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[RP] Chateau de la Pioline - Hostel des Trévière

Spadachocolat
Samuel se montrait bon hôte. Spada lui avait répondu avec le sourire, le remerciant pour l’accueil –le sien comme celui du petit «Messire Von Frayner ». A son départ, elle avait écouté les conseils de Delta, conseils qui n’avaient pas manqué de la surprendre par leur pertinence. Leur sincérité aussi, il faut dire que la relation des deux jeunes femmes n’était pas des plus banales. Une histoire de brun.

Mais oublions les bruns un instant, la fête avait bien commencé et les fêtes, c’est bien connu, sont faîtes pour l’amusement. Elle acquiesça aux dires de Delta et esquissa un sourire qu’elle comptait bien ne pas chasser de ses lèvres sans bonne raison. Et le discours de Samuel n’offrait pas non plus de prétexte à l’amertume, c’était même tout le contraire ; Toulon grâce à lui allait se développer. Ils avaient parlé quelques temps auparavant de ce projet de rade dans le port toulonnais, et l’idée avait charmé la jeune maire.

Mais à peine Samuel avait-il finit son discours qu’elle sentit qu’on tirait sur son bras. C’était Delta qui l’entrainait vers la foule, comme pour mettre en application sa judicieuse leçon. Et Spada souriante se laissa aller. La petite main de Galaad se détacha de la sienne, et, prise d’une soudaine angoisse à l’idée de le laisser Spada fit mine de retourner vers lui, mais elle l’aperçut en grande conversation avec Eavan. Entre de bonnes mains, donc. Et puis elle reviendrait vite.


Mais où m’emmenez-vous, Delta ? Ah ! Je vois…

Spada à la vue du copieux buffet devant lequel elles étaient arrivées éclata d’un rire joyeux. Et prit un peu de tapenade pour Galaad, en bon Provençal, friand d’olives.
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Procuraire de Prouvenço Lièure
Cònsol de Touloun
Luèctenent de Policia de Touloun
Prouvencao
Alexis aurait aimé aller se promener à son bras loin du tumulte des invités dont les Dracénois étaient à l'honneur, mais visiblement s'enchainaient irrésistiblement les évènements de manière presque maladroite. Son ami Selrach l'interpela non sans humour alors qu'il buvait à sa coupe.

Je vais, je vais, suffisamment pour t'empaler ma Louve ! Dommage que nous Romains vénérons une telle bête !

Affichant un sourire en coin, le vicomte de Marignane reporta finalement sa coupe de vin aux lèvres. Il aurait aimé discuter plus longuement avec Selrach, ou même n'avoir que comme seule compagnie Aurore, mais déjà le seigneur de Vitrolles leur faisait un discours sur ses plus intimes projets. Samuel parlait de ces chantiers navals du Salin du Lion qu'il avait construit quand il était lui aussi qu'un vassal. Un héritage qui lui permettait de concrétiser. Bientôt la flotte de la vicomté de Marignane serait très puissante et voguerait jusqu'en Barbarie pour rendre la pareille aux Maures.

J'aperçois une noble voisine à Marignane ma mie, ne devrions pas lui dire bonjour ?
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Iraetignis
Les femmes, oui les femmes le perdraient, cela ne faisait aucun doute. Surtout elle, il y a à peine plus d’une quinzaine de jours, la donzelle en question rêvait de lui faire la peau ou lui souhaitait le passage de vie à trépas, et soyons francs, cela n’aurait point déplu au garçon de trouer la sienne et de faire que sa lame la traverse de part en part.
Le passif, entre les deux, était lourd. Mais les choses avaient évolué de façon substantielle et complètement imprévisible, après une cruelle morsure à la lèvre, les morsures suivantes furent bien plus sensuelles avant de devenir charnelles. Elle ne résista pas à la tentation, ils se possédèrent l’un l’autre et leurs débats se transformèrent en ébats.

