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[RP] Chateau de la Pioline - Hostel des Trévière

Deltamu
- Pour l'enchantement...

Elle se retint de ressortir sa diatribe sur l'enchantement impossible tant que l'on ne connaissait pas vraiment les gens. Elle lui rendit son sourire. Détendue de par la demoiselle, si ce n'était par son appréciant. Dire le mot lui avait couté, mais elle l'avait fait. La suite...

- Sachant que vous vous apprêtiez à faire un feu, pourquoi partir ?


Maintenant qu'elle avait mis les choses au clair avec Misanata, nul risque de prise de tête, du moins avec elle, elle attendait encore de savoir s'il serait parti faire son feu sans la prévenir.
Khaliama
Elle observait les va et vient en compagnie de sa soeur, toutes deux semblant être prise d'un mutisme. Des invités apparaissant encore. Elle se dit que son homme serait fort occupé et elle se demanda si son arrivée ne le dérangerait pas plus. Elle regarda Cléo du coin de l'oeil. Elle était là sa fidèle lui faisant confiance. Alors que là à cet instant, des doutes venaient l'habiter... Puis quelques mots suffirent à la retenir...quelques mots qui l'empêchait tout détour...

Citation:
Kha ? Khali ? mon amour ?


Un frisson parcourut son échine jusqu'à la nuque... Elle se retourna vivement à ces quelques mots venant de sceller ses choix. Là à peu de distance dans l'encadrement de la porte illuminée par l'intérieur, dans sa belle tenue de soirée, elle en eut le coeur battant la chamade... cet être qui l'avait tant manqué, comme dans un halo apparaissait maintenant... un soleil... voilà le mot qui lui vint à l'esprit... mon soleil...
Elle tentait de contrôler sa respiration. Elle joignit les mains dans son dos pour maîtriser son appréhension et gravit les marches les séparant des plus lentement. Plus rien n'existait pour elle, ni serviteur, ni invités, même Cléo en cet instant n'était qu'une ombre rassurante à ses côtés...
Elle se campa devant lui... une inspiration... le regard brillant de le retrouver...


Bonsoir mon soleil...

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Misanata
Citation:
- Sachant que vous vous apprêtiez à faire un feu, pourquoi partir ?


misa la toisât du regard et haussât les épaules!!

"-surement préféreriez vous restez entre amant!! je me retire de la soirée de toute façon... J'ai rien a faire ici!!! mon feu de camp m'iras très bien"

elle enfilât ses bas et ses bottes
elle leur fît signe de la mains

"-passez une bonne soirée au plaisir!"

si elle était sortît c'était surement pas pour s'énervait avec une amante jalouse, ou ce faire surveiller sur ses moindre faits et gestes car elle aurait cru qu'elle dragué son homme hors de question!!

elle jetât un regard dans la grande pièce son frère ne s'y trouvant plus!!
elle haussât les épaules et d'un pas lasse s'en allât vers le grand portail!!!
un attroupement de gens misa marmonnât

"-mince..."

il était trop tard elle c'était déjà trop avancé... Mais surement dans la lueur de la nuit personne n'avait fait attention...
elle cherchât une échappatoire pour évité toute question quand elle reconnu l'allure de son frére

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La mort n'est que le commencement




















Cleopatre2
Les deux voyageuses n'eurent pas longtemps à attendre... un homme bien mis de sa personne arrivait à grand pas... il n'avait pas l'air très enchanté d'etre dérangé par des importunes pendant sa réception. Son air bien décidé disait qu'il allait les renvoyer sur le champ...

Mais son visage changea doucement. La jeune femme, le vit passer d'énervement, à étonnement, puis surprise... et... il s'arreta. Pour regarder les jeunes femmes présentes. Enfin, une seule l'intéressait... il la regardait comme si il avait vu une apparition...

Et les mots qu'il dit.... et son regard...prouvaient à eux seuls combien, il avait de sentiments pour sa blanche soeur, combien elle lui avait manqué, et qu'il était heureux de la revoir. Pour lui, comme pour elle, plus rien n'existait que leurs retrouvailles.

