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[RP] Le Bordel du Saint Abandon [venez tous, même en PNJ !]

--Ventrebleu
Il avait marqué une pause et se tenait maintenant debout à quelques pas de la musicienne. Ses yeux ne quittaient pas les cheveux de la ribaude. Celle-ci ne réagissait pas. Etait-ce l'effet de l'alcool à cette heure tardive ou les sons dissonants de l'épinette ? Toujours était-il qu'elle ne semblait pas l'avoir entendu. La porte du bouge s'était ouvert. L'homme avait entendu le battant riper le sol en s'ouvrant. Mais il n'y prêta pas garde. Il ne remarqua que le souffle d'air qui avait légèrement soulevé une mèche de la créature à demi-nue, révélant un rien de peau. Mais diantre ! quel rien... Suffisant pour laisser entrevoir mille choses... Il restait figé ainsi sans plus réfléchir quand une voix surgit de son côté.

Puis-je faire quelque chose pour combler tes désirs mon mignon ?

Se tournant vers cette apparition, son regard découvrit une jeune charmante, l'air corseté et simplement apprêté... Elle ne ressemblait guère trop aux filles qui avaient défilées ici ce soir. Mais cela importait-il ? Après tout elle était présente en ce lieu, cela suffisait... Un dernier regard vers la musicienne qui s'abandonnait à son instrument et il avança vers la donzelle... L'occasion faisait le larron disait-on. A condition de la saisir...

Mes désirs dis-tu ?... il ricana en se lissant la barbichette... mais dis-moi Goton... sais-tu vraiment ce qu'ils sont ?... interrogea-t'il d'un sourire qui ressemblait plus à un rictus...
--Felicie


L'homme avait été attiré par sa proposition. Après un dernier regard à la musicienne, il s'était tournée vers elle. Félicie afficha un sourire sensuel, posant un doigt sur sa bouche. De son autre main, elle prit l'homme par la main.

Ce que sont tes désirs ? Peut-être s'agit-il de combler des pulsions dans un lieu de paradis pour les vices humains.
Quoiqu'il en soit, je suis là pour toi ce soir...


Félicie se pencha légèrement en avant pour murmurer à l'oreille de l'homme, tout en lui offrant une vue plongeante sur son décolleté.

...si tu décide de me les révéler bien sûr...

--Ventrebleu
Il n'avait pas l'habitude de tant de promiscuité avec les femmes... Les occasions qui lui avaient été données d'être si proche se comptaient sur les doigts d'une main de lépreux. Lorsque la catin lui posa un doigt sur la bouche il ne put s'empêcher de tressaillir. Nul doute que ce frisson avait pu être senti jusqu'à Aix-la-Chapelle.

Sa respiration se fit davantage haletante lorsqu'elle se pencha vers lui. Le souffle chaud de la fille et les mots que celle-ci glissa dans son oreille lui extirpèrent un grognement étouffé. Le regard de l'homme glissa alors sur le décolleté qui lui était offert, révélant une poitrine à première vue lourde et ferme... A moins que le corset ne fut seul responsable de cet effet. Ses yeux se portèrent ensuite sur la nuque qui se révélait à lui. Les frissons manquaient de se transformer en tremblements... Son coeur battait la chamade, au point qu'il crut défaillir...

De sa main libre il saisit le poignet de la gourgandine, fermement, peut-être trop brusquement même, lui chuchotant à son tour dans l'oreille.


Des pulsions dis-tu ?... Je me confesserai sans peine. Mais cette salle n'est-elle point encore trop éclairée pour en discuter ?...
--Felicie


Le cœur de Félicie battait de plus en plus fort. Même si elle ne l'avait pas avoué à l'homme, c'était la première fois qu'elle allait se livrer corps et âme à un homme.
Elle vit l'homme regarder attentivement sa gorge lorsqu'il se pencha vers elle, ce qui la fit sourire. L'excitation grimpait chez elle, et chez lui à n'en pas douter.
Tout à coup, l'homme lui prit le poignet, peut-être un peu fort. Il lui proposait de migrer vers un endroit plus tranquille du bordel. Il était excité de tremblements. Félicie, elle, tentait le plus possible de se contrôler pour faire croire à l'homme qu'elle avait l'habitude et maîtrisait ce genre de situation, où les deux êtres vont s'exiler pour peu après ne former qu'un.
Elle déposa un baiser dans le cou de l'homme, lui sourit, caressant de son doigt ses lèvres pulpeuses.


