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[RP/IG] Cadastre et Urbanisme.

Gnia
Et de froncer le nez en se penchant à nouveau sur le plan pour localiser l'endroit dont il était question. Et de relever le chef avec la petite moue de l'indécise face à toute l'hésitation que confère le choix cornélien entre la robe en velours bleu ou celle en soie rouge.

Ne serait-il pas plus judicieux d'établir un commerce dans le quartier des commerçants ?

Et mue par un réflexe, sa main vint triturer machinalement la fine cicatrice sur sa mâchoire tandis qu'elle observait à nouveau le plan, se demandant si la proximité du Vieux Pont suffirait à faire prospérer son commerce.

Toutefois si vous estimez que l'emplacement que vous me proposez est suffisamment passant pour attirer le chaland, et bien, il me sied.
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Sancte
Il se met à vous dévisager avec gravité, se demandant sans doute si vous n'êtes pas en train de vous payer sa tête en considérant qu'un commerce de charrette est à son avantage entre les tailleurs et les boulangers, comme s'il s'agissait là d'un produit de première nécessité ou pour lequel on pouvait avoir un coup de cœur en faisant les soldes ou du lèche-vitrines. Mais il ne jugea pas forcément opportun de s'étendre sur votre facilité naturelle à claquer du pognon plutôt qu'à en gagner. C'eut été mesquin.

Alors je considère qu'il sied à vos souhaits.

Quand bien même elle n'a pas éternué. Il se laissa retomber sur son siège, puis griffonna son plan cadastral à deux endroits différents avec la mécanique d'un automate. Les rues mal pavées du centre ville étaient le plus souvent obstrués et impraticables. Boueuses dès lors qu'il pleuvait et à toute heure jonchées de bren et de détritus, on y pataugeait plus sûrement dans la merde que dans la boue, dans l'urine que dans l'eau. Rien d'anormal en soi au sein d'une ville qui comptait presque plus de chevaux et de têtes de bétail que d'habitants. En sus, la charrette n'était pas un produit d'utilisation courante. Pas comme le pain, la viande, la dague, les outils, ou les haut-de-chausses. Non, l'atelier de menuiserie serait très bien près du cimetière. Après tout, chacun dans sa vie pouvait un jour avoir besoin d'un corbillard.



Plan mis à jour.

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Gabriel34
Gabriel frappe à la porte et rentre

Bien le bonjour, je m'appelle Gabriel, et je suis nouveau dans votre ville... j'aurai aimé savoir, si il est possible d'avoir un demeure.

Gabriel sourit en attendant une réponse
Animas
Animas entra dans le bureau du cadastre de la ville pour demander de faire inscrire sa demeure dans le registre des propriétés des montalbanais. Il se présenta dans le bureau du responsable du cadastre et donna sa requête.

-Bien le bonjour je suis Messer Animas et je viens donc d'obtenir une propriété et un champ. Ma propriété se situe dans les Faubourgs de Montmiray au sud-ouest du centre-ville sur la rive droite du Tarn.

Animas ayant fait par de sa requête se dirigea dans la salle d'attente.
Theodore_du_lourdou
C'est avec sa Marie et tout leur enfants qu'ils arrivèrent au cadastre, faute de pouvoir les laisser dans un "chez eux" car il n'était pas question de les laisser seul dans leur campement alors que lui et sa femme étaient en vadrouille.
La monture attachée dehors et tout les enfants débarqués ils entrèrent dans le cadastre après avoir frappé à la porte. A première vue personne mais le bureau était grand, sans doute y avait-il quelqu'un prêt à les accueillir quelque part.
En attendant ils s'approchèrent de ce qui semblait être le plan. Théo l'observa, sa douce avait demandé "près de l'eau" et ce que femme veux...
C'est donc avec la ferme intention de satisfaire sa Marie qu'il regardait la carte la parcourant avec son doigt et un air concentré sur son visage.


Hum...moui...mais pris...hum non, pas là...humm pris, pris et pris aussi !

Se tournant vers sa douce.

Mon ange, je crois que toute les bonnes places sont prises...

Il regarda à nouveau la carte. Puis soudain il trouva un emplacement libre, près du Tescou mais un peu éloigné de la ville. De son doigt il tapotait la carte à l'endroit qu'il avait trouvé, juste au dessus du n°39.

Regarde mon ange, ici personne n'y habite, c'est près d'une rivière, un peu éloigné de la ville certes...mais on ne peux pas tout avoir. Il faudra faire inscrire cette parcelle au cadastre comme étant notre après avoir payé.

