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[RP] Chateau de la Pioline - Hostel des Trévière

Misanata
Citation:

Et bien ... les manières importent peu, moi je ne les ai pas, je me contente de me moquer de ce que les gens pensent de moi.


misa esquissât un sourire

"-vous avez surement raison... Mais j'ai bien que ma folie importune les gens de cette soirée... je n'est vraiment aucune manière... Je me suis même surprise a préférer allé dans la cuisine à aider les gens de la maison..."

elle sourit de nouveau a la silhouette... Mais elle n'arrivait pas remettre un nom sur la voix qu'elle était sûre de connaitre!
Il ajoutât

Code:
Pour ce qui est du feu de camp, ça se fait ... il suffit de trouver des bouts de bois et deux pierres.


qu'elle idée splendide... Oui pourquoi pas faire un feu de camp pour bavarder... Elle se mit à rire malicieusement!!

"-en voilà une de bonne idée!!! pourquoi ne par chercher quelques bouts de bois et le reste"

large sourire malicieux sa peau blanche ressortant sous les lueur de la lune!!

"-alors mettons nous en quêtes de ce qu'il nous faut!"


elle abandonnât ses bottes et les bas qu'elle avait retirait avant dans un coin bien caché!!!

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La mort n'est que le commencement



















Khaliama
La normande avait finit par traverser tout le pays françois pour retrouver son futur époux. Les longues journées de chevauchées sur son Jason et en compagnie de son amie Cléopâtre, l'avait quelque peu fourbue. Mais l'excitation de le retrouver n'avait fait que primer sur son voyage. Le désir d'arriver et l'impatience allant toujours croissant, elle apprécia la pause nageuse avec sa blanche soeur. Au moins elles seront plus présentables d'autant qu'elle allait arriver à l'improviste. Du haut de son frison, elle regarda avec une certaine appréhension le domaine qui s'annonçait sous leurs yeux. Son coeur s'emballa une seconde devant les grilles, et d'une main ferme elle tira sur les rênes. Un dernier arrêt devant la grille avant d'entrée, elle regarda Cléo avec un sourire timide.
Voilà ma belle, on y est, je vais tourner une page de ma vie...

Elle se tut ne voulant pas se laisser déborder par l'émotion, la fierté prenant le dessus. Elles passèrent les grilles grandes ouvertes, découvrant un chemin fort éclairé. Elle avançait au pas. Elle avait tant attendue ce moment, et maintenant elle le redoutait à la fois...
Le domaine se découvrit enfin tout illuminé et des pages en livrés oeuvrant en tout sens à l'extérieur.

Mon seigneur doit recevoir ce soir ... heureusement que nous avons pris soin d'une toilette avant... même si nous sommes en tenue de voyage au moins nous sommes parfumés de fleurs et de lavande...

Passant le petit bassin, elles s'arrêtèrent devant le perron. Un jeune page arriva et vint à l'encontre des normandes. Un autre serviteur vint s'enquérir de qui ils devaient annoncer.

Bonsoir à vous, faîtes savoir simplement au maître des lieux que deux dames dont une portant des poulaines sont arrivées.

Elle lui sourit et l'invita de la main à filer vers l'intérieur. Elle tourna le dos à la porte et regarda son amie avec un sourire taquin et un clin d'oeil. Tandis qu'elles pouvaient entendre des bribes de musiques et de conversations par les fenêtres...

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Enored
Renaissance..

Tu as fait un long chemin pour venir jusqu’ici. Tu a tout ce qu’il faut pour être capitaine.

Oh oui pour avoir été long, il a été long le chemin. Le léger sourire disparu et l'Irlandaise retrouva tout son sérieux. Elle accepta un morceau de viande proposé par Samuel, même si ses boyaux n'étaient pas à la fête. Elle se devait de répondre à certains besoins.

Nous irons marcher sur le chantier avant peu toi t moi et tu pourra faire les modifications nécessaires sur le navire ainsi que d’y inscrire son nom et choisir la couleur des voiles.

