Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 10, 11, 12, ..., 19, 20, 21   >   >>

[RP] L'Agora Poitevine

Alienor.1
Alie alla faire un tour à l’agora, durant les élections elles avaient dit qu’elles y viendraient.
Elle remarque deux personnes et écouta tranquillement, elle se mit à regarder sur la gauche, sur la droite, rien de rien, personnes ne venaient.
Elle s’approcha sans savoir pourquoi , mais si ils étaient la c’était pour une bonne raison, elle décida d’essayer de répondre.


Bien le bonsoir à vous.


Elle reconnu Dame Extraelle et la salua ainsi que le Messire.Elle se présenta .

Je suis Alienor, je vous est entendu parler et si je peux me permettre je vais essayer de vous répondre.
Pour la citoyenneté nous en parlons au conseil, des suggestions on été émise maintenant nous espérons que cela porte ses fruits.

Dame Extraelle, les deux postes sont maintenant occuper ,nous sommes tous aux travail, concernant la démission de TV, je ne pourrais vous répondre j’ai été tout aussi surprise que vous, lui seul pourrais vous expliquer sa décision je pense.
Je vous rassure nous ne tomberons point malade, enfin j’espère.
Chuichian
Nomdidiou! Il y a donc des gens encore en vie au conseil! Que le Très-Haut soit remercié.

Petite disparition sous la tente afin de se recoiffer comme il convenait de le faire et se vêtir de manière plus décente. C'est pas tout ça, mais quelqu'un du conseil rapplique, il faut lui faire bonne effet, de plus elle n'est pas déplaisante la bougresse de conseillère.

Et bien et bien Damoiselle, laissez moi me présenter. Joignant le geste à la parole, il escamota l'espace entre Extra et Aliénor afin d'avoir à disposition, toute l'étendue de son regard.

Chuichian, enfin pas autant que ça en vérité, De Montignac, Chu pour les intimes, le Chiant pour les autres.
Il baisa la main de manière on ne peut plus protocolaire, il n'y avait aucune idée derrière ce geste.

Si vous demandiez aux Pictaves que j'ai réveillé, vous vous apercevriez que je ne parle pas de la citoyenneté que je critique depuis sa validation mais le fait qu'un angevin, traitre au poitou, ait obtenu le droit de revenir sur l'absence de réflexe du cortex cérébral du légumineux conseil.

Sinon comment va le porte-parole? Nan parceque moi je squatte a même le sol et y a personne pour venir papoter avec moi... faut que ma soeur, oui parceque c'est ma soeur, qui vienne discutayer avec moi...

_________________
Daien
Daien arriva essoufflé, un couteau plein de sang à la main...
"Rhaaa, il n'en reste plus qu'un...euh.....bonjour bonjour!

Cachant le couteau, il alla s'installer sur une chaise. Apercevant Chuichian, et Extraelle, et..oui Allienor, il leur sourit. Un scribouillard caché derrière le bureau lui chuchota les dires, et demandes de chacun..

Ok, donc, comme l'a si bien dit Alienor, les 2 postes ont trouvé preneur, petit contre-temps embétant, mais vous savez les exigences salariales de nos conseillers^^.
Bref, pour sir Thierryvlad, des problèmes personnels l'ont incité à donner son poste à Dame Lady, pour que le poste de Capitaine n'en pâtisse pas.

Pour notre avancée, dira t'on que Dame Alienor a attaqué de pied, et poings ferme, les mines. Avec à la clef l'ouverture de bureaux miniers dans chaque ville, avec une personne disponible pour répondre aux demandes des villageois, et expliquer le fonctionnement de la prime. Gageons que nos mines auront meilleures mines d'ici peu!

Question santé, on est pâlot, sans doute à rester trop enfermer dans les bureaux du conseil, et à la vue du sang aussi..^^
Bin mon Chuichian? ça va? Tu dormais à ce que je vois, t'as la trace de la dalle sur ton pif^^. Coucou Extraelle, content de voir vos 3 faces à l'Agora!


