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[RP/IG] Tous aux remparts de Loches!

Anastase
[Touraine chapitre III : l'Extase]

La Touraine...
Quelques fois traversée mais sans jamais s'arrêter.
Pourtant le daron il connaissait le bled.
Une histoire maintes fois racontée : un clan, des compagnies franches et un DR.
L'issue tout le monde la connaît mais elle est fière la mioche.
Fière de fouler ce sol glorieux et de marcher dans les traces du paternel.
Fière aussi de faire comme sa tantine, suivre ce rituel aujourd'hui familiale : faire parti du Clan des Sentinelles.

Le plus valeureux des destriers est là aussi. Jean-Eudes, le canasson d'Apolonie, foule pour la énième fois la poussière Tourangelle.
La cadence de ses pas se fait plus lentement qu'auparavant. Il faut dire que tout ça ne le rend pas tout jeune mais tant pis.

Accroché à sa selle, un étendard flotte au grès du vent. Plutôt vieux lui aussi puisqu'il appartenait à la même propriétaire que le bourrin.



Le groupe avance en direction de la cité de Chinon.
Certains elle les connait, d'autres pas.
Pour une fois apparemment c'est pas elle la plus jeune. Le fils de Jason est là.
Mais il y a aussi ceux qu'elle nomme les increvables : Ambreline et Anguerrand toujours au rendez vous.
Bon la blondasse et le ronchon semblent un peu moins agilent qu'au premier jour mais dans ce genre de bordel l'expérience compte beaucoup.
Et enfin il y a l'enturbanné. Elle se demande bien d'ou il vient lui...
La Stase qui est jamais sorti de son royaume... Qui se retrouve devant cette énergumène tout bronzé, c'est pas à son habitude...
Enfin bref...

Le voyage se fait donc paisiblement et sans encombres.
L'Extase en profite pour terminer son tricot pour Tuthur tout en discutant.
Une passion pour elle depuis quelques temps ainsi que la cuisine. Qui l'eut cru ?

Au loin des remparts apparaissent.
Elle redresse la tête et scrute en plissant des yeux.
Un peu trop loin pour voir si la Brindille est perchée là haut.
Bon y'en a marre d'attendre les vieux.
Sans préavis elle range tout son bordel dans sa besace et talonne brusquement les flancs du Jean-Eude qui part au triple galop.


On s'retrouve là bas !
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Bambata
Le Combat inégal contre les Dames Blanches

La troupe convergeait vers les " forces " ennemis avec une tranquillité , cachant toute l'impatience dont regorgeaient les hommes . Mais les soldats devait prouver qu'ils n'étaient pas que de vils brigands assoiffés de haine , comme le disaient la plupart des villageois , mais bien des combattants entrainés et disciplinés possédant du courage et de l'honneur .

Arrivant devant la troupe monté , portant les couleurs de la confrérie des Dames Blanches , le Renard mis en place ses hommes et établis la stratégie d'attaque - malgré le peu de troupe ennemis disposé en face .

Bambata n'attendais que cet instant , et ce , depuis maintenant quelques mois sans aucuns combats .
Les flèches furent décoché sur les cavaliers qui galoper sur leurs positions , et deja quelques hommes tombèrent .
Hallebardiers , lanciers et piquiers s'avancèrent en premier ligne afin de stopper leurs folle chevauché , qui ne s'avérait qu'être un pur suicide .
Le choc leurs fut fatal , les chevaux transpercés s'écroulèrent , et sous le poids , emprisonnèrent certain de le cavaliers .
Ce fut au tour du Berry d'utiliser sa cavalerie , sur l'ennemi , qui , deja , avait un genoux a terre .
Bamba , sur sa monture élancé vers le centre de la bataille , ce retrouva contre un autre cavalier qui était encore debout . Ne prenant pas le temps de réfléchir , il porta un coup d'épée sur le bouclier adverse qui se fracassa net . Durant un court moment , ils croisèrent le fer , mais rapidement Bamba vint a bout de son ennemi et lui planta la pointe de sa lame dans l'abdomen .
Des hommes de mêlé vinrent mettre a terre la monture , qui s'écroula en emporta le cavalier .
Bamba descendit de sa monture , tranquillement , le combat étant poussé plus loin sur les flancs . Il s'approcha de la victime encore agonisante , afin de lui permettre de mourir dignement pour son Comté .
Il porta la pointe de la dague sur son coup , prêt a abrégé ses souffrances lorsqu'une vive douleur lui traversa le tibia .

