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[RP/IG] Tous aux remparts de Loches!

Jades
[Un, deux, trois.. voila ta fin qui point douce ne sera]

Loches, la belle lochoise, citée jadis si belle qui ci fait la maladie Berrichonne eut-elle gangréner le sol tourangeaux, se vit charger de vermine... Elle les observa, nuit après nuit depuis les remparts et nuit après nuit elle revit les guyennois qu'elle avait croisée dans les ambassades, dans son village, dans les tavernes. Tant avait changés, tant s'étaient vautrer dans ce Berry qui perdait la raison à l'image de son duc.

A sa gauche elle croisa le regard de Bitterly et Fildais, anciennes, nouvelles compagnes d'armes peu importe, elle mourrait s'il le fallait puis son regard vira à quelques pas d'elle là où la Zoko, depuis autant de nuits qu'elle avait prit ses quartiers. Certains s'en offusquaient, d'autre s'échinaient à vouloir les chasser. Quant à elle bien peu lui importe, seule loches lui importait, loches et sa duchesse.

Mais voila qu'elle croisa le regard glacial du vieux sage en taverne et que lui fut compter la présence du pourceau guyennois. Et des lors l'envie de le voir s'était emparée d'elle, l'envie de lui faire payer cher, très cher le contre temps des honneurs qu'elle avait pour Lorca.
Alors seulement elle avait écouté le vieux sage en qui elle vit à allier en son entreprise. Peu importe que le chien d'Alleaume eu rejoint les Renards, peu importe que l'un des Renards eu jadis trouvé grâce à ses yeux en Guyenne. Si la vermine attaquait, les plaintes du chien en la plaine résonnerons.

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Mika04
[Loches,goupils,rempart]
En ce début d'octobre 1457,la fraîcheur de l'automne ce fessait bien ressentir ....De notre camp ont voyaient la fumée épaisse des cheminées des habitants de Loches,stagné comme un épais brouillard sur la ville.

Pour mes débuts dans cette campagne,je voyais tout se dérouler comme du papier à musique,les tentes étaient montées,les soldats affûtaient leur armes,graissaient leur étuis......

Dans la grande tente centrale,les gradés s'étaient réunis ,gardaient par deux soldats.Moi et d'autres soldats finissaient les quelques tâches nécessaires pour le campement ,étant aide-chirurgien je m'apprêtais à ranger mes accessoires chirurgicales et à fabriquer des bandages à l'aide de quelques tissus de lin pour pouvoir les imbibés de cette excellent baume de plantes médicinales,faites par le chirurgien et dizainier toiture.

Le soleil venait de pointer son nez,les rires des soldats et les vannes ne manquaient pas.
"je ne pensais pas qu'avec un simple rayon de soleil,l'humeur de la troupe se faisait ressentir !"pensais-je.

hé!les gars y a le bleu qui revient de la ville!qu'elle culot celui-là!!!cria un des gardes.

Même le jeune cadet épata les soldats de ses renseignements faites en ville.
Pour ma première campagne,tout cela me rassura.....


Celeste.
Errance dans le temps

Que fait-elle ? Où est-elle ? Depuis des jours elle avance sans raison dans ce monde sans joie, sans couleur, si fade, où la douleur est maitresse des cicatrices rouvertes par des blessures offertes. La caresse du vent de l’automne, insolente, effleure sa peau, son âme et son cœur trépassé. Elle ne mène même plus sa monture, elle le laisse suivre le pas des autres, sans réticence, ni volonté. Elle erre entre conscience et inconscience, raison et déraison. A la quête d’une partie égarée d’elle-même. Les haltes se font sans un mot prononcé, manger, mastiquer, une nourriture qui n’a plus ni gout, ni saveur.

S’embarque dans la folie


Par un regard qui est venu percer les murs de sa forteresse, la laissant en proie à un combat incessant, qui la mènera à accepter, l’inacceptable, se battre pour un duché qui ne lui a rien épargné ! Elle pourrait en rire, tant l’absurde de la situation est pitoyable. Le rire pourtant ne retentira pas, l’hystérie de se perdre, d’affronter et côtoyer son amie la plus fidèle sera la plus forte. S’adonner à son jeu préféré, file invisible sur lequel elle aime à avancer, la vie, la mort, qu’importe, tant qu’elle frôle un instant celle qui l’enivre tant.