Daien fouilla dans son bureau, voir si y'avait pas à boire pour les personnes présentes, et à grignoter en " 'flard", pour une de ses collègues qui viendrait sans aucun doute ramener son minois...
Alienor.1
Nomdidiou! Il y a donc des gens encore en vie au conseil! Que le Très-Haut soit remercié.

Elle se retient de rire et essaya de rester sérieuse

Oui oui nous sommes tous en vie pour le moment.


Elle s’inclina

Enchantée Messire Chuichian, pour cette Angevin traitre au poitou vous dites ?

Elle se frotte les tempes


Pfiou c’est moi qui vais avoir un soucis au niveau du cortex cérébral la.
Avec un petit sourire ironique elle répondit tranquilement

Le porte parole va bien je crois, et je doute que le sol soit confortable, même pour papoter.
Je vais me renseigner de plus prêt concernant l’angevin de ce pas.


Elle se tourna et aperçu Daien elle le salua et se posa un moment pour se reposer et écouta.

Edit pour poste croisé avec daien
Extraelle
Extraelle avait eu sa réponse, maigrelette, et restait dubitative, surtout que la damoiselle, fort jolie par ailleurs, arborait quelques cernes et une mine assez défaite.

"Ah ! Non ! C'est un peu court, jeune dame !
On pouvait dire... par Aristote ... bien des choses infâmes
Mais force est de constater que l'euphémisme est de mise
J'aurais dû réclamer votre éminence grise
Qui tout en apportant au conseil bien des maux
A au moins le mérite de n'pas mâcher ses mots."


- "Hum... Excusez cet épisode emphatique, ça me prend parfois, depuis la démission de TV... Que voulez-vous, les bons ennemis sont rares de nos jours, et j'y tenais, à celui-là..."

Elle essuya une larme sous sa prunelle embuée, puis darda celle qui était encore en état sur la jeune CaM, qui semblait bien pressée de se sauver. Faut dire qu'elle avait pas grand chose à dire, la p'tite dame, puis quand on a deux de Montignac en face, ça donne pas envie de pique-niquer sur place. P'tet aussi qu'elle se rendait compte maintenant que la place de celui qui regarde de loin et critique, est beaucoup plus facile à tenir que celui qui vient défendre le travail d'une équipe.


Puis, Daien arriva, et se mit à parler... des mines.

- "Hum, pourquoi tu m'causes des mines ? D'ailleurs, à ce propos, z'avez une amélioration à faire il me semble hein, tardez pas trop... Je parlais des mines des conseillers, tu sais, leurs têtes ! Donc à t'entendre, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, et TV a galamment laissé son poste à Lady qui doit être ô combien ravie d'être Capitaine, je n'en doute pas... Voilà une fonction qui lui va... hum... comme un gant."

- "Que demande le peuple ? Une équipe soudée qui travaille d'arrache-pied, dans la joie et la bonne humeur, qui fournit un vrai travail d'équipe. J'en suis fort aise, et si les traits tirés de nos chers conseillers ne sont dus qu'à un surcroît de travail, j'attends avec impatience de voir le fruit de cet impressionnant labeur. D'ailleurs, on a vu avec quelle efficacité tout s'est mis en place justement dans les bureaux miniers: coordination impeccable entre les conseillers, entente cordiale avec leurs responsables locaux... Non vraiment, rien à dire !"


Petit sourire ironique, et la brune se tut, momentanément. Deux yeux verts la fixaient, pas commodes, et elle passa la main à son aîné, avec les munitions en prime.

_________________

Extraelle de Montignac. Hauts, la tête et le verbe.
Chuichian
Ah ben voila! Il suffisait que sa soeur rapplique pour que d'abord: sa tentative d'approche de la CaMée, enfin de la conseillère dévolue aux mines, soit entravée, telle des chaines entravant ses chevilles, Extraelle empêchait toute discussion un tant soit peu personnelle, puis qu'en plus le PP rapplique.

