[RP] Au Plaisir d'Aphrodite

Silver.

Citation:

Bonjour Dame ! Et bah que me vaut cette visite a tous les trois ? Messires j'aurais crue ne jamais vous voire entrée dans cette établissement !

Silver se retint d'éclater de rire en se disant que finalement elle n'était pas la seule à échaffauder des histoires sur leur venue .

"Bonjour je venait juste voir par rapport aux histoires en taverne la dernière fois, si vous n'aviez pas eu de problème et puis j'aime bien venir dans votre établissement il est très sympathique ."
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Tout simplement, mais que dire de plus quand il n'y a rien à conter ...

Silver . Damoiselle Argent. Jeune Flêchoise

Aphrodite.

Silver. a écrit:

"Bonjour je venait juste voir par rapport aux histoires en taverne la dernière fois, si vous n'aviez pas eu de problème et puis j'aime bien venir dans votre établissement il est très sympathique ."

Aphrodite sourit a Dame Silver.

Eh bien c'est très gentil a vous, je vous remercie d'être venue. Je n'ai pas eu de problème pour le moment, et je touche du bois, j'espère ne pas en avoir.

Aphrodite lie le geste à la parole.

En tous cas cela me touche de vous entendre dire que cette endroit et sympathique, peu de femmes sont de votre avis ! Venez donc vers moi que je vous serve un verre...

Aphrodite porta son regard vers le petit Malo qui ne quittait pas ses filles du regard.

T'es pas un peu jeune toi ! sois patient petit, quand tu aura l'age, retourne me voire, on m'occupera de toi.
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A votre service...

"Si n'être point cocu te semble un si grand bien, ne point te marier en est le seul moyen..."

Silver.

Citation:

En tous cas cela me touche de vous entendre dire que cette endroit et sympathique, peu de femmes sont de votre avis ! Venez donc vers moi que je vous serve un verre...

J'accepte avec plaisir le verre et oui pour moi c'est un endroit sympathiques surtout quand je suis seule et libre comme l'air ! Dit elle en souriant

Citation:

T'es pas un peu jeune toi ! sois patient petit, quand tu aura l'age, retourne me voire, on m'occupera de toi.

Elle rougit en entendant ça n'étant pas vraiment plus vieille que le jeune Malo !
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Tout simplement, mais que dire de plus quand il n'y a rien à conter ...

Silver . Damoiselle Argent. Jeune Flêchoise

Engherran

Citation:

Bonjour Messire Engherran, bonjour p'tit breton, excusez moi je croyait que c'était quelqu'un d'autre.

Nous ne souhaitons pas vous dérangez trop longtemps, nous étions venus vous remerciez de l'accueil que vous avez offert à ce jeune garçon.

Engherran s'inclina en guise de remerciement ...

Nous allons vous laissez à vos affaires ... Bonne journée Dame et au plaisir de vous revoir.
Damoiselle Silver à bientôt, j'espère.

Engherran se retourna, fit les premiers pas en direction de la sortie.
Le jeune Malo, devant tant de beauté regarda tour à tour les filles de cette maison des plaisirs, la Damoiselle Silver et Dame Aphrodite, toujours aussi rouge de joue, se disant qu'il était bien en âge de venir ici quand l'envie lui en prendrait. Il resta de longue seconde ainsi sous le regard des deux femmes et d'Engherran qui s'était arrêter en chemin pour regarder le jeune garçon, visiblement devenu trop vieux pour qu'on le considère encore comme un gamin.

Eliebertine

Elie sourit et le vit regarder l’ escalier apparemment sa l’intriguai mais n’ose pas allez voir de plus prêt. La nuit était bien tomber la mélodie finie et le verre également et me dit avec sa voix mélodieuse.
Vous remercierez la patronne ce vin est délicieux.
Elie souriait encore et le raccompagna a la porte et lui dit tout bas.
Au plaisir de vous revoir charment messire et peut être que vous verrez ce tableau de plus prêt qui sait.
Elle refermât la porte et jeta un regard au filles présente leur fait un sourir et a la mètre un peut de rangement.
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Rien que pour vous et le plaisir des yeux

Aphrodite.

Aphrodite servit un verre a Silver et sourit a Engherran :

Citation:

Nous ne souhaitons pas vous dérangez trop longtemps, nous étions venus vous remerciez de l'accueil que vous avez offert à ce jeune garçon.

C'est gentil, mais c'est surtout Dame Silver qui faut remercier, moi je me suis contenter de le faire tomber...

Citation:

Nous allons vous laissez à vos affaires ... Bonne journée Dame et au plaisir de vous revoir. Damoiselle Silver à bientôt, j'espère

Aphrodite leur sourit et regarda le petit breton regarder de partout autour de lui rouge comme une pivoine. Elle entama une discussion avec Silver, songeant au Sire qu'elle avait laisser patienter dans la piece a coté. Elle jeta un coup d'oeil a ses filles et songea à la proposition de l'homme quand tous à coup :

Mais..ou est Lys, le jeune homme est partit, pourquoi ne descend t-elle pas ?

Dame Silver excusez-moi je reviens...

Aphrodite quitta son comptoir et monta les escalier rapidement, pensant que Lys faisait sa feignante comme Roxane et était prête a lui mettre une rouste. Elle poussa donc la porte de sa chambre avec énervement et la trouva étendu sur le ventre évanouie...

Lys mais ??? qu'est ce que ?

Elle s'approcha d'elle et la mis sur le dos, elle était encore nue . Elle vit le mot sur la table et soupira: " arf qu'est ce qu'il lui a fait !" Aphrodite lui mit deux trois gifle sans effet. Elle sorit alors des sels de son décolter et lui fit sentir pour la faire reprendre connaissance. Elle recouvrit la catin pour ne pas qu'elle est froid et se dit que ce devrait être les clients qu'on devrait dressé un peu. Elle attendit là qu'elle se reveille.
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--Jaquemart

Jaquemart sourit à la rousse lorsque celle ci se colla à lui et lui murmura à l'oreille :

Citation:

Je suis la pour toi, mon beau...

La rousse lui caressa le torse et ses main baladeuses descendirent jusqu'à ces bijou de famille. Jaquemart sentait le désire venir a la vue de la catin si provoquante, si sauvage par ses geste et sa tournure.

Citation:

Hum...vous êtes contente de me voir ou vous êtes armée Messire...

Jaquemart fit frisée sa moustache en guise de réponse et posa ses mains sur le corps de là fille lorsque celle-ci se colla à lui. Il regarda une autre catin descendre, une brune cette fois ci. Il observa attentivement ses formes. La catin d'ailleurs suivit son regard et elle en fut vexée :

Citation:

Vous préférez peu être les petites brunettes ?

Oh que non...

Il sentait son désire envers la rousse monttait de plus en plus en lui. Il était irrémédiablement attirée par cette femme qui avait l'aire à la fois sauvage et douce. Il la saisit parles hanches et la colla a lui respirant son parfum en attendant qu'elle discute avec d'autre clients qui venait. En l'écoutant il comprit que la patronne n'était pas elle, et il en fut ravie, le tarif pour une nuit avec elle devait être moins élevée...

Une fois les affaires terminée elle emmena Jaquemart à l'étage. Celui ci avant même d'arriver dans la chambre la plaqua contre la porte et fit remonter ses mains sur la cuisse de la catin lui faisant ainsi relevée la cuisse et l'embrassa avec fougue. Il chercha la poignée de la porte et entra avec la catin. La il s'allongea sur le lit dans une chambre pavement décorée et regarda la rousse, avant de l'attirer contre lui pour qu'elle s'assoit a califourchon sur lui.

Voyons voire ce que tu vaut ma belle...

Eliebertine

Après avoir ranger un peu la maison. Elle était surprise ne plus voir Madame Aphrodite et une autre dame prénommer Lys. Elle ce décida d’allez voire à l’étage , elle remarque la porte entre ouvert .Elle toc et personne ne répondirent. elle entra sens même avoir entendu de réponse . elle aperçu la femme entendue sur le lit tout dénuder et Madame Aphrodite a c’est cote avec les sels dans la main, la femme revenait doucement à elle un peu perturbe par cette odeur désagréable Elie pensa directement mais quelle brute a pu laisse une femme dans cette état quelle honte .Il aurait pu prévenir le personnel que la dame était tombée dans les pommes. Elle a la s’asseoir près de lys .elle était un peut inquiète pour vu quelle ai pas de séquelle. En elle , elle bouillonnais mais restas calme devant la dame qui était enfin revenue a elle . Tu veux quelque chose a boire ? heum je suis Elie on c’est juste vue mais jamais parlez quel drôle de circonstance pour ce parlez tu ne trouve pas
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Aphrodite.

Aphrodite voyait Lys revenir petit à petit et en fut soulager. Eliebertine entra dans la la chambre surement inquiète de ne plus voir grand monde. Elle la regarda s'assoir près d'elle et remarqua le visage angoissé d'Eli :

Ne t'en fait pas çà doit pas être bien grave, je ne sais pas ce qui c'est passé, mais elle n'a pas l'aire d'avoir de trace de coup sur le corps, surement une émotion un peu intense.

Elle regarda Elie pencher sur Lys et lui caresser les cheuveux en lui murmurant :

Citation:

Tu veux quelque chose a boire ? heum je suis Elie on c’est juste vue mais jamais parlez quel drôle de circonstance pour ce parlez tu ne trouve pas

Elie, je te la confie, je n'aime pas laissé l'établissement sans personne au rez de chaussée, et j'avoue qu'on m'attend en bas. Prend soin d'elle, et prévient moi quand elle est remise, ou envoie la moi, je voudrait lui parler, merci.

Aphrodite sourit a Elibertine en lui donnant les sels et sortit un peu inquiète mais ne laissant rien paraitre sur son visage. Elle redescendit au rez de chaussée ou Dame Silver se trouver toujours et s'excusa auprès d'elle. Se disant que le sire borgne devait être bien patient. elle se dit que tous ces petits évènement ne tombé pas si mal, elle testait ainsi la patience du sire, car selon ce qui lui avait proposée elle préférait qu'il soit patient et qu'il est du sang froid.

Dame Silver, aimez vous notre vin ?
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--Roxanelarousse

Roxane fut plaquer contre la prote par le sire et celui-ci l'embrassa avec fougue avant de l'amener dans la chambre de s'allonger sur le lit et de l'attirer contre elle. Elle se positionna a califourchon sur lui. Elle portait une tenue affriolante, laissant voire ses formes rondes et généreuse par des jeux de transparence. De plus son corset lui mouler la taille ce qui la rendait encore plus désirable et elle le savait. sa jupe était relever sur le coté par un système de ruban qui révéler une jarretière rouge sang. Son corps était parfaitement proportionnée. Elle sentait le désire de son partenaire sous ses fesses et lui sourit.

Citation:

Voyons voire ce que tu vaut ma belle...

Elle détacha lentement son corset laissant voir au fur et a mesure de plus en plus de chaire. Elle entendait la respiration du jeune s'accélérait, avant de se jeter sur ses lèvres tel une aigle sur sa proie et l'embrassa sauvagement laissant ses mains parcourir le corps du jeune homme, lui détachant sa chemise avant de descendre plus bas et de lui caresser l'entre jambes. Au moment ou celui la pris par la taille elle se dégagea et se releva, frustrant ainsi au maximum son partenaire d'une nuit. Elle posa sa jambe sur le lit laissant glisser sa robe et relevant ainsi ses jambes elle fit descendre ses bas délicatement le long de sa jambes. Il ne lui restait plus rien qui lui cachée le sexe et elle poussa le sire et s'allongea sur le dos l'attirant d'une main contre lui et le déshabillant de l'autre. Elle avait pas mal d'expérience et savait si prendre avec les hommes.

Silver.

Silver remercia Aphrodite d'un sourire lorsque celle-ci lui servit un verre de vin d'un magnifique rouge carmin elle commençait à discuter avec elle, lorsqu'elle se rappela de quelque chose et la laissa quelques instants seule .
Pendant qu'Aphrodite était là haut elle en profita pour observer la pièce qui décidement ne manquait pas de charme .

Elle releva soudain la tête pour l'aperçevoir qui redescendait les escalier :

Citation:

Dame Silver, aimez vous notre vin ?

Hum .. Oui je vous remercit, il est excellent !
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Silver . Damoiselle Argent. Jeune Flêchoise

Aphrodite.

Aphrodite regarda Silver qui regardait de partout autour d'elle, et qui se retourna vivement en l'entendant prononcer quelque mots :

Citation:

Hum .. Oui je vous remercit, il est excellent !

Vous m'avez l'aire d'aimer cette endroit Dame...Je sais que vous êtes une dame bien élevée donc je n 'oserais vous proposez de travailler ici, et a vrai dire je ne le souhaite pas car cela me ferait mal de vous voir finir ainsi...

Aphrodite s'arrêta volontairement et descendit les dernière marches et s'approcha de Silver assez près pour que beaucoup se sentent mal à l'aise. Aphrodite était legerment plus grande en taille mais pas de beaucoup, mais elle était plus âgée que Silver. Elle la regarda ne pouvant pas lui donner d'age.

Veux tu que je te fasse visiter l'établissement ?
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Silver.