Il lui sourit et lui glissa un baiser.

Alors, qu'en pense tu ?

Il lui sourit tout en attendant que quelqu'un vienne s'occuper d'eux.
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Marie_du_lourdou
Theo et Marie étaient arrivés avec leurs enfants au cadastre et pendant que son Theo cherchait un emplacement convenable pour leur futur maison, Marie disciplinait leurs deux garçons qui n'arrêtaient pas de courir un peu partout. Marie Haussa le ton en s'adressanr aux deux garnements.

Theodore Junior et Amiel Du Lourdou, si vous ne vous arrêtez po dans les seconde qui suivent vous serez punis sévèrement, que cela entre bien dans vos p'tites oreilles.

Puis Theo montra sur la carte un emplacement et lui demanda ce qu'elle en pensait. Junior et Amiel en profitèrent pour se courir de nouveau après. Marie examina l'emplacement et sourit à son Theo.

C'est vrai qu'il est assez éloigné de la ville mais bon au moins il y a de la place pour y construire la maison qu'on désire non ?

Puis attrappant les deux garnement par leurs chemises, les fit asseoir près de leur soeur en leur interdisant de bouger. Puis elle retourna près de son Theo et lui sourit après lui avoir donner un baiser.
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Orandin
    [8 Juillet 1459 - Je suis venu, j'ai vu...]

Le Rouquin voulait s'installer à Montauban qui lui a été vendu comme étant la terre promise. Mensonge ? Il s'en foutait complètement. Il avait décidé de prendre le risque et d'écouter l'ingénieux Iohannes. D'autant plus que résidait, en cette cité, sa blonde émanant de la grande famille des Cardofer. Il était difficile de résister à l'envie d’emménager en ces lieux.

Après avoir fait le tour de la cité, tout en ayant cherché
LE bâtiment idéal pour y installer sa forge, il devait, dès à présent, demander la permission, au cadastre de Montauban, de pouvoir faire ce qu'il souhaitait. Malheureusement pour lui, il savait pertinemment que les fonctionnaires n'étaient pas des hommes très dynamique et qu'en plus de cela, il sera rapidement noyé par de la paperasse obligatoire pour l'obtention du droit de se poser, officiellement, et d'investir dans la cité. Il lâcha un soupir d'avance et prit son courage à deux mains. Il pénétra dans l'office.

A son grand étonnement, il ne s'attendait pas à voir le Resplendissant derrière le bureau. C'était donc lui qui dirigeait le cadastre ? Bonne nouvelle ! Il n'allait pas s'éterniser ici, ça, c'était sûr.

« Bonjour Iohannes. Comment vas ? Je viens pas t'emmerder trop longtemps. J'aurai bien voulu mais le temps, c'est de l'argent. Je souhaiterais donc emménager à Montauban et y installer ma forge dans le quartier des Artisans. Un putain de quartier, idéal pour les affaires. Ne me dit pas que ce n'est pas possible. Je m'en contre fiche. Tu te démerdes, je veux être à coté de la forge d'Anne. » Dit-il sans laisser le temps au réformé de prononcer la moindre parole.

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« Si vis pacem, para bellum » ~ By Orandin
Gaemon
gaemon passa la tete et frappa a la porte puis entra avec son sourire habituel

bien le bonjour a vous

je suis gaemon fild du vent j aimerai trouver un endroit ou pouvoir poser ma roulotte hors de la ville be=ien sur je ne veux surtout pas deranger car je opense donner quelques fetes le soir pres du feu


sur ces mots gaemon sourit en attendit une reponse ou une proposition
Xanthipremier
[Aux Portes de Montauban]

Voilà la damoiselle est arrivée, enfin.
Il avait fallu vendre son champ, vider sa maison, louer des charriots et des boeufs, payer des porteurs. Il avait été facile de convaincre Mahault qu'elle ne serait point mise à la rue, ni vendue par son promis. Xanthi le cognerait si jamais il touchait un seul cheveux de sa servante.
Les greffiers qui aimaient dormir là où c'était interdit en profitèrent pour se cacher dans les édredons de plume. Si les journées étaient encore chaudes, les pluies d'orage avaient rafraichi les nuits.
Juchée fièrement sur sa jument, suivie comme on s'en doute de son fidèle Hoax, elle et son convoi avaient profité de l'armée de Messire Sancte, avec son accord, pour venir rejoindre son Cyric à Montauban.