La brune normande, se sentie mal à l'aise et un peu déplacé en ce moment précis... se demandant bien, ce qu'elle faisait la... Et comme elle aurait aimé... elle aussi qu'on l'a regarde de cette manière, mais ne le fit pas voir. Elle était heureuse pour son amie qui retrouvait "son soleil" comme elle venait de l'appeler.

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"Si tu n'espères pas l'inespéré, tu ne parviendras pas à le trouver" Héraclite
Eavan
Eavan se laissa docilement, profitez en c'est pas souvent, tirer par la manche, enfin guider, vers deux personnes. Bien vite elle reconnut la mairesse toulonnaise, Spada. Il y avait elle un malaise, palpable à qui était attentif, si bien qu'Eavan ne tenta pas le premier geste.
Alors qu'elle voulut se présenter à l'inconnue, Galaad lui offrait, enfin lui fourrait dans les mains, pour être exact, avec une grande générosité, une tranche de pain tapenadée.
La Baronne, un sourire amusé, remercia bien poliment le gentleman et mordit avec dignité, et une grande maitrise de son appétit, dans le met offert.

A nouveau elle voulut se présenter, une fois la bouchée machée et avalée, mais là, l'inconnue s'était éclipsée. Bon, ben ce serait pour plus tard. Mais cette fois ci, le face à face avec Spada obligea cette dernière à ouvrir la bouche.


Spada a écrit:
"Oh, euh, bonjorn Eavan ! Comment vas tu ?"


Ma foi, je vais bien, merci. Et toi ?, la voix était calme, douce. Visiblement la Consol toulonnaise semblait perturbée par les évènements qui les réunissaient toutes les deux : incendie, disparition ... Elle ne voulait pas la brusquer.
La seconde suivante, Farwen déboulait. Bon sang mais tout Toulon était invité.


Farwen a écrit:
Eavan, je suis contente de te voir ici, ça fait un moment que tu es partie de Toulon !


Quelques mois oui ... Ravie de te voir aussi.

Enjouée, la jeune femme était enchantée de revoir tant de connaissances, d'amis peut être. Mais elle ne savait guère qui était de ses amis ou non ... Il semblait y avoir à chaque instant manipulations et trahisons, mensonges et illusions. Elle qui avait appris avec les armes ... Une lame de ment pas, elle est aiguisée ou non, solide ou non ... mais les Hommes étaient totalement différents.
Avant de pouvoir poursuivre la conversation, Eavan vit arriver auprès d'elle Aurore d'Aubignan.


Kylee a écrit:
Comment allez vous Eavan ?


Kylee, bonsoir, bien merci. C'est une joie de vous revoir, cela fait .. une éternité si ce n'est plus.

Un grand sourire. Voilà une personne qu'elle avait quitté, à l'armée, si ses souvenirs étaient bons. Oh il fut une période ou parler de l'Ost lui semblait comme raviver une blessure mais cela s'était passé. Avec le temps dit on ... les blessures guérissent.
Ah, le Vicom de Marignane arrivait, et accompagné lui semblat-il, d'un ami : le plateau. Mais dans la courbette révérencieuse effectuée par Alexis, la jeune femme ne put distingué avec sureté ce qui reposait sur le plateau. Et puis il fallait maintenant bien le regarder dans les yeux, c'eut été impolit de chercher du regard à manger.


Prouvençao a écrit:
"Ma dame la Baronne, belle voisine je viens vous rendre quelques hommages légitimés et vous signifier paix et prospérité en vos terres de la part de Marignane."


Vicom, soyez remercié, et ayez l'assurance que Salon signifie tout autant à vostre personne et son Vicomté. Mais trève de plaisanteries, qu'avez vous sur ce plateau ? Cela me semble de la prime importance.
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Farwen
Eh ! Si tu m’avais dit que tu venais aussi, nous aurions fait route ensemble ! Franchement Farwen… Venir ici à dos d’âne ! Tu ne changeras donc jamais !