Silver sourit en entendant la réponse d'Aphrodite :

Citation:

Oui j'aime beaucoup cette endroit et oui je suis bien élevée dans un certain sens par contre je ne suis en aucun cas une dame . Dit elle en souriant avant d'ajouter:
Et de toute façon même si je respecte beaucoup votre .. travail je ne pourrais jamais y travailler, sans vouloir dire que c'est honteux bien sur !

Aphrodite s'approcha d'elle la dominant de peut et elle ne sentit en aucun cas mal à l'aise face à elle qu'elle commençait à apprécier par son franc parler, sentant malgré tout un regard porté sur elle, elle sentit bien qu'Aphrodite cherchait à lui donner un âge vue son jeune visage

Citation:

Veux tu que je te fasse visiter l'établissement ?

Oui avec plaisir, enfin si ça ne te dérange pas !
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Silver . Damoiselle Argent. Jeune Flêchoise

Aphrodite.

Aphrodite sourit en entendant Silver lui répondre sans aucune gène un sourire aux lèvres :

Citation:

Oui j'aime beaucoup cette endroit et oui je suis bien élevée dans un certain sens par contre je ne suis en aucun cas une dame . Et de toute façon même si je respecte beaucoup votre .. travail je ne pourrais jamais y travailler, sans vouloir dire que c'est honteux bien sur !

Elle avait aimée la réaction de la jeune dame n'ayant aucune crainte ni un petit geste de recule lorsqu'elle s'approcha de près.

Citation:

Oui avec plaisir, enfin si ça ne te dérange pas !

Bien suivez moi. Le rez de chaussé vous en avait vue une bonne partit.

Aphrodite l'amena d'abord à l'étage :

Donc ici nous avons les chambres, elle ouvrit la sienne qu'elle savait vide pour montrer l'interrieur a Silver. Vous savez comment fonctionne une bordel ? je vous explique en gros, il y a donc une "mère maquerelle" ici c'est moi, je m'occupe des filles, afin qu'elle ne manque de rien, mais je suis la surtout pour les surveiller et le forcer à se mettre au travail, certaine plus que d'autre. Il faut donc être ferme, mais faut aussi savoir les occuper, de temps en temps je fait moi même des extras. Les filles sont donc le coeur de l'établissement.
A l'époque, avant d'ouvrir cette établissement, ma mère maquerelle me chantais une chassons qui résume un peu mon role, permettez que je chante ?

Aphrodite commença a chanter d'une voix claire et douce :

Demandez a n'importe qui dans ma taule
J'suis une mère poule c'est mon rôle
Je les aime tous et elles m'adorent
Preuve qu'il fonctionne
Le système nommé réciprocité...

J'ai une devise dans la vie
Elle m'a toujours servie
T'es bon avec Mama
Mama est bonne avec toi.

Y'a plein de services
Que je suis prête à rendre
T'en rends à Maman
Elle t'en fera autant.

La vie c'est donnant donnant
Et c'est comme ça que je vis
Et je mérite un traitement de choix
Vu ce que j'ai à donner
La main gauche se fout
De ce que fais la droite
T'es bon avec Maman
Maman est bonne avec toi !

Si tu veux de ma sauce
Relève mon ragoût
Epice le pour Mama
Elle sera chaude pour toi

Quand passera le récipient
Surtout n'hésite pas
Mets des sous pour Mama
Elle piochera pour toi

Tout en haut de l'échelle
Ils connaissent les honneurs
Envoie moi au ciel, chéri
J'renverrai l'ascenseur

C'est un truc d'équipe
Comme le sport à Oxford
Tu rames pour Mama
Mama rame pour toi

Alors quelle est la conclusion
Que je peux apporter à ce numéro (cette chanson) ?
Quand tu es bon avec Mama
Mama est bonne avec toi !

Cf Chicago le film

Elle sourit a Silver et poursuivit la visite :

Ensuite il y a une salle permettant aux filles de se laver, et de se faire belle.
On peut trouver aussi un salon permettant au hommes de patienter avec quelque verre a leur disposition et du bon tabac.

Aphrodite redescent avec Silver.

En bas il y a deux autres salon dont un privée que je ne vous ferez pas visiter car une personne m'y attend. Le comptoir et la pièce principale vous connaissez...
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Silver.

Silver suivit Aphrodite curieuse de découvrir l'intérieur du bordel, elle lui montra donc d'abord une chambre et continua sur sa lancée en lui expliquant le fonctionnement de son établissement, lui parlant la mère maquerelle en entamant d'une voix douce une très belle chanson qu'elle écouta attentivement le sourire aux lèvres en entendant et comprenant les paroles .
Continuant la visite elle lui montra diverses pièces entres salle d'eau et salon .
N'ayant pas dit un mot de de toute la visite elle écouta Aphrodite conclure avant d'ajouter à ceci :

Citation:

En bas il y a deux autres salon dont un privée que je ne vous ferez pas visiter car une personne m'y attend. Le comptoir et la pièce principale vous connaissez...

Eh bien merci pour la visite alors et vu que vous êtes attendue je vais vous laisser rejoindre cette personne ! Merci encore pour le verre et la visite !

Sur ce elle partit, passant la porte elle remit sa cape sur ses épaules voyant la soirée déjà bien avancer .
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Silver . Damoiselle Argent. Jeune Flêchoise

Au Plaisir d'Aphrodite

Aphrodite.

Dans une ruelle sombre éloignée du centre du village une nouvelle maison venais d'ouvrir ces portes. Une maison comme les autres en apparence, une maison simple qui ne paie pas de mine, sans écriteau, sans lampion.

Qu'est-ce que cette demeure ou les gens entre en se dissimulant le visage et ressorte le sourire aux lèvres ?
Qu'est ce que cette maison sans écriteau à l'entrée pourtant connue de tous ?
Qu'est ce que cette maison ou l'ont pouvait entendre des rires à l'intérieur et apercevoir quelque chandelle de la fenêtre ?

Pour le savoir, poussons donc les lourdes portes. A l'intérieur une ambiance feutré intime qui met tous de suite en confiance. Sur la droite on peut apercevoir un comptoir qui peut faire penser a une taverne, mais détrompez vous, ce comptoir est là afin de permettre à la propriétaire des lieux de vous accueillir dans tous les respects qui vous sont dues.
Mais pour finir qu'est-ce que se lieux ? Et bien ce lieux messire et fait pour vous, ce lieux et ce qu'on peux appelée dans le langage vulgaire, une maison close, ou bordel, le terme reste à votre convenance.

Mais voyons, ne soyez pas timide ! Entrez ! entrez ! vous y serais accueillit par le sourire de la tenancière, Aphrodite, et même peu être plus. Elle pourra vous conduire à l'étages ou se trouve quelque unes des plus belles dames du royaume; dames qui sont à votre service bien sur...

Si vous le voulez bien, présentons ces Dames :

Voici :

Aphrodite, Marquerelle et propriétaire de ce lieu.

Ses filles :

Eliebertine la douce

Lys la sensuelle

Roxane la sauvage

RP Ouvert à tous, mais attention, ce Topic doit restez correct, langage correct exigée, pas de terme vulgaire, des plus jeunes ayant acces au forum. Préferez la suggestion. Et les Pnj sont les bienvenue.

Autant s'instruire un peu au passage :

Citation:

La prostitution

À l'aube

La prostitution est aussi sacrée dans plusieurs peuples, de Mésopotamie, Grèce, d’Inde. Effectivement un acte voué à la déesse de la fertilité: les prostituées sacrées deviennent les épouses de tous. Dans le genèse (XXXVIII) on trouve la présence de ses prostituées sacrées. La prostitution, s’effectuait donc pour la religion et l’argent que donnait les clients pour accomplir l’acte, le rite, était reversé au temple. Mais les chefs d’état finiront par remarquer l’argent que rapporte cette activité et finiront par créer des maisons de prostitution afin d’avoir de l’argent, et plus pour honorer un culte.
Pour les sociétés archaïques, la prostitution permettait aux femmes de se créer une dot, afin de se marier.

A Athènes, les prostituées permettaient aux hommes d’assouvir leurs désirs sans s’en prendre au femmes mariées ou aux jeunes filles libres. Hors dans une société grecque misogyne, les prostituées sont souvent considérées comme esclaves, et si elles sont seules elle doivent racoler les hommes. Mais il y a aussi une catégorie au sommet de la prostitution grecque, les héraïtes: ce sont des prostituées de luxe, qui apportent distraction culturelle, intellectuelle.

À l'époque romaine

Dans la société romaine héritière de la Grèce, les femmes sont des prostituées légales, inscrites sur un registre, l’état met en place des taxes (proxénétisme ?!?) sur cette activité. Les esclaves sont eux au service de leurs maîtres, peuvent donc être utilisées pour les plaisirs. OR, il est impossible de les condamner pour adultère, ainsi dans cette société romaine on a vu des femmes s’inscrire sur le registre de la prostitution pour échapper aux peines contre l’adultère.

De nos jours (Moyen Age)

Aujourd’hui, on utilise la prostitution pour détourner les hommes de l’homosexualité. D’ailleurs les bourgs sont amenés à organiser la prostitution pour calmer les viols en bandes. Ainsi la prostituée, est habillée de façon distincte pour qu’on la reconnaisse. Et toutes croient en leur repentir en s’identifiant à une sainte. Ainsi il est arrivé que des prostitués offrent aux églises des présents. Les prostituées évitent à cette époque le rapport vaginal, la contraception n’existant pas. Ainsi la prostitution étant un besoin pour calmer les hommes, on voit a cette époque des femmes maîtresses des papes. Mais elles sont aussi les compagnes des soldats.

Un peu d'histoire

De 527 à 565, une loi a été mit en vigueur voulant que tous les proxénètes tels les souteneurs et les maquerelles soient punies sévèrement s'ils sont trouvés coupable de pratiquer ces métiers. Pour la première fois, une loi s'attaquait aux problèmes de la prostitution par ces racines. Par le fait même, les lois interdisant aux ex-prostituées de se marier furent également abolies. D’autres avaient bien essayé d'interdire la prostitution, en ordonnant d'envoyer en exil tous les pères, époux, ou maîtres qui prostituent leurs filles, femmes ou esclaves.

Les nombreuses tribus germaniques quant à elles, partageaient souvent le même avis sur le sujet. Pour ces tribus, la prostitution représentait une malédiction à combattre. En effet, il parait que les proxénètes étaient jugés très sévèrement, car ils étaient passibles de la peine de mort pour avoir commis un tel crime. Une nouvelle loi prit jour, pour la première fois les femmes de petites vertus étaient aussi coupable que les proxénètes et elles étaient justiciables du fouet.

En France, malgré le fait que tous les chefs francs ont des harems, ou des gynécées ou y vivent leurs concubines, la prostitution pour le commun des mortels n'est aucunement tolérée. En effet, les capitulaires stipulent que toutes personnes qui racolent, aident des prostituées, ou encore tiennent des bordels, sont passibles de flagellation. En fait, les prostituées sont perçues comme de très graves criminels, car elles sont passibles de 300 coups de fouets, en plus de voir leur chevelure coupée. En cas de récidive, la loi était intransigeante, et la criminelle était vendue au marché des esclaves.
La prostitution était un phénomène rare étant donné que la société franque était majoritairement rurale, et que la prostitution est un phénomène essentiellement urbain. Toutefois, des soeurs vivant au couvent ont été trouvées coupables de se livrer à de telles activités pour augmenter leur revenus.

De 1226 à 1270, la politique face à la prostitution fut changeante, passant de la prohibition à la tolérance. Un édit passa en 1254, où il menace d'extradition toute personne faisant indirectement ou non de la prostitution son métier. Alors commença une dure répression, et la prostitution clandestine remplaça les maisons de débauches ouvertes à tous. Mais les hommes s'en plaignants furent nombreux, argumentant que depuis la publication de l'édit, il est difficile pour eux de protéger la vertu de leurs femmes et de leurs filles contre les assauts de violence que canalisaient autrefois les bordels. L'édit fut donc révoqué deux ans plus tard, et un nouveau décret a rétabli la prostitution, à condition que différentes règles soit suivies.

De 1096 à 1099, les prostituées ont suivit les troupes de croisade en grand nombre. Toutefois, on peut croire que ce nombre augmenta rapidement car pendant la huitième croisade, les livres de comptes royaux font état sous la rubrique "camp followers" que l'État devait payer un salaire à environ 13 000 prostituées afin d'encourager les troupes à continuer la guerre sainte.

Un discours ecclésial du XIe et du XIIe siècle, fait état d'un double standard en ce qui concerne la prostitution. Tout d'abord, il considère la prostitution comme un mal, mais d'un autre part, il admet sa nécessité. D'ailleurs, il stipule qu'une femme s'ayant adonné à de tels actes devait se soumettre à une pénitence de six années, alors que son partenaire devait jeûner pendant dix jours. Donc, il montre par la même occasion que l'acte de la femme est beaucoup plus grave que celle de l'homme, et que le mal se situe du côté de la prostituée et non de celui qui en a besoin comme exutoire.

La première tentative de sanitarisme dans le domaine de la prostitution remonte à 1360 avec l'établissement d'un bordel en Avignon où les filles étaient largement contrôlées par des médecins et une abbesse. Cette initiative était bien sûr faite pour renflouer les coffres du royaume, et non dans une perspective humaniste, mais elle a tout de même créé un précédent.