L'idée d'aller sur le chantier raviva la flamme de son regard elle chuchota :


Si je m'écoutais, je t'enlèverais à tes invités pour y aller tout de suite ! Grâce à toi ... je ... revis ... merci

Le nom elle l'avait, il s'était imposé à elle quand Samuel avait fait son annonce. "Stoirmeacha" ... Tempête. Mot qui signifiait tant de choses pour elle. Elle écouta les présentations, saluant d'un hochement de tête les gens que son ami lui présentait. Ne faisant pas vraiment attention aux noms, elle savait que de toute façon elle ne retiendrait que les visages, pour les noms c'était autre chose, elle ne faisait l'effort que pour certaines personnes.

Mais son esprit était ailleurs, imaginant les quais, le chantier de construction, son bateau. Elle n'avait qu'une hate, laisser sa main glisser sur le bastingage, entrer dans les entrailles du navire, remplir son regard de sa coque effilée, patienter impatiemment le temps qu'il se termine jusqu'à ce qu'elle puisse lui donner un nom, son nom "Stoirmeacha". Le sentir glisser sur l'eau, entendre les voiles claquer dans le vent, sentir les cordages sous ses mains, sentir le souffle marin sur son visage, les vibrations du bateau sous ses mains posées sur le gouvernail, l'entendre gémir, craquer mais ne pas céder sous ses manoeuvres impétueuses.

Oui, si une partie de sa conscience était présente pour porter une légère attention à ce qui se passait autour d'elle, l'esprit de la pirate était tourné vers l'avenir. L'avenir ... elle qui avait cru le voir mourir avec Henri, voilà qu'elle y songeait à nouveau. L'avenir, songer enfin à nouveau à l'avenir... revivre. La rouquine fit un gros effort pour revenir à l'instant présent, au milieu des convives de son ami. Léger coup d'oeil circulaire. Samuel, en bon hote, veillait à ce que tout se passe bien. Elle resta à ses côtés, même si elle n'avait qu'une envie, sortir de là, monter sur le dos de son cheval et parcourir les lieues qui la séparaient de la petite merveille que le beau tavernier venait de lui offrir...

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Yunette
A peine rentrées en Provence, voilà qu’elle devait se rendre au dîner organisé par son filleul. Sa marraine était déjà partie, elle ne lui avait pas dit qu’elle s’y rendrait aussi. Elle ne s’était décidée que la veille, lorsqu’il lui avait promis de l’y accompagner. Etrange union que la leur, cet homme qui lui avait juré qu’un jour il tuerait Galuche. Premiers rapports à coups de gifles, de poings même. Elle se défoulait, la douleur lui donnait l’impression de vivre. Enfin… Avait-elle vraiment le droit de s’oublier dans les bras de cet homme alors qu’elle était censée pleurer encore son fiancé ? Son cœur lui disait que oui, sa tête que c’était inconvenant. Mais… cela faisait un moment qu’elle avait laissé les convenances de côté.

Elle cherchait une tenue appropriée, ses vêtements de voyage n’étaient décidément plus en état, après la grotte, les batailles et le voyage. Dans sa chambre elle trouva une robe qui lui avait appartenu, souvenir du séjour passé à Salon il y avait longtemps. Un autre temps, une autre vie. Appelant une domestique, elle réclama ciseaux, aiguille et fil et entreprit de récupérer de la matière pour créer un col assorti. Elle reprit un peu la taille aussi, ayant perdu du volume ces derniers temps, bien que commençant à se remplumer. Elle se fit aider, bien sûr, sinon elle y serait encore. Le résultat était assez convainquant. La robe lui tombait à la cheville, le col montant en haut de son cou, rendant sa cicatrice invisible. Ses mains seules témoigneraient de ce qu’elle avait vécu. Ses mains brûlées, couturées de cicatrices. Et sa démarche.

Cette envie de vivre à nouveau, de plaire à un emmerdeur, il y a peu, elle n’y aurait pas cru. Elle se fit aider un rien pour la coiffure, une simple tresse ornée d’un ruban. Un seul bijou, sa boucle d’or à l’oreille, cadeau d’un ami. Sa médaille de baptême, calcinée, n’était pas présentable. Et, elle avait du mal encore à la porter, ne s’en sentant pas digne. Elle emprunta un cheval à l’écurie de sa marraine, elle était en retard, très en retard. Il faut dire que les travaux de couture à la dernière minute, pour être à l’heure, ce n’était pas conseillé. Elle réussit, ne cherchons pas trop comment, à ne pas abîmer sa tenue durant le voyage. Enfin, elle apercevait la Pioline, ses lumières.