Il est vrai que nous pourrions être plus à l'aise là-bas, derrière ces tentures. Je t'y confesserai mieux mon mignon !

De son autre main, elle envoya ses cheveux roux sur le visage de l'homme, et rit. Elle lui reprit à nouveau la main, et l'emmena au fond du bordel, là où des tentures permettaient de gagner un peu de calme.
Ils entrèrent tous deux. Des coussins pourpres étaient présents par terre.
Félicie se plaça devant l'homme, et souleva légèrement sa robe, pour exhiber à celui-ci ses mollets fins et lisses, tandis qu'elle tenait toujours son livre des vertus.
Elle n'avait qu'une envie, c'était que l'homme lui fasse découvrir au plus vite l'Amour. Mais le jeu de la séduction était trop tentant, et inévitable. Elle défit lentement ses chausses, se retrouvant pieds nus devant l'homme, qu'elle dévisagea longuement, des pieds à la tête, en s'attardant longuement sur les braies.


--Ventrebleu
La jeune femme semblait savoir y faire et le léger baiser qu'elle lui déposa dans le cou augmentait encore les sensations qu'ils découvraient... Ensemble, folâtrant, ils se dirigèrent derrières de lourdes tentures, isolés des regards trop curieux et libres de faire autant de bruits qu'ils le souhaitaient...

Pendant que la jeune femme entamait un semblant de danse de séduction, il s'affaissa sur les coussins étalés sur le sol. Il l'observa enlever langoureusement ses chausses. Il tendit alors sa main vers ses pieds nus, commençant à les caresser, remontant sur les mollets. N'y manquaient que quelques poils. Une fantaisie orientale certainement... Pendant que ses mains glissaient doucement sur la peau de la catin, leurs yeux se croisèrent. Ceux de la belle descendirent et vinrent se porter sur la virilité du client. A sont tour, il fit descendre son regard petit à petit sur le corps de celle qui s'offrait à lui. Mais arrivé au niveau des hanches, il découvrit qu'elle tenait en sa main le Livre des Vertus... Il se figea instantanément avant d'être pris de nouveaux tremblements qui n'avaient plus rien à voir avec l'excitation. Serrant plus fort sa main qu'il avait toujours posée sur le fin mollet, il sentit ses yeux s'agrandirent, ses narines se dilater et sa bouche se déformer. Des odeurs d'encens lui montèrent à la tête, les souvenirs d'années de cérémonie défilèrent devant ses yeux, la voix de son maître à penser lui vint au oreilles... Il se mit à murmurer, seulement capable faire cela, récitant un passage du Livre de la Pré-Histoire.


L’homme prit alors la femme et la femme prit l’homme !!! Le fort abusa du faible et le faible subit le fort !!! Tous s’unirent en une orgie bestiale de stupre et de violence !!! Leurs corps mêlés reflétaient les flammes des maisons qui brûlaient. La nourriture était dévorée, la boisson engloutie.Les paroles suaves encourageaient les gestes indécents. Une véritable orgie de débauche avait lieu !!!... Et de l’amour de Dieu il ne fut plus question !!!!

Il répéta ce passage à plusieurs reprises, sa voix s'amplifiant peu à peu, jusqu'à devenir cri puis rugissement.