Enragé , Bamba porta un coup de poing sur son adversaire . Le casque de celui-ci glissa quelques centimètre plus loin , et permis au mercenaire de reconnaitre ce visage .
Cette jeune femme , nouvelle habitante de Thouars , avec qui , malgré leurs deux camps opposés , il avait bien discuter .
Il regarda autour de lui et ne vit plus grand monde , puis inclina a nouveau son visage sur la Thouarsaise . Le dernier coups de poing l'avait sans doute bien assommé , et celle-ci paraissait bien morte .
Il soupira , puis rangea sa dague , ne souhaitant pas la mort de cette femme .
Bamba se releva lentement , la regarda un bref instant avant de repartir au camps festoyer la victoire , la laissant là .... comme morte .
Isoril
Noir….Tout était noir…..comme une sorte de tunnel, au loin une lumière blanche brillait. Elle semblait se rapprocher, inéluctablement, semblant vouloir l’absorber. Plus elle se rapprochait et plus la douceur envahissante l’enveloppait...Il flottait…Il allait céder, succomber sous ses assauts divins, s’y abandonner lorsque des voix au loin se firent entendre :

"Isooooooooooo !!"

"Oh pardon Iso !"

"Iso, je vais te.....Mais tu me peux me dire pourquoi tu t'es suicidé ?!."

"poussez-vous, laissez passer !! Il vit encore, j’entends son cœur battre !!. Chirurgien ! qu’on appelle le chirurgien !!" 


Puis une voie plus familière se fit entendre, Toenn ! Oui, c'était son camarade Dizainier, son ami, celui qui lui avait tant appris, son exemple et dont il voulait tellement se montrer digne et mériter sa confiance et son amitié. Il s'approcha de lui et commença à le triturer dans tous les sens...
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"La confiance tout comme le respect se méritent, ils ne s'imposent pas !!."
--Toenn
Alerté par la toute nouvelle et gracieuse sergente de la DCGEN, le dizainier Toenn accourrut.

Qu'est qui se passe? demanda-t-il aux renards qui entouraient une éloa vociférante.
Eloa? C'est toi qui est blessée? Crie pas si fort je vais arranger ça.

En apercevant le corps ensanglanté aux pieds de son second, Toenn fut paralysé. Eloa allait bien mais son ami et dizainier Isoril semblait très mal en point. A ses côtés, gisait dans le même état apparent l'aide-chirurgien de la compagnie : Mika.

Il choisit bien son moment pour tomber blessé celui-là pensa le chirurgien. Fainéant pensa le dizainier. Lèves toi et marche espéra le compagnon renard.

Se ressaisissant, Toenn ouvra sa besace pour en sortir les quelques instruments de tortu... de chirurgie qu'il avait à disposition.
D'abord, vérifier le pouls. Toenn appliqua sa main contre la gorge du blessé. Rien. Il regarda sa main. Elle était toujours recouverte du gain de maille. Levant les yeux au ciel, il jeta ses gantelets au sol et anxieux, pratiqua les attouchements nécessaires. Son visage s'éclaircit alors.

Madre de dios! murmura-t-il, Autant de blessures et il vit encore. Le dizainier Isoril avait en effet été tailladé une vingtaine de fois et beaucoup de sang avait coulé.

Il n'est qu'évanoui! Je vais nettoyer et panser ses blessures. En fait, on va même le momifier. ça sera aussi simple.

Aidé par ses compagnons de combat, Toenn rempli avec célérité sa tâche médicale puis hissa la momie d'Isoril sur une charrette qui prendrait aussi vite que possible le chemin de loches. J'espère que ces tourangeaux accepteront les blessés. A mon aide chirurgien à présent. Et Toenn entreprit une seconde séance de haute couture...
Isoril
La lumière s’estompait de plus en plus et tout le bien-être avec. Peu à peu son esprit sortait de la brume dans laquelle il s’était enfoncé et son corps se réveillait aussi, ce corps endolori, d’ailleurs il n’était plus que Douleur. Isoril n’y comprenait rien, mais que se passait-il donc !?...
Il put ouvrir les yeux et malgré son regard encore voilé il vit du monde attroupé autour de lui :

« Dizainier, ça va ? »

Mais oui, pourquoi n'irai-je pas bien !? Pensa-t-il...

Son regard se tourna de part et d'autres et il s'aperçut qu'il était allongé, gisant à même le sol, des corps épars jonchaient les alentours, quelques foyers résiduels brûlaient encore et le terrain environnant rempli de fumée épaisse. Mais un détail attira le plus son attention, le corps allongé à ses côtés, lui rappelait vaguement quelqu'un...Mika !! Son renard, qu'il venait de nommer aide-chirurgien depuis peu était lui-même terrassé, et Toenn s'affairait auprès de lui. Des morceaux de leurs épées et boucliers brisés parsemaient le sol autour d'eux. La bataille avait dû être intense et foudroyante constata-t-il...