Allons donc qu'on réponde encore à côté de la plaque, la langue de bois comtale ça allait 30 secondes, mais il ne fallait pas pousser Raymond Barre dans les Orties!

Ben ce sol restera MON sol tant que je n'aurais pas eu de réponse claire à mes questions:
- Pourquoi cet angevin est de nouveau Poitevin?
- Pourquoi le conseil ne s'en est pas occupé avant?
- Pourquoi le décret sur la citoyenneté, qui a fait plus de mal que de bien, que tout le monde reconnait comme étant une ineptie est toujours valide, avec comme prétexte l'abrogation le jour de la promulgation d'un nouveau décret sachant que la vitesse de réflexion d'un conseil comtal approche la célérité d'un gastéropode gluant sur des pavés en plein mois de Juillet LORSQUE LE SOLEIL EST AU ZENITH!!


Il fit une pause et reprit son souffle calmement.

Daien si tu veux bien porter mes paroles telles qu'elles sont avant que je ne saisisse les tribuns pour qu'ils aillent voir le Comte directement dans sa salle de trône?

Puis se tournant vers Alienor, Ma chère je suis réellement ravie de vous rencontrer. Pardonnez le côté hargneux de ma soeur, si complémentaire à ma personne, qui a le don de parler aux hommes quand je suis à cours de patience avec eux. Mais un coquelicot tel que vous, aurait plus sa place dans un champ qu'au fond d'une mine, non?

Peut-être auriez vous l'amabilité de transmettre à Sa Grandeur Lady d'Elric de Surgère, mes salutations les plus respectueuses? Au plaisir de vous revoir.

Notre Extrabelle comme certains l'appelaient avait un tempérament quelques peu volcanique, explosif et brûlant... heureusement que son frère, si diplomatique, si calme, si posé était là pour redresser le niveau.
_________________
Thierryvlad
Je ne suis pas d'accord avec Toi Chuichian, les conseils comtaux ne sont pas forcemment lents. D'ailleurs le conseil actuel n'est pas lent, il est paralysé... Et ca va durer, crois moi, vu la mauvaise volontés de certaines, et l'inconsistance de certains...

Nous avons en fait deux comtesses actuellement, qui parlent beaucoup mais n'agissent pas, qui disent une choses et son contraire le lendemain.

Il n'y a aucune cohésion du conseil. Ca se passe exactement comme dans cette agora : ca déblatère pour le plaisir d'entendre le son de sa voix, sans prendre de décision et certaines parlent au nom du comte pendant que le porte parole intervient laconiquement de temps en temps pour dire que ca le gonfle.

La situation financière se dégrade, la justice est paralysée par un procureur qui se mêle de tout, sauf de son travail et qui parle plus en gargotte et au conseil qu'au tribunal. Le Poitou est redevenu le paillasson qu'il était du temps des Plantagenet, et c'est bien normal puisque l'influence de ceux ci sur le Comte tient plus de l'hypnose et du vaudou que du conseil.... Apres les berouettes, les girouettes....
_________________
Nessty
La gueuse fulminait. Son pigeon au comte pour le faire descendre en Agora était sans réponse. La mise à bas de son âne s'avérait extrêmement difficile. Sa réserve de bouteilles s'épuisait à vue d'oeil... Bref... La vie de l'impétueuse était encombrée d'inerties et d'inepties de contrebasses creuses et sans corde dont elle n'avait que faire lorsqu'elle était en voyage avec des personnes de confiance. Mais là, elle était bel et bien contrainte à labourer les terres poitevines de long en large avec des esprits aussi stériles qu'inutiles...