Arrivée en Touraine


Non loin des remparts, la nature s’anime, laissant apercevoir des arbres, ils se dressent ainsi, en quelques courbes claires, en des branches effeuillées. Quelques feuilles s’essoufflent et regardent la lumière de ce soleil fantôme qui jette son rayon d’or, errant à travers bois les laissant à leur sort, se parer de couleurs chatoyantes, avant de courber lentement l’échine et mourir à la fin de l’automne.

Expression mutine à cette pensée, emportée par l’automne, jamais elle ne courbera l’échine mais se laisser emporter, voilà, idée qui la ranime ! Elle sort de sa torpeur, renait le masque déluré de ses traits qui s’animent, contraste avec le vide de ses prunelles grises, asséchées de sens. Mouvement vif de la tête, qu’est ce ? Sensation sur son épaule la faisant frissonner, son regard se pose sur l’ombre blanche un court instant. Elle serre les poings, pincent les lèvres, refouler la haine qui l’envahit et l’envie de meurtre qui la saisit ! Elle n’a de temps à accorder au mépris ! Son attention se détourne aussi vite quand parait la silhouette obscur de
.. *Mat *, mot sortant en un souffle d’entre ses lèvres meurtries par le son. Délivrance au son prononcé quand le spectre s’évanouit et s’agite Lalie dans son champ de vision.

Lalie ? Que fait-elle ? Elle met pied à terre, laissant les aides reposées sur l’encolure noire de Tonnerre, irrésistiblement attirée par le manège de son amie. Son regard passe de la brune à la charrette, une envie irrépressible de rire la prend et c’est en riant qu’elle se joint à son amie. Ainsi monter campement de fortune, des souches comme sièges de fortune, de vieilles branches et fourrées comme murs. Lieu pittoresque et grotesque à la fois, la vie et le divertissement sont les fondements même de la dérision devant l’absurde qui les entoure.
Leur chef d’œuvre terminé, elle recule de quelques pas pour admirer leur ouvrage. Main qui se porte pour étouffer le pouffement qui s’empare d’elle. Elle est plus douée pour dévaster que construire !


Magnifique ! Lalie !
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un instant avec lui a un goût d'Aeternitae ...
Gradel
[Devant les remparts de Loches]

La porte couine, s’ouvre. Trois gardes lui font face avec un peu de méfiance…

Prêter main forte ? Z'êtes qui ? Vous venez d'où ? Orbigny ? Fretay ? Paulmy ?


Gradel est à bout de souffle, entre les halètements il parvient à répondre..

Humpfff hein ?…bah quoi ? Je viens de là-bas !!! Pffff Humpfff une main tendue dans une direction quelconque…où heu humpfff pfff de là p’têtre…Humpff pffff…je m’appel Gradel…Humpff pfff….j’ai perdu ma moitié….Humpf….pfff….pis ah…suis parti si précipitamment …Humpfff ….pffff…qu’j’ai même oublié mon épée…Humpfff pffff…


Une main en appui sur le chambranle de la porte, Grad r’garde les gardes…

Humpff pfff j’suis content d’être arrivé Humpfff….sain et sauf…pffff….son nombreux là-bas…z’ont pas l’air humpff..pffff…commode….bon…bah moi j’ai soif…..vous m’laisser entrer…hein ? hé dites…humpff…pffff….j’ai même pas pris une gourde….j’vous jure…Humpfff pffff….rhalala Lonie va m’passer un d’ses savon…misère de misère…Humpfff….pffff…j’aurai…la suite est un succession de ronchonnement inaudible.
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Joshuas
Deuxième jour en Touraine

Il faisait froid. Bien trop froid pour une nuit d'Octobre.
Ce vent... était un vent glacial qui transperçait jusqu'à l'os tout comme ceux qu'il avait pu rencontrer sur les plateaux artésiens. Il avait été plus que temps de se mettre en campagne, il sentait que l'hiver arriverait bien vite, trop vite pour une armée en mission.
Fort heureusement, mieux valait ne pas tomber dans l'inactivité, et au camp, on en était bien loin. Le moral c'est l'action surtout avec un vent pareil et l'arrivée de la saison morte.

