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[RP] Eglise de bayonne

Watelse
Un gémissement suivi d'une mélopée de plaintes :
A moi... à moi! Sottes greluche, ne voyez vous pas que je me meurs?!
Un râle:
Elle m'a abandonné, la filoute...

Il saisit la main d'Anna, comme s'il tordait le cou d'une vulgaire poule.
Je saigne, je tremble... Serait-ce la fin de mes jours?!

Et l'homme gémit encore éxagérement. Il se tortille. Il pousse de légers cris de souffrances feintes. Soudain, une jeune femme s'avance et ses yeux s'illuminent d'un feu nouveau, un feu démenciel. Il s'élance vers elle, titubant:


Maaaaaaaaaaaa proooooooooomise! Ma dulcinée! La vivante qui doit laver les pêcher de la défunte...

Il saisit quelques fleurs qu'il venait d'arracher de la tombe de la Blanche et lui fourre dans le décolleté. Il empoigne sa taille fermement comme un chien qui a enfin prise sur le frêle lapin qu'il chassait, ses yeux fous fixant les prunelles de l'ingénue.

Demain sera le jour de nos espousailles, et le essuiera l'affront de Blanche! Raaaaaaa Blanche, si je la trouve, je l'égorge comme la truie qu'elle est!
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Anna295
Anna concentrée sur Messer Watelse ne vit pas la jeune femme s'approcher d'eux. Elle entendit à peine Solore s'inquiéter de l'état mental de celui qui mettait tant de trouble dans le cimetière.
Elle entendit bien vaguement l'appel à l'aide de Messer George Watelse...
Sottes greluches lui traversa bien rapidement l'esprit mais elle ne pensa pas à s'y arreter. Cette pensée fut tout de suite stoppée par une vive et soudaine douleur à la main.

Jettant un oeil sur celle ci elle se rendit compte que c'etait Watelse qui la serrait à lui en faire craquer les os. Il demandait si ses derniers jours etaient arrivés...

Aucunemment Messer! quand je vois avec quelle force vous me saisissez! Je doute que ce soit le dernier sursaut du moribond! Cessez donc de geindre de la sorte, j'ai l'impression d'avoir devant moi un cochon que l'on égorge...


A peine ces derniers mots prononcés elle le vit s'élancer vers une jeune fille, fleurs en main.

Mais.. Mais ... il fonce droit vers son decolleté ! le malotru!C'est une honte!!!!

Messer! Vous n'etes pas en taverne là! Veuillez mesurer vos ardeurs je vous prie! Vous dites qu'elle est votre promise? Cela reste encore à prouver! Veuillez vous écarter de cette jeune personne que nous fassions connaissance! Et surtout par Aristote! Calmez vous donc un peu! Restez digne!


Se tournant vers Solore

Il perd la raison? il faut le mettre en securité! et pour lui et pour les Bayonnais! Ne peut on le faire arreter par mesure de sécurité?

Elle réalisat soudain que si la jeune femme était bien la promise... il allait falloir la soutenir pour supporter un homme pareil. La pauvre enfant n'avait pas l'air capable de vivre un enfer pareil, avec ce visage ingénu et ces yeux innocents...
Lysee
Lysée regarde les gens, et l'homme qui disait qu'il était agonisant et proche de la mort. Il ne le semblait pas cela dit, et ne fut pas la seule a le remarqué, car la femme qu'il avait empoigné doutait elle aussi. Tout se passa trop vite pour elle, et elle n'en avait pas l'habitude. Sa mère lui avait toujours dit de fuir les gens bruyants, car ils apportaient la discorde et le grondement du seigneur. C'était la seule fois où Azina lui avait parlé de Dieu. Cela était-il vrai ? Et eux était-ce assez bruyant pour qu'elle puisse les ignorer ?

-Je...

Elle rougit légèrement et lança un regard a la femme qui était devant elle.

-Puis-je vous être d'une aide quelconque ? Bredouilla-t-elle a voix basse, mais suffisamment haut pour qu'elle puisse l'entendre. Je m'appelle Lysée.