La gueuse rageait. Non seulement sa présence d'agitatrice n'avait pas été souhaitée au sein d'un moelleux complot rosé mais en plus toutes ses tentatives constructives pour le Poitou se retrouvaient confrontées à un énorme silence du régent. Le drôlesse avait même finit par endosser le rôle de Greluche Ordonnée pour pallier au manquement d'un Orgueilleux

La gueuse ricana en découvrant l'Extra. Si seulement elle pouvait savoir à quel point elle lui rendait là service en venant poser à son tour fomenter des interrogations au fiel déguisé... Raaaa ce que la gueuse se ferait un plaisir de répondre ! En plus le Chian était toujours dans le coin, déterminé à aller au bout de son spectacle. Mais c'est qu'elle leur sauterai presque au cou l'enchignonnée pour les remercier de leur présence dans ce monde si sirupeux. Il ne fallait tout de même pas rêver, Nessty tiendrait sa place de chieuse peu importe ce qu'il lui en couterait. C'est une gueuse au visage crispé, ben oui l'idée d'embrasser l'Extra ça l'fait moins que celle d'aguicher un Chian, qui se présenta à lAgora.

Elle écouta toute fois et laissa deux autres conseillers intervenir avec un sourire en coin. On ne l'accusera pas de lancer le scandale, hein ? Il était en place publique malgré l'intervention de la gueuse au conseil même pour que le comte vienne le lever immédiatement... Trop tard... une gouvernance se prépare tout de suite et non dans le silence. Le ptit resterait ptit, il avait totalement loupé son dessein de meneur d'hommes et n'était pas prêt à se sortir du pétrin dont lui seul était à l'origine. Ses propres amis ne le suivaient guère, ses détracteurs n'allaient pas se plier devant absence et... médisance ? nan, il n'osait même pas l'afficher même en fouillant de la passé de ses conseillers... et donc ? .... et bien son absence !


Hey vlà enfin quelques braies pleines avec qui j'vais pouvoir croiser des vitupères ! L'Extra, j'suis contente de te voir ! et j'suis plus que sincère, crois moi ! T'en as tout de même mis du temps...

Tiens sire d'la Motte, vous ici ? A baver sur tout pour ne laisser dire que des mous du genoux vous ont fait plier devant les angevins ?



Nessty sourit à pleine dents avec un clin d'oeil rassurant sur la tendance diplomatie de la belle Alie. Quelle inconsciente celle là ! se jeter dans la fosse aux lions de la sorte. Comme si ses gentillesses avaient pouvoir d'apaiser les invectives d'une Extra !

J'm'interroge aussi sur ce silence que vous invoquez tous et bien plus que vous ne le croyez ! Mais j'vous rassure, point de cigüe dans les chopines des collègues, la bière s'gâche pas comme ça... Puis personne dans l'entourage du comte ne picole ! Un comble, j'vous l'dis... Mis à part ça, zont le sommeil non pas des justes mais celui d'une profondeur anesthésique imperturbable quand il s'agit de prendre une décision : 5 jours déjà que le texte en l'état sur la citoyenneté pourrait être abrogé selon l'avis majoritaire du conseil. Manque uniquement le comte et son tout puissant bon vouloir.

Pourquoi le décret sur la citoyenneté, qui a fait plus de mal que de bien, que tout le monde reconnait comme étant une ineptie est toujours valide, avec comme prétexte l'abrogation le jour de la promulgation d'un nouveau décret sachant que la vitesse de réflexion d'un conseil comtal approche la célérité d'un gastéropode gluant sur des pavés en plein mois de Juillet LORSQUE LE SOLEIL EST AU ZENITH!!

L'Chian, cesse de brailler, j't'ai dit ce que j'en pense comme je l'ai affirmé haut et fort pendant la campagne électorale. J'avous que le conseil souhaite majoritairement l'abrogation de ce torchon mais faut l'grigri du comte. Vu qu'il a des soucis à mouvoir un cil, sauf peut être pour verser une larme car son joujou comtal est grippé, cette abrogation va se faire désirer à moins d'un miracle. Puis t'as bien vu, la procédure n'est en aucun point assurée sinon ce condamné pour trahison n'aurait jamais acquis le droit de fait de revenir s'installer...

Nessty se tourna vers TV.

