Ombeline
[Devant les remparts en ce jour du samedi 26 septembre 1457]
nefi, médicastre de l'Ost artésien a écrit:
ayant confié ses derniers blessés aux nonnes elle avait avec ses hommes rejoint les rangs de l armée du phénix.
son équipement avait de nouveaux était contrôlé et complété, avant de repartir vers les remparts de calais la rebelle. le campement avait été dressé une désormais une grande tente réservé à accueillir les blessés trônait en bonne place.
le premier jours se passa sans trop de casse, les catapulte et autre trébuché attaquaient sans relâche les épaisses fortification que bientôt ils franchiraient pour prendre la ville.
elle observait tout cela le regard de glace, le visage sans expression, elle avait été a l'assaut mais rien de concluant vu le nombre de soldats. et elle était revenue pour soigner les quelques blessés.
la nuit avait été calme bien que la tension était partout palpable.
le second assaut du lendemain fut plus musclé, les failles dans les remparts et les pertes ennemies leur avait facilité la tâche, les combats firent rage et nefi tapait sans reffléchir, taper, pour protéger sa vie, taper au coude à coude avec les hommes de sa lance, taper encore et toujours pour que l'artois garde son intégrité.
de partout la devise artésienne se faisait écho...
artois rends toi, que nenni ma foy...
elle martelait les esprits rythmée par le cliquetis des armes, par les hurlements de douleurs des hommes et femmes des deux camps.
l'atmosphère irrespirable flottait sur le champ de bataille, mélange de fumée, de poussière, de sueur et de sang, une odeur apocalyptique. dont seul la faucheuse devait se répéter comme autour d'un gros festin.
puis bientôt le calme revient laissant place à une vision d'horreur de corps mutilés, de gémissement, de crie de douleur ou de désespoir... couverte de sang, la respiration haletante mais birgit toujours en mains la lame rougit, nefi resta quelques temps comme dans un état second, ses yeux devenue presque noir parcoururent la scène, elle entendit dark crier le nom de crista et son coeur eu un choc tant dans cette appel on percevait la détresse. elle voulut allé vers elle, aider crista cette vieille amie cambraisienne quand son regard se posa sur un homme au sol.
stillllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll
tombant à genoux prés de lui elle eu de nouveau un choc, mais de ceux qui d'un coup rendent la lucidité nécessaire à l'action.
prenant le pouls de son ami elle fut rassurer il vivait.
tien bon stil je reviens tien le coup.
puis se relevant et d'une voix forte elle appela.
qu'on apporte les brancards vite.
partant au pas de charge elle rentra sa lame dans son fourreaux après l'avoir essuyé sommairement. et prit l'évacuation des blessés en charge envoyant un brancard à dark pour crista et un pour stilicon. et tout autre blessés nécessitant des soins.
arrivant au campement elle rejoignit la tente médicale et se prépara à accueillir les soldats ayant besoin de soin espérant vivement voir revenir entier pegas, feff, et poillinette son équipe de soigneur.
son équipement avait de nouveaux était contrôlé et complété, avant de repartir vers les remparts de calais la rebelle. le campement avait été dressé une désormais une grande tente réservé à accueillir les blessés trônait en bonne place.
le premier jours se passa sans trop de casse, les catapulte et autre trébuché attaquaient sans relâche les épaisses fortification que bientôt ils franchiraient pour prendre la ville.
elle observait tout cela le regard de glace, le visage sans expression, elle avait été a l'assaut mais rien de concluant vu le nombre de soldats. et elle était revenue pour soigner les quelques blessés.
la nuit avait été calme bien que la tension était partout palpable.
le second assaut du lendemain fut plus musclé, les failles dans les remparts et les pertes ennemies leur avait facilité la tâche, les combats firent rage et nefi tapait sans reffléchir, taper, pour protéger sa vie, taper au coude à coude avec les hommes de sa lance, taper encore et toujours pour que l'artois garde son intégrité.
de partout la devise artésienne se faisait écho...
artois rends toi, que nenni ma foy...