Farwen rit et répond

Bien sûr! tu nous imagines tous les trois sur cette malheureuse jument? non vraiment, elle n'a pas mérité ça! ou alors il aurait fallu que tu courres à côté - oui, toi, parce que moi j'aurais abîmé la houppelande de Paqui et ça c'était pas possible...
Non franchement je pense que l'âne était la meilleure solution, excepté... heu... pour une partie encore sensible de ma personne... mais bon, je crains fort que sur un cheval la torture aurait été semblable.


Farwen prépare une seconde tartine, la tend à Galaad.

ça te dit du bon jambon italien? et le pain semble délicieux... ah oui, je vois aux miettes que tu l'as aimé aussi.

Elle lui sourit gentiment, puis relève la tête et voit Spada comme... figée...
Elle tourne la tête et voit...

Elle voit la raison de l'arrêt sur image de Spada, elle voit Yunette entrer - c'était bien elle, il n'y avait aucun doute - et Dahut se précipiter vers elle.... et s'arrêter net lui aussi - mais qu'ont-ils tous à se figer comme s'ils avaient croisé une gorgone?


Kha ? Khali ? mon amour ?

Les cavalières, enfin, l'une des deux cavalières. C'est donc elle. Farwen sourit doucement. La voilà, la promise tant attendue. Dahut doit être tellement heureux...
Elle ne le croisera probablement pas ce soir là, il aura bien mieux à faire!
Elle se tourne doucement mais résolument vers Spada et Eavan. après tout sa vie est à Toulon, pas dans un chateau!
Elle mord dans sa tartine, pour se donner une contenance et se tourne vers Eavan et le couple qui vient d'arriver.


Bien le bonsoir, Dame, Messire...
Yunette
La porte d’entrée. Ils y sont. Enfin… Enfin ? Non, plutôt déjà… Elle a eu beau ralentir le pas, ils s’en sont rapprochés, inexorablement. Farwen les dépasse s’enfonçant dans la salle, vers le buffet. Une vraie toulonnaise, la bectance et la boisson. Normal. Une exclamation, - Marraine ! Elle quitte la toulonnaise des yeux et aperçoit son filleul qui s’approche d’eux, lui prend les mains, en arrachant d’ailleurs une à Ira, elle lui sourit. Récupérant ses mains, elle reprend celle de son emmerdeur - ou pot de fleurs – favori et regarde la direction que lui indique son filleul. Sa marraine est là bas avec son rongeur, Farwen, aussi, une silhouette qu’elle reconnait vaguement, Alexis et… non, ce n’est pas Héloïse à son côté, elle connait, elle en est sûre, mais à cette distance il lui est impossible de mettre un nom sur ce visage.

Un gentilhomme a dit son filleul. Effectivement, à côté d’une resplendissante Spada, qui, bouche bée semble avoir vu un fantôme, se trouve un bout d’homme, fort occupé à déguster un morceau de jambon fumé. Samuel s’écarte, pris dans ses propres visions, la femme qu’il aime visiblement, Yunette sera ravie de faire sa connaissance ensuite, mais, pour l’heure, elle ne se rend pas vraiment compte de ce qui l’entoure. Seuls comptent le bras et la main qu’elle tient et le bonhomme à l’autre bout de la salle. Elle avance vers le buffet, les jambes molles, bien accrochée, il le faut, sinon elle ne pourrait marcher. Les jambes lui manquent.

Elle sourit, enfin, elle essaie. Habitée par son aventure elle ne s’est pas rendue compte jusqu’à maintenant d’à quel point son fils lui a manqué. Au fur et à mesure de leur progression, la jeune femme indique des gens et des noms à Ira. Elle ne connait pas tout le monde, mais ça n’a pas grande importance. Arrivée devant le gamin, elle murmure à l’oreille du jeune homme que là est son fils. Elle se met à sa hauteur, lâchant la main de son amant tandis qu’elle s’appuie un peu contre lui, sa jambe n’appréciant guère la position.

Le temps s’est arrêté pour l’incendiaire, elle ne quitte pas le môme des yeux, en un geste maladroit, hésitant, elle tend la main vers lui, voulant lui caresser la joue.


