--Le_paternel
Le Paternel
[Flashback, 3 jours après la prise de la mairie de Chinon]
Ils avaient pour la plupart fuit le soir même du pillage. Lui était resté à Chinon,menant tranquillement sa vie. Il n'était pas pressé, et il avait une autre tâche à exécuter. Le Paternel avait le soir même retrouvé Gandrel, pour discuter. Dangereux de les voir ensemble après le pillage, mais la question était trop pressante. Pourquoi donc lui avoir interdit de tuer Othilie?? On disait d'ailleurs que celle ci avait peut être cru reconnaitre le visage de son ami. Heureusement que ceci n'était pas une preuve, et que Gandrel avait parfaitement joué le coup au spectacle. Jamais les chinonais ne sauraient qui avait fait le coup. Et il était sur qu'au vote, les chinonais hurleraient la relaxation pour Gandrel.
Bref, l'assassin avait passé toute la journée du lendemain à pester contre Gandrel. et son sens de la noblesse. Mais hier soir, il avait réussi à le voir, en prenant quelques précautions pour être sur qu'on ne l'ait pas suivi ou vu. Ils avaient longuement discuté, sans pour autant élever la voix. Les explications de Gandrel comme quoi il ne voulait pas d'effusion de sang car ils n'étaient pas des tueurs et qu'il fallait respecter les villageois ne l'avait pas vraiment convaincu. Il avait d'ailleurs argué qu'il pouvait concevoir ceci, mais seulement si aucun risque n'était pris. Ce qui n'avait pas été le cas.
Le blondinet avait ensuite dis que c'était fait, et que tout se passerait bien. Le Paternel en convenait bien, mais n'en restait pas moins furieux. Jusqu'à ce que Gandrel lui parle d'un petit soucis concernant sa personne. Il avait reçu un courrier il y avait deux jours, juste après l'attaque de Chinon. Un courrier menaçant le blondinet de révéler ses agissements si on ne lui donnait pas la moitié du butin du pillage de Chinon. Le blondinet s'était contenté avec un sourire de donner le parchemin au Paternel qui l'avait lu rapidement. Il sourit légèrement lui aussi.
Le lieu où ils devaient donner l'argent était clairement indiqué dans le parchemin. Une clairière en dehors de Chinon. Le seul avantage pour Gandrel, était qu'il connaissait l'auteur du chantage. Un seul pouvait être au courant, en dehors de sa bande. Et cette fois ci, il convenait qu'il était dangereux de le laisser parler à tout le monde de leur groupe. Le Paternel avait acquiescé en silence et reposé le parchemin. Le lendemain matin, il se promenait aux alentours de Chinon, repérant les lieux. Rapidement, au cas où... On n'était jamais assez prudent dans la vie.
Gandrel et lui s'étaient ensuite échangés quelques missives, anodines pour qui les intercepteraient, mais assez claires pour tous les deux afin de mettre au point la marche à suivre. Nul doute que venir à 15 à la clairière ne servirait qu'à faire fuir le maître chanteur qui courrait gueuler partout ce qu'il savait. Non, il faudrait faire dans la discrétion. Et en comptant sur le fait que le maître chanteur ne viendrait probablement pas seul. Mais Le Paternel doutait fortement qu'il sache que la troupe abritait un assassin de métier. Gandrel lui offrait l'opportunité de se défouler, après la déception Othilie.
Le soir venu, le Paternel s'enveloppa dans sa cape noire, et suivit de loin Gandrel. Puis avant que le chemin ne s'enfonce dans les bois, il coupa à travers champ. Il put ainsi pénétrer dans le bois sans se faire voir par un éventuel guetteur à la lisière. C'est ce qu'il aurait fait s'il était le maître chanteur. Il avançait rapidement, habitué aux arbres et aux buissons entravant sa route. Ses chausses ne faisaient pas de bruit, et il put atteindre la clairière assez rapidement.Observant chaque arbre et chaque buisson, aux aguets, l'assassin épiait le moindre mouvement. Il put ainsi constater que le maître chanteur avait pris soin de faire venir au moins deux complices. Ils étaient de chaque côté de la clairière, et semblaient tenir un poignard à la main.