Roooooooooo l'bourru, vous ramollissez vraiment au zénith de juin déjà vous ! Couvert votre chef et sortez la paille de vos oreilles. Je ne suis plus passée ici depuis un bail parce que j'ai participé à LR, Niort et Poitiers aux bureaux miniers. En ce qui concerne la paralysie, j'vous parlerai pas ici des recours en CA qui vous sont imputables et encore moins des dossiers qui stagnent à la prévôté. Arf, j'allais oublier celle de l'armée suite à votre départ précipité. Pas digne d'un noble ça, même passible de trahison, hein ?... En tout cas la remise des clés fut longue et mise à part une invitation à prendre un thé à la capitainerie, j'ai encore rien entendu de participatif de la part de votre remplaçante...

Depuis que vous avez retiré votre coquille, j'vous sens fragile TV...

_________________

Ni mort, Ni disparition ! Un fin des plus odieuses pour faciliter les projets d'autres...
Extraelle
Après un sourire à TV fidèle à lui-même - c'est-à-dire bourru et ne prenant pas même la peine de dire bonjour - Extraelle vit débouler avec satisfaction celle qu'elle attendait. Elle savait bien que celle-ci ne pourrait résister à une petite joute oratoire, et viendrait donc déballer en place publique les dissensions que la brune tentait de mettre à jour. Mais le résultat fut au-delà de ses espérances.

Hey vlà enfin quelques braies pleines avec qui j'vais pouvoir croiser des vitupères ! L'Extra, j'suis contente de te voir ! et j'suis plus que sincère, crois moi ! T'en as tout de même mis du temps...

- "Navrée, je ne savais pas que je te manquais à ce point-là, j'ai suivi la campagne de loin, et tout ce que j'ai vu de ton côté, c'est pas mal d'amis à moi dans la liste, et pas de programme. Me montrer aurait donc été un simple plaisir égoïste de mener quelques passes d'armes avec toi qui auraient ennuyé tout le monde, vu qu'il me semble que ce n'est pas le moment de s'amuser, mais plutôt d'avancer des idées pour le Poitou. Mais nous allons nous rattraper pas plus tard que maintenant, n'est-ce pas ?"

Elle écouta le discours de Nessty, et haussa les sourcils, un sourire ironique au coin des lèvres.

- "Je te remercie de confirmer ce que je venais soulever. Par contre, je ne vois pas bien ce que tu attends de nous, là. On dirait que tu n'as pas compris que tu étais de l'autre côté de la barrière, et que ce n'était plus la peine de brailler. Que croyais-tu en montant une liste ? Que tu pourrais gérer un Comté en restant une opposante contestataire ? Il n'y a plus de "ils", il y a douze conseillers dont quatre sont de ta liste, si le conseil ne fonctionne pas, est divisé, c'est de VOTRE faute à tous.

Or, quand je te vois venir déballer en place publique des discussions qui doivent être tenues secrètes au conseil, quand je te vois venir cracher sur le Comte et sur tes collègues conseillers, je ne peux que comprendre quelle est la source des tensions évoquées. Tu es en train de découvrir ce que c'est que de travailler dans un conseil, tout simplement. Il y a des gens disponibles et d'autres qui ne le sont pas, des gens qui travaillent plus ou moins, et d'autres qui pallient aux manquements, c'est toujours comme ça, un collectif. Et ça ne fonctionne que s'il y a en son sein des gens motivés et constructifs.

Force est de constater que gueuler sur tout le monde ne mène à rien, tu n'as fait que créer un malaise paralysant au conseil, ne serait-il pas temps de reconnaître que tu t'es plantée et de changer de méthode ? Sauf si bien sûr tu préfères camper sur tes positions par orgueil, rester aux constats et non aux agissements, mais ensuite il ne faudra plus dire que tu fais tout ça pour servir les intérêts du Poitou..."