- Bonsera, Galaad, mon fils. Maman est de retour.
--Galaad_von_f.


Elle a pris la tartine. Je lui souris, elle est gentille. Et puis je mords à pleine dents dans la mienne. Ch'est bon ! J'aime ça, vraiment. Spada dit que je suis tout sale ! Bon, j'en ai un peu sur les mains, mais c'est normal elle veut pas que j'utilise de couteau alors... J'ai tout finit en plus alors elle m'essuie et me rend propre comme un écu neuf.

Et Farwen qui m'offre du jambon ! Décidément je suis bien entouré, faut dire que Spada m'a dit que ce soir j'étais un homme vu que j'étais son cavalier, et je sais que je me répète mais c'est parce que je suis content d'être un homme. Et en plus et bien les dames elles sont toujours aux petits soins avec les hommes et c'est pour ça qu'elles me donnent tout plein à manger comme ça, après elles m'offriront à boire et tout plein de bisous. C'est bien d'être un homme.

J'ai fini mon jambon, j'ai plus faim. Tiens Spada elle dit plus rien, c'est pas souvent pourtant, elle parle bien Spada, surtout quand il y a des bruns ou Delta, mais Delta s'est éloignée et le brun s'est fait la malle il y a un moment maintenant. Juste, des fois elle écrit des choses et elle regarde le ciel. Tout ça pour dire que là, Spada elle dit plus rien et elle regarde des gens qui arrivent. Alors, je fais comme elle, je regarde.

C'est bizarre comme ça fait. Je sais pas trop qui c'est qui arrive, mais dans le dedans de mon corps, ça fait des boum boum bien plus rapide que d'habitude. J'ai envie de courir vers la dame, de crier sur le monsieur voleur... Je le reconnais, c'est lui le voleur de maman ! Elle s'approche de moi, elle ressemble pas à mes souvenirs, je me rappelle quand il y avait Célia à la maison et qu'on était heureux... Puis, Galuche est parti et Célia ensuite... et elle, elle est partie.

Elle avait promis de revenir vite avec Nours* pour me le ramener Et puis de revenir avec Galuche que même après ils se marieraient et qu'on serait contents comme avant. Je me rappelle son visage. C'est pas elle. Lui par contre, j'ai oublié, je crois. Et en plus, maman elle a menti, elle est pas revenue vite, j'ai quatre ans maintenant, c'est que ça fait longtemps.

En plus, maman elle marche pas comme ça. Et puis elle avait des joues un peu rondes et des yeux qui rient et puis ses mains elles avaient de la peau jolie. Sa main je la vois parce qu'elle est devant moi et qu'elle la tend pour me toucher la joue. Je veux pas. Je recule, me réfugie dans la jupe de Spada. Protège moi Spada, s'il te plait, j'ai peur.

Mon coeur bat très fort, je regarde maman, je ne veux pas, je sais bien que c'est elle, mais je ne veux pas. Non. Et puis je regarde l'homme qui est à côté d'elle, je lui lance un regard tout plein de colère. J'ouvre la bouche, Spada sera pas contente, je vais parler avant qu'on me parle, tant pis ! Maman était partie rejoindre Galuche et devait revenir avec lui, donc, je gronde Galuche, voilà !


- Pourquoi t'as fait ça ? C'est de ta faute si maman est partie !

* (oui je sais, pas d'ours en peluche, ni en laine, mais les RR c'est une uchronie, n'est ce pas ?)
Alexiane


Alexiane, goûta à chaque plats qui passèrent devant elle, bien qu’un peut gourmande elle savait apprécier la bonne cuisine.

Elle écoutait les brides de conversations de ci de là, souriant parfois à des regards croisés.

Elle n’était pas vraiment à l’aise mais n’en laissait rien paraître, le vin consommé l’aidait à se détendre au fur et à mesure que le temps passé.

Elle regardait les personnes autour d’elle...

Son ami Castor dont le bonheur s’affichait sur son visage, il est vrai que lui et Eavan formait un beau couple,


Plus loin Vero le soleil...sa jumelle...des coups de rires, des tonnes de souvenirs …..Et le temps n’avait en rien ternis sa beauté..