Gandrel venait d'atteindre le centre de la clairière, et il se posa sur une souche, le gros sac à côté de lui. Que des écus, comme l'avait demandé le maître chanteur. Gandrel et le Paternel auraient été bien en peine pour remplir le sac, l'argent ayant déjà quitté Chinon, le soir du pillage. Des chutes de métal avaient pris la place des écus. Mais pour l'instant, le maître chanteur se faisait remarquer par son absence. Jusqu'à ce qu'il sortit de derrière un arbre. Le Paternel ne l'avait pas vu jusque la, et il espéra qu'ils n'étaient que trois. Gandrel commençait alors à parler, assez fort pour couvrir les petits bruits de la forêt. Sans tergiverser plus longtemps, l'assassin avança à pas feutrés vers l'un des deux complices, et arrivant dans son dos, plaqua sa main sur sa bouche en tournant rapidement sa tête. De l'autre main, son poignard jaillissait pour venir ouvrir proprement sa gorge. Du travail de pro aurait dit son mentor. Il en avait chié pour arriver jusqu'ici, mais il était maintenant plutôt fier de sa technique de combat. Tout doucement, il déposa le cadavre sur les feuilles et les branches mortes. Quelques craquements, mais Gandrel couvrait le bruit, et le principal avait été l'absence de mouvements.
Tranquillement, l'assassin enlevait l'arc de son épaule et encochait une flèche. Le blondinet faisait durer la conversation, pour éviter que le maître chanteur ne parte rapidement avec le sac. Il commençait d'ailleurs à perdre patience, et un sourire apparut sur les lèvres du Paternel. L'arc... Son arme de prédilection. Peu de bruit, et l'on pouvait frapper à distance. La corde se détendit avec un petit bruit sec. Le sifflement de la flèche perça dans l'air, passant au dessus du maître chanteur qui s'arrêta net de parler. La flèche déchiqueta l'oreille du deuxième guetteur avant de rentrer profondément dans son crâne. Dans un petit cri étranglé et surpris, il tomba de la branche sur laquelle il se tenait, et chût à terre.
Le maître chanteur clapit avant de faire volte face. Il semblait hésiter entre partir en courant ou se précipiter sur le blondinet. Le Paternel sortit alors d'un bond de l'ombre des arbres pour tenir en joue de son arc, nouvelle flèche encochée, le brigand.
Dommage Nissan. Tu aurais du engager plus de mercenaires pour te protéger. Faire chanter Gandrel? Le Paternel eut un petit rire. Nous avons d'organiser des pillages, qui se sont tous soldés par des réussites. Les chinonais sont totalement perdus, ils croient que c'est le diable lui même qui a aidé quelques pilleurs à prendre leur mairie. Ils croient que nous avons eu un coup de chance. Ils croient que nous étions trop peu organisés et que leur défense de la ville était suffisante, était exemplaire. Ils croient que ce pillage est impossible, et pourtant, il est la. Il désigna de la tête le sac aux pieds de Gandrel. C'était une bonne idée de prendre le butin après notre coup. Je comprends pourquoi tu n'as pas prévenu les chinonais tout de suite. Tu as été trop gourmand, mais comme tous les brigands ou presque.
La flèche parti pour se loger dans le genoux de Nissan. Un petit cri suivi le craquement de l'os, et le Paternel de s'avancer vers l'homme désormais par terre tranquillement.
Pars, je te rejoins.
L'autre hurlait alors que le blondinet hochait la tête et prenait les devants, rassuré quand à l'achèvement du travail. L'assassin dégaina son épée, et sans plus de cérémonie, l'abattit violemment sur le bras qui soutenait le corps de Nissan. Nouveau hurlement alors que le bras et la main se détachaient du reste du corps dans une gerbe de sang. Il fit tourner son arme dans ses deux mains, comme pour jauger le prochain coup. Le tibia qui restait se prit le plat de l'arme de plein fouet. Nouveau craquement. La cheville formait maintenant un angle bizarre, et l'on devinait plus ou moins les hurlements de Nissan, qui se faisaient de plus en plus gargouillis infâmes. Non pas que le Paternel était friand de tueries macabres et sanguinolentes, mais il fallait qu'il passe ses nerfs sur quelqu'un, et Nissan était la au bon moment.