Étant donné que le Grand Conseil de 1358 a mentionné que "les pécheresses sont absolument nécessaires à la Terra", mieux vaut organiser et contrôler ces dernières. En effet, à partir du XIVe siècle, on assiste à un effort d'institutionnalisation de la prostitution visant à tirer profit de ce commerce, mais surtout de le restreindre à certaines zones de la ville. Puisque les bordels seront dorénavant considérés comme nécessaires par l'Église, les municipalités et les élites des royaumes, tels le clergé dégénéré de l'époque, en prendront rapidement le contrôle et en tireront évidemment profit.

Une savoureuse anecdote nous dépeint bien comment les codes vestimentaires furent établis. C'est l'histoire d'une reine qui aurait partagé le baiser de paix à l'église avec une courtisane richement parée. Apprenant d'une dame l'erreur qu'elle à commise, demanda au roi d'interdire à des femmes de petites vertus de porter "...de si riches toilettes, de sorte qu'on ne puisse les confondre avec les honnêtes gens." Bien sur, ce n'est qu'une anecdote, mais elle reflète une réalité; les femmes de bonnes vertus veulent se démarquer des courtisanes, et éviter que de telles erreurs se produisent.

On voit donc apparaître au XIVe siècle toute une série de règlements visant à ségréguer les prostituées. Tout d'abord, on commence par restreindre leurs activités à l'île du Rialto, soit le quartier des affaires, et en 1360, on leur interdit de se rendre dans le Rialto Nuovo. De la même façon, on leur permet de racoler dans les ruelles, mais non sur l'artère principale du marché. A partir de cette date est également né un "hôtel public, contrôlé par la République". Ensuite, on leur interdit, à partir de 1438, de franchir le seuil des tavernes, et en 1460, un capitulaire ordonne à toutes les prostituées de rejoindre la maison, sinon elles seraient passibles de 10 livres d'amende et de 25 fustigations.

Tout comme vous avez pu le constater, malgré les interdictions de toutes sortes, la prostitution à traversée les temps. Évidemment, on peut constater que les élites de la société ont souvent prêché leurs intérêts, et que parfois, ils ne mettaient pas toujours en pratique ce qu'ils prêchaient. Certains se sont bien sur enrichis sur le dos de la pauvre putain, mais certains ont aussi réellement fait des efforts pour améliorer son sort. En terminant, notons que les hommes ont souvent condamné la prostitution en public, mais que ces derniers l'ont toujours fort apprécié en privé.

Références
: http://www1.france-jeunes.net/lire-l-histoire-de-la-prostitution-22384.htm
: http://www.idee-k.com/historiart/prostitu.htm

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Larti

Voilà qui est intéressant

Eliebertine

Enfin une maison comme elle le rêvait, elle entra dans la somptueuse demeure regarda le décor de la maison et se dirigea vers la tenancière la salua comme il ce devait et lui glissa quelque mot dans l’oreille, votre maison est splendide je suppose que vous êtes a la recherche de jolies femme de la Flèche suis a votre disposition. Je me décrit un peu je ne suis pas grande et j’aime faire plaisir a mon entourage que de petite chose mais qui fait tellement de bien au autre. Rien que pour votre plaisir et le plaisir des yeux.
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Rien que pour vous et le plaisir des yeux

Aphrodite.

Aphrodite venais juste de finir les arrangements qu'elle vit un sire s'arrêter devant la bâtisse et la regarder intéresser. Aphrodite sourit et lui fit un petit signe de tête de loin, ne voulant pas le forcer a pénétrer dans la demeure. A peine eut t'elle détournée le regarde qu'elle vit une dame entrer d'un pas décider dans la maison. Elle fut tous d'abord surprise de voir une femme mais celle-ci se dirigea droit sur elle et lui murmura quelque mot à l'oreille.

Aphrodite sourit et jetta un bref regard sur la tournure de la Dame. Elle l'avait déjà rencontrer en taverne et se rapeller de sa première penser en la voyant. Elle était bien faite et était mignonne, et surtout elle avait se petit truc en plus. Aphrodite chercher des femmes de sa tournure et lui sourit :

Vous êtes sure de ce que vous me proposez Dame Eliebertine ? Vous n'allez pas le regrettais j'espère, Vous êtes bien sur libre de partir a tous moment. Vous serez payez en fonction de la recette, en part plus ou moins égale avec les autres...

Excusez de vous demandez ça, mais avez vous qu'elle expérience en se domaine ?

Aphrodite vit la dame acquiescer d'un signe de la tête.

Bien je vous laisse quelque jour pour réfléchir, ce n'est pas une décision a prendre à la légère. Il va s'en dire que si vous nous rejoignez vous "m'appartenez" et vous devrez m'obéir un minimum. Je vous rappelle quelque règles qui peut être vous aiderons à prendre votre décision. Pas de travaille derrière mon dos, de la discrétion envers ce lieux, je ne tient pas à voir la maréchaussée ici. Si vous êtes ici, vous n'êtes pas ailleurs.Il n'y a pas possibilité de sélection... oh, et j'ai faillit oublier le plus important : n effet, ce qui se passe derriere les murs, restent derriere les murs! Si vous avez des questions ou des réclamations venez me voir. Sinon bienvenue au Plaisirs d'Aphrodite...

Aphrodite espère que la dame réfléchira a deux fois, ne voulant pas de filles "girouette" ici.
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A votre service...

"Si n'être point cocu te semble un si grand bien, ne point te marier en est le seul moyen..."

--Lys

Lys examina la façade de l'etablissement, une façade discrète bien entendu, rien ne laissait présager ce qui pouvait se passer à l'intérieur. La fille de joie s'arrangea les cheveux et son décolleté pigeonnant, puis rentra. Elle sourit... Elle connaissait cette ambiance intimiste, ces tentures rouges, des fauteuils confortables et...ces fameux escaliers montant sur les chambres. Des miroirs...d'ailleurs elle en profita pour se regarder dans l'un deux et vérifier qu'elle était bien à son avantage.
Une longue chevelure blonde, qui ondulait légèrement, menue elle n'était pas des plus pulpeuses, mais ses yeux dégageaient beaucoup, elle avait un teint de porcelaine et un bouche gourmande. Sûre de son allure, elle se présenta devant la maquerelle. Celle-ci était déjà avec une fille. Une main sur la hanche Lys s'adressa à la tenancière:

Parait que vous cherchez des filles? J'étais dans une maison à Paris avant, j'ai atterris ici et je cherche du travail. Je suis à votre disposition si ça vous intéresse.

--Hank_le_borgne

Hank avait toujours le nez, à défaut de l'oeil, pour sentir les bonnes affaires.

Après avoir poursuivi Rosa et la Blonde à travers tout le royaume il était revenu à La Flèche histoire de se refaire une santé. Bien sûr il s'ennuyait, ça manquait de belles poules à se mettre sous la dent et même sans ça...ça manquait tout court d'argent. Hank préférait avoir un bon morceau de viande plutôt que manger du pain rassis tous les jours.Mais la viande ça coutait cher donc...fallait bien qu'il mette au travail 2 ou 3 petites.

Arpantant les rues il avait remarqué cet établissement et la superbe tenancière.
Hank n'aimait pas rater des occasions aussi poussa t-il la porte et débarqua dans l'univers feutré d'Aphrodite.

B'jour!

Hank séduisait les femmes souvent, c'est comme ça qu'il arrivait à s'en servir après. Sa brutalité venait ensuite pour les tenir un peu plus. Mais des manières il savait en user.

Mademoiselle! Je vous ai aperçu, délicieuse jeune femme et je me suis dis que nous devrions faire connaissance.

Hank s'approche d'Aphrodite tout en lorgant un peu les autres filles présentes.

Eliebertine

Toujours en train de regarde le décor de la maison. Dame Aphrodite un peu surprise de ma venue, m’expliqua le mode de la maison et voir mon expérience dans ce métier. si vieux et si dure a la fois. Oui Madame Aphrodite je suis sur de ce que j’avance et non je ne regretterai pas et question d expérience.Je n’ai pas grand-chose, mais juste le plaisir des autres m’importe. Voilà j’espère que ma réponse vous suffira et je devrais vous parle en privée si c’est possible. A plus tard d’ame Aphrodite et ha oui je ne suis pas marié donc je suis une demoiselle. P.s je ne suis pas une « GIROUETTE »

Effacer le dessin peut être trop découvert lol
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Rien que pour vous et le plaisir des yeux

Aphrodite.

Aphrodite finissait de discuter avec Elibertine :

Citation:

Oui Madame Aphrodite je suis sur de ce que j’avance et non je ne regretterai pas et question d expérience.Je n’ai pas grand-chose, mais juste le plaisir des autres m’importe. Voilà j’espère que ma réponse vous suffira et je devrais vous parle en privée si c’est possible. A plus tard d’ame Aphrodite et ha oui je ne suis pas marié donc je suis une demoiselle. P.s je ne suis pas une « GIROUETTE »

Bien j'aime se genre de discours, bienvenue dans cette établissement Elibertine, je pense qu'on se reverra rapidement en taverne.

A peine eu t'elle finit de discuter avec Elibertine, qu'une jeune femme blonde un peu menue entra avec assurance. Aphrodite la jugea en très rapidement du regard, le teint blême, les lèvres rouge, mais surtout un regarde a vous couper le souffle.

--Lys a écrit:

Parait que vous cherchez des filles? J'étais dans une maison à Paris avant, j'ai atterris ici et je cherche du travail. Je suis à votre disposition si ça vous intéresse.

Aphrodite lui sourit, elle savait ce que chercher les hommes et entre Elibertine plutôt pulpeuse et le regarde de la dame qui en disait long, elle savait qu'elle avait touchée le gros lot.

En effet cela m'intéresse. Pourais-je savoir votre nom ?

Aphrodite s'approcha de la dame pour mieux la jugeait et la regarda sous toute les couture avant de s'arrêter sur son regarde.

Vous êtes fort mignonne mademoiselle. C'est bien dommage de voir de voir un si jolie minois finir comme cela. Quand seriez vous susceptible de commencer ?
Je vous rappelle les règles, même si elle doivent surement être les même qu'a Paris : vous devrez m'obéir un minimum. Pas de travaille derrière mon dos. de la discrétion envers ce lieux. Si vous êtes ici, vous n'êtes pas ailleurs.Il n'y a pas possibilité de sélection...et ce qui se passe derriere les murs, restent derriere les murs, afin de respecter au maximum l'intimité des clients. Sinon bienvenue au plaisir d'Aphrodite.

Vous pouvez vous installée ici, choisissaient vos chambres avant qu'elle soit prise, c'est valable pour vous aussi Elibertine.

Aphrodite sourit à la jeune fille.

limite la photo Elibertine, moi ca me choque pas, mais les censeurs sont strict et ils n'ont pas toujours tord.

Ricks

Ricks, en chemin entre la mairie et poste de police passa devant l'établissement qu'Aphrodite lui avait indiqué, il se demanda combien de temps l'église allait tolérer cette maison close par ici. En tous les cas, il espérait juste que les rideaux resteraient bien clos, afin que personne ne puisse être choqué en passant devant.
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--Jeunehomme

Les occasions se faisaient rares pour le jeune homme de s'amouracher d'une fille une seule nuit par La Flèche ces derniers temps. La plupart des donzelles se trouvaient un mari et s'enfermaient dans une vie vite plan plan avec en ligne de mire, le baptême, le mariage, le(s) bébé(s).

Mais que vaut la vie si elle n'est pas vécue au triple galop, en profitant tel un disciple d'Épicure tous les plaisir que l'existence, le Très Haut et les autres peuvent nous procurer ? Le jeune homme était bien décidé à ne jamais se marier ou avoir de descendance, il aurait de toutes les façons fait un très mauvais père, se détournant d'eux pour profiter de ce qui lui importait plus.

Et ce qui lui importait ce soir au bel éphèbe était de se vider les bourses, celles contenant des écus, et les autres ... Il avait appris par ses amis friands de marivaudage et d'amourette sans lendemain qu'une maison de passe avait ouvert en bordure de village. Il n'eut pas besoin de réfléchir trop longtemps avant de se décider à s'y rendre, en fait cela ne lui pris que le temps de rassembler les écus nécessaires à un aller simple pour l'extase.

Prenant son temps sur les routes sinueuses de l'orée du hameau, notre jeune homme s'égayait à mesure qu'il avançait, s'ouvrant l'appétit, mais pas celui du ventre.

"J'espère qu'il y en aura des jeunes, et pis belles hein, sinon ça vaut pas le coup, je préfère regarder des effeuilleuses pour pas un rond en taverne que devoir assouvir mes désirs entre les bras d'une plus forte que moi ... "

Il repéra vite l'établissement recherché, celui ci offrait au passant une devanture sobre, bien que les chandelles aux fenêtres permettaient clairement de comprendre la nature de cette maison. Il entra sans frapper, et la il vit trois catins, c'était du sacré standing, comme diraient les Anglois. Le breton aperçut un homme à l'allure patibulaire, sûrement un autre client, avec une balafre à la place de l'œil. À la vue de son visage peu gâté par la nature, on comprenait aisément le pourquoi de sa visite : à cœur vide, rien de repoussant. Il jeta un regard aux trois charmantes femmes qui devisaient sans s'être aperçue de son arrivée. Après avoir éludé les deux premières, du fait de leur peu de décence bien qu'assez généreuse dotée, c'est là qu'il posa le regard sur celle qu'il voulait, celle qu'il allait posséder, celle qu'il allait pénétrer corps et âme.

