Amberl
Une nouvelle fois, elle a enfourché son cheval plus rapidement que le Doc... Intrépide voyageuse contre intellectuel reclu dans sa bibliothèque. Elle ne pouvait plus tenir, LA sachant dans la ville voisine. Si près... Si loin... Jamais le court trajet qui relie Chinon à Loches ne lui a paru aussi interminable.
Malgré la pluie battante, Amberle recherche une silhouette qui lui devient familière. Sa nounou, son ange gardien, sa Prunette qui a quelque chose à lui redonner... A moins qu'elle ne veuille le garder, encore un peu.
L'ancienne berrichonne prie pour que son amie n'ait pas encore repris la route vers le pays des poussins. Les voyages ne sont plus surs, le duché voisin encore moins. Faisandé, immuable, couard. Amberle n'est pas à court d'adjectifs pour qualifier son Berry tant aimé auparavant, tant hai maintenant.
Apostrophant un lochois sur sa route, la brune sourit, avenante.
Excusez moi, vous n'auriez pas vu une jeune femme, qui s'assoit toujours par terre, et qui norfise sans cesse ?
Si ? Par là ?
Et on suit docilement les explications... On clique à gauche, on clique à droite, on va tout droit, trois pas en avant, deux en arrière... Et on arrive devant la maison de Tibetain chez qui Mira séjourne.
Trois coups à la porte. Ce n'est pas le propriétaire de la maisonnée qui lui ouvre, mais une silhouette familière.
Salut ma Prunette.
Un grand sourire fend le visage d'Amberle, ravie de les retrouver.
_________________
---- Rajoutez le "e" final à Amberle pleaze ----
Adieu l'andalou...
Malgré la pluie battante, Amberle recherche une silhouette qui lui devient familière. Sa nounou, son ange gardien, sa Prunette qui a quelque chose à lui redonner... A moins qu'elle ne veuille le garder, encore un peu.
L'ancienne berrichonne prie pour que son amie n'ait pas encore repris la route vers le pays des poussins. Les voyages ne sont plus surs, le duché voisin encore moins. Faisandé, immuable, couard. Amberle n'est pas à court d'adjectifs pour qualifier son Berry tant aimé auparavant, tant hai maintenant.
Apostrophant un lochois sur sa route, la brune sourit, avenante.
Excusez moi, vous n'auriez pas vu une jeune femme, qui s'assoit toujours par terre, et qui norfise sans cesse ?
Si ? Par là ?
Et on suit docilement les explications... On clique à gauche, on clique à droite, on va tout droit, trois pas en avant, deux en arrière... Et on arrive devant la maison de Tibetain chez qui Mira séjourne.
Trois coups à la porte. Ce n'est pas le propriétaire de la maisonnée qui lui ouvre, mais une silhouette familière.
Salut ma Prunette.
Un grand sourire fend le visage d'Amberle, ravie de les retrouver.
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---- Rajoutez le "e" final à Amberle pleaze ----
Adieu l'andalou...