Elle se demanda si elle devait prendre garde à l'homme qui semblait un peu étrange à son gout, et qui venait de faire un geste totalement déplacé.Elle retira les fleurs de son décolleté et les remit dans les mains de...

-Et quel est votre nom à vous ?
Solore

Accroupie au côté de Sieur Watelse, ignore maintenant la foule qui s’est encore approchée de l’homme étalé par terre. Ignore aussi les murmures et les mots désagréables envers Sieur Watelse et s’empresse de lui défaire son col pendant qu’Anna continue de lui parler.


Observe l’homme attentivement et retient à peine une grimace de douleur lorsqu’il se met à serrer la main de Anna très fort. Hou, que ça doit faire mal ! Mais non, notre vaillant lieutenant de l’Ost en a vu d’autre, et la voici qui réagit en infirmière sur un champ de bataille.

Ecoute l’homme qui délire, qui se précipite vers une timide jeune femme et lui glisse le bouquet de fleurs cassées entre les deux seins. Ne perd pas de vue l’homme, écoute ses paroles et soudain est prise d’un doute affreux. Regarde la tombe de Blanche Watelse et se demande … Non ! Non, non ! Cela ne serait pas possible !

Hoche la tête aux dernières paroles de Anna. L’homme va bel et bien finir enfermé s’il continue.


Ne peux s’empêcher de jeter à nouveau un coup d’œil sur la tombe … L’homme est-il vraiment fou ou … cette façon qu’il a de parler de sa femme comme si elle était encore vivante, la dérange fortement.

Se demande ce qu’en pense vraiment Anna. Quelque chose lui semble étrange et la vue de la pauvre fille accaparée par Watelse ne lui laisse présager rien de bon.


Se penche vers la pierre tombale et pense tout haut :

- Etes-vous bien là, Dame Blanche Watelse ?


Puis se rapproche de Anna, lui murmure :

- Trente ans ... Ca fait loin, mais nous devrions en retrouver trace dans le registre des décès ...
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--Firmin.
Il l’agrippait comme s’il en était le propriétaire, de cet être gracieux et fragile à la fois. Firmin fulminait – un adolescent fulmine très rapidement… période agitée que celle-là – devant ce spectacle. Il n’était pas arrivé depuis une semaine à Bayonne que déjà il apprenait à y reconnaître les personnes infréquentables : ce vieux moustique aux cheveux gris, aux yeux hagards et aux gestes brutaux.

Firmin fonça vers la jeune fille qui se débattait et plongea tête la première dans le torse de son agresseur.


Vous…a…. vous…

Pas un mot ne sortit de sa bouche. Étonnamment, au lieu de se comporter comme tout jeune coq vainqueur, le jeune héros restait sans voix, immobilisé par la timidité. Il savait bien comment plaire aux jeunes femmes en montrant ses muscles, en paradant et en souriant. Mais lorsqu’il s’agissait de parler, le fils de feue Chiabrena, restait inexpérimenté.

Gêné de ce silence, Firmin dévoila ses jambes poilues tout juste musclées, bomba le torse, et gonfla ses biceps. La jeune fille, sans nul doute, tomberait à genoux devant son héros, et s’émoustillerait de tant de virilité apparente.
--Mathusin.
Mathusin avait mal à ses chausses. Plusieurs lieues le séparaient maintenant de Niort. Plusieurs jours où il avait du supporter le silence de la jeune femme qui l’accompagnait. Elle ne lui parlait pas. Elle ne gémissait pas. Elle se comportait comme une frêle poupée sans âme, sans nulle vie à l’intérieur. Il était heureux de pouvoir enfin se séparer de sa morne compagnie, pour frayer avec d’autres pouilleuses moins prudes et moins timorée dans les bordels et tavernes de la ville. Bayonne… Pourquoi son maitre avait-il souhaité y retourner après de si longues années ? Voilà une question qui restait depuis plusieurs mois sans réponse. Mathusin avait connu son maitre non loin de Lyon, près de sept ans auparavant. A l’époque, Georges Léonard Watelse passait son temps à lire d’obscurs parchemins dans un coin des archives du duché. Mathusin était à l’époque apprenti copieur dans cette même administration. Le curieux personnage lui avait confié « entreprendre le tour d’Europe des Archives ». Nul n’a jamais su ce qu’il y cherchait sans cesse, à s’en user les yeux à la faible lueur des bougies.