elle martelait les esprits rythmée par le cliquetis des armes, par les hurlements de douleurs des hommes et femmes des deux camps.
l'atmosphère irrespirable flottait sur le champ de bataille, mélange de fumée, de poussière, de sueur et de sang, une odeur apocalyptique. dont seul la faucheuse devait se répéter comme autour d'un gros festin.
puis bientôt le calme revient laissant place à une vision d'horreur de corps mutilés, de gémissement, de crie de douleur ou de désespoir... couverte de sang, la respiration haletante mais birgit toujours en mains la lame rougit, nefi resta quelques temps comme dans un état second, ses yeux devenue presque noir parcoururent la scène, elle entendit dark crier le nom de crista et son coeur eu un choc tant dans cette appel on percevait la détresse. elle voulut allé vers elle, aider crista cette vieille amie cambraisienne quand son regard se posa sur un homme au sol.
stillllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll
tombant à genoux prés de lui elle eu de nouveau un choc, mais de ceux qui d'un coup rendent la lucidité nécessaire à l'action.
prenant le pouls de son ami elle fut rassurer il vivait.
tien bon stil je reviens tien le coup.
puis se relevant et d'une voix forte elle appela.
qu'on apporte les brancards vite.
partant au pas de charge elle rentra sa lame dans son fourreaux après l'avoir essuyé sommairement. et prit l'évacuation des blessés en charge envoyant un brancard à dark pour crista et un pour stilicon. et tout autre blessés nécessitant des soins.
arrivant au campement elle rejoignit la tente médicale et se prépara à accueillir les soldats ayant besoin de soin espérant vivement voir revenir entier pegas, feff, et poillinette son équipe de soigneur.
Feff, infirmier à l'Ost a écrit:
Le départ d'Azincourt fut très dur il fallu à Feff plus de courage qu'il n'en aurait bientôt besoin pour quitter sa douce. Il alla rejoindre ses camarades et prit la route de Calais essayant de ce concentrer au maximum. Sur le chemin il ramassa toute les herbes qu'il jugeait utile afin de préparer de quoi soigner les blessé, car il n'avait pas d'illusions des blessés il y en aura et des morts également. Il fallait juste être prêts quand cela arrivera.
L'armée arriva enfin devant les portes de la ville et une myriade de tentes se dressa tout autour du remparts. Des armes de sièges était monté de ci de là afin de faire plier les Calaisiens.
Feff rejoignis donc ses camarades et prépara ses armes dans l'attente de l'assaut. Il nettoya ses armes et prépara ses affaires pour être prêts au combat à tout instant.
La première nuit fût à peine agité aussitôt misent en place les armes de sièges s'activèrent toute la nuit pilonnant allègrement la ville.
La nuit du second assaut chacun était prêts à en découdre et lorsque les cors de guerre résonnèrent tous les soldats se mirent en place et attendirent que les armes de siège pilonnent la ville. Puis ils chargèrent tous vers les remparts essuyant des pluies de flèches et de trait. Les échelles se dressèrent et beaucoup atteignirent les remparts.
Feff l'épée dans une main et la bannière de la compagnie des aigles dans l'autre, courut aux cotés de ses camarades se frayant un chemin dans le tumulte des boucliers et des épées qui s'entrechoquaient alors. Il lui suffisait de penser que ces hommes l'empêchait de rejoindre son aimée pour qu'il se jette corps et âme dans la bataille frappant de toute ses forces à chacun de ses coups.
Lorsqu'il crut reconnaitre Néfi crier il accourut dans sa direction et vu avec horreur que beaucoup avait été blessés ou été tombés pour l'artois. Il rangea son épée et alla donc aider Néfi et les autres soigneurs à l'évacuation des blessés. Il déposa alors ses armes dans un coin et prit sa sacoche et ses bandages. L'assaut été terminé et il s'agissait à présent de sauver le plus de monde possible. Toute le reste de la nuit il aida au soin des nombreux soldats Artésiens tombés mais aussi aux Calaisiens qu'il avait trouvé.
L'armée arriva enfin devant les portes de la ville et une myriade de tentes se dressa tout autour du remparts. Des armes de sièges était monté de ci de là afin de faire plier les Calaisiens.