Elle fit ralentir sa monture et sauta à bas, sans, par une facilité scénaristique déconcertante, se prendre les pieds dans sa robe. Elle finit les quelques mètres la séparant de la grille à pieds, voulant réchauffer quelque peu ses jambes pour amoindrir son boitement. Une silhouette pas inconnue d’une jeune femme un peu perdue, Farwen, lui arracha un petit sourire. Une personne amie, déjà, ça ne commençait pas si mal. Deux autres cavalières un peu plus loin qui attendaient son filleul ; elle confia ses rênes à un palefrenier. Adressa un
– Von Frayner à un page venu s’enquérir de son identité et se dirigea vers celui qui, discrétion incarnée, menaçait un garde des ires du maitre de maison s’il ne le laissait pas entrer. Son sourire s’agrandit alors qu’elle s’approchait.

- Un pot de fleur hein ? J’ai vraiment dit ça ?

Sourire, encore. Franc, d’une jeune femme heureuse, non pas une petite fille, monsieur, non pas. Il était venu, elle se sentirait bien, ce soir, quoiqu’il se passe, qui que ce soit qui vienne. D’un simple regard elle fit comprendre au garde qu’il lui valait mieux rebrousser chemin, c’est qu’à force de trainer ses guêtres avec une baronne, on apprend à imiter ses façons de faire. L’autorité, ça l’amusait. Un palefrenier vint récupérer Tornado, tandis qu’elle-même prenait le bras et la main d’Ira. Brûlée par la colère. C’était ça. Ignis et Ira, Ira et Ignis. Un comble pour une incendiaire.

- T’as raison. J’aurais été déçue, très déçue… Mais tu es là.

Profitant du moment, elle l’embrassa tendrement avant de l’entrainer, doucement, prenant vraiment son temps, vers l’entrée de la salle. Elle n’était pas pressée, appréhendant grandement qui elle pourrait y trouver. Elle s’appuyait contre son pot de fleur favori, c’est lui qui le disait, sa main se resserrant sensiblement au fur et à mesure de leur avancée.
Cleopatre2
Les deux jeunes femmes avaient galopé encore depuis leur baignade, et étaient arrivées en riant devant les grilles du Domaine. La brune normande savait que sa compagne était heureuse d'etre la, et qu'elle était émue, mais ne le faisait pas voir, mais, elle, qui avait voyagé en sa compagnie, elle le sentait. Et elle lui sourit.

Elle aussi était un peu perdue, devant cette grande batisse..., elle mis pied à terre, et fini le chemin jusqu'au perron en tenant son joli arabe noir par la bride. La jeune femme ne savait ou regarder, tout étant magnifique... et non loin, on entendait de la musique et un brouhaha sans nom.

La brune ne savait que dire, ni meme répondre à sa compagne... elle était devenue muette... elle arrivait dans un monde inconnu pour elle. Et elle laissa son amie de voyage se présenter, et elle la suivi à l'intérieur.
Farwen
Elle laisse sa... monture au garde, se retourne et.... s'arrête net, comme figée par la surpise....
Cette femme là-bas... elle la connait, elle en est sûre!


Yunette, Yunette est de retour!

Puis voyant l'homme qui attend son amie si longtemps partie

et elle est accompagnée... bien ça!

Tiens, elle n'est donc pas si en retard que ça.... Yunette, puis deux femmes à cheval...
Elle se dirige donc d'un pas à peu près assuré vers l'hotel.
Elle entre....


houla que de monde!

Elle s'avance et regarde autour d'elle...
Elle se perd en contemplation devant des soieries, des dentelles, des ors et des couleurs splendides, des formes audacieuses ou classiques....
Elle jette un oeil à "sa" propre houppelande, la trouve décidément très à son goût et raisonnablement dans les tons, remet son col en place.
Puis elle se met à la recherche à la fois d'une figure amie, mais aussi du buffet : le voyage à dos d'âne lui a laissé des douleurs "bien placées", mais la faim la tenaille depuis maintenant un bon moment!
Elle entraperçoit une rousse flamboyante aux côté du seigneur des lieux très souriant, une dame à robe blanche immaculée et visiblement enceinte, certaines personnes semblent très à l'aise, d'autres beaucoup moins...
Comme elle se perd dans tous ces visages, elle choisit d'abord de trouver le buffet.
Repéré.
Elle s'en approche avec un sourire, évitant les groupes mouvants et murmurants.