Ses promesses aussi le perdraient, et encore plus celles faites à des femmes et plus particulièrement à cette femme …
Le garçon arriva au point de rendez-vous, une réception dans un château du coin. A peine mit-il le pied à terre que déjà, il entrapercevait une petite chose à laquelle il n’avait prêtée aucune attention …
C’était une réception habillée et lui était habillé et équipé comme s’il partait ou revenait de la guerre, comme à chaque fois qu’il voyageait. D’un autre côté il ne possédait que ce qu’il portait. Mais il y avait certainement mieux pour une réception qu’une chemise rapiécée et reprisée, bottes, éperons, rapière, dague. Ce n’était pas très adapté à la situation, quoique un bon coup d’éperon dans les tibias pour faire taire un inconvenant …
Au moins l’arquebuse, la guiterne et les besaces, resteraient suspendues aux flancs de Tornado.

Il jeta un oeil dans la cour . Yunette ne devait pas être encore là, sinon elle aurait attendu à l'extérieur. Il s'avança prêt à entrer dans la cour, tenant les rênes de la jument de la main gauche.
Misanata
misa dans coin... Elle n'avait pas faim... Les réflexions et les pensées pesante qui la hantaient ne sortait plus de sa tête... elle se levât de son coin sombre l'estomac en vrac... il était temps pour elle de s'éclipsait totalement...

Elle ne se sentait pas bien avec tout ce monde... Des vapeurs des frissons... Non elle ne pouvait pas rester...

Il n'était pas là pour la calmer... Il n'était pas là comme toujours... Elle ce maudissait de ne pas réussir a le faire sortir de ses pensées... Ce maudissait tout court...

froncement de sourcil colérique... elle prit un verre du premier alcool qu'elle trouvât et discrètement le bu cul sec...

Non misa restait la sauvage qu'elle avait toujours été...
elle s'éclipsât dans le jardin de nouveau
une petite balade nocturne à l'air libre lui ferait du bien!!!!

arrivait sur gazon bien entretenu elle préférât marché pieds nu et profitât de sa solitude

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La mort n'est que le commencement
Flore
La réception au château de la Pioline a dû commencer.

Flore a reçu une invitation par l'intermédiaire de sa cousine Irmine. Cette dernière a retrouvé son frère Samuel, comme prévu.
De son côté, Flore s'affaire à peaufiner son installation à Marseille et n'en a pas appris davantage. Irmine en tout cas ne lui a fait part d'aucun tracas lié à ces retrouvailles.
Aucune raison de s'inquiéter.
Pourtant, la jeune brune a hésité jusqu'aux derniers instants avant d'accepter de se rendre à cette soirée.
Samuel de Trévière ne connaît pas son existence. Depuis qu'elle est en Provence, Flore a constaté qu'il était renommé, impliqué politiquement et conseiller comtal. Elle ne peut s'empêcher de s'interroger : débarquer comme ça dans une réception à coup sûr guindée, est-ce convenable ?

Afin de chasser cette appréhension, elle se concentre sur ses vêtements pour la soirée.
Sa garde-robe est peu fournie. Il est toujours plus aisé de voyager léger et ses rentrées financières ne lui permettent pas de dévaliser les échoppes de tisserands.
Son choix définitif se porte sur une longue robe de couleur rouge carmin. Ce n'est pas vraiment une couleur discrète mais elle a toujours estimé qu'elle lui seyait à la perfection. Sa coiffure ne sera guère sophistiquée : elle manque aussi d'accessoires raffinés pour cela. D'habitude, elle attache ses cheveux mais pour l'occasion, elle se présentera sans artifices.
Pour une première impression, autant être la plus naturelle possible.

Son humeur enjouée reprend le dessus. Bon divertissement que ces préoccupations futiles. La peur s'est évaporée. L'esprit est clair. Elle ne reviendra pas sur sa décision : direction le château.

Arrivée devant la herse, elle se présente :

« Bonsoir Messire ! Je suis Flore de Lendelin, une parente de votre Seigneur. Dame Irmine de Trévière, sa soeur, m'attend. »
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--Ermetton


Le garde pensait avoir passé le cap du coup de feu. Tous les invités étaient arrivés, la soirée battait son plein, aucune incident à déplorer, bref une semi-sieste devenait envisageable.