Feff rejoignis donc ses camarades et prépara ses armes dans l'attente de l'assaut. Il nettoya ses armes et prépara ses affaires pour être prêts au combat à tout instant.
La première nuit fût à peine agité aussitôt misent en place les armes de sièges s'activèrent toute la nuit pilonnant allègrement la ville.
La nuit du second assaut chacun était prêts à en découdre et lorsque les cors de guerre résonnèrent tous les soldats se mirent en place et attendirent que les armes de siège pilonnent la ville. Puis ils chargèrent tous vers les remparts essuyant des pluies de flèches et de trait. Les échelles se dressèrent et beaucoup atteignirent les remparts.
Feff l'épée dans une main et la bannière de la compagnie des aigles dans l'autre, courut aux cotés de ses camarades se frayant un chemin dans le tumulte des boucliers et des épées qui s'entrechoquaient alors. Il lui suffisait de penser que ces hommes l'empêchait de rejoindre son aimée pour qu'il se jette corps et âme dans la bataille frappant de toute ses forces à chacun de ses coups.
Lorsqu'il crut reconnaitre Néfi crier il accourut dans sa direction et vu avec horreur que beaucoup avait été blessés ou été tombés pour l'artois. Il rangea son épée et alla donc aider Néfi et les autres soigneurs à l'évacuation des blessés. Il déposa alors ses armes dans un coin et prit sa sacoche et ses bandages. L'assaut été terminé et il s'agissait à présent de sauver le plus de monde possible. Toute le reste de la nuit il aida au soin des nombreux soldats Artésiens tombés mais aussi aux Calaisiens qu'il avait trouvé.
naoki, soldate bertincourtoise a écrit:
Naoki avait suivit les autres. Le depart de Azincourt avait sonné, vint alors le temps de la marche. On entendait plus que le cliquetis du métal, les pas sur le chemin. Un nuage de poussière avançait au rythme des soldats.
Arrivé a Calais. Les jours passent, on juge la ville, les regards se croisent, l'attente ... longue.
Après quelques jours, naoki est appelée a passée chef de section. Une nuit à peine... Et déjà des pertes. La jeune femme avait combattu comme elle le pouvait mais elle n'avait que pu voir Crista tombé. Alors qu'elle était occupé avec un autre ennemi, elle vit Dark accourir auprès d'elle. De l'autre coté, Naoki vit larsene se prendre un mauvais cou. Les hommes de sa section diminuait dangereusement et elle ne pouvait rien faire.
Lorsque toute la bataille fut finie et que les troupes s'étaient retirées, Naoki avait marcher la ou quelques minutes plus tôt, des hommes se battaient pour leur vie. Elle n'avait de réel affinité avec personne, certes la perte de ses compagnons la chagrinait mais se n'était rien en comparaison à d'autres. Après avoir lancé un dernier regard empli de peine a cette vision, elle se dirigea vers sa tente pour nettoyé son équipement.
Deux jours ...
Arrivé a Calais. Les jours passent, on juge la ville, les regards se croisent, l'attente ... longue.
Après quelques jours, naoki est appelée a passée chef de section. Une nuit à peine... Et déjà des pertes. La jeune femme avait combattu comme elle le pouvait mais elle n'avait que pu voir Crista tombé. Alors qu'elle était occupé avec un autre ennemi, elle vit Dark accourir auprès d'elle. De l'autre coté, Naoki vit larsene se prendre un mauvais cou. Les hommes de sa section diminuait dangereusement et elle ne pouvait rien faire.
Lorsque toute la bataille fut finie et que les troupes s'étaient retirées, Naoki avait marcher la ou quelques minutes plus tôt, des hommes se battaient pour leur vie. Elle n'avait de réel affinité avec personne, certes la perte de ses compagnons la chagrinait mais se n'était rien en comparaison à d'autres. Après avoir lancé un dernier regard empli de peine a cette vision, elle se dirigea vers sa tente pour nettoyé son équipement.
Deux jours ...
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Capitaine d'Artois