Le plat de l'épée fracassa le nez de l'homme, envoyant son corps démantelé et désarticulé quelques pas plus loin. Il ne criait plus. Seul un gémissement, telle la plainte d'un loup blessé emplissait l'air. Et l'assassin frappa à nouveau le visage, encore et encore. Il frappait de plus en plus fort, déchargeant toute sa haine contre le malheureux. L'on ne reconnaissait plus le visage du pauvre Nissan, tellement il était défiguré. Son corps ne respirait plus depuis longtemps quand le Paternel planta son épée au sol pour souffler. Voila qui n'aurait guère plus à son mentor. S'acharner sur un homme de cette façon, n'était pas le fait d'un assassin, mais celui d'une brute sanguinaire. Les nerfs, les nerfs... Il souffla pour se contrôler, puis rengaina son épée. Il fit alors demi tour en prenant soin de ne pas marcher dans la mare de sang qui enveloppait à présent le cadavre. Il enlèverait sa cape en arrivant en ville.
Il rejoint rapidement Gandrel qui ne lui posa aucune question. L'assassin avait toujours été professionnel. Le Paternel et lui arrivèrent bientôt en vue de Chinon, et ils partirent chacun de leur côté. Et alors qu'il poussait la porte de sa chambre, le Paternel sursauta sur le seuil en voyant que son lit était déjà occupé. Il referma la porte rapidement avant de percer de son regard celui de la jeune femme.
Mais que faites vous ici ma chère... Ou devrais je plutôt vous appeler Alena?
[HRP/ Nissan37, Yamaha et Faucon ont tous trois été éradiqués par LJD Gandrel, pour multicompte. Par conséquent, je me suis permis de jouer leur mort /HRP]
[Flashback, 3 jours après la prise de la mairie de Chinon]
Ils avaient pour la plupart fuit le soir même du pillage. Lui était resté à Chinon,menant tranquillement sa vie. Il n'était pas pressé, et il avait une autre tâche à exécuter. Le Paternel avait le soir même retrouvé Gandrel, pour discuter. Dangereux de les voir ensemble après le pillage, mais la question était trop pressante. Pourquoi donc lui avoir interdit de tuer Othilie?? On disait d'ailleurs que celle ci avait peut être cru reconnaitre le visage de son ami. Heureusement que ceci n'était pas une preuve, et que Gandrel avait parfaitement joué le coup au spectacle. Jamais les chinonais ne sauraient qui avait fait le coup. Et il était sur qu'au vote, les chinonais hurleraient la relaxation pour Gandrel.
Bref, l'assassin avait passé toute la journée du lendemain à pester contre Gandrel. et son sens de la noblesse. Mais hier soir, il avait réussi à le voir, en prenant quelques précautions pour être sur qu'on ne l'ait pas suivi ou vu. Ils avaient longuement discuté, sans pour autant élever la voix. Les explications de Gandrel comme quoi il ne voulait pas d'effusion de sang car ils n'étaient pas des tueurs et qu'il fallait respecter les villageois ne l'avait pas vraiment convaincu. Il avait d'ailleurs argué qu'il pouvait concevoir ceci, mais seulement si aucun risque n'était pris. Ce qui n'avait pas été le cas.
Le blondinet avait ensuite dis que c'était fait, et que tout se passerait bien. Le Paternel en convenait bien, mais n'en restait pas moins furieux. Jusqu'à ce que Gandrel lui parle d'un petit soucis concernant sa personne. Il avait reçu un courrier il y avait deux jours, juste après l'attaque de Chinon. Un courrier menaçant le blondinet de révéler ses agissements si on ne lui donnait pas la moitié du butin du pillage de Chinon. Le blondinet s'était contenté avec un sourire de donner le parchemin au Paternel qui l'avait lu rapidement. Il sourit légèrement lui aussi.