Alors il tenta de se remémorer, fit un effort surhumain malgré la souffrance pour tenter de repasser le film des dernières heures au crible...
Il se rappelait sa veillée dans la tente, achevant les derniers préparatifs de sa Dizaine, après avoir fait le tour afin de s'assurer que ses hommes ne manquaient de rien et de vérifier leur état moral, les remotiver au besoin. Il était fier d'eux, et savait qu'il pouvait compter sur eux, sur leur vaillance, leur courage et leur abnégation dont ils avaient toujours sû faire preuve.
Ah oui, il se rappelait également avoir relu une lettre de sa Douce, se délectant de chacun de ses mots, nourriture psychologique et affective pour lui, lui donnant un élan supplémentaire de bravoure. C'est qu'il se devait de mériter ses attentions !
Il se rappela également avoir rédigé un courrier pour un de ses renards, bastoun, quelque peu illettré mais un bon soldat, et son rôle de Dizainier à coeur il lui avait proposé de le rédiger à sa place...

Ensuite, toutes ses tâches et obligations accomplies il s'était mis à avaler quelque nourriture, les batailles approchaient, il ne s'agissait pas de faillir faute de mauvaise alimentation car en sus de combattre, il se devait de montrer l'exemple et de passer devant, ouvrant la voie à ses soldats ! Pour ce faire, il avait également préparé ses armes, son armure et surtout ses armoiries de Dizainier de la Compagnie de l'Epine Noire, cela il en était certain !
Ces préparatifs achevés, c'est d'un coeur léger qu'il était allé s'allonger sur sa couche, demain il mènerait ses hommes au combat, il devait être en grande forme...

Le réveil fut moins agréable, des cris résonnaient encore dans son esprit...

Une armée ! Elles battent pavillon

En soldat aguerri, il ne lui avait pas fallu longtemps à sauter de sa paillasse, s'habiller et revêtir son équipement et son armoirie. Dehors, dans cette nuit sans lune il se rappelait avoir harangué les soldats de sa dizaine, qui visiblement n'arrivaient pas assez rapidement à sortir du brouillard, encore endormis.

Renards de la 2ème, c'est le moment de prouver à l'ennemi qui nous sommes et que nous ne sommes pas des soldats de pacotille, tous en formation derrière moi !!.

Sa troupe rassemblée derrière lui, il sonna la charge :

EN AVAAAAAAANT !

C'est à ce moment que tout devint si obscure et singulier...Ils avaient chargés en effet, mais il ne pût donner aucun coup à ses ennemis, tant la violence et la fureur de ses camarades étaient concentrées sur..Lui-même !

Mais arrétez ! C'est moi votre Dizainier !

Mais rien n'y faisait, les assauts continuaient, plus tard on dénombrera 21 coups d'épée sur lui.
Puis tout était devenu si noir...[/i]
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"La confiance tout comme le respect se méritent, ils ne s'imposent pas !!."
Mika04
[résurrection]

à Loches
"Mika,Mika...et les gars ,il est salement amochait notre aide-chirurgien,et dire que c'est lui qui nous soignés ....."

Les jours ce suivent mais ne se ressembles pas!!je ne sais plus qui à dit ça,mais là depuis un certains temps j'étais si bien.....quand

-Mika,hé Mika c'est moi ton dizainier hééé ne me laisse pas tout seul,réveille toi c'est moi Isoril.

Mes yeux s'ouvraient tout doucement laissant apparaitre un voile flou sur la lueur du jour ce qui réveilla un mal de tête horrible.

Mika ressaisit toi bon sang ,ne part pas c'est un ordre!!!
Allez goupil debout,merrrde^^


Arrrggg,ne crie pas si fort dizainier,c'est plus une tête que j'ai mais une timbale

Ouais,ouais ouais,houuuu!!bien joué renard je savais que tu n'étais pas un lâcheur^^

-Ou sommes nous!!!!???

-Nous sommes retournés a Loches,bouge pas, ne fait pas de geste brusque; C'est le chirurgien Toiture qui nous a remis d'aplombs,tu t'est pris une épée entre l'omoplate et le thorax,enfin a quelques centimètres de plus, c'était fini de toi.
Moi par contre je peut remercié les cieux....


Et les autres????
Les autres vont bien t'inquiète pas,nous sommes les seules à avoir était touché

On l'est a eu alors!!!??
Comment ça on l'est a eu ,bien sur que oui!!les renards ne se laissent pas marcher les pieds si facilement ,tu en doutais!!
Non,c'est vrais!!!ça c'est passé tellement si vite^^

Oui, bin maintenant repose toi bien,je vais essayé d'en faire autant ,il faut reprendre des forces ,si tu comptes revoir les renards.
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Eikorc
[Une excursion entre chefs…]
Dans la nuit du samedi 10 :


La nuit tombe sur la ville… Les remparts s’assombrissent, au loin les feux s’allument pour rappeler la présence menaçante des armées berrichonnes. Gigantesque carcasse qui s’étend, faisant claquer les os, étirant les muscles alors qu’un grondement puissant s’échappe : cette nuit, le géant s’échappe.
A ses côtés le grognon, le borgne, son compagnon d’arme et second maître de leur compagnie de mercenaire… Sourire qui se glisse sur la face du colosse alors qu’il laisse son regard passer sur le visage de son frère d’arme, à peine surpris de la décision de Maleus de le suivre dans sa petite balade…