Il s'avança à pas de loup dans le dos de la jouvencelle qui portait d'affriolant bas blancs, et une légère mousseline rose fendue plus qu'au dessus de la hanche. La roideur lui tançait déjà les braies quand il plaqua son bassin contre la croupe de la donzelle, lui faisant sentir son désir. Puis il passa ses bras autour de la svelte taille de la damoiselle qui était petite et semblait frêle. Pourtant en plongeant ses narines dans sa chevelure presque blanche car d'un blond très enfantin, la nubile dont il s'enivrait des fragrances douces amères lui promettait déjà une belle partie fine.

Se voutant un peu afin de pouvoir approcher ses lèvres de l'oreille de la donzelle, il lui murmura dans un souffle :

"Combien tu m'aimes ma toute belle..."

Si la description n'était pas assez précise, le Jeunehomme s'est approché de Lys

Aphrodite.

A peine eut -elle finit avec ses deux nouvelles recrues qu'un sire d'allure assez avenante entra d'un pas décider. Les deux filles n'ayant pas encore eu le temps de s'installée il les salua toute les trois, avant de s'adresser à elle :

Citation:

B'jour! Mademoiselle! Je vous ai aperçu, délicieuse jeune femme et je me suis dis que nous devrions faire connaissance.

Aphrodite lui fit un sourire qui en déstabilisé plus d'un:

Bienvenue au Plaisir d'Aphrodite Messire. Je me présente Aphrodite la propriétaire de ses lieux. C'est avec plaisir que j'espère pourvoir vous être utile. Voulez vous que je vous présentes les filles ?

Aphrodite sortit de derrière le comptoir pour s'approchait du Sire. Elle avait toujours cette démarche avec un léger déhancher lorsqu'elle avançait. Tandis qu'elle discutait avec le premier homme, un autre homme s'était furtivement glissé derrière Lys. Elle ne le remarqua que lorsque que celui parla. Elle tourna vivement la tête et jugea rapidement la situation et sans un mot fit un signe de tête à sa nouvelle recrue en direction de l'escalier, n'ayant pas encore eu le temps de leur montrer les lieux. Elle sourit interieurement, c'était l'occasion de voir ce que valait la donzelle.

Silver.

Silver passait dans la rue lorsqu'elle aperçut la batisse dont lui avait parlé la jeune demoiselle croisée la dernière fois en taverne .

Elle avait particulièrement appréciée la franchise de ... comment déjà oui voilà d'Aphrodite .

Bien décidée a venir voir si elle n'avait pas eu trop d'ennuis , elle jeta un coup d'oeil dans la rue et n'aperçevant personne glissa la tête part la porte avant de rentrer complétement à l'intérieur .
Sa cape sur les épaules elle aperçue plusieurs femmes, hommes ainsi que Aphrodite .
S'approchant d'elle elle lui fit un grand sourire en disant .

"Bonjour Aphrodite . Vous allez bien ? Je passais juste pour voir si vous n'aviez pas eu trop de problèmes avec la municipalité et la police ?
Savoir si tout ce passait bien pour vous ?"
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Tout simplement, mais que dire de plus quand il n'y a rien à conter ...

Silver . Damoiselle Argent. Jeune Flêchoise

Aphrodite.

Apres avoir était surprise par l'arrivée discrète du jeune homme voila qu'une dame entra. Aphrodite releva la tête et la reconnut tous de suite, c'était Dame Silver rencontrer en taverne.

Excusez-moi Messire, je reviens...

Aphrodite se dirigea vers la dame d'un pas calme toujours avec un petit déhanchée discret et la salua.

Citation:

"Bonjour Aphrodite . Vous allez bien ? Je passais juste pour voir si vous n'aviez pas eu trop de problèmes avec la municipalité et la police ?
Savoir si tout ce passait bien pour vous ?"

Bonjour Dame Silver, c'est très aimable de venir me rendre visite.

Aphrodite s'arrêta pour sourire et enchaina :

Pour l'instant je n'ai pas encore eu de problème, et j'espère ne pas en avoir..dit-elle en touchant du bois. Voulez vous restez un instant ?

Aphrodite lui désigna deux trois fauteuil derrière elle

Par contre je ne vous promet pas de pouvoir vous tenir une longue conversation...J'ai deux trois choses encore a faire.

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A votre service...

"Si n'être point cocu te semble un si grand bien, ne point te marier en est le seul moyen..."

Silver.

Aphrodite l'aperçue et lui rendit son salue et lui proposant de rester quelques instants lui disant :

"Par contre je ne vous promet pas de pouvoir vous tenir une longue conversation...J'ai deux trois choses encore a faire."

Silver dans un sourire s'excusa poliment et répondit :

"Je m'excuse mais non merci je passais juste voir si tout allez bien .
Merci encore et bonne chance !"

Elle la salua et sortit aussi discrétement qu'elle était entrée .
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Tout simplement, mais que dire de plus quand il n'y a rien à conter ...

Silver . Damoiselle Argent. Jeune Flêchoise

--Lys

Lys sentait le regard de la tenancière l'examiner avec soin. Elle sourit légèrement...Elle en avait l'habitude. Déjà 4 ans qu'elle exerçait pour le plaisir des hommes, elle espérait que dans une ville de province son boulot serait plus calme. Plein le dos, des tarés en tout genre, de leurs déviances, de leurs complexes, de leurs désirs, de leurs peines... Paris renferme une multitude de débauchés de toutes classes dont les bordels en sont le point de convergence.

Elle allait répondre à sa nouvelle patronne quand le travail arriva plus vite qu'elle ne le pensait. Un homme qui ne perdait pas de temps apparemment... Lys sentait le désir de son client contre elle, quand celui-ci l'entoura de ses bras et lui posa la question tant attendue. Lys capta le regard d'Aphrodite , elle sourit faiblement puis se tourna vers son interlocuteur et se plaqua contre lui. Elle glissa ses bras autour de son cou tout en balançant son bassin contre celui de l'homme de manière suggestive. C'est alors qu'elle sentit une bourse contre elle qui produisait un joli son. Elle glissa alors son bras le long du corps du jeune homme, en prenant soin d'effleurer son entrejambe, puis elle tâta la bourse. D'une voix suave, elle lui dit à l'oreille.

Je t'aime déjà

La catin s'éloigna de son client et se posta devant les escaliers, elle s'appuya sur la rampe d'une manière lascive écartant légèrement les jambes, dans un regard plein de sous entendus elle attendait que l'homme la suive.

--Jeunehomme

À peine le jeune homme eut le temps de l'approcher que déjà la tapineuse lui tâtait les écus. Apparemment, malgré son jeune âge, elle savait y faire avec les hommes ... Ses mouvements lascifs le laissèrent pantois, lui qui déjà s'imagine monts et merveilles entre les bras de cette minime.

Puis elle lui murmura à son tour, après avoir évalué la somme qu'il était prêt à lui donner :

Citation:

"Je t'aime déjà"

Sur ce elle se détacha de lui, et commença l'ascension de l'escalier. Posture aguichante de celle qui sait ce qu'elle veut ... et elle n'en veut pas peu ... Il fut presque gêné de tant de volupté, et pourtant il en avait connu des femmes, elle était là, face à lui et déjà il souhaiterait la prendre tout de suite, dans l'escalier. Mais bon, il ne faut pas gêner les bien pensants et autres âmes bien tournées. Alors il la prit par les hanches, la souleva contre lui, les cuisses sur ses hanches viriles et grimpa vers l'atmosphère tamisée des mansardes et autres chambrées plus intimistes.

À mi parcours, alors qu'il la maintenait toujours contre son abdomen de ses bras puissants bien que peu volumineux, il se mit à lui embrasser la poitrine, la fille avait des formes déjà assez prononcées, mais pas pour autant généreuses non plus. Ses globes mammaires avaient la fermeté que le juvénilité lui offrait mais aussi la douceur de l'abondance dont il se gorgeait. Un clin d'œil complice à celle qui sera sa coquine compagne cette nuit, jusqu'à l'aube ... mais toujours en son cœur. Si elle savait le rendre fou, il remettra du liquide dans sa caisse une autre nuit.

Arrivé enfin à une chambre dont le lambris de la porte était entrouvert, permettant de comprendre que la pièce est inoccupée, l'adonis donna un coup de pied dans cette première, puis entra, sa catin toujours dans les bras, avant qu'il ne la jette sur le lit de petite taille. Il suffirait suffisamment à leurs ébats amoureux et nocturne, il le savait déjà. La contemplant l'œil avide, déjà plein de désir d'elle, il commença à ôter ses vêtements, la lèvre retroussée ...

--Lys

Le jeune homme ne fut pas long, il s'empara de Lys sans grande peine et monta les escaliers avec sa catin contre lui. Lys serrait ses jambes autour de la taille de son client, elle le regardait et se disait qu'elle était bien tombée cette fois ci. Plutôt pas mal, jeune... Il n'avait pas le profil du pauvre bougre qui repousse toutes les filles. La jeune femme, en habituée de la profession, déduit aussitôt que quelque chose devait clocher chez le jeune homme. Encore un taré se dit-elle. Elle y réfléchit durant la montée de l'escalier et dieu sait à quel point tout un tas de choses traversa son esprit. Au beau milieu de ses réflexions, son client lui embrassa la poitrine d'une façon gourmande. Elle sortit alors de son silence, renversant sa tête en arrière tout en riant d'un petit air espiègle. Elle répondit par un sourire coquin au clin d'oeil de son hôte d'une nuit.

Dans la chambre, Lys observait le jeune homme qui commençait à se déshabiller. Elle s'amusa de penser qu'ils n'avaient échanger que trois mots tous les deux. Visiblement il préférait les actes aux paroles. La jeune femme, se leva alors du lit et s'approcha de nouveau de son client. Elle l'aida à enlever ses vêtements quant à elle déjà peut vêtue elle se dit qu'il se chargerait bien de les lui enlever si l'envie lui prenait. Toujours debout, l'homme complètement nu désormais, Lys enroula une jambe autour de la taille de l'éphèbe, gardant l'autre au sol, l'enlaça puis l'embrassa langoureusement. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle mettait du coeur à l'ouvrage, jouant avec sa langue et ses mains n'étant pas en reste. Celles-ci parcouraient le torse du jeune homme avec douceur et sensualité. Elle lui prit alors la main et l'invita jusqu'au lit. Elle le laissa s'allonger et aussitôt lui grimpa dessus à califourchon. Elle le regarda alors droit dans les yeux et lui sourit. Elle se mit alors l'embrasser sur tout le corps prenant soin de ne pas oublier la moindre parcelle de peau. Jouant avec lui, elle bascula à côté de lui et le regardant d'une manière insolente.

--Hank_le_borgne

Citation:

Bienvenue au Plaisir d'Aphrodite Messire. Je me présente Aphrodite la propriétaire de ses lieux. C'est avec plaisir que j'espère pourvoir vous être utile. Voulez vous que je vous présentes les filles ?

Aphrodite. Cela laisse rêveur

Hank pose un regard qui déshabille l'hôtesse du lieu.

Vos filles? Hum moui mais voyez vous Il sort de sa poche un iris violet et magnifique qu'il tend à la belle

C'est plutôt avec vous que je désire parler. Je suis Hank, borgne de mon état comme vous pouvez le constater. Mais pas en reste avec les femmes...Les belles femmes.

Il pose un regard appuyé à Aphrodite.

Aphrodite.

Le sire posa un regard appuyé sur Aphrodite avant de lui répondre. Celle ci avait vu que Lys avait pris en main l'autre client et ainsi porta toute son attention au sire borgne devant elle.

Citation:

Vos filles? Hum moui mais voyez vous ...

Il sort de sa poche un iris violet et magnifique qu'il lui tendit. Aphrodite le pris et le regarda très rapidement. Des cailloux elle en avait vue deux ou trois dans sa vie, mais jamais des aussi gros, ni aussi beau... Elle ne doutaient pas de son authenticité. Elle fixa le sire en posant l'iris sur la comptoir, le laissant continuer.

Citation:

C'est plutôt avec vous que je désire parler. Je suis Hank, borgne de mon état comme vous pouvez le constater. Mais pas en reste avec les femmes...Les belles femmes.

Aphrodite le regarda sachant pertinemment qu'elle ne valait pas ce cailloux... Des questions lui affluèrent à l'esprit pendant le temps qu'elle essayait de deviner les attention de l'homme. Il avait utiliser le terme parler et c'était présenter ce qui n'était pas l'habitude des autres clients... Elle lui sourit, puis demanda avec sa franchise habituelle .

Pourrais-je savoir sce que vous comptez vous offrire avec cet iris ? Je ne pense pas qu'il ne s'agit que de moi...pas pour ce prix...
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A votre service...

"Si n'être point cocu te semble un si grand bien, ne point te marier en est le seul moyen..."

