelles têtes dans cette foule d'invités. De la noblesse, comme de la roture d'ailleurs. Eavan distribua avec sincérité des sourires polis accompagnés de légers hochements de tête pour saluer ceux qu'elle connaissait et qu'elle ne pouvait pour l'instant aborder.

Elle vit bientot le propriétaire des lieux venir vers elle et son raleur. Ecoutant avec attention et souriant en guise de réponse à son hote. Il était bien occupé pour ne pas qu'elle le retienne pas en palabres purement décoratives.
Il prit cependant le temps de lui présenter une Dame bien habillée de blanc. Cela tranchait avec la majorité des présents. Et donc qui attendait la vie, voilà qui illuminait plus encore le blanc de la robe.


Tout mes voeux Dame Isabeau.

Un sourire radieux acocmpagnant la phrase. Puis ayant bien vu le regard d'Adrian, Eavan s'excusa et entraina son Audisio jusqu'à Véro.

Voilà longtemps que le beau soleil marseillais n'avait point illuminé de sa présence un moment de vie. Et voilà donc que je t'aperçois, Véro de Beausoleil. La vie n'est elle pas bien faite ?

Sourire jusqu'aux oreilles.
Dans le coin de son champ de vision Eavan vit entrer la mairesse de Toulon et accroché à sa main .. le petit Galaad. La jeune femme se sentit bien heureuse de revoir ce petit monde. Elle irait lui parler sans doute, et bientot, dès que possible.

Puis il y eut le discours du Senhor de Vitrolles. Voilà donc la raison de ce rassemblement. Enored ... Qui était elle ? Il faudrait aussi aller faire sa connaissance. Le trafic maritime en Méditerranée était un point stratégique, peu importait le point de vue concerné.

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Nanou33
Samuel était parti saluer d'autres personnes. Il prenait son rôle d'hote très à coeur et par le fait, Nan ou le trouvait parfait dans ce rôle là. Elle sentait qu'il était très à l'aise et heureux de voir autant de monde.

Nanou alla alors se servir un verre de vin qu'elle but lentenement. Elle espérait qu'il lui permettrait de se calmer un peu. Il commençait à y avoir pas mal de monde et c'était une bonne chose. Elle regardait de tous les cotés, Irmine ne semblait pas très à l'aise elle non plus, d'autres au contraire étaient dans leur élément et enfin certains semblaient vouloir s'esquiver. Au moins, Nanou n'était pas la seule à se mettre un peu en retrait, ce qui la rassura, enfin le temps qu''elle se le dise.

Puis, son père prit la parole. Nanou l'écouta attentivement comme tous les autres invités. Quand il parlait, on ne pouvait qu'avoir envie de l'écouter. Décidément, son père avit du oublier de lui transmettre ses qualités de dessinateur, mais aussi à n'en pas douter son talent d'orateur. Elle devait même avoir l'air ridicule à le regarder et l'écouter avec un grand sourire sur les lèvres sans d'autres raisons que le fait qu'il soit son père et que quelque part elle l'admirait.

Quan il eut fini son petit discours, elle eut envie de lui faire une grosse bise mais se contenta d'applaudir discrètement.

Aussitôt, des plats furent apportés. Tous sentaient très bons et l'estomac de Nanou commença à grogner. Ca n'était pas vrément dû à la faim mais plutot à la gourmandise. Elle avait senti l'odeur du jambon fumé et cela avait suffi. Elle alla donc en prendre une tranche avec un peu de pain. Il n'y avait rien de meileur que de la bonne charcuterie et celle-là était tout simplement excellente!
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