Un rire ….

Alex n’avait pas besoin de voir le visage pour savoir qui cela était...
Son ami Prou, là aussi des souvenirs submergérent dans sa tête,


Alexiane regardait, les autres personnes celles qu’elle connaissait à peine, ou voir pas du tout
Il y avait cette femme Enored, Alex se voyait un peu en elle…..

Son regard s’arrêta sur Dahut …… cet homme qui lui avait donné la raison de vivre, alors qu‘elle n‘attendait que son dernier souffle….

L’ambiance était agréable, Alex se leva emportant un verre de vin, et profita de la douceur de l’air pour s’isoler un peut dans le jardin ….

Elle remarqua deux femmes à l’entrée, les saluant de la tête, elle franchit les escaliers menant au jardin
Quand elle entendit derrière elle


Kha ? Khali ? Mon amour ?


Alex s’arrêtât un temps......
C’était donc elle que Dahut attendait avec grande impatience,
devais t’elle faire marche arrière et saluer la grande Dame....

Un sourire s’afficha sur ses lèvres, non elle aurait tout le temps de le faire, et ne voulait en rien gâcher de telles retrouvailles.
Enfin Khali était lŅ.

_________________
Flore
Flore veut faire bonne impression. Aucune idnde la retion du maae des lieux : amicale, intrigu:ou cela tournera en oction manu militari ?
Peu importe, dans tous les cas de figure, elle restera calme et digne.
Depuis son arrivb elle reste debout, en pleine observation des peintures morales, dans une posture stoee et empreinte de s nitïqu/span>

Irmine_de_treviere a eit:

Bonsoir Flore ! Tu es magnifique !


Une voix familis contribue ca rassurer. Elle accueille Irmine d un large sourire enthousiaste, lui rend son accolade.

> Merci. Tu n=as rien igenvier. Comme toujours, ta prestance est remarquable. Nous avons e tvnconne enseigne." Clin dpoeil

"Je suis ravie de te voir.e

Irmine_de_treviere a sit:
Dis moi tu vas bien ? Pas trop angoiss"?


Eclate de rire.



Irmine_de_treviere a
Pas sru'il s'attende /encontrer un nouveau membre de la famille.


l Croisons les doigts qu il soit plus ouvert que certains proven"x que jsai dl pu rencontrer dans la vie politique du comts
Tu as eu lioccasion de toen faire une idi Je te fais confiance. Tu ne me conduirais pas ionafaud. n


Sourit, accrochuau bras de sa cousine, son phare au milieu de cette salle peuplude t s inconnues.

> Et cnest parti n - murmure-t-elle.
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Selrach
Selrach regarda la sc un peu abasourdi, il nit ann=ar la rdtion ... quoique, il aurait stnt eu la ma. Il pensa un instant etenir la dame qui partait mais se ravisa, pas le moment de faire le fiûremet, vraiment pas. Fallait la jouer serre il ne pouvait pas dire clairement qu'il ne l'aurait pas attendu, il ne l'aurait snnt pas fait ... quoique... Dans tout les cas, on ne saurait jamais.

Il la regarda, dans le blanc, ou le noir des yeux, il ne savait plus, encore une fois il s'y perdait. Pas le moment d'admirer ses yeux ... quoique... il fallait r yir, et vite. Pas de temps cerdre elle patientait rse voyait. Et puis cette fois, un baiser ne roerait s nt pas le probléch. D'habitude il s'en serait contentemais il ne voulait pas la prendre pour une imbsle, il l'appreait trop pour cela. L'embrasser èmee moment pres serait pire que tout.

Il prit une grande inspiration.


Voyez, je ne peux pas vraiment rtndre, ce que je peux dire c'est que en effet au moment de votre arrivb je ne songeais pas nous appeler. Mais quelque chose en moi ... me dit que ... Je n'aurais pas pu partir sans vous ... Qu'aprtdeux pas, je serais revenu sur ceux ci, naturellement et que j'aurais s vous chercher ... Je vous l'ai dit, je ne vous abandonnerai pas, je n'en ai pas le d,r, je ne sais mn pas si j'en aurais la force...