Et qui voit-elle à côté du buffet?
Galaad! très sérieux, la main pleine de... miettes de pain et de tapenade, semble-t-il, tendue vers.... Delta!
Deta sans Selrach? il doit bien etre dans l'assemblée....
Et puis Spada qui discute avec... Eavan, toujours aussi digne, altière et souriante.
Farwen sourit, les toulonnais sont là...
Elle cherche des yeux Yunette, impatiente d'assister aux retrouvailles de Galaad et de sa mère, mais se promet de n'en rien dire à l'enfant, pour éviter les espoirs déçus.
Avec Yunette, on ne sait jamais....

Elle se dirige donc vers ses amis


Bonsoir à tous, je suis bien aise de vous trouver là!
Eavan, je suis contente de te voir ici, ça fait un moment que tu es partie de Toulon!
Delta, où as-tu mis ton appréciant?
et... heu... fais attention à ta robe, parce que là... heu...
Galaad, je suis ravie de voir un homme dans cette assemblée!


pour finir elle se tourne vers Spada avec un sourire malicieux et lui lance faussement courroucée

Spada, ma belle, je te remercie : comme tu as loué la dernière jument de l'auberge, je suis venue en âne, ce qui m'a pris un temps considérable et une énergie au moins équivalente.

elle rit en se massant distraitement le... heu... l'endroit encore sensible de sa personne, et puis regarde le buffet d'un air gourmand

mmmmmmmmmhhhh!
du jambon italien, des olives, de la tapenade - comme sur les mains de Galaad et... heu... maintenant sur la jupe de Delta - du pain superbe... des fruits, des légumes, des viandes, des fromages... il a bien fait les choses, notre Samuel!
tout cela donne très très envie...


elle commence par piquer un peu de melon, les derniers de la saison, et met du jambon sur un morceau de pain.

sourire, clin d'oeil, bouche grande ouverte...


miam, bon appétit à tous!
quelqu'un veut quelque chose?
Spadachocolat
Galaad ! Tu t’en es mis partout !

Finissant avec empressement sa tranche de pain aux olives, Spada essuya le menton de l’estomac sur pattes qu’elle affectionnait tant. L’enfant, qu’elle ne connaissait que peu le jour où elle avait pris sa garde, occupait dans sa vie une part de plus en plus importante ; un attachement profond la liait dorénavant au petit. Parfois, quand elle était prise d’une nostalgie, d’une angoisse ou d’une tristesse -ou des trois-, sa présence la réconfortait. Immensément.

Son visage nettoyé, Galaad se vit octroyer un sourire affectueux. Légèrement attristé, aussi, car repenser aux choses pour lesquelles le petit, sans qu’il ne les connaisse entièrement, ainsi qu’à d’autres plus récentes et d’un tout autre domaine, avait quelque peu miné le moral de Spada. Delta était partie, et maintenant Spada se retrouvait face à face avec Eavan. Il fallait trouver quelque chose à dire, mais présentement son esprit se trouvait embrouillé d’histoires d’incendies, de conflits, de trop-vides ou de trop-pleins –autant de choses, en fait, qui depuis quelques temps portaient sérieusement atteinte à son équilibre mental. Donc tout
ce qu’elle réussit à bafouiller, c’est :


Oh, euh, bonjorn Eavan ! Comment vas-tu ?

Banalités, toujours vous nous empêchez de demander les vraies choses… La langue de Spada s’était coincée sous son palais et elle ne put articuler mot plus personnel. Ou question. Comme savoir si elle avait des nouvelles, des lettres ou même si elle l’avait vue, par exemple…

Son œil fut attiré par l’entrée, devant laquelle elle aperçut Farwen, l’air sans doute encore plus perdu que n’était le sien à son arrivée. Présence réconfortante, encore une. Elle était en train de les rejoindre, et quand elle fut parvenue au buffet, Spada se reprocha son accès d’amertume. Son amie était si vivante qu’elle retrouva instantanément le sourire qui avait traitreusement quitté son visage.