Seulement 48h que les fières armées berrichonnes à la tête desquelles se trouvait la troupe du Seigneur de Lourouer Saint Laurent avaient pris place à proximité des murs de Loches, et il y avait donc plus qu'à faire. Les tentes se montaient avec la célérité tenant d'une grande excitation, les ravitaillements étaient distribués pour le moment dans le calme, les officiers décidaient.
Bref pour le moment tout allait bien comme dans le meilleur des mondes.

Joshuas, homme d'arme de la Compagnie du Renard comme aimaient à se surnommer les hommes de Sambre, aidaient deux jeunes goupils à dresser les palissades autour du campement. Satisfait de ce travail rondement mené alors que ces compagnons allaient chercher leur ration, joshuas alla voir du coté de la garde de la DCGEN si il y avait des ordres. Ni Lieutenant, Ni Capitaine à l'horizon.
Vagabond depuis des lustres, ces jambes fourmillaient... il lui fallait bouger... il avait assez attendu... ériger les édifices de défense ne trouvaient que peu de grâce à ces yeux... ils étaient là pour des brigands...

Que la chasse commence par Aristote maugréa t'il. Il connaissait les méthodes pour amener les gens à parler... son peuple les avait longtemps subit... mais il était convaincu de leur efficacité et foi de Renard, il les emploierai sans vergogne si on lui commandait.

Passant brusquement à la réalité, Joshuas se redressa et se décida à faire ce pourquoi il était là. Il faisait parti de la Garde, alors il garderait les officiers de la Compagnie. Le pas franc, il se dirigea vers la tente de l'État Major.
[/u]
Eullallie
[vendredi, bâtir avant de détruire..."l'frambrou qui brisac"]


Chose étrange que de se retrouver à quelques pas « du bonheur des vagabonds »... enfin, de l'endroit où était située cette taverne de la première heure.
Souvenirs d'une rencontre, de promesses d'amitiés vraies... sont-ils toujours en vie? Titou et Hans, cela ne fait aucun doute, mais les autres? Qu’en est-il donc ?
Visage qui se ferme à cette pensée... on est bien peu de chose ici bàs!

Tiens! L'Æternitæ... toujours en retrait lui... bah, il ne s'annonce pas comme il l'avait fait sur une place berrichonne.
Soupire...
Dommage, cela en aurait sans doute effrayé plus d'un.

Oui, enfin, là n'est pas l'important.
Elle se doit de mettre en place un endroit ou les berrichons pourront venir se sustenter et se désaltérer en toute quiétude, ils en avaient discuté longuement avec son cap'tain, et elle était certaine que cela se révèlerait être une bonne idée.
En même temps, pour qui la connaissait, il était évident qu'elle ne pourrait s'arrêter quelque part sans y avoir un endroit pour se libérer l'esprit.

Tiens! Celeste... Un froid s'était installé entre elles depuis ce soir là! Mais elles avaient eu le temps de crever l'abcès, et finalement, les sentiments qui les unissaient depuis si longtemps avaient pris le dessus.
L'amitié gagne toujours!

À trois, ils font vite, bon, il faut avouer que l'abri est vite monté, discret, hors de la ville, accessible par les berrichons...
Magnifique ! Lalie !
Regard stupéfait!
Magnifique, magnifique... faut l'dire vite.
Manque un toit, des fenêtres, un âtre...
Mais l'essentiel sera là, Lalie en est certaine!

Direction la charrette pour une finition de taille...
Fouille rapide, trouve enfin l'objet convoité et tend une toile soigneusement pliée à Paulh, lui sourit de façon exagérée...


Dis Amour? Tu peux fixer cette toile de manière à ce qu'ils ne pleuvent pas sur nos têtes?
papillonne Non, parce que là, s'il pleut... on est pas dans la mouisse... si tu vois ce que je veux dire.

Il la regarde tendrement, et en un tour de main, il s'active à réaliser un toit de fortune.

Se tourne vers Celeste...