La main gauche vient se poser sur la garde de son épée, serrant fermement le cuir qui la recouvre avant de défaire les lacets qui la maintiennent à sa ceinture… Pas la peine de prendre le risque d’abîmer ses armes alors que l’état de sous-nombre est connu et reconnu. Et c’est pourtant sans peur que le de Nerra glisse sa lame imposante dans son paquetage, juste derrière sa selle, à l’opposé de sa hache.
La tête roule sur les épaules, faisant craquer les cervicales toujours aussi douloureuse depuis quelques années déjà et dans un grondement il s’envole sur son canasson pour le mener à la suite du borgne qui s’élance déjà…

Les lieues défilent sous les sabots, faisant s’élever des volutes de poussières vers le remparts de la ville alors que les deux cavaliers foncent vers l’un des étendards qui flottent au vent. Elle sait, la montagne de muscles, qu’ils risquent leurs vies ainsi… Mais à quoi bon passer son temps à patienter alors qu’on peut désamorcer et réveiller des actions en sacrifiant certaines personnes ?
A quelques mètres du campement, lorsque les cris s’élèvent pour dénoncer leurs présences… Le colosse saute à bas de sa monture, donnant une claque puissante sur sa croupe pour la faire s’écarter.

Sourire qui vient se glisser au coin de ses lèvres alors qu’il se campe sur ses jambes, regardant les soldats en armes qui arrivent… A quoi bon leur crier qu’ils ne sont pas là pour se battre mais bel et bien pour aller rendre visite au berrichon et mettre les choses aux clairs ? A rien. Leur signalement a été donné et redonné… Cette nuit, ils mourront.

Premier adversaire qui s’élance sur lui… Le sourcil se hausse devant le petit gabarit mais alors que le vent se lève dans une puissante bourraque, il capte l’étincellement d’une lame qui fond vers lui. Reflexe du plus vieux de ses entraînement : L’esquive. D’un pas, il s’écarte sur le coté, pivotant sur lui-même, pour échapper à la lame qui fuse dans sa direction. Plus lent, plus las, plus vieux…Et un grondement lui échappe alors que la pointe vient se planter dans la chair de son poignet.
Pupille qui s’étrécit alors que la douleur traverse son corps au rythme de la lame qui glisse contre ses os avant qu’il ne la fasse ressortir d’un mouvement sec pour s’emparer du poignet de son adversaire et l’attirer à lui…

Jambe droite qui se tend, fauchant les deux autres qui font face pour envoyer l’assaillant impromptu s’écraser lourdement à terre dans un nuage de poussière. Sourire mauvais qui se glisse sur les lèvres du colosse alors que le regard s’embrase… Rire gras qui s’échappe de sa gorge alors qu’il laisse ses yeux s’attarder sur son adversaire.
Erreur ; Un sifflement dans l’air lui faire retourner les regards vers les rangs qui déversent ses adversaires, les sourcils se froncent alors qu’il capte cette lame qui fonce à toute allure sur lui… Les mâchoires se serrent et d’un puissant coup de rein il cherche à esquiver cette dague qui fonce.

Trop tard, beaucoup trop tard… Il le voit et ses muscles se contractent à nouveau pour encaisser le choc. Mais qui peut vraiment se préparer à la violence soudaine d’une lame qui pénètre les chairs ? Surtout à cet endroit… Là où n’est pas censée s’enfoncer quelques pouces d’acier. Les yeux s’écarquillent alors que la douleur vrille les reins du colosse, et un grondement puissant s’échappe de sa gorge alors que la dague transperce le creux de sa cuisse, manquant de peu l’un des tendons les plus importants…
Et la garde qui vient heurter violemment l’entrejambe du de Nerra, lui arrache un gémissement étouffé alors qu’en retour son bras gauche vient s’abattre de toute ses forces sur la nuque de son adversaire…

Devant ses yeux viennent danser les éclairs tellement connus de la douleur… Mais loin d’avoir le souffle coupé ou de perdre connaissance, c’est à nouveau ce rire inhumain qui s’élève dans sa gorge… Rauque, désincarné et surtout, trop puissant. Et alors que ses yeux se teintent de sa folie la plus pure, que la rage embrase ses muscles et repousse la douleur, le mercenaire redresse la tête pour rire à gorge déployée…

Du coin de l’œil il voit cette lame qui s’abat d’estoc vers son visage, le rire s’intensifiant légèrement dans la gorge alors que la fraîcheur du métal vient heurter violemment le côté gauche de sa face… La pointe de l’épée passant juste à côté de son œil pour glisser sur sa chair ; Et c’est le crissement de l’acier sur ses os tout comme son rire qui ne cessent de résonner dans son esprit alors qu’il s’affale de tout son long sur le sol, soulevant un énorme nuage de poussière…
C’est ainsi que les colosses tombent : la face dans la poussière pour permettre à des alliances de naître…

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"Pour toujours... Et à jamais."