Spada, ma belle, je te remercie : comme tu as loué la dernière jument de l'auberge, je suis venue en âne, ce qui m'a pris un temps considérable et une énergie au moins équivalente.

Eh ! Si tu m’avais dit que tu venais aussi, nous aurions fait route ensemble ! Franchement Farwen… Venir ici à dos d’âne ! Tu ne changeras donc jamais !

Et c’était même un éclat de rire qui était venu ponctuer sa phrase. Bien, l’optimisme semblait être de retour. Spada posa sa main sur l’épaule de Farwen, et elle était en train de se pencher pour lui murmurer qu’elle était heureuse de la voir à cette soirée, quand elle se figea. Littéralement.

On avait à nouveau franchi la porte d’entrée, et aux côtés d’un homme inconnu, il y avait quelqu’un dont la présence était absolument inattendue et inespérée, quelqu’un dont la physionomie était familière, quoiqu’ayant subi plusieurs changements durant cette longue période, oui quelqu’un.

Yunette.

Et Spada qui aurait voulu courir la prendre dans ses bras, lui raconter mille et une choses, lui en demander tout autant, ou même simplement lui faire part de la joie qu’elle avait de la retrouver, rester plantée là comme une cruche.

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Procuraire de Prouvenço Lièure
Cònsol de Touloun
Luèctenent de Policia de Touloun
Octave, incarné par Dahut
Un valet fut appelé par Octave. Ce dernier répéta les mots de la fort charmante cavalière sans vraiment comprendre le sens assurément profond la présence de poulaine dans l’annonce de la l’attente physique et actuelle des deux femmes qui semblaient là uniquement dans le but de rencontrer prestement sa seigneurie qui devrait fort aisément interpreter la signification de la métaphore une fois le message passé par le serviteur empoté qu’était celui la, après un long voyage qu’il pouvait deviner à l’allure des montures prises en charge par les pages qui tournaient.

Octave laissa alors rentrer d’autres invités pour ne pas laisser les demoiselles seules attendre et commençait à se demander si, de les retenir, il ne faisait pas une boulette finalement alors qu’elles restaient pour leur part forte en assurance qui était renforcée par des petits sourires de malice que le jeune chambellan remarquait sans mal en pensant a sa propre sœur qui aimait tellement l’embeter et tenait la même attitude en cachant les confiseries en attendant que lui meme s’en aperçoive.

Octave a cet instant se rappela alors que l’anniversaire de sa tante par alliance du coté de la mere de son pote d’enfance était dans trois jour et qu’il ne faillais pas qu’il occulte de lui envoyer une missive sur papier vélin d’Italie avec les mots de tendresse qu’il avait l’habitude d’employer pour parler a son chat et ne pas faire comme l’année derniere ou il n’avait trouvé de papier car ce jour la il s’était retrouvé dans une taverne avec un sourd et un aveugle qui clamaient qu’ils venaient de tuer un ours a coup de bouteille en arrivant et qu’ils l’avaient enterré dans l’arrière court de l’établissement réputé pour ses pieds de table qui s’avérait être la ou la cousine du voisin d’octave Avait retrouvé sa meilleure amie cherchant sous la table ses bijoux de famille égarer au cours d’une partie de ramponneau a laquelle elle ne participait pas…

Le valet revint avec le seigneur et se plaça derrière lui … Octave leva la tête
Dahut

Samuel continuait de tourner parmi ses invités qui semblaient passer du bon temps et tentant de rassurer les demoiselles qui semblaient timides…Parlant a sa sœur, il aperçut Farwen et allait pour s’avancer vers elle et la saluer… Mais un homme vint lui souffler dans l’oreille

Sire Sire deux poulaines dont une arrivant des portes sont damées!

euh
non euh

... des dames arrivant de Poulaine ont apporté

Arf

Au grand dame y’a plus de laine à la rive emporté par les poux…


Sans bouger le reste du corps et Samuel décala lentement la tête en contorsionnant son cou avant de tourner le visage, les sourcils relevés et un air fortement suspicieux au sujet de la santé du jeune homme…

Votre nom mon ami ?