Alors... regarde, regarde un peu, on va pas se plaire autant qu'à la boulasse... mais, il faut faire contre mauvaise fortune bon coeur.
Dis? tu ne penses pas qu'il faut un nom à cet endroit?
Tu m'aides?
Ah, et puis... je suis certaine que Wal va nous concocter une jolie déco... tu te souviens des tableaux de Cham à la boulasse?
J'suis certaine qu'il va faire mieux...


Sourit au p'tit bout de femme malicieusement.

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Fishcat
[Grimée, à pas de velours chez l'ennemi]


Les remparts de Loches étaient noirs de monde, impossible de distinguer soldats de badauds, tous se massaient derrière les créneaux dans une cohue chaotique. Ces ombres funestes n'en avaient qu'après ce point de vue exceptionnel qui venait de les sortir de leur existence fastidieuse et insignifiante. En contrebas, Eloa se gaussait de cet attroupement de silhouettes qui démontrait sa force en agitant fourches et bastons.
Nul ne pouvait nier que l'étendard berrichon qui flottait au gré des bourrasques automnales provoquait chez ces gens une certaine concordance, selon les informateurs se trouvaient parmi cette foule bigarrée d'anciens Berrichons ainsi que des mercenaires engagés par la Duchesse Tourangelle.

A l'aube, certain de ses compagnons prirent la route dans la campagne environnante afin de débusquer les mécréants qui avaient sévit par le passé dans le Berry. Eloa,quant à elle, quitta ses atours militaires pour enfiler la panoplie de la vulgaire paysanne; cheveux négligemment détachés et crêpés, visage maculé de crasse l'ambassadrice renarde était méconnaissable, ainsi grimée elle pouvait tenter d'entrer incognito dans la ville.
Les portes de la cité Lochoise se trouvaient désormais closes et sous étroite surveillance. Le seul accès possible se trouvait à la porte sud où les paysans convoyaient dans l'espoir d'être protégés au sein des remparts. La ruse qu'Eloa brigua ne tarda pas à s'avérer profitable; alors qu'elle marchait en direction de la ville, les bras étirés par de lourds paniers chargés de victuailles, elle repéra un fermier qui s'approchait avec sa charrette. Sans réfléchir elle simula une chute éparpillant ainsi son précieux chargement sur le chemin. En gentilhomme serviable le cul terreux ne manqua pas de s'enquérir de la santé d'Eloa.


Ben alors ma ptite dame, z'allez bien?


Arggh je crois que j'me suis tordu la cheville, et r'gardez moi cte désastre! J'voulais faire don de ses vivres à nos valeureux soldats, j'crois que j'ai surestimé ma force...j'n'y arriverai jamais jusqu'à la ville... dit elle en éclatant en sanglot.

Allons ma ptite dame, ne pleurez pas j'vous y amène moé! Grimpez donc!

Profiter de la naïveté d'un honnête paysan rien de plus aisé pour l'esprit vicieux de la renarde. Tous les coups étaient permis en temps de guerre et elle se devait d'aller chercher les informations au sein même du retranchement ennemi.
A l'approche de la porte sud sa gorge se noua, elle n'avait que très peu de temps pour mener son incursion dans la cité et le soleil était déjà au zénith. Lorsqu'il commencerait à décliner alors elle devrait penser à prendre la poudre d'escampette.

Brrr fait frisquet hein? Lança t-elle a son interlocuteur tout en prenant soin de remonter son capuchon sur le visage.

Sur ordre de sa Grâce Bitterly, arrêtez cette charrette!

Un frisson lui parcouru le corps, du bas du dos jusqu'à l'échine; pourvu qu'un soldat ne lui adresse pas la parole, un geste,une expression, son accent étranger pouvait la trahir.
Les hommes en armes procédèrent minutieusement à la fouille et décidèrent que tout était en ordre, le paysan cravacha alors ses montures et prit la direction de la place du marché.
Le temps était compté, Eloa devait à présent se fondre dans la foule, glaner le maximum d'informations sur les forces ennemies, pour se faire elle irait dans les auberges de la ville mais ne monterait pas sur les rempart, trop dangereux.


J'vous r'mercie! dit-elle au fermier alors qu'elle sautait de la carriole pour disparaître immédiatement dans une sombre ruelle.

Vos..vos paniers!


