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[RP] Pulque est une pourriture

Sancho
Sancho était furieux. Il en avait perdu son accent et sa guitare.

Que tous le sache : notre clan d'Ixtacuixtla compte une brebis galeuse en la personne de "Pulque".

Cet homme. Non. Cette pourriture, cette raclure, ce fil de pécari, a profité d'une transaction privée entre le Calpulli d'Ixtacuixtla et moi pour détourner des carcasses de lapin.

Il s'agissait de 10 carcasses de lapin à 15 écus que j'aurais transformées en viande à 18 écus pour le Calpullec afin que le clan d'Ixtacuixtla puisse en profiter.


Ce fil de pécari, cette raclure de Pulque refuse de rendre les carcasses. Je réclame que ce bâtard issu d'un pécari et d'une dinde soit sévèrement châtié. Je réclame son bannissement de notre clan d'Ixtacuixtla et même de notre province. Que ses quachtlis lui soient retirés, que ses biens lui soient confisqués, que son nom soit associé à celui de la honte et du déshonneur.

Je demande à ce que ce rat puant de Pulque soit considéré comme un paria et un intru ; un ennemi de notre clan d'Ixtacuixtla et de notre province, un ennemi qui ne pense qu'à répandre le malheur pour s'enrichir sur le dos de ses frères.

Si vous voyez Pulque, crachez-lui à la figure et rossez-le.
Saharane
Saharane n'en revenait pas on oser insulter un homme de la sorte !!! Même si il avait fait de mauvaise chose s'était ce rabaisser à son niveau.

Elle ignora complètement l'homme qui avait parler et continua son chemin sans lui prêter plus d'attention que sa.

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Polya
et bien si je devais parler ainsi de Pilay à chaque fois qu'il me fait ça sur Huamantla!!!!! Et n'oublie pas qu'il n'y a aucune loi qui interdise ça même si cela n'est pas plaisant mes bouchers et mes boulangers n'ont jamais parlé ainsi de Pilay et pourtant plus d'une fois il est intervenu sur des transactions du calpulli..et jamais au grand jamais je ne me suis rabaissée à dire de telles ignominies.

Attention à la foudre des Dieux mon frère!!!!!!

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Le coeur emmêlé à celui d'un félin
Pulque
Maître Vautour sur sa branche haut perché, tenait en son bec une plante hallucinogène… euh nan… fredonnait une chanson douce

Quoi c’pas ça ?

Bon… admettons…. n’empêche, ça fait un bon moment qu’le Pulque arpente les ruelles d’la cité orientale, il déambule en peinardise, traînant mollement d’la sandale dans les allées toutes roses et toutes propres d’Ixtacuixtla, p’tit clan tout rose et tout propre… p’tit village ordinaire, peuplée d’p’tites gens ordinaires, tellement ordinaires qu’on en crève d’envie d’empoigner sa massue pour mettre un peu d’couleur là d’dans…carmin d’préférence… ici, l’sensationnel c’quand l’aviné du coin a l’malheur d’renverser son godet sur la table d’une taverne avant d’glisser d’ssous pour y gerber tripes et boyaux… quand à c’qui est d’poser avec désinvolture ses arpions sur un coin d’table alors là c’est carrément l’crime d’lèse majesté… même à Mazapa, ville où rien n’bave par excellence, l’pekin local est moins tatillon sur les usages, bon faut dire aussi qu’là bas s’il avait l’malheur d’la ramener c’était cruche d’terre cuite qui traverse la taule pour v’nir exploser sur un mur et poutrage de l’enquiquineur d’un coup d’tabouret écrasé sur l’coin du museau… mais pas ici…pas encore du moins…

Il savate un clebs rachitique qui s’soulage au coin d’une porte d’taverne, bah quoi l’aime bien les bestioles l’pulque, lui a sauvé la vie pour le coup au roquet, il f’sait tâche dans l’décor aseptisé mazatepec… ça étire un sourire alors qu’le bâtard s’barre en couinant dans un barouf qui n’est pas sans rappeler l’coyote qui vient d’se frotter les joyeuses sur les plantes urticantes… il s’dit qu’c’est pas l’bon plan pour s’faire oublier mais continu d’s’en caler comme d’son premier pagne… s’casser fissa et aller flânocher ailleurs juste pour voir s’il y est… traînasser au hasard lui qui hait les lignes droites bien tracées… Attroupement qui attire sa curiosité sur des p’tites places proprettes du gentil p’tit village… une révolte ? pire sont au moins quatre ou cinq… une révolution donc… r’niflant la possible poilade, il s’approche un poil du troupeau, mirettes et esgourdes aux aguets… c’est qu’ça s’en prend à sa trogne apparemment… présence d’mandée, présence reçue l’plus naturell’ment… s’visser un sourire d’circonstance au coin des lèvres et apostropher l’roi d’la carcasse, l’prince de la côt’lette, l’revendeur d’l’impossible…

Bah alors ma grande, c’toi qui fait tout c’foin pour une paire d’malheureuses d’carcasses ? c’toi qui hurle au scandale, qui crie au vol ? mais dis moi, j’crois pourtant t’avoir payé pour tes bouts d’lapin ? c’pas moi qu’ai fixé l’tarif en plus, c’toi… d’ailleurs j’me d’mande s’ils étaient d’la toute première fraîcheur à c’prix là ?

