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[RP] L'armée d'Auvergne s'invite au Berry...

Toenn
Toenn écoutait et n'en croyait pas ses oreilles. Les persiflages de cet aragonais étaient déroutants.

Résistant à l'envie de lui répondre, Toenn contempla l'ex-diacre avec dédain et haussant les épaules devant son crétinisme, il se retourna et s'éloigna pour vaquer à bien d'autres occupations.

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Georgepoilu
Voilà ce qui arrive quand on confie une chaire de curé à un auvergnat, il vient ensuite cracher sur le duché et les soldats que son ancien pays va attaquer sous peu !

finallement il serait plus sain de réserver les chaires de nos églises à de vrais berrichons, pas à ces immigrés d'auvergne !

D'aillerus le maire de sancerer s'est révolté contre le Berry sous l'influence de deux auvergnats qui défenden,t aujourd'hui le maire rebelle !

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--Lavoix
Le bien pauvre Lavoix, secouer par tous et par toute, il n'etait qu'un porte parole comme les autres, ne repetant ce que les elus lui demandait de dire, son opinions lui etait propre et le reactions des soldats a son egart et envers le bon pretre lui en disait long.
Malgres le faite qu'il fut remuer dans tous les sens il prit son courage comme il put:

Je vois que le maire avait raison de vous nomme "Renard" quoiqu'il aurait put vous nommee de bien d'autre nom d'animale, comme blaireau ou encore charognard, mais ceci ne fut pas ses propos.
Vous agissez comme des soudarts vendant votre bras armee aux plus offrant et quand ceux-ci ne vous offre rien.... et ben qu'est ce que vous faite vous le prenez de force... Vous demandez le respect et la reconnaissance, mais pour ceci vous devriez etre reconnaissant que le Duc vous heberge sur nos terres, que vous vos nourrissiez de notre pain et que vous buviez dans nos taverne.

Pas un Berrichon vous a demander de venir sur nos terre pour chercher querelle a nos voisin. L'espris de conquete n'est pas notre et si notre Duc dans ses jeux de la Guerre entraine son peuple dans la haine et la derision, ce n'est pas vous les Renard qui subirons les taxes et impots que ceux-ci apporterons mais bien nous pauvre habitant du Berry qui en patiront


Regardant autour de lui pour y trouver du soutient devant les vermines qui s'agite

Berruyers Berruyeres, voulez vous que ces hommes deviennent bos futur Maires, voulez vous qu'ils pillent vos terres dans la seule quete de s'alimenter ou de se payer des dut que le Duc ne pourra leur remettre

attrapant un baton en guise d'arme car joueur d'epee il ne l'etait point

Qu'allez vous faire, me provoquer en duel, m'estropier ici meme, mais faites donc je vous en prie et malgre le faite que homme d'arme je ne le suit pas.... du fil a retordre je vous donnerai.
Alleaume
*Il n'avait pas encore une seule fois prit la parole en publique depuis qu'il était arrivé en Berry, il avait écouté les gens parler avec attention, les jaugeant avec attention, savoir qui ils étaient, il était important d'écouter les personnes afin de pouvoir s'en faire une idée précise.. Ne pas sauter les pieds dans le plat aurait été une bêtise de toute manière.

Pourtant, lors de se retour de campagne, alors que les Renards rentraient chacun dans leurs habitations, certains étaient partit faire un détour sur la place publique, Alleaume faisait parti de cela, il avait l'habitude de toujours prendre intérêt de ce qui ce disait ici et la et il avait entendu dire lorsqu'ils étaient en Touraine que certains accusaient le Duc de traitrise et d'autres mots encore plus terrible les uns que les autres. Jamais il n'avait vu tel manque de respect envers l'autorité que le Duc était censé représenté, certains les auraient fait pendre haut et court pour leur manque de savoir vivre...

Alors qu'un homme masquait prenait la parole, il s'approcha de lui et prit alors la parole afin de faire entendre son avis...*


Bonjour à vous Messer, "Lavoix", je me présente.. Alleaume de Niraco.. Je vous ai entendu parler depuis un petit moment, c'est avec une attention particulière que je vous ai écouté.. Et c'est pour cela que je me suis permis de vous parler..