Un matin, Mathusin l’avait trouvé, agité dans la salle des archives, les yeux fiévreux de l’homme qui n’a pas dormi de la nuit. Celui-ci s’était précipité vers le copieur de parchemin : « J’ai enfin une piste… enfin ! » Il avait de suite repris contenance. « Je vais pouvoir reprendre vie, prendre revanche, reprendre ma dignité, et enfin donner un descendant à ma lignée ».

Watelse lui mit un parchemin dans les mains : « Je vous engage : 400 écus chaque mois, et dix fois plus si vous accomplissez votre mission. Trouvez moi ma promise, voici son nom… Je m’en vais pendant ce temps, me rendre justice. » Voici comment, d’apprenti copieur il était devenu homme de main, investigateur par-delà les contrées.

Bayonne. Le point final de sa mission. La promise, Ellya de la Duranxie trouverait bientôt place auprès de Georges Léonard Watelse.

Un tumulte venant du cimetière. Mathusin fit un détour vers l’église où, il aperçut avec étonnement un jeune gringalet foncer contre son Maitre et fier comme un coq de son méfait, parader devant une jouvencelle.


Maitre !

Il courut à lui, et sortit son épée pour faire payer de sa vie, le jeune idiot.


Lysee
Lysée se sentais stupide tout d'un coup, d'être passer par près du cimetière. Pourquoi n'avait-elle pas écouté sa mère ? Pourquoi ne s'était-elle pas éloigné des gens qu'elle pouvait juger bruyant, malotru. "Mais ma mère aimait ce genre de personne"... Cette pensée lui traversa l'esprit et elle eu l'impression qu'on la jetais dans une rivière glacée. Mais à peine fut-elle sortit de ses pensées qu'un jeune homme c'était précipité contre l'autre personne pour lui rentré dans le ventre.

-Non mais.. ça ne va pas ?

Elle hésita un instant mais à peine avait-elle fait un pas qu'un autre homme c'était écrié "Maitre" et avait sortit son épée. Par simple réflexe elle laissa tomber sa dague dans sa main et se mit devant le jeune homme au cas où quelque chose de stupide arriverait. Le personnage à l'épée devait être un élève du Malotru qu'une femme avait, lui semble-t-il, appelé Watelse. Elle se sentait ridicule face à ces gens, légèrement plus petite, et avec une simple dague. Mais il ne fallait pas sous estimer les petites choses. C'était les plus habiles d'après sa mère.

- Mais que vous arrive-t-il à tous ? Sur quel village de fou suis-je tombé ?
Solore
Ferme les yeux lorsqu'elle voit Firmin, foncer tête baisser sur Sieur Watelse.

Par Aristote, mais que lui passe t'il par la tête ! Le voilà qui se prend maintenant pour le défenseur des pauvres jeunes filles de Bayonne. Il va falloir qu'elle lui en touche deux mots ... Ou plutôt Condemned, lui, saura trouver des mots d'hommes pour expliquer à Firmin ...

Devient rouge de confusion lorsqu'elle le voit remonter ses braies, le plus haut possible, dénudant des mollets blancs à peine plus velus que son jeune menton et moulant par contre, ce qui aurait du rester plus invisible .

Ouvre la bouche mais préfère la refermer sans mot dire devant la ridicule attitude de son neveu ... Et le voici qui maintenant bombe du torse achevant de se ridiculiser à jamais devant tout Bayonne réuni. Le coquelet se pavane devant une petite poulette bien plus hardie que lui.