"Mercenaire rôliste, cherchant une troupe ? Contactez moi..." Zoko & Fablitos
Leamance
[Début de soirée, nuit du 10, remparts de Loches]

Ne sachant exactement ce pour quoi elle se retrouve au coeur de ce conflit, dans cette inconnue cité de Loches, Lea s'approche des remparts, pour vérifier l'état des troupes armées campant non loin. Elle voudrait partir, rejoindre ses frères de combat dans le Sud, mais la sortie est risquée...et au delà de sa vie, sa présence est souhaitée dans le combat futur qui s'engagera, pour la Vraie Foy. Au hasard d'un chemin de ronde, Eikorc lui fait face.

Ancien allié de campagne en Bourgogne, il est de ces rares mécréants que la Sicaire respecte. Une ombre pesant au tableau, son époux Hanort, perle de sa vie, est tombé quelques jours auparavant sous la lame du Colosse. Convalescent en Berry, elle ne peut le rejoindre, les missions du Lion de Juda primant sur les intêrets des Sicaires.

L'Hélvète veut comprendre, et s'approche du Nerra, qu'il lui explique pourquoi ce geste. Simple erreur..la Sicaire le croit, trop bien consciente de la fureur des combats, de leurs lots de regrettables bavures. L'homme est intègre, l'expérience et l'instinct la guide.

La tension présente et antérieure doit cependant être évacuée, et armes déposées, le corps à corps s'engage. Plusieurs fois les yeux bleux croiseront en furie ceux noisettes de la Sicaire, provoquant des à coups violents, des décharges insolentes. La Sicaire oublie sa faiblesse de femme, et la joute termine, sans vainqueur, ni vaincu. Point de mots, tout a été exprimé.

Légère et vidée de toutes rancunes, la combattante s'apaise, posant ainsi les bases d'alliances futures dénuées d'amertume. Le Très Haut en a décidé ainsi..les âmes ne se croisent pas par hasard.

Sans un regard, elle retourne dans la cité, ne se doutant pas que le valeureux stratège, qu'elle vient de découvrir homme, va tomber lui aussi sous les lames. Son regard porte vers le Sud, là où d'autres lames déchireront d'autres chairs.

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Amberl
Nuit du 10

Ca ne tourne pas rond.
Y a anguille sous roche. Voire baleine sous une fourmie... tant c'est visible.

L'attitude d'Eikorc et Maleus dégage une aura mystérieuse. Allons bon... Les chefs ont toujours été clairs avec eux. Transparents envers leurs mercenaires, qui les suivront ad vitam eternam. Mal' ne lui a jamais rien caché. Elle bénéficie d'un traitement de faveur, la frangine. Complices de toujours ... Et pourtant ... Cette soirée en taverne fut des plus étranges. Tous ont remarqué le comportement du borgne. Les bouchons sont lancés, sans clous, comme à l'accoutumée.. Mais le "j't'aime ptite soeur" est tout ... sauf normal. Comme un "adieu". Les sourires tristes dénotent de l'ambiance habituelle. Les ordres donnés, en contradiction avec leurs actes. Pourquoi s'entete t-il à les faire intégrer l'armée ? Faites ce que je dis ... Mais nous, on reste à deux. Louche, j'vous dis.

Pourtant ... ils devraient se réjouir. Elle n'a cessé de trimer à droite à gauche, d'envoyer des pigeons à Hans pour rabibocher la Zoko à l'armée, de poser la condition sur l'accès aux stratèges ... La mayonnaise semble prendre une tournure correcte, voire onctueuse pour les jours à venir.

Elle pige pas, la brune. La nuit sur les remparts, elle observe les feux de camps, nichée dans la catapulte qui est un confortable hamac, à défaut de pouvoir sortir avec l'armée et reprendre la mine. Le regard plongé dans les étoiles, elle ne voit pas les deux sortir de la ville et se diriger vers St Aignan.
Le lendemain, elle se noiera dans l'alcool en apprenant la nouvelle.
Le lendemain, elle rejettera toute idée de continuer dans la CF vue le manque de confiance des deux lascars.
Le lendemain, elle s'inquiètera malgré tout de leur absence. Parce qu'ils le valent bien.

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--- Rajoutez un "e" à Amberlee pleaze ---
Roderic_varthak
Sur les routes de Touraine.

Au petit matin, un jeune homme d’a peine 16 ans, franchit la frontière. L’enturbanné ; comme les vieux l’appelait ; lui avait dis de se manier le train. Rod avait donc acheté un cheval pour arriver de bon matin à destination.