_________________

Extraelle de Montignac. Hauts, la tête et le verbe.
Yuan
Le chemin a été long ! Le chemin du retour sera encore plus long. Du fin fond d'un monastère perdu on ne sait z'où, un lutin s'était retiré et on lui rapportait rarement ce qu'il se passait sur les terres poitevines.
Encapuchonné, canne à la main, l'inconnu se dirigea vers la voix mélodieuse du Chouchou. Fallait le dire, cette mélopée qui sortait de cette gorge lui avait grandement manqué. C'était sans compter la douce et tendre voix de l'Extrachieuse. Ah... que cela (ne) lui avait (point) manqué.

Assis dans un coin, à l'ombre, il observait le triste spectacle. Ainsi ce qu'on lui avait conté était vrai. La brailleuse de service avait monté une liste, elle s'était vautrée et, depuis, s'evertuait à participer au blocage du Conseil. Eh beh, pour quelqu'un qui avait moult projets tous plus efficients les uns que les autres, maintenant qu'elle était au Conseil, on n'en voyait pas beaucoup. Finalement, l'encapuchonné avait eu raison à son sujet (la personne qui avait tort se reconnaitra).

Cependant il était partagé entre le rire ou les larmes. Si ce n'était pas malheureux de voir une personne pareille au Conseil. Et en plus de cette catastrophe il fallait rajouter la (re)venue d'un traitre en puissance.
Si Aristote voyait tout cela...



[Mais justement, en parlant de cela, sur un nuage un peu plus haut]


Aristote contemplait la scène d'un oeil critique. Il avait répété au Très-Haut de laisser tomber ces mamifères qui devaient être plus évolués que les autres. De temps en temps, leur intellect approchait l'intelligence d'une moule. Et encore !
Aristote griffona quelques mots sur un long parchemin. Ces personnes auraient droit à un traitement spécial à leur arrivée. Enfin... il n'était même pas sur que le Sans-Nom accepte en son domaine des personnes de ce genre. Il soupira. C'était sans doute dans ces moments là qu'il fallait envoyé un ange fouetteur. L'idée avait germé dans son esprit en observant la de Fontenoy. Mais le Très-Haut s'y était opposé.
"Ce n'était pas le moment" qu'il disait.


Alors ? Quoi de neuf en bas ?

Aristote sursauta, tiré brusquement de ses rêveries. Il fallait toujours que Christos revienne faire un tour sur le nuage d'Aristote. Ce dernier devait avoir pensé trop fort. Christos avait été le seul partisan de l'ange fouetteur. Il avait fallu qu'Aristote y repense pour qu'il rapplique fissa.

Rien, ça rale comme d'habitude au Poitou, maugréa-t-il. Enfin ça ne m'étonne pas ils sont français...

Christos se pencha un peu en avant et sursauta

Nom d'un Faooeit ! Je comprends mieux pourquoi "il" souhaite revenir sur le trône du Poitou. Si cette chose là... il pointa Nessty du doigt avant de frissoner, est au Conseil je comprends mieux pourquoi on reçoit toutes ces prières pour preserver le Poitou.


Ne m'en parle pas, répondit Aristote en levant les yeux au ciel, même le Sans-Nom nous a prévenu qu'il n'aimerait pas s'en occuper. Une vraie calamité. Ca braille sans apporter de solutions. Je ne comprends pas pourquoi le Très-Haut a refusé mon idée de l'ange fouetteur...


Christos hocha la tête vigoureusement, avant de se pencher vers Aristote, avec des airs de conspirateurs

Tu sais, pourquoi est ce que n'aurions nous pas notre propre ange ? Il suffit de bidouiller un peu la tête d'Olivyaa de Fontenoy et elle fouetterait qui nous voudrions !

Clac !

Ce n'est pas à nous de nous en charger. Tu vas arrêter avec tes idées stupides ?! Dois-je te rappeler que, depuis que tu as voulu bidouiller la tête de Chuichian, il ne porte plus que des fourrures ? Tu ne feras plus rien, compris ?