L’homme prit alors la femme et la femme prit l’homme !!! Le fort abusa du faible et le faible subit le fort !!! Tous s’unirent en une orgie bestiale de stupre et de violence !!! Leurs corps mêlés reflétaient les flammes des maisons qui brûlaient. La nourriture était dévorée, la boisson engloutie. Les paroles suaves encourageaient les gestes indécents. Une véritable orgie de débauche avait lieu !!!... Et de l’amour de Dieu il ne fut plus question !!!!
--Felicie


L'homme s'assit dans les coussins, pendant qu'elle défaisait ses chausses. Il lui caressait les pieds, avant de laisser sa main remonter sur ses mollets. Félicie se cambra involontairement à la suite de ses mouvements. Puis, il se mit à réciter un court texte. Que ce texte lui plaisait ! Prônant l'union des corps ! Elle se défit de son livre des vertus, le posant près d'elle.

Beau passage mon mignon, et si nous l'appliquions ?

Disant cela, elle commença à défaire les lacets de son corset. Petit à petit, il s'ouvrait, découvrant la base des seins, puis toute la poitrine. La poitrine généreuse de Félicie apparût aux yeux de l'homme. Elle se pencha vers lui, ses seins touchant sa tête. Elle agita là sa poitrine, riant de voir ceci. Puis, elle se baissa pour aller poser de doux baisers dans le cou de l'homme, tandis qu'elle lui défaisait sa chemise.
Une fois ôtée, ses lèvres allèrent à la rencontre de celles de l'homme. Sensation unique et divine que celle qu'elle vivait.
Elle descendit ses baisers vers la poitrine de l'homme, occupant ses mains à défaire les braies de celui-ci.
Elle se leva alors, contempla l'homme dans toute sa virilité, et se retourna. Ses hanches juste devant les yeux de son partenaire d'une nuit, elle défit lentement sa robe, qui glissa lestement jusqu'au sol. Alors, elle se remit à genoux entre les cuisses de l'homme. Contemplant la virilité, ses lèvres retrouvèrent le chemin de celles de l'homme. Elle lui glissa à l'oreille.


Étonnes-moi !

Félicie ne souhaitait désormais plus qu'une chose, qu'elle et lui ne forment désormais plus qu'un dans cette pièce à la lumière vacillante. Son excitation était grande, sentant ce corps dévolu à elle, et qui allait faire d'elle d'ici quelques instants une vraie femme !

--Mahault
Mahault avait décidé de s'assoupir, la nuit étant fort avancée , et elle avait besoin de repos pour une demi-heure environ....Elle arrêta de gratouiller les cordes de l'épinette, sentit le souffle de l'homme sur son cou, et calmement attendit, que les baisers descendent sur son cou ou non...Et puis, ayant vu arriver une donzelle fraîche, elle voulait être la première à la voir en action, jauger des effets de son corps et de ses dires, bref, en l'absence de Lulu la paresseuse, décider de l'entrée de cette gaïce nouvellement née au sein de l'Abandon ou non...........donc Mahault fit la morte et ouvrit ses esgourdes aux gémissements probables..................pour juger la nouvelle ...

Lorsque le gredin se mit à réciter son credo et brandir ses aulx, braillant comme un homme possédé, elle eut du mal à ne pas se lever, voulant invectiver ce pauvre hère en mal avec lui-même, en guerre avec son corps...
Elle se calma et attendit encore pour voir si la nouvelle réussissait à vaincre les démons aristotéliciens de l'homme...
Mahault soupira en elle-même , repensant à ses lectures de Lucrèce...ce poète épicurien présentant la volupté comme associée à la nature et non pas son ennemi.
Le bordel du St Abandon était bien le " locus amoenus", ce lieu agréable où l'on se retrouve entre amis, couchés dans l'herbe tendre...Pour l'heure, il s'agissait de coussins...et autres poufs... Ce bordiau, retiré, hors de portée des turpitudes de la vie politique corrompue, était bien le lieu du plaisir par excellence.... plaisir de l'échange sans identification... Le lieu de prédilection du sage se présentant comme une sorte de jardin clos qu'on ne peut quitter sans regret pour retourner dans le monde extérieur et l'univers où règne la violence.