Hoche la tête doucement, la main posée devant sa bouche. Honte suprême .. La voici qui de son frêle corps, lui fait un bouclier. Petite mais pas peureuse ... Mais, qui est l'homme qui s'avance en crian
t "Maître !" ... Regarde Watelse qui pour le moment ne dit mot.

Mais qui êtes-vous vraiment Messire ?


Observe son benêt de neveu en soupirant et se dit qu'il faudra bien que jeunesse se passe, mais pourvu qu'elle passe vite ...
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--Firmin.
Firmin se trouva vite nez à nez avec la pointe d'une lame. Puis nez au dos de la jeune fille qui s'interposait entre lui et l'origine du danger. Il se sent bête, le Firmin à ce moment-là. La belle jeune fille ouvre la bouche pour faire part de son étonnement:

- Mais que vous arrive-t-il à tous ? Sur quel village de fou suis-je tombé ?


Il répond, sottement:

Fou de vous, tout le monde doit l'être...

Le voici qui se trouve un talent de romantique enjôleur. Il s'est trouvé un destin de Don Juan : il passerait sa vie à honorer de ses paroles la beauté des femmes. Et il souhaite fanfaronner en poursuivant sa prose qu'il veut élégante!

Et j'ai l'âme au bout de cette lame qui va m'embrocher le coeur comme le porcelet quand on va le faire cuir au feu de la cheminée...

Bof. Piètre résultat. L'inspiration se tarit. Pas grave, tout est affaire d'entrainement. Pendant ce temps, son assaillant le regarde incrédule. Et le vieillard arrogant était toujours à terre.
Watelse
Mathusin! Là! Il regarde autour : pas de femme. Sa fiancée aurait-elle pris la poudre d'escampette?

Une épée? Un duel? Un regard vers la tombe.


Un peu de tenue, Mathusin! Voyons! Pas devant ma femme!

Georges Léonard Watelse se releva difficilement, épousseta son manteau et replaça son chapeau. Puis il fit baisser la garde de son serviteur d'un geste qui n'admettrait aucune réplique.

Encore un autre regard aux alentours.

Et surtout pas d'esclandre devant ma future épouse.. qui se fait désirer... Allons la chercher.

Ses yeux notèrent les sourcils froncés de la mairesse. Avait-elle des soupçons? Watelse ressentit pour une fois depuis bien longtemps, de l'angoisse que tout soit mis au jour. Mais qui irait déterrer une morte? Ces pauvres petits croyants n'iraient pas réveiller une décédée dans son repos éternel. Bien heureusement...

Il fit mine de partir, puis soudain se retourna vers la toute jeune fille qu'il avait confondu quelques instants auparavant:


Donzelle, mes excuses de m'être fourvoyer. Mes yeux un moment se sont obscurcis d'un voile épais. Mais je vois plus clair à présent et ne peux vous confondre: Vous êtes trop grosse, et trop quelconque pour être mienne!

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Lysee
Lysée ferma les yeux une seconde, puis rangea sa dague et s'inclina légèrement devant cet homme qu'elle détesterai presque maintenant.

-Ne vous inquiétez pas, je n'aurai pas voulu de vous non plus. Votre arrogance ferai fuir n'importe qu'elle femme, et vous semblez lâche comme une autruche. De plus vous parlez à une morte, vous êtes égocentrique, et vous faites semblant d'être aimable.

Elle lui lança un regard de déception franche: le personnage était trop...

-N'essayez pas de faire croire ce que vous n'êtes pas ! Vous êtes un lourdeau, un rustre. Et vous ne méritez aucunement l'attention que tout le monde vous porte.

Elle se retourna du côté du jeune homme qu'elle avait essayé de protéger.

-Quand à vous merci, mais je n'aime pas les compliments. C'est bon pour les autres femmes, celle qui rêve d'amour et d'aventure, et je suis bien au dessus de sa.