Christos grogna, sortit de sa poche un petit sac rempli de cailloux et commença à les jeter vers le sol

[Quelques milliers de pieds plus bas...]

C'était sur, les deux autres zigotos n'avaient pas changé. Toujours aussi bruyant. Enfin, pas autant que l'autre qui se prenait pour le messie du Poitou. Vivement que le Poitou en soit débarrasser...

Aïe !

L'encapuchonné se frotta la tête. Quelque chose venait de lui tomber dessus.

Aouch !

Il baissa la tête et remarqua deux cailloux qui trainaient pas terre. Il regarda autour de lui... personne à part le petit groupe de personnes qui discutaient. Qui était à l'origine du mystérieux lancé de cailloux ?
_________________
Retraité de service, presque membre du Conseil, dans l'ombre du presque cousin
Thierryvlad
Nessty, le temps de votre intervention ici, vous auriez eu le temps de traiter 4 dossiers.
Ou d'inventer 4 nouvelles manœuvres dilatoires pour ne pas le faire.

Mais vous avez surgit ici, apportant par vous même la preuve etayant mes propos... Vous vous agitez comme les ailes d'un moulin, tournant au vent de la contradiction systématique, mais vous ne produisez rien car vous tournez à vide.

Je vous pris effectivement de citer les dossiers d'Appel du Poitou, en ayant la rigueur intellectuelle de citer le nom des juges dont les verdicts sont attaqués et surtout la nationalité de ceux qui ont ésté en Appel. Vous verrez c'est édifiant...

Et puis les faits dans votre bouche nous changerons des perpetuels sous entendu et rumeurs.

Faites moi plaisir et faite nous aussi un petit calcul de rapport entre le nombre de dossier en Appel et le nombre de dossiers sur lesquels je suis intervenu. (451 procès). Oh ! tiens ,c'est amusant, c'est presque l'exacte proportion inverse entre le nombre de dossiers traité par vous, et le nombre de vos interventions en public et au Conseil depuis l'election...

Ma foi, chacun ses priorités : travailler pour le Poitou pour certains, se faire voir pour d'autres...
_________________
Extraelle
Extraelle, en attendant que ça se réveille un peu côté conseil -ah oui, ça certaines découvraient aussi, que quand on est au conseil on a moins de temps pour le reste... -, était partie faire un tour du côté des bureaux miniers. Elle en revint un papelard à la main, la mine hilare. Après l'amuse-gueule Aliénor, le plat de résistance Nessty, le dessert, même anecdotique, n'en était pas moins savoureux. Comme quoi quand on cherche, on trouve toujours, mais là en l'occurence, y'avait pas loin à aller chercher...

Citation:
Poitevines, Poitevins, Oyez, oyez,

De nouveau, le conseil comtal se tourne vers nous au sujet des mines ; cette richesse inestimable qui aide le Poitou à rester puissant et prestigieux, et permet d'éviter d'augmenter encore les impôts comme le font la plupart de nos voisins.

Continuons à travailler dans nos mines, ne lâchons pas prise !
Continuons à œuvrer pour que le Poitou garde sa prestance !
Continuons à nous impliquer, car un Poitou fort, est un gage d'avenir clément pour chacun d'entre nous.
Nous avons un besoin important de pierres et les cours montent dans tout le royaume, donc si vous avez le choix entre deux mines sur votre ville, choisissez la mine de pierres avant tout !

Nobles ou roturiers, artisans, éleveurs, cultivateurs, continuons à participer à ce bel engagement qui fera pâlir de jalousie nos voisins !

Pour que le Poitou ait bonne mine !
Pour que les Poitevins continuent à être fier de leur Comté !

Petitjehan, Comte du Poitou


- "Ah ben v'là une trace du travail acharné de notre joyeux conseil, une exhorte à aller travailler à la mine, c'est bien, c'est bien... Ce qui est un peu dommage, c'est que c'est le message que le conseil précédent a publié le 19 mai, je l'ai reconnu tout de suite, j'ai participé à son élaboration..."