--Jeunehomme

La coquine jouait avec lui, de ses doigts elle explorait son corps avec avidité. Puis elle roula sur le lit et s'allongea, alanguie et désirable, à ses côtés. Elle n'avait encore ôté aucun de ses habits .. il en était content. Son désir déjà au jour, le garçon entièrement nu vint passer une main délicate entre les cuisses de sa compagne, caressant ses bas en remontant vers son entrejambe. Arrivé à l'endroit qu'il visait, il crispa sa main sur son plus intime vêtement, le déchirant d'un habile et puissant mouvement du poignet alors qu'il penchait sa tête vers elle afin de lui mordiller le lobe.

Ayant découvert la partie la plus féminine du corps de la catin, il ne prit pas la peine de lui ôter le reste de sa parure... d'autant plus qu'il n'en avait pas l'envie, à tout le moins pour l'instant. Les préliminaires, ça n'était pas pour lui ...

Sans plus attendre il se plaça au dessus de son corps, de ses genoux il écartera les jambes de la belle, et de sa main il se guida en elle avant que de ne commencer à la besogner hardiment. Il plaça ses mains entre le lit et les épaules de son aimée d'un soir, planta ses ongles dans ses omoplates, s'y agrippant pour danser en elle avec d'autant plus de force. Il plongeait son regard azuré dans la profondeur de celui qui lui faisait face, envoyé par celle qui lui procurait déjà un plaisir frémissant, sans mot dire, contemplant sa beauté juvénile et un peu glacée.

Lèvres entrouvertes, il laissait s'échapper des soupirs déjà courts. De ses yeux il sait comment lui dire qu'il l'aime, qu'il la veut plus que tout au monde ce soir, en en oubliant toutes les autres et se faisant de plus en plus vaillant, jusqu'à remonter sa victime dans le lit à chaque assaut. Il posa ses mains sur la tête de lit et, de toute la puissance des muscles de ses membres supérieurs, il lui imposait impétueusement ses mouvements de balanciers. Il baissa la tête, prenant une position voutée et goûta à nouveau les lèvres de la donzelle avec une douceur infinie, qui tranchait de beaucoup avec la vigueur de ses contorsions.

Post soumis à la censure qui a trouvé qu'il était correct, même pour les âmes les plus "innocentes" ^^ Tant que ça reste dans ce ton, j'espère que l'on pourra continuer, avec la bénédiction du LJD d'Aphrodite.

Eliebertine

Apret que Dame Aphrodite est u fini de discuter avec dame Lys . Elle nous a dit d’aller chercher une chambre ,que d’ailleurs on a pas eu le temps de la chercher qu’un client est entrer. L’ambiance était chaude et les filles bien vêtues et pas trop sophistiqué pour avoir plus facile a ce dévêtir. Elie était prêt à aller chercher une chambre confortable, quand elle a vu un salon . De grands fauteuils avec une table basse au milieu, elle alla s’asseoir dans le plus grand et posât une jambe dénude sur la table basse et ce la caressa tout en regardent au tour d’elle.

P. s Désolée pour le dessin, je ne pensai pas que ça allai faire problème « pour sa que j’ai pris un dessin et pas photo. »
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Rien que pour vous et le plaisir des yeux

Eliebertine

Toujours sur le grand fauteuil. Elie se leva et part enfin à la recherche de la chambre celle qui lui semblait être la plus chaleureuse que les autre. Elle entra dedans et enleva les dras du lit et le changea avec de nouveau. Ceux-ci sentait la lavande parce que dans l’armoire là où il se trouva. La patronne avait soigneusement mis un paquet fraîchement cueillir dans le jardin. Elle avait du goût pour ces filles et surtout pour les clients qui étais parfois grognon parce que les dras ne leur convenait pas et n’étai pas assez doux pour leur jolie fesse. Enfin comme dit le proverbe LE CLIENT ET ROI . elle regonfla les coussins et les replaces sur la tête du lit. Une foi le lit fait, elle ouvrit la fenêtre pour aérer la chambre qui sentait un peut le renfermer « déjà cette odeur me convient pas elle ferra de même pour les Client.» Elle plaça sur la commode de la chambre un bouquet de fleur quelconque pour mètre un peu plus de guetter bien que de la guetter pour le client y a pas beaucoup besoin on fait le reste pour le satisfaire...
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Rien que pour vous et le plaisir des yeux

--Lys

Comme elle s'y attendait, Lys n'avait pas affaire à un tendre. Il ne prit même pas le temps de la parcourir préférant visiblement la bestialité. Lys serrait les dents, sentant les ongles du jeune homme lui transpercer la peau. Celui-ci la regardait dans les yeux, quant à elle, elle avait envie de les fermer et de tourner la tête en pensant à autre chose pour faire passer le temps plus vite. Mais en professionnelle qu'elle était, elle soutenait son regard. Elle enroulait ses cuisses autour de sa taille et ses bras autour de son torse subissant ces assauts du mieux qu'elle pouvait.

La catin avait bien du mal à supporter la violence de plus en plus accrue des mouvements de celui qui était au dessus d'elle, elle se forçait à rester impassible et à ne pas montrer la douleur des meurtrissures qu'elle subissait. Elle se laissa embrasser en y mettant de la conviction. Ses hanches bougeaient aux rythmes effrénés de son partenaire d'une nuit.... ses reins se cambrent afin d'offrir un spectacle inouï à la vue de son client. Elle espère secrètement lui amener le terme du plaisir. La voila aguichante, jouant de ses seins ondulant, se caressant la galbe, bouche entrouverte... sa sensualité vaut le prix de son pesant d'or.... Elle esquisse un frisson, à l'idée des écus elle cherche à coller sa bouche professionnelle à celle de son client.. Elle se déhanche de plus en plus, sa respiration devient de plus en plus saccadée. L'invitation de son corps suffit à exprimer le désir masculin. Le visage du client dessine un début de plaisir, satisfaite de son labeur, son féminin visage enfoui parmi ses long cheveux laisse une vision parfaite à son dominant mâle de se repaitre du spectacle de ses courbes exquises.

--Jeunehomme

La damoiselle jouait des hanches pour le faire plus vite grimper au septième ciel. Elle savait vraiment y faire pour le mettre en émoi, ses jambes contenant le corps du jeune homme dans la plus belle des prisons qui soient. Alors que le souffle du breton se faisait bien trop court et révélait son niveau d'excitation, leurs deux corps s'échauffaient et il sentait bien qu'il n'allait pas résister encore longtemps. C'est pourquoi il eut recours au remède que tous les hommes connaissent dans ce genre de situation, le changement de position. Après s'être enfoncé en elle profondément et y être resté un instant, il l'embrassa avec fougue puis se recula. Mettant fin à leur étreinte un instant, pour faire retomber le soufflet et espérant secrètement qu'elle ressentirait une légère frustration à sa sortie, il la pria de se retourner :

"Coquine, allonge toi sur le ventre, que je puisse admirer ta croupe"

Ce n'était pas le genre de position habituelle pour les dames de bonne extraction, néanmoins lui l'appréciait grandement... elle lui permettait encore plus de dominer sa proie ... Il la contempla, reprenant peu à peu son souffle et ses esprits.

--Lys

Lys espérait ne plus en avoir pour longtemps, elle ne voulait pas passer sa journée sur le même client. Elle le sentait plus frémissant et fébrile au fur et à mesure du balancier que faisaient leurs deux corps. Le moment n'allait pas tarder à venir selon elle quand il stoppa net leur rythme effréné.

Citation:

"Coquine, allonge toi sur le ventre, que je puisse admirer ta croupe"

Lys serra un peu les dents en prenant de soin que son client ne s'en aperçoive pas. Elle se mit alors sur le ventre. La catin se cambra pour inviter le jeune homme puis elle tourna se tête vers lui et lui fit un sourire évocateur.

Hardcor

HarDcor passait par là ..
Il voulait voir cette maison de plus près,arrivé non loin de là,il s'arrêta

Elle est comme je l'imaginé se dis t-il

Il s'asseye sur l'herbe en imaginant ce qu'il pouvait bien si passer,il était pensif..
HarD vit au loin un homme en sortir mais il ne le reconnu guère.
Il partit dans ses pensées pendant quelques instants.
La maison avait l'air plutôt calme de l'extérieur ,finalement une maison comme les autres...mais qui caché bien des mystères

Les minutes défilèrent,HarD repris ces esprits et vis que le soleil était sur le point de se coucher ...il se releva

Oups ! Ma douce m'attend

Il repasserais un autre jour ..pour observer les allées et venus des Flêchois
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--Hank_le_borgne

Hank regardait la belle.Elle ouvrit sa merveilleuse bouche et lui déclara:

Citation:

Pourrais-je savoir sce que vous comptez vous offrire avec cet iris ? Je ne pense pas qu'il ne s'agit que de moi...pas pour ce prix...

Vous???non...quoique...Voyez vous...

Il cherche du regard un endroit discret pour pouvoir discuter avec la tenancière.

J'ai beaucoup d'expérience dans le métier que vous exercez. Pouvons nous parler plus confortablement? Là où..nous serions à l'abri d'oreilles indiscrètes

Aphrodite.

Le borgne la regarda puis lui sourit avant de lui répondre ne baissant le ton :

Citation:

Vous???non...quoique...Voyez vous...

J'ai beaucoup d'expérience dans le métier que vous exercez. Pouvons nous parler plus confortablement? Là où..nous serions à l'abri d'oreilles indiscrètes

Aphrodite se doutais de sa réponse et commencer à regarder d'un mauvais oeil le Sire.

Hum...Suivez moi.

Aphrodite tourna la tête dehors ou elle vit Harcdor faire le guet devant son établissement part la fenêtre entrouverte elle lui lance un baiser avant d'amener le Sire derriere le comptoir ou l'on pouvait voir une petite porte en regardant de pres, elle l'ouvrit et s'y engouffra, elle mener à un salon particulier, plus trnaquille que celui dans la piece commune et surtout plus confortable. Une des ces filles, Roxane une belle rousse, s'y tenait avachit, elle la regarda d'un oeil noire et lui montra la porte avant de lui répondre sèchement:

Je ne te paie pas pour te prélasser toi ! Je veux pas te voir ici seule. Monte dans ta chambre, ou non remplace moi à l'accueille, il faut que je parle au Sire un instant .

Aphrodite regarda la catin partir et fit asseoir le Sire sur un des fauteuils moelleux et alla lui chercher à boire. Elle lui tendit un verre et s'assit en face de lui dans une position un peu aguichante, et lui répondit d'une voix un peu plus dure :

Je vous écoute.
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A votre service...

"Si n'être point cocu te semble un si grand bien, ne point te marier en est le seul moyen..."

--Jeunehomme

Le jeune était tellement impatient de la posséder à nouveau qu'il se jeta sur elle avec empressement et de façon un peu désordonnée dès qu'elle se fut retournée. Il planta son nez dans sa masse de cheveux et huma à nouveau profondément le parfum de paradis qui s'échappait de cette dense et belle chevelure blonde. Il lui susurra alors à l'oreille ces mots d'amour qu'aiment à entendre les femmes, quelque soit la grandeur de leur vertu :

"Qu't'es belle coquine ... je t'aime ... j'te veux mienne ... rien qu'à moi."

Se guidant à nouveau en elle, il effleura sa croupe du bout de ses doigts baladeurs avec une lenteur exagérée. Puis il s'enfonça dans ses chairs avec force et s'apesantit sur elle de tout son poids afin de lui couper le souffle. Il ne levait plus que son bassin afin de s'abaisser en elle. Le breton, dont la fougue n'était égalée que par le désir qu'il éprouvait pour cette jeune damoiselle belle et douée, faisait jouer ses doigts sur ces flancs. Il passait parfois ses mains sous sa compagne et allait y palper les attributs féminins pectoraux qu'il commençait déjà à tant apprécier chez elle.

Malhabilement, il tentait de lui lécher le lobe de l'oreille à chaque fois que ses mouvements, rendus bestiaux par la position, lui permettaient de passer à portée. Il se plaisait aussi à remonter un peu plus les cuisses de la catin dans le lit, la forçant à s'écarteler alors que lui-même lui faisait subir de rudes assauts.

Le plaisir qu'il ressentait était autant dû au corps et aux mouvements de sa belle qu'à la position qu'il avaient adoptée, faite de contraintes et d'asservissement. À chaque instant il s'approchait de la délivrance .. Mais pour cela il fallait encore qu'elle lui fasse sentir son angoisse. Il déposa une main ferme sur le cou de son aimée d'une nuit comme s'il allait l'étrangler, bien qu'aucune pression n'était exercée par ses doigts.

Il reprit ses murmures :

'Je te f'rais crier..."

--Roxanelarousse

Une femme à la chevelure flamboyante et ondulée, quelques habits provocants et peu de rouge sur les lèvres de son visage poudre, plus vulgaire que les autres, le regard dur et ferme, sortit de la pièce ou venez d'entrée Aphrodite. Tout en elle est joli. Insolent peut-être, mais joli. Ses traits sont bien dessinés, ses yeux sont vifs et intelligents, et les courbes de son corps s'harmonisent parfaitement.

Citation:

Je ne te paie pas pour te prélasser toi ! Je veux pas te voir ici seule. Monte dans ta chambre, ou non remplace moi à l'accueille, il faut que je parle au Sire un instant .