L'homme fut sorti de son début de rêverie par une voix féminine.
« Bonsoir Messire ! Je suis Flore de Lendelin, une parente de votre Seigneur. Dame Irmine de Trévière, sa soeur, m'attend. »

L'air hébété de celui qui cherche la frontière entre les songes et le réel, il répond :

« Euh ... Hum ... Oui ... Dame Irmine. Je vous fais entrer et un domestique vous conduira à elle. »

Il conduit Flore à l'intérieur du bâtiment, la fait patienter puis répercute sa requête auprès de l'intendant.
Le serviteur zélé se rend dans la salle principale, où la réception se tient, et rejoint Irmine.
Discrètement :
« Dame Irmine, une jeune personne est arrivée au château et vous demande. Elle dit être invitée à la soirée du Seigneur de Vitrolles. Il s'agit d'une certaine Flore de Lendelin. »

Formé aux bons usages, il attend les instructions en silence, droit comme un i.
--Galaad_von_f.


D'un hochement de tête je signifie à la pas Reyne de maman que oui, j'ai faim. Elle parait gentille, ça doit être pour ça qu'elle est sa ma Reyne. J'ai pas compris parce qu'elle me dit qu'elle n'est pas sa Reyne mais qu'elle l'est quand même. C'est pas grave, là, j'ai faim.

J'aperçois Spada et Delta elles sont près du buffet, alors je prends la Reyne par la main et je la conduis jusqu'à elles. Je suis fier, peut être qu'elle aussi elle voudra que je sois son cavalier... C'est bizarre, j'ai l'impression de la connaitre la dame. Bah, si c'est une amie de maman, ça doit être normal.

J'ai faim faim faim, j'ai l'impression que tout le monde entend mon ventre qui gronde, il faut que je le remplisse si je veux qu'il se taise. Oh, et à peine j'arrive que Spada me tend du pain et de la tapenade, j'aime ça ! Elle me connait bien. Mais je partage, il faut toujours partager, alors je coupe en deux mon pain en essayant d'en mettre le moins possible partout et je donne une moitié de tranche tapenadée à la pas Reyne.
Selrach
A peine après l'avoir embrassé et rassuré d'un murmure, delta quitta son bras pour aller voir spada. Et le vicomte lui, partait saluer ses connaissances, se sentant abandonné et seul soudain, il s'éloigna des convives, tant qu'à être seul, autant l'être vraiment, rien n'était pire qu'être seul au milieu de gens qui ne le sont pas. Il arriva dans un coin plus calme, loin de l'agitation.

Il distingua soudain une ombre, il mit sa main sur le pommeau de son épée pensant à un vagabond ou même un voleur. Mais en se rapprochant, il se rendit compte que c'était une silhouette féminine, plus prés encore il reconnu une dame qui était là pour la soirée, il lâcha son pommeau, et l'interpella espérant ne pas lui faire peur.


Je vois que vous appréciez les mondanités autant que moi mademoiselle.
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Farwen
[Quelques jours avant la soirée]

Farwen a bien reçu le courrier du seigneur de Vitrolles, mais ne l'a ouvert que très tardivement, occupée par la mine, les nouveaux arrivants, et tout ce qui fait la vie Toulonnaise...
Quelle ne fût pas sa suprise en voyant une splendide invitation, au lieu des quelques mots polis et impersonnels auxquels elle s'attendait.
Une invitation à participer à une soirée forcément fastueuse, à laquelle participeraient les amis et la famille de Dahut.
A cette pensée son estomac se crispe un instant, mais ce n'est que passager : elle ne se fait aucune illusion, elle ne lui est rien, après tout! tout au plus une compagne de taverne pendant son périple toulonnais.
Et cette invitation, elle le sait, lui vient de son "affection" pour elle, comme il dit.