Le r’gard est mi amusé, mi circonspect, l’sourire, insolent pour les uns, arrogant pour les autres, les deux pour les plus hargneux d’entre eux, est solid’ment vissé aux coins des lèvres… il s’marre l’Pulque, il s’marre d’l’entendre s’lamenter entre deux vociférations…

Pis comme tu m’as l’air pas bien futé et qu’j’déteste perdre mon temps dans un dialogue d’sourds avec un déficient intellectuel, j’vais t’filer un dernier conseil avant d’t’exploser la rate : quand on à l’charisme d’un lama anorexique on évite de faire du biz’ness quand j’suis dans l’bled… pigé ?

Bon ben sinon, c’pas l’tout d’être fort en gueule, va falloir qu’tu nous montre c’que t’as d’accroché sous ton pagne, quoique vu la pleureuse qu’tu sembles être, j’ai bien peur qu’y’ai pas grand chose et qu’on soit décus…

J’t’attend donc c’soir à l’heure du crime dans l'arêne… quand t’auras fini d’chougner, t’ramasses ton sac à main et tu me r’joins…

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Ocelotlacatl
Ocelotlacatl était content, il avait perdu son appartenance à son ancien clan et son pucellage... arf non ça il y avait un moment déjà... juste son appartenance au clan alors. Il évita de justesse de glisser sur un oeil alors qu'il allait écouter les dernières rumeurs de la province.

Encore une pourriture ?
Mais y en a partout en ce moment des raclures de fientes de vautours et des petites fouines perfides, fétides et putrides (à dire trés vite ^^). Ils en ont un comme ça à Zoquiapan, on l'appelle Nakunoreye... En plus on a de fort soupçon sur une possible impuissance qu'il essaierait donc de compenser en s'emparant des esprits des personnes faibles ou perdues. Si vous croisé le surnommé Nakunoreye, bottez lui les joues rebondies qu'il a en bas du dos de ma part.

J'ai bien pris note, j'attend de le rencontrer avant de l'ajouter à ma liste, histoire de me faire mon idée, mais c'est noté. Merci de l'information.
D'ailleurs on pourrait pas faire une liste des moisissures qui pourissent nos clans ? Et une liste de ceux qui refusent de combattre ?
On appelerait la liste PPOT: Pourritures et Pintades Officielles de Tlaxcalla. Qui qui porte l'idée à notre grandeur kalamiteuse ?



edit: ben oui ljd Pulque et moi on a écrit en même temps, donc je m'adapte comme je suis le dernier à avoir finalisé.

A peine l'homme jaguar eut-il finit de faire sa proposition plus ou moins douteuse ... géniale ? A vous de voter, pour "géniale" tapper 1, pour "douteuse" tapper 12764567324588678590213243406957313495677, c'est compris ?
Uhm rem... revenons en à ce qui nous interesse, à peine Ocelotlacatl a-t-il refermé la bouche donc que le dit pulque se présente, le pas lourd, posant le pied juste à côté de l'oeil, Nakin N'euye a de la chance. Il l'écoute attentivement donc, et sourit en disant:


Ah ben non, j'l'aime bien moi, l'a l'air sympa. Mais le Nakunorèye c'est vraiment une fouine à poil ras et sale, qui bouffe des rats crevés et qui peut pourrait pas faire de ch'ti crapaud même s'il savait ce qu'il avait sous le pagne.
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Chant de l'homme jaguar:
"Espèce d'icône,
Ta fesse mérite
Un coup d'pied au culte !
Dans le fieeeel !"
Proutygirl
[Ton absence]

Le silence. Le vide. La solitude.

Ils s’étaient promis l’éternité. Ils avaient rêvé leur vie. Ne plus jamais crever la dalle, être maitres de leur destinée. Prendre, sans attendre, par la violence, s’il le faut. Vivre, surtout, intensément, dangereusement, qu’importe, mais vivre. Jeunes gens ravagés par la grande famine, fauves carnassiers. Les crocs, la panse grouillante, l’appétit insatiable. Se gaver de souvenirs, de sensations. N’aimer personne, sauf peut être cet autre. Des jours et des nuits à arpenter les chemins, yeux rougis par la fatigue, le corps en souffrance. Lui dans son ombre. Il la suivrait jusqu’au bout du monde, jusqu’au néant. Les Dieux eux-mêmes ne pourraient les séparer.