Montauban ! Mahault nous y sommes !

Nous y sommes, nous y sommes .... ouais ben j'attends de voir ....
marmonna la vieille, parce qu'il est vrai que la petite avait déjà hésité entre Blaye et Bordeaux. Alors .....

C'était bien la seule ville où elle pourrait louer le Très-Haut comme elle l'entendait et suivre le livre des vertus pareillement.
Bien sûr il fallait trouver la masure que son fiancé était en train de restaurer. Alors trouvons le cadastre et vite.


[Bureau du Cadastre]

Elle laissa donc ses charriots, sa servante et les conducteurs et s'engagea dans la ville à la recherche du cadastre. Ce serait plus facile de trouver son n'amour. Pas la peine d'aller boucher les rues avec son équipage.
Elle descendit de sa monture, avisa un gamin, lui promit une belle récompense s'il surveillait sa bête ou une belle raclée s'il lui prenait l'envie de la lui voler.

GRRRrrrrrrrrrrrrr !
Un grognement significatif du chasseur de loup qui la collait comme toujours, suffit à lui faire comprendre qu'elle ne rigolait pas.

Elle entra, indiqua du doigt à son chien de se coucher sous une fenêtre non occupée et s'approcha du comptoir.
Une petite révérence aux personnes présentes :


Bien le bonjour, Dames et Messires. Je suis Damoiselle Xanthi, je cherche le logis de mon promis : Cyric-le-Noir.
Pourriez-vous m'indiquer le chemin s'il vous plait ?


Et elle fit comme les personnes avant elle, elle alla s'assoir sur le rebord de fenêtre gardait par Hoax, attendit sagement et regarda la rue. La ville était animée, ça grouillait de monde de tout bord, de tout milieu.
Elle laissa partir son imagination, se voyait enfin mariée à son Lapin.
Depuis le temps qu'ils attendaient.... pourvu qu'ils n'aient à patienter encore longtemps. Elle en crierait tellement elle avait soif de lui. Mais, il était hors de question de lui appartenir en dehors des liens du mariage. Mais Déos, oui cher Très-Haut, que cela lui pèse. Elle en a tout le bas ventre brûlant .......

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La Loy de l'Eglise Aristotélicienne ne régit ni la Guyenne, ni le Royaume.
Cyric_le_noir
Cyric le noir, borgne de son duché, avait jusqu'ici établi sa canfouine dans une vieille ruine située à proximité de la muraille du village. Il s'était tout bonnement approprié les lieux mais sa future épouse lui avait indiqué qu'il pouvait légitimement demander un bâtisse en bonne et due forme. Ainsi, la tête pleines des vapeurs de l'alcool qu'il avait ingurgité, il se rendit au bureau du cadastre pour y mander son dû.

Le grand gaillard frappa fort et entra sans attendre. Là, il découvrit sa biquette qui poireautait appuyée sur le rebord d'une fenêtre qu'elle dépassait à peine. Il s'approcha souriant et lui claqua la fesse avec légèreté et une once de vice.


-"Alors ma biquette ? On glande ?"

Tournant son oeil à droite et à gauche pour reluquer aux quatre coins du bureau, il ajouta :

-"Alors, c'est ici que je dois demander un bicoque ?"

Cyric colla ses lèvres sur celles de Xanthi et l'enlaça vigoureusement en laissant échapper un râle de plaisir.
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Xanthipremier
Somnolante, rêvassante, Xanthi, manqua tomber du rebord de la fenêtre où elle était assise quand de forts coups frappés à la porte la firent sursauter.
Se redressant, la damoiselle un peu coincée, leva la tête et vit son Lapin, son homme, son Cyric entrer dans le bureau.

Elle retint un sourire de niaise, alors qu'il interpellait,


"Alors ....

Elle l'observe et sent le sang battre à ses oreilles. Cet homme, si grand, si viril veut la marier et elle le veut aussi.
Il s'approche d'elle, elle voit son regard et son coeur s'affole encore plus et de délicieux frissons courent sur sa peau.

........ bicoque ?"

Elle répond à son baiser, s'accroche à son cou, colle son corps au sien puis se recule et le repousse doucement. Il semble reprendre des forces, sa vigueur à cet instant ne laisse aucun doute.

Lapin, comme je suis heureuse de te trouver ici. Je te cherchais.