Elle a souri et beaucoup réfléchi. Elle y va? Elle n'y va pas?
De toute façon elle n'y connaitra personne... mais c'est également une occasion en or de cotoyer un instant un monde qui lui est totalement hors de portée, et elle le sait.
Et elle est curieuse... c'est cette curiosité qui la décide. Elle ira.

Bon, ceci étant décidé... que de détails logistiques à régler!
Grossssak pourra s'occuper de la douane pendant son jour d'absence, il vient de finir sa formation.
Elle n'est pas de garde, son blé pousse, et Paquita s'ocupera de la taverne sans elle pour un soir.
D'ailleurs....

Oui, Paquita devrait pouvoir l'aiderpour le second point qui la tarabuste : comment s'habiller?
Sa bourse est bien trop maigre pour pouvoir lui offrir la houppelande de ses rêves, de ce gris qui la fait rêver... avec une cape rouge...
Elle soupire... oui, Paquita pourrait lui prêter une houppelande : elle ne peut décemment pas aller à une réception en braies...

Et puis elle trouvera bien un cheval ou un âne pour la conduire jusqu'à Aix...

Bon, elle prend une grande inspiration, elle est décidée, elle ira!





[Le 28 septembre 1457]

Sur la route

Houla, c'est très inconfortable un âne! et puis ça ne va pas vite, et puis ça fait un peu ce que ça veut...
Elle a appris à l'auberge que la dernière jument avait été louée par son amie Spada, ce qui l'avait un peu soulagée : elle ne serait à Aix pas aussi seule que prévu!
Elle a presque fini les carottes qu'elle utilise pour faire avancer la douce bête, douce mais têtue, puisqu'elle a refusé l'idée de la badine...


Bon, c'est décidé, au retour je prends un baguette de saule ou de peuplier et je te ferai avancer, pas question que je dorme sur les routes cette nuit parce que tu préfères baguenauder dans la campagne!

Elle soupire, et regarde le soleil disparaitre derrière les collines : elle va arriver très très en retard...

Après encore une bonne heure d'errance hésitante sur les routes de provence, elle finit par arriver en vue de l'Hotel de Trévières.
Tant de lumières, tant de beauté lui coupent le souffle... heureusement que Paquita lui a prêté sa houppelande - la rouge - qui se marie finalement assez bien avec ses cheveux noirs, ses bottes noires, et sa ceinture noire qu'elle ne met jamais mais qu'elle porte pour l'occasion.





A l'entrée

Ca y est, elle est arrivée!
Elle contemple la cour, l'hotel, les lumières...
Elle sursaute un peu, en voyant les grilles et le garde armé de pied en cap mais d'allure bienveillante.


Bonsoir, Je suis Farwen, de Toulon, et j'ai reçu une invitation de votre seigneur... je suis en retard, ne le dérangez pas, mais pourriez vous me dire où conduire ma... monture pour qu'il se repose avant le retour?
Misanata
misa qui en marchant d'un pas lent se sentait bien dans son petit monde toute seule la au moins elle était sûre de ne pas faire d'ânerie!!

elle n'avait rien a craindre pourtant sa dague resté bien accroché a sa cuisse grâce a une petite ceinture en cuire!!!
des ce firent entendre très discrètement, elle ne pris pas la peine de se retourner surement quelqu'un qui passé juste!!! ou un valet qui avait a faire!!!
quand un voix d'homme s'élevât dans le silence


Citation:
Je vois que vous appréciez les mondanités autant que moi mademoiselle.


elle se retournât distinguât a la perfection la silhouette qui se détaché dans la nuit mais ne voyait pas vraiment qui elle avait en face!

"-effectivement sir! j'ai dût mal avec tout ça... Je préfère quand il y a moins de monde... Puis je suis trop habitué au feu de camp... Les manières je ne les connait pas!!!"

elle sourit légérement

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La mort n'est que le commencement






Selrach
"-effectivement sir! j'ai dût mal avec tout ça... Je préfère quand il y a moins de monde... Puis je suis trop habitué au feu de camp... Les manières je ne les connait pas!!!"