Elle n'avait pas apprécier les paroles d'Aphrodite a sont égare c'était de sa faute peu être si les clients était timide! Elle marmonna quelque insulte a l'égard d'Aphrodite en passant près d'elle et fit un sourire charmeur au sire qui l'accompagnait, avant de sortir elle était passé très près de lui et lui avait caresser l'entre jambes d'un geste doux mais discret.

La voici maintenant au comptoir. Elle s'y accoua dans une position a la fois attirante et nonchalante. Elle attendit en rêvassant.

Eliebertine

Elie avait remarque l’homme à l’extérieur assis sur l’herbe en train de rêvasser. Oui mais rêvasser a quoi, elle était curieuse, mais n’osa pas aller à sa rencontre . Le vit ce mètre debout et regarder une dernière fois la façade de la maison . Son regard donnait l’aire de revenir une fois quand le temps lui enchantera. Le soleil venait de se couche elle prit quelque bougie les déposât sur la puits de fenêtre les allumât pour faire une lumière plus chaleureuse et plus tamiser . la maison avais une autre allure dans la nuit on pouvais voir ce qui ce passait dans la maison mais rien de trait vulgaire. Juste des femmes habiller un peu provocante et des allures de dame d’extérieure.

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Rien que pour vous et le plaisir des yeux

--Jaquemart

Jaquemart était un être lugubre. Jaquemart était un enfant, moins de vingt ans, un joli visage, des lèvres qui ressemblait à des cerises, de charmants cheveux noirs, la clarté du printemps dans les yeux; il avait tous les vices et aspirait à tous les crimes. La digestion du mal le mettait en appétit du pire. C'était un gamin tournée voyou, et le voyou devenu escarpe. Il était gentil, efféminé, gracieux, robuste, mou , féroce. il avait le bord du chapeau relevée a gauche pour faire place à une touffe de cheveux. Sa veste était de la meilleur coupe, mais râpée. Il vivait de voler violemment.

Jaquemart c'était une gravure de mode ayant de la misère et commettants des meurtres. La cause était qu'il aimait être élégants mais qu'une bonne toilette couté cher...
Frisé, pommadé, pincé à la taille, des hanches de femmes, un buste d'officier, le murmure d'admiration des filles du boulevard autour de lui, la cravate savamment noué, une fleur à la boutonnière; tel était ce mirliflore du sépulcre.

Jaquemart poussa donc la porte de cette établissement. Si vous vous demandez pourquoi, avec sa frimousse il n'allait pas seulement en taverne ? hé bien sa réputation de brigands le précede et surtout, les femmes de cette établissement n'attendront rien de plus de lui et c'est ce qu'il voulait.

Il s'approcha de la rousse au comptoir et luid it d'un aire charmeur :

Bonjour ma belle, c'est toi qui t'occupe de cette endroit ? y'a t'il des donzelle de libre ?

Il s'approcha de la rousse, et lui mit la main sur les fesses...

Quoique, la patronne ferait bien l'affaire aussi...

Hardcor

HarDcor retourna devant la maison une fois la lune au plus haut..il vit ces quelques bougies sur la fenêtre.Il se réinstalla a sa place sur l'herbe,et contempla cette silhouette..La lune éclairait le jardin ou il c'était posé.Il ne savait toujours pas ce qu'il y avait à l'intérieur, sa l'intrigue..

Que font-ils là dedans ? se demanda t-il

HarD sortit une petite fiole de sa poche,bu une gorgée et la rangea,en pensant que cela lui donnerais peut être du courage!
Mais cette gorgée n'y changea rien,il ne pouvais toujours pas entrer.

Il aimait simplement se poser pour contempler cette immense demeure et rêvasser a toutes sortes de choses.Il pensait à se qui pouvait bien se passer dans cet endroit,à tous ce qu'on en dit en taverne,à ces rumeurs qui circulent,à tous ces hommes qui entres malheureux et qui sortent avec un sourire béa ...Sourire qu'il voyait sur tous ces visages satisfaits qui revenais de cet endroit.

Le vent se mit à souffler,HarD avait un peu froid,il décida de repartir chez lui.

Je vais attraper froid,je n'ai toujours pas ma chemise pensa t-il

Il se releva et commença à marcher en direction de sa maison..il y allait rejoindre sa douce.
Il jeta un dernier coup d'œil sur cette magnifique ....demeure ^^ et continua sa route tranquillement.
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--Hank_le_borgne

Citation:

Je vous écoute.

Hank plonge son regard dans celui de la belle. Ils sont à l'écart et il sait qu'il va pouvoir tout déballer.

Il prend le verre qu'elle lui tend.

Vois tu ma belle...je te tutoie mais finalement on est un peu pareil tous les deux. Mon travail c'est un peu le tien et ici ca pourrait être un peu chez moi.

Il pose ses bottes pousssiéreuses sur un tapis en velour laissant un amoncellement de boue séchée dessus.

Tes filles peuvent se rebeller ou avoir moins d'entrain à la tache. Pour ça Hank est là. Je sais les tenir tu comprends?C'est mon métier. On pourrait donc s'associer toi et moi. Crois moi avec Hank elles ne feront pas les difficiles. Elles savent.

Il la regarde encore plus intensément, jouant de son charme.

Eliebertine

Elie revit l’homme mystérieux de nouveau assis sur l’herbe .Elle ce recoiffât légèrement, alla cherche une couverture et lui a porta . Lui pris la main sens arrière penser et l’entrènat dans la maison .
Alors messire pourquoi ne pas entrer pour voir ce qui ce passe a l’intérieur au lieux de vous geler a la porte venez vous asseoir sur ce doux fauteuil et boire un verre que voici.
Elle alla cherche un verre de vin et lui offrit avec gentillesse.
A vôtres santé messire j’espère qu’ il va vous plaire ce vin c’est la patronne de cette établissement qui la fait avec les pommes de son jardin .
Elle regardât l’homme et lui sourit visiblement il n’avais guerre l’habitude de ce genre d’établissement. Elle alla chercher une flûte de paon et commença une jolie mélodie.

http://www.youtube.com/watch?v=9TOYiq6Dj-w&feature=related

P.S désolée pour les autres instrument
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Rien que pour vous et le plaisir des yeux

Hardcor

HarD était enfin rentré dans cette demeure..il s'assit sur le fauteuil,il leva les yeux pour regarder les plafonds si haut .
Il bu une gorgée de ce très bon vin
Il est délicieux
Cette musique l'aida a se décontracter..il était moins tendu.
Il écoute la douce mélodie,sourit tout le long...Il aimait le son qui en sortait .
Pendant la musique il visita la demeure des yeux,il vit un immense escalier qui donnait sur plusieurs portes.Une femme attendait tout en haut.Il y avait un immense tableau derrière elle,il ne vit exactement pas ce qu'il avait dessus.
Le temps passe vite ici !
La nuit était tombé depuis longtemps..HarD ne voulait pas louper le dîner avec sa douce.Il se leva sourit à la Dame,posa son verre de vin sur une petite table dans l'entrée.
Remercié la patronne pour moi,son vin est délicieux

Une fois devant la porte HarD s'incline et s'en va .
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Engherran

Une fin de journées comme les autres ... Engherran et Malo s'approchèrent de la porte lorsque celle-ci s'ouvrit sur la personne d'HarD.
Engherran sembla surpris de voir cet homme sortir de ce genre d'établissement mais essaya de ne rien montrer. Tout en s'écartant pour laisser passer l'homme, Engherran le salua.

"Je vous salue HarD ..."

Un peu embarrassez et ne sachant trop quoi dire il poursuivit :

"Savez vous si Dame Aphrodite est en sa demeure, je souhaiterai la remercier pour avoir accueilli ce jeune garçon ?"

Engherran fit un pas de côté et désigna le jeune Malo. Ce dernier répondit rapidement :

"Malo le Meur, écuyer du chevalier Engherran ..."

Le jeune garçon échangea un regard avec Engherran ... Un regard qui semblait en dire beaucoup pour les deux intéressés.

Puis Engherran reprit :

"Je vous souhaite la bonne soirée HarD."

--Lys

Décidément, sa première journée dans ce bordel commençait fort. Finalement elle préférait les clients âgés ils étaient moins longs et même parfois plus respectueux. Quand le jeune homme lui susurra ce qu'il pensait surement être des mots doux, Lys réprima un sourire d'agacement.

*Au lieu de parler, termine ton affaire!* pensa t-elle.

Reprenant les "hostilités", il s'affala alors sur elle, la catin ploya un peu sous le poids de son client. De plus la position rendue inconfortable par la violence du jeune homme, Lys commençait à fatiguer et elle se disait qu'elle devrait lui faire payer un peu plus que prévu...
Le rendez-vous durait plus longtemps qu'elle ne l'avait prévu, l'ambiance de la pièce devenait de plus en plus malsaine, et la jeune fille frêle sentait qu'elle n'allait pas pouvoir supporter les lourds assauts et le poids de son partenaire. Elle luttait déjà contre la défaillance de son corps quand son client lui posa une main sur gorge. Aussitôt, les yeux de Lys s'écarquillèrent, certes il ne serrait pas son étreinte autour de sa fine gorge mais elle savait ce que ça signifait. Son souffle devenait plus court, et l'angoisse montait. Sa vue se troubla puis plus rien...elle s'était évanouie.

--Jeunehomme

Le jouvenceau s'excitait à chaque instant plus à mesure qu'il l'entreprenait. Puis à un moment, sous ses doigts, il sentit le pouls de sa compagne faiblir. Lui jetant un rapide regard, il vit qu'elle avait perdu connaissance. Cessant alors tout mouvement, il caressa ses cheveux dorés. Il était certes frustré, et déjà l'idée d'aller se payer une autre femme naissait dans son esprit. Mais il avait passé un agréable moment avec elle. Et là, il avait envie de boire.

Laissant courir sa langue sur le cou de sa catin, il s'extirpa de son corps à regret. Elle semblait paisible ... et cela ne devait pas souvent être le cas pour elle. Il laissa cinq écus et un petit mot sur la table de chevet, écrit à la va vite.

5 écus seulement car pour travail inachevé, paye incomplète. Mais tu es prometteuse coquine, je reviendrai et cette fois tu recevra ton dû, avec même un petit supplément.

Il se rhabilla sans un bruit puis redescendit l'escalier. Dans le salon, il salua une jolie rousse et vit une brune qui raccompagnait un garçon encore plus jeune que lui à la sortie. Il lui semblait reconnaître Hardcor. Pour sûr que cette venue allait faire jaser en ville. Et le breton n'allait pas être en reste ce soir pour en rajouter.

Il partit d'un pas décidé vers les tavernes de La Flèche, content de son après midi. En espérant que la soirée, sûrement arrosée, continuerait sur la même lancée.

--Roxanelarousse

Roxane venait a peine de prendre sa place à l'accueille, sortie de son troue par Aphrodite, qu'un gamin de belle tournure vint la voire et lui posa une main sur les fesses:

Citation:

Bonjour ma belle, c'est toi qui t'occupe de cette endroit ? y'a t'il des donzelle de libre ? Quoique, la patronne ferait bien l'affaire aussi...

Elle fut surpis de voir une si jeune ici, et encore plus de le voir si direct, mais elle n'était pas du genre a se laisser intimider et saisit le sire par le col se collant contre lui.

Je suis la pour toi, mon beau...

Elle était contente de voir enfin un sire de si bonne tournure mais en descendant les mains sur son torse vers sa ceinture elle sentit vite un couteau a sa ceinture...

Hum...vous êtes contente de me voir ou vous êtes armée Messire...

Roxane se serra encore plus contre le sire afin qu'il sente ces formes pulpeuse et sensuelle. Elle voulut l'amener directement à l'étage mais elle vit Elibertine descendre et fit la moue:

Vous préférez peu être les petites brunettes ?

Elle n'attendit pas la réponse du sire le voulant pour elle. Elle s'arrêta et regarda autour d'elle.
Roxane vit celle-ci sortir et entrer avec un jeune homme charmant lui aussi, elle lui sourit et lui envoya un baiser...Elle regarda Eliebertine lui servir du vin avant de lui jouer de la flute, elle se dit que certain devait être bien vue par Aphrodite...

Citation:

Remercié la patronne pour moi,son vin est délicieux

Elle sourit au sire qui partait et se retourna vers l'homme qui l'ait aborder et l'embrassa sauvagement dans l'escalier. Alors qu'elle voulut l'amener à l'étage son nouveau client, un autre sire accompagnée d'un gamin entra. Il avait l'etre de connaitre l'ami d'Aphrodite car il le salua un peu géné de le croiser en se lieu. Apres l'avoir saluer il déclama tous haut:

Citation:

"Savez vous si Dame Aphrodite est en sa demeure, je souhaiterai la remercier pour avoir accueilli ce jeune garçon ?"

Citation:

"Malo le Meur, écuyer du chevalier Engherran ..."

Roxane souffla voulant rester un peu avec sa nouvelle proie...Elle fit un sourit provoquant au chevalier...

Dame Aphrodite est dans la pièce dernier le comptoir si vous le souhaitez Messire...Excusez moi j'ai des choses a faire.

Elle entraina le sire en haut des escaliers après lui avoir discrètement et sensuellement caresser l'entre jambe. Elle l'amena ensuite dans se chambre voisine de celle de Lys.