Elle l'embrasse à nouveau, c'est qu'il lui a manqué et qu'elle a toujours cette peur qu'il la laisse pour une femme plus grande, plus ronde, plus femme quoi !

J'ai vu là sur le cadastre une auberge abandonnée.
Pointe du doigt un point Tu vois là, regarde.

Elle le tire et lui montre tout en s’expliquant :

Ce serait bien non ? Et puis on pourrait voir s'il y a une maison derrière avec un jardinet et un champ pour Fistule.
et pis : "17 Auberge des 4 vents" ça jette, nan ?


Elle s'accroche à son bras. Cela fait si longtemps qu'ils ne se sont vus, qu'ils n'ont dormi ensemble.
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La Loy de l'Eglise Aristotélicienne ne régit ni la Guyenne, ni le Royaume.
Sancte
Après des mois et des mois d'abandon, Iohannes accompagné de sa fille, réintégra le bureau dans lequel était (censé être) tenu le cadastre. Mais celui-ci avait été abandonné depuis si longtemps que les bras lui en tombèrent de découragement. Ça le mettait quelque peu mal à l'aise de se retrouver face à l'hypothèse d'avoir tant sacrifié pour des ambitions qui n'ont hélas jamais porté leurs fruits. Non pas que naguère il aurait pris un grand plaisir à analyser et à traiter ces demandes, mais le cadastre lui rappelait la joie et la fierté profonde qui l'avaient animé lorsqu'il ne souhaitait que se mettre au service de sa cité. Une joie et une fierté qu'il n'a hélas jamais ressenti en se mettant au service de son Duché. Il s'agissait désormais de se remuer et de faire aboutir la fraction de demandes qui pouvaient encore être pertinentes dans le contexte actuel.

À moi qui suis né en Montauban, cette cité dont le seul nom résonne dans les oreilles du grand monde comme le modèle de la courtoisie, le refuge des étrangers, l'hôpital des pauvres, la patrie des braves, le tribunal des outragés, comme le plus haut rempart des plus fidèles amitiés, une cité unique enfin, par la beauté de son site situé au carrefour de l'Occitanie ; hé bien je le dis, cela me fait de la peine de voir notre beau cadastre gésir sous la poussière et sous notre indifférence.

Il attrapa le premier dossier sur le haut de la pile, le secoua un peu pour en faire tomber les saletés, et se mit à le déchiffrer.

Tenez. Hop. Une demande pour l'Auberge des quatre vents. Mais non pas pour y monter un établissement. Plutôt pour y habiter ... Je vais écrire à Xanthi pour voir si cela l'intéresse toujours. Après tout, je crois que Montauban lui doit bien cela.

Et du tranchant de sa plume qu'il abreuva d'une généreuse goutte d'encre, il commença à rédiger un pli à l'ancien Connétable de Guyenne, même s'il dut pour cela écarter une vielle écuelle qui contenait probablement les restes fossilisés d'une antique purée de petit pois.

Vous êtes passée devant les quatre vents vous, récemment ? Elle est dans quel état ?
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Xanthipremier
Elle avait quitté précipitamment le bureau cadastral, suivant son Lapin qui avait quitté les lieux sans un mot.

L'été l'avait vu en fuite, recevant de rares nouvelles de son fiancé.
L'automne l'avait vu naviguer puis son bateau coulé. Elle s'était retrouvée plus morte que vive à Bazas.
L'hiver arrivant, elle se retrouvait à nouveau seule, n'ayant plus de nouvelles cette fois.

Mise en procès, attendant sa condamnation, elle était revenue à Montauban.
Elle y avait retrouvé sa servante, son chien et ses maigres biens.
Elle n'avait pas encore récupérée toutes ses forces et sa brave Mahault qui la gavait depuis son retour, lui avait donné une lettre ce matin.
Pas de nouvelles mais des nouvelles tout de même d'une personne qu'elle appréciait pour sa droiture et sa fidélité. Elle prit soin de sa toilette et sortit, accompagnée de son fidèle woolfhood.

Elle poussa la porte du cadastre, bien droite, emmitouflée, le chien à son côté.
Elle le regarda, penché sur les dossiers, il ne semblait pas changé. Il était comme elle, toujours là.


Bonjour Messire Sancte. Je serai heureuse de prendre possession de cette auberge.

Elle avait parlé sans détour, elle lui sourit mais sans réelle joie et continue.

J'aimerai la restaurer et en faire un endroit accueillant où l'on pourra boire et manger, que l'on soit du village ou de passage.