Barbe d’abbé euh Barnabé votre saigne et rit… Seigneurie pardon

Hmm je vois merci mon brave…

Samuel regarda sa sœur et s’excusa avec pour argument de son départ un regard interrogateur.

Il décida alors de laisser à plus tard sa rencontre de ce soir avec Farwen qui s’était rapprochée de ses amis puis il se dirigeât alors vers le Hall…
Là il resta stupéfait en découvrant sa marraine accompagnée d’un homme…

Marraine !!!!????

Sans mot et surpris... Un sentiment de joie soudain, il lui attrapa les mains et lui serra dans les siennes avant de les embrasser…

J'en crois pas mes yeux... tu es de retour!!!

Il observa, même suspect comme a son habitude, l’accompagnateur avec le sourire

Sieur

Barnabé tira la manche du seigneur sans tact et faisant signe que la personne attendait toujours… Samuel était des plus confus pensant que Yunette était l’objet de l’appel étrange de ce valet cocasse.
Bien irrité et embeté, il regarda sa marraine qu ‘il n’avait pas vu depuis si longtemps…

Pardonnes-moi, mais il me semble qu’un gentilhomme serait aise de te voir…


Il ouvrit le bras pour lui offrir le passage dans la grande salle ou raisonnait la musique et se trouvait un petit homme au soin de Spada.

Samuel repris son sérieux instantanément et avança… Enfin… Son regard se posa sur la porte… Sur le seuil… Sur la femme, qui était là… Son cœur s’arrêta…Il s’arrêta après seulement deux pas…

Kha ? Khali ? mon amour ?

Il la distinguait pas si bien dans la peine ombre mais il ne pouvait se tromper… Il resta sans plus un mot dans l’attente d’une réaction d’une réponse à son doute… Ne pouvant y croire.. Ne s’y attendant pas de plus en ce soir de festivité. Cela n pouvait être l’exacte réalité…Comment ne pouvait-il ne pas être au courant de sa présence en Provence…? D’après ses calculs, elle devait encore être en lyonnais… Mais pourtant cette allure, il la connaissait mieux que toute…

Il avança alors à tâtons sous le regard du chambellan et du valet bien incapable de comprendre ce qui se passait a cet instant.

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Irmine_de_treviere
[Quand une Trévière cache une Lendelin ...]

La rouquine un peu en retrait, observait les convives, écoutant le discours de son cher frère. C'est à ce moment là que l'intendant se glissa près d'elle pour l'avertir d'une arrivée.

« Dame Irmine, une jeune personne est arrivée au château et vous demande. Elle dit être invitée à la soirée du Seigneur de Vitrolles. Il s'agit d'une certaine Flore de Lendelin. »

Elle esquissa un léger sourire et lui répondit sur le même ton :

"Conduisez moi à elle, je me chargerais du reste."

Irmine s'eclipsa discrètement à la suite de l'intendant, vérifiant que Samuel soit occupé et qu'il ne remarque pas son absence. Puis elle arriva dans le hall et aperçu Flore, resplendissante.

Bonsoir Flore ! Tu es magnifique !

Dis moi tu vas bien ? Pas trop angoissée ?


Elle la serra dans ses bras avant de se reculer et d'ajouter :

Pas sûre qu'il s'attende à rencontrer un nouveau membre de la famille.

Elle lui fit un sourit malicieux et complice. Les deux jeunes femmes avaient passé leur enfance ensemble et c'était toutes deux qu'elles avaient rejoint la Provence, pour vivre au côté de Samuel.
La rouquine tendit son bras à la brune, pour l'entrainer avec elle dans la fosses aux lions ...

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Selrach
La jeune femme avait accepté son invitation pour le feu de camp, il allait se mettre en quête de bois et de pierres quand une voix se fit entendre derrière eux.

- Une petite soif, Vous ? Bonsoir, l'autre.

Large sourire aux lèvres, sans même se retourner il savait qui c'était, par la voix et par le rituel tant apprécié. Il se retourna, elle était revenue, il en était heureux. Il prit la coupe. Et la remercia d'un baiser.Il lui murmura a l'oreille

Merci, Vous. J'ai cru que vous m'aviez abandonné.