Promptitude, exactitude et loyauté, les piliers d’un vrai soldat. murmura Rod en riant. Feu son père serait content, enfin pas vraiment. Lui qui ne jurait que par l’armée n’aurait certainement pas apprécié de voir son fils mercenaire.

Dans son fief de Tournemire, le troublion du Bourbonnais tournait en rond. La guerre était déclarée, La Touraine avait demandé l’aide de ces alliés et pour changer ça trainassait en Bourbonnais. On blindait les défenses alors qu’il fallait planifier l’attaque.

Le clan était au loin quand l’annonce du conflit avec le Berry était parvenue en Auvergne. Il avait espérer durant quelques jours que la fameuse COBA, ou son père avait servit un temps, entrerait en conflit et qu’il pourrait rejoindre le clan dans les armées du Bourbonnais.

Ruminant devant la lenteur des préparatifs, la décision de laisser la noblesse en défense avait achevé Rod. Une carrière de mercenaire qui allait encore finir devant la cheminée à pourchasser les toiles d’araignées. Rod s’était rendu à la raison. Les seuls passent d’arme qu’il ferait, c’était celle de la chambre des nobles ou le garçonnet aux mauvais caractères y mettaient un peu d’animation.

Il avait donc pris armes et bagages et c’en était allé sur les routes rejoindre la Touraine. Une pincée d’inconscience, une fuite en douce sans que mère ne l’aperçoive, et le jeune homme avait fait son bout de chemin.

Demain il serait à destination. Il ne restait plus qu’à retrouver les siens.

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--Blondel_de_noyon
[Au sud de la capitale – sur la route de Loches]


Barrois, Amors, qui les forz afoiblie,
Droiz est qu’ele vos ait a son plaisir;
Bien savez li et guerre maintenir…



Une voix belle et grave. Les paroles d’une chanson…Quelques notes de musique… Une carriole, un coffre de voyage recouvert de cuir. Un homme pinçant les cordes d’un instrument en forme de poire, dont le manche court est fretté, une citole. De belle taille, d’un âge certain, aux oripeaux flamboyants iceluy est trouvère : chanteur, poète, artiste utilisant la langue d’oil. Près de lui son compagnon, un habile jongleur, qui tôt ce matin mène d’une main ferme les chevaux à bon port.


Destination le sud du royaume. Les deux hommes viennent du Nord de la Loire. Ils ont déjà beaucoup voyagé mais le temps passé sur les routes leur importe peu au regard de l’enrichissement des rencontres, du plaisir d’interpréter des œuvres poétiques dans les cours seigneuriales des anciennes provinces occidentales et bientôt méridionales du royaume de France.


L’Aube comme un four. Le soleil se levait lentement derrière la forêt, au-dessus de Loches, tandis que le trouvère observait patiemment l’astre colérique comme un point rouge à l'horizon, alors que ses prunelles sombres recevaient par brassées des éclats de végétaux... La carriole cahotait ainsi sur les chemins peu sécurisés du fait des conflits tourangeaux/berrichons et de la guerre qui venait de livrer ses premières victimes.



Collin arrête les chevaux et écoute ! Le temps n'est plus à la chanson !


La voix du trouvère avait quelque chose d'inquiétant et le jongleur fronça les sourcils tout en s'exécutant de suite, sentant une forte pression de la main de son voisin sur son bras.


Hola !


Le dénommé Collin se tourna vers son compagnon de voyage et posa sur lui un regard interrogatif. Blondel de Noyon avait le visage grave, ce qui ne présageait rien de bon. Il ne connaissait que très peu son passé mais l'homme était seigneur et chevalier. Tout à l'écoute de la chanson du trouvère, le jeune homme n'avait guère fait attention aux bruits avoisinants. Un frisson lui parcourut l'échine quand enfin il repéra le cri d'un charognard. Si fait, l'oiseau, un vautour, donnait l'alarme.


Il se trouve sans doute une clairière derrière ces arbres; et dans cette clairière un bien triste spectacle : la mort !


Blondel de Noyon posa délicatement sa citole et se leva, essayant de percer du regard l'obscurité de la forêt.


Bon alors, prenons autre direction. Ne nous attardons point icelieu ! Je ne suis pas couard mais je préfère jouer de prudence. Rejoignons Loches en prenant à sénestre.


Collin venait de s'exprimer la voix à peine audible. Iceluy n'entendait rien aux jeux de la guerre si ce n'est par des chansons de gestes. La jonglerie était son domaine et son arme de prédilection la vielle.


Que nenni mon ami nous allons droit devant et je prendrais les rênes si il le faut !


Allez Hu !



La carriole fut rapidement arrivée dans la clairière et là un triste spectacle s'offrit aux yeux des deux hommes. Une vision d'horreur qui les tétanisa. Six corps, des robes blanches maculées de sang. De longues chevelures dorées en nombre, des corps de femmes, des femmes jeunes, des femmes portant des capes à l'écusson de l'ordre royal de la Dame Blanche à l'Ecu Vert. Un étendard souillé près d'icelles.