Quelle femme étrange... pensa l'homme qui n'eut le temps à peine d'ouvrir la bouche.
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Celeste.
Au pied du chef d'œuvre^^

Pour une fois qu’elle avait prononcé quelque chose d’optimiste en déclarant magnifique leur édifice. D’où lui venait d’ailleurs ce regain de désinvolture ? Ah ! oui, s’obliger à ne pas penser, sage décision. Elle laissa son regard s’attarder sur le corps musclé de Paul, se débattant avec la toile. Sourire amusée, regard qui croise celui de son amie.

Heu .. un nom .. mouai .. bon un truc bien Berrichon hein !

Tente de se souvenir de quelques propos échangés avec le Poilu à une époque révolue, quand il lui avait enseignée quelques dictons bien de chez lui.

Bon et bien on est là pour gentiment s’amuser, donc quelques choses qui conviennent au pourquoi du comment haussement d’épaule ... tu trouveras bien ma Lalie ... ma mémoire et mes souvenirs me font défauts.

Sur ce, elle s’éloigna, le BA, la boulasse et certains souvenirs étaient à ne pas raviver. Tout ce qui se rapportait à ce Duché d’arrivistes, faux-culs, la mettait hors d’elle. Rejoignant son compagnon de route, elle enlaça son encolure, posant sa joue contre sa chaleur. Elle ne put qu’apercevoir ces longs cheveux blancs, la stature carrée, les mains jointes et assit en tailleur d’Aet. Le mépris, la haine était tellement plus facile, bel échappatoire dans lequel se réfugier.
Pincement, coup de poignard, douleur fugace et vive, se détourner de cette vision. S’affairer autour de sa monture, la délivrer du poids de ses charges. Se poser un peu à l’écart. Seul le silence, l’apaise, s’enfermer dans son monde et oublier la cohue qui l’entoure pour l’instant.

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un instant avec lui a un goût d'Aeternitae ...
Paulhaguetois
Un maneuvre au pied de la chef du chef d'oeuvre

Monter cette toile n'avait pas été si simple mais voilà on y était !!
Sa Lalie avait voulu un abri Bar richons pour des Bare richons de fortunes , elle l'avait !!!
Pour quoi était-il ici , il ne savait plus vraiment, Æter avait dit y'a un mec , un duc qui ditqu'il veut de l'aide alors j'y vais et comme on avait rien de mieux à faire et que ça embétait le BA ben on était là.


Lalie mon amour, rien ne vaut le son du tambour et le bruit du canon
On se sent si vivant quand on risque sa vie !!!


il sifflait et chantait , rien n'allait et pourtant tout allait bien.
La nuit dans les bras de sa douce, la journée à rire, à monter une tente ou simplement regarder tous ces gars des armées faire n'importequoi sans même demander l'avis de gens un peu vieux, je vous l'accorde, mais un rien expérimentés. Qu'il est bon de ne rien faire quand tout s'agite autours de vous.
Il se sentait invincible et rien n'y personne, hormis sa lumière, ne pouvait le retenir là où il ne voulait pas être. Qu'ils s'agitent et envahissent ce qu'ils veulent, ça l'amusait.


Celeste , Lalie ? Vous avez vu Wal et Véni ? et Æt tu l'as vu ?
Ils nous payent quand et comment ces ducs du berry , ils sont moins cools que la comtesse éléphant du barry
Toutes ces questions me donnent soifs buvont à la victoire, j'ai trouvé un petit vin dAnjou que j'ai payé une fortune, le type avait l'air heureux de me voler ce qui fait que je n'ai même pas marchandé, bref ce petit vin il est ....goutez-moi ça !!!

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-La soule libre vaincra -des PEA ou des PE, je peux -ex maire, 12 mandats -Eullallie, ma lumière
Davia
[Loches, sur les remparts]

Davia rêvait de se battre. Non pas qu'elle avait envie de tuer! Elle ne savait pas vraiment ce que ça voulait dire. Pour elle la mort, c'était quelque chose qui vous enlève quelqu'un que vous aimez beaucoup et après la douleur qui s'insinue dans votre coeur... mais tuer, quel rapport avec la mort?

Elle avait envie de sa battre pour défendre sa ville menacée, parce que tout le monde y prenait part, même Trella, et qu'elle refusait de rester là sans rien faire.