Des frissons lui parcourait le corps, elle se sentait en colère, et prête à frapper n'importe qui. Comment elle avait pu vouloir entrer dans l'église, ou dans le cimetière ? Pourquoi avoir voulu secourir ce Watelse qui ne le mérite certainement pas.
Elle posa son dos contre le tronc d'un arbre proche et regarda les nuages. Elle voulait connaitre la suite de cette histoire, tout en ayant peur.
Solore
Proche de Anna, elle ne perdait ni un mot ni un geste de la scène qui se déroulait devant eux.
Watelse sembla retrouver peu à peu ses esprits et la fixa longuement. Elle soutint son regard et il lui sembla voir un peu d'affolement dans les yeux de l'homme. Tout cela se passa très vite et pendant que Watelse parlait à son homme de mains, qui menaçait Firmin de son épée. Attrapa le jeune homme par le dos de sa chemise :


- Viens-là, toi ! Et cesse de faire le fada !

Le tire vivement en arrière, mais ce benêt emmouraché se cramponne à la jeune file qui lui fait écran de son corps.

- Firmin ! Laisse-la ! Mais veux-tu la lâcher !

Tape sur les mains de l'adolescent qui a empoigné la taille de la jeune demoiselle et qui se serre maintenant contre elle, lui débitant des fadaises.

Relève sa jupe et lui envoie un magistral coup de pied dans les fesses.


- Et ce n'est que le premier d'une longue série, Firmin !

Se dit qu'elle va se promener maintenant avec un bâton de vacher, le fessier de l'adolescent étant peut-être un peu haut pour son pied.

Citation:
-Quand à vous merci, mais je n'aime pas les compliments. C'est bon pour les autres femmes, celle qui rêve d'amour et d'aventure, et je suis bien au dessus de sa.


Soupire ... Le jeune homme en entendrait d'autres ...
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Lysee
Lysée regarda passer la dame, et celui qu'elle avait appelé "Firmin", se demandant si elle avait été dur avec le jeune homme ou non. Il ne restait plus que ce "Watelse", son valet Mathusin, ou une autre dame qui s'appelait si sa mémoire ne lui jouait pas des tours, Anna. Les premiers ayant fait mine de partir et la dame n'ayant pas bouger, elle se risque a demander d'un air glacial:

-En fin de compte, puis-je entrer dans cette église ou non ? Et est-il possible de se faire baptiser ici ?

Elle entendit la façon dont elle avait dit les choses et après avoir retrouvé son calme, reprit d'une voix légère et plutôt faible:

-S'il vous plait...?
Watelse
Georges Watelse grinça des dents. On ne le laissait donc jamais tranquille! Mathusin s'occupait ailleurs de ramener son destrier. Aucun moyen donc, de lui déléguer la tâche de répondre à cette jeune oie venue à Bayonne compléter la basse-cour pourtant déjà en surpeuplement.

Pour un baptême, il faut un curé. Et que ferait un curé dans une ville où l'on confond taverne et bordel, et que les femmes étalent leurs charmes insolents dans des étuves...?

Sur ce, satisfait de n'avoir pas aidé la nouvelle venue, il tourna les talons retrouver Mathusin, accueillir comme il se doit sa future épouse. Un regard derrière son épaules vers la tombe. Un frisson et des lèvres qui se pincent. Il s'en fut.

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Lysee
Lysée respira un bon coup, puis après une seconde de réflexion elle rejoignit l'homme, et lui mit une gifle.

-Vous, vous n'êtes pas vraiment un sujet a prendre en exemple. De plus je ne suis jamais allé dans les étuves, je laisse ce "plaisir", elle insista sur le mot, aux femmes qui aime exhiber leur corps a n'importe qui. Ce n'es pas parce que vous vous croyez au dessus des autres que vous l'êtes, alors vous avez intérêt a me parler sur un autre ton.

Elle lui remit une énorme gifle qui claqua et lui laissa sur la joue une marque rouge, puis le laissa partir tandis qu'elle retournait du côté du cimetière.
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