N'ayant plus un écu d'avance, elle allait devoir jongler et rencontrer un lombard qui acceptera de lui avancer quelques fonds. Mais elle y arrivera, oh ça oui !
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La Loy de l'Eglise Aristotélicienne ne régit ni la Guyenne, ni le Royaume.
Scath_la_grande
[Pour dépoussiérer un cadastre, il faut un vieux à dépoussiérer aussi !]


Elle aurait cru le fauve plus rétif à la sortie, plus enclin aux soupirs depuis qu’une moribonde nonchalance s’était abattue en chape incertaine sur son père ces derniers temps. Remettre les pieds dans cet office c’était toucher du doigt un passé doré.
Il lui semblait que des siècles s’étaient écoulés depuis sa dernière visite, et le souvenir d’une rousse insouciante et arrogante revint à la surface. Le cœur exempt d’humanité, sa peau laiteuse exempte du passage du fer.
Et maintenant ?
L’âme tourmentée par des douleurs invisibles et le derme éprouvé par le sang. Ils avaient tous deux changés et découvert le lien secret qui expliquait l’attachement de la Belette à l’Amiral.


Monsieur mon père, lippe qui se retrousse légèrement dans une légère moue incrédule, cet endroit est tout comme vous…

S’arrête un temps pour la réflexion.
Réponse A : Il est tout décrépit… « Là t’es morte rouquine »
Réponse B : Ça sent le moisi… « Huuu… naaaan !»
Réponse C : Personne n’en prend soin… « Ça t’en sais rien… et tu veux pas savoir ! Brrrrr…»
Réponse D : Un mélange de la A et de la B. « Bad idea* »
Réponse E :


Il avait grand besoin d’être aéré !

Et d’ouvrir la fenêtre d’un geste ample pour y faire entrer un souffle glacé mais hautement salutaire.

Pour les Quatre Vents… ça porte bien son nom en tout cas. Surtout question courants d'air...

Léger sourire mais ne pas lui dire qu’elle est heureuse de sa simple présence en ce lieu.

Je ferai remettre en état les locaux, vous y serez mieux...


[Lendemain, ou un autre jour d’ailleurs…]


L’office nettoyé, le vieux en place, la sublime Gouverneur se décide à rendre visite à son père, histoire de l’aider un peu à sa lourde tâche et lui indiquer les nouveautés de la cité des Saules.
Une matinale compagnie s’y trouve déjà.


Bonjorn mon père, bonjorn Xanthi, alors tu la prends cette auberge ? Tu vas avoir du travail à la retaper.

Se tournant vers le patriarche.

Père ? Je viens vous donner quelques nouvelles adresses à mettre sur le cadastre.


*mauvaise idée
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"Musteile arrive... Fuyez pauvres fous ! Fuyeeeeez !!!"
Sancte
S'cat Woman*



[Cadastre: poste de veille. Soit d'une part le jour identique à la nuit ; d'autre part la jeunesse semblable à la vieillesse.]


Bien. Laissez-moi ça sur le bureau. Je m'en occuperai dès que possible.

Alors qu'habituellement dans ce bureau, il n'y avait pas un chat, voilà qu'ils étaient désormais trois à évoluer dans une pièce crasseuse, basse de plafond et exiguë. Devenir le père d'une graine de Gouverneur avait nécessité de la part du chevalier réformé l'adoption d'une prose convenable, en sus de certains instincts de dévouement paternel qui lui étaient jusque là inconnus.

Et si vous tenez à remettre en état les locaux, faites moi parvenir un grand fauteuil de cuir grenat, tout capitonné à l'Anglaise, comme votre vieux père les aime.

L'auberge des quatre vents n'empêche ... Quel nom à la con. Ayanah avait vraiment une inspiration de chiotte.

Je vous attribue les quatre vents, Xanthi. Je sais que vous saurez en faire un endroit chaleureux. J'ai d'ailleurs toujours imaginé Cyric en tavernier, au regard de sa nature, disons ... joviale et exubérante. De plus vous avez de la chance. En plein "Oane Vira", l'endroit est sûr, mais le voisinage plutôt exigeant vous incitera sans doute sans grande finesse à rénover cela avec des matériaux coûteux, que je saurais vous fournir si vous me promettez de refuser l'entrée aux clodos, que nous enverrons au Père Bender. Ça lui fera du monde pour sa messe. J'imagine que vous allez également vous servir de l'établissement comme résidence principale ?



*S'chat femme
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