Et bien ... les manières importent peu, moi je ne les ai pas, je me contente de me moquer de ce que les gens pensent de moi.


Il lui fit un sourire qui se voulait rassurant, il imaginait très bien la situation dans laquelle elle était, il l'avait d'ailleurs connu à nombreuse reprises, comme en ce moment.

Pour ce qui est du feu de camp, ça se fait ... il suffit de trouver des bouts de bois et deux pierres.
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Iraetignis
Il franchit la grille sans encombre, le planton de service étant occupé avec une donzelle.
A peine fit il quelques pas à l'intérieur de la cour qu'un serviteur accourût pour s’enquérir du pourquoi de la présence d’un tel individu dans la cour du château. L’homme, pendant qu’il reprenait son souffle, dévisagea le garçon et pas besoin d’être devin pour lire dans les pensées du valet qui devait le prendre pour un gueux ayant perdu son chemin ou un quémandeur quelconque.


-Hé, le GUEUX, où tu vas ? T'a rien à faire là maraud ! ICI, c'est pas l'hôtel-dieu ! PASSE TON CHEMIN.

Quel accueil ! Le laquais devait être un peu miraud , n'avait il pas vu les armes et la jument ? Le garçon le dévisagea à son tour, prenant son menton avec les doigts de sa main gauche, la droite tenait toujours les rênes de Tornado, se donnant un air de profonde réflexion. Il aurait pu l'embrocher sur place, mais il était venu pour éventuellement profiter de la viande rôtie pas pour la préparer, il n'était pas maître queux. Un petit sourire sardonique apparut progressivement sur ses lèvres qui n’allaient pas tarder à s’entrouvrir. La voix d'Ira s’éleva, mais il ne cria pas.

- J’ai rendez-vous ! Oui c’est ça, rendez-vous avec une Dame, je dois lui servir de pot de fleurs ou un truc dans le genre.


Ira se tut quelques instants puis ajouta avant que le serviteur ne puisse répliquer.

- Ah léger détail mais qui pourrait avoir son importance, la dame en question est la marraine de celui qui reçoit … Ton maître, quoi ! Et elle serait très déçue, vraiment très très déçue de ne pas avoir son pot de fleurs préféré ! Dame Yunette qu’elle s’appelle la marraine …
Maintenant dégage, ou je te fais ravaler tes insultes ...
Deltamu
Une petite évolution entre les gens plus tard, voilà les deux demoiselles devant le buffet, les estomacs des brunes se rappelèrent à elles. Quelques bouchées après, les voila rejointes par Galaad et une dame qu'elle ne connait pas. Elle sourit à l'arrivante, réprimant une grimace en voyant le gamin commencer à... s'en foutre partout.

Certes, il avait bon coeur, mais sa robe était propre. Avisant un tranchoir de bois, elle y déposa quelques mets, prit dans sa main libre deux verres d'hypocras et se mit en quête de son appréciant. Se retournant, elle ne le vit pas là où ils s'étaient quittés. Elle fouilla la salle des yeux, crut apercevoir sa silhouette au dehors... Serait il en train de partir ?

Delta était en proie au doute, découvrant de nouveaux sentiments, de nouvelles sensations, qui aurait pu croire qu'elle n'apprécierait pas de le voir en discussion avec une demoiselle ? Parce que c'était bien ça qu'elle voyait en s'approchant. Allez, ma vieille, se dit elle, respire. Ce qu'elle fit. Et elle s'avança vers Selrach et la personne qui lui parlait.

- Une petite soif, Vous ? Bonsoir, l'autre.

Elle n'avait pu s'en empêcher, elle doutait que leur petit rituel passe ici, mais bon c'était plus fort qu'elle.
Kylee
J'aperçois une noble voisine à Marignane ma mie, ne devrions pas lui dire bonjour ?

Contre mauvaise fortune, faisons bon cœur. Reposant sa coupe sur le plateau d'un valet qui passait dans le secteur, elle posa son bras sur celui de son tendre ami.

Très bien, allons-y.