Puis, portant la coupe à ses lèvres, il ajouta plus fort

On allait partir en quête de bois pour faire un feu, vous vous joignez à nous ?
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Prouvencao
Alexis suivait sa belle qui filait droit sur Eavan. Au passage il enleva un plateau de friandises à un domestique, lui lançant un regard d'une rare intensité pour qu'il ne prête aucun désappointement à l'acte du vicomte. Puis, tout sourire, enfournant quelques amuse-gueules, il arriva finalement à la hauteur des deux dames qui enchainaient déjà à une discussion des plus courtoises.

Ma dame la baronne, belle voisine, je viens vous rendre quelques hommages légitimes, et vous signifier paix et prospérité en vos terres de la part de Marignane, dit Alexis tout en s'inclinant gracieusement, maintenant en équilibre son bien le plus précieux, le plateau des quelques mets pas encore dévorés.

Mais je suis des plus indécents, quelques calissons d'Aix ? Ou bien des rôties de tapenade ? Ceux-là je peux vous certifier l'origine, oliveraies de Rognac en ma vicomté sous l'égide de notre hôte, le seigneur de Vitrolles !

Le vicomte de Marignane sourit aux deux femmes.
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Deltamu
Délestée d'une coupe, agrémentée d'un baiser, Delta sourit. De si peu il avait apaisé la tempête qui commençait à se déchainer intérieurement. Elle n'était pas jalouse, elle, elle le disait si bien... A croire que là, là c'était différent.

- Vous abandonner ? Comment avez vous pu croire telle chose ?

Elle l'écouta reprendre. Un feu... C'était une fort belle idée. Elle avait en main les provisions, de quoi boire, c'était parfait. Mais... elle fronça les sourcils. Le regarda.

- Ah, oui, ça m'intéresse. Fortement. Et vous comptiez me prévenir de cette idée ? Pour le coup, c'est vous qui m'abandonniez...


Et voilà, elle bouillait de nouveau. Et plus fort encore qu'avant. Mais fiente à la fin, ça commençait à être pesant de ne plus se maitriser ainsi. Respire, Delta, respire, tu peux le faire. Elle se tourna vers la femme qui l'avait ignorée.

- Delta. Son amante.
Enored
Entre désespoir et liberté s'offre la renaissance.

La rouquine cherchait depuis un petit moment comment s'échapper de la soirée. Elle se sentait de plus en plus mal au milieu de tout ce monde. Samuel était accaparé par ses nombreux invités.

Sire Sire deux poulaines dont une arrivant des portes sont damées!

Elle l'avait sa sortie ! La pirate laissa Samuel se diriger vers l'entrée et décida d'appliquer une règle d'or chère au code pirate : « la fuite ! » Un regard circulaire dans la salle, personne ne faisait attention à elle. Elle voulait laisser au maître des lieux prendre un peu d'avance avant de se décider à la suivre. Au final, elle était libre de partir.

Marraine !!!!???? J'en crois pas mes yeux... tu es de retour!!!

Surprise la rouquine manqua de lui foncer dessus. Elle ne l'avait pas vu s'arrêter. Sa marraine ? Pourtant l'autre … hum l'autre c'était sa marraine dans la noblesse si elle s'en souvenait bien. Oui cela devait être cela. Qu'importe, trop de monde ce soir pour retenir qui est qui. Elle regarde le couple et voit le valet tirer sur la manche de Samuel. Ce n'était pas la dame aux poulaines.

Samuel recommença à avancer pour s'arrêter à nouveau. Décidément. Dans le contre jour, une silhouette.

Kha ? Khali ? mon amour ?

Choc. La rouquine se sentit pâlir, vaciller. Situation qui en rappelle une autre, et pourtant qui n'a rien en commun. Écho d'une voix dans des souvenirs douloureux. « Mo ruin ! » Une ombre à la place d'une ombre... La rouquine s'appuie contre le mur le plus proche, se cachant dans l'ombre. Effort surhumain pour revenir à l'instant présent ne pas gâcher ces retrouvailles. Rester dans l'ombre le temps de retrouver ses esprits. Elle ne pouvait, ne voulait sortir par là. Doucement, elle se reprit et sortit de l'ombre. Samuel était pétrifié par l'apparition. Elle se détourna de la scène, regagna la grande pièce sans accorder un regard à personne, l'attention fixée sur la sortie qui donnait vers le jardin.