Blondel sauta prestement à terre, invitant Collin à en faire de même. Il s'approcha des corps inanimés et posa deux doigts sur le pouls de chaque femme.



Leur cœur bat au ralenti mais elles ne sont point mortes. Rendons grâce au très haut ! Vite ! Nous devons les amener à l'hospice le plus proche. Nous ne pourrons faire mieux, je ne suis pas médicastre et ne possède le secret des simples. Pressons mon ami !


Le trouvère et le jongleur transportèrent délicatement chacune des femmes à l'arrière de la carriole, ramassant au sol quelques armes ensanglantés, abandonnés par l'ennemi et sans se retourner, prirent la direction de la ville, le visage fermé.
Agatha21
[ Champ de massacre des Blanches…]

Elle se rendait bien compte que l’on s’agitait autour d’elle…
Difficile d’ouvrir les yeux ou de reconnaître les voix qui lui parvenaient, assourdies, presque incompréhensible…
Elle essayait en vain de se concentrer, ne plus penser à la douleur qui la faisait grimacer malgré elle…Elle aurait tellement voulu se concentrer pour échapper à ce corps endolori…
Comment était-ce possible ? Elle était encore de ce monde…

Les voix se faisaient plus proches…Son cœur tambourrinnait dans sa poitrine…Peur indescriptible et irraisonnée…Ils étaient revenus pour finir leur sale besogne…
Elle entendait le cliqueti des armes…Vestige de guerre que l’ennemi berrichon n’avait même pas pris la peine de ramasser en guise de butin…
Non…C’était peut-être de vils charognards qui se faisaient quelques écus sur le dos de la mort, parcourant les champs de bataille…

Elle ne pouvait plus bouger, son corps semblait ne plus répondre aux ordres de sa volonté…
Elle avait perdu tellement de sang…
Pourtant, il fallait qu’elle ouvre les yeux…Il fallait qu’elle sache où étaient ses sœurs…Si elles étaient en vie…Si par bonheur, la croyant passée à trépas, on l’avait laissée là,, seule, pour venir en aide à celles qui n’avaient été que blessées…Trop impatient d’aller les secourir…Jugé que pour elle, c’était sans doute trop tard…

Ettouffer un cri dans un ultime effort…Ouvrir péniblement les yeux encore une fois…
Et curieusement sesentir soulever de terre par des bras inconnus…Quelqu’un se chargeait d’elle…Il n’y avait plus de craintes…Elle savait qu’elle n’allait pas mourir là, à même la terre…Elle sentait que quelqu’un aller lui tenir la main…

Ses mots coulèrent dans un faible murmure…Ses yeux s’entrouvrir pour apercevoir le visage d’un homme…

Sieur… s’il vous plait…Mes sœurs…mes sœurs…

Elle chercha du regard et vu l’horreur…Elles étaient toutes là…Un cri de rage qu’elle ne pu retenir…

HAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!

Avant de resombrer à nouveau dans l’inconscience…on venait de la sauver, elle ne le savait pas encore…


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Skippy18810245
[La nuit de la terreur]

Citation:
Skippy surveillait ces hommes depuis les remparts, quand la première attaque eu lieu…
Plusieurs de ces hommes tombèrent sans qu’il puisse voir vraiment lesquels avaient morflés.
Il sorti pour essayer de récupérer les blessés…
Il trouve LineXIV son amie de toujours bien amochée et inconsciente, il voit une méchante blessure a l’épaule et apparemment un bon coup sur la tête… il l’a secoue et la réveil… il l’houspille et l’a remet debout…
LineXIV suit skippy … quand celui-ci tombe sur Ellana… une large trainée de sang lui laisse augurer de graves blessures… Ellana est inconsciente et saigne énormément…
Skippy décide de transporter Ellana à la mairie ou là il Pourrat soigné ces blessures…

Arrivé a la mairie skippy, va dans son bureau ou il conserve un bouteille de gnole… il en boit une rasade et cours rejoindre LineXIV et Ellana….
LineXIV prends la bouteille des mains de skippy et s’en jette un petit coup dans le gosier avant de s’inonder la plaie qu’elle a l’épaule… son armure en cuir avait fait son office, un peu plus bas et plus de LineXIV…
Skippy en voyant la plaie béante d’Ellana au ventre, déblaya le bureau et l’allongeât dessus… il fallait recoudre au plus vite avant qu’elle ne se vide complètement…

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Nerine
[Après l’attaque des Blanches]

Cahincaha, la charriote menée par Cath et Ukase poursuivait son chemin emportant Nerine, son compagnon et ses amis vers une autre vie. Encore une autre vie, un autre recommencement, un autre espoir, une nouvelle ‘aventure’. Tout s’était passé tellement vite d’une certaine manière … la rencontre avec Yohan, le départ de Millau, la route vers le Poitou, l’amour naissant pour son compagnon. Un sourire s’étira sur les lèvres de la blonde, la faisant grimacer inconsciemment. La vie est bien étrange pensa-t-elle en se pelotonnant contre Yohan, heureuse d’avoir tout de même suivit son instinct quelques semaines auparavant.