Engherran

Citation:

Dame Aphrodite est dans la pièce dernier le comptoir si vous le souhaitez Messire...Excusez moi j'ai des choses a faire.

Très bien ... répondit le Chevalier visiblement déplacé dans ce genre d'endroit.

Engherran se dirigea vers la porte située derrière le comptoir et frappa trois coups secs. Il fit un pas en arrière et attendit une réponse.
Malo quant à lui ne perdait pas une miette du spectacle et regardait, avec une attention que ne lui connaissais pas le Chevalier, les filles d'Aphrodite.

Silver.

Silver passa à nouveau devant la batisse d'Aphrodite et elle décida de revenir lui passer le bonjour et se renseigner sur la continuation de son établissement suite aux différenst de certains villageois .

Passant discrétement la tête elle dut s'écarter pour laisser passer HarD elle s'étonna un peut de sa présence avant de se glisser à l'intérieur .
Elle reconnue quelques unes des filles d'Aphrodite qu'elle avait déjà croisée et aperçue au fond de la salle Engherran et le jeune Malo qui n'en perdait pas une miette, elle sourit et voyant que ceux-ci attendaient devant une porte supposa qu'il attendaient pour parler avec la propriétaire .
Elle s'approcha et se laissant choir dans un fauteuil de velours prune à proximité les salua d'un sourire amusé .

"Bonjour bonjour Malo et Engherran . Comment allez vous ? Je m'étonne de vous trouver là, vous venez parler ... affaires ?"
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Tout simplement, mais que dire de plus quand il n'y a rien à conter ...

Silver . Damoiselle Argent. Jeune Flêchoise

Engherran

Citation:

Bonjour bonjour Malo et Engherran . Comment allez vous ? Je m'étonne de vous trouver là, vous venez parler ... affaires ?

Engherran se tourna vers Silver. Il semblait surpris par cette remarque.

Non point du tout ... je venais simplement remercier Aphrodite des services qu'elle a rendu à ce garçon. Je comptais également passer vous remercier. Sincèrement. Engherran s'inclina pour remercier Silver. Et ce genre d'établissement n'est pas vraiment ceux que je fréquente ou aime fréquenter ... contrairement à Malo semble-t-il.

Le jeune garçon se retourna et sembla se rendre compte de son attitude. Le rouge lui vint rapidement aux joues.

Excuser moi Messire, dit-il en baissant la tête.

Engherran sourit à l'attitude du jeune garçon ...

Silver.

Citation:

Non point du tout ... je venais simplement remercier Aphrodite des services qu'elle a rendu à ce garçon. Je comptais également passer vous remercier. Sincèrement. Et ce genre d'établissement n'est pas vraiment ceux que je fréquente ou aime fréquenter ... contrairement à Malo semble-t-il.

Ce n'est vraiment rien, Malo est vraiment très sympathique polie et compagnie . En aucun cas un dérangement .

Elle laissa échappa un rire discret à la dernière remarque et sourit en voyant l'adolescent qui décidement était déjà grand pour son âge, rougir sous les dires de Engherran .
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Tout simplement, mais que dire de plus quand il n'y a rien à conter ...

Silver . Damoiselle Argent. Jeune Flêchoise

Aphrodite.

Aphrodite toujours assise en face du Sire, attendit sa réponse. Celui ci plongea son regard dans le sien et elle fut un instant troublé de ce qu'elle pouvait lire dans ces yeux mais se ressaisit vite et ne laissa rien paraitre.

--Hank_le_borgne a écrit:

Vois tu ma belle...je te tutoie mais finalement on est un peu pareil tous les deux. Mon travail c'est un peu le tien et ici ca pourrait être un peu chez moi.

Aphrodite le regarda posée ses pieds crasseux sur son beau tapis et y laissait une longue trace de boue sans que cela ne dérange les Sire. Elle fronca les sourcilles mais ne dit rien, elle n'allait pas le mettre nue pied quand même.Elle laissa le Sire continuer son explication.

Citation:

Tes filles peuvent se rebeller ou avoir moins d'entrain à la tache. Pour ça Hank est là. Je sais les tenir tu comprends?C'est mon métier. On pourrait donc s'associer toi et moi. Crois moi avec Hank elles ne feront pas les difficiles. Elles savent.

Aphrodite regarda le Sire d'un mauvais oeil et se redressa pour se pencher en avant afin d'être plus près du visage du Sire. Là elle lui susurra à l'oreille avec une voix suave :

Insinuerais vous que je ne sais pas m'y prendre pour me faire respectet de mes filles Messires ?

Aphrodite laissa une pause de quelque seconde avant de reprendre d'une voix normal.

Donc votre metier et de surveiller les filles alors...hum...expliquez moi de qu'elle maniere vous vous y prenait. Je ne veux pas qu'il leur arrive du mal quand meme mais certaine merrite d'etre un peu plus ferme avec elle...Mais bon, je suis comme une mère pour elle...

Aphrodite ria mais n'eut pas le temps de poser toutes les questions qui lui bruler les levres car trois coups secs furent frapper à la porte. Elle se leve brusquement s'excusa aupres du Sire et ouvrit la porte en disant d'une voix seche :

Roxane, qu'est ce que...

Elle s'arreta net dans sa phrase et sa voix d'un coups perdit sa fermeté a la vue du sire Engherran, et du p'tit breton. Elle jeta rapidement un coup d'oeil dans la pièce et vit Dame Silver avachit sur un fauteil, Hardcor sortir ainsi que le jeune homme dont s'était vite occupez Lys. Elle vit Roxane occuper avec une jeune garçon. Elibertine en bas assis pas très loin de Dame Silver. Elle sourit a Engherran.

Bonjour Messire Engherran, bonjour p'tit breton, excusez moi je croyait que c'était quelqu'un d'autre.

Elle salua Dame Silver au loin:

Bonjour Dame ! Et bah que me vaut cette visite a tous les trois ? Messires j'aurais crue ne jamais vous voire entrée dans cette établissement !
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A votre service...

"Si n'être point cocu te semble un si grand bien, ne point te marier en est le seul moyen..."

Silver.

Citation:

Bonjour Dame ! Et bah que me vaut cette visite a tous les trois ? Messires j'aurais crue ne jamais vous voire entrée dans cette établissement !

Aphrodite.

Silver. a écrit:

"Si n'être point cocu te semble un si grand bien, ne point te marier en est le seul moyen..."

Silver.

Citation:

En tous cas cela me touche de vous entendre dire que cette endroit et sympathique, peu de femmes sont de votre avis ! Venez donc vers moi que je vous serve un verre...

J'accepte avec plaisir le verre et oui pour moi c'est un endroit sympathiques surtout quand je suis seule et libre comme l'air ! Dit elle en souriant

Citation:

T'es pas un peu jeune toi ! sois patient petit, quand tu aura l'age, retourne me voire, on m'occupera de toi.

Engherran

Citation:

Bonjour Messire Engherran, bonjour p'tit breton, excusez moi je croyait que c'était quelqu'un d'autre.

Eliebertine

Aphrodite.

Aphrodite servit un verre a Silver et sourit a Engherran :

Citation:

Nous ne souhaitons pas vous dérangez trop longtemps, nous étions venus vous remerciez de l'accueil que vous avez offert à ce jeune garçon.

C'est gentil, mais c'est surtout Dame Silver qui faut remercier, moi je me suis contenter de le faire tomber...

Citation:

Nous allons vous laissez à vos affaires ... Bonne journée Dame et au plaisir de vous revoir. Damoiselle Silver à bientôt, j'espère

"Si n'être point cocu te semble un si grand bien, ne point te marier en est le seul moyen..."

--Jaquemart

Jaquemart sourit à la rousse lorsque celle ci se colla à lui et lui murmura à l'oreille :

Citation:

Je suis la pour toi, mon beau...

Citation:

Hum...vous êtes contente de me voir ou vous êtes armée Messire...

Citation:

Vous préférez peu être les petites brunettes ?

Eliebertine

Aphrodite.

Citation:

Tu veux quelque chose a boire ? heum je suis Elie on c’est juste vue mais jamais parlez quel drôle de circonstance pour ce parlez tu ne trouve pas

"Si n'être point cocu te semble un si grand bien, ne point te marier en est le seul moyen..."

--Roxanelarousse

Citation:

Voyons voire ce que tu vaut ma belle...

Silver.

Citation:

Dame Silver, aimez vous notre vin ?

Hum .. Oui je vous remercit, il est excellent !
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Tout simplement, mais que dire de plus quand il n'y a rien à conter ...

Silver . Damoiselle Argent. Jeune Flêchoise

Aphrodite.

Aphrodite regarda Silver qui regardait de partout autour d'elle, et qui se retourna vivement en l'entendant prononcer quelque mots :

Citation:

Hum .. Oui je vous remercit, il est excellent !

"Si n'être point cocu te semble un si grand bien, ne point te marier en est le seul moyen..."

Silver.

Silver sourit en entendant la réponse d'Aphrodite :

Citation:

Veux tu que je te fasse visiter l'établissement ?

Oui avec plaisir, enfin si ça ne te dérange pas !
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Tout simplement, mais que dire de plus quand il n'y a rien à conter ...

Silver . Damoiselle Argent. Jeune Flêchoise

Aphrodite.

Aphrodite sourit en entendant Silver lui répondre sans aucune gène un sourire aux lèvres :

Citation:

Elle avait aimée la réaction de la jeune dame n'ayant aucune crainte ni un petit geste de recule lorsqu'elle s'approcha de près.

Citation:

Oui avec plaisir, enfin si ça ne te dérange pas !

Cf Chicago le film

"Si n'être point cocu te semble un si grand bien, ne point te marier en est le seul moyen..."

Silver.

Citation:

En bas il y a deux autres salon dont un privée que je ne vous ferez pas visiter car une personne m'y attend. Le comptoir et la pièce principale vous connaissez...

Eliebertine

Elie était toujours avec Lys qui revenait a elle ,elle la laissait un peut seule pour allez recherche de quoi la déshydrater. Elle devait mourir de soif sa fessait un moment qu’elle était dans cette chambre avec cet homme. Une fois la carafe d’eau pleine elle lui porta dans la chambre,lui tendit le verre. Elle le pris but une gorger. Elie ce rassoit a cote d’elle mais avent elle avait mis son peignoir sur le lit.
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Rien que pour vous et le plaisir des yeux

Aphrodite.

Aphrodite finit la visite et sourit a Silver :

Citation:

Eh bien merci pour la visite alors et vu que vous êtes attendue je vais vous laisser rejoindre cette personne ! Merci encore pour le verre et la visite

Mais de rien, bon retour et faites attention même si la route ne doit pas etre très longue jusqu'a chez vous.

Aphrodite la regarda partir. Tous ses filles étant plus ou moins occupée elle écrivit un mot et plaça une petite cloche dorée a cotée :

Citation:

En cas d'absence secouez la cloche...

Elle alla ensuite rejoindre le sire borgne qui l'attendait.

Excusez moi Messire.

Elle retourna s'asseoir devant lui e continua la conversation comme si elle ne s'était pas absenté.

Donc pour en revenir a nos moutons, enfin plutôt à mes filles, elle sont plutôt disciplinée, m'enfin, elle peuvent ne pas le rester et il vrai que vos service pour cela m'intéresse en haut point, le seule problème, c'est que vous êtes plus fort que moi, et que d'après ce que j'ai put comprendre vous avez une poigne de fer, qui me dit que vous ne vous en prendrais pas non plus à moi ?
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A votre service...

"Si n'être point cocu te semble un si grand bien, ne point te marier en est le seul moyen..."

--Hank_le_borgne

Tout d'abord Aphrodite sembla troublée puis elle lui dit:

Citation:

Donc votre metier et de surveiller les filles alors...hum...expliquez moi de qu'elle maniere vous vous y prenait. Je ne veux pas qu'il leur arrive du mal quand meme mais certaine merrite d'etre un peu plus ferme avec elle...Mais bon, je suis comme une mère pour elle...

Hank va pour répondre mais la belle se lève et va s'occuper de ses clients.
Il attend et jauge du regard l'endroit. pour sûr qu'il y a de l'argent à se faire. Enfin elle revient.
Elle est plus avenante et Hank ne regrette pas sa compagnie. Au contraire.

Citation:

...il vrai que vos service pour cela m'intéresse en haut point, le seule problème, c'est que vous êtes plus fort que moi, et que d'après ce que j'ai put comprendre vous avez une poigne de fer, qui me dit que vous ne vous en prendrais pas non plus à moi ?

Hank part dans un rire gras où toutes ses dents semblent se montrer.

Allons la belle. Hank est un gentil. Mais Hank sait comment tenir une fille par la douceur puis par la fermeté si nécessaire. Quand à toi...tu n'as rien à craindre de moi. Ou peut être que j'en veuille à ton coeur et ton corps.
Ce que je veux, vois tu, c'est une association.Mon savoir faire contre ta maison, logé, nourri et....parfois satisfait par les soins de tes filles ou les tiens.

Il rit encore laissant son fameux charme agir. Redoutable quand on essaye de le berner Hank sait parfaitement comment séduire dès les premières rencontres. Il est un mélange du chaud et du terrible, Rosa s'en souvient encore et même si elle a pu filer, elle sait qu'à La Flèche et même en Anjou, elle doit le redouter.
Il revient vers Aphrodite et attend, calé au fond du fauteuil, sa réaction.