Mahault soupira d'aise et tourna la tête dans l'autre sens toujours les yeux fermés, écoutant les soupirs des deux soupirants au plaisir ...
--Donatien_
La nuit était plus qu'avancée. Donatien n'avait pas encore trouvé le sommeil, et se dit qu'il n'y arriverait plus à cette heure. Il pensa alors à prendre un peu d'amusement, dans un endroit où il y aurait sûrement quelqu'un prêt à lui faire quelques gâteries.
Il se leva de sa couche, attrapa une chemise et des braies, les enfila, puis le presque trentenaire gagna le rez-de-chaussée de l'auberge, où il aurait dû normalement dormir, si le sommeil ne l'avait point abandonné. Il tâta sa bourse accrochée à sa ceinture. Il aurait de quoi faire l'affaire. Deuxième à droite, tout droit jusqu'à la fontaine, puis première à gauche. La maison des plaisirs, connue sous le nom de bordel du saint abandon était là.
Il y entra, et ne vit au début personne. Un homme criait un verset, puis se tût. Il semblait occupée avec une femme derrière la tenture du fond, la pâle lumière de cette pièce improvisée rejetant deux ombres presque emmêlées sur la tenture.
Mais il vit l'objet de ses convoitises couchée sur un divan. Elle n'était vêtue que d'un large chemise, tandis que ses jambes et ses hanches étaient nues. Elle lui semblait tout à fait à son goût. Seulement, celle-ci fermait les yeux. Pourtant, Donatien l'avait vu tourner sa tête en arrivant, preuve qu'elle ne dormait pas.
Il vint s'asseoir à côté de la fille de joie, et lui baisa le cou, tout en lui susurrant à l'oreille.


Ma douce, que diriez-vous de passer votre fin de nuit avec moi ? J'ai de quoi influencer grassement votre choix !


Redonnant un baiser dans le cou de la catin, il fit tinter d'une main sa bourse qui fit un joli bruit d'écus, et de l'autre main il caressa tendrement la croupe dénudée de celle qu'il espérait avoir pour la nuit.
--Ventrebleu
Pris d'un de ces instants d'exaltation, l'homme sentit la fièvre descendre d'un cran à mesure que les lacets du corsage se déliaient. Mais une autre fièvre naissait en lui. La poitrine de la belle répondait aux promesses nées quelques instants plus tôt. Les rires presque innocents de la catin, les doigts courant sur sa peau tannée à mesure qu'elle retirait sa chemise, tout cela l'apaisait en même temps que le sang circulait plus vite dans tout son être.... En quelques instants il découvrait une foultitude d'impressions qu'il ignorait jusqu'alors.

Leurs corps nus se rencontraient maintenant, et l'homme enlaça celle qui se trouvait au-dessus de lui. Sans délicatesse particulière mais sans brutalité non plus, il la fit basculer sur le dos. Les cheveux flamboyants s'étalaient sur le pourpre des coussins. Ses mains calleuses couraient le long du corps encore ferme de la vendeuse de joie, suivies par ses lèvres. Remontant doucement il murmura quelques mots à la rouquine...


Et Dieu leur dit : seul l’amour que J’aurai béni pourra permettre l’acte de chair... Ce lieu lui-même est une bénédiction... Sans personne pour nous déranger....

Ceci dit, une des mains de l'homme se posa sur le cou de sa partenaire, la seconde la rejoignant doucement, sans que la follieuse ne trouve rien d'autre à faire que sourire.

Suppôt d'Asmodée... pensa l'homme en fixant d'un oeil brillant celle qui gisait sous lui.
--Felicie


Les deux amants d'un soir sentaient désormais leur cœur battre réciproquement. Félicie se fit enlacer, puis se retrouva sur le dos, l'homme au dessus d'elle. Ses cheveux roux s'étalaient tout autour d'elle sur les coussins.
Il lui baisait désormais son corps tandis que ses mains le découvraient. Voilà qu'il lui récitait un nouveau verset.


Bénissons-nous tous seuls, seul le plaisir compte dans cette maison de luxure. Asmodée le fera sans mal.