L'air frais de la nuit lui fit du bien. Elle respira un instant, son attention fut attirée par le ton cassant d'une jeune femme. Une crise de jalousie ? Réponse de l'homme qui se tenait non loin de Misa. Scène pitoyable. La rouquine remonta sa capuche, dissimulant ainsi son visage dont l'expression était partagée entre le désespoir et la colère. Les souvenirs brusquement remontés lui avaient rappelé son incapacité à le défendre, à le garder en vie, lui qui avait si souvent sauvé la sienne... Elle se détourna du château partant à la recherche des écuries qu'elle mit un certain temps à trouver. Agacée, elle récupéra sa monture et gagna la sortie du domaine. Brisée plus par le remord que par le souvenir, la rouquine laissa son cheval galoper à sa guise. Remord … Silence … Renaissance.

Tenue en vie que par le bruit des sabot, la rouquine se laissait bercer par le mouvement régulier de sa monture l'accompagnant vers l'oubli. Remord … Silence … Renaissance. « Mo Ruin » deux mots qui éclatent dans sa tête, deux mots qu'elle n'entendrait plus jamais … Souffrance … Silence … Oubli … Renaissance. Oublier elle ne pourrait jamais … mais revivre, rester libre, elle lui avait promis. Du fond du désespoir renaissait l'espoir. Quelques mots prononcés par un ami. Un cadeau, c'était bien plus qu'un cadeau ce qu'il lui proposait. Une nouvelle vie. Quelques mots qui reprenaient sens dans son âme dévastée par la souffrance. Souffrance … Oubli … Renaissance. « Nous irons marcher sur le chantier avant peu toi et moi » Quelques mots qui avaient suffit à la faire revivre. « Kha ? Khali ? mon amour ? » Quelques mots qui avaient failli la détruire, qui l'avaient plongé au plus profond de sa détresse, qui l'avaient fait plonger au plus profond de son gouffre de désespoir pour … la faire revivre. Elle comprenait ce qu'elle avait fait subir à Caline la veille. Mots qui détruisent pour faire revivre. Mots qui crèvent l'abcès purulent de son âme. Mots qui laissent remonter le chagrin à la surface. « le premier sera offert a ma vieille amie Enored en tant que sa simple propriété ». Chagrin … Renaissance … Liberté... Car c'était cela qu'il lui offrait. Retrouver sa liberté, se retrouver. Le cheval s'arrêta soufflant fortement. Il était épuisée. La brise de la nuit fit réaliser à la rouquine que son visage était baigné de larmes. Elle comprit alors qu'il l'avait libérée et que grâce à ce précieux cadeau elle allait pouvoir revivre.

Elle flatta l'encolure de son cheval et descendit. Elle réalisa qu'elle ne savait absolument pas où elle était.


Qu'importe … Diancecht, guide moi.

Elle avait toujours eu une relation étrange avec son cheval, comme s'ils se comprenaient. Depuis la mort d'Henri, elle lui avait donné le nom du dieu médecin... léger soupire. Il était temps de se laisser gagner par la renaissance, la liberté, ne plus rester prisonnière de son désespoir et ainsi tenir la promesse qu'elle avait faite à un mourant qu'elle avait tant aimé... L'animal s'ébroua et se remit en route, doucement, respectant le pas de sa cavalière... Au milieu de la nuit, un cheval guidait une pirate vers sa nouvelle vie... Liberté ... Reconaissance ... Renaissance ...
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Misanata
Citation:
Delta. Son amante.


misa fronçât un sourcil amusé!!
La jalousie dévorant la dame!!

"-enchanté je suis misa!!"


c'est non sans un sourire qu'elle dit ça!!mais voyant qu'elle était de trop elle préférât encore une foi s'en allé!!
elle n'avait pas envi de se disputer...

"-mais je vais vous laissez entre vous dame l'amante!! et surtout n'ayez crainte je ne m'approche pas des hommes qui on des amantes des femmes des courtisanes des fiancés enfin qu'importe!!! "

elle reprit ses affaire s'apprêtant allé voir ailleurs












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