Je suis un Renard pour ma part, et n'en ai aucune honte, ce n'est pas pour autant que je pense être un barbare, j'ai été élevé comme il se doit par mes parents qui m'ont apprit tout ce qu'il faut pour être un adulte des plus convenable..

Je peux vous assurer que les Renards ont toujours été reconnaissants envers le Duc du Berry, et ceux depuis que nous sommes ici..
Ce que vous dites est faux, les Renards sont avant tout Berrichons, la plupart d'entre nous, pour ne pas dire la majorité a acquis ici une terre en Berry, ce qui fait que nous ne sommes pas exonéré d'impôts ! D'autant plus que nous mettons nos armes aux services de notre Duché, sans rien demandé en contre partie, jamais nous n'avons taxé vos caisses ducales afin de vous défendre, je dis bien jamais !


* Il marqua une petite pause tout en regardant l'homme, en espérant qu'il ne prendrait pas la moucha avec ce qu'il lui disait, les débats dans le respect était la moindre des choses pensa Alleaume. *

Les Renards n'ont jamais pillé leurs terres d'adoptions, ce que vous dites est mensonges et dénué de sens. Quant bien même un Renard deviendrait Maire, ou est ce que le soucis serait ? Il n'y a pas que des soldats dans la Compagnie du Renard, oh non loin de la ! J'ai pour ma part énormément d'expérience dans l'administration et j'ai toujours fait mon travail comme il se doit sans piller quoi que se soit.. Alors je pense Messer qu'il faut arrêter d'assimiler Renard avec Brigand, c'est ce que je puis nommer de la diffamation puisque vous n'êtes pas en mesure de le prouver !

Cessez de faire des chamailleries sur des choses que vous ne connaissez point, vous ne pouvez pas juger les Renards au cas par cas, tout simplement parce que vous ne les connaissez pas assez pour dire quoi que se soit sur eux autre que des mensonges.


* Puis, après avoir prit la parole, il se recula de quelques pas laissant la place à quelqu'un d'autre s'il avait envie de s'exprimer, il en avait déjà beaucoup dit pour le moment, en espérant que son interlocuteur ne lui tendrait pas un bâton devant la caboche, il n'avait pas envie de se battre contre un de ses frères... *
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"Ne te venge pas car la roue tourne
Punis l'insolence par le silence"
Zoyah
[Châteauroux….ça court…ça s’active… et ça cherche surtout…]

La matinée avait commencé sur les chapeaux de roue. A peine levée, que la vilaine brune courait déjà dans tous les sens. Après avoir embrassé son cher et tendre Ashlaan au pied de l’horloge, Zoyah s’était précipitée à la garnison, section Défense Civile. Il n’était pas vraiment aisé de la reconnaître cette fichue coquette. Son épaisse chevelure de jais est nouée et emprisonnée sous un foulard blanc qui lui couvre toute la tête du haut du front jusqu’au bas de la nuque. Hors de question qu’une mèche indocile viennent troubler la vue. Une chemise blanche également est surmontée d’une simple cotte bleu foncé à manches courtes. Le tout est recouvert d’un pourpoint noir un peu élimé, aux manches mi-longues qui découvrent tout l’avant-bras et ainsi l’étoffe immaculé de la chemise.


Vêtement masculin qui lui est presque un peu grand vu la gracilité de sa constitution. Une paire de braies confectionnées en cuir de la même teinte lui couvre les jambes et une vieille paire de bottes usées aux pieds. Tel était le tableau. On était loin de l’image habituelle de la jeune femme, souvent tirée à quatre épingles et qui ne se lassait jamais d’exhiber moult toilettes originales ou luxueuses. C’était sans compter sur son sens pratique…elle veut bien être jolie mais pas au prix de son confort. De plus, en cette période trouble, il lui fallait être utile et efficace, et non un boulet qu’on traîne.