Le balancement régulier du chariot bâché avait quelque chose de rassurant, de familier … comme une mère berçant son enfant. Alors quand tout à coup, la charriote buta contre une pierre et tangua, la blonde ressentit une violente douleur la transperçant de part en part et lui arrachant un gémissement. Courbaturée, déchirée de l’intérieur … tant de souffrance s’éparpillant en son corps et l’envahissant en son entier. Surprise par cet étrange sensation - elle ne s’était pas blessée récemment - elle tenta de bouger … ses membres semblaient lourds et ne pas répondre à sa volonté.

Le martèlement des sabots frappaient dans sa tête comme les tambours lors des fêtes villageoises. Seulement dans ce cas-ci, cela n’avait rien de joyeux … bien au contraire. La poitevine voulut tourner la tête, mais une douleur la saisit à la joue. C’est alors qu’elle se souvint … la guerre, l’attente, le départ, l’attaque, ses sœurs tombant sous les coups et le visage de son ennemi lui portant un coup. Elle tenta de lever un bras, mais elle n’avait plus de force et la douleur se faisait plus dense.

J’ai mal, je suis en vie alors ! … mes sœurs, où sont-elles ?

Des bruits de voix étouffés se firent entendre. Des voix d’hommes, lui sembla-t-il. Qui, qui donc ? Leurs ennemis ? Non, ils les auraient achevées plutôt que les emmener avec eux. Alors, elle ouvrit les yeux. Elle était bien dans une charrette et pas seule apparemment. La charriote bringuebala et elle sentit quelque chose contre sa jambe. Quelque chose de mou … comme elle. La blonde se força à bouger la tête. Lentement, doucement, elle la souleva de quelques pouces et vit d’autres corps allongés comme elle. Des chevelures … longues … blondes … brunes … ses sœurs. Elle tourna alors la tête et aperçu Agatha. Des larmes lui virent aux yeux et coulèrent sur ses joues. Elle se contraignit à déplacer son bras, effleura celui de la limousine et finit par lui agripper la main.

Un léger pouls se fit sentir sous les doigts de Nerine. Sa bouche pâteuse et rêche s’ouvrit, mais aucun son n’en sortit. Elle toussota, se racla la gorge et tout en effectuant un semblant de pression sur la main d’Agatha, chuchota …

Aga … Agatha … Agatha … je t’en prie … ouvre … les yeux.

La main et la tête de la blonde retombèrent en un bruit sourd sur le plancher de la charrette. Ses yeux se fermèrent. Le noir l’envahit à nouveau.
Donotach
Donotach avait passé plusieurs jours au rempart de Chinon pour défendre cette belle ville portuaire contre l'envahisseur. Peu de chose s'était passé en fait. Après le temps de d,installé le campements c'était les tours de garde qui avait suivi. Il se dit qu'une chance qu'il avait emporté ses vêtements les plus chaud car l'air y était plus humide et plus froide aussi qu'à Loches.

Plusieurs jours se déroulèrent ainsi, il y eu bien quelques escarmouche mais rien de bien grave.

Puis un bon matin les choses changère, les choses évoluères. Son chef tomba gravement malade et fut transporté d'urgence chef le docteur pour y subir un examen. Rien de bien rassurant.

Les journées passère encore et encore sans grande amélioration de l'état de santé de celui-ci. Finalement Donotach reçu l'ordre de revenir à Loches, nous avions besoin d'un chef maréchal pour soutenir la ville.

Bien que de laissé une partie de ses frère et soeur d'arme en arrière l'inquiétait, les ordres sont les ordres. Il partie alors avec un groupe de soldat pour revenir dans sa ville chéri.

Dès son arrivé il en profita pour faire un petit ménage sur la ferme et voir ou les récoltes en étaient. Il se dit que les employé avaient fait du bon travail, les pousse allait bien. Bon au travail maintenant.

Puis il passé au poste de police, il était désert. Pas surprenant en fait avec tout ce vas et vient de soldat. Comme il n'avait pas de missive à réglé il alla au village faire sa tournée. Cette tournée qu'il aimait tant faire et qui lui manquait beaucoup.

Bon le soleil se couche déjà, aller allons fait le guet au rempart, pendant que tous essaie de trouvé un peu de quiétude dans leurs foyer. Il ce dit que ce petit sacrifice valait bien de voir tout ces famille réunis à Loche, ville qui est LIBRE.
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