Le lieu où ils devaient donner l'argent était clairement indiqué dans le parchemin. Une clairière en dehors de Chinon. Le seul avantage pour Gandrel, était qu'il connaissait l'auteur du chantage. Un seul pouvait être au courant, en dehors de sa bande. Et cette fois ci, il convenait qu'il était dangereux de le laisser parler à tout le monde de leur groupe. Le Paternel avait acquiescé en silence et reposé le parchemin. Le lendemain matin, il se promenait aux alentours de Chinon, repérant les lieux. Rapidement, au cas où... On n'était jamais assez prudent dans la vie.
Gandrel et lui s'étaient ensuite échangés quelques missives, anodines pour qui les intercepteraient, mais assez claires pour tous les deux afin de mettre au point la marche à suivre. Nul doute que venir à 15 à la clairière ne servirait qu'à faire fuir le maître chanteur qui courrait gueuler partout ce qu'il savait. Non, il faudrait faire dans la discrétion. Et en comptant sur le fait que le maître chanteur ne viendrait probablement pas seul. Mais Le Paternel doutait fortement qu'il sache que la troupe abritait un assassin de métier. Gandrel lui offrait l'opportunité de se défouler, après la déception Othilie.
Le soir venu, le Paternel s'enveloppa dans sa cape noire, et suivit de loin Gandrel. Puis avant que le chemin ne s'enfonce dans les bois, il coupa à travers champ. Il put ainsi pénétrer dans le bois sans se faire voir par un éventuel guetteur à la lisière. C'est ce qu'il aurait fait s'il était le maître chanteur. Il avançait rapidement, habitué aux arbres et aux buissons entravant sa route. Ses chausses ne faisaient pas de bruit, et il put atteindre la clairière assez rapidement.Observant chaque arbre et chaque buisson, aux aguets, l'assassin épiait le moindre mouvement. Il put ainsi constater que le maître chanteur avait pris soin de faire venir au moins deux complices. Ils étaient de chaque côté de la clairière, et semblaient tenir un poignard à la main.
Gandrel venait d'atteindre le centre de la clairière, et il se posa sur une souche, le gros sac à côté de lui. Que des écus, comme l'avait demandé le maître chanteur. Gandrel et le Paternel auraient été bien en peine pour remplir le sac, l'argent ayant déjà quitté Chinon, le soir du pillage. Des chutes de métal avaient pris la place des écus. Mais pour l'instant, le maître chanteur se faisait remarquer par son absence. Jusqu'à ce qu'il sortit de derrière un arbre. Le Paternel ne l'avait pas vu jusque la, et il espéra qu'ils n'étaient que trois. Gandrel commençait alors à parler, assez fort pour couvrir les petits bruits de la forêt. Sans tergiverser plus longtemps, l'assassin avança à pas feutrés vers l'un des deux complices, et arrivant dans son dos, plaqua sa main sur sa bouche en tournant rapidement sa tête. De l'autre main, son poignard jaillissait pour venir ouvrir proprement sa gorge. Du travail de pro aurait dit son mentor. Il en avait chié pour arriver jusqu'ici, mais il était maintenant plutôt fier de sa technique de combat. Tout doucement, il déposa le cadavre sur les feuilles et les branches mortes. Quelques craquements, mais Gandrel couvrait le bruit, et le principal avait été l'absence de mouvements.
Tranquillement, l'assassin enlevait l'arc de son épaule et encochait une flèche. Le blondinet faisait durer la conversation, pour éviter que le maître chanteur ne parte rapidement avec le sac. Il commençait d'ailleurs à perdre patience, et un sourire apparut sur les lèvres du Paternel. L'arc... Son arme de prédilection. Peu de bruit, et l'on pouvait frapper à distance. La corde se détendit avec un petit bruit sec. Le sifflement de la flèche perça dans l'air, passant au dessus du maître chanteur qui s'arrêta net de parler. La flèche déchiqueta l'oreille du deuxième guetteur avant de rentrer profondément dans son crâne. Dans un petit cri étranglé et surpris, il tomba de la branche sur laquelle il se tenait, et chût à terre.