Ainsi, ce jour, elle se confondait avec n’importe quel soldat. Une épée forgée des mains du dragon battait contre sa jambe à chaque foulée. Un bouclier en peau et peint en noir pendait négligemment à l’un de ses bras. Elle semblait encore plus petite qu’elle n’était vraiment sous cette panoplie. Panoplie, c’était bien le mot. La jeune femme avait l’impression qu’elle était déguisée. Non pas que la tenue sois sujette à la moquerie mais elle était tellement loin de son accoutrement habituel.


L’épée plus que tout le reste lui laissait une vague impression d’impuissance. Elle l’avait accrochée à sa taille plus pour compléter l’ensemble que par réel besoin. Zoyah ne savait pas manier les armes. Son seul atout dans cette guerre était son énergie débordante, sa réactivité et le fait qu’elle prenait des initiatives. Sans oublier qu’elle n’avait pas son pareil pour balancer des caillasses à la tête de quelqu’un. Rigolez, rigolez mais jeté du haut d’un rempart, en pleine vitesse, ça peut faire très mal un caillou.



A peine a-t-elle posé un pied à la garnison qu’elle remarque l’intense activité qui y règne. Le capitaine de l’ost est présent et donne les ordres aux gradés, qui eux même vont dispatcher les consignes auprès de leur section. Zoyah s’approche de l’Etat-major. Les salutations sont brèves et les ordres tombent….des ordres du genre…vous devez rejoindre mon armée…comment cela-se fait-il que ce n’est pas encore fait ! C’est impératif ! Tous les groupes de défenseurs constitués et complets doivent rallier mon armée !

Norf….voui chef marmonna la jeune femme un peu dépitéemais on sait pas où est le chef de notre groupe ! la jeune femme baisse le nez. Le groupe était complété mais le chef était introuvable et sans lui, il était impossible de se joindre à l’armée. quelle organisation songea-t-elle un rien désabusée

Quelques minutes plus tard, Zoyah maugréait à travers les rues du villagestrouvez-le, trouvez-le….il en a de bonne le CapitaineLa jeune femme partit donc à la recherche de son chef de lance et on pouvait entendre sa douce voix à travers la bourgade castelroussine…

Delllllllllllllloooooooooooooooooooooooooooo !!!!

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Elvis_
Elvis éclate de rire en voyant le porte-parole brandir un bâton...

Il court se cacher derriere Toenn riant...

-OOOH MON DIEUUUU!! hihihi....UN PORTEUX D'PAROLE ARMÉ D'UN BÂTON!!! hihihihihiii...SAUVE-MOI TOENN!!!

N'ayant plus envi de rire finalement , il s'avanca vers le porte-parole...

-Eh ben...un porteux d'parole qui pense...écoute...pourquoi dis-tu des stupidités pareille en pleine place public? Pour faire peur aux gens? Tu crois vraiment qu'on va piller vos terres? C'est ton ptit révolté d'maire anti-Poilu qui ta mit ça dans l'crâne?

T'as aucune espèce d'idée de c'que tu raconte...tu ne nous connais pas...ton ptit maire ne nous connait pas...sans doute que vous vous fiez a des ragôts , j'sais pas moi...

Alors si tu veux bien m'excuser l'porteux d'connerie , nous on a un duché a défendre...


Elvis tourne les talons et remonte sur son cheval...

-Ah AU FAITE....J'ESPÈRE QUE TU SAURA TE SERVIR DE TON BÂTON QUAND L'ENNEMI SE POINTRA.....T'EN AURA GRANDEMENT BESOIN!!


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*Capitaine de la Desembarranta
*Quand t'as rien , t'as rien a perdre.
--Jus_de_chique
¨[ Sur les remparts de Bourges]

Jus se gèle sur les remparts de Bourges...
S'ennuie... Compte les moutons ...
Reluque les filles... Yen a ....

Reluque plus précisément l'étrangère qui est à sa droite...

Drôle d'accent la drôlasse... un sale caractère aussi...
Ah s'en va ...