« T'façon les provinces sont par trop étriquées pour qu'tu m'échappes ma fleur... ».

Que lui restait il, à la Rose, si ce n’est cette tristesse infinie ? Il n’était plus. Car les Dieux finalement avaient rappelé à eux ce monstre de génie, cet être unique à la personnalité fulgurante, le chacal. La Rose traine son désespoir, elle erre sur ses traces. Peut être arrivera elle a capté un souffle, percevoir une lueur ? La lumière, sortir de ce cauchemar sans fin, de ce tourment lancinant et intolérable… Elle erre, l’âme en peine, le cœur ravagé, encore et toujours, trainant pour fardeau les reliques d’antan. Les souvenirs, les réminiscences de ce qui appartient désormais au passé, ce qui ne sera plus jamais. L’inexorable fatalité. Il était parti pour un voyage sans retour, le grand voyage.

Elle s’effondre, repense à lui. A leurs jeux, aux non dits. Trop tard, il est trop tard. Elle repense à qui il était, à sa façon de voir les choses.


« Sa route… celle sur laquelle il a choisi d’tracer… mirettes rougeoyantes de nuits passées à veiller, à penser et à r’garder sa fleur…

Leur route… celle sur laquelle ils se sont r’joints sourire aux lèvres… r’fusant d’attendre d’main mais d’le vivre… refusant d’subir mais d’affronter et d’payer tribu d’passage s’il devait y’avoir à laisser… tant d’jours… tant d’sentiments et d’impressions partagées… trouvaille appréciée en approche inspirée… ouverture d’mirettes et s’pencher sur c’qu’il est alors qu’la route s’avale… destructeur, comme souvent… s’arracher pour r’partir… nécessaire obligation liée à sa condition…

Lama bavant, usé par l’voyage… lui aussi, encore un… apprendre à ménager la monture… que dalle, pas savoir et c’pas d’main qu’il apprendra… tracer, tracer, plus loin…guidé par ses envies… vie d’baltringue à disséminer sur les sentiers… parfum d’vie, humeur du jour… »


Lui, sa cruauté et sa poésie. Lui, sa bestialité et son humanité, sa férocité et ses envies. Tout ce qu’il était, tout ce qu’il n’était pas, tout ce qu’il aurait du être, tout ce qu’il aurait voulu connaitre. La Rose ressasse, pleure, crie. Suppliques qui ne trouveront pas écho. Elle se consume, et se recroqueville. Puis s’étire et se glace à s’en déchirer la peau. Elle gémit, à s’en fendre l’âme. Plus rien n’a de sens sans lui. Comment expliquer ce qu’elle subit ? Comment mettre des mots sur une telle souffrance ? Comment qualifier l’intolérable ? Comment accepter telle aberration ?

Elle n’arrive pas à lui dire adieu, ce serait comme un abandon. Elle continuerait à errer longtemps, cultivant cet espoir fou qu’un jour, elle le retrouverait.

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En souvenir du joueur de Pulque. I'll miss you.
--La.sentinelle
[Long Hurlement qui se répercute sur les montagnes]

Encore et encore, la petite coyote efflanquée lance son adieu aux cimes lointaines.
L'homme qui s'en est allée, elle ne le connaissait pas personnellement, mais elle en avait entendu parler.
Agaçant, énervant, poil à gratter des mieux-pensants...
Encore un qui s'en allait.
La Sentinelle pleure pour tous ceux qui le connaissait, pleure pour tous ceux qu'il n'aura pas le temps d'agacer et qui n'auront pas à réfléchir sur leur morale étriquée.
Elle pleure la douleur de ceux qui restent et que rien ne saurait apaiser...
Elle pleure pour la Rose qui souffre, elle pleure pour tous les autres
Les mots ne servent à rien, à quoi bon dispenser ces faux consolateurs?
Autant hurler sa peine pour pouvoir faire semblant de continuer
Alors, elle hurle pour ceux qui ont la gorge serrée, le cœur trop plein ou arraché.
Elle hurle la colére de perdre encore un des leurs, alors que tant de médiocres survivent,de voir les poètes partir avant les gagne-petits, l'injustice du sort qui clairseme les rangs de ceux qui veulent un monde meilleur ...
Hurler pour ne pas tomber, pleurer pour ne pas se laisser rattraper par l'envie de tout plaquer...
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