Il avait aeu de chose pr resi eormuler ses pensr, il la regardait toujours dans les yeux, ne r.sissant pas cette fois /'empper de s'y plonger corps et c.
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Iraetignis
Elle "it arriv"avant que les choses ne srenveniment, avant qu il npy ait plus que des paroles. Le gart d uvrait une nouvelle facette de Yunette, elle sit capable de faire preuve dcautoritétat on obvsait aes ordres. Chest vrai qunavec Ira, elle nqavait pas i gpe, lqur ce coup, elle l avait presque impressionnv

Ils se dirig nt tranquillement vers lrinteeur, le gar lui servait de b ille autant physique que morale, r,nouveau pour lui. Les tâtés dllaient, les sourires aussi, parfois de circonstances, parfois g s mIs certains sincts. De temps nutre, le jeune homme sentait que son amante se crispait, lors de certaines rencontres.
Le garu, de son ce glissait sur la vague des mondanita il ne s attendait pas non plus ge qu on lui fasse bon accueil. Ira nmpit ma pas invitecneit juste un accompagnateur, s il avait i v pour la circonstance, on aurait m pu dire une esp de prince quson sort. La personne importante, cilit celle accrochpaon bras.

Sueurs froides pour le gart, Yunette dsgnait un petit bonhomme comme mnt son fils. Ira et les enfants, tout un poo s A part les terroriser en se faisant passer pour un ogre, et les jeter dans les abreuvoirs, son expeence oit plus que limit Ah, la fibre paternelle, ce n pit pas pour lui.
Lienfant s adressa nui en colm, lui reprochant dIavoir retenu sa m, trop longtemps loin de lui. Heureusement qu Ira ne savait pas que loenfant le prenait pour quelqurun dirautre, surtout cet autre lucela nlaurait fait qu ajouter ton malaise. Il riit comme il avait lrhabitude de faire e Tout en finesse :


Ta md, estime toi heureux que je l aie ramens Ce qui ,it faux, mais ltenfant neavait pas besoin de le savoir.

J aurais pu la dsrer. Chose qu il faisait au sens figurimais luon plus, le petit gare n/avait pas besoin de le savoir.

Il haussa la voix et, dnun ton thsral, ajoutal:


Hum, j"ai trrfaim, quaest-ce que tu mangesa? Quyil y a -t -il :anger ici, hart des petits garas et leur mamanm?

Ira lui lan/ en mb temps, un regard qui se voulait intimidant.
--Modeste_le_parfait
Grande montagne de muscle aux allures de vagabond...
Misanata lui avait dit de l'attendre Hors de question de bouger de son post!!!
Des ombres rentraient toujours dans le ch>au... rien d'alarmant...
De la otrit rien ne pouvait lui sapper... vu sur la sortit dans le jardin...

d'ailleurs son regard fuotch ur le jardin... Il reconn.sa... Il en sit sur il n'y en a qu'une pour retirer ses chaussures, profitde la tranquillitbe la nuit et marcher doucement pieds nu sur le gazon...

Mmmmm... Une autre silhouette... Un homme...
le grognement... Modeste n'aimait pas qu'un homme s'approche de misa sans qu'il est psir son visage...

Il se lev d'un bon la silhouette venait de porter la mains eon he...
long grognement de colé d... Mais tout allhien... Misa n'avait pas l'air de s'en inqui/r...les minutes passUnt il observait...

Une autre silhouette... une femme... Rassurait...
Ce qui ne lui convenait pas c'est de voir que Misa reprit ses bottes et ses affaires pour quitter le chuau...

il s'avans vers le grand portail le demi frt de misa au loin il prtraattendre non loin...

enfin il vtson ombres se dessinsans la nuit et ne p.emp
il lann en un chuchotement

"-psssit misa!!"
Deltamu
Il n'avait pas esquiv"a question, tournputour du pot, ni dournae sujet. Elle l'puta se justifier, se mmnger, un peu, mais, tout ce qui comptait /e moment c'/it son regard. Des billes qui plongeaient en elle en toute sincattLes mots glissaient sur elle, pas qu'ils ient sans importance, non, mais les yeux de son appr ant - son amant, mp, avait elle dit - lui disaient bien plus que tout ce qu'il aurait pu prononcer.