- Un chti besoin pressant, la fille, t'as pas besoin d'un coup de main ?

La fille répond avec un geste grossier.
-Pff salooooooooooopppe

Jus se glisse vers le sac de la mercenaire
- Ya sans doute quelque chose à piquer, cachent toujours leurs trésors ces pétasses ....
Jus fouille le sac et découvre un truc bizarre.
Un manche avec une croix gravée... Un écrou luisant... Chipote
une lame pivote

- Ouah ingénieux le truc, un couteau caché...

Jus de chique s'apprête à l'empocher...
Un bras de fer se cale sous son menton...
Genor
[sur les remparts de Bourges]

- Il t'intéresse mon couteau suisse ???
Normal... Il est très bien, mon couteau suisse... Beaucoup trop bien pour toi...


Genor avance une autre lame, qu'elle prend dans l'étui fixé à son mollet.
Elle avance la pointe vers la gorge du chapardeur, elle appuie...
Elle appuie, n'écoutant pas les cris de goret du minable qui se trémousse sous son bras....
La lame s'enfonce un peu, du sang commence à couler...

- Bouge pas, Ducon ....tu vas te faire mal .... Et la lame qui est contre ton cou est plus tranchante que mon petit couteau de voyage .....

Le drôle arrête, affolé, il jure comme un malade, mais ne bouge plus.
Genor sait qu'il ne faut pas le laisser se reprendre... On est entre gens .. de bonne compagnie....
Elle desserre son bras et le rejette violemment par terre.
Aussitôt elle lui balance un coup de pieds vigoureux dans les couilles.
Le bonhomme hurl
e....
- Pleure pas.. J'aurais pu t'égorger comme un goret... Joli compagnon d'arme qu'on m'a donné là, se laisse si facilement distraire.

Ecoute mon beau : là c'est marqué pas touche ! Et là aussi... Tout ce matériel appartient à ma compagnie. Trouve-toi une autre planque et déguerpis.

Elle le relève, le remet sur pied et l'envoie dans l'escalier
- Va nettoyer les chiottes, ça c'est à la portée de ton talent
Et lui botte les fesses.

Se relève en rigolant
.
- Ca m'a réchauffée tiens.... Bon, c'est pas tout ça. J'ai du taf !!!
Elle taille sa plume, prend son encrier et un bout de peau gratté :

Citation:
Messire Valric,
Les membres de ma compagnie et moi-mêmes sommes en Berry à votre invitation... Et nous avons déjà vécu de fort plaisantes aventures :
rencontre avec votre rigolo de procureur, votre jeune juge, quelques douaniers fort civils, ma foi, et quelques sombres brutes... Normal, on ne fait pas la guerre avec des donzelles précieuses....

Cependant, jusqu'à nouvel ordre, votre invitation nous coûte beaucoup plus qu'elle ne nous rapporte :
le procès stupide a freiné notre incorporation,
le paiement en quignon de pain est insuffisant pour nourrir ceux d'entre nous qui sont érudits et sont habitués à bien manger
et quoique incorporés à l'armée, nous devons payer l'hôtel...
Mon patriotisme es malheureusement lié à ma patrie ...
Je suis, et les autres membres de ma troupe le sont aussi, un bon soldat, courageux, sérieux et ponctuel.... Mais ne me sens lié à votre guerre... que par l'intérêt que je peux y trouver....
Or j'e m'ennuie et m'appauvris...
je vous sais suffisamment talentueux pour remédier à cela.
Pour la troupe du faucon
Genor


Elle attrape "fend la bise " son pigeon de concours
- Rourrour ....
- mon grand tu vas pas en Suisse....
- ROUUUUUUUUUU ???


Non le pigeon a pas l'air de comprendre... c'est un peu con un pigeon... même le tien Genor l'amie des bêtes....
- Eh petit ! Une miche de pain pour toi si tu vas porter ça au sieur Valric de Valrose....

Elle sort son petite carnet :
- Encore quelque chose à rajouter à l'ardoise...
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