Elle s'esclaffa.

- "Il doit être content Datan, il continue à être Porte-Parole même après la fin de son mandat... Vous auriez pu changer au moins quelques phrases, non ? Ca fait un peu désordre là... C'est vrai que c'est un boulot incommensurable de faire un petit courrier aux poitevins, pour des conseillers débordés. Je commence d'ailleurs à m'en vouloir de vous retenir en ces lieux, surtout que j'ai quelques doutes quant à la capacité de se remettre en question de certains. Toujours la faute des autres, c'est bien connu."

_________________

Extraelle de Montignac. Hauts, la tête et le verbe.
Chuichian
Chuichian piqua le bout de parchemin Comtal des mimines d'Extraelle et parcourut avec attention le torchon... le message.
Quid des choses importantes concernant le Poitou, quid des questions du peuple. Devait-il prendre d'assaut le bureau du Comte pour obtenir réponse?

La langue de bois semblait être le discours favoris du Conseil et il en usait à merveille. C'est alors que sortant sa plume de nulle part, Chuichian scribouilla au dos de l'annonce:


Citation:
En ce 19 Juin 1457,

Je demande aux Tribuns, de porter les interrogations des Poitevins, aux esgourdes du Comte, afin d'obtenir des réponses. J'aurais pu dire satisfaisante mais des réponses suffiront dans un premier temps.

Fait à l'Agora Poitevine,
Chuichian de Montignac
et tout ceux qui le suivent dans son squattage du lieu.


Voila, comme ça plus besoin d'attendre trois plombes pour que l'on vienne me répondre.
Daien, rassure moi, c'est le manque d'expression du régnant qui te fais dire tant de chose sans importance?


Puis se tournant vers Nessty, qui avait le temps de venir partager le pavé pictave.

Imagine toi une galère, avec 10 rameurs, un homme au tambours le capitaine... si le bateau coule, ben les 12 membres d'équipages coulent. Si un des rameurs arrête de ramer, ben la caravelle, soit elle ralenti, dans le meilleur des cas, soit elle se met à décrire des cercles...

Ben le Conseil c'est la galère et donc si tout le monde n'est pas à son poste au maximum de ses capacités, ben ça foire...

_________________
Thierryvlad
Pour parfaire ta comparaison mon ami, si un rameur cris plus fort que le Comte, que tu rajoutes un passager sans rame qui parle tout le temps au comte, tu te retrouve avec des rameurs qui rament dans des directions opposée...

En plus, on trouve plein de petits rongeurs qui attaquent la coque du bateau Poitou... Mais comme le procureur est trop occupé à s'ecouter jouer du tambour en tapant comme une forcenée sur son banc, elle laisse les rongeurs ronger...

En tant que chat du Navire, j'ai preferé quitter le bord : j'avais plus le droit de courrir après les rongeurs avant qu'ils mordent.
_________________
Daien
Daien avait vu juste, la furia Nessty était entré dans la pièce, et en 3 actes sans entracte, tout le monde avait pris pour son grade de gueulard.

Les oreilles sifflantes, Daien entendit la petite menace à 2 écus de Chuichian, et l'amertume parolière de Tv.


"Chuichian, le Poitou ne s'est pas construit en 1 jour si? Le mot est passé au conseil, donc, les réponses à tes questions tu les auras par moi, ou un autre selon les disponibilités, pas la peine de hurler. Tiens, je suis sur qu'il te reste des chopines sous ta tente, tu veux pas m'en offrir une, et boire un coup pour patienter?"

Il lui sourit, puis yeuta vers l'homme à la charmante acidité.

"Messire Tv, je vous apprécie, mais en tant qu'ancien membre du conseil, je me demande si vous avez la conscience tranquille chaque soir, en venant balancer vos expressions tranchantes sur un conseil dont vous faisiez partis...."

Daien chantonna, "et je retourne ma chemise, toujours...toujours...à l'envers"...
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 10, 11, 12, ..., 19, 20, 21   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)