Elle cria donc.

Asmodée, bénis-nous de la Lune !

Elle sourit quand l'homme posa ses mains une nouvelle fois sur elle. Un cri d'excitation sortit d'elle.

Elle posa ses lèvres sur celles de son homme, et tandis qu'elle l'embrassait fougueusement, elle porta ses deux mains sur la croupe de l'homme, remontant tantôt ses mains vers les cuisses et vers l'instrument de la virilité, sur lequel ses mains restèrent.


Sauras-tu t'en servir ?


--Ventrebleu
Entendant la ribaude invoquer Asmodée, l'homme se trouvait encore plus perturbé, incapable de se remémorer les instants qui avaient conduits à sa venue en ce lieu. Deux instincts se battaient en lui. Tout cela exhalait une odeur de fagot. Il put sentir la carotide de la rouquine s'affoler sous ses doigts quand elle poussa un petit cri. Perturbé, il sursauta encore quand elle se saisit de son entrejambe, le provoquant par ses propos. La bougresse avait tout du métier.

M'en servir ? grogna-t'il, offensé comme un nobliau.

La suite de sa réponse fut étouffée par la chevelure de la volontaire quand il se dégagea de l'emprise de la belle. Il se colla plus encore à elle, sans ménagement, jusqu'à ne plus faire qu'un avec elle. Homme de son époque, il mit flamberge au vent sans hésiter et le va-et-vient aux débuts hésitants gagna vite en confiance. Suant et ahanant, il se comportait avec un raffinement identique à celui qui avait décoré la pièce...
--Felicie


Quand la va-et-vient des hanches commença, Félicie eut un large sourire. Elle devenait femme. Mais elle avait mal là où il avait introduit sa virilité. Elle sentait quelque chose se déchirer en son corps. Se retenant de faire une grimace ou de crier de douleur, et mordit les lèvres, jusqu'à ce que ce quelque chose se déchire. Alors, elle ne ressentit plus aucune douleur, et sentit un liquide gagner par quelques gouttes ses cuisses. L'homme et elle avaient atteints leur jouissance. Félicie jouissait donc, c'était la première fois que cela lui arrivait, et elle en tirait encore plus de plaisir. Le mouvement des hanches devenait de plus en plus rapide. Elle poussait à chaque coup des gémissements de plaisir, qui durent bientôt s'entendre dans tout le bordel. Elle découvrait l'Amour avec un grand A et sa féminité. Elle continuait de subir les assauts de l'excroissance masculine, tout en caressant le séant de celui qui ne faisait plus qu'un avec elle de ses doigts fins.
La chaleur de cet acte se communiquait aux deux corps enlacés. Elle avait l'impression de ne plus former qu'un avec son amant d'une nuit.
Intense moment de bonheur et de jouissance à deux qu'elle pratiquait de plus pour la première fois de sa vie, et qu'elle ne regretterait pour rien au monde.
Les assauts de l'homme continuaient à la faire crier de plaisir et d'envie. Elle embrassait toujours langoureusement son homme, lui glissant à l'oreille.


Domines-moi mon beau ! Profites de cette nuit pour te reposer ! Et n'oublies pas mon cadeau à la fin !

--Ventrebleu
De tels cris auraient habituellement irrité ses oreilles. A l'instar de ceux qu'ils entendaient, plus jeune, sortir de la grange où son père emmenait les filles de ferme. Mais cette nuit là, seule comptait la sueur qui unissait son corps à celui d'une autre créature. Chaque mouvement le stimulait encore et encore, et de sentir ses fesses ainsi flattées lui apportait une vitalité nouvelle. Gardant son bassin uni à celui de la rouquine il redressa le torse et saisit les poignets de la belle. La voir là, sous lui, offerte et comme libérée, lui éclaira le visage d'un large sourire. La fièvre laissait place à une agréable griserie. Il en avait oublié qu'il ne s'agissait pas d'une femme courtisée, mais juste d'une courtisane... Accélérant le mouvement de ses reins, il pouvait sentir des gouttes de sueur couler le long de son nez et les voir s'écraser sur les épaules de sa bonne amie du moment. Les muscles bandés il sentait la petite mort approcher. Au moment fatidique il se recula au dernier instant, ne voulant pas laisser traîner de bâtard sur son passage.