Oui, elle avait très envie d'aller dehors, oui elle avait très envie de danser, oui elle avait très envie de manger des cerises, mais dans la vie, on ne fait pas toujours ce que l'on veut. Même quand on se fait appeler Très Saincte Aurore des Tavernes. Alors un instant, elle posa sa tête sur l'épaule d'Alexis, puis se reprit, et ils se dirigèrent vers ladite noble voisine, qui n'était autre qu'Eavan, à qui Aurore adressa un franc sourire.
En passant, elle distingua dans la foule Fred de Cianfarano, qu'elle avait eu la chance de voir en plein effort lors d'une certaine visite médicale, et d'un geste de la main elle chassa les images de muscles saillants qui venait brusquement de lui envahir la tête. Namého, en voilà des manières !
Des cris émanèrent de la cour, elle arqua un sourcil, curieuse de voir ce qu'il se passait, mais après tout elle n'était pas chez elle ici...


- Comment allez-vous, Eavan ?

Un peu plus loin, elle avisa le petit garçon de tout à l'heure qui croquait à pleines dents dans une tartine de pain à la tapenade... Elle dut se retenir de ne pas l'imiter, le buffet lui faisait de l'œil... Et que n'aurait-elle pas donné pour avoir une bonne bouteille de Pauillac sous la main ?!
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Dahut
Citation:


Moran taing … merci … mais tu es … fou … c'est … trop … c'est ... inespéré … je ... sais pas quoi dire.


Tu as fait un long chemin pour venir jusqu’ici. Tu a tout ce qu’il faut pour être capitaine.

Samuel vint lui poser une bise sur la joue accompagner d’un grand sourire puis profita dans la présence d’un plateau de viande et légume a porté de bras pour s’en régaler et en proposer à la rouquine.

Nous irons marcher sur le chantier avant peu toi t moi et tu pourra faire les modifications nécessaires sur le navire ainsi que d’y inscrire son nom et choisir la couleur des voiles.

Samuel lui fit un clin d’œil…
Tournant les yeux mais tout en restant à ses côté, il aperçut, discutant avec Isabeau, Fred…

Mon ami !! Enored je t présente Fred, le maire de Marseille.À qui aussi peut être nous pourront passer accord pour le développement du projet qui sais…Car l’arsenal sera à quai de Vitrolles mais pour ma flotte commerciale privée, elle devra trouver des ports d’attaches un peu partout en méditerranée.

Il fit un chaleureux sourire.

Agadir et sa charmante Nora approchaient. Samuel réitéra les présentations en précisant tout l’attachement qu’il avait pour ce jeune homme prometteur et le dynamisme de sa compagne.
Samuel à cet instant jeta un coup d’œil a tout l’assemblé réuni.Il vit le petit Galaad au centre des attentions et cela le réjouissa… Mais sa marraine passerai-t’elle… ou était-elle ?
C’est en parlant de marraine qui s’approcha de Vero tout en restant non loin d’Enored Fred et Agadir.

Citation:
L'espoir tu l'as chevillé au corps mon Poussin... même dans la courbe la plus basse tu perçoit la lumière! ...

Il sourit à sa tendre amie et eu presque l’envie d’accueillir le compliment sans fierté.

Et ce n’est que le début de la courbe. Personne même bien soudé ne brisera l’envie des gens d’évoluer même si leur pouvoir en tremble. On ne vis qu pour le meilleur…Pas le temps d’attendre les arriéristes d’un autre temps.

Il se retourna prenant sa marraine par le bras pour rejoindre le petit groupe.

Enored, Vero de Beausoleil est ma marraine en termes de noblesse, je ne pouvais avoir mieux je dois dire.


Samuel sourit puis en parlant de noblesse, il s’assura que la baronne passait une bonne soirée ainsi que le Vicomte…
L seigneur quant a lui allait pour le mieux. Chopine de bon vin a la main. Le brouhaha des gens parlant dans la grande salle. Les notes de musique du petit groupe… La nourriture à s’en faire éclater la panse…

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