Davia avait sortit son petit baton. Elle s'était préparée à donner de grands coups dans l'entrejambe comme la mairesse lui avait appris.

Elle avait bien écouté les recommandations de sa mère, de son oncle et de Jérémie aussi. Elle savait qu'elle devait se mettre derrière et surtout ne pas être trop zélée.

Elle chercha Dame Rhiana pour combattre à ses côtés.
Linexiv
[Loches, les remparts, toujours les remparts.]

Encore une nuit d'attente en perspective. Une nuit où il ne faudra pas relâcher sa vigilance, une fois de plus.
Après la journée passée à courir après les différents volontaires, mine de rien, les remparts, Line finissait par trouver ça reposant. Enfin à condition que la nuit soit similaire à la précédente...

En plus le froid gagnait... Dire qu'on était qu'en octobre, ça promettait...
Traversant la section de la Zoko, elle aperçut Miramaz. Un choix qui correspondait bien à son tempérament mais qui, comme elle s'en doutait bien, devait inquiéter Ellana.
D'ailleurs, il était grand temps qu'elle aille retrouver cette dernière pour prendre son poste. Line pressa le pas, un courant d'air au détour d'un escalier la faisant frissonner.
Elle n'aurait jamais pensé regretter les soirs de garde où le seul risque était de déraper sur les pierres glissantes et où il y avait toujours une bonne bouteille pour patienter...

Foutus berrichons... Ils avaient déjà réussi à les condamner à la tisane... Et ça s'était pas bon du tout pour l'humeur!
Venitia
A droite ça s'agite, à gauche ça cogite .... que faire ?

Elle c'était contentée de suivre bête et discipliné la rousse, plus bête que disciplinée d'ailleurs. Mais essayez donc de rester sur le droit chemin quand vous avez un Wal au fesse. Cela relève d'un défit impossible. Toujours est il qu'après avoir couru après son Duc elle avait quand même finit par retrouver le petit groupe. Malheureusement pas comme elle l'aurait voulu.
Regard qui se croise, échange léger, échange court, mais assez pour comprendre l'état d'esprit de Aet. Il lui avait fallu si peu de chose pour revenir à son état primaire de conflit permanent.
Haussement d'épaule, à droite Lalie, Céleste et Paul semblait construire quelque chose même si elle ne parvenait pas à discerner ce qui était censée en sortir. A gauche Aet c'était éloigné, réfugier seul, sa position n'emmener pas à tenter un quelconque rapprochement. Elle attendrait le moment venue pour ce faire. En attendant elle regarde à côté d'elle son Duc, revient sur Aet pour finir sur le groupe de trois
.

Hummm, mon Duc que dirais-tu si nous faisions un groupe de seuls à deux ?

Ah moins que tu préfères les aider à construire je ne sais quoi pendant que je .... FeraIs mon groupe de seule, seule ?


Elle s'avance alors vers le groupe du club des trois et passe derrière Paulho en pausant ses mains sur les yeux de ce dernier.

C'est qui ?
C'est quoi ?


Elle relâche son étreinte sans même attendre la réponse de Paulho fait un clin d'oeil à Lalie et pique la bouteille des mains de Paul.

Merci, ça tombe bien j'avais soif.

Elle bois une lampée s'essuie la bouche du revers de la main et la tend à Wal.

Tiens mon Duc bois ça. Ah euh attends.

Elle rapproche la bouteille, cherche un quelconque récipient et opte pour la solution de replie.

Bon mon Duc prépare toi à ratraper la bouteille dès que je la lance parce que je pars en courant vers l'arbre que tu vois là bas.

Elle verse alors un peu du nectar dans le creux de sa main et jette la bouteille vers Wal, avant de bondir droit devant jusqu'à arrivée devant Aet.

Si tu veux boire avant que tout ais coulé par terre, c'est maintenant ou jamais.
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Elvis_
[ Sous la tente du capitaine...]

Le capitaine de la Desembarrenta tournait en rond dans sa tente...

Il avait envoyer un groupe de soldats fouiller les fermes de campagne a la recherche de quelques malheureux brigands...

Ils n'étaient pas venus pour ça....mais un contre-temps retardait les manoeuvres.