Aaaahhh ! fut le cri guttural qu'il laissa échapper en s'effondrant sur le côté... De dessous lui réapparaissait la blanche peau. Reprenant son souffle il tourna la tête vers la couchée, découvrant seulement réellement la beauté de sa partenaire.
--Felicie


La jouissance continuait à se faire ressentir à chaque instant. Félicie continuait ses cris à mesure que les mouvements du bassin s'amplifiait. L'homme s'écarta soudain. Félicie ne comprit pas tout d'abord pourquoi il, arrêtait, puis se dit qu'il ne voulait sûrement pas laisser Félicie enceinte, ce qui lui convenait très bien, puisque cela l'empêcherait de "travailler" pendant longtemps.
Il se repoussa sur le côté. Ni une ni deux, Félicie attrapa son livre des vertus et recueillit le précieux liquide qui sortait de la proéminence masculine sur une des pages de celui-ci. Ceci fait, gardant en main son livre des vertus imbibé, elle s'adressa à l'homme.


Tu voulais que je te confesse tout à l'heure ? Et bien prions !

Et brandissant le livre, elle cria.

Léonard, asperge me spermate tuo et inquinabor !
Abigor, pecca pro nobis !


Se calmant, elle profita de ce que l'homme soit couché sur le dos pour se coucher sur lui.


Maintenant, il est grand temps de te donner l'absolution !


Elle commença alors à baiser la bouche de l'homme, puis descendit sur la poitrine, et arriva au bassin. Elle leva les yeux vers l'homme, fit un sourire vicieux. Calant ses mains sur les hanches de l'homme, elle se mit à les caresser, tandis qu'elle léchait et baisait la proéminence de l'homme, de l'extrémité au bassin, et cela plusieurs fois.
Elle remonta cette fois à nouveau pour se remettre dans sa position initiale. Cette fois, elle fit elle-même des mouvements de bassin, avant de déposer un dernier long baiser sur les lèvres de l'homme.


Te voilà absous. Mon nom est Félicie. Après t'avoir inspiré l'envie et la luxure, il est temps pour nous de reprendre possession de nos deux corps. Si nous nous découvrions trop, et si tu revenais, nous n'aurions plus de plaisir. Comme cela, quand tu reviendras, nous saurons recommencer tendrement.

Elle se leva alors, reprit sa robe et la renfila. Ramassant son corset et le passant, elle remit un à un les liens qui le retenaient.
Contemplant alors de haut l'homme dans sa nudité, elle attendit que celui-ci se lève, se rhabille, puis paie sa nuit comme il se devait.


--Mahault
Mahault sentit la chaleur et la douceur des baisers descendre le long de son cou et sourit...très amusé de la gourmandise de l'homme à qui une femme ne suffisait point...

Ma douce, que diriez-vous de passer votre fin de nuit avec moi ? J'ai de quoi influencer grassement votre choix !


Elle n'ouvrit pas les yeux de suite...et lui déclara:
ta bourse, oui, tes bourses, oui, tes paroles d'homme bien né...Oui !!! Montre-moi que tes mots sont portés par ton désir; caresse-nous en sussurant...Mahault ne s'offre qu'à celui qui sait faire vibrer les mots d'amour, les frotter les uns sur les autres en même temps que ses mains sur nos corps...alors elle s'ouvrira comme les ailes d'un papillon...

Murmurant ces mots, Mahault repoussa son épinette, toujours à genoux, découvrant ses cuisses galbées et douces, et faisant glisser sa chemise afin de découvrir ses épaules à cet hôte...ouvrit les yeux...et vit avec grand amusement que l'homme à qui elle croyait parler était autre et nouvel arrivé...
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