Eliebertine

Elie regardât lys toujours allonger sur le lit qui a du mal à ce remettre de cette horrible événement. Lui caressa doucement les cheveux pour la rassurer quelle est pas seule et si elle voulais . Je suis là pour n’importe quoi . Mais j’aimerais qu’elle me parle parce que sa commençais a être long et je commence à ne plus savoir quoi faire . je me leva et ouvrit la fenêtre pour faire entrer de l’aire frai l’assis sur le lit et lui donna de quoi manger un bout . c’est un sandwich avec quelque morceau de viande finement coupé et quelque morceau de tomate coupe en tranche qui venais du jardin . Tien sais pour toi manger il le faut sinon tu ne pourras te remettre vraiment sens rien dans le ventre le temps que tu manger moi je vais prendre un peu l’aire parce que je commence a suffoquer dans cette chambre tu veux venir avec moi peut etre ?
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Rien que pour vous et le plaisir des yeux

Aphrodite.

A peine eut -elle finit sa phrase que le sire partit dans un rire gras montrant au passage sans ses dents. Aphrodite fit une légère grimace.

--Hank_le_borgne a écrit:

Allons la belle. Hank est un gentil. Mais Hank sait comment tenir une fille par la douceur puis par la fermeté si nécessaire. Quand à toi...tu n'as rien à craindre de moi. Ou peut être que j'en veuille à ton coeur et ton corps.
Ce que je veux, vois tu, c'est une association.Mon savoir faire contre ta maison, logé, nourri et....parfois satisfait par les soins de tes filles ou les tiens.

Sur ses mots il s'adossa au fauteil et fit un sourire charmant a Aphrodite. Celle ci le regarda de haut d'abord. Le sire avait quelque charme et savait s'en servir, elle s'en méfia donc et reprit chaque parole dans sa tete. Elle avait besoin de se sire mais elle s'en méfier...Et ce mélange était fort dérangeant...

Donc vous voulez que le gite le couvert et la possibilité d'avoir accès a mes filles...*elle s'arretta un instant* ,et à moi, a votre convenance...en échange de vos service...

Elle se leva et marcha avec sa démarche nonchalante et son léger déhancher qui séduisait plus d'un, elle ne voulait pas prendre de descision hâtive et rester sous le regard sur Sire la troublée legerment. Elle si dit qu'un homme ici ne serait pas de refus, surtout qu'elle savait que les bordels attirerait pas forcement les gens de bonne tournure...Et avec un homme pas loin elle serait en sécurité. Elle fit face au Sire et s'approcha de lui avant de prendre une respiration...

Bien, marché conclu.

Elle lui sourit.

Suivez moi je vais vous montrez votre chambre.

Elle l'amena à l'étage et lui ouvrit la porte d'un chambre spacieuse mais le germent moins coquette que celle de ses filles, elle était plus "masculine" et se dit que cette chambre lui ira bien. Elle était entre la sienne et celle de ses filles, en face de l'endroit ou pouvait patienter les clients si besoin ai. Elle le laissa debarasser ses affaires.

Quand cvous auriez finit venez me voir je vous présenterais les filles.

Sur ces mots elle le laissa et descendit les escaliers pour retourner dans la salle principale.
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A votre service...

"Si n'être point cocu te semble un si grand bien, ne point te marier en est le seul moyen..."

--Lys

Lys avait repris conscience grâce aux soins d'Aphrodite et Eliebertine. Elle reprenait ses esprits certes mais elle permettait aussi à son corps de se reposer. Elle avait encore des courbatures, et ne pouvait faire de mouvements trop brusques. Lys était très reconnaissante à Aphrodite et Eliebertine de prendre soin d'elle.
Elle allait désormais un peu mieux quand elle accepta de suivre Eliebertine pour prendre un peu l'air.

En compagnie de sa collègue et amie, elle descendit les marches de l'escalier central. Elle vit alors Aphrodite et lui adressa un sourire pour lui montrer qu'elle allait beaucoup mieux.

--Hank_le_borgne

Hank était aux anges mais restait aussi méfiant qu'en arrivant.
Ca y était la belle lui avait dit oui et il avait même une chambre pour lui.

Une belle chambre et des filles sous la main. Que demander de plus?

Il décida de s'installer et de se reposer.

Si la belle avait besoin de ses services pour virer un homme qui a trop bu ou tenir un peu mieux une des filles, elle saurait où le trouver.

Hank n'avait qu'un sac. Mais il contenait le plus important, sa bourse et son tabac.Quelques habits. Une arme ou deux.

Il le posa sur un petit banc en velours et entreprit de fumer immédiatement. La fenetre à demie ouverte il regarda la rue au dehors.

Eliebertine

Elie était contente que Lys avais accepte de descendre avec moi, qu'elle prenne un peut l'aire sa lui ferais le plus grand bien . Elie restât encore un peu prêt de Lys pour s'assure qu'elle est pas une nouvelle chute.
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Rien que pour vous et le plaisir des yeux

Aphrodite.

Aphrodite vit Eliebertine et Lys passait devant elle pour allez dehors elle s'écria :

Minute vous deux! il faut que je vous parle !

Aphrodite leur indiqua les moeulleux siege pourpre pour qu'elle prenne place. Elle y alla et s'assit devant elle. Elle porta d'abord son regard sur Lys.

Ca va ? tu t'en remait ? explique moi ce qui c'est passé...En suite je vous présenterais un nouveau membre de l'établissement. Vous aviez put remarque qu'on homme borgne ma parler un instant aujourd'hui. Et bin, il va venir vivre ici, il sera la pour nous protéger en quelque sorte des clients plus ou moins respectueux, mais ils sera là aussi pour vous surveiller...vous remettre a votre place quand quelque chose ne va pas ...en échange vous devrait le servir quand il le souhaite. C'est son seul salaire avec le gite et le couvert.

Avez vous des questions ?
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A votre service...

"Si n'être point cocu te semble un si grand bien, ne point te marier en est le seul moyen..."

Eliebertine

Elie avais vus Aphrodite nous appelez et nous montrât les moelleux siège pourpre. Elie et Lys allais s'assoir et l'écoutât ,elle nous parlait d'un homme borgne qu'Elie avais entrevue discuter avec Aphrodite . IL va s'installer ici dit elle il sera la pour nous protéger en quelque sorte des clients plus ou moins (i)respectueux, mais ils sera là aussi pour vous surveiller...vous remettre a votre place quand quelque chose ne va pas ...en échange vous devrait le servir quand il le souhaite. C'est son seul salaire avec le gite et le couvert.
Elie pensa dans sa tête sa c'est pas une mauvaise idée un homme a nos cote il ne se passera plus ce qui viens de ce passer avec lys la pauvre elle doit encore être sous le choc. tout en la regardent .
Avez vous des questions ?
heum pour ma part pas pour le moment mais si j'en ai une je n'hésiterais pas a vous la poser dame Aphrodite .lui répondit avec un grand sourir de soulagement. Question de surveillance pas besoin pour moi je sais me tenir

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Rien que pour vous et le plaisir des yeux

--Lys

Lys s'assit aux côtés d'Eliebertine. Elle écouta avec attention Aphrodite, un léger sourire se dessinant sur son visage au fur et à mesure des paroles de sa patronne.

Oui, c'est une bonne chose...ça pourra nous éviter quelques désagréments.

A ces mots, la catin grimaça en repensant à son dernier client. Elle réfléchit une minute puis déclara.

Oui oui...décidément c'est une bonne idée! Vous nous le présenterez prochainement?

--Jaquemart

--RoxaneLaRousse a écrit:

Citation:

Voyons voire ce que tu vaut ma belle...

Ayant mis un peu de temps a répondre je remet une partie de l'historique pour ne pas se perdre... j'espère que je serais pardonner...

Jacquemart regarda la belle rousse se dévétire devant lui. Il ma désirait plus que tous. Il voulut la prendre par la taille pour en finir tous de suite avec la belle mais celle -ci se dégagea en un tour de rein l'obligeant a patienter. Il sentait de plus en plus le désire venir en lui et commencer à haleter face à la belle qui venait d'ôter avec tous l'élégance permis à une fille de son rang ses bas. Là elle le poussa et il s'affala sur le lit qui se courba sous son poids. Elle se mit à le déshabiller.

N'en pouvant plus il ôta lui même ses vêtement et retourna avec douceur la catin pour lui embrasser tous le corps. Il frémissait de plaisir rien qu'en pensants a ce qui allez se passer ensuite. N'ayant plus de corsage il lorgner a présent avec plaisir ses seins rond et généreux avant d'y gouter. Malgré son jeune age ils avaient toujours aimée sentir le corps des femmes contre lui, peu être était t'il précosse, ou seulement s'était-il écouter bien avant les autres...

La réflexion entre les bras de sa maitresse d'un soir s'acheva vite car son désir pour elle lui avait vite fait retrouver ses esprits. il la caressa un instant. Jacquemart était un amant très doux et attentionnée, malheureusement il préférer donner cette affection à des filles de petite vertus, comme cette rousse si sauvage. Apres maintes caresse et baiser, sentant la catin se décontractée surement rassurée de ne pas être tombée sur un barbare il lui fit sentir son désir pour elle avant d'assouvir ses tensions. Il fut très doux avec elle du début à la fin. La rousse savait y faire pour lui donner entière satisfaction, elle bouger au moment ou il le falait, l'embrasser la ou il le voulait sans qu'un mot ne fut échangée. Il se dit qu'elle connaissait vraiment son métier. Malgré le plaisir qu'elle lui donna il ne penait pas vraiment lui rendre la appareil, n'étant pas sa promise...

Une fois son désire assouvit il l'embrassa à pleine bouche et lui murmura :

Tu sais que je t'aime toi ? Je reviendrais te voir ma belle...

Il se rhabilla lui jeta 20 écus et la salua avant de redscendre. Il passa devant les autres filles de la maison et la salua en baissant son chapeau et sorti comme si il venait d'acheter un pain.

Aphrodite.

Apres avoir expliquer la situation a Eliebertine et Lys elle fut étonnée de voire sur leur visage plus de soulagement que de la crainte vis a vis du borgne. Eliebertine fut la première a prendre la parole :

Citation:

heum pour ma part pas pour le moment mais si j'en ai une je n'hésiterais pas a vous la poser dame Aphrodite. Question de surveillance pas besoin pour moi je sais me tenir

Aphrodite sourit a ses mots mais n'eut pas le temps de répondre car Lys répondit perdu dans de sombres pensée :

--Lys a écrit:

Oui, c'est une bonne chose...ça pourra nous éviter quelques désagréments.

Oui oui...décidément c'est une bonne idée! Vous nous le présenterez prochainement?

Ne vous en faite pas vous le connaitrais bien assez tôt comme ça.

Elle vit un client sortir en les saluant et se retourna vers Lys qui n'avait pas l'aire dans son assiette.

Bon, Eliebertine, peut tu aller chercher Roxane s'il te plait, et dit lui de mettre une tenue descente, vous deux aussi d'ailleurs, je vous amène voir la pièce de théâtre qui se prépare, vu que les les clients se fond rare autant passé du bon temps, et se faire connaitre en se mellant à la populasse !

Elle se retourna vers Lys :

Tu es sur que ca va ma belle ? tu veux me dire ce que ce rustre t'a fait ?

Aphrodite était contente d'avoir engagée le borgne car ainsi elle n'avait plus a être dure avec ces filles et pouvaient un peu les chouchoutées comme une vrai mère.
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A votre service...

"Si n'être point cocu te semble un si grand bien, ne point te marier en est le seul moyen..."

Eliebertine

Il est vrai qu’un homme a domicile serra plus sur il pourra répare la toiture enfin sa c’est qu’un détail ce serras plus sur d’être surveiller par un homme que une femme pas de discrimination mais chacun son rôle. Elie sorti de c’ est penser quand dame Aphrodite lui a demande d’allez cherchez Roxane une belle femme à la chevelure flamboyante et ondulée, et de lui demande de s’habille descente et de faire pareil . je vous amène voir la pièce de théâtre qui se prépare dit elle Aphrodite . Il est vrais que les clients manque par certains moment . Elle a la cherche Roxane la salue et lui dit ce que dame Aphrodite lui a demande.

Bon, Eliebertine, peut tu aller chercher Roxane s'il te plait, et dit lui de mettre une tenue descente, vous deux aussi d'ailleurs, je vous amène voir la pièce de théâtre qui se prépare, vu que les les clients se fond rare autant passé du bon temps, et se faire connaitre en se mellant à la populasse !

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Rien que pour vous et le plaisir des yeux

--Hank_le_borgne

Hank s'était reposé et il avait fumé. Une belle chambre, des filles sous la main, peut être de bons bénéfices plus tard. Il était bien content.

Il descendit dans le hall voir un peu les marchandises. Blondes ou brunes.

Ses bottes encore maculées de boue. Et ses habits poussiéreux. Il allait falloir faire laver tout ça. Et rapidement.
Peut être même voir un tisserand pour un costume plus beau. Pourquoi pas?

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[RP] Au Plaisir d'Aphrodite