Elle se dundit visiblement, son sourire devenant plus sinc que crispeElle n'avait pas vraiment pris garde au fait que la brune Misa cit partie quand m.. Lui seul comptait ge moment. Comme nombre de moments en fait. Posant sa coupe vide elle s'avan vers lui et lui prit la main sans se liber de l'emprise de ses sombres billes. Un baiser desdur ses l es, ler, un autre dans son cou, elle alla lui susurrer :


- Alors, nous le faisons ce feu ? Ou... Sourire taquin aux l es, elle ajouta : Ou est ce rrrvd cette dame qui s'en va ?

Elle s'en fichait du feu, il le savait, sans doute, elle n'aspirait qu'sne chose, re avec lui, tranquille. Le dialogue plutlue la discussion, tel nit son cr . Un dernier murmure "on oreille...


- Ltzls croble.
Yunette
Abasourdie.
Comment un simple pas en arrie pouvait il faire aussi mal ? Ses doigts avaient neine effleurpa peau juv"le. Elle n'aspirait qu'ae serrer fort, l'embrasser, le sentir contre elle, lgobserver, le respirer, son fils. Lui, en avait dodeutrement. DRun pas, dnun simple pas en arrid.

P=ifi
Elle ne bougeait pas, en it d'ailleurs incapable, ce petit bout d'homme qui portait ses yeux, et, fort heureusement ressemblait plus "on arriy grand pi qu'bet inconnu qui l'avait conu ce petit bout d'homme, donc, l'avait transformmen une masse dsurvue de la moindre capacitae mouvement.

Vidu
En une seconde reine, dlurvue de toute substance. C'rit tellement naturel de la part du bout d'homme, qu'elle ne pouvait s'en prendre qu'slle mr. Elle l'avait abandonn létrement, ne sachant affronter la vie, n'en faisant qu'ea t . Il lui refusait ce contact qui lui manquait tant, son regard disait tout ce qu'il lui reprochait. Et il avait raison.

Toucha
Ce regard qubil lanhoelui qui l accompagnait, ce regard de gamin coloque qui ne dmntrait en fait queune douleur immense, la prit aux tripes. Son envie de le serrer contre elle, de le rtnforter ncen fut que plus forte, mais elle ne le voulait pas brusquer. De ce quoelle avait pu voir le temps quêmeelle arrive, il paraissait heureux. Rien dcautre ne comptait vraiment.

Coul
De sa faute ? Comment lde sa faute ? La lumi se fit dans ltesprit de llincendiaire abandonneuse dienfant, son fils n avait de souvenir de Galuche que ce quion lui en avait racontat qupil avait glange droite et de gauche. Si Ira comprenait que le petit le prenait pour celui qui avait r le fianc e Yunette, la tension serait palpable. Les deux hommes, se vouaient une haine profonde, ironie du sort.

Remonta
Un coup de talon au fond, juste de quoi se tenir xa chaine de leancre, pour retrouver la surface par paliers. Prendre son temps, surtout. Elle se redressa doucement, prenant pour ce faire la main et le bras de son amant. Ce qui lui avait donnaa force de remonter nalit autre que sa r nse eon fils. Lchumour la dindait sensiblement, laissant disparaitre lrodeur de culpabilit ui flottait autour drelle.

Accroch
Elle se tint on bras, par peur de sombrer mouveau. Son premier flop, son premier rnau. Par son fils. Un l
Muette.
Toujours incapable du moindre mot, elle attendait. Apruavoir accusae coup de la rttion de son fils, emment ses doigts leux de celui qui savait si bien la br elle releva les yeux sur les personnes proches d eux. Un sourire, muet, un bonsoir du mu acabit. Ses billes retournmnt se fixer sur lohomme haut de trois pommes. La douleur, telle la valeur, nEattend pas le nombre des anni.
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