Le maître chanteur clapit avant de faire volte face. Il semblait hésiter entre partir en courant ou se précipiter sur le blondinet. Le Paternel sortit alors d'un bond de l'ombre des arbres pour tenir en joue de son arc, nouvelle flèche encochée, le brigand.
Dommage Nissan. Tu aurais du engager plus de mercenaires pour te protéger. Faire chanter Gandrel? Le Paternel eut un petit rire. Nous avons d'organiser des pillages, qui se sont tous soldés par des réussites. Les chinonais sont totalement perdus, ils croient que c'est le diable lui même qui a aidé quelques pilleurs à prendre leur mairie. Ils croient que nous avons eu un coup de chance. Ils croient que nous étions trop peu organisés et que leur défense de la ville était suffisante, était exemplaire. Ils croient que ce pillage est impossible, et pourtant, il est la. Il désigna de la tête le sac aux pieds de Gandrel. C'était une bonne idée de prendre le butin après notre coup. Je comprends pourquoi tu n'as pas prévenu les chinonais tout de suite. Tu as été trop gourmand, mais comme tous les brigands ou presque.
La flèche parti pour se loger dans le genoux de Nissan. Un petit cri suivi le craquement de l'os, et le Paternel de s'avancer vers l'homme désormais par terre tranquillement.
Pars, je te rejoins.
L'autre hurlait alors que le blondinet hochait la tête et prenait les devants, rassuré quand à l'achèvement du travail. L'assassin dégaina son épée, et sans plus de cérémonie, l'abattit violemment sur le bras qui soutenait le corps de Nissan. Nouveau hurlement alors que le bras et la main se détachaient du reste du corps dans une gerbe de sang. Il fit tourner son arme dans ses deux mains, comme pour jauger le prochain coup. Le tibia qui restait se prit le plat de l'arme de plein fouet. Nouveau craquement. La cheville formait maintenant un angle bizarre, et l'on devinait plus ou moins les hurlements de Nissan, qui se faisaient de plus en plus gargouillis infâmes. Non pas que le Paternel était friand de tueries macabres et sanguinolentes, mais il fallait qu'il passe ses nerfs sur quelqu'un, et Nissan était la au bon moment.
Le plat de l'épée fracassa le nez de l'homme, envoyant son corps démantelé et désarticulé quelques pas plus loin. Il ne criait plus. Seul un gémissement, telle la plainte d'un loup blessé emplissait l'air. Et l'assassin frappa à nouveau le visage, encore et encore. Il frappait de plus en plus fort, déchargeant toute sa haine contre le malheureux. L'on ne reconnaissait plus le visage du pauvre Nissan, tellement il était défiguré. Son corps ne respirait plus depuis longtemps quand le Paternel planta son épée au sol pour souffler. Voila qui n'aurait guère plus à son mentor. S'acharner sur un homme de cette façon, n'était pas le fait d'un assassin, mais celui d'une brute sanguinaire. Les nerfs, les nerfs... Il souffla pour se contrôler, puis rengaina son épée. Il fit alors demi tour en prenant soin de ne pas marcher dans la mare de sang qui enveloppait à présent le cadavre. Il enlèverait sa cape en arrivant en ville.
Il rejoint rapidement Gandrel qui ne lui posa aucune question. L'assassin avait toujours été professionnel. Le Paternel et lui arrivèrent bientôt en vue de Chinon, et ils partirent chacun de leur côté. Et alors qu'il poussait la porte de sa chambre, le Paternel sursauta sur le seuil en voyant que son lit était déjà occupé. Il referma la porte rapidement avant de percer de son regard celui de la jeune femme.
Mais que faites vous ici ma chère... Ou devrais je plutôt vous appeler Alena?
[HRP/ Nissan37, Yamaha et Faucon ont tous trois été éradiqués par LJD Gandrel, pour multicompte. Par conséquent, je me suis permis de jouer leur mort /HRP]