Ananus , son aide de camp , affûtait l'épée d'Elvis assis dans un coin.

-PAS COMME ÇA IMBÉCILE!!! LA PIERRE .... DE L'INTERIEUR VERS L'EXTÉRIEUR DE BAS EN HAUT!!

-Ben c'est c'que j'fais chef!!

-BAH NON C'N'EST PAS C'QUE TU FAIS!!! TU FAIS L'CONTRAIRE!!!

-Bah non chef!!

-BEN SI!!....TU FAIS L'CONTRAIRE...TU FAIS DE L'EXTÉRIEUR VERS L'INTERIEUR DE HAUT EN BAS!!...LE CONTRAIRE!!

-Mais pas dutout!!

-BEN SI J'T'AI VU!!

-BAH NON!! ÇA VOUS DONNE CETTE IMPRESSION PARCEQUE VOUS ETES A MA DROITE ET MOI JE SUIS GAUCHER ET EN PLUS DANS LE COIN GAUCHE DE LA TENTE....alors si je vais vers l'extérieur ben¸a vos yeux ça parraitra vers l'intérieur pour vous puisque vous etes du côté diamétralement opposé a moi .....c'est une illusion d'optique quoi...

-................tu essais de m'entuber là avoue...

-.....en effet chef....

Elvis sourit...une sacré chance qu'il l'avait avec lui cet Ananus...il avait le don de " désarmorcer " son capitaine...

-Allez mon ami...pose cette épée et va nous chercher a boire...

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*Capitaine de la Desembarranta
*Quand t'as rien , t'as rien a perdre.
Miramaz
[A l'interieur de Loches]

Mira avait elle aussi entendu les cris à la porte de la ville, elle accouru le plus vite possible rejoignant Ellana et Felian..elle se fit expliquer la situation..un nouveau venu prétendait venir les aider..les tourangeaux se méfiaient un peu..ne serait-ce pas une ruse de l'ennemi?

Les cris reprirent et la Prunette dressa l'oreille, cette voix..cette accent...c'etait bien un Norf mais pas un inconnu.. Elle se jeta contre la porte et regardant à travers l'huis elle le vit..elle resta statufié un instant puis retrouvant sa voix elle se mit à parler a toute vitesse:


Gradel c'est toi? t'es venu nous aider vraiment? je savais pas que tu te battrais avec nous..et les assaillants t'as reussi a passer sans être blessé? tu es très courageux quand même..

Puis se tournant vers Ellana, elle calma sa voix, reprit son souffle et présenta la situation:

Sergent Chef, je le connais c'est un ami à moi, un Saint Aignanais, Gradel il s'appelle..n'ayez pas peur il ne nous fera pas de mal , il vient nous aider on peut avoir confiance; On peut ouvrir la porte? on va pas le laisser dehors il risque de se faire tuer par les Renards?

Elle supplia sa tatie du regard, puis tenta de convaincre Felian et les gardes en leur souriant tout en jetant de fréquents regards à la porte..
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Zoko ad Eternam.. Adieu Fab'
Gradel
[D'vant les remparts de Loches]

Une voix féminine connue parvient à ses oreilles…froncement de sourcils, le neurone en mode recherche accélérée, cinq, quatre, trois, deux, un, illumination !

Mira !!! C’est toi ! Bha ça alors t’es ici ? Arfff…Aristote soit loué…expliques leurs encore une fois que j’viens ici pour défendre la ville contre…
*grattage de tête* euh…contre…les hordes de sauvages terrés dans l’bois là-bas…pis que…enfin…j’ai soif…aussi…

Petit sourire de soulagement illuminant son visage fatigué, le Grad reprend sur un ton imitant la suffisance aristocratique…

Sêrgeeent chêêff, ôôriez vous l’ôôbligenceee de m’ouvrir vôstre fôôrterêssseuh….vous pries-je….


Pouffement de rire, sourire retenu sur les visages d’en face, et v’là l’Grad entrant dans Loches…par la petite porte. Il tend son bras à Mira, la gratifie de son plus beau sourire, et l’invite pour un tour de ville.


Merci ! Tu m’fais visiter…euh…p’têtre les tavernes pour commencer…hein…les remparts…l’marché…tous ça peut attendre nan ?

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